Message du SACER : il faut durcir la lutte Anti-Sassou !

john binith Dzaba

john binith Dzaba

Chers amis, chers frères et sœurs de lutte, chers combattants pour la Justice et la Liberté,

 

Denis Sassou Nguesso, dictateur sanguinaire du Congo Brazzaville, est actuellement en France.

Nous lui contestons le droit de représenter la République du Congo.

Nous lui contestons le droit de représenter un peuple qu’il méprise, tue et vole depuis plus de 30 ans.

Nous lui contestons le droit de se poser en médiateur dans la crise centrafricaine, crise majeure dont il est l’une des causes principales.

Nous refusons que ce pompier pyromane soit reconnu et reçu dans les régimes démocratiques. 

Ce criminel doit être marginalisé et traité comme ce qu’il représente. Sassou Nguesso, qui se dit « médiateur » pour les pays voisins du Congo, n’est même pas capable d’écouter son peuple. Regardons l’état du médiateur de la République du Congo : il s’agit d’un vieillard malade et inapte. C’est révélateur du peu d’importance accordé à la médiation et à l’écoute par l’Etat-voyou du Congo tenu par la famille Sassou Nguesso.

Bref, nous affirmons notre détermination à faire tomber ce régime illégitime et pourri avec lequel aucun dialogue n’est possible. L’expérience est là pour nous le prouver. Nous n’irons pas en arrière et nous ne céderons pas. Nous n’avons pas le droit de céder.

Nous nous engageons à assainir le Congo de toutes les dérives qui ont pour victimes les femmes et les hommes oubliés, les honnêtes gens et les sans-grades du Congo.

Nous nous engageons à tout faire pour rétablir les libertés publiques et la dignité du peuple congolais.

Nous nous engageons à placer l’être humain au cœur de toutes nos préoccupations. La défense du peuple est l’essence même de notre lutte.

Nous n’existons que pour le peuple. Sans lui, nous ne sommes rien.

Nous nous engageons donc à mettre en œuvre tout ce qui est en notre pouvoir pour faire pression sur ceux qui collaborent avec la dictature ou la soutiennent.

Nous nous engageons à mettre fin à cette dictature.

Denis Sassou Nguesso n’est ni un médiateur, ni un chef d’Etat. Il n’aime pas le peuple. Sa place est derrière les barreaux car c’est un tueur et un voleur.

Courage à tous, le brouillard tend à se dissiper : nous constatons que ce pouvoir illégitime chancèle et vit ses dernières heures.

Comptez sur nous pour accélérer la chute de cette oligarchie familiale, puis mettre fin aux divisions artificielles et aux coups tordus chers à ces fabricants de misère! Il faut durcir la lutte anti-Sassou! Il faut au plus vite faire cesser ce drame! Pour le bien du peuple, exigeons son départ immédiat sans condition!

Pour nos valeurs, pour le peuple et pour notre République unie et indivisible.

Que vive à jamais le Congo!

 

John-Binith Dzaba.

Président-fondateur du SACER (Service d’Action Civique Et de Résistance).

contactsacer@yahoo.fr

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23 réponses à Message du SACER : il faut durcir la lutte Anti-Sassou !

  1. xxx dit :

    Bien dis. Surtout nous ne devons plus commettre cette erreur d’apres la conference nationale en 1991. Cette fois ci pas de lavement de mains. Aucun crime commis par sassou et ses collaborateurs ne doivent rester impunissables. Il a des comptes a rendre au peuple Congolais.

  2. Anonyme dit :

    Comment durcir la lutte en résident à Paris, je pense que le combat doit se dérouler au Congo.
    un véritable combattant ne peut se vanter en costume-cravate.
    Enfin pour ma part, je ne crois plus aux congolais. Que du blablas…

  3. MAVOUNGOU dit :

    Pauvre de toi qui a perdu ton âme. C’est bien le moment d’y croire, car le pouvoir SASSOU est en perdissent. Cravate, costumes ou pas, monsieur NDZABA s’attaque actuellement au vrai problème du Congo. C’est SASSOU le problème du Congo.

  4. ITOUA J.Luc dit :

    Merci mon frère MAV, nous devons encourager cette lutte. Le Clan SASSOU ne revisitera pas. La jeunesse congolaise a beaucoup à y gagner.

  5. ITOUA J.Luc dit :

    Merci MAV, nous devons y croire. Le Clan SASSOU est about de souffle. Comme KADAHFI ou les autres Dictateurs, SASSOU partira Bientôt. Je soutien la position logique du SACER.

