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À l’ouverture des 11èmes jeux africains de Brazzaville, tout observateur a remarqué que le président Sassou a invité monsieur Pierre Nkurunziza à rehausser de sa présence la cérémonie. Pierre Nkurunzinza s’est fait représenter par son deuxième vice-président.
La présence à la tribune d’honneur des autorités burundaises aux côtés de la présidente de la commission de l’union africaine soulève beaucoup de questions, bien que la participation des athlètes du Burundi ne soit nullement en cause dans le questionnement.
Le président Sassou n’a t-il pas entendu que le passage en force de Pierre Nkurunziza a provoqué la controverse, non seulement au Burundi et en Afrique, mais aussi dans presque tout le monde entier au point que le président américain a nommément cité ce pays comme exemple à ne pas suivre en matière de démocratie en Afrique?
Le président Sassou est-il convaincu, en l’invitant, que les congolais ont approuvé le passage en force de Pierre Nkurunziza?
Alors qu’on entend partout la clameur de la réprobation du coup de force de Pierre Nkurunziza, le président Sassou fait la sourde oreille, car incapable de dissimuler sa propre obstination à vouloir mourir au pouvoir, lui qui n’a pas osé prononcer le mot « référendum » lors de son discours du 12 août 2015, mot que ses partisans auparavant conditionnés étaient venus entendre pour commencer ouvertement la campagne référendaire, campagne que Collinet Makosso a déjà entamé à Pointe-Noire en expliquant que les congolais répondraient une seule fois à deux questions, pour un changement de constitution et pour une nouvelle constitution qui consacrerait le pouvoir à vie de son maître.
S’il y a encore des congolais qui doutent du coup d’état déjà annoncé du président Sassou, les indications selon lesquelles sa constitution est déjà prête deviennent une évidence, au regard des activités partisanes de ses fidèles sur le terrain.
Le doute dans le camp présidentiel est venu de l’opposition vigoureuse d’une partie de sa propre majorité, de l’existence d’un front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et aussi des pressions directes et indirectes des puissances étrangères pour lesquelles Sassou est plus un problème qu’une solution pour le Congo et pour la sous-région Afrique centrale.
Alors les congolais qui, par leur opposition au président Sassou, sont en train de le pousser dans ses derniers retranchements n’ont plus droit à l’erreur pour faire échec aux plans personnels de l’homme Sassou, car il s’agit de sa situation individuelle, et un seul homme ne doit pas tenir tout un peuple, tout un pays en otage. C’est son mandat qui arrive à son terme et non celui des députés et des sénateurs!
En effet l’abrogation, de la constitution du 20 janvier 2002 à laquelle il incite malicieusement, vise à dissoudre toutes les institutions de la République. Voilà l’égoïsme de l’homme : « Mon mandat se termine, alors les vôtres, vous qui êtes mes obligés, doivent aussi se terminer! »
Personne ne doit cautionner cette politique de la terre brûlée.
Comment un homme que Monseigneur Ernest Nkombo a sauvé de la vindicte populaire en 1991, en le présentant comme un officier général qui a donné sa parole d’officier et la respecte, un homme qui n’a pas dit, mais a écrit : « Je suis persuadé que le Congo ne manque pas de jeunes capables de prendre la relève. Moi-même d’ailleurs, à 67 ans, je commence à envisager la sortie, parce que notre Constitution stipule que, à plus de 70 ans, on ne peut plus être candidat à la présidentielle. En tout cas, la Constitution précise que le président ne peut effectuer plus de deux mandats »
Comment cet homme peut-il être maintenant saisi d’amnésie au sujet de ce qu’il a lui-même écrit, en pleine possession de ses moyens!
L’ancien président Wade avait « dit », et s’est « dédit ». Sassou Nguesso a voulu parler vrai, en s’adressant non seulement aux congolais, mais à tous les africains!
Cet homme que ses propres propos contradictoires n’embarrassent pas est dangereux! Il veut le pouvoir pour le pouvoir, et n’est nullement inspiré et ni guidé par les nobles valeurs de la démocratie.
Qu’il s’en aille et soit livré à son propre destin à la fin de son deuxième et ultime mandat!
