Dans la perspective de l’élection présidentielle de 2016, nous considérions, il y a peu, que le débat sur le sort à réserver à la constitution du 20 janvier 2002 avait atteint son paroxysme, au point d’assombrir dangereusement notre horizon. Le bon sens commande que l’on ouvrit enfin le chapitre du bilan des deux mandatures de l’Administration SASSOU. C’est désormais chose faite !
La litanie grandiloquente déroulée par le Président de la République lors de son message sur l’état de la nation consacré à son bilan des quatorze dernières années ne saurait se soustraire de son parcours personnel dont la longévité au pouvoir dure depuis plus de trente (30) années. L’histoire nous donne ici l’occasion d’évaluer sans complaisance, d’examiner froidement et de critiquer de manière objective le bilan d’un président en fin de carrière ; une carrière, au demeurant, bien remplie ; sans nul doute la plus « impressionnante » mais aussi la plus controversée de toutes.
Pour rendre compte de son action politique des deux derniers mandats, le Président de la République a choisi d’opposer à ses réalisations, le chaos qui a prévalu lors de la décennie des années 90. Il n’échappe à personne que le Président de la République actuel fut un des principaux acteurs de l’époque décriée. Peu avant, il a lui-même été à l’origine des Plans d’Ajustement Structurel (PAS) au milieu des années 80, avec les répercussions catastrophiques qu’ils ont engendré sur plusieurs années. Il a également contribué à l’élection de Pascal Lissouba, et fait partie des belligérants de l’épilogue sanglant de 1997-98. A sa décharge, pour être objectif et en accord avec lui, il faut reconnaitre que les dirigeants issus des élections générales post conférence nationale s’y sont très mal pris quand il s’est agit de mettre la démocratie et ses acquis sur de bons rails.
Notre approche du bilan partira du postulat qu’il s’agit bien de considérer les écarts -souvent criards- entre le potentiel de développement rendu possible par les ressources disponibles pendant les deux périodes de règne du Président de la République actuel et les résultats peu flatteurs affichés à l’approche de la fin de son deuxième et ultime septennat.
D’aucune manière, il ne nous viendrait de céder à la tentation de verser dans quelque querelle de chiffres qui ne serviraient qu’à alimenter des polémiques stériles. Mais, en toute objectivité, il ne peut être rangé dans l’oubli, de fausses vérités qui, faute d’être soulignées maintenant, risquent fort de nous porter préjudice dans l’élaboration des hypothèses de nos projections pour l’avenir.
En effet, le taux de chômage par exemple, ne peut être établi à 6% pour l’année 2013. La conjoncture économique dans notre pays ne se présente pas sous le signe du plein emploi caractéristique des économies en très bonne santé qui dispose, en général, d’un secteur productif organisé, dynamique et performant. Les rapports des institutions internationales que le Président de la République cite abondamment dans son message, décrivent une situation des moins reluisantes en matière de chômage (42%) et de sous-emploi (27%) pour les catégories jeunes.
D’autres décisions décrétant la gratuité de la césarienne, l’obtention des documents administratifs, tel que le passeport, n’ont pas pu connaitre un début d’exécution dans la mesure où leur acquisition reste, dans la réalité des faits, payante. Cette décision unanimement saluée s’est heurtée à la résistance des mentalités d’une administration de fonctionnaires impénitents, dont le reflexe a été d’organiser, ipso facto, la rareté. Preuve évidente de la crise d’autorité qui règne dans ce pays où personne ne respecte plus rien, même la parole officielle du chef de l’Etat.
Pour bien comprendre l’ampleur du problème, il faut noter que, s’agissant de la césarienne, le coût moyen de l’opération est de deux cent mille (200 000) fcfa (soit 300 euros) tandis que le SMIG est établi officiellement à 90 000 fcfa (soit 137 euros). Dans le même ordre d’idées, le taux de mortalité maternelle au Congo est encore trop élevé à 426 décès pour 100 000 naissances vivantes (Source UNFPA, déc. 2012). S’il faut reconnaitre les progrès réalisés dans ce domaine depuis le début des années 2000, il reste néanmoins un objectif que «plus aucune femme ne devrait mourir en donnant la vie ».
La création de 3000 entreprises (en moyenne) par an, sur la foi des statistiques du Centre de Formalités des Entreprises (CFE), est une donnée très aléatoire, étant entendu qu’une entreprise créée ou déclarée n’entre pas systématiquement en activité. En ce cas, la structure du PIB aurait été totalement transformée. La dynamique du marché de l’emploi aurait été significativement stimulée.
Le Congo est et demeure une économie d’enclave, dans la mesure où celle-ci se base sur l’exploitation d’une rente (le pétrole), dans une portion de territoire largement sanctuarisée. La dépendance à l’égard du secteur pétrolier est même en augmentation, souligne un rapport du FMI de septembre 2014 (Report n°14/273). La production pétrolière (pétrole brut principalement) représente plus de 60% du PIB. Le secteur pétrolier est également le principal pourvoyeur de réserves de changes (90% des exportations et 80% des recettes de l’Etat). Une situation qui date depuis la découverte et le début de l’exploitation des premiers champs pétrolifères, à la fin des années soixante (60).
