Référendum, piège à cons tendu par le dictateur Sassou-Nguesso. Par OLIVIER MOUEBARA

Banderole menaçant les Congolais "Ne toucher pas à Sassou, vous êtes averti"

Banderole menaçant les Congolais à Brazzaville « Ne toucher pas à Sassou, vous êtes averti »

Le référendum est un procédé de démocratie semi-directe par lequel l’ensemble des citoyens d’un territoire donné est appelé à exprimer une position sur une proposition qui leur est soumise, concernant « une mesure qu’une autre autorité a prise ou envisage de prendre » et dont l’issue varie selon le type de référendum considéré.

Le dictateur Sassou-Nguesso qui n’est pas à une contradiction près, oublie avoir jeté à la poubelle la Constitution du 15 mars 1992, approuvée par référendum avec 96,3% de Oui.

Dictateur-obscur, Sassou-Nguesso voit le piège de sa Constitution de 2002 se refermer sur lui-même !

Pourquoi vouloir organiser un référendum à présent, alors qu’il avait foulé aux pieds la volonté populaire après son coup d’Etat sanglant ?

Nul n’est dupe. Le dictateur Sassou-Nguesso manipule l’opinion, et veut tout simplement s’accrocher au pouvoir et accessoirement à ses apparats.

Lors de son coup d’Etat du 5 février 1979, le dictateur de l’Alima le qualifiait de « riposte résolue de l’ensemble des forces de gauche de notre pays contre le courant droitier », visant à « rompre avec « la politique d’irresponsabilité, de démission nationale, d’obscurantisme et d’aplatissement devant l’impérialisme des éléments de la bourgeoisie bureaucratique ».

Les congolais ne doivent absolument pas tombé dans le piège du référendum tendu par le dictateur Sassou-Nguesso.

Il faut rompre avec cette cohorte d’irresponsables, d’incompétents, de voleurs, de fossoyeurs du Congo, et d’obscurs kleptocrates.

Un dictateur n’organise pas un référendum pour être désavoué. Se déplacer pour aller « voter », c’est apporter de l’eau à son moulin, en acceptant de facto l’accentuation de nos malheurs.

Incapable de donner une perspective aux congolais, le dictateur Sassou-Nguesso a fait de la corruption généralisée et de l’achat des consciences la clef de voûte de son programme économique. Ses obligés sillonnent les régions du pays pour intimider la population, en distillant le message inaudible du référendum.

Cet épouvantable dictateur a commencé à préparer en amont sa tricherie.

Le dictateur Sassou-Nguesso a récemment organisé un recensement administratif tronqué et éhonté. Pour la première fois dans l’histoire du Congo, le Nord serait plus peuplé que le Sud. Même feu Georges Embana, jadis griot du dictateur ne saurait faire un « lisapo » autour de cette mascarade.

Pierre Mabiala, qui avait quintuplé sa première année de droit, assène des balivernes en racontant aux ressortissants démunis du Niari que le dictateur Sassou-Nguesso serait l’un des leurs. Moyennant une maigre enveloppe, Pierre Mabiala s’évertue à acheter les consciences des populations dans le but d’assouvir sa nouvelle vocation de râtelier.

Et que dire de Thierry Moungalla, qui, pendant des années, à travers d’articles assassins, n’y allait pas avec le dos de la cuillère pour torpiller le dictateur Sassou-Nguesso. La soupe dictatoriale est bonne. Elle a dilué son pseudo combat pour la démocratie au pays.

La liste des félons est longue (Okiémy, Koumba, Ellot Mampouya, Parfait Kolélas, Alain Akouala, Munari…).

Une fois encore, notre détermination est totale. Soit le dictateur Sassou-Nguesso dégage le plancher en 2016, soit nous le ferons partir comme les autres dictateurs. Sans trousse de toilette comme fut chassé son frère maçonnique Bozizé.

En 1997, avant son putsch, le nègre du dictateur Sassou-Nguesso écrivait ceci dans son ouvrage Le manguier, le fleuve et la souris: «Lorsqu’on parle de démocratie, il faut aller jusqu’au bout du raisonnement, c’est-à-dire admettre que les peuples, avant de se lancer dans cette aventure, ne sont pas aveugles… Sous couvert de démocratie, beaucoup de ceux qui prétendaient la défendre ou la promouvoir, avaient une fâcheuse tendance à mépriser les peuples et à ne les considérer que comme des masses manœuvrables à merci »(pages 73-74).

