« Quand les éléphants se battent, ce sont les fourmis qui meurent ». Proverbe africain
Dans certaines formes d’ésotérisme, le symbolisme de l’ouroboros met en exergue les aspects essentiels du conflit entre Sassou et Tsourou. En dépit de toute vraisemblance, et au-delà d’être la victime expiatoire du drame du 4 mars 2012, le colonel Tsourou est un des polypeptides du venin créé par Sassou pour neutraliser la démocratie congolaise et qui a fini par se retourner contre son créateur.
De fait, les ressorts du système Sassou, son inaptitude à un environnement démocratique, et sa nocivité, sont intimement liés aux conditions de son éclosion. Dans la violence. Pour installer ce pouvoir acquis au prix du sang des congolais, Sassou pouvait compter sur ses spadassins, prêts à répandre la mort et la désolation. Immergé dans le délire obsidional, il mobilisa tous les moyens de l’Etat non pas pour le bien de la population, mais pour la conservation de son pouvoir, en répandant à dose homéopathique la peur au sein de la population.
Contre toute attente, les plus zélés dans cette sale besogne, étaient les ressortissants de la région de la Likouala (les katangais) et ceux de la région des Plateaux. Sans doute qu’il fallait donner plus de gage de fidélité au cobra suprême, pour ceux qui n’étaient pas originaires des bords de l’Alima.
C’est ainsi que Tsourou, Okombi Salissa et Tassoua, entre autres, se distinguèrent dans les violences infligées aux populations pour la consolidation de leur pouvoir. Ils contribuèrent ainsi à générer et à entretenir des peurs pour protéger le quignon du confort acquis par la guerre qui a mis à mal tous les acquis de la CNS. Ils avaient compris d’instinct qu’ils avaient la chance de vivre une période exceptionnelle. Les opportunités d’enrichissement personnel n’étaient limitées que par leur manque d’imagination. Ils se sont ainsi servis à qui mieux -mieux sur la bête.
La compréhension du conflit entre Sassou et Tsourou passe nécessairement par l’analyse de la goute d’eau qui a débordé le vase. Personne ne pouvait, à court terme, envisager une déchirure entre les deux hommes qui affectionnent, somme toute, les actions teintées de laideur morale. Seulement voilà, Tsourou, numéro deux du Conseil de sécurité, mieux formé(selon lui), mais surtout ayant été au cœur de l’action visant la conquête du pouvoir par les armes ; plus impliqué qu’un Jean-Dominique Okemba son supérieur, fit exploser le couvercle de l’ataraxie par le torrent de frustrations qu’il ne pouvait plus contenir. Il méritait selon lui, mieux que d’autres, le grade de Général ; récompense que Sassou n’attribuait en priorité qu’aux mbochis.
L’avantage décisif de Sassou sur son adversaire Tsourou est d’avoir pris le soin de connaitre parfaitement le profil psychologique de tous ses officiers cobras, y compris de celui de Tsourou. Il connaît, pour chacun d’eux, la courbe représentant les traits essentiels de leur personnalité ; et par voie de conséquence, la façon innée avec laquelle ils peuvent réagir dans certaines circonstances. Il savait comment celui qui prit un malin plaisir à aller incendier le dépôt de Pointe –Noire en 1997 pour ses pulsions sanguinaires, devait réagir face à toute forme de provocation.
Féru des méthodes staliniennes, on concocte alors un scénario tiré par les cheveux dans le seul but de sanctionner un élément frappé d’opprobre. Ainsi, la version selon laquelle des miliciens de Tsourou auraient tiré sur les policiers, est une histoire grotesque où le ridicule et le tragique dansent une sorte de guigne. L’incident (imaginaire ) créé, il ne restait plus qu’à envoyer les fauves pour justifier une opération de police qui aurait mal tournée. Ils ont oublié qu’en Octobre 1997, après avoir semé mort et désolation à Owando, l’interpellation des assassins repliés au domicile de Sassou, donna l’occasion à ce dernier de déclencher la guerre la plus meurtrière de l’histoire de notre pays.
