PLUIES DE PEPINS CHOCS POUR LA DIRECTION AFRIQUE d’ORANGE AMEA.

orangePLUIES DE PEPINS CHOCS POUR LA DIRECTION AFRIQUE d’ORANGE AMEA.

AUDIENCE CORRECTIONELLE DU 7 MARS 2014 PLUS JUGE D’INSTRUCTION

… OU LES DESSOUS PAS CHICS DE LA DIFFAMATION ET DU HARCELEMENT MORAL DES INNOCENTS POUR MIEUX PROTEGER LA PEDOCRIMINALITE RACISTE EN AFRIQUE ET MASQUER LE MANQUE DE RIGUEUR COMPTABLE DES FILIALES AFRICAINES D’ORANGE ex-FRANCE TELECOM…

 

Depuis l’année 2007, Monsieur Yves GARCIA, cadre depuis 19 ans chez ORANGE (ex-FRANCE TELECOM S.A) est à la pointe de l’application des chartes éthiques du groupe.

Depuis 2007, la dénonciation de dysfonctionnements comptables ainsi que d’un viol pédo criminel sur Otilia, mineure de moins de 15 ans, commis à MALABO en juin 2006 par Didier D., un fonctionnaire français, cadre technique d’une filiale d’ORANGE en Guinée-Equatoriale, également expert en surfacturations au détriment de son employeur, et l’obstination d’un autre cadre, Yves GARCIA, à faire appliquer l’éthique et la justice même loin de l’hexagone, vaudra à ce dernier d’être chassé comme un gibier et d’échapper maintes fois à une disparition programmée :

mise en danger volontaire, menaces, arrestations, simulacre d’exécution, guet-apens pour être extradé de République Centrafricaine afin d’être envoyé en prison en Guinée-Equatoriale ; ce sans que la Direction Internationale AMEA d’ORANGE ne protège Yves GARCIA et ne reconnaisse le viol sur mineure par son collaborateur Didier D, pourtant auteur d’une reconnaissance de paternité de Carmen, l’enfant né du viol ; ce sous la pression du Consulat de France à MALABO et d’Yves GARCIA.

La Direction Internationale AMEA d’ORANGE n’assume toujours pas à ce jour les promesses de sanctions disciplinaires du fonctionnaire Didier D. Cette situation d’impunité et immunité du violeur corrompu et corrupteur intervient au mépris des engagements pourtant pris par écrit par le patron du Département international AMEA, Marc RENNARD.

Actualisation des évènements :

 

1. Le 19 avril 2012, plainte simple n° P 12 117 0216 3, déposée pour viol et entraves à la saisine de la Justice entre les mains du Procureur de Paris, par Maître Norbert TRICAUD, avocat d’Otilia, la jeune équato-guinéenne violée à 13 ans et 9 mois et mère célibataire d’une fille, Carmen, finalement reconnue à contre coeur par le violeur ;

2. Début mai 2012, destruction forcée du disque dur de l’ordinateur portable d’Yves GARCIA, à la demande de sa hiérarchie, avec 300 dossiers supprimés dont ceux relatifs à l’affaire de viol et l’un relatif à des photos d’un enfant de 10 ans repeignant les murs des bureaux de la filiale de FTSA en République Centrafricaine; plainte simple sera déposée le 23 mai 2012 pour « destruction de preuves » et « subornation de témoins » sous le n° P 12 144 498 4 par Maître Norbert TRICAUD au nom d’Yves GARCIA ; cette plainte sera classée sans suite par les services du Procureur de la République de PARIS, François MOLINS.

Certains observateurs ne relèveront que le fait que le Président d’ ORANGE, Stéphane RICHARD, soit l’ancien Directeur de Cabinet de l’ancienne ministre de l’Economie Christine LAGARDE et que le Procureur de PARIS soit l’ancien Directeur de Cabinet des anciens Ministres de la Justice, Michèle ALLIOT-MARIE et Michel MERCIER,n’est peut-être pas étranger au peu de motivation du Parquet à voir prospérer les plaintes contre la société ORANGE ou ses dirigeants ;

3. Le 6 juin 2012, la communication interne de l’international d’ORANGE AMEA,dirigée par Monsieur Marc RENNARD, réagit aux parutions des médias faisant état du viol de la jeune équato-guinéenne de moins de 15 ans, en la requalifiant en simple « relation extraconjugale » (sous – entendue entre majeurs consentants) dont le comité éthique du groupe FT ORANGE aurait déjà été saisi, entretiens à l’appui ;

 

4. Rapatriement consécutif depuis MALABO du délinquant sexuel Didier D. au siège français de FT ORANGE ; le 12 juillet 2012, lettre ouverte d’Yves GARCIA au Président du Groupe FT ORANGE, Stéphane RICHARD : pas de réponse et, le 20 juillet 2012, demande d’Yves GARCIA à être entendu comme témoin des circonstances du viol pédo criminel auprès du Comité d’Ethique FT ORANGE : abonné absent ;

5. Le 27 septembre 2012 après midi, interpellation, par la brigade OCRVP, cellule d’Officiers de Police Judiciaire spécialisée dans la lutte contre la pédo criminalité, du violeur Didier D., dans les locaux d’ORANGE d’ISSY LES MOULINEAUX,emmené par les gendarmes, menottes aux poignets, pour garde à vue ;

