Imaginons un scenario tout simple :
Acculé par les congolais qui lui cassent les oreilles nuit et jours à propos des Etats Généraux de la nation,
Observé par la communauté internationale qu’il s’évertue à séduire en multipliant les engagements dans des affaires qui ne le regardent parfois pas,
Animé par la crainte de devoir finir sa vie en prison ou dans une fosse,
Inquiet d’imaginer ses enfants poursuivis et bannis dans tous les coins du Congo,
Risquant le tout pour le tout, Denis Sassou Nguesso exécute une stratégie incontestable :
Première décision :
Pour montrer aux yeux de la terre entière qu’il est un homme de paix et de dialogue, Sassou Nguesso accepte d’organiser une énième rencontre genre « Ewo » ou « Dolisie », où les participants blablatent à foison, en mangeant et en buvant à gogo. Ils en sortent avec des résolutions que Sassou Nguesso va utiliser comme du papier toilette et pour finir, il leur dit :
« je vous ai donné ce que vous vouliez, alors, j’ai moi aussi le droit de m’octroyer ce que je veux »
Deuxième décision :
Pour protéger sa famille, et rester protégé (lui-même) contre la justice avec les affaires des disparus du Beach, les biens mal acquis, les morts du 4 mars, les morts de chez Thourout, etc., Sassou Nguesso modifie sa constitution ; il y insère un nouveau truc spécial que ses conseillers viennent de lui suggérer : la création du poste du Vice-président de la République.
Troisième décision
Pour assurer ses arrières, il place son fils bien aime « Kiki » au poste de Vice-président de la république du Congo, tandis que lui-même reste président pendant 6 mois. Apres ces 6 mois, il se dit enfin fatigué et malade, il décide de démissionner, puis se retranche à Oyo.
Conséquence :
Son fils « Kiki » est, de facto, le nouveau président de la république du Congo
Nous voilà donc avec notre petit Sassou Nguesso comme président pour plus de trente ( 30 ) ans, comme papa
Dans les coulisses, n’ayant pas d’expérience, Kiki ne dirige pas le pays, mais c’est papa Denis Sassou Nguesso, retiré à Oyo, qui tire toutes les ficelles de la république dans l’ombre. Sassou Nguesso continue ainsi de diriger le Congo par l’entremise de son fils.
Ainsi, Sassou Nguesso devient notre président à vie, et la famille Nguesso s’octroie une immunité à vie, avec la bénédiction et la complicité de certains congolais.
Conséquences :
– Beaucoup plus de disparitions du type « disparus du Beach »
– Beaucoup plus d’intimidations, d’arrestations arbitraires, de tortures, et d’assassinats
– Toujours pas d’eau ni d’électricité
– Pas d’écoles ni d’hôpitaux valables
– GENOCIDE OUVERT DU PEUPLE CONGOLAIS EN TOUTE IMPUNITE
Par Marie-Louise ABIA
Pourquoi la lignée Sassou Nguesso est-elle génétiquement problématique à la démocratie au Congo Brazzaville?
CONTRE- ANTHROPOLOGIE !
Quand on est dictateur on est dictateur – parce qu’on ne change pas comme ça ou on ne devient pas démocrate comme ça.
On est dictateur dans le sang, dans les gènes (chromosomes) et donc pour la vie, l’hérédité et la transmission des caractères génétiques lié au chromosome X et ou aux chromosomes autosomiques (recessif ou dominant).
LOCALISATION DES GÈNES IMPLIQUÉS DANS L’ANTHROPOLOGIE OU DANS LA LIGNÉE DICTATORIALE GÉNÉTIQUEMENT PROGRAMMÉE.
Les enfants issus d’individus dictatoriaux (c’est-à-dire avec des personnes apparentées dictateurs) ont un risque accru de présenter certaines aberrations anthropologiques, qui sont des mutations génétiques à caractère dictatorial ou confiscatoire du pouvoir absolu.
C’est l’hérédité des mutations récessives qui permet d’expliquer ce phénomène.
Au sein d’une population large, il existe de nombreux allèles récessifs rares.
Dans la mesure où les unions entre personnes à caractère anthropologique dictatorial se font au hasard et que le nombre de personnes est élevé, le risque que deux personnes saines porteuses d’une même mutation dictatoriale récessive se rencontrent reste faible.
ENTRE 1977 A 2012 AU CONGO BRAZZAVILLE – UN CONGOLAIS SUR 25 000 PORTE LES GÈNES SASSOU NGUESSO – ET POUR CAUSE !
