Au firmament de ses fétiches, le dictateur Sassou-Nguesso pense être omnipotent. Il se trompe en pensant marquer un coup d’arrêt à l’histoire, au moment où le peuple ukrainien a envoyé au tapis son homologue dictateur, Ianoukovitch.
Sassou-Nguesso qui n’a aucune culture générale aurait pu savoir « qu’en physique comme en mathématiques, l’exception confirme la règle ». Toujours.
C’est la même chose en Histoire. Tous les dictateurs sont morts de mort violente quels que soient l’époque où ils ont vécu et le pays qu’ils ont tenu d’une main de fer, en dépit des fétiches.
Malgré ses milliards volés aux congolais et ses comptes en banques remplis à ras bord, ses milices et ses hommes de main, Sassou-Nguesso, comme tout dictateur, terminera son règne comme un vulgaire voleur de chevaux qu’il peine à élever à Oyo. (Qu’il peine à monter à Oyo)
Sassou-Nguesso surfe sur le désordre, l’humiliation, le désespoir du peuple congolais. Avant de basculer dans les assassinats politiques, la mégalomanie et surtout l’obsession de sa survie. Jusqu’au jour où… la colère populaire le mettra hors d’état de nuire.
Les dictateurs, c’est bien connu, ne tolèrent pas la liberté de pensée et d’expression, qui est fondamentale à l’évolution des individus.
Sous la dictature de Sassou-Nguesso, les congolais, au lieu de progresser et s’épanouir dans un pays valorisant, tourné vers l’avenir et le progrès, sombrent sous l’effet de la peur et de la menace dans une condition de dépendance vis-à-vis d’un dictateur-voyou, selon Jean-François Probst.
Comme ses prédécesseurs dictateurs, Sassou-Nguesso finira mal. Exhibé devant la foule ou les caméras en pleine déchéance, comme ce fut le cas pour Saddam Hussein, le despote irakien pendu en 2006. Ou pourchassé en exil comme l’Ougandais Idi Amin Dada, réfugié en Libye puis en Arabie Saoudite, où il mourut en 2003. Ou mort et enterré comme un personnage anonyme dans un cimetière marocain comme Mobutu.
Sassou-Nguesso sortira par la petite porte, sa déchéance s’exposera aux yeux de tous. Il a installé la peur et inoculé dans les esprits sa « toute puissance » dans les médias aux ordres. Le dictateur ressemble à une machine dévoreuse de dignité humaine.
L’histoire, selon le Parisien du 14 avril 2011, « montre peu de clémence à l’égard de ces tyrans lorsqu’ils sont rattrapés par leurs exactions et jugés par leur peuple. Sans doute le prix à payer pour ces despotes prêts à tout pour exercer, au mépris des lois, un pouvoir absolu. Quitte à faire régner la terreur et à violenter arbitrairement leurs compatriotes quand ils ne les suppriment pas, pour peu qu’ils se sentent menacés. »
Peuple congolais, en secret, le dictateur Sassou-Nguesso tremble comme une feuille morte. Il devient paranoïaque, obsédé par sa survie ainsi que celle de sa famille, certain que les congolais veulent sa peau. Sassou-Nguesso est « conscient » du désamour du peuple congolais. Son égo surdimensionné ne supporte pas l’impopularité et il en souffre.
Sassou-Nguesso devrait se remettre en question. Quitter le pouvoir, partir, même en exil. Il ne le peut pas, il est allé trop loin, il y a eu trop de massacres, trop de sang, trop d’intrigues et d’humiliations. Le point de non-retour est atteint. Un dictateur est dit-on soit au pouvoir, soit mort.
L’absence d’une opposition intellectuelle et politique au Congo conforte la dictature militaire de Sassou-Nguesso qui écrase le peuple. D’où l’incapacité des Congolais à se rebeller massivement contre cette dictature pour se donner un Etat de droit, dans la mesure où le pays est riche en ressources matérielles et humaines.
