Que dit-on des catégories humaines en déficience chronique des savoirs intelligents ?
Que sait-on génétiquement des peuplades quasi inexistantes dont le reflexe mental dominant est la propension morbide à l’auto destruction ?
Que doit-on penser des civilisations mortes du fait de l’incapacité à s’adapter –quand il semble impossible de les surmonter- aux contraintes qu’impose la domination des puissants ?
C’est rare, dans l’histoire de l’humanité, de voir à quel point l’incompétence élevée au rang de médiocrité peut autant aliéner ce qui pour l’espèce humaine fait la différence d’avec les autres mammifères : l’intelligence. C’est d’une telle évidence que le rideau de l’obscurantisme n’a pas fini de subir les assauts foudroyants des progrès tant scientifique, technologique que de l’efficience de toutes ces formes de management des organisations.
Où sont passés les savoirs, les savoir-faire, la mémoire des expériences fabuleuses des temps immémoriaux ? Le simple bon sens est chose tellement rare que faire figure de sage dans ce pays qu’est le Congo est perçu comme une possession suspecte qui frise la sorcellerie.
Où sont-ils tous ces savants, philosophes, docteurs es sciences ou es lettres, ingénieurs de tout calibre… ? Toutes ces compétences formées dans les plus grandes et prestigieuses écoles que compte cette planète. Tous ces experts qui ne manquent pas la moindre occasion pour brandir d’autorité leurs titres pompeux, grandiloquents et ronflants de Docteur, Maître de conférences, Professeurs puis tout le tralala étouffant des grades et fonctions soporifiques, comme si cela suffisait pour changer le monde.
Notre monde africain qui ne représente toujours rien, en tout cas très peu à la marge, une infime petite chose faite de vestiges anthropologiques sans intérêt, sauf ce qui n’est pas Nous, Africains : les ressources du sous-sol naturel que les autres savent mieux apprécier et la valeur et l’importance pour assurer le progrès de leur bien-être. Nous ne sommes nulle part quand il est question de performances dans ce qui fait le meilleur qui distingue les contemporains : science, technique, technologie, arts et cultures.
Personne à ce jour ne saurait dire ce que ces arrogants et illustres pédants ont pu apporté à la vie tout simplement si leurs semblables continuent, des siècles durant, de se vautrer dans la fange de l’ignorance déshonorante.
Bien malin qui serait en mesure de dire ce que sera l’Afrique, non, plutôt les Africains dans un avenir plus ou moins long. Peut-être rien de plus que des spécimens dans des réserves écologiques pour en témoigner la trace de l’existence de l’homo africanus des temps modernes aux générations à venir. A ce rythme, eu égard à la densité anormalement élevée de l’insouciance et pire de l’inconscience maladive caractéristique d’une espèce en voie de disparition, l’Afrique développée qu’on annonce en grande pompe risque de ne pas être africaine. La médiocrité ambiante des élites africaines ne peut en aucun cas laisser place à une civilisation d’émergence fruit d’une intelligence structurée, digne de respect pour les autres sociétaires de l’espace monde.
Dans ces conditions, quelle infrastructure peut-on réaliser sur le continent Noir qui vaille bien la peine ? Aucune. Les seules et véritables infrastructures qui valorisent sont celles qui structurent l’esprit par le formatage du cerveau.
Ce ne sont pas, à priori, les routes, auto routes, ponts et autres aéroports qui fondent les bases de la civilisation. Mais, les savoirs et les savoir-faire acquis, l’ingéniosité et l’agilité intellectuelle du genre humain qui justement imagine, invente, conçoit, met en œuvre et entretien puis détruit et reconstruit en fonction des besoins de son époque. C’est le génie humain qui constitue l’infrastructure de base. C’est elle qui engendre les autres, toutes relatives.
Avec un cerveau bien fait, tout devient possible. Le développement prend corps dans le mental du « Citoyen Développeur », véritable artiste et artisan de l’œuvre transformatrice : les échangeurs, les autoroutes, les routes, les villes et les entreprises du progrès sortent de terre comme des champignons dès lors que la conjoncture s’y prête. Plus d’effort surhumain n’est nécessaire pour penser et produire du changement qualitatif. Par le travail normalement mené et rendu, s’opèrent les miracles fortement marqué par l’empreinte de l’homme bien-pensant et acteur agissant, faiseur de progrès.
