Paris est la capitale occidentale la plus prisée du personnel politique des pays africains de la zone franc (PAZF). C’est dans la capitale française, Paris, que se font et défont les pouvoirs africains. Les exemples sont légion.
L’histoire des pays africains est pavée de faits Illustres. Michel Djotodia, Catherine Samba-Panza en RCA et Ibrahim Boubacar Kéita au Mali en sont les dernières démonstrations. C’est également à Paris que Sassou trouva refuge lors de sa traversée du désert après le coup de pied électoral de 1992. C’est aussi à partir de Paris, en compagnie de Jacques Chirac et l’aide logistique de la firme pétrolière Total/ELF, que Sassou prépara son putsch du 5 juin 1997 qui renversa Pascal Lissouba.
Assises de l’Opposition
Au moment où se tiennent à Paris les premières assises nationales du Congo-Brazzaville pour l’alternance démocratique du 7 au 10 juin 2014 sous la présidence de Jean Luc Malékat, Alexis Miayoukou, Benjamin Toungamani et Noël Magloire Ndoba, deux hommes politiques du Congo-Brazzaville, et non des moindres, ont été empêchés d’effectuer le déplacement de l’Hexagone : Mathias Dzon et Ambroise Hervé Malonga. Simple coïncidence ?
Corrélation
L’un a été interdit (par des agents de police zélés instruits par le général Philippe Obara) de franchir le tarmac de l’aéroport Maya-Maya de Brazzaville et l’autre privé de visa par les autorités consulaire de l’ambassade de France au Congo-Brazzaville. L’un a été ministre des finances de Sassou et l’autre avocat du Congo-Brazzaville présidé par Sassou. Les évènements se recoupent. Les deux hommes ont un dénominateur commun. L’opposition farouche chevillée au corps au pouvoir de Denis Sassou Nguesso lequel nourrit les velléités de changer la Constitution du 20 janvier 2002. L’homme de L’Alima dirige le Congo-Brazzaville d’une main de fer dans un gant de velour.
Mathias Dzon n’en démord pas. Une cellule a été montée au palais de Mpila par Sassou pour nuire aux leaders de l’opposition. Mathias Dzon le disait à son entourage. Il l’a déclamé officiellement au cours d’une conférence de presse. Mathias Dzon a porté plainte contre l’État congolais.
Cette plainte est motivée, a-t-il dit, par l’interdiction répétitive dont il est victime de la part des pouvoirs publics de sortir du Congo alors que les autres dirigeants de l’opposition congolaise sont libres d’aller à l’étranger et de revenir comme ils veulent, ainsi que le prévoit la Constitution congolaise en son article 21.
Décidément, l’aéroport de Maya-Maya est un véritable Triangle des Bermudes pour tout voyageur qui n’est pas en odeur de sainteté à Mpila, siège du pouvoir de Sassou (congopage.com, 19 janvier 2014). Maurice Massengo Tiassé, fou du roi, a goutté aux affres de la police des frontières de Philippe Obara, l’âme damnée de Sassou au même titre que Jean François Ndéngué, avant d’être autorisé de monter dans l’avion en direction de Paris, cela, après un entretien fructueux, au propre comme au figuré, avec Sassou.
En effet, le dernier fait en date est le refus de se rendre en France que Mathias Dzon s’est vu infliger mercredi 4 juin. Interrogé sur le motif de cette interdiction de sortir du territoire, l’officier de police de service à l’aéroport de Brazzaville s’est contenté de lui indiquer qu’il avait reçu des instructions orales de sa hiérarchie l’enjoignant de ne pas laisser sortir l’ancien ministre des Finances (RFI , 5 juin 2014).
Quand on sait que Me Tiassé et Mathias Ndzon furent solidaires de Sassou lors de la traversée du désert à Paris (avant le coup d’Etat de juin 1997) ce qui est arrivé à ces deux-là ne peut étonner que les naïfs : l’ingratitude est la chose la mieux partagée en politique.
Dans la même semaine, Maître Malonga a essuyé un refus de visa pour la France (pour la seconde fois consécutive) alors que l’avocat congolais a déjà effectué plusieurs voyages entre Paris et Brazzaville. Le premier refus lui avait été notifié juste après sa sortie de prison pour avoir défendu le colonel téké Marcel Ntsourou.