Si le dictateur Sassou-Nguesso méprise le peuple congolais, il oublie qu’il n’est guère manœuvrable et manipulable.

Les congolais veulent la démocratie et non la dictature.

Les congolais veulent la démocratie et non la démocrature, c’est-à-dire, la falsification de la démocratie.

Les congolais ont en marre et vous demandent de respecter votre Constitution qui vous interdit de vous représenter en 2016. Le rejet des congolais vis-à-vis de votre dictature est palpable.

Du Nord au Sud, aucun congolais ne réclame l’organisation d’un pseudo référendum, dont le résultat est connu d’avance.

Les congolais vous demandent de respecter votre serment, et non d’utiliser des manœuvres dilatoires.

Les congolais vous demandent d’aller vous occuper de votre pâturage dans votre village natal, et non de découvrir que votre propre Constitution serait devenue subitement inadaptée.

Les congolais vous demandent de répondre de vos crimes économiques et politiques.

Où sont les 353 disparus du Beach? Qui a tué Ngouabi et Katali ? Qui a crevé les yeux de Massambat-Débat avant de l’achever ? Pourquoi les sinistrés de la guerre de 1997 ne sont toujours pas indemnisés ? Et ceux du 4 mars 2012 ?… Telles sont les questions auxquelles vous devez répondre.

Quoi que vous fassiez, votre référendum est un coup d’épée dans l’eau de l’Alima. Les congolais vous envoient paître. Nous n’y participerons pas. Comme votre région est devenue la plus peuplée du Congo, votre référendum aura lieu dans votre contrée.

Nous voulons retrouver notre liberté, nous débarrasser de votre gestion clanique et ethnique du Congo. Le pays va mal, et vous êtes l’homme du passé.

Peuple Congolais, téléma ! Peuple congolais, debout !

Le dictateur Sassou-Nguesso tergiverse. Il est moins serein et moins sûr de lui. Accentuons la pression pour le chasser du pouvoir et du Congo. Il est l’incarnation de tous nos maux et un cancer. Il ne rendra pas son tablier (même maçonnique) de son propre gré. Hanté par ses démons, seul un soulèvement populaire le fera partir.

Mettons ensemble nos forces, nos énergies, notre volonté et notre intelligence pour libérer le Congo. Le dictateur Sassou-Nguesso profite de nos divisions pour se maintenir au pouvoir. Unissons-nous pour rejeter en bloc et en détails son projet de référendum qui n’est qu’un alibi pour conserver un pouvoir usurpé.

2016 est l’occasion rêvée de mettre hors d’état de nuire le dictateur Sassou-Nguesso, son clan, sa famille, sa kyrielle de féticheurs et ses courtisans. Nous devons engager un bras de fer pour lui tordre le bras, et nettoyer le pays au kärcher.

Les congolais doivent se débarrasser de la vermine et de la mauvaise graisse.

Après avoir privatisé au profit de sa famille tous les secteurs économiques et politiques du pays, séquestré toutes les richesses du Congo, la société civile doit veiller de ne pas tomber mains et pieds joints dans le piège à cons du référendum tendu par le dictateur-sanguinaire Sassou-Nguesso.

Sassou-Nguesso est l’incarnation du Moi surdimensionné, de la violence, des anti-valeurs, et de l’échec du Congo.

 

Olivier Mouebara

Diffusé le 12 aout 2014, par www.congo-liberty.org

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11 réponses à Référendum, piège à cons tendu par le dictateur Sassou-Nguesso. Par OLIVIER MOUEBARA

  1. LE SAGE dit :

    LES SIGNES DU TEMPS

    Merci,on ne peut rien dire de plus juste ni de plus vrai sur votre analyse.Vous venez de mettre le doigt sur la plaie.Les signes du temps sont en faveur du peuple congolais.Une seule devise,unis entre nous autour des Assises Nationales du Congo pour l’Alternance Démocratique,les faits vaincront les fourbes et les usurpateurs.
    Le temps,ravageur de toutes choses,accompli son oeuvre auprès de Ceaucescu(oh!SASSESCOU).Les faibles unis sont une Force et le Fort seul est un faible.Le retour de el generalissimo à Brazza montre que le pouvoir panique des résultats non obtenus par lui à Washington.Dans son camp,l’Océan d’Antoinette s’irrite,agité par l’orage imprévu de forces vives de la vraie nation.Les faits doux,sans péril,observent du rivage,les efforts douloureux des tremblants matelots sassouistes luttant contre la mort de la dictature sur le gouffre des flots démocrates.
    Oui les signes du temps sont là,le Vrai KOUILOU soutien le NON au REFERENDUM,le NON au recensement administratif spécial,le NON au troisième mandat de SASSESCOU.
    A bientôt.

