Dans la pensée africaine , la quasi-totalité des sociétés étaient matriarcales à l’origine. Cela signifie que la femme était considérée comme le pilier de l’édifice africain à tous les niveaux. La femme et l’homme étaient de même nature, par conséquent l’Afrique n’avait pas de problèmes d’égalité des sexes, d’infériorité ou de supériorité de la femme ou de l’homme.
Ainsi, la femme jouissait pleinement de ses droits et de ses statuts. Elle avait accès à la formation, elle pouvait travailler, aller au champ, faire la politique, être guerrière etc… Les femmes étaient donc présentes à tous les niveaux dans la société africaine. Nous avons quelques exemples de femme instruite PESESHET qui fut mathématicienne de renom à l’époque pharaonique. Aussi la femme pouvait être militaire ou guerrière pour défendre son territoire l’exemple des femmes guerrières au Dahomey appelées les AMAZONES, et les femmes guerrières dans l’empire Ashanti témoignent du rôle qu’avait joué la femme africaine dans la protection de son territoire.
Le fait que l’Afrique avait eu des femmes guerrières montre que nos ancêtres ne prenaient pas la femme comme quelqu’un de faible ou sans force. La femme pouvait être prêtresse et monter sur le trône royal, nous avons l’exemple de la reine POKOU, la reine HATCHEPSOUT, la reine RANAVALONA, la reine NZINGA, les reines de Nubie, la reine Ngalifourou. D’ailleurs l’Afrique est le continent qui avait eu le plus de femmes de pouvoir au cours de son histoire.
Toutes ces femmes étaient des femmes de convictions qui veillaient à l’intérêt général de leur peuple. Leurs convictions n’avaient été ni écorchées ni ébranlées par les religions monothéistes et le colonialisme. De nombreux travaux révèlent la résistance des femmes lors de la conquête ou pendant la période coloniale en Afrique. Ces résistances étaient souvent déclenchées par des décisions de l’autorité coloniale qui contrevenaient directement à leurs intérêts économiques et sociaux. On peut observer que les révoltes des femmes avaient conduit à des remises en questions d’ordre directement politique.
Exemple: – En Afrique de l’ouest: les femmes commerçantes avaient combattu au Togo, au Ghana , au Nigeria, au Sénégal , ou en Côte d’Ivoire à diverses reprises.
-La révolte des loméennes en 1933
-La marche des femmes ivoiriennes sur le grand Bassam
-La marche des sénégalaises en 1947-1948 etc…
Pendant que la femme africaine avait le pouvoir dans la tradition africaine, et avait la capacité de se révolter pour défendre ses intérêts et ceux de son peuple, la femme occidentale n’avait pas de statut clairement défini, elle n’avait ni accès à l’éducation, ni à la formation, elle était oppressée et était privée de tous les droits fondamentaux. Il faut souligner aussi que les peuples occidentaux sont des patriarcaux. Dans ces systèmes l’homme est mis en avant et la femme était perçue comme un objet de plaisir sexuel pour l’homme ou objet de procréation, elle était aussi perçue comme un être fondamentalement inférieur à l’homme ayant une tendance naturelle à faire le mal et le péché. L’idée du péché et du mal était véhiculée à travers les religions chrétiennes, juives et musulmanes.
La femme dans la société patriarcale n’avait pas été considérée lors de la rédaction de la déclaration des droits de l’homme en 1789, soit au 18è siècle. Cette charte des droits de l’homme qu’on présente comme charte humaniste était à l’origine une charte faite par les hommes et pour les droits des hommes uniquement au sens masculin du terme. Les femmes ne faisaient pas partie de cette charte. Révoltée une jeune française dénommée OLYMPE DE GOUGES a écrit une déclaration des droits de la femme. Elle fût arrêtée et tuée à cause de cela car toute la classe masculine était choquée qu’une femme ait osé mettre la femme et l’homme sur le même pied d’égalité ,en disant que la femme n’a pas de droits.
Entre temps l’homme africain s’acculturait progressivement et avait fini par décider de relayer la femme au second plan. La femme africaine devrait donc être mère au foyer et prendre soin de sa famille. Elle intégrera ce statut de façon inconsciente et se désolidarisera peu à peu de la gestion de la vie de la cité.