Main noire
Mathias Dzon et Ambroise Malonga sont contre le changement de la Constitution du 20 janvier 2002. Sassou redoute-t-il que Mathias Dzon et Ambroise Malonga prennent langue avec les autorités françaises au moment où l’on observe une effervescence dans le milieu politique congolais de Paris ?
Faut-il voir la main noire de Sassou derrière la décision des responsables consulaires de l’ambassade de France au Congo-Brazzaville ? Il se murmure que Sassou veut obtenir pour 2016 un blanc-seing pour le changement de la Constitution du 20 janvier 2002 contre des largesses qu’il compte octroyer à la société pétrolière française Total sur les permis d’exploitation du pétrole au large de Pointe-Noire. Si l’assignation à domicile de Mathias Dzon par Sassou est manifeste, l’attitude de Paris à l’égard de Maître Ambroise Malonga est par contre ambiguë étant entendu que Paris est la plaque tournante de la politique africaine.
L’axiome a fait florès : « vox Parisi, vox Dei ». Mais, qu’est ce qui fait courir les hommes politiques africains à Paris ? L’Afrique caresse un vœu : l’érection d’institutions fortes et non d’hommes forts pour paraphraser Barak Obama.
Par Benjamin BILOMBOT BITADYS
Diffusé le 8 juin 2014, par www.congo-liberty.org
SASSOU NGUESSO ET SES PERROQUETS ONT-ILS PERDU LA CONSCIENCE OU LA RAISON HUMAINE?
Comment définir le stade d’humanité?
Il peut se définir comme celui de la raison et de la conscience humaine – Il est pour cela l’unique manière de différencier l’animal de l’homme, de la société et de la civilisation.
En effet, rappelons le que l’évolution des êtres animaux a doté en particulier l’homme d’une grande structure encéphalique nouvelle: le Cortex ou le néo cortex cérébral. C’est là que repose l’âme, le psychisme et la conscience individuelle et la raison humaine.
Par elle, enfin, nous est donnée la capacité d’agir sur nous-même pour nous transformer.
Chez l’homme, à la différence des animaux ; l’organisation de son psychisme qui, en lui permet d’avoir connaissance de ses états (son vécu, sa mémoire), de ses actes (les habitudes et le comportement) et de leur valeur morale (le bien ou le mal).
Cependant le clan Sassou Nguesso et ses perroquets (mabiala, moungalla, okiemy, koumba, moudoudou, etc) n’ont-ils pas perdu la conscience ou la raison humaine – sont-ils restés au stade inférieur d’humanité ou non?
C’est un vaste débat anthropologique, scientifique, culturel, civilisationnel et sociétal…. – A suivre !
A monsieur DZON , je lui demanderai la cohérence en politique , comment peut -on critiqué sassou , et participé à ses parodies d’élections? Mr DZON l’heure est grave , sassou est sur le point de modifier la constitution , vous devriez demandé à la population de se soulevés , car nous devrions mettre fin à cette entreprise criminelle planifier au bord de l’ALIMA ,par sassou ses lieutenants d’Oyo!!!
@ loubaki lua Malanda
Monsieur Dzon, n’a jamais declaré qu’il va participer à ces elections bidons, au contraire il a demandé l’annulation pure et simple des resultats du recensement special.
Renseignez vous.
Nous Finirons par une Grande guerre fratricide si Sassou continue à Nous narguer, même un prisonnier cherche à retrouver la Liberté. Il arrivera un jour très bientôt que le CONGO prouvera au Monde qu’ils ont osé par surprise. Là même la France s’en mordra les Doigts.
Un jour l’Esclavage s’était Arrêter, les CONGOLAIS se libéreront et Nous nous engagerons dans une Vraie Coalition de Remise en Marche de l’Amour et de la Reconstruction de note Pays, le CONGO. Prisonniers par ci, privés de sortie de territoire par là, exécutions là-bas et autres…, Nous nous en sortirons, coûte que coûte cette fois-ci!