Toutes proportions gardées, nous voici plongés dans le roman de Mary Shelley (Frankenstein ou le Prométhée moderne). Le monstre de Frankenstein commença à échapper à son créateur, lorsque le 3 Mars 2012 à l’occasion de son anniversaire, Tsourou eut non seulement l’impudence de n’inviter que les tékés, en plus, il osa ne pas remercier le Roi-Sassou dans l’évolution de sa carrière militaire. Au passage, dans une violence verbale dont il a le secret, il défia Sassou et son clan d’Oyo. Coïncidence troublante, le 4 mars 2012, dès potron-minet survint l’effroyable drame de Mpila.
Désormais, il fallait coûte que coûte le ramener au bercail, au pire le passer sous les fourches caudines, avant que ses dérapages ne portent véritablement préjudice à tout le système corrompu. Après 18 mois de prison, à l’issue d’un procès rocambolesque, et au regard des faits d’une extrême gravité qu’on lui reprochait, le Colonel Tsourou fut revigoré par une condamnation de principe ( 5 ans avec sursis) . Dès cet instant, il voulut en découdre avec ceux qui voulaient lui faire porter le chapeau. Mal lui en prit quand il décida de ne plus la fermer, et mu par une volonté jusqu’au- boutiste, il indiqua sur les ondes de RFI, son entière disponibilité à témoigner devant un juge français concernant la douloureuse affaire des disparus du Beach. Crime de lèse-majesté !
Le satrape d’Oyo pouvait tout tolérer, mais il ne pouvait aucunement digérer ce violent coup de poignard habilement assené par un de ses ex-sbires qui s’apprêtait à exhumer une des affaires qui l’empêchent de dormir. Le remake du roman de Mary Shelley sur fond d’une métaphore du serpent qui se mord la queue. Le monstre créé de toutes pièces, à qui on a appris progressivement à parler et à lire. Il s’attache à eux et tente à se faire aimer, mais se fait violemment rejeter. Il se venge en assassinant les proches de Frankenstein…
Rappelons-le, s’il en était encore besoin que le Colonel Tsourou n’était pas la personne qui pouvait cristalliser les espoirs des congolais malmenés par cette dictature odieuse. Seuls ses intérêts, visant à satisfaire son ventre et son bas ventre, ont motivé le sacrifice de plus de 80 congolais.
Ne nous leurrons point ; Tsourou n’est pas un enfant de chœur, il est du même moule que Sassou. Les deux savent dans quelles circonstances 353 de nos compatriotes furent sommairement exécutés en une après-midi au Beach de Brazzaville. On ne se range pas opportunément du côté du peuple le temps de la disgrâce. On est avec le peuple tout le temps, y compris quand celui-ci crame dans l’enfer des explosions de Mpila, quand le processus démocratique est confisqué par un clan, ou quand un dépôt de munitions brûle à Pointe-Noire.
Malheureusement, le peuple ne décèle la folie qui habite l’esprit de certains assoiffés du pouvoir qu’après le temps de l’apocalypse, quand ces derniers ont fini de ruiner le monde, semant et laissant sur leur passage, cendres, cris, cadavres et désolations. Encore des vies de congolais, impunément fauchées pour assouvir, l’obsession de sang de certains indignes fils du pays.
Au moment où Mandela Madiba venait de tirer sa révérence avec maestria, le monarque de Mpila passe le clair de son temps à maintenir les populations dans un état d’appréhension constant. Conscient de ne jamais gravir l’ultime marche du panthéon politique, il noie son impopularité dans son obsession des armes. Il gruge ainsi les libertés individuelles au profit du clan au pouvoir et de la bureaucratie gouvernementale. De même, il profite d’un différend privé pour traumatiser une fois de plus, des populations psychologiquement amoindries par les affres d’un pouvoir illégitime. Il reste que, chaque fois que l’avenir d’un peuple était en péril, il savait exhumer cette force enfouie dans ses entrailles et relever tous les défis qui se posent à lui, notamment pour conjurer la peur et la perte totale liberté.