  6. Charles dit :

    OUI POUR LE DÉPART IMMÉDIAT DU DICTATEUR SASSOU. BRAVO AU SACER.

  7. KITSIMBOU dit :

    Bonjour Monsieur le président

    je viens de lire avec beaucoup d’intérêt votre message : il faut durcir la lutte Anti-Sassou.
    Originaire du Congo et politologue, je suis avec attention toutes les mutations de l’espace politique congolais depuis 1960.
    je suis d’accord et partage avec vous le même objectif à savoir le départ de Monsieur Dénis Sassou Nguesso car après plus 30 ans au pouvoir la réalité sociopolitique et économique montre avec suffisance que les années Parti Congolais du Travail ont été terribles et horribles pour le développement du Congo.

    J’aimerais juste attirer votre attention sur le fait qu’il ne faut plus tomber dans le sentimentalisme et les émotions que nos aînés ont exprimés pendant la conférence nationale en 1991. Avec le recul, on se rend compte que la Conférence Nationale Souveraine n’avait pas posé les bonnes questions, les bases et les solides soubassements pour un Congo véritablement démocratique.

    Le problème du Congo est humain. Il faut une alternance qui est enfin crédible. Le problème de l’age du politique congolais est désormais caduque. Dire qu’il faut un renouvellement systématique des hommes politiques revient à méconnaître la réalité de l’environnement politique car l’expérience ne cesse de montrer que les jeunes d’hier qui critiquaient à tout va le système sont aujourd’hui des griots qui entretiennent ce même système.

    Pour un Congo véritablement démocratique, il faut des congolais qui sont voués pour le devenir du peuple entier et ont une certaine idée du Congo et du bien public. L’heure n’est plus aux incantations ou aux verbiages, Il faut des projets politiques crédibles, des ambitions pour la reconstruction du Congo.

    Le Congo doit d’abord et avant tout mettre en place un système institutionnel dans lequel les citoyens et la puissance publique doivent être soumis au droit qui tire sa légitimité des normes hiérarchisées. Toute la pagaille, le détournement des fonds, les biens mal acquis, la corruption n’auront aucune réponse juridique si le Congo ne met pas en place des normes juridiques et impersonnelles qui protègent les individus et sanctionnent les manquements.

    Il y a un fait qui est là. Sassou doit partir et il va partir car on ne peut pas éternellement dupé et opprimé un peuple car la voix de la raison revient toujours au peuple souverain. Ce qui se passe au Burkina Faso doit nous édifier sur les perspectives d’une éventuelle révision de la constitution. Et si le Burkina Faso comme l’a été le Mali en 1990 avec la Conférence nationale devenait un exemple de la lutte des congolais pour défendre et refuser la révision constitutionnelle au Congo ??. (Ceci fera l’objet de mon prochain article : analyse comparée de Sassou & Compaoré : même combat a travers leur parcours politique).
    Je suis d’accord avec vous pour la lutte Anti-Sassou mais la meilleure lutte s’organisera autour des idées, des propositions pour sortir du Congo du marasme dans lequel il se trouve embourbé depuis belle lurette.

    Bien cordialement

  8. @ Kitsimbou, quelques précisions:
    Lorsque M. Dzaba évoque l’émergence d’une nouvelle classe politique, il ne donne ni dans le jeunisme, ni dans le sentimentalisme, il veut simplement tourner une page funeste, mettre à la retraite les équipes qui perdent. Bien sûr, il faudra donner des responsabilités aux jeunes (pas à n’importe lesquels!) et bien sûr il faudra s’appuyer sur ceux qui ont des compétences, qu’ils soient jeunes ou pas.
    Le message de M. Dzaba est clair : nous ne voulons plus de ceux qui ont un passif.
    Pour ce qui est du sentimentalisme, je n’aime pas tellement ce terme péjoratif étant donné qu’il tend à mépriser les sentiments du peuple (en vous lisant, je pense que vous ne le méprisez pas!). Or le peuple souffre de ne pas être écouté et encore moins compris. Il est évident que M. Dzaba avance avec l’intelligence du cœur, la seule qui puisse faire évoluer la situation congolaise à l’heure actuelle. Concernant les projets politiques, ils existent, qu’ils soient étiquetés SACER ou pas. L’urgence est donc d’assainir la situation pour permettre à ceux qui, comme vous, ont des propositions constructives pour l’avenir de la nation congolaise. Rappelons qu’en 1958/1959, Charles De Gaulle a récupéré tous les bons projets (notamment ceux de Mendès-France, mais pas seulement) qui n’avaient jamais vu le jour sous la 4è République, faute de majorité stable à l’assemblée. Il les a concrétisés. De surcroît, il a réuni son pays gravement divisé et a donné une chance à ceux qui étaient porteurs de projets d’avenirs. Il a aussi engagé une réforme des institutions sans précédent depuis Napoléon 1er… Au final, le SACER a une vision très gaullienne des choses et ne vise que l’efficacité. Donc : oui, il est très important d’être à l’écoute des projets individuels et d’en avoir en réserve car quand le dictateur va tomber, il ne va pas falloir perdre une seconde pour engager les réformes pour le bien du peuple congolais.
    Quant à votre réflexion sur ce qui n’a pas permis à la CNS de bâtir une démocratie viable, cela pourrait être l’objet d’une discussion à part entière. Pour l’instant, j’ai envie de dire qu’on ne construit pas une démocratie du jour au lendemain. Mettre en place des institutions solides ne suffit pas. Domaine de la santé mis à part, le plus grand chantier de l’après-Sassou sera peut-être de construire des citoyens éclairés en misant sur l’éducation et l’instruction civique. Ce n’est pas pour rien que nous nous mettons en avant l’action civique dans notre appellation. 😉
    Très respectueusement.
    Un militant du SACER.

