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Benjamin TOUNGAMANI, président de la plateforme congolaise contre l’impunité et militant infatigable de la diaspora politique congolaise, donne son point de vue sur la situation politique de son pays.
Sceptique sur la stratégie de l’opposition quant à sa participation à la mascarade électorale présidentielle du 20 mars 2016. il apporte son soutien au Général Mokoko sur le report de l’élection présidentielle, mais surtout attend du Général MOKOKO qu’il conduise l’insurrection populaire après le 20 mars 2016, pour chasser Denis SASSOU-NGUESSO du pouvoir.
Diffusé le 13 mars 2016, par www.congo-liberty.org
BEN ET AYA = INSURRECTION + TRANSITION + ELECTION + DÉMOCRATIE…
Aya résume ce que nous pensons tous quelque soit la manière de le dire. Stratégie gagnante pour chasser sassou et insurrection semble être la seule voie possible. Il faut donc d’ores et déjà préparer les réseaux sur place…et ensuite la nécessaire et indispensable transition… d’ailleurs le général ne s’est pas trompé, puisque ce dernier en parle dans ses discours . Alors…
IL reste à savoir , comment va prendre cette forme d’insurrection populaire ?;
Verra t – on, une marche commune ,nord et sud vers le même point d’arrivée ?
Une insurrection , n ‘est pas dissociable d’une nation unie , il se trouve que , la nôtre a été déconstruite , par des discours et des actions politiques qui font l’apologie d’une nation ressemblant à un puzzle d’ethnies qui ne se fréquentent pas , et donc , qui n’ont rien en partage .
Cette insurrection tant chériée , par MOKOKO risque de tourner en eau de boudin .
Les ingrédients y relatifs , me donnent à penser que , la blessure nationale est plus béante que la cohésion nationale .
Mais , nous aurions souhaité ,que mes analyses aient été contredites , par un mouvement populaire spontané , exigeant de SASSOU , la remise des clefs , du PALAIS DES PLATEAUX .
Nous regardons, , nous participons et nous disons. Il est nécessaire et important que certaines voix nous rappellent que rien n’est gagné. le tyran trichera et ne se laissera pas faire. L’insurrection populaire restera de mise pour transformer l’essai. L’affluence jamais vue (en particulier celle du général) prouve que le peuple est prêt à tous les sacrifices.mais il faut pour cela réfléchir aux stratégies de prise directe du pouvoir par le peuple. que faisons nous si le 21 mars sassou se proclamait président au premier tour ? Faudrait il alerter le conseil constitutionnel sur la tricherie avérée ou prendre la rue et demander à l’armée de rejoindre son peuple ?
En tous cas l’opposition ne doit pas décevoir son peuple cette fois ci. C’est pour cela que le rappel que constitue l’intervention de ce politique que j’ai devant les yeux n’est pas de trop. courage à notre peuple.
Propos assez juste sur la stratégie de l’opposition.
Comment peut – on, après avoir été contre le changement de la constitution, contre les élections de 2016, évité de se présenter soi même, tout de même soutenir un candidat aux élections
La communauté internationale se satisfera parfaitement d’un scrutin frauduleux du moment que les apparences sont sauves.
Il ne faut rien attendre de Mokoko pour organiser l’insurrection, c’est là où petit satan l’attend pour l’arrêter, de toute façon ce n’est pas sa nature, sinon il aurait pris le pouvoir le jour où il avait rassembler pouvoir et opposition à l’époque. Seul le peuple de façon spontanée va chasser le tyran, petit satan ne comprendra rien. Ce peuple en a marre et petit satan le sait bien.
Visiblement les voleurs du PCT veulent divertir l’opinion sur ce site . Le général Mokoko reste l’homme de situation car c’est le seul qui parler vrai ! Sassou est un sale voleur , il est un problème pour notre pays , le désastre qui sorte aux yeux !!!
L’opposition doit demander que tousles bulletins de vote soient signés par les représentants des candidats au verso avant de les remettre aux électeurs. Ainsi donc au moment du décompte, tout bulletin qui n’aurait pas ces signatures, sera considéré comme nul.
Le renversement par insurrection ne peut reposer sur les épaules d’une seule personne, mêmes si celles-ci sont très larges. En 1968 quand sassou et compagnie lancèrent leur insurrection contre Massambat Débat, celle-ci reposait sur les épaules de plusieurs personnes. D’où son succès.
Qui connait réellement Mokoko pour que nous fondions nos espoirs que sur lui? Et si c’était un pion de rechange des français pour remplacer sassou? Avons-nous oublié le rôle qu’il joua pour le compte des français pour tenter de renverser Milongo? Qui a fait pression sur sassou pour qu’il le prenne dans son cabinet, si ce ne sont les français?