Djess dia moungouansi « La plume du Congo-libre »
Vice- Président du cercle de Réflexion « LA RUPTURE »
Le Blog de Djess : http://demainlecongo.kazeo.com
Quand des larrons en foire s’étripent
Au Congo-Brazzaville, Etat militaro-policier par excellence, sur fond d’une horrible tyrannie, l’histoire n’a de cesse de bégayer tant la violence politique et l’ordre armée demeurent le mode opératoire du pouvoir. Sassou Nguesso vient de réitérer au yeux du monde sa vocation de bourreaux notoire de la République, en réglant ses comptes de manière particulièrement violentes avec un anciens complice et larron en foire, à qui d’ailleurs on ne saurait donner le bon Dieu sans confession. Cet événement est on ne peut plus caricatural d’une scène de Western (Cow boy) américain où l’on voit des bandits de grand chemin s’étriper après avoir dévalisé une banque, tout simplement parce que ne s’accordant pas entre eux sur le partage du butin dérobé.
Mais qu’on se le dise bien, à travers cet énième acte de violence armée, Sassou Nguesso adresse implicitement un message aux opposants politiques congolais qu’il est plus que jamais déterminé à conserver le pouvoir et à s’y maintenir par la force des armes. Question de rester fidèle à lui-même et surtout de se conformer à la sacro sainte et machiavélique logique de son régime à savoir : « le pouvoir au bout du fusil. » Autant dire qu’avec Sassou Nguesso le peuple congolais n’est pas au bout de l’ornière, donc de ses tribulations. C’est pourquoi devant l’ampleur cette crise politique sinon ce drame permanent dont notre cher et beau pays est le théatre, il est impératif pour l’opposition de fédérer ses forces et de mutualiser les intelligences, en vue non seulement de mettre ce régime anti démocratique et criminogène hors d’état de nuire, mais surtout d’impulser une alternances pacifique et faire repartir le Congo-Brazzaville sur des nouvelles bases.
De belles phrases….
Florent NTSIBA va bientôt faire un AVC…
NOUS AVONS LES YEUX, MAIS NOUS NE VOYONS PAS. NOUS AVONS LES OREILLES MAIS NOUS N’ENTENDONS PAS. POUR LES PLUS ANCIENS, L’AFFAIRE NTSOUROU, EST UNE REPETION DE L’HISTOIRE. QUAND SASSOU NGUESSO EST AUX ABOITS, IL INVENTE LES COUP D’ETAT OU COMPLOT ICI ET LA POUR CULPABILISER ET ASSASSINER CES ADVERSAIRES. LE 15 AOUT 1978, ON PARLA TELLEMENT DE COMPLOT QUE YOMBY OPANGO ALORS PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ANNULA LES FESTIVITES DE LA FETE NATIONALE. HORS C’ETAIT LES SERVICES DE SASSOU NGUESSO QUI PREPARAIENT LE COUP D’ETAT DU 5 FEVRIER 1979. POUR ECARTER TSYSTERE TCHICAYA, TOUJOURS LES SERVICES DE SASSOU NGUESSO QUI POSENT LES BOMBES A MAYA MAYA EN 1986. JP TSYSTERE TCHICAYA EST ECARTER POUR NE PAS PARTICIPER AU CONGRES DU PCT EN 1989. POUR LE CAS ANGA PIERRE LA MEME TACTIQUE EST UTILISEE, DANS UNE AFFAIRE ROCAMBOLESQUE DE COUP D’ETAT AUJOURD’HUI MIS A NU PAR ALBERT