  9. I love SACER dit :

    Mr Dzaba vous qui voudriez bel et bien liberer le Congo, vous etes encore le premier à traiter votre pays « d’Etat – voyou ». mais reellement je ne sais pas à quoi vous pensez ou à quoi vous jouez ? pyromane ou pompier ? donc vous meme vous etes voyou.

  10. KITSIMBOU dit :

    Chèr frère de lutte,

    J’ai lu votre droit de réponse. Je constate avec satisfaction que nous partageons sensiblement les objectifs et les mêmes ambitions pour le Congo.
    Il reste que si les visées sont les mêmes, les approches et les priorités divergent. je suis convaincu qu’au Congo, rien de grand ne peut se faire si l’environnement institutionnel n’est pas assaini. Le congo a besoin d’un ordre politique bien construit avec des institutions republicaines au service de la société tout entière. Et ca reste pour ma part un préalable pour toute action de reconstruction du Congo.

    Je pense qu’un échange direct et franc nous permettra de mutualiser nos reflexions pour l’avenir d’un autre Congo plus respecteux de la personne humaine. je serai très interessé de lire les propositions de votre plateforme de reflexion qui est le SACER.

    Bien cordialement

    Un observateur de la vie politique.

  11. Renard dit :

    Il est plutôt en campagne lui. Alors que Sassou n’est pas encore parti, des compatriotes se pré positionnent déjà en prétextant de lutter contre Sassou. Le message de Monsieur n’a rien à avoir avec le titre. C’est texte pour sa publicité pas un appel à notre peuple.

  12. @ Kitsimbou :
    Merci. Nous sommes bien d’accord : la première pierre à poser, c’est bâtir des institutions fiables et réformer l’Etat. Néanmoins, ce travail d’assainissement ne pourra se faire que si des gens propres réussissent à prendre le pouvoir et à déboulonner les parasites illégitimes qui sont à la tête du pays et qui le ruinent. On ne doit pas faire confiance à n’importe qui et canaliser les énergies. Il faudra ensuite aller plus loin pour que l’on puisse parler de miracle congolais, en construisant une démocratie exigeante, un Etat souverain, républicain et digne. Les valeurs du nouveau Congo Brazzaville permettront une véritable dynamique d’ensemble si nous arrivons à convaincre le peuple de sa force créatrice.

    Les bonnes idées, quelles que soient leurs origines, seront bonnes à prendre.

    Au SACER, nous ne prétendrons jamais avoir le monopole des bonnes idées et tendront les mains à ceux qui veulent avancer.

    Petite parenthèse : Je ne sais pas si vous avez lu le livre de Sassou « l’Afrique, enjeu du 21è siècle, les défis du développement durable ». Dans ce livre écrit pour l’esbrouffe, il y a de très bonnes idées. Hélas, cet ouvrage participe au décor Potemkine et ne vise qu’à tromper. Ce livre est un outil de propagande à destination de l’opinion publique internationale. Il sert à donner une image sage de quelqu’un qui ne l’est pas. Hélas, Sassou n’applique pas du tout certains principes intéressants qu’il préconise (faussement) dans son livre. Et le discours de Calimero des voyous de la famille Sassou ne trompe plus personne : « on est de bonne volonté, c’est le peuple qui est méchant avec nous… »
    Remarque : je sais bien que Sassou n’a pas écrit lui-même ce livre qu’il a commandé à une tierce personne. J’ai même mon avis sur son véritable auteur. No comment, mais lisez-le tout de même si ce n’est pas déjà fait.

