Ce dossier a été établi par des plagiés du Doyen Placide Moudoudou – Sylvie Torcol, Maître de conférences (HDR) en droit public à l’Université de Toulon, membre du Conseil national des université (2e section, Droit public), Vincent Foucher, Chargé de recherche au CNRS, analyste principal pour l’Afrique de l’Ouest de l’International Crisis Group, et Cédric Milhat, docteur en droit, membre associé du CERDRADI (Univ. de Bordeaux 4), Directeur juridique territorial – avec l’appui de Jean-Noël Darde, éditeur du blog Archéologie du copier-coller.
Les citoyens de la République du Congo sont invités le 25 octobre prochain à approuver par référendum une nouvelle constitution. Mais à deux semaines avant ce référendum, le texte n’était toujours pas à la disposition des citoyens [13 octobre : il vient d’être mis en ligne: projet_de_constitution_congo_brazzaville]. À en croire les commentaires de la presse, cette nouvelle constitution permettrait au Président Denis Sassou N’Guesso de se maintenir une dizaine d’années de plus au pouvoir et le mettrait à l’abri de toutes espèces de poursuites, aujourd’hui comme Président et demain, s’il choisissait un jour de quitter le pouvoir, comme ex-Président.
Le décret présidentiel n° 2015-915 du 21 septembre 2015 a désigné Placide Moudoudou, ancien Doyen de la Faculté de droit de l’Université Marien-Ngouabi (Brazzaville), à la présidence de la Commission d’élaboration de cette nouvelle constitution.
Les victimes des plagiats de Placide Moudoudou sont particulièrement à même de questionner ses compétences comme « constitutionnaliste ».
En effet, est-ce son ouvrage plagié, “La constitution en Afrique” (préfacé par Koffi Ahadzi-Nonou, président de l’Université de Lomé), qui permet à Placide Moudoudou d’être considéré aujourd’hui comme LE CONSTITUTIONNALISTE incontournable au Congo Brazzaville, alors que pendant longtemps, les “écrits” de ce dernier se sont intéressés au seul droit administratif.
Le doyen Moudoudou est très discret avec ses projets de constitution. Il serait intéressant que ce professeur de droit constitutionnel produise aussi l’intégralité de ses articles dans ce domaine afin de savoir quelle est son autorité en la matière… Et surtout déterminer l’authenticité de ses travaux…
Docteur en droit, après une thèse de droit administratif soutenue en 1994 à l’Université François Rabelais de Tours, Placide Moudoudou a été promu en 2011 au rang de Professeur agrégé de droit public par le CAMES, le Conseil africain et malgache de l’enseignement supérieur (CAMES), émanation de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) où l’Université française est partie prenante.
Le jury du CAMES était composé d’universitaires togolais, ivoiriens, sénégalais et français. Comme le veut la procédure de titularisation, le CAMES s’est à nouveau prononcé, trois ans après cette première nomination, en 2014 donc, pour le titulariser dans ce titre.
Premier professeur agrégé de droit public de la République du Congo et Doyen de la Faculté de droit de 2009 à 2014, Placide Moudoudou s’est construit un avenir de constitutionnaliste. Son principal apport est l’ouvrage déjà cité, paru en 2012 aux éditions de L’Harmattan, un livre qui balaie large :
LA CONSTITUTION EN AFRIQUE, Morceaux choisis…
Malheureusement pour l’agrégé constitutionnaliste, Sylvie Torcol, Maître de conférences à l’Université de Toulon, est tombée sur cet ouvrage et a vite compris que beaucoup de ces « morceaux » avait été « choisis » dans sa thèse, soutenue en 2002 (Les mutations du constitutionnalisme à l’épreuve de la construction européenne) et dans un de ses articles. Qui plus est, il s’agissait, comme on le constate dans l’exemple ci-dessous, de simples recopiages, sans le moindre effort pour masquer les emprunts.
Ces nombreux emprunts, dont Sylvie Torcol s’est plainte dès août 2012 auprès des éditions de L’Harmattan, étaient difficilement contestables. Aussi, pour pallier ce qu’il nommait les « insuffisances de citations invoquées par Mme Torcol », Placide Moudoudou, très pragmatique, suggérera dans un courrier adressé à son éditeur de mettre au pilon cette première édition et de procéder à un nouveau tirage de son livre allégé du chapitre 1 – précisément le chapitre, d’une cinquantaine de pages, le plus fourni en morceaux choisis dans la thèse de Sylvie Torcol.
L’éditeur a vite compris que de nouveaux plagiés risquaient de se déclarer et qu’il faudrait alors à nouveau pilonner pour évacuer d’autres chapitres. Il a sagement préféré déclarer l’ouvrage « épuisé », mais a moins sagement continué à en diffuser sur son site Internet la version numérique intégrale au prix de 19,88 euros… jusqu’au 9 octobre 2015.