Au Congo, comme un peu partout en Afrique, règne une atmosphère étrange et bizarre, notamment dans la haute sphère de ce qui tient lieu d’embryon d’Etat. Des personnages dont le profil intellectuel et mental ne trouve, à travers l’histoire de l’humanité intelligente, des références comparables. Ils se prennent pour des bâtisseurs… infatigables, ajoutent-ils pour bien paraître. Rien d’étonnant. Quand on sait combien les gens en déficit de culture référencée sont attachés aux oripeaux que confèrent les étiquettes d’apparat.
Qu’observe-t-on en jetant un regard nu sur l’environnement physique de vie des congolais et leur chef orgueilleux débordant de suffisance. Il est fait de nids de poule (trous) sur les rues et avenues, elles-mêmes jonchées d’immondices et toutes sortes de décharges qui rendent les villes et les villages insalubres ; des villes mal ou non urbanisées, à 90% formées de ghettos, etc…
Triste constat pour en déduire qu’il va de même pour les cerveaux de l’homo africanus de type congolais. Justement, si le résultat de la production de l’humain reflète l’état et la structure de son cerveau, alors, il va sans dire que dans la tête de nos « bâtisseurs infatigables » siègent mieux ronflent des cerveaux fait de nids de poule, d’immondices, des désordres organisationnels dont les reflets visibles se traduisent par toutes les pourritures que charrient nos cités.
Faut-il en conclure qu’un avenir est impossible pour le Continent Africain. Non. Un avenir est possible, si l’on se convainc du dicton que c’est au milieu des ténèbres que jaillit la lumière.
Mais tout de même, il faudra s’assurer de l’extinction de la race « d’intellectuels africains » du genre Obenga Théophileet Cie, qui pour assurer ses petits soucis bassement alimentaires, sont prêts à vendre leur âme pétrit à la sauce ethnique, donc incapable de jugement libre et intelligent.
Que vive l’Afrique… intelligente.
Par N’tekolo Menga
Publié à Brazzaville, le 13 mars 2014.
Diffusé par www.congo-liberty.org
Le Congo devrait se sortir de l’obscurité qu’il supporte depuis le putsch de Sassou.
Des écoliers transformés en mendiants de savoir ou d’un peu de considération, ne seront bientôt que de vieux souvenirs. En effet, le 14 AOÛT à 14h, le pays aura fini avec le despotisme le plus criminel de l’histoire africaine.
Jamais l’Afrique n’ a connu une telle barbarie politique et morale ces 30 dernières années. Le retour d’un Etat de droit en 2016 est une lumière qui éclairera toute l’Afrique avant de balayer les autres endroits dans l’obscurité, à travers la planète.
Le Congo libérera le monde du despotisme !
C’est un plaisir, comme à chaque fois, de te lire N’tekolo Menga. Rien à dire quant à la pertinence du sujet et surtout de la facon dont il est abordé. Il faut souligner que les dictateurs africains, a la différence de ceux qui ont fait l’europe, et plus récemment l’Amérique du sud et l’Asie, manquent d’une réelle capacité à penser leur société pour offrir un avenir à leurs sujets. Le cas de Sassou est énigmatique.: 30 ans de dictatures sans bâtir de serieuses infrastructures, ća releve d’un exploit que seul un homme depourvu du sens de l’histoire des choses est capable de produire. Mais la fin du cauchemar est proche. Une vague se prepare pour virer tous les imcompetents qui nous cassent les pieds.
Grrrrrr
On va bouffer du Sassou et ses rejetons dans quelques mois. Bo pataka mbangu! Quitter les choses avant que les choses ne vous quittent. Ce sera bientot fini avec la barbarie des Ndenguet et Obara, la triche des Mboulou et Bouka, la kleptomanie des Bouya et Ngokana, l’incompétence des Mvouva et Ossebi, de la tyrannie des Sassiu et Nguesso… Toleka,
Ah Obenga!!!!!! Vous avez dit intellectuel? Mon oeil, Pfffff
Chapeau. Ainsi soit-il
Bien dit…
« En jetant un regard nu sur l’environnement physique de vie des congolais et leur chef orgueilleux débordant de suffisance. Il est fait de nids de poule (trous) sur les rues et avenues, elles-mêmes jonchées d’immondices et toutes sortes de décharges qui rendent les villes et les villages insalubres ; des villes mal ou non urbanisées, à 90% formées de ghettos, etc…
Triste constat pour en déduire qu’il va de même pour les cerveaux de l’homo africanus de type congolais. Justement, si le résultat de la production de l’humain reflète l’état et la structure de son cerveau, alors, il va sans dire que dans la tête de nos « bâtisseurs infatigables » siègent mieux ronflent des cerveaux fait de nids de poule, d’immondices, des désordres organisationnels dont les reflets visibles se traduisent par toutes les pourritures que charrient nos cités. »
