Le dictateur Sassou-Nguesso devant le trou béant de sa chute. Par OLIVIER MOUEBARA

sassou-pleureRaillé, égratigné, piétiné et humilié par Barack Obama au siège de l’Union Africaine à Addis Abéba le 27 juillet dernier, le dictateur Sassou-Nguesso doit comprendre l’importance des symboles en politique.

Cette sortie du président américain est loin d’être inopportune. Elle sonne inéluctablement la chute programmée du sanguinaire d’Oyo.

Dans la vie en général, et en politique en particulier, il faut réussir sa sortie. Quand on est président de facto de son pays, l’impératif atteint même une dimension sacrée: c’est l’entrée dans l’Histoire qui se joue, cette unique apothéose offerte aux dirigeants des temps modernes.

Archaïque, le dictateur Sassou-Nguesso est un homme du passé et dépassé. Habitué aux manipulations, aux intrigues, aux crimes et aux assassinats, le tortionnaire de M’Pila cherche à livrer une dernière bataille, un combat perdu d’avance. Tous les ingrédients sont réunis pour qu’il y signe son acte de décès.

Entouré de courtisans et d’incompétents, le sanguinaire Sassou-Nguesso est loin d’ignorer que sa Constitution du 20 janvier 2002 ne peut être modifiée par sa seule volonté pour lui permettre de se maintenir indéfiniment au pouvoir.

Même en consultant ses charlatans grassement rémunérés, le respect de la Constitution est supérieur à tous les bricolages initiés par le bailleur de fonds de Nkuruzinza.

En voulant gagner du temps, le dictateur Sassou-Nguesso précipite sa chute. Comment peut-il ne pas respecter la loi fondamentale pour laquelle il a prêté serment, et respecter les conclusions d’un monologue qui ne sont régies par aucun texte ?

François Hollande, Barack Obama, Manuel Valls et Jean-Yves Le Drian, ont fermement demandé au dictateur Sassou-Nguesso de créer les conditions d’une alternance politique au Congo en abandonnant le pouvoir.

Sa chute ne dépend plus que de nous. Un coup de pied aux fesses d’un tyran vieillot suffira pour l’entraîner dans un trou béant.

La mobilisation de la société civile, l’unité de l’opposition, la ferveur sans relâche des combattants, sont des ingrédients nécessaires pour libérer notre pays du joug du dictateur, de son clan, et de sa famille.

Acculé, le dictateur Sassou-Nguesso devient le maître d’œuvre des inaugurations des marchés en kit. Ses parents occupent les médias d’Etat et Africa 24 pour nous divertir.

Jean-Didier Elongo, Jean-Jacques Bouya (qui a détourné le budget du barrage d’Imboulou), Francis Ekassa Nzassa, Etoko et bien d’autres, cherchent en vain à montrer les bienfaits d’un pays virtuel.

En voulant faire organiser un référendum illégal (l’article 62 alinéa 2 de sa Constitution le lui interdit), le dictateur Sassou-Nguesso s’affranchit de l’article 56 de sa Constitution, qui l’oblige « à veiller au respect et au fonctionnement des institutions ».

Quoi qu’il en soit, force est de reconnaître que dans l’état actuel de notre pays, vouloir organiser l’élection présidentielle en 2016 est une chimère. Une période transitoire s’impose pour réorganiser la Justice, l’armée, la police, redonner les lettres de noblesse à l’Education Nationale, clef du succès de la relève de demain.

Au moment où l’Histoire s’accélère, le sanguinaire Sassou- Nguesso a tort de naviguer à contre-courants. Né au bord de l’Alima et ne pouvant faire une brasse, ces courants l’emporteront.

Le placement en garde à vue à Paris du directeur de cabinet d’Ali Bongo, Maixent Acrombessi, ainsi que l’assassinat du bras droit de Nkuruzinza, sont des signes qui ne trompent pas. Loin de prôner la violence, l’obstination du dictateur Sassou-Nguesso et de ses soudards pourraient subir la même sentence.

Pierre Ngollo, l’idiot utile du PCT a compris le message. La peur ayant changé de camp, ce sherpa du tyran Sassou-Nguesso parle désormais de « n’importe quel candidat du PCT » qui serait susceptible de remporter l’élection présidentielle de 2016. La parenthèse de mwana poro-poro se referme peu à peu.

Préoccupé de mettre ses parents à l’abri, le dictateur Sassou-Nguesso s’agite. Interdit de séjour au Canada, Willy Nguesso cherche en vain une terre d’accueil paisible pour assurer ses arrières. C’est la panique dans le clan des voleurs du tyran.