Les procédés d’emprunts de Placide Moudoudou sont simples. En voici deux : Placide Moudoudou reprend certains des textes de Sylvie Torcol sur les constitutions des pays européens pour les faire passer pour des textes de sa plume sur les constitutions des pays africains (voir l’exemple ci-dessous). On peut parler ici d’une technique d’habillage des textes empruntés.
Mais, par ailleurs, dans La Constitution en Afrique et dans d’autres de ses travaux, l’ex-Doyen et constitutionnaliste prend soin de citer scrupuleusement tous ses plagiés et de renvoyer à leur travaux en note de bas de page (même s’il écorche quelquefois leurs noms, prouvant ainsi le peu de cas qu’il fait des auteurs et également sa faible connaissance de la doctrine française). Mais de ces auteurs plagiés, il ne cite entre guillemets qu’une expression, au mieux deux ou trois phrases, après, ou avant, d’en piller une ou plusieurs pages. Il a utilisé ce même procédé dans un article récemment mis en ligne dans une revue de droit renommée.
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Dans la perspective de la réunion du jury du CAMES qui devait se prononcer en 2014 sur la confirmation de l’attribution du titre d’agrégé à Placide Moudoudou, Sylvie Torcol a alerté en novembre 2013 le Secrétariat de cette institution et lui a communiqué l’ensemble du dossier où étaient détaillés les emprunts à ses travaux. Il en allait, comme elle le soulignait « de la crédibilité de la recherche africaine et malgache ». Sa démarche n’a eu aucun effet, Placide Moudoudou a été en 2014 titularisé agrégé.
L’Université française est partie prenante de l’Agence universitaire de la francophonie (AUF) et du CAMES, il est dommage que ses représentants n’aient pas usé de leur influence pour aboutir à une décision décente sur ce dossier.
En 2011, alors doyen de la Faculté de droit de l’Université de Brazzaville, Placide Moudoudou concluait ainsi sa leçon inaugurale adressée aux étudiants à l’occasion de la rentrée universitaire : « Éloignez-vous de l’incivisme, de la paresse, de l’indiscipline. Votre action quotidienne doit être : étudier, toujours étudier, encore étudier»…
L’ancien Doyen de la Faculté de droit de l’Université de Brazzaville, aujourd’hui rédacteur de la prochaine constitution de la République du Congo, a-t-il jamais rédigé un seul texte – thèse, article, chapitre de livre – dans le respect de la déontologie universitaire et du droit d’auteur ? Sans paresse et avec civisme ?
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PLACIDE MOUDOUDOU, CONSTITUTIONNALISTE :
MORCEAUX CHOISIS
Chapitre 3, conclusion.
L’ouvrage La constitution en Afrique comporte 4 chapitres. On imagine que les conclusions de chacun de ces chapitres font valoir, comme il est naturel de l’attendre de conclusions, les aspects les plus originaux des recherches et arguments présentés dans ce chapitre. Il n’en est rien. L’originalité manque quelque peu dans ces conclusions. À cet égard les conclusions des chapitres 1 et 3 (voir ci-contre et ci-dessous) atteignent des sommets.
Requiem…
Commençons par la conclusion du chapitre 3 de l’ouvrage du Doyen Placide Moudoudou. Toutes les fractions de textes surlignés en mauve sont des reprises exactes, au mot et à la virgule près, de parties d’un article de Cédric Milhat, Le constitutionnalisme en Afrique Francophone, variations hétérodoxes sur un requiem, publié en 2005. Des recopiages qui ne bénéficient d’aucun des guillemets qui auraient rendu à Cédric Milhat ce qui lui appartient. Lire la suite…
Source : Archéologie du « copier-coller
Diffusé le 14 OCTOBRE 2015 , par www.congo-liberty.org
Ce mercenaire littéraire et juriste y’a ma tuvi sera pendu sur la place publique avec d’autres mercenaires tel que Jean Paul PIgasse. Tous les prof de droit devront repasser leurs examens. Ils ne méritent pas d’enseigner nos enfants.
VEUILLEZ ECOUTER L’APPEL DU RESPONSABLE DU MOUVEMENT CARTON ROUGE
https://youtu.be/TNRiJlPMrKc
Pourquoi l’ultimatum du Général MOKOKO à Sassou paru dans les colonnes d’Africa Info n’est pas repris et relayé par Congo Liberty.
Surtout en ce moment ou il y a un certain flottement et des interrogations cette intervention tombe à pique pour remotiver le peuple.
Bizarre quand même ? j’espère que ceci n’est pas une affaire d’ego du fait que ce scoop soit diffusé sur un autre site ??? L’heure est trop grave pour faire le fine bouche.
Ce Professeur était le directeur de la thèse du ministre Collinet Makosso. Cherchez l’erreur.
Demandez à ce ministre de faire publier aussi sa thèse, vous y retrouverez un plagiat énorme
Le Doyen Moudoudou, vous aller finir dans la poubelle de l’histoire.