  2. Mfoa dit :

    LE FAUX DÉBAT OU L’EMFUMAGE.

    La seule question à mon humble avis est la question des institutions et du respect de celles-ci.

    Avons-nous une constitution oui ou non?
    OUI, NOUS EN AVONS UNE!!!

    Que dit-elle?

    Le mandat présidentiel est de 7 ans et renouvelable une seule fois.

    De plus, l’âge minimal pour être candidat à la magistrature suprême est de 40ans révolus et de 70ans au maximum.

    De surcroît le nombre de mandat est non modifiable.

    Partant. Il ne reste plus qu’à celui qui se dit président du Congo de respecter la CONSTITUTION qu’il a juré de respecter.

    TOUT AUTRE ARGUMENT EST UN PARJURE ET UNE SUPERCHERIE.

  3. sos anti-piège à cons avant 2016 ! dit :

    Oui, on est toujours un peu moins con lorsqu’on se sait être entouré d’innombrables cons. Ceci est un cas de conscience.

    SASSOU NGUESSO NE FAIT PAS LE CON AVEC LA VOLONTÉ MANIFESTE DU PEUPLE SOUVERAIN CONGOLAIS A VOULOIR VIVRE L’ALTERNANCE POLITIQUE DANS LE TEMPS.

    Pas de chéquier, ni de carte bancaire et encore moins de relevés de compte – que dalle !!!
    Alors, peut-on gérer efficacement et en temps réel ou décalé, son compte bancaire sans tenir ou prendre en compte les outils d’aide aux transactions financières? – pas si sûr !!!

    Problème: une organisation quel qu’elle soit état, entreprise ou association peut-elle efficacement fonctionner sans prendre en compte les problématiques: traçabilité, fiabilité et cycle de vie des données entrantes et sortantes?

    Un état peut-il planifier et élaborer un management socioéconomique, culturel et sociétal stratégique et opérationnel sur différentes échelles – quand les données biostatistiques de la population sont faussent? Ça ne colle pas !

    Le plan d’action de tout gouvernement reste-il une œuvre humaine et donc perfectible? Cela implique t-il la prise en compte de bien d’autres informations au-delà du simple état civil, carte d’identité et passeport informatisée biométrique, et carte électorale des citoyens?

  4. Mais pourquoi sassou s’entête ? Le discours D ´OBAMA a été claire ! Ce dernier après 35ans de pouvoir , une étude du PNUD vient d’être publié 85% des congolais n’ont pas accès à l’eau potable , même l’eau du robinet on dépit de sa rareté est impropre à la consommation , cela explique la courte expérance de vie ,des congolais (33ans) !

  5. le fils du pays dit :

    A mon cher frère
    Les choses sont claires,le maitre Corbeau d’edou doit descendre du perchoir sans tergiverser.
    Cet idiot est au pouvoir depuis juillet 1968 et il ne fait que détruire le patrimoine commun des Congolais.

  6. Congo-Populaire Oye Oye Soutien dit :

    Le contexte révolutionnaire du Congo-Brazzaville
    en Aout 1963

    Dans trois jours, le 3e anniversaire de l’indépendance de champagne et de vieux Bordeaux débarquent depuis deux jours au Palais présidentiel où tout a été repeint avec minutie. Aux abords du quartier gouvernemental le plateau on vient déjà renouveler le décor rituel. Du blanc au pied des bois de fer, des guirlandes vertes, jaunes et rouges au-dessus des voies principales, et du gaz-oil sur le sable des trottoirs non bitumés. Place de l’Hôtel de ville récemment inauguré, Impalas et Beaulieux, les belles bagnoles de l’époque vont et viennent assurant trois fois sur cinq le transport de grandes dames préoccupées par les achats de la fête imminente. Dans Poto-Poto et Bacongo, l’entrepreneur Batignolles s’active pour l’achèvement des derniers tronçons de l’Avenue de Paris et de l’Avenue Matsoua. Un véhicule spécial arrose et nettoie ces routes stratégiques où la population subit le défilé continuel des députés, des ministres et de leurs épouses entre 17 heures et 19 heures. L’air de fête prédomine dans les grands quartiers où la foule assiste avec dédains aux extravagances de ses élus. Une épouse dans les quatre coins de la ville, voitures et chauffeur à chacune d’elle, petit commerce et maison équipée au style de l’époque : fauteuils en simili cuir vert et jaune, plus un divan en kambala massif œuvré chez les grands menuisiers de l’époque.