Son fils, Kiki Nguesso a été roulé dans la farine dernièrement à Paris, en acceptant de financer le prochain raout des entrepreneurs africains l’année prochaine, alors qu’il n’a jamais entrepris au Congo. Paraître, telle est le crédo des imposteurs d’une progéniture égarée.

En ayant privatisé le Trésor Public, en ayant vidé les caisses publiques, assignées de toutes parts, entre autres par COMMISIMPEX (qui réclame 1,1 milliard de dollars à l’Etat congolais) et par ODZALI en refusant de dédommager Serge Berrebi, toutes ces ardoises et tous ces contentieux devront être résolus par les fils et les femmes du Congo qui auront la charge d’assurer la TRANSITION, au nom de la continuité de l’Etat. Nous ne pourrons y faire l’impasse.

Le dictateur Sassou-Nguesso laissera le Congo dans un piteux état sur tous les plans. Comptable du passé et du passif, il devra être arrêté et jugé.

Plus que jamais, la chute du dictateur Sassou-Nguesso est proche.

Même si cet épouvantable dictateur a abrégé la vie des milliers de Congolais, le peuple congolais s’apprête à écrire pour lui le mot FIN.

La fin est le point ultime d’une durée; moment où va cesser la dictature de l’imposteur d’Oyo, responsable, entre autres, de la disparition de 353 de nos compatriotes au Beach de Brazzaville.

Olivier Mouebara

Diffusé le 4 aout 2015, par www.congo-liberty.org

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18 réponses à Le dictateur Sassou-Nguesso devant le trou béant de sa chute. Par OLIVIER MOUEBARA

  1. le fils du pays dit :

    Oui,Mr Mouebara une periode de transition s’impose avec une purge precedee d’un audit dans tous les secteurs de la vie des Congolais:l’economie,la sante,l’education,la justice,la force publique,la culture,l’agriculture(reforme agraire avec interdiction formelle de vente des terres aux etrangers,nous veillerons sur ce point),le cadastre,l,environnement,l’energie,l’urbanisme et habitat,l’immigration(dechoir de la nationalite Congolaise et exploser tous ceux qui n’ont pas vocation de rester chez sur tous les terroristes libanais et autres qui ont transforme le Congo en nid de terroristes.Pas de nationalite Congolaise pour les etrangers seule la carte de resident).Fini le soft Congo et le Congo paillasson(desordre,pagaille ,anarchie,autrement dit Congo Zoba)ou les etrangers affluent en masse pour devenir rois et reines avec la complicite du systeme Sassou et ses hommes.Mr Mouebara un cleaning up a fond s’impose.

  2. palias lilas dit :

    Une chute qui ne se présente même pas j’ycrois pas, pour quoi pas la chute des opposants assoiffé du pouvoir brf qu’il chute ou pas ayant juste un esprits républicain patriotique afin de vivre en paix contre l’ennemis de l’humanité? nous jeunes disons<>

  3. Anonyme dit :

    Merci encore Olivier Mouebara,
    Fils du Pays resume a suffisance ce qu’il est oblge d’etre fait pour que ce beau Congo retrouve ces veritables repaires. Si le Congo reussit, la Cote d’Ivoire et tous ces Pays qui sont dans la meme situation que nous, s’en sortiront aussi; je pense au Gabon, a la RDC, au Tchad et meme au Cameroun pourquoi pas le Togo ou tous ces felons gouvernent en maitre de plantation, des Pays a qui Dieu a donne de dignes Fils capables du meilleur.

  4. Anonyme dit :

    SAUVE QUI PEUT. PEUR SUR LA VILLE.

  5. Isidore AYA TONGA de Makoua universaliste congolais dit :

    ALERTE INFO: 42 OFFICIERS SUPÉRIEURS CONGOLAIS SONT DÉJÀ PRÊTS ET 60% ATTENDENT LE SIGNAL DE VOS VIDÉOS UNITAIRES NORD/SUD/EST/OUEST CONGO…

    Le dictateur Sassou-Nguesso devant le trou béant de sa chute !

    Au compteur, c’est déjà de 42 officiers supérieurs congolais qui n’ont rien n’a se reproché face à la volonté générale. Ils attendent de pied ferme vos vidéos et tous les hauts commandements seront parmi nous… de la diaspora aux forces de résistance à l’intérieur du pays…

    http://congo-objectif2050.over-blog.com/2015/08/l-appel-patriotique-du-15-aout-2015-au-15-aout-2016.html

  6. MAYANDZI dit :

    Parler de transition c’est accepter de ne plus appliquer la présente constitution. Si les institutions doivent être générées en fonction de la personne, alors on est mal partis. Donc les partisans de la transition ne sont pas différents de Sassou. D’ailleurs, avec une transition sans Sassou, vous allez redécouvrir les vraies divisions de ce pays. Tous sont d’accord parce que l’ennemi commun est là. S’il part vous verrez …. heureusement qu’il y aura coup d’Etat.