Présentement la femme africaine a repris peu à peu sa place, elle joue un rôle très important dans plusieurs domaines en Afrique. Elle est acteur de développement et représente plus de 50% de la population africaine. Sur le plan économique, selon l’OCDE , les femmes africaines constituent près de 70% de la force agricole du continent et produisent environ 90% de denrées alimentaires. Leur taux d’activité (61%)est supérieur à celui d’autres régions y compris l’OCDE.
En s’appuyant sur ces indicateurs qui lui sont favorables , ne pouvons-nous pas dire que la femme africaine a un grand rôle à jouer dans le processus de démocratisation du continent? Autant elles ont pris conscience de la nécessité pour elles de contribuer au développement de leur pays en tant que membre de la société civile, autant elles devraient désormais promouvoir la démocratie en vue de construire un État de droit. Elles pourront ainsi vivre et circuler dans un État plus sécurisé où elles feront valoir leurs droits les plus fondamentaux.
L’exemple du Congo nous interpelle car au Congo la femme subit le désordre installé consciemment par le régime totalitaire de Denis Sassou NGuesso. Très peu de voix s’élèvent pour défendre les droits humains bafoués au quotidien. Lors des événements socio politiques de 1997 des milliers de femmes ont été violées. Elles n’ont fait l’objet d’aucune protection sociale et juridique.
Le Congo Brazzaville est un pays situé en Afrique centrale avec une population de 4,662 446 habitants, il est regorgé de matières premières (or, pétrole bois etc…). Malgré sa richesse l’espérance de vie est de 58 ans au Congo, le taux de fécondité est de 4,73% , et le le taux de natalité est de 36,59% en 2014 alors qu’il était de 44% en 1970. Une forte baisse de natalité est observée en l’espace de 44 ans. Nous observons qu’aucune politique de natalité n’est mise en œuvre pour favoriser la croissance démographique de notre pays. La situation est catastrophique car on dénombre un taux de mortalité de 59,34%. Plus criard est , le taux de mortalité des moins de 5 ans en 2010 , il était de 93%. Ces chiffres sont couronnés par un taux de chômage de 53% en 2012. En ce qui qui concerne l’alimentation, 37% de la population congolaise est sous-alimentée, la majorité n’ont pas accès aux soins.
Cependant l »histoire démontre que les femmes ont toujours fait montre de leurs capacités à gérer pacifiquement la vie de la cité. Nous disons que la situation politique qui prévaut actuellement au Congo nécessite l’implication de celles-ci afin de favoriser l’alternance démocratique sans violences. Nous savons tous qu’un conflit armé fragiliserait le tissu social et causerait plus de désastre tant sur le plan humain que sur le plan matériel.
Les victimes une fois de plus seront les femmes car selon l’examen et l’évaluation du programme d’action de Beijing (2000), il y a un siècle,90% de ceux qui mourraient à la guerre étaient des soldats. Depuis quelques années, les conflits armés affectent plus particulièrement les femmes et les filles du fait de leur statut social et de leur sexe. Au Congo , en 1999, il y a plus d’1 milliers de femmes violées. Nombreuses n’avaient pas eu le courage nécessaire de se présenter à la consultation de l’hôpital de Makélékélé.
Ainsi nous pensons que les femmes sont en capacité de s’inscrire dans le processus démocratique au Congo Brazzaville. Au-delà de leurs capacités reconnues, elles disposent d’un environnement théoriquement favorable et d’une plateforme de revendications connues dans les différents pays d’Afrique qu’elles peuvent défendre. Le programme de Beijing recommande également aux gouvernements et aux partis politiques de prendre des mesures propres à assurer aux femmes l’égalité d’accès à la pleine participation aux structures du pouvoir et à la prise de décision.
Fait à Paris le 16 mai 2015
Mme N’DION Marie France
Responsable pôle solidarité et jeunesse
Les Assises Nationales pour l’Alternance Démocratique
Au Congo elles se sont plutôt illustrées dans l’URFC par des Promotions « canapé », aujourd’hui ce sont le Belinda, les Mougani, les Mounari, les Coco, et toutes ces vieilles pétasses qui ont fait la vie chez café NONO avec ces caciques du PCT. Aucune d’elles n’a eu la vertu de KIMPA MVITA.
