L’EAU DEMEURE DU SAINT-ESPRIT : LE FLEUVE CONGO SOUILLE. Par Marcel Abigna

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Beaucoup de nos hommes politiques font fi d’oublier et de ne pas connaître le rôle de l’eau dans nos vies, et pourtant, elle est la mère de tout ce qui vit. Comme le dit la Genèse dans le livre de la création ; au premier jour du monde, le Saint-Esprit repose sur les eaux semblables à l’oiseau qui couve son nid. Le puissant et majestueux fleuve Congo dont le Grand Kalle chante dans « Ebale ya Congo » la beauté et la gloire, et dont Emilie Flore Faignon donne la définition : « il est l’hymne, il est le drapeau, il est la patrie, il est géant et puissant, il est— il est dans chaque pas, résonne sur le bouclier de feu de la terre Ebène » est devenu depuis des décennies la poubelle et le tombeau des cadavres de ses propres filles et fils au regard des guerres civiles à répétition que les deux Congo ont connues.

Il est le témoin de notre histoire, tant coloniale que celle de nos indépendances; il est aussi témoin de nos amours. Combien de fois l’inspiration des vedettes musicales des deux rives n’a-t-elle pas rehaussé la beauté de la femme congolaise à travers le lit dormant de ce fleuve qui cache pas mal de secrets ?

Qu’est-ce que l’eau ? Avant l’ère chrétienne, c’est-à-dire avant Jésus- Christ, les grandes écoles de philosophie de la Grèce Antique, en particulier celles de Thalès et de Pythagore posaient un principe ; que parmi les quatre éléments, air, feu, eau, terre, l’eau était considérée comme celui qui avait donné naissance à tout ce que nous voyons. Cette thèse est confirmée par le plus grand savant naturaliste romain Pline qui écrit : « l’eau est la reine de tout, elle conserve la terre, elle tue le feu, elle monte en haut et possède l’empire du ciel. En tombant elle donne naissance à ce que produit le terre. Prodige de la nature ». Si l’on considère comment vivent les arbres et les plantes, comment l’eau monte dans le ciel et comment elle en descend pour donner la vie aux herbes, on confessera avec vérité que la terre doit tout à l’eau.

Après cette approche philosophique de l’eau, le Christ et les pères de l’église ne sont pas en reste pour donner encore une preuve éclatante du caractère sacré de l’eau. Heureux mystère que celui du baptême de Jésus Christ aux eaux du Jourdain, l’apparition du Saint-Esprit sous une forme sensible de colombe ; d’ailleurs, ayant été baptisé, le ciel fut ouvert pour nous montrer d’où nous viendrait les vertus de la sanctification. Aussi, pour tous les Chrétiens, lors de notre baptême nous sommes purifiés de nos anciennes fautes et sommes rendus libre pour la vie par l’eau. Le saint concile de Trente interprète infaillible du maître déclare : « que la cause instrumentale de la sanctification, c’est le sacrement du baptême ».

Jésus-Christ dans Jean 3 déclare que : « quiconque ne renaît pas de l’eau et de l’esprit, ne peut entrer dans le royaume de Dieu ». Combien de fois Jésus a fait servir l’eau à ces mystères et à ses miracles, au seuil de sa vie publique, il veut manifester Sa divinité avec un éclat irrésistible. Son premier miracle sera comme sa lettre de créance : pour l’opérer quel élément emploie t-il ? L’eau. Le changement de l’eau en vin aux noces de Cana.