Moudoudou placide est l’exemple vivant des 47 ans de destruction du Congo par Mr Sassou,ses amis et son Pct.Le Tsar D’Edu a réussi a transforme le Congo en pays sa conscience,Placide Moudoudou est un bel exemple qui illustre les affres du regime Pct et leur champion d’Edou.Pareil comme Roudoudou,le Congo en regorge maintenant en quantité industrielle a l’intérieur comme a l’extérieur du pays.Les nouveaux fils et nouvelles filles du congo qui prendront les commandes du pays post Tsar d’edou auront vraiment du boulot,le Congo en ruine dans tous les aspects,un vrai chantier laisse par les criminels du pct.Du courage les gars
Un professeur de droit sans vergogne, le comble c’est qu’il soit Congolais et enseigne nos enfants ses immondices des connaissance
Oh que c’est triste le Congo émergeant de Sassou et son pct. Ce monsieur qui fait honte au congo devrait rendre tous ces diplômes.
Si nos étudiants sont formés par tel racaille, le Congo sera le dernier pays du monde.
Moudoudou Placide que je connais très bien et même trop bien est intelligent au delà de toutes considérations. Mais je ne comprends pas pourquoi il est tombé si bas. Les populations de Madingou doivent lui dire un petit mot pour qu’il se reveille. Je sais qu’il a été aux côtés de BOUYA conclusion, il a reçu beaucoup d’argent, mais MOUDOUDOU nsoni wa bu héka ba kamba.
Placide ne fait que valider une constitution qui a été écrite depuis longtemps. Le jeune NGOMA qui soutient Kignoumbi aveuglement, voilà lorsqu’on t’avait dit de ne pas aller à Sibiti, vous avez cautionnez la violation de la constitution. Qu’avez-vous dit, qu’il fallait le dire à vive voix que vous étiez contre, vous pensez que les gens du pct avaient besoin de votre semblant d’opposition, voilà où vous conduisez le pays.
Vous deviez vous réveiller, vous défendiez bien la constitution actuelle, mais le fait d’être le représentant de Kignoumbi qui est un corrompu, vous vous noyez.
Monsieur NGOMA dès que Sassou va tomber dites à votre mentor Kignoumbi de quitter le Congo.
La lutte continue.
C’est triste de voir un doyen agir ainsi, tu vas répondre devant la haute cours divine parceque tu viens de tuer toute la population congolaise.
A cause de l’argent tu veux sacrifier toute une nation qui ne veux plus de ce fou. N’oublies pas que sassou n’a pas d’amis, il va t’éliminé après avoir lui rendu service.
C’est le temps de DIEU, la machine de geurre terrestre est en marche. Gare à celui qui veut se mettre sur son chemin. Il n’est pas trop tard changez de camp.
La délivrance de l’Afrique est entre nos mains peuple congolais, faisons tomber ce virus ( sassou)
N’ayons pas peur, DIEU est avec nous.
AMEEEEEEEEEEEEEEEEEN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Placide Moudoudou est un universitaire sans epaisseur intellectuelle. Il pense par le ventre, et non par la tête. Lors du débat sur RFI, monsieur Mierassa l’avait laminé a plate couture, lui le juriste. La libération du Congo est en marche…
Je pense qu’ils demandent aux étudiants de déguerpir le campus impérial pour y installer ses barbouzes.
Souvenez qu’à côté de ce campus il y’a le palais présidentiel
VOICI LE BIDON ARTICLE ECRIT PAR Lucien PAMBOU FAISANT L’APOLOGIE DU SANGUINAIRE SASSOU, LU POUR SUR UN SITE AFRICAIN
Sassou Nguesso et Kagame: Présidents innovateurs ou « pyromanes » constitutionnels ?
Pourquoi les référendums peuvent devenir nécessaires en Afrique après les indépendances : la nécessité de l’apprentissage démocratique
Kagamé et Sassou innovateurs constitutionnels ?
Le Congo Brazzaville doit organiser un référendum constitutionnel le 25 octobre 2015. Le Président du Congo Sassou Nguesso a adopté la démarche juridico-politique qui respecte la constitution de janvier 2002, à savoir la possibilité de demander au peuple de se prononcer sur l’évolution des institutions. Au Rwanda, Kagamé a obtenu de la Cour Suprême la capacité juridico-politique de briguer un nouveau mandat en 2017. Au Congo comme au Rwanda, les deux Chefs d’Etat prennent acte de leurs contextes politiques respectifs et de l’évolution de leurs pays pour décider de recourir au peuple. Dans les deux pays, les oppositions à la modification de la constitution pour un nouveau mandat de la part des deux Présidents insistent sur le coup d’Etat constitutionnel en qualifiant les deux Présidents de « pyromanes » constitutionnels.