Pour moi, la femme donne avant tout la vie; et a ce titre elle mérite la protection de l’homme. Et la Bible est clair la-dessus quant au rôle qu’elle doit remplir dans la société. Mais je suis contre le fait qu’elle puisse se retrouver partout ou il y’a des Hommes.
Regardez ce qui se passe en France quand on donne trop la parole aux femmes, il n’y’a plus de mariage, que des Compagnes et des PAX.
Dans le Congo de demain il est souhaitable de savoir tirer des leçons sur les vilaines pratiques d’hier. Des femmes instruites OUI mais sachent d’abord remplir le rôle d’aide semblable de l’homme. Pas des femmes qui passent tout leur temps dans l’hémicycle au Palis du Peuple, a coté des hommes, çà NON.
Permettez a vos femmes de se retrouver partout, mais quand elles iront rencontrer des dragueurs qui les amèneront dans les hôtels qui pullulent dans Brazzaville, ne vous en plaignez pas.
Sans rancune.
A KIMPA VITA
Fille des lumières des temps sans fin,
l’Afrique clame tout haut ton idéal,
L’écho de ta si belle voix résonne,
et touche l’âme féminine de cette
forêt noire.
De tes mots brûlants de foi,
sillonne le torrent de l’unité
source de longévité culturelle.
De ta condamnation au feu
a jailli une flamme d’espérance
et de conscience féminine.
De cette conscience féminine
des combats pour la liberté
du bien-être social et de la vie.
Et de ce lourd tribut est née,
une Afrique nouvelle de liberté
et de vie.
C’est pourquoi, ton âme angélique
restera à jamais l’éternel guide des
générations à venir.
TAATA N’DWENGA
« Cette charte des droits de l’homme qu’on présente comme charte humaniste était à l’origine une charte faite par les hommes et pour les droits des hommes uniquement au sens masculin du terme. Les femmes ne faisaient pas partie de cette charte »
Eh bien, je dirais la même chose du vécu actuel des femmes au Congo. Je ne suis pas contre l’implication de la femme en politique, mais elle doit d’abord commencer son combat politique en revendiquant ses droits les plus élémentaires fondés sur son propre agenda.
L’agenda politique ne correspond pas à celui des femmes. Tant et aussi longtemps que la congolaise ne le comprendra pas, elle sera toujours utilisée par les congolais comme elle le fut du temps de l’URFC.
Dans un pays où les hommes ont des besoins centrés uniquement sur le sexe, contrairement à d’autres pays où ils créent la richesse, je suis toujours surpris comment les femmes n’arrivent pas à avancer leurs causes. Au Kenya, il fut un temps qu’elles avaient déclenché la grève du sexe pendant plusieurs jours afin de forcer les politiciens à un accord politique pour sortir du conflit post-electoral. Malheureusement au Congo, le modèle des femmes que nous avons sont des belinda ayessa, adelaïde mougani, nonot, munari, et autres qui font ………… (Pour plus d’informations veuillez vous référer au livre de Ondelé Ngolo Benoit qui a très bien écrit sur le sexe en politique au Congo. Il raconte même le commerce sexuel de son ex)
Indignez-vous congolaises. Levez-vous et montez aux barricades pour reprendre vos droits.
Elles ont choisi leur camp: être placées par soit le tonton, soit le passe-droits, soit maman ou papa qui a déjà fait le circuit des flatteries via PCT , en tout cas se battre pour se faire un nom par soi- même, non! La femme au Congo il y a longtemps qu’elle a disparu des reines de la société.
Je suis d’avis avec tous les Intervenants; Mr. MALEKAT doit plutôt rejoindre les braves Frères exposés au Pays a la vindicte des Soldats voyous qui constituent notre Force Publique actuelle. Mais de retrouvailles avec les femmes comme celles que je vois sur la photo sirotant des boissons rares, ce n’est vraiment pas le combat du moment. Et puis franchement ça semble n’intéresser personne. J’aimerais les voir remplacer nos vieilles Mamans a la fabrique de manioc, des mingoueles, missombos etc…Quand elles seront capables de relever ce défit, je les respecterai . Nos Pauvres Vieilles sont déjà frappées par l’age et la maladie faute de soins de qualité avec ce CHU ou exercent des Professeurs arrogants et incompétents, amoureux des évacuations en France pour faire leurs achats.