Si l’on prend l’exemple de Denis Sassou Nguesso (coureur de jupon au sein de la société congolaise), un couple congolais a un risque de donner naissance à un enfant atteint est de 0,00004 %, ce qui correspond à la fréquence des gènes Sassou Nguesso (1 personne sur 25000). Cela traduit le fait qu’un congolais sur 25.000 est porteur sain d’une mutation responsable du caractère dictatorial à l’état hétérozygote.
En revanche, au sein d’une même famille, la probabilité de retrouver une mutation à l’état hétérozygote chez des individus appartenant aux différentes générations et branches est augmentée. En effet, ces anomalies se trouvent en quelque sorte « concentrées » dans la famille en raison de leur transmission héréditaire.
Plus le lien de parenté est proche (entre famille, tribu, tribu voisine, cousins et cousines germain(e)s, entre frères et sœurs, avec son oncle ou sa nièce ?), plus ce risque est grand !
LOCALISATION DES GÈNES IMPLIQUÉS DANS L’ANTHROPOLOGIE OU DANS LA LIGNÉE DICTATORIALE GÉNÉTIQUEMENT PROGRAMMÉE DE SASSOU NGUESSO.
Les trois pathologies sont les suivantes !
Une forme d’anosognosie à transmission autosomique récessive (ATAR1), et une forme nouvelle de confiscation(pouvoir politico-économique) congénitale non-progressive à transmission autosomique récessive : une psychopathie de type non identifiée, associée au blanchiment tout azimut de la peau, et un nouveau syndrome antisocial associé à un retard mental, une atrophie optique et des anomalies ultra structurales de la peau, que j’ai dénommé CONGOS.
Le petit « Kiki » qui utilise plus son kiki que sa cervelle, faché avec ses cousins à qui il ravit les femmes (tel père tel fils) ne tient pas le pays et même pas sa propre famille d’où une pagaille interminable.
Sur le plan des finances publiques le playboy qui utilise sa carte de crédit pour acheter des chemises qu’il ne porte qu’une seule fois se rend compte que le petrole n’est pas intarissable et n’arrive plus à payer les fonctionnaires.
Dans cette pagaille les congolais redemandent des Etats generaux. Quel pays?
Je ne pense pas que ce scenario puisse arriver au Congo surtout en ce moment ou tous les nerfs sont à fleur de peau. Aucun Congolais sauf les bouffons de Sassou ne peut l’accepter. Supposons un instant que notre tyran national opte pour cette solution; cela entrainera de facto l’implosion de la République de Congo en deux états distinct: ( une république du Congo nord avec capitale oyo et une république du Congo Sud avec comme capitale Brazzaville ou Pointe-Noire, chose a voir entre nous.) Si les démocrates originaire du nord veulent que le Congo reste un seul État libre et démocratique, pays ou tous les enfants auront les mêmes droits, pays ou les dirigeants seront choisi en fonction de leur compétence et non en fonction de leur lien avec le président, pays ou le président de la république sera élu par le peuple sans truquage,que le dialecte mbochi ou lingala ne soit plus le moyen d’expression dans l’administration, je leur demande de se joindre avec les autres Congolais afin de mettre un terme à la situation que vit notre pays. Les Congolais en ont ra la casquette et ne se laisserons plus avoir. Ils suivent à travers les média mal grès la censure imposé par Sassou les révoltes des autres peuples opprimé dans le monde et tirent des enseignements utiles pour leur futur révolte face au tyran sanguinaire Sassou. En ce qui concerne Kiki et autres rejetons de Sassou, leur cas est secondaire il sera réglé le moment venu et tout le fric planqué à l’étranger sera récupéré car la technologie actuel nous permet beaucoup de choses. Commençons a préparer l’après Sassou qui arrive à grand pas.
mais comment preparer l’apres sassou, car les jeunnes congolais tous son dans des ganda, et dans la sapologie haaa le congo boualla yayi mambu.
COMMENT DÉFINIR LA CONSCIENCE HUMAINE?
L’évolution des êtres animaux a doté en particulier l’homme d’une grande structure encéphalique nouvelle: le cortex ou le néocortex cérébral. C’est là que repose l’âme, le psychisme et la conscience individuelle.
Par elle, enfin, nous est donnée la capacité d’agir sur nous-même pour nous transformer.
Chez l’homme, à la différence des animaux – l’organisation de son psychisme qui, en lui permet d’avoir connaissance de ses états (son vécu), de ses actes (attitudes, comportement, etc) et de leur valeur morale (le bien ou le mal).