Des arguments multiples sont avancés : la longévité au pouvoir des deux Présidents, l’âge pour le Président Sassou, le machiavélisme politique des deux dirigeants en Afrique centrale, Kagamé dans les Grands Lacs et Sassou Nguesso au Congo. Il y a deux façons d’aborder cette question de la modification des constitutions et de la mise en place du référendum en Afrique. Soit on considère que, 50 ans près les indépendances, les pays africains sont incapables de réfléchir à l’évolution de leurs institutions car on pense que leurs peuples sont immatures ; dans cette hypothèse les partis d’opposition et leurs dirigeants font appel à la France, mère patrie, sein nourricier, pour dire ce qui est bon pour le Congo et le Rwanda –pays pour lequel il faudrait aussi inviter la Belgique ancienne puissance colonisatrice-. Soit, après l’évolution des contextes géopolitiques du Congo marqué par de nombreuses guerres civiles depuis l’indépendance et les batailles ethniques entre Hutus et Tutsis pour le Rwanda dans les années 50, mais surtout dans les années 90 avec le génocide, on pense que les dirigeants africains, ensemble avec leurs peuples, peuvent décider de leur avenir. Nous sommes dans ce contexte nouveau, avec une géopolitique qui se modifie et des rapports de force politiques d’un type moderne.
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La communauté internationale peut conseiller ses partenaires africains (Congo et Rwanda) sur le déroulement démocratique des scrutins politiques, mais elle ne peut en aucun cas continuer à jouer le rôle de père fouettard permanent pour dire ce qui est bon ou pas bon. La plupart des intellectuels africains, sont très sensibles à la voix de la France car culturellement ils ont fait leurs études en France, mais sans lire et encore moins connaitre la France et ses dirigeants de manière politique. La France, selon le Général De Gaulle, ne défend que ses intérêts. Qui peut reprocher au Général cette maxime pleine de bon sens ? Que les Africains, leurs dirigeants et leurs peuples s’émancipent pour construire des modèles démocratiques qui articulent tradition, modernité, justice et redistribution. Au Congo, Sassou n’a pas encore dit s’il se représente ou non. Il prend acte de l’état de la Nation et des prérogatives que la constitution lui donne pour demander au peuple de dire son accord ou non sur l’évolution des institutions de la constitution de janvier 2002. Kagamé, qui n’a rien demandé à son peuple, reçoit de celui-ci une marque d’amour et d’affection pour qu’il reconduise et entérine le Rwanda sur la voie du développement.
Sassou et Kagamé, quoiqu’on pense de leurs actions politiques aux affaires dans leurs pays respectifs, doivent être considérés comme des innovateurs constitutionnels que l’Afrique doit apprendre à regarder pour mieux se regarder elle-même et commencer à desserrer les liens de vassalité vis-à-vis de la communauté internationale et surtout de leurs puissances colonisatrices respectives. Que les intellectuels africains commencent à réfléchir de façon pratique par eux-mêmes. Les politiques africains nous montrent la voie, aidons-les à construire une doctrine fondée sur un partenariat non vassalisé avec l’Occident.
Lucien PAMBOU
@vidal,
C’est une non information, nous le savons. Tout sera mis en ordre, tout ce qu’ils font nous sommes informés, eux aussi sont informés de ce que nous faisons. Le 20 Octobre, c’est la vie ou la mort.
Quels sont les arguments du PCT pour changer la constitution, « nada ». Pour un seul homme le Congo va encore pleurer des morts.
La lutte continue
@ anonyme et webmaster
Ce type de chiffon ne mérite pas d’être publié même si nous sommes en démocratie. Merci
Face au Coup d’État constitutionnel en cours au Congo-Brazzaville,tout pays démocrate, notamment la France doivent « condamner publiquement ce passage en force programmé du vieux dictateur Sassou Nguesso »,et à geler toute coopération sécuritaire et militaire pour ne pas se rendre encore complice de la répression des démocrates qui s’y opposent. » Les responsables politiques du monde, l’opposition et le peuple congolais, doivent exiger la libération immédiate des détenus d’opinion aujourd’hui dans les geôles de Mr Sassou. » Le Référendum anticonstitutionnel n’est pas seulement le seul crime de Sassou Guesso. Sassou Nguesso est un vrai dictateur sanguinaire et terroriste, auteur de tant de crimes, génocide depuis des années. Il ne mérite pas du tout le poste qu’il depuis plus de 35 ans. Il faut sans attendre le faire partir lui et sa clique. Peuple du congo, il ne faut plus attendre. Il est temps d’entammer avec force la désobéissance civile. Sassou et ses complices sont à poursuivre pour haute trahison, pour « crimes contre l’humanité, crimes de guerre et torture ». par la CPI. Les opposants, les acteurs de la société civile n’ ont qu’à travailler vite et fournir un dossier suffisamment solide contre le président génocidaire pour l’accuser lui et ses complice de crimes contre l’humanité et le juger. »Seule la lutte libère. » Le peuple est toujours sortie vainqueur, quelque soit les armes du dictateur»,
http://brazzaparisinfos.com/la-colere-du-colonel-marcel-touanga/
https://www.youtube.com/watch?v=JBoY8cD9EN8
https://www.youtube.com/watch?v=K7_Sf0QKNzE
http://congo-liberty.com/?p=9143
http://survie.org/francafrique/congo-brazzaville/article/les-congolais-ne-veulent-plus-de-5005
http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=5565
http://www.congo-internet.com/pdf/congo_vu_par_thiery_hayes.pdf
Comme l’a déjà écrit Jérémie. Les Opposants et résistants à SASSOU NGUESSO, doivent chercher à lire le livre.