ROGER MASSEMA « CRIMES DE SANG ET POUVOIR AU CONGO BRAZZAVILLE », EN 1987 SASSOU NGUESSO POUSSE ANGA A LA REBELLION POUR L’AVOIR DANS SA NASSE FUNEBRE EN 1988. AUJOURD’HUI LE MEME SASSOU NGUESSO DONT LA RESPONSABILITE EST ENGAGEE DANS L’AFFAIRE DU 4 MARS 2012, POUR SE DEBARRASSER DE NTSOUROU AVANT LA MODIFICATION DE SA CONSTITUTION L’ACCUSE D’ETRE RESPONSABLE DU DRAME OU PLUSIEURS CONGOLAIS ONT TROUVE LA MORT, ONT PERDU DES BIENS… ET SI VOUS COMPRENEZ L’HOMME, NE VOULANT PAS AVOIR DEUX OFFICIERS SUR LUI NTSOUROU ET MONDJO QUI POURTANT A DES GROSSES RESPONSABILITES SUR LE DRAMES DE MPILA, SE DEFAIT DE LE PLUS VITE POSSIBLE DU MINISTERE DE LA DEFENSE QU’IL A TOUJOURS OCCUPE POUR FUIR SA RESPONSABILITE ET DETOURNER LE REGARD DU PEUPLE VERS LUI. ETANT DONNE QUE MONDJO EST BIEN AVEC NTSOUROU, IL ELEVE LE PREMIER ET DESTITUE LE SECOND. COMME DIT L’ADAGE DIVISER POUR MIEUX REGNER. ACTUELLEMENT MONDZO EN FAIT C’EST JUSTE LE PORTE NOM: MINISTRE DE LA DEFENSE. A LA VERITE IL OCCUPE LE POSTE DE BOWAO, UN MINISTRE DELEGUE. LE VRAI MINISTRE C’EST LUI MËME. TOUT CECI POUR LES PLUS JEUNES ET MEME CERTAINS ANCIENS N’A PLUS DE SENS. SI LES JEUNES IGNORENT SIMPLEMENT LES PLUS ANCIENS DEVAIENT FAIRE COMPRENDRE AUX JEUNES QUE SASSOU NGUESSO EST UN HOMME CYNIQUE ET INFREQUENTABLE SI VOUS VOULEZ VIVRE LONGTEMPS. ANCIENS ENSEIGNER L’HISTOIRE AUX JEUNES POUR QU’ILS NE SOIENT PAS TROMPER PAR CET ESPECE PERVERS, CYNIQUE ET EXTREMEMENT DESEQUILIBRE. L’HISTOIRE DOIT ETRE NOTRE REPERE CAR UN PEUPLE SANS HISTOIRE EST CONDAMNE A REVIVRE SON PASSE ET A REPETE LES MEMES CONNERIES. LE CAS DE FIGURE EST BIEN CELUI DE NTSOUROU QUE NOUS AVONS DEVANT NOS YEUX. L’ALLIANCE DU NORD FONDE SOUS LE TRIBALISME S’EST ECROULE AVEC L’ASSASSINAT DE MARIEN NGOUABI EN 1977, L’ARRESTATION DE YOMBY 1979 ET LA MORT DE PIERRE ANGA EN 1988. NTSOUROU NE CONNAISSAIT PAS CELA? ET VOILA OU SE TROUVE T-IL? Y A T-IL UNE DIFFERENCE ENTRE CE QU’IL VIT ACTUELLEMENT EN 2013 ET CE QUE YOMBY AVAIT VECU EN 1979? NTSOUROU NE SAVAIT IL PAS QUE PIERRE ANGA ETAIT ACCUSE INNOCEMMENT PAR SON BOURREAU ET IL A FINI PAR LE FAIRE TUER EN 1988? NTSOUROU NE SAVAIT IL PAS QUE POUR ECARTER JP TSYSTERE TCHICAYA SASSOU NGUESSO L’A JETE EN PRISON POUR UNE AFFAIRE MONTEE DE TOUTE PIECE? LE PROBLEME ICI N’EST NI NGOUABI, NI YOMBI, NI ANGA, NI JEAN PIERRE TSYSTERE TCHICAYA. LE VRAI PROBLEME C’EST BIEN SASSOU. ET VOILA NTSOUROU QUI AVAIT OUBLIE OU FAIT SEMBLANT D’OUBLIER L’HISTOIRE, CELLE DE NGOUABI, YOMBI, ANGA, TSYSTERE SE REPETE SUR LUI. QUE VOULEZ VOUS? SASSOU NGUESSO N’AVAIT PAS JAMAIS APPELE NTSOUROU AUPRES DE LUI, C’EST NTSOUROU QUI EST PARTI NEGOCIE L’AMITIE AVEC CET HOMME INFREQUENTABLE QU’IL PAYE POUR SON IGNORANCE NOTOIRE DES REPERES FONDAMENTAUX DE L’HISTOIRE DE NOTRE PAYS. SA FEMME EST EN PRISON, SA FILLE DE 16ANS AUSSI. TES PARENTS SONT TERRES PAR LA TERREUR DU MONSTRE CONGOLAIS. QUI