De façon similaire, la liberté de conscience désigne les progrès accomplis par l’évolution, l’anthropologie ou l’humain dans une nation, société, culture ou civilisation donnée lorsqu’il fut possible de passer de l’état animal au stade du chainon manquant, à l’humanité et enfin à celui de citoyen, de civil ou de civilisé, quel que soit le le droit positif en vigueur ou les autres facteurs locaux tels que la tribu, l’ethnie, la nationalité, la religion et plus encore !
L’IGNORANCE EST-ELLE LA PIRE DES SOUFFRANCES?
OUI, C’EST A PEU PRES CELA !!!
Mais tout dépend de la durée pendant laquelle le cerveau a été abimé par l’obscurantisme à caractère tribaliste.
Celui-ci règne encore au 21è siècle dans certains clans ou dans certaines familles, traditions stupides, trop stupides pour être utile à la communauté, à la société et aux civilisations nouvelles.
Oui, l’inégalité entre couche sociale, orientation sexuelle, groupe ethnique, tradition, culture et civilisation n’est pas fondée sur la nature – elle réside dans l’éducation ou l’information qu’on donne à l’individu ou plutôt dans celle qu’on lui refuse.
Nous ne sommes pas sûr que tous ceux qui habitent ou fréquentent l’avenue Montaigne à Paris (8ème arrondissement) ont un jour « lu » Montaigne !
Michel Montaigne (1533-1592) » Une tête bien faite vaut plus qu’une tête bien pleine ».
Montaigne (1533-1592) dit » Savoir par cœur n’est pas savoir ». Il pense qu’au lieu d’encombrer la mémoire de l’individu, il faut plutôt éveiller son esprit et sa personnalité.
Selon Rabelais, le moyen-Age se caractérise par quatre sous-valeurs majeures: l’inquisition, la paresse intellectuelle, le mépris des règles d’hygiène et l’absence de démocratie.
Continuer à susciter des prises de positions contradictoires permet aux communautés, aux sociétés, aux démocraties et aux civilisations d’avancer ou d’évoluer.
A SUIVRE !
Cette reflexion est d’autant plus importante qu’elle est peut être envisagée comme un cas de figure pour que Sassou sorte par une petite porte honorable mais c’est une hypothèse qui ne peut être possible au Congo. Plus de trois decennies de pouvoir ont laissé trop de traces, trop de séquelles, ont endeuillé le Congo, ruiné les perspectives économiques et clochardisé la jeunesse. Aujourd’hui, un séjour au Congo permet de constater que le pays vit sous perfusion et que les conditions d’une implosion et exposion sociales sont reunies. Toute la stratégie du pouvoir est d’éviter de mettre le feu à la poudrière car des des « dehors calmes et tolétants » le peuple congolais est capable de tout. le président en sait quelque chose avec les évenements qui ont amené le pouvoir a accepté la conférence nationale au début des années 1990. L’expérience recente des soulèvements populaires en Ukraine ou dans les pays du Maghreb sont des signes que le pouvoir ne saurait prendre la légère. De plus la communauté internationale de plus en plus vigilante contre les présidents à vie, est un paramètre que le régime ne saurait ignorer. Le Congo ne peut pas accepter une succession de père en fils au pouvoir. les Kiki – claudia et autres fils de.. du système finiront bien comme les autres fils des anciens chefs d’Etat de la Lybie, Sénégal, RCA, Tunisie,.. dont en taule. La roue de l’histoire est impossible a arrêté et l’on ne peut pas éternellement martyrisé un peuple car sa voie reste celle de la raison. Quelque soit la durée de la nuit, le soleil apparaitra. La justice du peuple sera implacable ce jour là.
100% des internautes congolais ne sont pas des robots mais des cerveaux quel qu’ils soient – mais demain, ils seront devant la société congolaise libre…
La toile est leur outil d’expression, car au moment je vous écrit cet article, 99% de nos compatriotes de l’intérieur n’ont accès à cette information.
La cybercensure est donc totale au Congo – Brazzaville, si vous le contester demander des infos aux maitres de la toile mondiale dont google, facebook, twitter et tout le monde numérique.
Entre janvier 2013 à mars 2014, les bandes passantes ont registré 12.500 connexions internet par jour dont 90% seraient attribué aux nantis du régime DICTATORIAL DE BRAZZAVILLE…
E-COMMERCE AU CONGO BRAZZAVILLE: IMPOSSIBILITÉ TOTALE !