Comment faire tomber un dictateur quand on est seul, tout petit, et sans armes |
Srdja POPOVIC, traduit de l’anglais par Françoise BOUILLOT/ Collection : Hors Collection / Payot/Grand format | 288 pages. | Paru en : Septembre 2015 | Prix : 15.00 € /GENCOD : 9782228913751 / Editions : Payot
@Oyessi
J’ai remarqué que tu étais contre tout ce que Congo Liberty publiait. Si j’étais le Webmaster je t’aurais blacklisté… ! Nous sommes en démocratie, tu peux toujours aller sur Congo Site
Selon RFI, Barack Obama envoie 300 militaires à partir d’aujourd’hui en Afrique Centrale. Ils ont déjà survolé le camp de Tsambitcho
Cela n’étonne plus personne. Le Congo est géré par des plaisantins qui ont fait le choix de briser l’esprit d’excellence qui avait cours dans notre pays jusqu’à la fin des années 1970. Avec l’arrivée d’un homme dont on sait le degré d’intelligence à la tête du pays, toutes les vraies intelligences ont soit sombré dans l’alcoolisme, soit contraintes à l’exil pour trouver une reconnaissance. Il y en des milliers qui se retrouvent dans les universités Occidentales, les laboratoires, les entreprises, les collèges et les lycées sans que ces personnes ne comprennent pourquoi elles ont subi un tel rejet de la part de l’homme qui était censé les protéger et les encourager dans leurs évolution. Hélas, il a fallu plus de 30 ans pour qu’enfin les Congolais ouvrent les yeux. Mais il faudra combien de temps pour panser les blessures et se débarrasser des anti-valeurs qui gangrènent la société Congolaise aujourd’hui ? Il y a du caillou entre les orteils !
Moudoudou n’à rien écrit cette constitution. Elle a été faite par deux experts europeens depuis 1mois sur demande de Sassou et d’un de ses acolytes. … la commission a été utilisé pour « congoliser » le document.
DENIS SASSOU, LAISSES NOUS TRANQUILLE!!!
Le fameux article 91 qui consacrerait l’impunité de Sassou Nguesso et son clan est devenu ARTICLE 96. Rectifiez s’il vous plaît !
Les élites africaines , produisent la désolation dans nos pays ! c’est l’éternel recommencement ,en effet depuis les indépendances ces universitaires sont au services des dictateurs ! comment demain Mr Moudoudou , pourrait continuer à enseigner nos jeunes magistrats?
Incroyable! apparemment Monsieur Lucien Pambou n’a rien compris de la problématique de la limitation des mandats en Afrique, et recourt au classique bouc émissaire, comme aime le faire notre historien national Obenga, et d’autres africains. Cher Pambou, ce n’est pas le colonisateur qui a mentionné la limitation des mandats dans les Constitutions en Afrique. La Constitution de Sassou de 2002, formellement très claire sur cette affaire, est un octroi. C’est lui-même qui s’est auto-limité, puisqu’il n’était pas obligé de reproduire cette disposition qui existait déjà dans la précédente Constitution de 1992. Plus fondamentalement, Mr Pambou, savez-vous que depuis l’indépendance, la sortie des présidents de la République est une éternelle séquence de barbarie. N’était-il pas temps de sanctuariser le temps d’un président de la République pour apaiser ou civiliser les moeurs! Si Sassou, au contraire d’autres présidents congolais a pu sauver son honneur à la sortie du pouvoir en 1992, c’est grâce à la Conférence nationale! Que vient faire l’Occident dans cette affaire, sinon rappeler ce qui existe dans les textes souverainement adoptés! En entreprenant ce qu’il fait, Sassou démontre tout simplement que la Constitution ne sert à rien en Afrique. Combien de présidents, dans l’histoire et dans le monde, connaissez-vous, qui auront été régis par neuf textes constitutionnels? Très honnêtement, votre réflexion manque de sérieux, et surtout, très regrettablement, veut dire que vous mépriser autant le jeu démocratique et le droit! La vie politique en Afrique doit-elle demeurer un Far West ? Puisque, c’est un secret de polichinelle, sous la dictature, aucun président n’a jamais perdu une élection organisée par lui-même. Sassou n’a dégagé en 1992 que parce qu’il avait été dépouillé du pouvoir électoral. Il était tellement convaincu – à raison – qu’il ne pouvait gagner aucune élection qu’il est revenu par le seul moyen à sa portée, qui est sa marque de fabrique: le coup d’Etat. Désolé mais votre réflexion rapportée ici sur cette question est indigne de votre statut de journaliste qui devrait éclairer les esprits. Il me revient que je vous ai également suivi justifier l’affaire des biens mal acquis par l’ingérence politique de la France, alors que, sous Sarkozy, quand le politique est intervenu, c’était au contraire pour que le parquet, sous Rachida Dati, fasse appel contre la poursuite de l’enquête. Bref, un peu de sérieux, d’objectivité et de lecture sur cette question vous est vraiment nécessaire. Le rôle d’une Constitution, dans tout pays,c’est de pacifier, de civiliser la vie politique et vous n’êtes pas nombreux à penser que la pérennisation au pouvoir est un signe de bonne santé démocratique ou politique simplement. En dehors des courtisans des pouvoirs africains, je ne connais pas beaucoup de spécialistes du droit constitutionnel ou de la science politique qui soutiennent le retour des ‘présidents à vie’ en Afrique. Modestement, je vous recommande ma petite contribution intitulée « Présidentielles africaines: perpétuelle illusion constitutionnelle » (Revue Politique et Parlementaire, novembre 2014, numéro 1071-1072), qui renvoie d’ailleurs à d’autres études sur le même sujet, écrites par des juristes et politologues africains, spécialistes.