Un véritable faux débat est sur le site du lion de Makanda a propos de deux anciens députés congolais Georges Yambot et Henry Itoua. Qui des deux auraient été le premier à basuculer dans le camp Abbé F. Youlou pour lui donner 23 députés afin de reconforter son camp a prendre la tête du gouvernement et laissant Jacques Opangault avec 21 députés? D’aucuns disent C’est Yambot Georges qui l’aurait fait le premier après avoir perçu une bonne pécule de Monsieur l’Abbé Fulbert Youlou; d’autres retorquent que c’était Henry Itoua le premier a avoir abandonné Opango pour le camp youlou. Le debat est loin d’être clos. Du moins pour ne pas basculer dans les raisonnements tribalistes dont nous sommes habitués parfois, selon que Yambot Georges soit du sud et Itoua Henry du nord, (jusqu’en 1958 le tribalisme n’était pas encore aussi accentué comme nous le percevons aujourd’hui. Il ne commence à prendre une ampleur inquiétante qu’après la guerre de février 1959) Yambo et Itoua n’étaient pas motivés par ce virus pernicieux. Des sources sont citées pour etayer des positions contradictoires. On cite même le vieux Kikounga Ngot témoins de l’époque, ou encore les travaux du prof. Ndinga Mbot sur cette question. Ces personnes ont quelle autorité pour que leur propos soient pris comme paroles d’Evangile? A mon humble avis il y a des procès verbaux dans les archives de l’Etat qui pouvaient bien nous éclairer davantange là dessus. Aussi la source la plus fiable pourraient bien être aussi La semaine africaine. Commencé à paraitre depuis 1952, les évenement politique aussi importants qu’ont été le repositionnement de Yambot Georges ou Henry Itoua pour appuyer le prêtre démissionaire d’origine lari-Kongo ne pouvaient pas échapper à la publication des pères spiritains qui ne connaissaient pas Yambo ni Itoua ne pouvaient que nous présenter les faits tels qu’ils se sont passés. Alors essayer de rechercher dans la semaine africaine comment Youlou a eu cette majorité de 23 députés contre les 21 d’Opagault par le fait d’un transfuge qui serait peut Yambot ou Itoua. Débat lancé mais pas de passion.
Cependant je ne peux pas terminer ici sans tirer l’attention de certains compatriotes et surtout le Comte de Boundji et Vicomte d’Edou, Theophile Obenga. Voilà ce genre de sujet qui risqueront de mettre en difficultés des générations futures qui n’arriveront pas à apprecier les faits comme tels à cause des écrits partisans produits par des vrais faux historiens du genre Théophile Obenga. Nos enfants et les petits fils et arrières petits fils de nos enfants voudront bien connaitre la vraie histoire de leur aieux. Alors T. Obenga je vous mets en garde de ne plus produire des écrits fantaisistes pour faire revivre au futures générations ce que Sassou Nguesso vous dicte et que vous considérez comme histoire du Congo.
Mr Jean OKOMBA, il n’ ya pas débat, les écrits de Ndinga Mbot manquent d’objectivité sur le problème que vous soulever. Je suis du nord et sur la base d’un cahier journal mon grand père et ami de Henry Itoua, tenu entre 1947 et 1976 qui rapporte justement ces faits, c’est effectivement Georges Yambot qui accorda son suffrage à Fulbert Youlou en septembre 1957. Henry Itoua est venu juste donner le dernier coup de main une année après ou presque en Aout 1958 en apportant une majorité certaine a Youlou. Maitre Atondi Lecas confirme aussi cela dans une série d’article publiés dans la semaine africaine courant 1998 et une conférence -débat avait été organisée par la semaine africaine sur la guerre de 1959 où l’affaire Yambot Georges a été abondamment citée. Alors arrêté de suivre les falsificateurs de l’histoire du Congo. Les écrits sont là que l’on peut bien confronter avec quelques témoins encore vivant comme Kikounga Ngot. je ne comprends pas quelle était la motivation de Ndinga Mbot à écrire cette histoire falsifiée qui crée la confusion et le doute dans les esprits! Pourquoi Ndinga Mbot n’a t-il pas recherché à la semaine africaine des éléments assez importants sur l’affaire qui nous occupe ici. Voilà encore un autre intellectuel nordiste imbu dans le tribalisme comme son frère le pseudo historien et professeur Théophile Obenga. Dites la vérité un point c’est tout, quelle race d’intellectuels le congo a ? Des juristes aux journalistes en passant par les pseudo historiens et autres professeur du genre obenga, le tribalisme semble même guidé la recherche scientifique.