    C’est un peu cela Brazzaville, vue du côté de la classe qui a le beau rôle : la bourgeoisie politico-bureaucratique installée de fraiche date dans son poste néocolonial.

    Derrière les villas et les avenues luxuriantes les masses populaires grognent. Des tracts, des rumeurs et des menaces ouvertes fusent çà et là. Dans les services» la journée de travail commence par l’échange des dernières extravagances commises par tel ministre ou tel élu.

    Le langage du moment est fait de colère. Dans les marchés les prix grimpent, dans la rue les sans-emplois interpellent les voitures de luxe dans l’espoir de trouver du travail. Même chez les fonctionnaires nantis de tous les avantages imaginables les sujets de mécontentement s’accumulent. Affectation arbitraires, parfois pour refus de céder son épouse ou une parente à un de ces messieurs au pouvoir, retraits injustifiés d’importantes sommes du trésor public, bilan déficitaire de l’économie nationale, dette extérieures inconséquentes.

    Les étudiants rentrés de France pour les vacances, tiennent des causeries incendiaires contre les despotes au pouvoir reconnus ridicules même par la presse internationale. La chronique sur le « petit abbé » de Brazzaville se lit avec le sourire tout aussi bien dans le « Canard Enchainé » que dans « le Monde ou le Figaro ».

    Un jour il offre un éléphanteau à Kennedy, un autre il tient un meeting sur les maladies vénériennes ; il commande la même voiture que le président des Etats-Unis ou alors fait coudre des soutanes mauves chez Christian Dior à Paris.

    Personnes ne peut plus rester indifférent à cet étiquette que le congolais se voit obliger d’endosser.

    Il faut que ça change !

    Lu pour vous in MWETI Historique Edition Spéciale du Comité Central du PCT N°2 Aout 1978

  7. Sassou Nguesso est un criminel encore en liberté dit :

    LE POISSON POURRIT TOUJOURS PAR LA TÊTE – OUI QUAND LA TÊTE EST POURRIT ELLE EST POURRIT.
    Sassou Nguesso n’a aucune légitimité à parler au nom du peuple qu’il a pourtant souillé pendant 32 ans de sa folie machiavélique et criminogène.

    Denis Sassou Nguesso est-il un terroriste? Oui, c’est à peu près cela.

    Un terroriste est un individu qui manifeste un comportement criminel de revendication de type idéologique, politique, identitaire, religieux et dogmatique. Il est caractérisé par une tendance générale à l’indifférence vis-à-vis du droit d’autrui.

    Denis Sassou Nguesso est comme un terroriste, avec lequel les négociations sont du temps perdu.

    C’est pour cela qu’il sera chassé du pouvoir par la violence – puisque toute proposition de partage du pouvoir ou de démocratie est réfutée.

    Pourquoi est t-il nécessaire ou plus qu’obligatoire de mettre Sassou Nguesso hors d’état de nuire au peuple souverain?

    Parce que dans 97 % de cas, Denis Sassou Nguesso apporte le chaos au peuple souverain congolais.

    Tout ceux qui travaillent ou soutiennent le tyran Denis Sassou Nguesso ont besoin de le protéger pour aussi éviter le chaos.

    Et pour combien de temps encore? Oui, l’étau se ressert contre ce criminel en liberté, il s’appelle Sassou Nguesso Denis l’alternance politique.

  8. Nassimina Merii dit :

    Quelle difference entre le Senegal de Wade et le Congo de Sassou qui veut imiter le premier? Au Senegal quand Wade voulut briguer un troisième mandate, son pays avait une liste électorale fiable et qui faisait unanimité entre les protagonists politiques. Résultat: il recut un coup de pied aux fesses des électeurs.

    Au Congo, la jurisprudence du cas Wade ne peut avoir cours dès lors que la liste du corps electoral est faussé en avance, et ce en faveur des pctainistes. Aussi, à quoi bon participer à un tel referendum dont l’issue est connue en avance?