Dans tous les colloques sur le constitutionnalisme africain, je n’ai jamais entendu ou lu des africains soutenir ce que vous dites, ou le contraire de la limitation des mandats, puisque c’est la seule clé pour calmer les ardeurs et appétits politiques plus que gargantuesques…
Apparemment, les régimes dynastiques qui semblent prendre le relais des partis uniques en Afrique ne vous posent pas de problème non plus, puisque c’est à cela que rêvent nos chers dictateurs, et projettent l’effacement de la limitation des mandats, comme l’ont déjà démontré les cas gabonais et togolais!
Un TRICHEUR sans honte, sans couille, sans valeur.
PEUPLE DU CONGO, DU NORD, DU SUD, DU CENTRE, DE L’EST, DE L’OUEST, …
… ON PEUT TROMPER UN PEUPLE PENDANT UN TEMPS TRES LONG, MAIS PAS ETERNELLEMENT…
ON PEUT FAIRE PEUR A UN PEUPLE AVEC TOUTES LES ARMES PENDANT UN LONG TEMPS, MAIS PAS ETERNELLEMENT…
ON PEUT CORROMPRE ET TROMPER UNE GRANDE PARTIE D’UNE POPULATION AVEC L’ARGENT QUI DEVRAIT SERVIR A SOULAGER LES MISERES DU PLUS GRAND NOMBRE DE CETTE POPULATION,
CORROMPRE LES ELITES DE TOUT UN PAYS, TOUT CECI PENDANT UN TRES LONG TEMPS, MAIS ON NE PEUT JAMAIS CORROMPRE TOUT LE PEUPLE ENTIER TOUT LE TEMPS…
ON PEUT AVOIR LES MERCENAIRES ETRANGERS LES PLUS EFFICACES A SES COTES PENDANT UN TRES LONG TEMPS, MAIS PAS ETERNELLEMENT…
ON PEUT VOLER IMPUNEMENT LES RICHESSES DE TOUT UN PEUPLE PENDANT UN TRES LONG TEMPS, AU LIEU DE NOURRIR CE MEME PEUPLE AVEC L’ARGENT DE SES RICHESSES, MAIS CE VOL PREND TOUJOURS FIN UN JOUR…
ON PEUT VENDRE « SON PAYS » A DES INTERÊTS ÉGOISTES ETRANGERS POUR LES PLAISIRS PERSONNELS ET FAMILIAUX PENDANT UN TRES LONG TEMPS, MAIS PAS ETERNEWLLEMENT…
ON PEUT JOUIR DE L’IMPUNITE LA PLUS TOTALE PENDANT UN TEMPS TRES LONG, MAIS PAS ETERNELLEMENT…
ON PEUT REGNER AVEC LE CYNISME LE PLUS ABSOLU SUR UN PEUPLE PENDANT PLUS DE TRENTE ANS, MAIS PAS ETERNELLEMENT…
ON PEUT TROMPER TOUT LE MONDE PENDANT UN TRES LONG TEMPS, MAIS PAS ETERNELLEMENT,
…
ON PEUT TROMPER DIEU ET TOUS LES DIEUX ET SORCIERS ET/OU MARABOUTS POUR UN TRES LONG TEMPS, MAIS TOUT A UNE FIN.
MONSIEUR SASSOU NGUESSO, TOUT… A UNE FIN.
ON NE PEUT PAS TROMPER TOUT LE MONDE, TOUT LE TEMPS, EN TOUS LIEUX.