    Pour conclure, Sassou est un cynique qui n’aime pas le peuple congolais.
    Lui, et les gros bonnets qui sont derrière, sont à dégager d’urgence!

    Très respectueusement.

    Nota Bene : pour l’autre visiteur qui comprend mal qu’il faille parfois donner des visages humains à la résistance, je lui dis qu’un rassemblement comme le SACER doit être représenté par quelqu’un qui assume des positions que l’opposition devrait prendre, mais qu’elle ne prend pas par peur ou par corruption de ses représentants. Le camarade Dzaba est exemplaire dans ses actions et dans sa vie. C’est quelqu’un de fidèle et de loyal que nous reconnaissons comme chef. Un vrai chef doit être responsable et conscient de son rôle. Car rien ne se fait sans meneur et sans courage. Celui qui marche devant s’expose mais doit rester droit pour que le reste du collectif puisse avancer. Le collectif doit être protégé. Bien sûr, les agents de Sassou vous diront le contraire et tenteront toutes les manipulations contre les vrais opposants. Aussi, un chef doit savoir s’entourer, se protéger et prévoir son remplacement pour que le mouvement lui survive s’il venait à être en incapacité de mener à bien sa mission. Chacun a des compétences et chacun est utile au collectif. Le chef n’est pas là pour tyranniser, mais pour arbitrer, coordonner, organiser, ordonner, bref il est là pour diriger, prévoir et optimiser. Bon, j’arrête là… 😉

  13. Anonyme dit :

    C’est facile de rêver sur papier, sur le terrain c’est autre chose.
    Sassou est Paris tout semble calme, personne ne manifeste son mécontentement et en plus ce que vous étalez sur papier est connu de Tous.
    Aujourd’hui le grand Peuple du Congo souhaite de départ de ce CANCRE qui est sassou.
    Qu’attendez vous les soi-disant « combattant pacotilles » pour faire sauter ce dernier sur son fauteuil?
    Ecouter, ne vous agitez pas comme des singes dans un zoo qui n’est autre que Paris.

  14. Niantouka dit :

    Le Congo a besoin hommes de demain qui n’ont pas commis de crimes de sang et crimes économiques. Christel Sassou Nguesso, bien que ta réflexion soit bonne,elle vient trop tard. S’ il faut bien voir les choses, elle n’est au fond qu´un piège. Une opération de charme. Et aucun Congolais réellement conscient ne peut y tomber “Cessons d’intimider et de maintenir la pression sur le peuple. Allons plutôt chercher sa confiance par de nos actions concrètes et l’amour altruiste. C’est le moment!!!“. Pourquoi cet le moment? Pourquoi pas avant? Merci beaucoup pour la démarche.Tu parles de l’amour altruiste.
    Pourquoi de l’amour altruite? L’argent du Congo n’est pas la propriété de Sassou Nguesso, de la famille Nguesso. L’argent appartient à la la république, au peuple congolais. La présidence du Congo, le pouvoir du Congo ne sont pas fait pour Sassou Nguesso et sa famille. Il convient d’utiliser l’argent du Congo pour le bien de tous les congolais:Créer du travail, des structures et les entrenir. Il n’est pas question que Sassou Nguesso et sa famille continuent à s’ en servir pour vous et maintenir une gestion clanique et distribuer de de temps à autre quelques mièttes, dons à certains Congolais.Tu avais Christel tout le temps de le faire et tu n’es pas personnellement l’exemple d’une bonne mentalité et d’un dirigeant avec tous ces vols immences des deniers publics depuis des années.Raisonne davantage ton père cela est bon pour quitter le pouvoir sans éffusion de sang supplémentaire. le Congo n’a plus d’ un Sassou Nguesso. Regardez les gens « qui sont tombés sous les balles des (militaires ou policiers), ne montrent pas des bandits surarmés dont la neutralisation nécessitait des armes de guerre disproportionnées ». Ce carnage est un nouveau crime contre l’humanité. L’histoire du Congo Brazzaville est marquée par des assassinnats, des génocites, par les biens mal acquis dont Sassou Nguesso est auteur. Mais avec ce nouveau crime contre l’humanité qui est la boucherie du pouvoir Sassou Nguesso au domicile du Colonel Ntsourou, le peuple est plus que jamais déterminé d’en finir avec la dictature, le système Sassou Nguesso. Les Congolais ne vont plus continuer à tolérer des dirigeants responsables de crimes de sang, crimes économiques.