FRANCAFRIQUE ET LA CYBERSENSURE DANS UN PAYS PRODUCTEUR DE PÉTROLE ET DES MINES SOLIDES -DES DENIERS PUBLICS COLOSSAUX MAIS 90% DE LA POPULATION EST DANS LA MERDE TOTALE…
100% des internautes congolais ne sont pas que des robots mais des vrais cerveaux quel qu’ils soient – mais demain, ils seront aussi devant la société congolaise libre…
La toile est leur unique outil d’expression, car au moment je vous écrit cet article, 99% de nos compatriotes de l’intérieur n’ont accès pas à cette information.
La cybercensure est donc totale au Congo – Brazzaville, si vous le contester demander des infos aux maitres de la toile mondiale dont google, facebook, twitter et tout le monde numérique.
Entre janvier 2013 à mars 2014, les bandes passantes ont registré 12.500 connexions internet par jour dont 90% seraient attribué aux seuls nantis ou dignitaires du régime DICTATORIAL DE BRAZZAVILLE…
CIVILISATION, DÉMOCRATIE & SOCIÉTÉ !
Nous ne sommes pas sûr que tous ceux qui habitent ou fréquentent l’avenue Montaigne à Paris (8ème arrondissement) ont un jour « lu » Montaigne !
Michel Montaigne (1533-1592) » Une tête bien faite vaut plus qu’une tête bien pleine ».
Montaigne (1533-1592) dit » Savoir par cœur n’est pas savoir ». Il pense qu’au lieu d’encombrer la mémoire de l’individu, il faut plutôt éveiller son esprit et sa personnalité.
Selon Rabelais, le moyen-Age se caractérise par quatre sous-valeurs majeures: l’inquisition, la paresse intellectuelle, le mépris des règles d’hygiène et l’absence de démocratie.
A SUIVRE AU CONGO POST DICTATURE SASSOU OU NGUESSO ET OU A LA TELE CONGO NOUVELLE !
Et pendant ce temps là, les chantres du « Bokondzi na bisso » n’arrivent à rien de concret. Les résultats n’existent qu’au travers de la propagande qu’ils servent sur leurs médias pravdadiens.Des immeubles et des routes à la qualité approximatives dont la maintenance est assurée par, non pas des entreprises professionnelles, mais par celles montées de toutes pièces pour l’occasion par le clan infatué avec une incompétence sidérante. Ce qui laisse mal présager de l’état de ces batiments dans cinq ans. Et pendant ce temps pas de courant, d’eau, d’écoles dignes de ce nom et d’infrastructures sanitaire pour la population. Des « Build Africa » des sommets et autres forums Forbes sont organisés à coût de milliards, et pendant ce temps là le Congo est passé du 183 eme rang au 185 eme rang sur 189 pays au « Doing business ». Et, eux disent qu’ils travaillent. Je me demande quelle peut-être la nature de ce travail qui fait, d’années en années, reculer le Congo dans tous les domaines comparer aux autres pays ?
Quoi Kiki au pouvoir, nooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn. Awa ve, jamais au Congo, ce sera la guerre
Le scénario n’est pas impossible. C’est pourquoi d’ailleurs, pour ce faire, il (Sassou père) est en train de mettre en place l’institution « Sages du Congo » (genre Sénat bis) non prévue dans sa Constitution, comme à son habitude…
Merci ma sœur de prédire toutes ces hypothèses! Mais l’idée des états généraux est une pure escroquerie ! C’est une supercherie que veut nous vendre Sassou ! Certains de la diaspora ont reçu de l’argent pour répéter le message de sassou à fin d’installer la monarchie au Congo !!!
Que ça soit Kiki ou un autre, pourquoi la guerre? Il peut arriver que le fils fasse mieux que son père, à l’instar de l’émir du Qatar. J’ai une seule inquiétude car, être le fis de n’est pas un projet à proposer aux Congolais. Ne m’accusez pas d’être un pro-Sassou parce que, en dépit du respect que j’ai pour la personne, je ne cautionne pas sa politique.