Les pères de l’église, en commençant par le prince des apôtres Saint Pierre, déclarent : « que le ciel et la terre n’ont toujours pas existé, mais qu’au commencement ils furent tirés de l’eau, qu’ils subsistent par l’eau et qu’ils doivent leur consistance grâce au verbe divin ». Chez certains pères et chez certains commentateurs l’interprétation des paroles de l’apôtre est invariable ; en première ligne nous trouvons le pape Saint Clément, disciple de Saint Pierre, qui assure la tenir de la bouche de son auguste maître. « Je vais vous apprendre, me disait Saint Pierre, comment et par qui le monde a été fait. Au commencement, Dieu fit le ciel et la terre, comme un seul édifice. L’eau qui occupait le monde, Dieu la condensa comme une glace, la rendit solide comme le cristal ; elle forma le firmament qui enveloppe tout l’espace compris entre le ciel et la terre’ ». On le voit il n’est question que de l’eau comme matière élémentaire. Dieu l’a séparée en deux parts, l’une réduite en l’état concret forma la terre ; l’autre tenue en suspension dans le vide s’appelle le firmament et forme autour de la terre comme une couronne de cristal.

Eaumenius parle aussi comme Saint Clément, il déclare « le ciel et la terre ont été fait de l’eau, le ciel n’est que l’eau vaporisée ou l’état aériforme ; et la terre de l’eau solidifiée ou l’état concret ». Saint Augustin n’est pas moins explicite : « au commencement, dit-il, les cieux et la terre furent faits de l’eau et par l’eau, il n’y a donc rien d’absurde de dire que la matière primitive, c’est l’eau, car tout ce qui naît sur la terre, les animaux, les herbes, les êtres semblables, doivent à l’eau leur formation, leur nourriture ». Tel est le sentiment de quelques docteurs de l’église auquel le troisième verset de la Genèse va donner une éclatante confirmation. « Et l’esprit de Dieu planait sur les eaux ».

Quel est cet élément ami de l’homme, cette belle et bienfaisante créature dont nous faisons un si fréquent usage. L’eau est la mère du monde et le sang de la nature, sans l’eau, rien ne peut naître, ni se conserver, ni être accommodé à nos usages. Ajoutons avec Enselius que, de tous les éléments, l’eau est celui qui semble rendre le plus de gloire aux attributs de Dieu. Apprenons encore combien grands doivent être notre humilité et notre détachement des créatures. Qu’est-ce que notre corps ? De l’eau figée. Que sont les animaux, les plantes, la terre, toutes les créatures ? Elles sont de l’eau figée. D’elle encore sont nés les animaux qui remplissent la terre, les poissons qui peuplent les fleuves, les rivières et les mers. Les oiseaux sont les frères des poissons par la gentillesse de leurs formes, la vivacité de leurs allures, l’éclat, la magnificence et la variété de leur plumage, la sûreté de leur instinct, et l’harmonie de leurs chants.

Sur le plan scientifique, surtout au niveau de l’enseignement de la chimie et de la biologie, on déclare qu’au lieu de cinquante corps simples, on reconnaîtra qu’un seul élément a suffit pour entrer dans la composition de tous les autres corps. L’eau est l’élément générateur des êtres matériels, elle joue un rôle presque souverain dans tout, car elle entre dans nos aliments, qu’elle est le remède direct à une foule de maladies et elle sert de véhicule à la plupart des médicaments.

Il est donc vrai de dire que l’eau est l’élément le plus ami de l’homme, nul autre ne nous procure autant d’avantages ; pour ceux des hommes politiques congolais en mal de violence, nous osons espérer que loin pour eux de servir le fleuve Congo comme tombe aux cadavres politiques, qu’ils réfléchissent qu’en faisant cela ils commettent un grave péché, un péché contre le Saint-Esprit ; et le Christ a dit  « Dieu pardonnera aux hommes tout péché, mais tout péché contre le Saint-Esprit ne sera pas pardonné ni dans ce monde-ci, ni dans le monde à venir ». Le fleuve Congo qui nous a vu naître doit être considérer comme la mère des congolais et des congolaises ; elle doit être comme une muse gardienne des mystères protecteurs de notre beau pays en le souillant tout le temps nous entrons en complicité avec Satan, car l’objet privilégié de haine de Satan, c’est la femme et parmi les créatures inanimées c’est l’eau. La femme parce que dans Marie, elle est la mère du Verbe incarné, l’eau parce que dans le baptême elle est la mère du chrétien frère du Verbe incarné.