La dictature criminelle de Sassou-Nguesso a détruit le tissu social en disséminant comme le sida le poison du désamour entre Congolais.
Au moment où Sassou-Nguesso et ses courtisans cogitent sur le bon moment pour annoncer la falsification de la Constitution, les Congolais attendent ce moment pour engager le bras de fer. Lui et les siens seront surpris par notre détermination.
Enfin, « je voudrais seulement comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent… », se demandait déjà en 1576, Etienne de la Boétie.
Qu’un dictateur fasse passer sa survie avant celle de son peuple, tue, massacre, s’en lave les mains, accuse « l’ennemi », les « agents de l’étranger » et les « terroristes », soit. Mais pourquoi le peuple lui accorde-t-il ce « pouvoir de leur nuire qu’autant qu’il veuille bien l’endurer… »?
Certains préfèrent un « système établi » à un « système nouveau », écrit Béatrice Hibou. L’ordre, la soumission, la corruption, le clientélisme, favorisent des « constellations d’intérêts » qui trouvent dans la domination du dictateur une « douceur insidieuse ».
« Pourquoi supportent-ils? », demandait La Boétie. Peut-être « parce que cela les arrange ».
Olivier Mouebara
Diffusé le 24 février 2014, par www.congo-liberty.org
Bel article – le dénouement est proche, même les chiraquiens qui l’ont réinstallé au pouvoir en 1997 sont tous unanime: Sassou Nguesso est un malade mental, sociopathe et psychopathe et puis et plus encore.
Aucune personnalité de la classe politique du monde respecté n’a plus qu’un rêve que Sassou Nguesso soit mis hors d’état de nuire de l’image de la civilisation.
La DGSE, les services secrets français (service action) n’attendent plus que le jour J, l’ordre de destituer Sassou Nguesso, les carottes sont cuites.
DES CHOSES QU’ON NE DIT PAS AU PUBLIC…
L’entêtement, toujours l’entêtement. On oublie beaucoup de choses sur l’entêtement hélas!! On oublie, par exemple, que ce que l’on nomme « fermeté » chez un roi s’appelle, en réalité, entêtement chez un âne. Regardez l’âne combien il est têtu et combien souvent il devient la risée du monde… Et Victor Hugo de lier l’entêtement à l’intelligence mais en les opposant car pour lui, l’entêtement sans intelligence c’est une sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge… Et puisque, au fond, c’est l’argent qui les rend fous à s’entêter de cette manière, il sied ainsi de savoir que cet argent, quand il devient une fin en soi, avoisine le crime dans son entêtement à échapper aux lois communes. L’idée est d’Edwy Plenel… Et enfin la morale de tout : l’entêtement restera à jamais la force des faibles. Une fermeté fondée sur des principes nobles, sur la vérité et le droit, sur l’ordre et la loi, surtout sur le DEVOIR et la GENEROSITE et ben cette fermeté disais-je, est l’ENTETEMENT des sages, des hommes supérieurs (dans le sens noble du terme), des héros. Et le choc de l’entêtement c’est de porter la main sur (1)
82 morts signent la fin de la dictature Ianoukovitch-combien en faudrait-il pour signer la fin de la dictature Sassou Nguesso ?
Cher frère Okoyo, il y a déjà les 32 morts du 16 decembre au domicile de Ntsourou,plus Eric Souami. Je considère tous ces morts comme des combattants de la démocratie et de la liberté du peuple congolais contre la dictature des mbochis de Sassou. Ces sauvages, incompétents,tribalistes et assassins doivent quitter le pouvoir. Et comme on sait qu’ils aiment le sang, ils tueront encore d’autres congolais.Mais les congolais doivent savoir que les mbochis sont ultra minoritaires, il faut tous s’unir contre eux, ils montrent tous les jours leur tribalisme, leur égoïsme, leur arrogance et leur méchanceté.