  7. OYESSI dit :

    INCROYABLE ET ENCORE INCROYABLE, lisez ce qui suit, que le nguirisés de SASSOU écrivent:

    « ………les anciens membres du CDD-MJ et démissionnaires de la CADD rappellent au
    camarade André Okombi Salissa que,ce n’est pas avec la base de l’ex CADD-MJ,
    composant à 80% la CADD, qu’il ira en guerre contre le peuple congolais », relève la déclaration rendue publique à cet effet. Pour consolider les idéaux de paix, ces derniers ont invité leur ancien chef au courage et à la sagesse politique afin de se démarquer de ses mentors et choisir la voix de la raison ».
    Ce n’est pas vrai, 80% de l’ex CADD- MJ sont donc des démocrates qui n’aiment que la paix et 20% restant pour leur ancien mentor OKOMBI à qui ils demandent de se démarquer de ses mentors et choisir la voix de la raison sont des pires guerriers va en guerre comme OKOMBI;

    De quels mentors OKOMBI doit il se démarquer si ce n’est de SASSOU, ensuite quelle voix de la raison doit choisir OKOMBI si ce n’est ce qu’ il fait déjà en disant à juste titre que la constitution ne doit pas être changée au risque de créer des troubles inutile au pays.

    Ces 80% du ex CADD- MJ qui ne veulent plus aller en guerre contre le peuple Congolais sortent d’où? Pas du front 400 de Poto Poto qui a tué, violé et crée tant du tort à ce même peuple congolais? Enfin, ces 80% qui ne sont que des drogués à qui SASSOU a nguirisé à bloc pour venir raconter leur vie n’endrmiront personne et ce n’est pas à une bande d’illétrés de venir nous faire de leçons, encore moins à OKOMBI;

  8. Anonyme dit :

    OYESSI, UN VRAI COMPLICE DU REGIME ACTUEL. SOYEZ PRUDENT…

  9. Anonyme dit :

    Les faits sont tetus! nous faisons tout pour blanchir le Camarade OKOMBI par sa bravoure a quitter la barque, mais l’histoire ne cesse de le rattrapper avec les frasques du Front 400, nous rappelant quelque part qu’il aura malgre tout des comptes a rendre. Ce rappel est tellement genant, que je me demande si notre brave camarade tiendra longtemps son engagement.

  10. Diasporien dit :

    Il ne faudra pas seulement parler de okombi du sud au nord tous les politiciens de la majorité et de l’opposition ont du sang dans les mains. Qui a créé les ninjas? Cocoyes? Mambas? Cobras? Etc surement pas Okombi avec son front 400. Sauf si vous êtes tribaliste.

  11. Anonyme dit :

    Avez vous suivi à 22H sur france3 le reportage de BERLUSCONI, c’est exactement le tabac de la même pipe que SASSOU LE CANCRE

  12. Bouetafogo dit :

    A Olivier Mouebara

    Une transition pourquoi faire ? Est ce la constitution a prévu les mécanismes d’une transition quand le pays est en paix ? Est ce que le pays est en guerre ou en danger ? Enfin.

    Pour réorganiser la société, on a pas besoin d’une transition, le prochain président le fera. C’est pour cela qu’il nous faudra choisir l’homme honnête ayant l’amour des Congolais(es) et du pays, capable de mener ce pays dans les réformes et pérenniser la prospérité des fils et filles du pays.

    Refaire l’armée ou la justice, repenser l’éducation nationale, rendre à Brazzaville ce qu’on lui doit: la propreté, arrêter de saigner le trésor public, retrouver les faux diplômés de la fonction publique et de l’armée (certes ils sont nombreux) ne demande pas obligatoirement une transition.

    André Milongo a essayé en son temps, ça n’a pas été un échec sur toute la ligne, les mêmes aujourd’hui aux affaires lui avaient glissé les peaux de banane. Au moins, Milongo a eu le mérite d’oser. Demander aux anciens ministres d’André Milongo, ce que signifiait la probité morale, le respect du bien de l’État. Ces Congolais là existent pour refaire la nation, pas besoin d’une transition. C’est pour cela que nous devrons nous libérer des charges tribales qui nous envoutent tout le temps pour le choix du prochain candidat. Un homme avec un grand H.