Nonnnnnn le Congo doit changer. Les femmes comme Adélaïde est sortie a la foi avec NICOLOSO (feu), MANKOU (feu), DIAWARA (feu), MOUNDELE NGOLO, SASSOU etc…. c’est ca l’émancipation de la femme Congolaise ?
Allez cassez-vous, Salopes!
Nous devons être d’avis que certains de nos compatriotes peuvent mener hors de notre pays le combat outre Congo! Ce n’est pas un crime à l’image du Général Charles de Gaules, la Duchesse Charlotte du Luxembourg, j’en passe. On peut sauver son pays de l’extérieur. Quand on sait comment la police politicienne se comporte. La seule crainte,ne pas perdre son âme. Quand à dire que toute congolaise est salope, non! Cherchez bien dans l’ombre, il y en certainement qui s’y cachent.
Ceux qui insultent nos sœurs sont ceux là mêmes qui courtisent Munari, Mungani Adélaïde, Nonot, Antoinette et compagnie, les p……. de la République ! Et aucun d’eux ne critiquent Sassou ! Jamais !
Nous rentrerons tous nombreux et je suis sûr que JL Maleka sera devant. Le temps des voleurs et des assassins est terminé
Les cons-golais sont très méchants. Voila que certains,misogynes décomplexés se permettent non seulement d’insulter toutes les femmes ont les comparant toutes à MUNARI ou Adélaïde Moungani ! C’est de la lâcheté. .
Avec ce raisonnement sordide et en suivant cette logique, on peut donc comparer tous les hommes de notre pays aux assassins que sont Sassou Nguesso et Ndenguet !
Nôtre pays est dans dans le gouffre par la faute des hommes et non des femmes. Arrêter donc de déverser vos frustrations et votre mépris sur nos mamans, femmes, sœurs et filles, pour vous concentrer sur des voleurs que sont les Sassou, Nianga Mbouala, okombi et autres. ..
Nous sommes tres proche des jours critiques de notre Pays, ou il faudra que tous les Congolais de l’Intérieur et de la Diaspora manifestent sous toutes les formes visibles leur refus d’accepter l’abus de Pouvoir perpétré par un seul homme: « SASSOU NGUESSO Denis ».
La Prolongation au Pouvoir de cet Homme signifie l’esclavage de tous les Congolais ou qu’ils se trouvent, et cela jusqu’à la mort de toute cette famille.
Il restera peut être la solution Modeste BOUKADIA a laquelle j’ai peur d’adhérer c’est a dire la séparation en deux CONGO: le Nord Congo avec pour President SASSOU NGUESSO Denis et le Sud Congo avec un Pouvoir tournant autour des cinq Régions qui le composent.
Nous n’en sommes pas encore-la, mais il faut que les Congolais de toutes les Régions manifestent énergiquement le désir de voir ce Dictateur partir du Pouvoir. Or que remarque t-on en lisant sur la toile, des sympathisants zélés de l’homme, qui parviennent en les lisant a semer le doute dans les Esprits des braves Congolais.
Le Congo doit se libérer de son grand copulateur Pénis Sassou Nguesso et de son gang d’enfants et de neveux.
Tant que cette clique sera à la tête de l’état aucun espoir n’est permis.
Un jour de courage populaire et le pays pourra retrouver un avenir radieux.
Franchement, il y a de quoi se demander s’il faut continuer à discourir dans la langue de Molière avec le congolais. Si les attaques sont adressées à Bakala, je vous demande de bien relire ce qui est écrit.
Au lieu de continuer à être la seconde roue du congolais, la congolaise, dans la lutte de libération du Congo, doit aussi avancer ses pions dans ce monde façonné suivant les intérêts de l’homme. Ses pions commencent par la revendication et l’acquisition de ses droits bafoués par le congolais. Le contraire serait de continuer à vivre une vie dessinée par ce derniet. Quitte à être féministe, pourquoi pas.
Qui a peur du féminisme et des féministes au congo? Qui a peur de la congolaise émancipée du statut que le congolais veut lui coller à la peau?