Le Congo lui survivra!
Par Salomon Lasagesse
Diffusé le 7 septembre 2015, par www.congo-liberty.org
L’opposition doit simplement mobiliser pour voter CONTRE si non, personne ne peut interdire à un pays de faire un référendum.
Il ne faut pas rêver. Si les français donnent leur ok sassou foncera- apparemment Oui. Il s’en fout des USA. ÇA c’est pour la RDC
Vous etes libre de penser ce que vous voulez Mr. MASSOUNGA, mais le dire a un Peuple qui ne cesse de perdre des Etres chers, ce serait inhumain et tres mechant de votre part.
Permettez-moi de vous parler au nom du TRES HAUT: Lorsqu’une pauvre Maman pleure son enfant qui rend l’Ame parce que le CHU n’a pas voulu le soigner faute d’argent, Mr. MASSOUNGA lui a les poches pleines en faisant la promotion d’un Referendum que la CONSTITUTION ne prevoit pas dans le cas d’espece.
Que le Seigneur D.ieu tout Puissant vous repprime Mr. MASSOUNGA, meme sous un faux nom; car Lui il sonde les Coeurs et il retrouve meme ceux qui se cachent sous le boisseau.
Merci, amusez-vous bien Mr MASSOUNGA
Moussounga vous être pathétique et pitoyable, vos propos laids dénotent du niveau intelelctuel devenu bas de plusieurs congolais, ne badinez pas avec la vie d’une nation, d’un peuple humilié, vous me faites pitié
Non M. Moussounga !
Le vote est truqué, il faux, il piégé par le PCT qui se nourrit de fraudes et tueries. L’Opposition ne tombera pas dans uns traquenard aussi idiot et nocif.
Sassou et clan doivent être chassés du pouvoir, afin que le pays soit assaini et devienne agréable à vivre. La prospérité du pays dépend de cette condition.
Quel minable, le Moussounga
Tout simplement Massounga n’est pas Congolais, il est de passage, il fait partie de ses étrangers qui sucent les deniers publics par le biais des gens du pouvoir, un homme de paille.
Quand on est congolais, on ne tient pas ce langage. C’est tout ça qui coute cher au pouvoir actuel; L’arrogance et l’humiliation dont subissent au quotidien les Congolais.
Il faut faire la différence entre l’émotion et la raison. Ce monsieur ou énervé avec ses propos. Ok. Mais dans les faits combien de congolais sont prêts à affronter la mort dans les rues de Brazza ou Pointe Noire ? Combien laisseront leurs petits boulots en Europe pour le Congo?
Vous croyez si tout les congolais sortait dans la rue sassou assassin va tuer tout ce monde parce-que lui c’est le rois du Congo n’ayez pas peur il fait des intimidations pour que les congolais ne sortent pas dans la rue un président qui ne respecte pas son serment qu’il a prêter moi président je respecterait la constitution sassou manque de personnalité un menteur voleur irresponsable zoba les congolais ne veulent plus de toi Kenda n’a boka n’a yo na Bénin
Ah, notre propension à nous attaquer à X ou Y , selon celui qui a fait son commentaire! Accompagnons plutôt le document de Salomon Lasagesse. Il y fait une interpellation qui surtout réveiller la conscience de nos élus. C’est justement le président de l’Assemblée qui avait eu l’absolue indécence de dire au président de la République la nécessité de ce bla bla. En avait-il fait toute l’évaluation? Si oui, c’est qu’il est un piètre stratège politique. Si non, c’est qu’il est encore plus médiocre, car rien n’indique que, si les institutions étaient dissoutes, il retrouverait son mandat d’élu, subséquemment son poste au sommet actuel. A moins qu’il ne doive se contenter de celui de premier ministre du royaume de Loango. S’il y a encore des élus qui ont le sens de la lecture des événements, ils seraient avisés de suivre ce que mentionne Salomon, sur une ligne isolée: « Personne ne doit cautionner cette politique de la terre brûlée. » De toutes les façons, le scénario de l’après 2016 est vicié, et l’on se dirige vraisemblablement vers un transition, à la jonction des deux dialogues.