    Saviez-vous que les histoires de transition peuvent faire le lit du tyran ? Si vous voulez que l’opposition et ceux qui sont contre le changement de la constitution implosent, continuer à parler de transition. Ces gens là déjà font beaucoup d’efforts pour oser, vous ne voyez pas qu’ils n’ont pas assez de moyens pour lutter contre ceux qui ont les caisses de l’Etat dans leurs poches et dans leurs maisons ? Sans compter les pressions de tout côté. Leur proposer une transition c’est accepter d’être dans un gouvernement, qui sera premier ministre, qui sera ministre, qui n’a pas envie d’être ministre quand on sait que dans le pays, derrière un ministre, c’est une chaine d’amis et de parents qui se pourlèchent les babines. Alors, ils vont se rentrer dedans, et oublier le noble devoir, celui de donner aux fils et filles du pays les bienfaits de la démocratie.

    Observer les images et leurs mines, vous comprendrez que ce sont des lutteurs sans moyens, je les respecte.

    Mon frère, si nous ratons le coche, nous reculerons pour plusieurs années.

    Si par hasard, un autre président refuse de respecter la constitution, on ira de nouveau à une transition ? Non mon frère.

    Appliquons la constitution stricto sensu pour nous mêmes et pour la postérité.

    Bonjour la République.

  13. Ngai dit :

    Les arrestations arbitraires et la terreur au quotidien continuent leur avancée au Congo. »Le duo Okemba-Ndenguet pousse jours après jours la provocation à son paroxysme » et terrorissent le peuple affamé et rendu misérable par le pouvoir clanique de Sassou Nguesso.Depuis près de 20 ans, le Congo B/ville est devenu un pays où toute la population est devenue esclave d’un clan.
    Sassou Nguesso, l’ Hitler de l’Afrique continue de promettre du sang et des larmes en 2015 et de piller avec ses faux enfants, famille, clique en outrances les ressources du Congo.
    Le peuple congolais, l’opposition, la société civile, la diaspora doivent empêcher le « coup d’Etat constitutionnel » en s’ opposant avec véhémence à  » un référendum anticonstitutionnel». Il est temps de former un bloc monolétique et demander la démission de SASSOU NGUESSO, « le dictateur psychopathe, sadique  » qui depuis plus 34 ans  » tue les congolais, transforme les villes sans eau et électricité en poubelles.  »
    Il faut stopper Sassou et sa bande avant l’irréparable.Sassou Nguesso, le président auto proclamé est un danger permanent pour la paix au Congo et dans la sous région. Les choses sont claires, Sassou et son gouvernement, sa clique doivent démissionner, sinon on doit les faire partir de forces.Hier la constitution voulue par Sassou était présentée comme la panacée pour le bien fondé de la la république du Congo, le peuple congolais. Aujourd’hui, à quelques mois de la fin du mandat, Sassou Nguesso qui y a prêté serment, ainsi que sa clique font tout pour que la Constitution du 20 janvier 2002 soit changée, car elle a des failles. Le dictateur Denis Sassou Nguesso, qui, après 2 mandats présidentiels de 7 ans, chacun, précedés par une une transition de 5 ans, semble se préparer à un troisième, en 2016. Tout ceci n’est pas du tout sérieux.
    « Appeler au boycott du référendum est un signal subliminal donné à Sassou-Nguesso pour tripatouiller la constitution.
    De ce fait BISHIKANDA DIA POOL a complaitement raison de craindre » que les moyens mobilisés par L’opposition congolaise, pour stopper Sassou-Nguesso, soient trop faibles. Aussi, il redoute qu’ils ne contribuent qu’à faciliter cette opération. Comment ne pas s’étonner, s’inquiéter, contester et critiquer cette opposition? Au lieu d’organiser un grand meeting populaire ou de lancer les appels à la ville morte, elle s’est contentée à organiser un monologue comme réponse au monologue de Sibiti. “La volonté du peuple est le fondement de l’autorité du pouvoir public…”, Article 21 de la Déclarations Universels des Droit de l’Homme. »
    http://www.sukissa.co.uk/?p=14589
     » L’Opinion Internationale commence la publication de documents, parfois signés de la main du Président de la République M. Denis Sassou-Nguesso, mettant en lumière une politique systématique de maintien au pouvoir coûte que coûte en 1999 – 2000 mais aussi aujourd’hui, quitte à ordonner parfois des crimes qui tombent fort probablement sous la qualification de crimes contre l’humanité.
    Les premiers documents éclairent la nature du personnage qui est encore aujourd’hui à la tête de l’Etat du Congo-Brazzaville. Et, on peut le craindre, au vu d’autres documents en notre possession, M. Denis Sassou-Nguesso pourrait se préparer à ordonner de nouveaux crimes pour rester au pouvoir en 2016. Coûte que coûte, »
    http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/2476-2015-08-02-15-49-36.html
    Il faut stopper Sassou et sa bande avant l’irréparable.Sassou Nguesso est un danger permanent pour la paix au Congo et dans la sous région. Sassou qui continue de promettre du sang et des larmes en 2015 est l’ Hitler de l’Afrique.
    http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=5365.
    Les consultations/Concertation de Juin ont été des pétards mouillés, le dialogue de Sibiti un bide et son référendum un pataquès.
    http://www.congopage.com/Ou-l-on-reparle-de-l-execution-de-l-Operation-Mouebara