    Les congolais doivent faire comme les Nigériens en 2009 qui avaient boycotté le referendum de leur ancient president Tandja qui voulut d’un troisième mandat au motif « d’achever les chantiers qu’il avait commences».

    « achever les chantiers en cours» n’est-ce pas ce que l’on entend chez les pctainistes aujourd’hui? Eh bien, il faut appliquer la jurisprudence des Nigériens contre Tandja au projet de Sassou qui veut d’un troisième mandat en violation de la constitution.

    Un seul mot: Boycott. Oui, s »il insiste pour passer en force, les congolais doivent boycotter cette folie ainsi que toutes les elections que les pctainistes vont organiser d’ici là tant et aussi longtemps que la question du corps electoral ne sera pas résolue!

    On se doit de prendre exemple sur les Nigériens qui sensibilisèrent l’opinion sous-régionale et internationale. Acculé et isolé, Tandja finit par être mis dehors malgré son referendum.

    Les USA sont déjà au courant. Le cas de la fortune de Sany Abacha qui sort après le sommet USA-Afrique n’est pas anodin. C’est un message fort, puissant envoyé à ceux et celles qui ont des oreilles pour écouter.

    Les USA sensibiliés, il reste à porter le message aux capitals de la sous-region de ce que Sassou prepare comme hecatombe pour l’ensemble sous-regional s’il allait de l’avant avec son projet illegal et illégitime de referendum, un sujet qui est hors de ses prerogatives. Ce travail de lobbying doit continuer jusqu’à ce qu’il vienne à la table de négociation pour signer les termes de son depart par la grande porte. Une fois parti, nous rebâtiront du nord au sud, d’est en ouest le Congo qu’il a abîmé et soigneront les blessures qu’il a infligé au people martyrize.

    Note: Mabiala
    Ce type a eu son CEPE à l’âge de 15 ans et son BEMG à 21 ans. Le bac à 27 ans. Quel cancre! Je comprends pourquoi il defend celui qui lui a donné le fromage. En 1991, il était toujours étudiant alors que ses condisciples de l’école primaire de Makabana finissaient leurs 3èmes cycles.

  9. Madouma Lissafi, Aux anciens cocoyes, il y a deux semaines déjà, je soulignais votre élan quasi négatif de vous enrôler dans le chemin sans avenir suggéré ces derniers temps par le sinistre mabiala pierre. Je vous redis mon entière admiration à votre égard durant la guerre civile de 1997/2002. Votre courage a permis de sauver l’identité du nibolek et donc du Congo Brazzaville. Si vous n’étiez pas engagés à défendre les congolais originels de ces trois régions, sassou dénis et ses cohortes des maffieux sataniques maçonniques auraient réussi le cout parfait.

    Celui de massacrer totalement toutes les ethnies du nibolek. Une grande partie de l’histoire du pays serait à jamais effacée pour toujours. C’est pourquoi, vous devez comprendre que votre vie ne vaut pas 10000cfa ou 100000cfa que vous donne le criminel mabiala pierre et koumba Justin! Franchement, regardez ce qu’ont été vos SACRIFICES DE SAUVER LA VIE DE TOUS LES NIBOLEKS que sassou VOULAIT EXTERMINER en moins de 5 ans.

    Une fois de plus je vous pose la question suivante: quel est votre ennemi dans le reste du pays? La réponse est claire et limpide comme de l’eau de nos sources: c’est sassou dénis, c’est mabiala pierre, c’est la pute mounari, ce sont toutes les femmes putes du pct, ce sont kiki et coco, bref tous les criminels qui ont commis le génocide contre les sudistes(400000 morts entre 97/2001), les 353 disparus du Beach, les 20000 morts des explosions d’armes miliciennes le 04/03/12, c’est okombi salissa avec sa milice 400…

    Sachez qu’en apportant de l’aide à sassou pour le maintenir au pouvoir après 2016, vous prenez le droit chemin d’une mort certaine! Tous les ingrédients sont en place pour vous massacrer! Comment? la réponse indique que vous vivez actuellement avec plus de 800000 arabes au Congo. Dont le but de leur arrivée massive dans notre pays est d’opérer un autre terrible génocide contre les congolais du sud. Vous n’allez pas , absolument pas vous échapper à ce grand piège mortel si vous vous entêtez de donner votre sans dans les jours à venir pour sauver le pouvoir criminel de sassou dénis et des mbochis d’Oyo. Même mabiala pierre et koumba justin vont mourir après avoir contribué à sauver le pouvoir satanique de sassou.