Oups!!! Veuillez corrigez à l’avant-dernière ligne: « une transition, à la jonction du dialogue de Sibiti et du dialogue alternatif de Diata ».
Devant ce fou de sassou Nguesso nous devons restes en Arlette ! Car malgré les conseils de son frère de Tsombitso Moudelé Ngollo le seul nordiste qui a oser parlé honnêtement à sassou contrairement aux Yhombi , Bokamba , okoko Jacques , ou encore le fameux Égyptologue de Boundji qui n’ont jamais parlés en vérité à Sassou au risque perdre leurs statut de ministre d’état officieux !
Cher compatriote MASSOUNGA, Le référendum dont vous faites allusion est illégal. Acceptez cela reviendrait à instituer chez nous la forfaiture comme mode de gestion politique.
Un Président qui a mis en place une constitution et qui a prêté serment, à deux reprises sur un texte qu’il a approuvé, ne mérite que le déshonneur, s’il se permet de piétiner sa propre constitution. Le Congo a une histoire et nous devons honorer tous ceux qui ont donné leur vie respective pour faire des habitants du Congo des citoyens. Notre tradition bantoue nous oblige à respecter notre parole publique. Nous sommes issus d’une tradition orale très ancienne.
Pensez un instant à tous nos anciens qui avaient refusé le travail forcé et le ravalement au rang de « sauvages », de primitifs.
Ne pas respecter son propre serment c’est un sacrilège. Cela veut dire que nous ne sommes plus des Muntus (des hommes). Autant retourner à l’Etat sauvage.
Sassou doit retourner à l’état sauvage c’est malheureux pour sassou qui ne respecte même pas son serment qu’il a prêter devant les congolais du nord au sud
Il est temps d’accuser réellement et massivement Sassou de crimes contre l’humanité, de crimes de génocide commis pendant des temps par Sassou Nguesso.
Sassou Nguesso est un anticonstitutionnel, un criminel, un génocidaire. Il ne peut plus representer le Congo. Il est temps de se mobiliser pour exiger juridiquement le départ de Sasou et sa clique pour les crimes, les biens mals acquis, l ES EPURATIONS ETHNIQUES ET CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ. Il est temps de se mobilser par tous les moyens et exiger sans ménagement le départ du dictateur Sassou Nguesso et sa bande pour haute trahison, pour les arrestations arbitraires, le non assistance du peuple congolais, son » anticonstitutionnel et tout récemment la révélation de ses actions criminelles de pollution de l’eau potable par ses excréments.Les congolais ont besoin d’eau, d’électricité, de service de voirie, du travail,d’écoles, voies et moyens de transport adéquats, d’hôpitaux au lieu d’entretenir, créer , équiper des hôpitaux Sassou se constante d’élargir le pompes funèbres. / http://congo-liberty.com/?p=9903 / http://www.vertic.org/media/National%20Legislation/Congo/CG_Loi_portant_Definition_et_Repression_du_Genocide.pdf / Le peuple conglais a besoin d’ un vrai développement:http://www.congo-internet.com/pdf/congo_vu_par_thiery_hayes.pdf
quel référendum avec un corps électoral biaisé des villages de 20 personnes ont un corps électoral de 250 électeurs . depuis quand un PCA comme ollombo peut avoir 20 000 habitants? alors que Ouesso n’a que 8 000 habitants.
Organiser un référendum, afin de modifier une partie et la Constitution qui est intangible, est un
coup d’état.
Ce référendum est anticonstitutionnel et Sassou le sait bien.
C’est bien pour cette raison qu’il hésite.
Je partage l’avis que terminer sa vie sur une trahison de la Constitution, qu’il a lui-même mise
sur pied, est triste et lamentable.
Enfin, l’un des acquis de Sassou, qu’il faut lui concéder, est la paix.
Ce seul acquis que l’histoire pourra lui retenir risque également de lui être retiré.
Si Sassou respecte la Constitution le peuple pourra peut être lui pardonner en tout ou partie mais
certainement pas dans le cas contraire.
Vous trouverez peut-être que je suis trop indulgent mais trop de sang a coulé.