  14. Bouetafogo dit :

    Dans un contexte difficile, il faille louer le courage des hommes politiques qui parlent à ciel ouvert en bravant les bouledogues du pouvoir. Ces gens là se mettent en danger, et mettent parents et amis dans une posture délicate, il le font quand même. Au nom de la République.

    Savez-vous pourquoi le dialogue alternatif s’est tenu à Diata ?

    Critiquez c’est facile, faire c’est autre chose.

    Bonjour la République.

  15. vive la resistance et sassouffit dit :

    Philosophie  » L’homme n’est pas achevé quand il est vaincu, il est achevé quand il abandonne – Richard Nixon  » …..  » Nelson Mandela ajouta plus tard que  » j’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre ».

    La survie du peuple congolais est pas un jeu tyrannique à caractère africain !

    Le peuple souverain congolais pose une exigence à monsieur Denis Sassou Nguesso: connaitre avant les jeux africains de Brazzaville, sa position en regard de la fin de son mandat présidentiel prévu au 14 aout 2016 à 14h30.

    Le peuple souverain congolais a le droit et devoir légitime d’avoir une visibilité concernant l’avenir politique de la nation congolaise.

    En tout état de cause, le non-respect de cette exigence souveraine signifierait que monsieur Denis Sassou Nguesso est de mauvaise foi et que la nation et le peuple congolais courent un danger imminent vers la somalisation et le chaos – c’est à dire le Congo submergé avant 2016…

    Le non-respect de cette exigence est susceptible d’entrainer un appel national (la résistance intérieure), au boycott des jeux africains de Brazzaville 2015.

    L’enchainement prévisible et logique de cet appel verrait se dégrader la situation sociopolitique et économique du pays par un climat délétère ou d’agitation populaire et un soulèvement national, orchestré en particulier par les jeunes qui n’ont plus rien à perdre, trop concernés par leur avenir. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2015/08/la-survie-du-peuple-congolais-est-pas-un-jeu-africain.html

  16. valtro dit :

    Arrêtons l’inepte dictateur dès maintenant… Que l’armée le dépose au plus vite pour éviter au pays un autre bain de sang!

  17. NATTA dit :

    Sassou est déjà entré dans l’Histoire des usurpateurs récidivistes de ce siècle. Quel bilan?

    A propos, le peuple souverain voudra d’un état des lieux et d’un inventaire rigoureux. Il faut assainir la République afin que la vie des Congolais, soit bienveillante et nage dans une prospérité.

    C’est juste. Le pays sera un grand chantier où tous les compatriotes devront faire preuve d’audace et de génie.

    Mais pour l’heure, que le fichier électoral truqué par le PCT afin que perdurent le désordre politique et la destruction de la morale, soit revisité au plus vite!

    La Démocratie doit triompher du népotisme!

  18. Anonyme dit :

    Pour moi, Mr Sassou n’est pas venu et revenu de par de lui même, alors les gens qui lui ont fait ce plateau savent sur quoi il compte, le Congo a trop souffert, ils sont aussi capable de l’enlever ou pas. Mais, s’il s’agit de l’une ou l’autre solution, les conséquences seront les mêmes, les congolais vont encore mourir, à la seule condition de doter le pays des digne et fortes institutions et des hommes forts comme lui.
    De toute façon il n’est pas éternel sur terre, donc un jour il mourra et il est grand temps que et son entourage réfléchissent sur le traitement de pardon et de souplesse venant du peuple congolais et non d’empirer la situation… Pire encore que le départ du « géant » ne vient pas des congolais. je voulais, par cette même occasion, rappeler aux hommes en uniforme, qu’ils sont des Républicains et non des protecteur d’un régime…
    vive le Congo et vive la démocratie tracée par la « conférence nationale et souveraine  » !

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