Concluons avec Saint Ambroise qui nous donne une leçon qui traduit l’étroite et indissoluble union de la terre et de l’eau et aussi de l’étroitesse de nos vues et de notre ignorance. «  Voyez dit-il, quelle bonne mère est l’eau, elle nourrit ce qu’elle enfante et, ne s’en sépare jamais. Et toi, Ô homme tu as enseigné l’abandon des enfants par leurs parents, les séparations, les offenses, apprends de l’eau quels liens intimes doivent unir les parents et les enfants. » Aux esprits dominés par le pouvoir de Satan, sachez que la révolte des puissances de l’eau, qui nous ont donné la vie, est beaucoup plus puissante que toutes les armées du monde ; malheur à ceux qui reprendrons leurs exercices macabres d’aller jeter les corps des Congolais dans le fleuve nourricier de nos ancêtres. Prenez garde, car ce n’est pas pour rien que tous les enfants au monde avant de naître reposent dans le ventre de leur mère sur ce que l’on appelle la poche des eaux ; mystère du créateur.

 

Par Marcel ABIGNA Diffusé le 25 novembre 2014, par www.congo-liberty.org

 

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8 réponses à L’EAU DEMEURE DU SAINT-ESPRIT : LE FLEUVE CONGO SOUILLE. Par Marcel Abigna

  1. Isidore AYA de Makoua dit :

    LE VRAI DÉBAT COGNITIF ET URBAIN…

    A l’heure actuel de la condition humaine au Congo – c’est plus de 77% de l’électorat nordiste qui ne souhaite plus voir Sassou Nguesso au pouvoir et maintenant.

    1984 à 1991: Isidore AYA TONGA connait en date clé, les premières pierres des quartiers mikalou II, Ngamakosso, Kombo et aujourd’hui Djiri et puis…

    Il était alors étudiant à la faculté de sciences de Brazzaville dès 1986 et expliqua entre 1990/1991 à ses élèves du drapeau rouge des risques urbaines à venir au cours des 30 prochaines années (cour de géologie en terminal D3, C1 et de classe de première A2 du même lycée).

    Les mots du clan au pouvoirs entrainent les maux auxquels sont associés l’hécatombe de la condition humaine au Congo du tyran stupide SS Sassou Nguesso.

    Chronique du chaos !

    3 morts à Ngamakosso, où sont Sassou et Jean Jacques Bouya et puis des milliers de morts dans le fief nordiste du régime Sassou Nguesso Nguesso à Brazzaville…

    Jean Jacques Bouya, Isidore AYA TONGA n’aucune intention de vous faire des cours de géologie, sédimentologie, d’assainissement, de collecte et traitement de déchets, des eaux usées, d’urbanisme et de l’habitat à l’échelle du chaos urbain à Brazzaville.

    Et pour cause – les enjeux de votre cerveau ainsi que les ressources financières nécessaires à la modernisation d’une capitale politique du Congo sont ailleurs – et cela avec combien d’autres chaos urbains dans le pays?

  2. Anonyme dit :

    Le clan Sassou est toujours hanté par la mort des autres; les 350 disparus du Beach ont été engloutis dans ce fleuve majestueux, Marcel Abigna comme dans ses habitudes invoquent le rôle vitale de l’eau, car l’eau c’est la vie, le clan Sassou est condamné par le péché ils sont entrain de chercher partout la porte de sortie, ils ne la trouveront pas .