Mes chers compatriotes, il vaut mieux nous demander ce que les Congolais attendent de la politique et éviter de tomber dans le dénigrement chaque fois que chacun cherchera à apporter sa contribution à la construction de notre beau pays le Congo. Vous serez d’accord avec moi que le Congolais aimerait que la politique arrange son quotidien, qu’il ait une bonne condition de vie, qu’il mange à sa faim, que ses enfants étudient dans un environnement sain et enseignés par ceux qui ont le savoir, qu’il ait droit de circuler librement dans tout le pays, que la loi de la jungle qui nous gouverne soit abolie, qu’il y ait l’égalité de chance pour tous, que nos hôpitaux ne tuent plus, que le mort soit respecté, qu’il ait la liberté d’exprimer ses opinions sans être inquiété, que la police soit au service de la Constitution et que l’armée ne soit pas l’outil d’asservissement du peuple mais qu’elle soit au service de la survie de notre peuple, qu’il soit libre de choisir son élu, que les finances publiques profitent à tous, que les privilèges cessent,… Or, le défaut d’avoir des politiques et des partis politiques au service du peuple débouche sur un no man’s land où le débat politique est inexistant. Comment saurions-nous les difficultés réelles du pays? Personne ne peut détenir la vérité en politique, c’est pourquoi le débat public est indispensable puisqu’il est le moment royal pour connaître qui est qui ou qui veut quoi, ainsi nourrir l’opinion et non encourager la médiocrité par des coupures de banque et le monologue des pseudo-médias. Qu’est-ce que font nos élus? Aucun d’eux n’a songé organiser une réunion avec la base de leur électorat pour discuter de leurs choix politiques. Ils préfèrent des mises en scène en procédant à des descentes parlementaires pendant lesquelles ils ne disposent même pas de temps pour écouter la base. Ils cherchent à prouver aux concurrents qu’ils sont aimés et ont du poids car, la télé montrera une foule en liesse: le « m-as-tu-vu » politique. Quelle idée défendent-ils? Aucune sauf s’enrichir même au prix du sang des Congolais. Non, personne ne veut cela. Il faut que chacun prenne sa responsabilité pour enfin donner un sens aux mots de la Congolaise. Les pères de notre nation avaient un rêve que nous trahissons par notre comportement ethnocentrique. Nous nous écartons de ce rêve. Notre diversité est une richesse et un facteur de cohésion pour construire le Congo de demain la main dans la main, quelle que soit votre origine ethnique, départementale, votre appartenance politique ou vos croyances. Notre diversité, à l’image des différents organes du corps humain, doit être activer dans un même sens et pour un seul but: faire triompher le Congo. Je sais que cela est possible si nous nous responsabilisons en commençant par haïr tout ce qui peut nous diviser et nous organiser pour proposer notre remède. Sassou ne partira pas si nous ne formons pas un corps uni et solidaire comme celui qu’il utilise pour opprimer les peuples du Congo. Je suis né sous sa présidence sans voir ce qu’il a fait de mieux, il a épuisé toutes ses cartes, et il doit prendre sa retraite s’il veut que le Congo se souvienne de lui. Que Dieu bénisse le Congo!
C’est très bien La Kimel, c’est très bien, ah si les choses pouvaient être aussi simples que tes bons sentiments imprégnés d’amour pour le pays ! Je t’encourage à relire le discours d’investiture de Sassou en 2009 après sa « victoire électorale », c’est comme si c’était toi qui parlait, pleins de bons sentiments. Mais il n’ a rien fait de tout celà comme tu dis. Il a exacerbé le tribalisme en permettant à son ethnie de s’emparer de tous les centres de décisions qui comptent ( Impôts, ports, justice….). Ces hommes de confiance ont eue pour mission de faire la même chose, cas du très emblématique JJ .Bouya, qui en la matière à remporter le pompon haut la main (cf Lettre du continent). Et vous savez ce qu’ils nous répondent quand, nous autres très amicalement, stigmatisons ce fait ? : Et alors, ce sont des congolais non ! La belle affaire !!!…Et la compétence, elle ne compte que pour du beurre dans le choix des hommes au Congo ? L’admnistration n’a pas de pouvoir et partant les ministres non plus, du moins certains d’entre eux. Les décisions, comme l’a fait remarquer Ntsourou sont prises ailleurs, quelque part, dans les cercles claniques, mettant donc de facto, une admnistration parallèle dont les décisions s’imposent aux ministres, qui, pour ne pas perdre leur place, les appliquent sans réchigner pour complaire au clan; sans études, sans cohérence avec comme seule boussole la subjectivité tribale : « Bokondzi na bisso ». Voilà, pour faire court, la réalité désolante de notre pays. Le gouvernement n’est qu’un habillage ethnico-régionale,pour pouvoir dire, il y a des bakongos, des tékés, des bangangoulous et des katangais… ministres. La réalité, c’est que ceux ci n’ont même pas le poids d’un haricot et ne pèsent que les costumes et les voitures de fonction que le clan leur alloue, comme s’il s’agissait d’aumône.