En cinquante-cinq ans d’indépendance, le Congo ne dispose toujours pas d’un tissu productif et de services équilibré et cohérent. Les zones économiques spéciales (ZES) que le Gouvernement actuel peine à rendre visibles, étaient destinées à répondre à cette lacune caractéristique de la structure de l’économie nationale. L’initiative gouvernementale des ZES suscite également de véritables questions sur leur orientation stratégique ainsi que les objectifs qui leurs sont assignés. Chose curieuse ; le Parlement n’a jamais adopté un plan de financement de ces ZES, tandis que le gouvernement s’active, depuis près de cinq (5) ans, soit à commander des études de faisabilité, soit à procéder à la création des complexes industriels, sans aucune base légale.
D’une courte phrase, le message du Président de la République évoque les limites et les faiblesses de son œuvre (accomplie), sans la moindre allusion aux principaux défis qui restent à relever.
Ce que le Président de la République ne dit pas, c’est que le Congo est devenu une triste référence de pays parmi les plus corrompus au monde. Le pillage systématique des deniers publics, la pratique des pots-de-vin, l’inexécution des marchés publics avec son corollaire communément appelés « éléphants blancs », l’incurie de l’administration fiscale et bien d’autres phénomènes, sont autant de travers qui ont considérablement réduit les performances que les congolais étaient en droit d’espérer avec des résultats bien plus importants que la situation affichée. Le Président de la République lui-même, dans son message de circonstance lors de son intronisation en 2009, reconnaissait avec force cette réalité, et son caractère pernicieux. Depuis, rien a changé !
Ce que le Président de la République sait et qu’il a feint d’ignorer, c’est que la pauvreté dans le Congo dont il est le gérant constitutionnel, atteint les sommets, nonobstant les taux de croissance à faire pâlir les vielles économies industrielles. Plus de 46,5% de la population vivent encore en deçà de la limite de pauvreté. (Source FMI, rapport, n°14/273)
Le Président de la République est censé savoir que notre pays est totalement dépendant des importations en matière de produits alimentaires, estimées en valeur à près de 200 milliards fcfa, (Source FAO, cadre de programmation pays 2013-2016). Ce malgré moult initiatives prises sous sa direction, à savoir : « l’auto-suffisance alimentaire à l’an 2000 », « l’agriculture priorité des priorités » ou encore la mise en place d’un Fonds d’Appui pour l’Agriculture, et la promesse de création de nouveaux villages. Les congolais ne savent toujours pas produire ce qu’ils mangent.
Faut-il rappeler que l’économie est le moyen par lequel la politique assure à chacun les moyens de l’épanouissement personnel, et à tous la réalisation d’un bien-être collectif. Le sentiment général sur la condition social du « congolais normal » est que nous en sommes encore bien loin.
Le système de santé est un problème non encore résolu. Pour preuve, le Président de la République lui-même se rend régulièrement à Marbela (en Espagne) pour s’assurer de la vitalité de sa santé. Il en est de même pour ses collaborateurs malades dont les évacuations à l’étranger coûtent extrêmement chères à la communauté, notamment en cas d’urgence. Faute de relations et de capacité financière pour entreprendre la même démarche, à l’instar de leurs dirigeants, les congolais qui ne sont pas sûrs de se voir prodiguer les mêmes soins dans un centre hospitalier de la place, s’y rendent malgré tout, la peur au ventre, avec l’espoir que « le bon Dieu les aide à en sortir vivant ».
La carence en matière d’accès à l’eau potable et à l’électricité dans les villes et les campagnes est emblématique de l’échec des politiques publiques dans notre pays. Il est vrai que des sommes colossales ont pu être investies dans ces deux secteurs qui ont un impact certain sur le quotidien des populations. Mais, hélas ! Le congolais lambda attend toujours que cessent les coupures intempestives d’eau et de courant qui nuisent aux activités économiques et à la qualité de vie.
A entendre le Président de la République parlant des transports terrestres, un effort visiblement titanesque aurait été consenti pour la réalisation de près de 3000 km de route bitumée, sur environ 17 000 km de voies et pistes balisées sur l’ensemble du territoire. Une avancée, certes ! Mais certainement pas un exploit !
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, l’éducation qui aurait pu être la grande priorité, au-dessus de tout, reste le parent pauvre des préoccupations nationales. Seulement 8,9% des ressources budgétaires de l’Etat sont consacrées à ce secteur. Au terme des deux années successives (2013-2014) consacrées à l’éducation, les résultats sont encore à rechercher telle une aiguille enfouie dans un tas foin.
L’école congolaise manque de tout : même les toilettes font défaut dans les établissements scolaires et universitaires, pour ne pas évoquer les tables-bancs, l’électricité, l’eau, les aires de jeux aménagés, l’accès à l’Internet haut débit, etc… toutes ces choses qui constituent la base ordinaire d’une éducation saine et efficace pour un jeune contemporain.