    Il est ENCORE GRAND TEMPS QUE VOUS PUISSIEZ DIRE ABSOLUMENT NON , NON, NON ET NON A sassou dénis dans ce qu’il vous propose actuellement c’est à dire de tirer contre vos propres frères qui vont descendre dans les rues de B/ville, Dolisie, Pointe/noire et tout le reste du pays afin de barrer la route à l’immigré sassou d’origine ivoirienne.

    Comment soutenir ou payer de votre sang pour sassou dénis qui a massacré vos sœurs, mères, frères, pères , cousins, oncles ou celui qui vous refuse le travail depuis 32 ans, alors que le Congo gagne par mois depuis dix ans plus de 500 milliards de fca en recettes pétrolières?

    Votre vie aura un sens quand vous allez et devez rejoindre les autres congolais dans leur majorité pour lutter contre sassou dénis dans les jours à venir.

    Retenez ceci: le Président usa , Mr Obama a dit récemment aux dictateurs africains à Washington, que ceux-ci doivent partir et ne doivent pas changer les constitutions. sassou doit partir, dès lors, mes chers compatriotes, anciens cocoyes, à 35 ou 45 ans d’âge pour certains d’entre vous, pensez à l’avenir de vos enfants et petits enfants. Cet avenir n’ est pas du côté des criminels du chemin de non avenir plutôt il est du côté du peuple congolais qui va chasser sassou du pouvoir dans les jours à venir. NE VOUS TROPMPEZ PAS DE BUT POUR L’AVENIR DE NOTRE DEMOCRATIE, NOTRE PAYS.

  10. Madouma Lissafi, Parlons de la TRES FAMEUSE PARENTE ENTRE LE CLAN DE Pascal Lissouba et le piteux immigré sassou dénis,

    En dépit d’une adoption quasi imposée de la civilisation occidentale par les peuples colonisés,les congolais sont moralement et physiquement structurés en groupes claniques très clairs, fermes et durs. Dans cette prescription philosophique de notre Moi, il en découle une organisation lignagère qui ne laisse aucune place à une immixtion grossière ou non d’un groupe à un autre; sauf quand cette organisation relève d’un croisé multidimensionnel des rapports intra régionaux entre deux ou trois tribus, qui partagent un même socle foncier unique: ethnies, rites matrimoniaux, communauté linguistique éprouvée ou autres valeurs culturelles assumées collectivement.

    Mais, pour sassou dénis, son immixtion parmi les sous-groupes kongos vivant depuis des millénaires dans le chaillu, relève d’un casse-tête dont les historiens ne peuvent absolument voire impossible d’apporter une explication scientifique plausible. Pourquoi?

    1-Pascal Lissouba est fils unique de mâ Bouanga. Il est d’ethnie nzébie, né à Tsinguidi du clan makanda. Ce clan a des ramifications lignagères aussi bien chez les tsangui, pounous que kotas. Donc un croisé communautaire qui n’abrite aucunement la présence d’un membre d’ethnie abé, d’origine ivoirienne dont est issu sassou dénis. venu dans le ventre de sa mère déportée en Afrique centrale par la coloniale française,sassou dénis ne possède aucune carte d’identité lignagère avec les makanda. les natifs originels du Chaillu auxquels j’appartiens, ont appris estomaqués que le clan makanda s’étendait aussi en Côte-d’Ivoire. C’est une information que les résidents de Mossendjo, ma terre natale, sont surpris d’apprendre maintenant! Parce que le clan makanda est un groupe tribal bien connu dans le chaillu et dans les plaines du Niari après makabana, Pourquoi les makanda ont fait mystère de cette information capitale aux autres groupes claniques comme Tsoundi, Boumouélé, Ngoni, Migombé, Didjaba, Mizoumba, Ngounda, Mbadietc.En dépit de cette myriade de relations lignagères, tous les membres ont une connaissance philosophique de chacun des clans. Tous les grands chefs issus de ces clans entretiennent des rapports politiques, matrimoniaux et autres fonciers au plan coutumier et traditionnel qui ne laissent place à des errements moraux et physiques.