– Les 11 membres du comité de trésorerie, structure informelle et sécrète, que peu de congolais ne connaissent pas et qui se réunit une fois par mois à oyo ou Edou et qui décide de grandes dépenses et décaissements des finaces sont tous mbochi, sauf Ondongo (Sassou, kiki, gokana, edgard nguesso, willy nguesso, bouya, gondo, ondongo, etc…)
Chef d’Etat majour mbochi
– Ministre de la défense Mbochi
– Chef de zone militaire de Gamboma Mbochi
-Chef de Zone militaire de Pointe noire Mbochi
– chef de la zone militaire de ouesso
– ministre de l’intérieur mbochi
– Directeur général de la police mbochi
– Directeur général de la gendarmerie mbochi
– chef de la garde présidentielle mbochi
-directeur de la sécurité présidentielle
– chef de l’armée de terre mbochi
– chef des forces spéciales comus mbochi
– directeur du conseil national de sécurité mbochi
– Trésorier payeur général mbochi
– Directeur de la SNPC mbochi
– Président du conseil d’administration de la SNPC (en fait le vrai chef, Kiki) mbochi
– Ministre des grands travaux mbochi
– tous les directeurs des compagnies pétrolières comme lyns, xiol mbochis
– Directeur général des marchés publics mbochi
-Numéro 2 du port de pointe noire (en fait le vrai numéro 1 depuis, mbochi
– Directeur général des impôts mbochi
– Directeur général des douanes mbochi
– Directeur général de la CCA mbochi
‘- Directeur général du controle financier mbochi
– Directeur bénéral du budget mbochi
– 90% des étudiants envoyés à cuba pour ùetre médecins, mbochi
– Président de la cour constitutionnelle
– Présidents des cours d’appel, mbochi
– Procureur général de la république au parquet de brazza, mbochi
– procure général de ponton, mbochi,
– 80% des présidents des chambres cours d’appel brazza et ponton, mbochis,
– directeur de télé congo mbochi,
– directeur radio congo mbochi
– chef de serfvice présidenitielle tele et radio congo, mbochis
Et vous parlez d’unité nationale, du jamais vu depuis l’abbé Youlou, ce type de tribalisme n’est plus du tribalisme, mais du RACISME ETHNIQUE ET SEPARATISTE. Faut être mbochi POUR AVOIR UNE VRAIE CHANCE DE TRAVAILLER ET UNE PALCE AU SOLEIL. Je n’ai rien contre les mbochis, ce sont des congolais. j’aurais eu la meme reaction si c’était des laris, vilis, tekes, likouba ou autres pounou. Mais on ne peut sombrer dans l’hypocrisie en niant la vérité, c’est comme si vous reFusez à un médecin qui vous a examiné de ne vous dire la pathologie dont vous souffrez afin de soigner .
Condamner mes propos ou m’accuser de traibaluisme relevrait de la mauvaise foi, personne, PERSONNE NE PEUT NIER CE QUE JE CONDAMNE, cEST LA REALITE OBSERVABLE POUR LES VOYANTS ET LES CEUX QUI ONT LE BONS SENS
Anonyme, vous avez dit tout haut ce que beaucoup d’entre nous disent tout bas. Comment accepter une situation pareil? donc au Congo seul les mbochis sont compétents pour occuper tous les postes de direction? les autres sont tous des nuls? Si on regarde un peu plus de très prêt dans l’armée, tous ces officiers supérieurs ou subalternes la grande majorité n a aucune formation correspondante à leur grade, on trouve des amiraux, des généraux d’armée et j’en passe; ils sont tous officier par la seul volonté de Sassou qui lui même n a fait aucune école militaire de renom comme feu Marien NGouabi. Si les mbochis veulent vivre entre eux et ne rien partager avec les autres, c’est très simple il leur suffit de créer une république mbochis avec comme capital oyo et laisser les autres qui veulent vivre et tout partager ensemble dans la république du Congo. De cette façon ils pourront encore s’enrichir avec la richesse du sous sol de leur pays, créer une monarchie s’ils le souhaite avec Sassou comme monarque et kiki comme prince héritier. Nous autres on aura notre république du Congo, nous seront seul responsable de la réussite ou la débandade de notre pays, on ne pourra plus dire que c’est la faute des mbochis. Mais je suis convaincu que le Congo débarrassé de cette chienlit sera un pays ou les gens seront heureux d’y vivre; et je ne suis pas le seul a le penser et j’en connais beaucoup.