  15. KITSIMBOU dit :

    Droit de réponse aux propos de Monsieur ou Madame Anonyme,
    Monsieur ou Madame Anonyme, je pense que le courage voudrait que vous vous présentez et non d’anonymiser vos propos. je partage entièrement les idées de Niantouka qui considère que aujourd’hui tout ce qui qui de loin ou de près ont contribué ou participé à saigner le Congo sont désormais hors jeu dans le chantier de la reconstruction d’un vrai Congo libre et démocratique pas celui de Sassou.
    Vous semblez ignorer que la diaspora détient une vraie capacité de nuisance de par les idées et les dénonciations de la mal gouvernance qui sévit au Congo. Aujourd’hui avec les nouvelles technologies de l’information et de la communication, tout se sait et votre Sassou sait bien que ses jours sont comptés. Il n y a pas meilleure arme que la pression des idées.
    Si aujourd’hui le président Sassou Nguesso arrive en France sur la pointe des pieds alors qu’il y a quelques temps il était reçu avec tambours et trompettes, l’agitation de la diaspora n’est étrangère dans cette orientation idéologique de la France qui est désormais du côté des peuples. il faut reconnaître que la communauté internationale est désormais au faîte de ce qui se passe au Congo par l’action, l’activisme, l’engagement et la détermination de chacun de nos compatriotes qui disent NON à la gestion tribalo-clanique du pouvoir. Si vous connaissez un peu l’histoire, vous aurez du comprendre que tous nos aînés qui ont exercé la pression pour la convocation de la CNS en 1990 étaient à l’étranger.
    Monsieur Anonyme,
    Rassurez vous le peuple n’est pas aussi dupe que vous semblez le croire. Il y a peut être le calme aujourd’hui. Pourrait on le dire aussi demain. Le président B. Compaoré croyait aussi comme Sassou qu’il avait le contrôle du pays mais les temps ont changé.
    Le jugement du peuple souverain sera implacable le moment venu.
    Paris n’est pas un zoo ou s’agitent les singes. Paris est la capitale d’un Etat démocratique qui respecte et favorise l’expression et la liberté des idées. On ne dira pas autant de Brazzaville.

  16. Anonyme dit :

    Détrompez vous. Depuis la nuit des temps notre Pays le Congo est dirigé par cette France que vous faites éloge. rappelez vous que la France n’a pas d’amis que des intérêts. Ceci n’est pas de votre faute, car vous vivez en France et croyant que cette dernière ne vous apportera sur un plateau d’or la liberté. Essayez de sortir de la France au moins six mois, vous me direz le contraire. Ah KITSIMBOU

  17. Réponse à anonyme dit :

    Anonyme est soit naïf soit du sérail…
    Le Congo n’est pas dirigé par la France, le Congo n’est pas dirigé du tout. Il est confisqué par des voleurs qui sont aussi des assassins. Il est violé par tous par la faute de ses dirigeants qui le livrent à n’importe qui. Faut arrêter de parler de la France. Bolloré, ce n’est pas la France. Bolloré, ce n’est pas non plus l’origine de la misère au pays. Le Congo est pillé par une famille mafieuse nommée Sassou Nguesso qui offre sa cuisse au plus rentable et au moins regardant… La françafrique est critiquée car elle est morte. Quand elle était forte, on n’en parlait pas! Parlez un peu de l’Arabie Saoudite, du Qatar et des vrais dangers pour le Congo! Quid de la Chinafrique? Commencez par attaquer les vrais responsables de la déchéance de notre petit pays inscrit aux PPTE plutôt que d’aller chercher ailleurs vos propres manquements… Attention, les arguments anti-français sont désormais les arguments de Sassou! Il a été mis en place par de mauvais français et s’énerve que des français meilleurs ne cautionnent pas ses crimes. Tout n’est pas si simple que ce que vous voulez faire croire… Les réseaux sont multiples.

  18. Avis aux partisans de l'immobilité dit :

    A ceux qui critiquent sans fondement ou dans le but de nuire gratuitement : qu’avez-vous fait pour votre pays?

    Pourquoi critiquez-vous ceux qui agissent et prouvent par leurs actes qu’ils sont respectables et dignes de foi?