  3. Mudumango dit :

    S’il fallait encore disserter sur l’eau, des indications sur sa magnificence de vie mais aussi sa force destructive participant pourtant (ce qui d’emblée apparaitrait paradoxale) à la construction du nouveau, on en a à l’appel!
    On se désaltere avec une magnfique eau de source, limpide et exempt de saveur ni d’odeur mais déchaînee, la meme source d’eau à forte pression (debit) est ravageur, mortelle en emportant avec lui détritus mais aussi vie pour laisser place au vide après ce « nettoyage ».
    Saleté et immondices apparents et non apparents sont l’environnement pteferentiel offert par le « malin » à ses oialles pour leur maintien dans la subordination. Et Bzv, Pte-Noire, et bien de grandes villes de ce lugubre pays sont remplies d’immondices, sales et nauseabonds aux sens propre et figuré!
    Il semble que par le déluge et l’innondation, Noé aurait été témoin de la fin d’un temps et l’apparition d’un autre nouveau qui lui apparu lumineux et beau.
    Les footeux de la vielle des grandes joutes d’antant à F. Eboue, revolution, pont ou mvoulalea savent que toute flotte était redouté le jour J pour ne pas « lessiver » la potion magique, parceque  » Kissi pe epolaka »
    Les innondations dans Bzv et Pte-Noire vont être récurrent
    A bon entendeur!

  4. Kouakou dit :

    Sassou devra tôt ou tard rendre compte aux congolais de ses actes barbares, criminels et sanguinaires. Tous ses actes crapuleux menés par sassou ont laissé beaucoup des enfants orphelins de leurs pères et mères. Nombreux sont ses parents qui ont perdu leurs enfants a cause de la barbarie de sassou et ses criminels miliciens cobra. Beaucoup des femmes sont aussi meurtries par la mort de leurs maris. Sans oublier, ses frères et sœurs qui ne verront plus les leurs.
    Pendant ce temps, sassou retrouve subitement la mémoire de tous ses actes commis à l’égard du peuple congolais et voudrait modifier la constitution afin d’échapper a la vindicte populaire. Non monsieur sassou, vous pensez être le plus congolais des congolais en nous privant: de l’eau potable, l’électricité, la liberté de s’exprimer comme en le voudrait, la nourriture, des infrastructures sanitaires et éducatives dignes de ce nom etc…
    Monsieur sassou, je suis vraiment persuadé que vous serez rattrapé par la mère nature qui elle ne saura pas vous pardonner. Parce que tout se paye ici bas. Votre frère Compaore est bien placé pour vous le dire, un coup de fil de votre part suffirait.

  5. mackatchicaya dit :

    A l’époque où nous grandissions il y a avait des rivières la mfoa, qui avait sa source vers les 10 maisons aux encablures de l’école des filles du plateau de 15 ans, avec son prolongement dans le madoukou, et du côté de l’école des trois martyrs (moungali) entre la rue sibiti et le versant donnant à ouenzé on avait la rivière avec pour prolongement le » madoukou » qui traverse tout ouenzé jusqu’au petit pont donnant sur l’avenue de la paix partant du stade éboué.

    L’amour de l’eau à mfilou et la rivière Tsiémé…voilà comment naturellement la ville de Brazzaville était; et toutes les eaux de pluies trouvaient facilement un conduit vers le majestueux fleuve Congo.

    Au fur et à mesure que la population de la ville a grandi vers les années 70 avec comme corolaire « le yaka nokinoki billet na yo éko foutama na maya -maya » eh! ben! la ville encore était entretenue car les personnes responsables de cette époque où les services de postes et d’hygiène étaient conscientes ne voyaient pas venir le danger…..la distribution des lopins de terre se faisant sans tenir compte de l’état géologique des sols ,,,,,les constructions commencèrent anarchiquement ; sans un plan cadastre fiable,,puisque déjà au même moment la corruption prenait de l’ampleur.

    Aujourd’hui ce qui s’est accentuée l’envie d’avoir comme les autres et même les dépasser pousse, certains personne à vilipender le bien collectif et ne pas s’en faire pour l’avenir. les comportements déviationnistes et malpropres des uns causent du tort à tous et voilà où nous en sommes; à pointe noire comme à Brazzaville.