Attention, attention. Nous voulons tous le changement, mais soyons vigilants avant de se lancer têtes baissées devant le premier venu. En 1963, par ignorance, nos parents chantèrent Youlou avait tout volé. Ce dernier leur répondit qu’ils applaudiront un jour un fou. En 1979, nous chantâmes que Yhombi avait tout volé. En le disant, nous avions refusé de prêter attention au chansonnier qui composa cette musique à sa gloire. Voilà 32 and que nous dançons au rythme des chansons de ce chansonnier hors-pair que nous avions refusé de voir la vraie nature.
Alors, un peu de jujotte. Exigeons une transition politique après le renversement de sassou, lequel sera non pas l’oeuvre d’un seul individu, mais d’un peuple. En ces périodes difficiles, abstenons-nous de confier notre destin à un seul individu, car notre histoire nous apprend que la France est toujours derrière les hommes seuls: sassou, Mokoko1, Lissouba, sassou.
Il y a trop de problèmes dans ce pays que nous devons résoudre collégiallement pour éviter de faire du sassou sans sassou.
Pour une fois, je suis 100% d’accord avec mon frère Bakala Telema.
Prudence, keba-keba, sinon, on risque encore de l’avoir dans le baba.
Sitou Mpaka, Sassou parle vrai aussi.
Un homme, il faut le voir à l’œuvre pour savoir ce qu’il vaut.
En lisant certains propos sur la toile, je constate que beaucoup de nos freres vivants en France se complaisent a la longevite du colonialisme au Congo. Ils ont leur RSA et leurs ACEDIC en France, que les choses changent ou ne changent pas ici au Congo, cela leur importe peu. Mais nous aimerions leur rappeller qu’au regard de l’implication malsaine de la France politique au probleme du Congo, ce n’est pas a un simple vote que nous avons affaire, mais a un Referendum pour la Decolonisation. Si nous gagnons cette bataille, beaucoup de choses en decouleront aussi et je peux les citer: Les Pays freres autour de nous suivront l’exemple et prendront appui aupres de nous; apres leurs reussites chacun, jaillira l’idee d’une autre monaie; l’apprentisage de la langue anglaise et d’une langue Bantou fera sa route; les queues devant les ambassades de France pour les visas cesseront; l’ouverture de nos lignes aeriennes a d’autres compagnies du Monde tels DELTA- American Airlines- British Airways-SAS- Luftansa-Finnair etc.. sera possible pour casser les prix d’Air France et j’en passe. Mais avant tout, il faut mettre un terme au regne d’un simpl-homme devenu FOU du POUVOIR.
Quelle que soit l’élection, Sassou devra tricher. C’est dans sa culture, dans son mode de fonctionnement. Tricher c’est sa vie! Il a ce vice dans le sang!
Il finira putschiste, truand et voleur! La preuve, il a organisé des élections anticipées afin de décourager l’Opposition à ne pas y participer. Il est presque surpris de la voir se jeter dans la campagne et avec talent.
Mais son plan est clair: s’autoproclamer gagnant! Il doit tricher, telle est sa nature. Ne demandez pas à un serpent de se comporter en carpe.
Cette fois, l’opposition a raison, de dire » trop c’est trop ». L’immoralité ne doit pas être l’objet d’enseignement de notre jeunesse. La participation aux élections est un appât qui servirait de surprendre Sassou la main dans le sac.
Le mal congolais est né depuis les crimes des innocents liés à l’assassinat de Marien; Débat, Le cardinal et bien d’autres. Sassou et clan connaissent les coupables qui se pavanent tranquillement à Brazza et en France.
Des compatriotes furent jetés en prison, simplement pour leurs idées nouvelles ou parce que critiques contre les folies d’un clan mafieux. Tous ces comportements sont des abus de pouvoir très graves et impardonnables.
Sassou en a peur. Il n’a pas la conscience tranquille. Aussi veut-il sauver sa peau!
Qui tue par l’épée meurt par l’épée!
Une seule Justice doit triompher, celle du peuple souverain!
JE VALIDE ….. MARIE LAURE
Les 5 candidats du changement devraient donc exiger, comme au Bénin, un renforcement du climat de confiance qui passe par des fouilles systématiques à l’entrée des bureaux de vote. A Cotonou, Boni Yayi, président sortant, a été fouillé devant les caméras de télévision et de nombreux témoins, avant d’avoir accès au bureau de vote. Montrer ainsi patte blanche serait une garantie d’équité.
Au cas contraire, le président de chaque bureau de vote devra faire estampiller les bulletins en amont du processus, dans le bureau de vote.