MONSIEUR SASSOU NGUESSO, VOICI LA FIN. VOILA LA FIN. DE TOUT.
MAIS PAS LA FIN DU CONGO. AU CONTRAIRE, LA NAISSANCE D’UN CONGO NOUVEAU.
MERCI A TOUS LES HOMMES ET FEMMES, ENFANTS, JEUNES ET VIEUX DU CONGO DONT LES COEURS RESPIRENT LE CONGO.
VIVE LE CONGO.
POUR LE CONGO.
BB
Tout est pourri au royaume de Sassou même les consciences..
Oui on est bien au « royaume de Sassou » car çà c’est pas le CONGO.
REFERENDUM AU PAYS DE SASSOU-NGUESSO : Le peuple congolais acceptera-t-il de vivre couché ou debout ?
Le compte à rebours a commencé. Sauf tremblement de terre, les Congolais se prononceront, le 25 octobre prochain, sur le texte d’une nouvelle Constitution visiblement élaborée sous la dictée de Sassou Nguesso. L’objectif de ce dernier ne souffre d’aucune ambiguïté : régner ad vitam aeternam sur le Congo. Et l’on n’a pas besoin d’une boule de cristal pour percevoir que derrière l’argumentaire officiel selon lequel la modification de la Constitution actuelle vise à améliorer la gouvernance, se cache une envie forte contre l’alternance. En bon alchimiste, Sassou ira jusqu’au bout de cette envie en utilisant malheureusement un outil de la démocratie contre la démocratie, c’est-à-dire le référendum.
Sassou Nguesso fera sortir des urnes des résultats tels qu’il veut qu’ils soient
Au Burkina, l’ancien président projetait d’utiliser un autre outil, le parlement dont il savait qu’il était acquis à sa cause, pour apporter du vernis démocratique à sa forfaiture. Les approches de confiscation du pouvoir par les dictateurs sous nos tropiques, sont certes différentes, mais tous ces satrapes se rejoignent sur le fait qu’ils brandissent toujours le mot « peuple » pour mieux l’asservir. Ils le font d’autant plus qu’ils sont conscients que leurs peuples, en proie à la misère et à l’analphabétisme, sont un véritable bétail électoral. Pour un bol de riz, bien des crève-la-faim sont prêts à glisser un bulletin dans l’urne pour permettre à n’importe quel dictateur d’assouvir sa boulimie du pouvoir, sans se soucier de ce que cela représente pour le pays. En plus de cela, tout le monde sait qu’en Afrique plus qu’ailleurs, les satrapes ont une parfaite maîtrise de l’ingénierie de la fraude. Dans la besace de ces derniers, existent toutes les recettes de la tricherie électorale. Le 25 octobre prochain donc, si le peuple congolais le laisse organiser son référendum, Sassou Nguesso fera sortir des urnes des résultats tels qu’il veut qu’ils soient. Ce caractère folklorique et typiquement gondwanais des scrutins organisés par les dictateurs africains pour s’accrocher à leur fauteuil, est devenu tellement criard et révoltant que l’écrivain ivoirien, Amadou Kourouma, a pu consacrer le titre suivant à une de ses oeuvres : En attendant le vote des bêtes sauvages. De ce point de vue, la seule alternative qui s’offre à certains Africains pour réaliser l’alternance démocratique dans leur pays est, de toute évidence, la résistance citoyenne dans la rue. C’est cette option qui avait permis au peuple burkinabè de se débarrasser de son dictateur. Pour ce faire, les Burkinabè n’avaient pas hésité à constituer un large rassemblement grâce auquel les différentes composantes des forces vives de la Nation ont mutualisé leurs énergies et leurs intelligences. Certains ont payé de leur vie cette détermination à ne jamais plier l’échine devant l’arbitraire. Il se pose alors la question de savoir, à propos du référendum à venir au pays de Sassou Nguesso, si le peuple congolais va accepter de vivre couché ou debout. Vivre couché reviendrait à permettre que le référendum ait lieu. Car l’on peut aisément imaginer les résultats qui en sortiront. Accepter de vivre debout consisterait à tout mettre en œuvre, comme l’ont si bien fait les Burkinabè, pour contraindre le dictateur à renoncer à son passage en force.