@Ngampika,
Cher monsieur, vous croyez sincèrement que les pauvres jeunes tués chez Tsourou, l’ont été pour la cause de la démocratie? Tsourou est parmi les officiers qui ont apporté leur aide à Sassou pour mettre fin à l’expérience démocratie entamée en 1991 lors de la conférence nationale. Et aujourd’hui il veut combattre pour le retour de cette même démocratie qu »il a combattu? Non mais vous prenez les congolais pour des incultes ou quoi!
Vous aurez du mal à prouver le contraire étant donné le caractère personnel du combat de Tsourou. Il ne fait aucun doute que ce dernier s’est rebellé pour protester contre sa non nomination au grade de général.
Kinzounga. Ne reduisez pas Ntsourou à celà.Je ne vois pas son passé.Je vois les actes posés au présent.Tout ce qu’il a dit et écrit, les inteviews donnés avaient tous un caractère national, évoquant des problèmes nationaux. Il a dénoncé et mis à nu comme jamais personne avant lui, le caratère tribal et clanique du pouvoir mbochi, comment ils prennent les décisions du pays, toujours en vase clos en mbochis.ça ce n’est pas un problème de grade de général , mais bien des faits nationaux. Son avantage, il a vécu tout cela de l’intérieur et l’a dénoncé.D’autres l’avaientt fait avant lui et en sont morts aussi Ikoko et DIAWARA avec leur OBUMITRI.Alors je vous le dis les morts de chez Ntsourou sont bien des morts pour la cause du Congo et pas pour le grade de Général de qui que ce soit.
A QUELS QUOTAS DE VICTIMES UN CRIME PEUT-IL ÊTRE QUALIFIÉ DE CRIME CONTRE L’HUMANITÉ?
Il n’existe pas de consensus sur le nombre total de victimes. Mais les estimations varient selon les critères d’appréciation propre à chaque état, continent, culture, société et civilisation.
Il semblerait que c’est en occident européen qu’on soit plus sensible aux crimes contre l’humanité et que l’on réagisse plus fort quand un groupe d’individu est en danger.
Serait-ce en mémoire des crimes de guerre successives, de déportations massives des noirs (traite négrière) et des juifs pendant la seconde guerre mondiale?
Les êtres humains ont en commun certaines caractéristiques essentielles, une nature limitée et des comportements spécifiques. Ce qui les différencie des autres espèces animales.
Platon définit l’être humain comme « un vivant mortel qui possède une âme, qui possède un corps ». Être humain, c’est avoir des droits, garantis par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, c’est à dire des droits fondamentaux de l’individu ou d’un groupe d’individus inspirée par des motifs politiques, philosophiques, tribaux, ethniques ou religieux.
Cette définition est celle qui trouve un écho favorable dans les questions liées au crime contre l’humanité.
LA CPI: POURQUOI L’ONU NE FIXERAIT-ELLE PAS LES QUOTAS DE VICTIMES LIÉS AUX CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ?
La Cour pénale internationale est une juridiction permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l’humanité, de crime d’agression et de crime de guerre. Elle a cependant du mal à convaincre l’opinion internationale de son utilité pour l’humanité.
ET POURQUOI?
La raison est que l’on n’a pas encore définit les quotas de victimes pour diligenter une enquête de la Cour pénale internationale.
Faut-il 1, 10, 20, 100, 200, 300, 353, 400, 500, 1000, 1.500, 2.000, 3.000, 4.000, 5.000, 6.000, 7.000, 8.000,9.0000, 10.0000, 150.000, 200.000, 300.000, 400.000, 500.000, 600.000, 700.000, 800.000, 900.000 victimes ou 1.000.000, 10.000000, 100.000.000 de victimes?
Au 21è siècle, pourrons-nous encore entendre raison aux auteurs des crimes contre l’humanité?
@ Ngampika
Je suis de tout coeur avec vos propos. Ce que tu entends et lis contre ce vaillant colonel n’est que le fruit de la haine de certains de nos freres et la manipulation des pro sassou.