    La gestion domaniale ne se fait pas comme si l’on allait acheter du pain chez le mauritanien du coin, non il ya des études pour cela ,,mais l’on constate aujourd’hui que n’importe qui peut être nommé pour gérer les affaires domaniale et l’assainissement d’une ville. Bref c’est toute la politique dans son ensemble qu’il faut remettre en cause avec les animateurs de ces départements, il ne manque pas de cadres dans ce domaine de compétence, mais la mauvaise fois des uns fait qu’il arrive ce que nous dénonçons tous.

    Lorsque le SIDA frappait pour la première fois dans les familles à Brazzaville dans les années 80 il y en qui se moquaient des autres et aujourd’hui comme partout dans les familles au moins une a connu ce mal plus personne ne se moque de ceux qui en souffrent. Pour dire que lorsque la faim guète un ami ne rigole pas le jour qu’elle t’attrape elle fera plus mal puisque pas habitué. Ce phénomène ne touche plus que les pauvres à Brazza, car les plus belle villas sont celles des responsables et souvent dans des endroits où les éboulements sont faciles. Il se pourrait que les gens prendrons conscience maintenant ….de ne pas chasser les pauvres sur leurs terres et s’y mettre parce que gradés et haut placés.,,,Voilà que la mère nature arrive pour rétablir les équilibres. Condoléance à ces familles démunies qui subissent l’incompétence de certaines personnes véreuses qui ont vendus ces places.

  6. Anonyme dit :

    Ce qui est en cause ici c’est l’utilisation qu’en fait nos hommes politiques de l’eau, quand vous trouver un plaisir pour tuer il est bon d’aller enterrer soit dans les fosses communes, ou ailleurs, comme les dirigeants du PCT savent le faire que d’aller jeter dans ce fleuve qui nous procure une grande partie de notre nourritures par ces poissons et par l’eau que nous buvons; aujourd’hui ou tout doit être mise plat car avec ce système de Sassou tooutes questions deviennent politiques. Car ce karma que le Congo connaît concerne aussi l’eau.

  7. A propos des érosions dues aux grandes pluies de Brazzaville.
    Nos Frères qui ont tenu a créer les quartiers « simba pelle » et toute la ceinture de Brazzaville doivent savoir qu’une étude faites par le CRET( service des cadastres qui se trouvait en face du lycée Javouhey) avait déclaré ces sites comme dangereuse a l’urbanisation. Mais par entêtement pour avoir un quartier propre a une région donnée, ils y ont construit; voila aujourd’hui les conséquences.
    Avis aux prochains Gouvernants: délocalisez les.populations de ces endroit, quitte a ce qu’ils soient lotis apres 45 Km ou c’est plat. Ce sera peine perdu gaspillage inutile d’argent que de procéder a des remblais qui ne serviront a rien. Ce qu’il faut c’est quitter les lieu et y planter des bambous et du gazon pour retenir le sol.
    Pour ceux qui n’ont pas peur de vivre avec les peuples du POOL qu’ils aillent acheter des terrains vers les MBOUONO et sur la Nationale 1. Les sol est rocailleux la-bas. Pensez a vos Familles en cas de pluie diluvienne.
    C’est un conseil de frère après tout. Si ce que je dis est faux, je prends le frère MALELA qui justement commandait ce service des cadastres a l’époque, a Témoin.

  8. Isidore AYA de Makoua dit :

    Le réchauffement climatique est à l’échelle continentale et ou globale – mais pourquoi les pays du continent ne sont-ils pas submergés par rapport à la raison évoquée par le pouvoir de Brazzaville?

    Les cours d’eaux, ruisseaux, rivières et fleuves du Congo ne débordent pas de leur lit – mais comment cela se fait t-il que la moindre goutte de pluie fait peur aux habitants des villes congolaises?

    Où sont les cerveaux, les élites, les classes politiques, les intellectuels, universitaires, scientifiques, géologues, les urbanistes, environnementalistes, entreprises de gestion urbaine, les bureaux d’études, les services techniques municipaux locaux et le pouvoir politique sur différentes échelles au Congo?

    congo – objectif2050

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