Dites-moi, trouvez-vous normal qu’un mari puisse bastonner son épouse adulte devant les bandeaux ou priver celle-ci de rendre visite à des amies? C’est ce qui se passe au congo. Les femmes ont le droit de disposer de leurs corps; mais au Congo ce n’est pas le cas. En milieu de travail, à qualification égale, le congolais gagne plus que la femme. En politique, la femme n’a pas assez de place.
Cette situation doit changer, n’en déplaise aux misogynes qui, comme la Bible et le Coran, croient que la femme n’est pas l’ égale de l’homme. Ceux-ci ont , en partie , raison quand on observe le comportement des femmes comme belinda ayessa, adelaide, nonot, munari, antoinetta, etc qui sont la risée des hommes qui les prennent pour des jouets. Vous remarquerez que ces dernières sont des pauvres victimes d’un système mis en place par le congolais. Pouvez-vous imaginer dans des pays où la femme est respectée qu’un président puisse avoir pour nième épouse la fille de son directeur de cabinet. Et pire, cette dernière a le culot d’appeler la femme officielle du président « maman » alors qu’elle lui a ravi son mari?
Au Congo-Brazzaville, même si nous avons la mémoire courte, n’oublions point Angèle Bandou qui se positionna deux fois aux présidentielles, Sidonie Salabanzi brava les hommes en 1991 lors de la Conférence Nationale Souveraine en briguant le poste de premier ministre, Jeanne Dambezet, grande figure féminine tout comme Émilie Manima, Matingou, Birangui, Marie Théràse Avéméka, Émilienne Botoka, etc.
Les luttes de celles que tu cites, sont biaisées parce qu,elles sont pour certaines, produits du pct.
Dambenzet, dites-vous? Eh, cette porteuse des armes qui ont tué les congolais? Demandez aux élèves du lycée de Dolisie ce que cette dame leur a fait en 1985?
Non, mais. Grande figure féminine. Citez-moi ce qu’elle a fait pour les intérêts des femmes? Dites-moi une seule réalisation de cette criminelle qui cachait des criminels chez elle au Plateau des 15 ans?
Voilà encore une qui n’a rien compris du combat des femmes.
Braver les hommes à la conférence nationale, c’est encore quoi? Oh, pitié. Youlou avait raison en maudissant ce pays qui allait être dirigé par un fou.
La grandeur d’une personn se mesure par ses réalisations, ses idées. Excepté Mme Birangui et Avemeka, les autres sont des maîtresses de petit satan. Qui se ressemblent, s’assemblent .
La femme a des droits qu’on ne pourra jamais lui enlever. Elle pense les avoir perdu parce qu’elle ignore aujourd’hui quelle est le role qu’elle doit jouer dans la societe.
Pour ma part, je pense que son combat devra commencer dans son foyer, pour la femme mariee et dans sa famille, pour la femme celibataire, avant de pretendre gouverner la cite.
Pensez-vous que KIMPA VITA a sollicite des suffrages? Non! elle s’est sentie investie d’une mission, y a cru, s’est fait une place, aux forceps et s’est imposee face a des hommes, pour la restauration du royaume du Kongo. Et….., elle en est morte!
Elle ne passait pas plus de trois heures chez sa coiffeuse pour se faire epiler, appliquer de faux cheveux sur ses vrais, ni se curer la peau et moins encore, vendre son « droit de cadette » en portant la culotte devant les hommes!
Vous revendiquez vos droits, c’est bien, mais vous les detenez toujours, on ne vous les a jamais arraches, exercez-les, c’est tout!
Attendez-vous comme les congolais qui attendent PASSIVEMENT que sassou demissionne alors que sa chute depend de leur ACTION ou de leur REACTION?
Rentrez a la maison, votre combat est perdu d’avance, vous ne serez jamais des modeles de vertue comme les KIMPA VITA, GNALI et autres..
Et,
Nous devons construire et non employer la violence , le Congo est un bien commun les femmes ont la responsabilité de s’engager et de protéger ce pays comme l’avaient fait nos reines courageuses contre les envahisseurs. De plus elles n’avaient pas tous les moyens que nous possédons aujourd’hui mais l’histoire nous dit qu’elles se sont battues farouchement pour protéger les leurs. C’est pourquoi je pense que la femme africaine plus précisement la femme congolaise a des capacités pour faire face à ce nouveau défi.