VIENDRA TE DONNER DE LA NOURRITURE? TU SERAS OBLIGE DE MANGER LA NOURRITURE DE MADAME SASSOU, MAIS UNE NOURRITURE BIEN EMPOISONNEE ET TU MOURRIRAS COMME UN CHIEN POUR LE PLUS PARLER A LA JUSTICE FRANçAISE SUR LES AFFAIRES DU BEACH SCELLEES PAR LE SCEAU DU SILENCE. POUR LE RESTE C’EST UN BANAL CE QUE JE DIS ICI, MAIS C’EST L’HISTOIRE DE NOTRE PAYS QU’IL FAUT SAVOIR CHEZ QUI METTRE LES PIEDS ET TISSEZ LES RELATIONS. POUR MA PART MR SASSOU NGUESSO EST UN HOMME PERVERS, EXTREMEMENT DESEQUILIBRE JE PREFERE NE PAS LUI FAIRE CONFIANCE NI ETRE A CES COTES. EN PRINCIPE SA PLACE N’EST PAS LA OU IL VIT. SI LES CONGOLAIS ETAIENT BEAUCOUP PLUS SERIEUX, CE MR SERAIT ENCHAINE ET DEVDRAIT VIVRE SEUL AU CABANEAU.
Sassou dirigeait les operations contre l’attaque de la maison Ntsourou.
Pour ceux qui ne veulent pas voir la vérité, il est reconnaitre que jamais dans le monde, les perquisitions ne se passent pas ainsi et ne se terminent pas par des carnages. L’attaque du domicile du colonel Marcel Ntsourou, le lundi 16 décembre 2013 à Brazzaville par les pouvoirs publics avec des armes lourdes; chars et hélicoptères de combat est une violation fraglante de la loi internationale. Le carnage qui s’est suivie est un crime contre l’huminité. Les évenéments , témoignent réellement que le Congo est digiré par un président fou, criminels et une bande d’officiers, clique aussi. Contrairement à la thèse avancée, il n’ y avait pas de milice ni d’armes lourdes dans le domicile de Ntsourou situé d’aillurs dans le camp militaire. Les personnes tuées sont dans la quasi majorité des pauvres civils désarmés. Le problème de Ntsourou n’est pas nouveau. Sassou Nguesso avait tout à gagner et rien n’ à perdre en le réglant par le dialogue et non par la force déporpotionnée des armes qui a occassionné un nouveau massacre et provoqué une panique géneralisée au sein de la population. S’il faut se referer à l’interdiction faite » aux avocats de rendre visite aux membres de la famille Ntsourou à la maison d’arrêt, à certains journalistes de presse libre, à certains opposons de voyager à l’étranger,le pouvoir de Brazzaville compte renforcer son »caractère inique et cruel du pouvoir » et exploiter honteusement affaire. Il cherche opérer des arrestations arbitraires, enlevements et certes une nouvelle guerre contre les habitants de certaines régions. Le Congo risque de revivre une fois encore la même chose vaicues après l’assassinat du président Marien Ngouabi en 1977, la guerre de Brazzaville en 1997 de 1999 à 2003 dans les régions Pool, Bouenza, Lekoumou, Niari en passant par le problème du Beach, tous profoqués par Sassou Nguesso et ses hommes de main. En tout cela, le peuple congolais et la communauté internationale doivent ils encore laisser le nommé dictateur assouvir sa soif de tuer, terroriser, menacer la paix réelle pour garder son pouvoir sanglant?