Il faut quand meme etre inculte pour penser que le colonel ntsourou ne reclamait que le galon, alors que tout le monde sait qu’il a ete incarce a tort parce que un systeme clanique voulait se debarrasser d’un monsieur qui n’est pas des leurs comme cela fut le cas avec tchysthere tchikaya avec les bombe du cinema vox. Reclamer le grade de general doit etre passible de tout ce acharnement. Engobo qui par sa faute, l’avion du president etait cloue au sol sur le tarmac au bresil ne sait pas vu attribuer le juteux poste de ntsourou alors que sassou avait fait semblant de l’ecarter au protocole.
Que vous le vouliez ou non, le colonel ntsourou est le combattant de la liberte. Tout le congo en parle et toute la communaute internationale le sait. Les jeunes mort chez le colonel sont des heros parce qu’il sont mort en voulant proteger leur chef, donc l’injustice avec les mains nues. Ils ne sont pas mort en rebellion mais dans une parcelle de 500m2 mitoyenne de celle du cemg en plein centre ville.
C’est en effet dur, tres dur pour un etre humain, de se reveiller un matin et constater que celui que l’on avait servi avec abnegation, fidelite et respect, jusqu’a lui preter sa propre vie, jouait le jeu des le depart, le jeu du maitre qui pousse les pions a sa guise et selon ses propres interets et ceux de sa famille, l’unique famille pour laquelle il sacrifierait tout.
La seconde famille est celle des instruments au service du maitre et de sa vraie famille.
Cette seconde famille est constituee de nombreux congolais et meme d’etrangers floues, trahis et bannis aujourdhui, qui se rendent compte qu’ils ont commis la plus grave erreur de leur vie, avoir erige leur ex maitre, en roi absolu. De ceux la sont : Ntsourou, Me Mbemba, Me Massengo Tiasse, Okombi Sallissa, Matthias Ndzon et bien d’autres, connus et inconnus, vivants ou morts, libres ou emprisonnes.
La desillusion est frappante et choquante.
Je pense qu’il faut dabort avoir ete trahi aussi lachement pour comprendre l’attitude jusqu’auboutiste des membres de la seconde famille sinon, personne ne le pourra.
Je suis de ceux qui les comprenne et pense que l’on doit prendre en consideration leur ‘rebellion’ sans effacer leur complicite dans la conception et la consolidation du sassouisme. Aux temps convenables, les responsabilites seront attribuees en fonction de la participation de chacun d’eux a cette oeuvre funeste.
Alors, souhaitons la bienvenue de la seconde famille dans la VRAIE, UNIE et IMPARTIALE famille des congolais du Congo-Brazzaville.
William, j’apprécie ton commentaire car il est clair, net et sans ambigu. Sans te mentir j’étais de ceux qui ont encore a juste titre des reverses vis à vis des Okombi, NTsourou, MBemba et autres anciens bras tueurs de Sassou. Mais après moult réflexions, j’en suis arrivé a me dire: donnons les une chance pour se racheter et se faire pardonner par le peuple. J’espère ne pas me tromper.
Non!!! il ne seront pas pardonné mais plutot jugé par rapport a leur allegeance aupres du sanguinaire..Pour l reste nous les acceptons pour qu il nous debarasse aussi du dictateur…
A Mobola tetu,
Je comprends ta reaction, pourtant, Ils devraient etre pardonnes s’ils se repentent et s’humilient face a leurs victimes; s’ils exposent leurs richesses accumulees sur le dos de celles-ci et s’ils veulent faire amende honorable.
Qui es tu pour ne pas pardonner ton prochain, toi qui peches comme lui et es en vie par la seule grace de ton Createur? As-tu, ne fusses qu’une seule seconde, tente de comprendre leur attitude, de te mettre a leur place?
Rappelle-toi que si tu ne pardonnes pas, tu ne seras pas pardonne non plus car ton existence n’a de valeur que par l’existence de ton prochain.
Le pardon est necessaire a l’unite mais n’exclut pas la reparation du prejudice cause, facteur d’equilibre, d’egalite et de justice entre les deux parties dont le rapport etait a l’avantage de l’un, au detriment de l’autre.
A ce titre, la reparation est aussi necessaire a l’unite.