    Arrêtez de soutenir la dictature crapuleuse de Sassou Nguesso! Soyez enfin des hommes dignes!

    Jusqu’à preuve du contraire, vous n’affichez pas vos vrais noms et n’assumez pas vos positions, contrairement à M. Dzaba qui n’a jamais cédé face à la dictature. Le leader du SACER est exemplaire à tous les niveaux. Il a même été emprisonné et spolié au Congo pour ses réalisations locales en faveur des populations. Est-ce cela qui vous embête?

    Quant au fait qu’il soit à Paris : où est le problème? Sun Ya Tsen mena la Révolution chinoise de 1911 à la victoire alors qu’il était à l’étranger (aux USA).
    De Gaulle n’aurait pas pu organiser la Victoire aussi efficacement s’il n’avait pas été à Londres… Qu’aurait été la France sans De Gaulle?

    Vous croyez que les responsables du SACER vont faire n’importe quoi comme ce que vous préconisez? Non, car le SACER tient au peuple, n’abandonne personne et ne sacrifiera pas les innocents : le SACER va démanteler la dictature point par point. Ensuite, ce sera la grande réforme…

    Soit vous êtes contre l’injustice et contre la dictature, soit vous êtes pour. Dans un cas comme dans l’autre, il faut assumer.

    Sans idéal à atteindre et sans rêves, on ne peut pas progresser. A nous de concrétiser nos rêves. Oui, nous croyons que le Congo a toutes les clefs pour réussir! Ce n’est quand même pas un rêve inatteignable, il faut juste se bouger et se dépasser… Mais pour cela, il faut déjà identifier les freins au développement de notre pays. Cela passe par la correction de nos propres défauts. Nous devons être exigeants avec nous mêmes. Le SACER croit dans la force de l’exemple.

    Le Congo doit vivre.

    Bien à vous.

  19. ZEN dit :

    Hum votre lutter c’est contester quand SASSOU arrive a Paris? Quelle honte! On combat un homme politique par des idées et des programmes alternatifs. Ou sont les vôtres? SASSOU a le chemin d’avenir qu’il suit. C’est a coup de protestation que vous croyez mettre a mal SASSOU? C’est a croire que votre souci c’est le pouvoir pour le pouvoir et non le développement du Congo.
    C’est bien malheureux tout ça.

  20. Zen, de quoi as-tu peur? dit :

    A tous les jaloux ou incapables qui hurlent à chaque initiative : retournez 7 fois votre langue dans votre bouche avant de parler. Vous avez tort. Encore une fois, vous faites le jeu du Cobra Royal. Vous ne savez rien et vous critiquez. Vous ne lisez même pas tout et vous polluez les commentaires… Zen, ton surnom est trompeur car tu n’es pas zen du tout. De quoi as-tu peur? Que le Sacer prenne le pouvoir? Si toi tu fais de la politique pour perdre, pas le Sacer. Le but est bien de virer sassou, non? A la limite, il n’y a pas besoin de programme : celui que Sassou n’a jamais appliqué suffit. Sur le papier, il est plutôt bon. Et que le Sacer prenne le pouvoir un jour, c’est normal. Des kilos de programmes et de projets, le Sacer en dispose à la pelle. L’objectif numéro un n’est pas la masturbation intellectuelle, c’est la prise de pouvoir pour appliquer les dits programmes… Donc, oui, tout est clair : le Président Dzaba a des ambitions pour son pays. Nous sommes derrière lui car il aime son pays, lui. Il n’a rien à nous prouver car nous connaissons ses œuvres… Marre de perdre du temps et marre des compromissions. Tant pis si ça vous emmerde. Vous n’avez qu’à agir aussi, ou mieux, à rejoindre le Sacer au lieu de glander. J’ai dit.

  21. TONA dit :

    Monsieur Zen.
    sassou est au pouvoir depuis les indépendances, il n’y a aucune goutte d’eau potable alors que nous avons tout pour en avoir alors cher monsieur on fait quoi. Il faut le laisser gouverner jusqu’à quand?

  22. Charles KOUTA-BONGO dit :

    Bravo Monsieur le Président John Binith DZABA, je suis d’accord avec votre forme de résistance, j’aimerai adhérer à la SACER, mon souhait c’est de revenir à la constitution de 1991; Dieu te bénisse

  23. Samuel DIANTESSA dit :

    Samuel Diantessa, c’est vrai, nous ne voulons plus de ce Monsieur voyou, meurtrier et inconscient, mais quelle stratégie pour le déloger? J’aimerai rejoindre la Sacer…

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