Il revient au peuple congolais de prendre ses responsabilités
Et la meilleure façon de le faire ne consiste pas à jeter son dévolu sur l’apport de l’extérieur, notamment sur celui de François Hollande à qui l’opposition congolaise, on le sait, a déjà fait appel pour l’aider à amener Sassou Nguesso à revoir sa copie. De toute évidence, cet appel au secours sera contre-productif pour la simple raison que la France a tout à gagner, économiquement s’entend, à ce que Sassou Nguesso soit maintenu à son poste. En effet, c’est à ce prix qu’elle peut avoir la garantie de continuer à profiter des richesses de ce pays. Marien Ngouabi et Pascal Lissouba qui avaient mis un point d’honneur à s’affranchir de cette mainmise française sur leur pays l’ont appris à leurs dépens. Le premier a été lâchement assassiné en 1977 et le second, bien qu’il fût démocratiquement élu, avait été, on se rappelle, obligé de fuir Brazzaville en plein midi pour échapper à la puissance de feu de la milice du même Sassou Nguesso, à l’époque dans l’opposition. La France à laquelle les Congolais font appel aujourd’hui ne peut pas dire qu’elle n’avait pas trempé la main dans cette imposture au nom de ses intérêts. L’enjeu pour l’Hexagone au Congo, ce n’est pas par conséquent la démocratie, mais le bois et le pétrole. Par ces temps de vaches maigres, la démocratie chez les Bantous peut encore attendre. Si les Congolais n’ont pas encore compris cela au point de croire béatement que leur salut viendra du bord de la Seine, ils peuvent se rassurer que Sassou Nguesso sera toujours à la tête du Congo jusqu’à ce que la nature en décide autrement. Car il a beau être puissant, il n’en demeure pas moins mortel. Et même dans ce cas de figure, les Congolais ne seront pas pour autant sortis de l’auberge puisque tout laisse croire qu’après Sassou père, ce sera le tour de Sassou fils, Denis Christel Nguesso. Il revient donc au peuple congolais, mené par ses intellectuels patriotes, sa jeunesse militante, ses leaders syndicaux et ceux des organisations de la société civile, de prendre ici et maintenant ses responsabilités. Autrement, il se rendra complice de sa propre servitude. Et dans cette hypothèse, il ne sera pas à plaindre. Car comme l’a si bien dit Thomas Sankara: « L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas qu’on s’apitoie sur son sort ».
« Le Pays »
Concernant le cas du Doyen MOUDOUDOU, l’idéal serait que des universitaires congolais (en poste au Congo, ou en Afrique), ou des universitaires franco-congolais (en poste en France) fassent des commentaires à cet article sur le blog Archéologie du copier-coller.
http://archeologie-copier-coller.com/?p=13007
Merci de passer le mot à tous !
@ Bazinga,
vous lisez mal ce que j’écris, je ne suis pas contre ce qu’écrit Congo liberty, mais ce que anonyme avait écrit digne justement de Congo site que vous lisez. Je ne savais même pas qu’il y avait un cite à ce nom parce que je ne vais pas fouiller dans les chiffons qui ne m’apportent rien.je suis suis non plus télé Sassou pct alias télé congo.
Merci de bien lire ce que écrivent les autres bloqueurs
Thierry Lezin Moungalla est la réincarnation de Paul Joseph Goebbels.
Moungalla, Ministre propagandiste de Sassou dit Otchombé,
Goebbels, Ministre propagandiste d’Hitler dit Führer,
Paul Joseph Goebbels était un homme politique nazi allemand… et son nom reste indissolublement lié à l’emploi des techniques modernes de la manipulation des masses. Il est devenu synonyme des mensonges et des haines que sont capables de diffuser les propagandes des États totalitaires.
http://www.jesuismort.com/biographie_celebrite_chercher/biographie-joseph_goebbels-3095.php
Comme Placide Moudoudou et consorts, Thierry Lezin Moungalla a honteusement marchandé son savoir contre les deniers publics dilapidés par Sassou. Sinon comment parvient-il, sans vergogne, à débiter des contre-vérités pour soutenir son maître Sassou ?
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme », l’âme de Moungalla a été livrée au service du mal incarné par Sassou.
Voici des vérités qui galvanisent les Congolais déterminés à vaincre le mal du Congo :
– Le recensement administratif spécial, le fichier électoral et la révision des listes électorales sont la résultante des méthodes mafieuses basées sur une tricherie éhontée, pour gagner à tout prix.
– Les crimes économiques et crimes contre l’humanité, de nature imprescriptible, commis par Sassou et les siens, sont le leitmotiv d’une volonté affichée pour le changement de constitution.
– La nouvelle constitution sous-tend la médiocrité de ses géniteurs, le mépris du peuple et l’impunité des gouvernants, en l’occurrence l’impunité de Sassou, pour des crimes passés, présents et futurs.
– Les manifestants venus très nombreux au Méga-meeting du 27/09/15 représentent la très grande majorité des Congolais, qui sont déterminés de se libérer du joug de Sassou, en le destituant si besoin au prix du sacrifice suprême. Tandis que le pseudo giga-meeting (d’après Moungalla) du 10/10/15 n’a réuni pour l’essentiel que des victimes de la corruption fieffée, de l’achat des consciences et du chantage sans vergogne.
Comme Goebbels et Hitler, malheureusement, Moungalla, son sort est désormais lié à celui de Sassou, seul l’avenir en définira la nature.
Que Dieu bénisse le Congo !
ce ministre moungalla qui se ballade à paris devrait déjà se faire interpeller par les combattants ;;;;qu’il fasse attention avec ses provocations