ViVe le CONGO ! ViVe la Démocratie ! ViVe l’AFRIQUE !
Mais qu’est ce que Sassou attend pour le nstourouer? Ca nefait que trop durer. Il est temps de le nstourouer la et qu’on en parle plus comme nstourou merde!
Comptez pas sur Mathias Ndzon cet ami de nstourou. Il ne levera pas le petit bout de doigt, trop court en tout cas.
Au fait mathias, tu n’as pas encorer fini de boukouter l’argent de la BIDC? Ou trouve tu l’argent des faux voyages a l’etranger. Tu vas ou au fait? Pourqupi tu ne vas pas a Gamboma? C’est plus facile non? Ah fou nous la paix, itsotso!
PHILOSOPHIE !!!
Le Congo Brazzaville n’appartient pas au tyran Sassou Nguesso et à son clan au pouvoir qui, depuis la nuit des temps confisque la souveraineté d’un peuple épris de valeurs de liberté.
Quoique depuis l’arrivée des nouvelles synthèses numériques planétaires ; le peuple souverain congolais qui, peu à peu se réveille du traumatisme tyrannique occasionné par la dictature la plus cynique de l’Afrique de ce début du XXIè siècle… A suivre de 2014 à 2016 quelque part au Congo Brazzaville.
Mardi 10 juin 2014: clôture aujourd’hui à partir de 18h des premières Assises Nationales pour l’Alternance démocratique au Congo.
C’est un jour mémorable 23 ans après la fin de la Conférence Nationale Souveraine. Il nous revient aujourd’hui de poser des nouvelles bases d’une vraie société démocratique dans notre pays.
Nouvelles synthèses et société: coordonnation du Collectif Sauvons le Congo Brazzaville !
POUR UNE PAIX DURABLE AU CONGO BRAZZAVILLE – ET POUR LA RÉSOLUTION DE LA CRISE CENTRAFRIQUE ET LA PAIX DANS LA SOUS RÉGION D’AFRIQUE CENTRALE OU ÉQUATORIALE – REJOIGNEZ DES MAINTENANT, LA RÉSISTANCE CONGOLAISE A TRAVERS SES FORCES DE RÉSISTANCE INTÉRIEUR ET EXTÉRIEUR.
Seules les institutions fortes et l’alternance politique démocratique pourront garantir la paix et la sécurité fiable et durable aux investisseurs et partenaires économiques du Congo Brazzaville.
BRAVO POUR L’INFO
Philosophie !
» Ceux qui ont les privilèges de savoir ont le droit d’agir »
Albert Einstein (physicien américain d’origine allemande, 1879-1955) stipulait en sont temps que « le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les laisse faire sans rien faire »
Le Congo Brazzaville n’appartient pas au tyran Sassou Nguesso et à son clan au pouvoir et encore moins à la privation des visas aux congolais libre qui, depuis la nuit des temps confisque la souveraineté d’un peuple épris de valeurs de liberté.
Les congolais meurent comme des mouches – les morgues sont pleines à craquer de cadavres de tout âge.
Le régime politique médiéval ou non civilisé congolais préfère parler de paix, voire de sacro-sainte paix ou de la paix éternelle.
Toutefois, la France ne peut pas anéantir l’avenir d’un peuple à cause de la survie d’un tyran. Ceci est un cas de conscience contre le risque économique que la France est entrain de faire….
LA MATIÈRE GRISE CONGOLAISE OU DU NOUVEAU CONGO ARRIVE. ELLE N’EST POUR AUTANT PAS SI CONNE ET MÉDIOCRE COMME L’EST LE RÉGIME SASSOU NGUESSO OU DIGNE SERVITEUR DE LA FRANCAFRIQUE DU PASSÉ …
Nous sommes au XXIè siècle, sachant que les technologies et les marchés sont désormais disponibles partout dans le monde. Et ce monde va changer à vitesse grand V dès 2015 à 2032 et +
Du 7 au 10 juin 2014, Paris, France, les Assises Nationales du Congo pour l’Alternance Démocratique ont attiré solennellement l’attention des partenaires économiques et investisseurs du Congo sur le grand risque qu’ils courent en misant sur le statut quo politique dans ce pays.