    2-Dans cet ensemble fait de tribus, clans et familles, les membres sont liés les uns les autres par des dialectes dont l’organisation linguistique constitue un vrai pont insécable dans les rapports cordiaux qu’ils entretiennent entre eux. C’est ainsi que pounous, tsanguis, nzébis ou tékés issus du clan makanda n’ont pas besoin d’interprètes pour s’écouter, s’entendre, partager les joies et les peines ou se comprendre dans le quotidien des problèmes tenus de tous les jours. Or, à cet effet, sassou l’abé ne peut se targuer d’être un membre des makanda. D’ailleurs, comment pourrait-il l’être dans la mesure où le criminel d’Oyo ne parle que mbochi, son dialecte d’adoption? Nous souhaitons que quelques uns des membres du clan makanda nous édifient sur cet oubli inexpliqué.

    3-Dans la vie quotidienne, l’ensemble des membres de tous ces clans précités continue de souffrir de la manière dont l’unique fils de mâ Bouanga, en l’occurrence Pascal Lissouba, fut traité par sassou dénis , devenu brusquement un parenté des makanda aujourd’hui! Pour ceux des congolais comme moi qui ont vécu à Dolisie le long de la rue Pointe/noire, apprendre de telles inepties, donne de la nausée, l’envie de vomir, une lourde et sombre colère, des cris qui risquent de virer à une crise cardiaque, lorsqu’en 1977, encore adolescent, j’assistais aux côtés de quelques Dolisiens, parents et autres congolais, ce soir du mois de mars 1977, de voir mâ Bouanga entourée de toutes les vieilles du quartier tsangui, pleurer son fils unique que sassou avait failli exécuter à tout moment!!! C’est une scène abominable, ce soir là, où toutes nos mamans s’étaient regroupées autour d’un grand feu (moubika en langues pounou, tsangui, téké, etc), seul symbole ésotérique pour continuer de tenir vivant Pascal Lissouba. Alors, là, parler d’une telle parenté relève du pur coq à l’âne. sassou dénis est donc un lourd inconnu tant pour notre pays que des divers clans qui forment un grand ensemble lignager soudé vivant dans le chaillu.

    4-Nous savons aussi que d’énormes sommes d’argent continuent d’être versées sur les bras de certains membres égarés du clan makanda. C’est le cas de petites gens comme moudoudou(apparenté aux makanda), du très vieillard aîné de Pascal Lissouba vivant toujours à tsinguidi et autres ayant vendu leur âme et résidents en France. Mais, cet argent très sale ne peut donner le moindre crédit à cette nouvelle adoption de sassou par les clans du chaillu. Franchement, d’une adoption à une autre, d’abord par les mbochis d’Oyo, ensuite les clans du chaillu, enfin les vilis et Rdciens par sa femme louembé antoinette, toute cette transhumance lignagère indique le débraillé moral, spirituel et psychologique de sassou dénis. N’ayant aucune assise clanique sûre, ce manque d’amour affectif avec nos coutumes et traditions voire avec le socle lignager mbochi, fait de sassou dénis un individu construit sur des bases tribales très précaires. Être attaché comme le sont les membres des divers clans du chaillu à notre terre constitue une vraie identité morale faite de plein d’éthique. Que nous ne pouvons partager avec un malade, fou, le plus grand criminel d’Afrique centrale.

    5-sassou: n’est pas du chaillu qui le veut, n’est pas du clan makanda qui le veut (ta présence à tsinguidi pour rire sur la tombe des parents de Pascal Lissouba) ne fait que renforcer notre détermination de ne pas t’accueillir dans la communauté de la région du Niari. Curieux parenté aux makanda, absent aux funérailles du Vieux Lissouba, de la Vieille mâ Bouanga, criminel à outrance contre les habitants du Niari.

    N’est pas Niarien d’origine ou d’adoption qui le veut. Ta seule présence comme tu l’espère, parmi les originels du Niari risque de tutoyer un peu plus l’histoire du Congo pis, elle risque aussi de tuer toutes nos mouches, tous nos moustiques qui nous permettent de vivre. hé oui, nous vivons grâce à nos mouches et moustiques, à toi de le comprendre maintenant!!!

  11. Mabiala Pierre avait rectifié sa date de naissance de 3 ans vu qu’il accusait un sérieux rétard à l’école. Au lieu du 15 octobre 1959, il se dit né le 15 octobre 1962.

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