6. Le même jour, 27 septembre 2012, destruction volontaire du disque dur de l’ordinateur de Marc RENNARD, Directeur de l’international ; plus tard suivra en quelques jours une véritable épidémie de destruction de disque durs d’une partie du personnel de l’international AMEA, impliqué dans l’affaire de Guinée-Equatoriale ;

7. En janvier et avril 2013, Yves GARCIA fait l’objet de deux sanctions disciplinaires pour « Accusations mensongères, discrédit et atteinte à la réputation de votre hiérarchie » ; ce sans attendre que la justice française ait tranché sur les faits. Le violeur lui n’est toujours pas sanctionné car semblant détenir des preuves trop sensibles pour sa hiérarchie ;

8. Le 16 janvier 2014, après qu’ait été attendu pendant plus de six mois le Réquisitoire Introductif du Parquet (qui avait classé sans suite la plainte finalement admise par la Doyenne des Juges d’Instruction), Yves GARCIA reçoit enfin sa convocation à première audition de la partie civile par Madame Raphaëlle AGENIE-FECAMP, Vice – Président chargé de l’Instruction ;

9. Le vendredi 7 mars 2014 à 13h30 se tiendra devant la 17ème Chambre

Correctionnelle du T.G.I. de PARIS, l’audition de Monsieur Marc RENNARD

prévenu d’avoir fait état, avec ses collaborateurs, à l’hebdomadaire L’EXPRESS (paru le 9 janvier 2013) de faits qu’ils savaient inexacts et diffamants à savoir :

« Pour discréditer l’imprécateur (Yves GARCIA), à l’évidence fragilisé par cette longue épreuve de force, FTO recourt à des procédés peu glorieux. Au siège parisien du groupe, on suggère ainsi qu’il entretint un temps une relation intime avec Violeta, l’aînée d’Otilia, et que cette dernière était âgée non pas de 13 et 9 mois au moment de l’agression, en 2006, mais de près de 18. …. ».

MORALE DE L’HISTOIRE au 18 février 2014:

Un violeur pédo criminel reconnu, Didier D., a droit à une extraordinaire protection de sa hiérarchie chez ORANGE AMEA, dirigée par Marc RENNARD, qui ne veut surtout pas entendre parler du réseau pédo criminel et de corruption auquel Didier D. semble appartenir : il n’encourt à ce jour aucune sanction disciplinaire ni menace de licenciement.

Un cadre honnête, Yves GARCIA, témoin d’une situation laissant fortement présumer l’existence d’un réseau pédo criminel au sein de FT ORANGE ainsi que d’importants dysfonctionnements comptables ne permettant notamment pas d’identifier plus de deux milliards d’euros affectés au lancement du récent produit innovant de paiement par téléphone mobile en Afrique dénommé « Orange Money », lui, est harcelé par sa hiérarchie et objet de deux sanctions disciplinaires injustifiées ainsi que de diffamation de sa vie privée à l’initiative de sa haute hiérarchie et par voie de presse.

Toutefois, le courage ne semblant pas être la vertu première de Monsieur Marc RENNARD, il estime désormais que ce n’est pas lui mais que ce sont ses collaborateurs de son service communication ORANGE AMEA qui ont pris l’initiative d’inventer une relation extra conjugale à Monsieur Yves GARCIA, en la personne de Violeta, la soeur aînée de la jeune mineure équato-guinéenne violée, Otilia, qui, d’après eux, aurait eu presque 18 ans au moment de l’agression sexuelle ; ce que démentent formellement tous les actes d’état civil (y compris l’acte de naissance de Carmen, l’enfant né du viol) visés en Guinée Equatoriale par le Consul de France à MALABO.

Cela ne pourra que contribuer à donner un caractère encore plus pitoyable à l’audition de Monsieur Marc RENNARD, prévenu de diffamation de la vie privé d’un des ses collaborateurs par voie de presse, le 17 mars 2014 à 13h30.

Dans le but de donner un peu plus de dignité à cette audience, seront notamment entendus comme témoins les journalistes, Messieurs Jean-François JULLIARD, du CANARD ENCHAINE, et Vincent HUGEUX, de L’EXPRESS.

Outre une des victimes de la diffamation, Madame Imelda Violeta NAUFFAL, épouse Juan MONDJELI IKAKA (soeur aînée de la jeune Otilia, victime du viol et du racisme,traitée par le D.G d’ORANGE MALABO de « singe devant jeter à la poubelle la chose –le bébé- qu’elle tient dans les bras »), plusieurs personnalités de la société civile équatoguinéenne se déplaceront de MALABO à PARIS pour assister à ce PROCES DE LA HONTE ET DE LA LACHETE.

Des salariés et anciens salariés d’ORANGE, victimes des pratiques de harcèlement moral généralisé du fait de la haute hiérarchie d’ORANGE, dont Marc RENNARD, seront également présents à cette audience. Le Conseil Représentatif des Associations Noires de France (CRAN) enverra également une délégation à ce procès du 7 mars 2014 à 13h30.

 

CONTACTS PRESSE :

Maître Norbert TRICAUD

Téléphone : 06.98.57.34.73

Fax : 01.30.71.13.87

Courriel : norbert.tricaud@wanadooo.fr / norbert.tricaud@gmail.com

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