Monsieur Djess dia Moungouansi, merci pour votre article qui touche d’ailleurs la perfection. C’est bien dit. « L’incident (imaginaire ) créé, il ne restait plus qu’à envoyer les fauves pour justifier une opération de police qui aurait mal tournée ». En effet, un auditeur interrogé par Juan Gomez dans son emission matinale sur RFI rapporte que le dimanche 15 décembre 2013 au matin les militaires étaient déjà placés sur la route du nord pour empecher le soulevement des paysans batéké des villages situant sur la nationale 2 souligne t-il. Pourtant officiellement on nous parle d’une patrouille qui aurait essuyé dans l’après midi du même dimanche vers 16H des coups de tirs d’un groupes de voyous aux Plateaux des 15ans et qui était à bord d’un vehicule qui se retrouverait quelque temps après chez marcel ntsourou. Quel est ce groupe de policiers chez nous au Congo qui pouvait bien faire la patrouille sans armes et qui pouvait attendre qu’un mandat leur soit délivré un dimanche soir par Mr le procureur pour commencer très tôt le matin vers 10H les perquisitions chez mr tsourou? Connaissant que chez nous les policiers ne sont pas éduqués,( on le voit avec les etudiants comment ils réagissent avec les armes) je n’imagine pas qu’ après un tel incident contre des voyous armées, les policiers devaient attendre un quelconque mandat dans cet Etat voyou sans réagir ni poursuivre les assaillants qui étaient bien facile à maitriser avant qu’ils n’arrivent chez tsourou au centre ville. Entre plateaux de 15 ans et le centre ville il y a bien des ambouteillages! D’autre part depuis le jour de cette nouvelle tragédie, nous n’avons pas encore vu les armes dont tsourou avait distribuées à ses soit disant 100 miliciens. Des corps sans armes sur eux, ni d’autres objets militaires et pour la plupart avec une balle dans la tête ou au coeur nous l’avons, témoigne qu’il s’agit des actes authentiquement criminels. Des femmes de menages de Tsourou sont décédées dans la foulé avec des balle dans la tête aussi. La communication etant importante dans ce genre de mission, on devait déjà nous faire montrer les armes en question dont parlait le porte parole de la police le colonel Tsoumou Mounkala comme ils l’ont fait en montrant marcel tsourou mennoté, déchaussé, déshabillé, ou compter les ridicules 210000Fcfa soit environ 320euros. Rien de tel! Alors Mr Djess votre analyse est si pertinente et nos officiers devraient faire attention dans leur relation avec le pouvoir de Brazzaville. Le peuple est souverain et éternel mais sassou est mortel comme eux et nous. Qu’ils voient chez Tsourou, biens matériels, voitures, ordinateurs etc sont balancés dehors. Ce qui compte ce n’est pas des biens mais c’est la defense de la vie des citoyens. Quelle jouissance aujourd’hui tsourou aura alors qu’il est jété en prison. Un officier a dit même à Sassou que » Ntsourou est comme un cabris attaché pour la fête de bonne année 2014. » Il n’en sortira pas de là. Son épouse écrouée abusivement ainsi que sa fille de 16ans, qui lui apportera le repas en toute sécurité? Il mangera sans doute n’importe quoi. Peut être aussi la chair humaine de ces fameux miliciens que l’on refuse aux parents l’accès à la morgue pour une éventuelle reconnaissance et l’inhumation. Il mangera sans doute dans l’assiette roumaine pour mourrir et maintenir à jamais le pacte du silence qu’il signa avec Sassou lors des massacre du beach. Voilà une belle leçon pour l’ancien administrateur civil et militaire de Pointe Noire.
Le Sifflet des « Petits matins » du CMP Yhombi/Sassou, un AVC bientôt ! Alors là, ça va siffler !
Les vrais Congolais civils et militaires doivent debarrasser le Congo de Mr Sassou,son clan et ses amis.Je lance encore un appel au Jerry Rawlings Congolais de virer Mr Sassou le plus vite possible.Virez ce vaurien,virez cet individu qui ne vaut meme pas un clou.
Drôle d’intello, véritable savant de bistrots qui ne savent distinguer le « sujet de l’objet ».
Dans un contexte où l’acharnement du pouvoir envers Ntsourou a été démontré, vouloir se focaliser sur son parcours au coté de Ntsourou, sas lui reconnaître le droit de se défendre face à la manipulation relève le l’apologie d’un monde de la jungle et du sauve qui peut.
Pour moi qui suis du Pool, ayant été victime des miliciens de Ntoumi, s’il faisait l’objet d’un même acharnement, je le défendrai dans un premier temps, en souhaitant l’avènement d’une justice impartiale au cours de laquelle il pourrait répondre des crimes dont ils seraient présumés coupables.