Cependant, si le pardon et la reparation ne se fondent pas sur l’amour, ils seront motives par l’hypocrisie, la haine et la vengeance.dont les effets sont plus desastreux que ceux, presents, l’apres conference nationale est un exemple patent.
Comme vous le constatez, c’est un cycle, il n’est pas infernal mais divin. Et, seul Moise peut nous aider a sortir du Congo made in Sassou pour le Congo promis.
Le mieux serait d’invoquer son Mandant.
william mn frere, j ai compri l fond d tn message, mais seulement il sagit la d une republique et une republique a des institutions ..l organe dont je fais allusion , il sagit bien de la justice. Ces monsieurs nous les acceptons , je les pardonnes mais seulement il doivent justifier leur crime devant la justice car pour un etat de droit, on ne peut pas fair la paix sans punir l crime..
A Mobola Tetu,
Oui, c’est exactement ca : pardonner a l’auteur du dommage, reparer le dommage par celui qui l’a cause par l’execution d’une decision judiciaire competente, habilitee et appropriee.
Le tout, enrobe de beaucoup d’amour.
Que Dieu nous aide.
Le Congo
A Ngampika et Le congolais,
Êtes-vous certains que Tsourou se serait rebellé contre Sassou s’il était nommé Général? Pourquoi a t-il attendu la fin constitutionnelle du mandat de Sassou pour dénoncer son tribalisme? En obéissant, en exécutant aveuglement aux ordres macabres reçus de Sassou ne le place pas dans la même situation que Sassou? Enfin, la révolution, on la fait en risquant la vie de sa petite famille en s’enfermant dans sa maison située dans un camp militaire? Non s’il vous plait, il nous faut un vrai révolutionnaire pour donner le coup d’envoi de la révolte populaire générale.
A Mobola Tetu
Je suis d’avis avec toi car le Congo est un pays laïque et comme tel, les Sassou, Tsourou et autres doivent être jugés ensuite les croyants iront à l’église les pardonner.
Il s’agira, demain, de réhabiliter l’unité nationale en mettant dans un premier temps au grand jour: « le pourquoi, le par qui, le comment et le ils étaient enterré où », de tous les morts martyrs du Congo et juger, punir les coupables par la suite.
En d’autres termes, après le règne de Sassou, il nous faudra une commission vérité, réconciliation et justice afin de repartir sur les nouvelles bases
A Lissouba,
Le Congo est un Etat laique, non pas un pays laique comme vous le dites; et, les croyants ne sont pas ceux qui vont a l’eglise mais tout etre humain dote d’une ame et d’une intelligence.
Il n’ya qu’une diversite de croyances (paiennes, chretiennes, musulmanes, fetichistes etc…).
De meme, le pardon lui, n’est pas une vertue reservee a des privilegies, il est universel et intrinseque a chacun de nous mais dont l’egoisme empeche l’expression.
Pour preserver l’unite au sein de nos familles nucleaires ou etendues, nous pardonnons, volontairement ou involontairement, a nos enfants, nos femmes et maris, nos collegues, nos ennemis, nos voisins, nos pere et mere, nos cousins, nos nieces et neveux, nos oncles et tantes etc…
Meme Sassou pardonne les fautes de ceux qui honorent et respectent son systeme mais est implacable face a ceux le combatte, mettant en exergue son egoisme, obstacle au pardon.
Si vous, Lissouba, reconnaissez ce qui precede, vous pouvez donc refrener vos ardeurs negatives, individualistes et egoistes au niveau national ou international pour preserver les interets correspondants.
Voulez-vous prendre modele, Mugabe et le Zimbabwe ou Mandela et l’Afrique du sud?
Les niveaux politiques et economiques de ces deux pays devraient inspirer votre reponse.
oui, oui mes tres chers freres..ils n echapperont pas a la justice..cela va servir de leçon aux generations future..faut isoler les dictateures afin qu il comprenent qu il sont sur une mauvaise route , mais travailler avc eux cela les entetes..