Au coup de maillet de l’octogénaire Pierre Moussa (84 ans), le parti des bandits, le PCT, dirigé par le premier d’entre eux, Sassou Denis, s’apprête à ouvrir les travaux de la prochaine fraude électorale à grande échelle de mars prochain.
Au fur et à mesure qu’approche sa fin, Sassou Denis multiplie et amplifie les bourdes. Après son aveu sur les exécutions sommaires et extra-judiciaires des présumés Kulunas, Sassou Denis vient, dans sa dernière bafouille, de s’auto-accuser de bandit.
Un bandit, selon Le Larousse, « est un malfaiteur qui vit en marge de la société et des lois, et se livre, seul ou en bande, à des actes criminels (vol, assassinats…)
Exactement comme Sassou Denis qui ne respecte pas la loi en cumulant la présidence de fait du Congo et celle du PCT. Ce n’est pas une insulte. C’est un portrait qui sied à celui qui hait et qui voue une rancune tenace au Congo et aux congolais.
Le Congo n’est pas un pays parce qu’il est pris en otage depuis une quarantaine d’années par Sassou Denis qui n’a jamais été élu même par une chaise, qui méprise ostensiblement le peuple congolais Souverain, qui se maintient au pouvoir par la force avec 8% de voix, la manipulation, la ruse et la corruption. Ce sous-préfet de l’impérialisme et ses aficionados n’aiment pas le Congo. Le système mis en place par Sassou Denis est une mafia, une forfaiture !
Sans Constitution sur laquelle Sassou Denis s’essuie les pieds, le Congo s’effondre. S’il était un pays et si la représentation nationale émanait de la volonté populaire, elle aurait pu interpeller le premier sinistre Colinet Makosso sur le surendettement de notre pays. Sassou Denis et son entourage ont réussi à accumuler des sommes colossales, soulevant un problème qui dépasse la simple notion d’Humanité. Nous sommes otages d’un système dont nous sommes devenus les esclaves. Et le pire, c’est que, pour la plupart d’entre nous, cela paraît « normal ». Cette situation, bien que résiliente, ne peut pas perdurer.
Le Congo-Brazzaville du bandit Sassou Denis ne coche aucune case constitutive d’un pays au regard de l’analyse que nous partageons de Charles Gave.
N’ayant pas la maîtrise de ses frontières héritées de la colonisation, le Congo de Sassou Denis qui ignore les frontières du Congo qu’il a pris en otage est vulnérable.
Qui peut servir de bouclier pour défendre un pays dans lequel il n’a pas voix au chapitre ? L’incursion angolaise d’il y a quelques années en est la parfaite illustration.
Soumis à la France, le Congo de Sassou Denis n’est pas souverain. Imposé par ses parrains de la cellule africaine de l’Elysée et ses réseaux françafricains, faisant les quatre volontés de Paris, le Congo de Sassou Denis est loin d’être Souverain. Un pays est doté d’une armée pour le défendre. Or, l’armée congolaise n’existe que sur le papier, substituée par une milice prétorienne triée sur le volet pour sa loyauté au bandit Sassou Denis, prête à défendre non pas le Congo, mais son « pouvoir », préserver et conserver coûte que coûte les privilèges et les juteux avantages du clan. Une armée parallèle de 6800 hommes a été créée à Oyo, sans compter les cobras et la DGSP.
Un pays n’existe que s’il dispose d’une Justice. Au Congo, la Justice c’est Sassou Denis. Il est à la fois Procureur, juge d’instruction et magistrat du siège qui fixe et fait prononcer les condamnations. C’est Sassou Denis qui avait mené l’enquête lors de l’assassinat du président Marien Ngouabi à l’hôtel Mistral alors qu’il en fut l’ordonnateur et l’exécutant.
Jean-Marie Michel Mokoko, vainqueur incontesté et incontestable de l’élection présidentielle de 2016 a été condamné par la Cour des criminels de Brazzaville à une peine de prison de vingt ans, pour avoir, disent Sassou Denis et ses crétins avoir commis un délit! Une telle peine n’existe pas pour un délit, même au Guatemala.
Un pays n’existe que s’il a une administration. Au Congo, l’administration n’est pas au service des administrés, mais n’es là que pour permettre à Sassou Denis et à son clan de le vider sans discontinuer et impunément les caisses de l’Etat. Les 14.000 milliards de FCFA des générations futures se sont volatilisés, et cinq membres de son clan disposent plus de 5.000 milliards de dollars planqués dans les paradis fiscaux.
Sans être exhaustif, un pays n’existe enfin, que s’il bat sa propre monnaie, n’en déplaise à Thierry Moungalla, le mouton de panurge du système mafieux mis en place et incarné à la fois par Sassou Denis et le PCT.
Au regard de ce qui précède, force est de constater que le Congo en tant que pays n’existe plus depuis sa prise en otage par un bandit, Sassou Denis et les thuriféraires du PCT. Le Congo est devenu un repaire de bandits, une propriété privée qui est exploitée comme bon lui semble par Sassou Denis et son clan.
Sassou Denis ne sert à RIEN. Il n’est qu’un théâtre d’ombre.
Pour cela, il est urgent de nous unir pour le faire tomber avant qu’il ne soit trop tard. C’est comme une couche de bébé qu’il faut changer. Lui permettre d’organiser un énième braquage électoral en mars prochain sera un suicide collectif. Sassou Denis tombera quand l’armée, ou ce qu’il en reste, refusera de tirer sur les congolais.
Le soulèvement populaire devient urgent, souhaité et inéluctable. Une TRANSITION s’impose pour bâtir un Congo nouveau, un pays qui a vu voler en éclats tous ses fondamentaux.
Ne comptons pas sur les discours lénifiants et la câlinothérapie de l’église catholique corrompue du Congo-Brazzaville. Sassou Denis n’est pas l’espoir, mais le désespoir et le cauchemar des congolais, l’incarnation du MAL.
Sassou Denis, son clan et les bandits du PCT qui ne sont intéressés que par la gamelle passeront. Le Congo restera, car il est ETERNEL.
Comme seule la lutte nous libèrera des griffes de ce bandit et de ses métastases, nous devons nous dire tous , à l’image de Friedrich Nietzsche, que « L’espoir est le pire des maux, car il prolonge les tourments de l’homme ».
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 15 décembre 2025, par www.congo-liberty.org

Cher Olivier Mouebara , vous avez décrit ce faux pays ,du faux homme d’Etat qui est Sassou Denis ! Car vrai homme d’État pense à ses compatriotes et même à l’avenir de nos petits enfants . Or Sassou Denis les rares moments qu’il est lucide ne pense qu’à l’avenir des Mbochi, car il a pensé créer une institut polytechnique a Oyo pour former uniquement les jeunes Mbochi ! D’ailleurs la petite Adouki que j’ai bien connu à Bordeaux a dit que c’était grâce à la défunte Edith Sassou que cette institution polytechnique avait vu le jour , alors cette dernière est décédée il 11 ans. Malheureusement certains cerveaux malades continuent à croire à ce simulacre de gouvernement, quant Sassou Denis est à la tête d’une entreprise familiale et a pris en otage toutes les richesses du Congo Brazzaville.