Par conséquent, vouloir se présenter comme défenseur de la démocratie, citer Mandela, tout en occultant les droits fondamentaux de tous individus, quelque soit sa situation, c’est du domaine de la politique politicienne, pas d’un travail d’intellectuel, raisonnant avec un recul par rapport aux événements.
Comme quoi, savoir aligner des mots n’est pas forcément synonyme de capacité de pertinence.
Ce qu’il faut en Afrique, c’est des hommes à la dimension de Mandela, capable de nuance, ou de D. Toutou, qui nous dit que le fait de ne pas dénoncer l’injustice nous range de facto du coté de l’oppresseur.
Ne vendez pas trop vite la peau de tsourou parce qu’il est en prison. La maison d’arrêt est son lieu de prédilection pour mener toutes ses subversion contre sassou, à partir de son puissant réseau dans l’armée et les services de renseignements. le conflit ouvert entre DSN et son parent le général NGUOLONDELE n’est pas étranger aux intrigues de tsourou.Les revers de cette affaire nous montrent que tsourou est loin d’être médiocre. Ce monsieur a trouvé le moyen de faire disparaitre toutes les armes à son domicile en plein déluge de feux. La vidéo et les photos réalisés par l’armée congolaise et la MNT ( Maurice NGUESSO Télévision) sont sans appels. Sassou a massacré des civils désarmés. Tsourou a bien pris soin de faire venir deux représentants du PNUD constaté cet état de fait, avant sa reddition. Vous comprenez maintenant l’embarras du pouvoir, deux semaines après une arrestation de flagrant délit de détention illégale d’armes de guerre, le procureur est incapable d’inculpé tsourou pour ce chef d’accusation, car la perquisition n’a donné lieu à aucun objet compromettant. la réplique militaire ayant été donnée par la garde officielle affectée par l’Etat major. Propos confirmés sur PV par le Général OKOI, voisin mitoyen de Tsourou. Ne soyez pas surpris que cette affaire dégénère très prochainement, avec l’arrestation programmée de l’avocat de tsourou, Maître Malonga. SASSOU va tenir combien de temps en privant monsieur Tsourou d’avocat. Or il est obligé de le faire pour maintenir au secret tout ce qui ont assisté au carnage des civils y compris Madame et sa nièce. vous souciez pas pour la sécurité de tsourou, Dès lors qu’il pu quitter la DGST en vie rien ne peut plus lui arriver à la maison d’arrêt. Avez vous déjà vu un prisonnier déféré à la maison d’arrêt avant d’être mis en examen? l’armée a atteint un niveau de division que vous ne pouvez imaginer. Wait and see, Les prochains jours nous édifieront.
A TOI CHER PETIT FRERE MOUNKALA TSOUMOU.
EN TANT QUE TON AINE, JE TE DEMANDE D ETRE EN DEHORS DES BOCHIS>
DEMAIN TU SUBIRAS LA MEME CHOSE QUE TES GRANDS FRERES. DEMISSIONNES POUR QUE DENGUE TROUVE UN BOCHI QU’IL NOMMERA A TA PLACE,
DENGUE N’EST PLUS QU’UN MORT VIVANT
SAIS TU CE QUE TES GRANDS FRERES ONT SUBIS AVEC LES BOCHIS?
EN COMMEMCANT PAR
FORENT TSIBA, BORRO, NGANGOUO MICHEL, CLEMENT MIERE A SAH, CAPITAINE AKOUALA, GAL NGOLONDELE, COLONEL NKOU, TON AMI GREBERT, MARCEL TSOUROU ETC…………..
N’OUBLI POINT D’OU TU VIENS ET ILS NE FERRONS PAS DE TOI GENERAL QUAND BIEN MEME QUE TU ES MIEUX QUE CE JEAN FRANCOIS DENGUE
EN TOUT CAS J’AI DIT ET TU ME RECONNAITRAS<
JE TIENS A TOI
KIBA KI OULLA
l’affaire Marcel Ntsourou divise la hierarchie militaire. Laissons passer les fêtes, 2014 nous fera beaucoup de surprise.