Quid du niveau et de la qualité de formation ainsi que le traitement du personnel enseignant, la prise en charge obligatoire de l’enseignement de base, la réorientation du système éducatif par un ré équilibrage entre les options de l’enseignement général, technique et professionnel, etc…
De quelles avancées parle-t-on dans ce domaine essentiel qu’est l’éducation, Monsieur le Président de la République ?
De nombreuses questions, tout aussi importantes que l’éducation, la santé, le secteur productif, etc…, n’ont pas été abordées dans cette livraison. Il importe, cependant, que le Gouvernement de la République joue la totale transparence sur les problématiques de la dette publique (intérieure et extérieure) et les garanties sur lesquelles elle est endossée, publie les contrats pétroliers et les termes exacts des concessions de nos terres arables accordées aux firmes étrangères…
Le plein sens de la politique devrait être l’aptitude à se situer face aux autres. Car, l’humain est la donnée première et la suprême valeur. Il n’est de politique valable que celle qui se montre capable d’assurer l’équilibre entre la satisfaction des besoins matériels, intellectuels et mentaux, sous la tutelle de l’esprit.
Le discours sur l’état de la nation du 12 août 2015 en a, sans doute, déçu plus d’un. Et pour cause ! L’attente du grand public à entendre le Président de la République trancher le débat sur la problématique de l’évolution des institutions au travers d’une démarche référendaire, n’a pas été satisfaite. Nous osons espérer qu’enfin, le Président de la République a choisi définitivement la voie de la sagesse.
Changer la Constitution du 20 janvier 2002 est inopportun et contradictoire, en ceci que le Président de la République, son initiateur, se satisfait largement du chemin parcouru avec elle. Nous gardons espoir que nos appels incessants à la raison et au bon sens seront enfin entendus
Les Congolais et surtout la génération à laquelle j’appartiens, sommes prêts à organiser et à assumer la relève dans le cadre d’une succession pacifique et civilisée à la tête de l’Etat. Il appartient à nous tous d’en définir les modalités pratiques, dans un élan de fraternité et d’estime réciproque. Une élection transparente, libre et démocratique en est la clé.
Notre avenir est tracé. A chacun de prendre ses responsabilités !
« Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir » (Frantz Fanon, Les damnés de la terre).
Telle est notre vocation et le sens de notre combat.
Brazzaville, le 19 août 2015,
Félicien Wilfried DIABELO KIVOUVOU
Président de La Conscience Libre
Depuis le retour de Sassou et une Transition d’un Beau parent fou et alcoolique, l’aviation civile est une affaire de MBOCHIS incompétents peut être plus que dans l’ARMÉE:
– Ministre MTAC politique MBOCHI;
-Conseiller au Transports et à L’aviation civile du Président MBOCHI;
-Conseiller aux transports du Ministre MBOCHIS;
-DG de l’aviation civile 5MBOCHI ( AMBENDET OSSO, GUEBENGUET, ONDONGO, DZOTA, se sont succédés depuis le dernier NON MBOCHI !!!!!!);
-DG Adjoint de l’aviation civile MBOCHI;
-Inspecteur Général MBOCHI;
-DG ECAIR Kouyou – Guinéenne;
– DG CONGO HANDLING MBOCHI Beninois.
Parmi ces gens, il n’y a aucun Spécialiste de l’aviation civile!!!
OSSO l’Économiste CONTREMBASSÉ sur le tard peut ainsi faire valoir son DESS de l’IFURTA comme un DIEU! Quelque part, on dit: un NDZAMBE ASSENGUE parmi les ignares.
Après sa formation en ex-URSS, André Okombi Salissa rentre au pays. Il est diplômé sans emploi. Fervent militant du PCT, il est grand admirateur et homme de main du Président Denis Sassou Nguésso qu’il considère comme son Dieu sur terre, son mentor. C’est à ce titre que le diplomé sans emploi Okombi Salissa finit par ètre fait ministre.
Accroché à la ceinture du Président Sassou N’Guesso comme un chrétien à son chapelet, Okombi Salissa gravite les échelles de la politique. Il passe à la tête de différents portefeuilles ministériels, mais qu’il gère avec très peu de sérieux. Ce qui, sans doute, a fini par lui couter son départ du gouvernement. A tous les niveaux où il a sévi en qualité de ministre Okombi Salissa a fait des dégàts. Brillant en tribalisme absolu, cet intégriste n’a travaillé qu’avec des membres de sa tribu et ceux de son association, le CADD-MJ, qui n’étaient autre que les anciens guerriers du front 400.
Ejecté du gouvernement, Okombi Salissa s’affiche désormais comme un grand modèle d’intégrité et de conviction. Il faut dire qu’il a une courte mémoire. C’est un homme douteux qui feint d’ignorer les dommages qu’il a occasionnés lors de son passage à la tête des trois postes ministériels. Gagné par le gout d’argent qui le hantait depuis l’Europe de l’Est, cet ancien vendeur de casseroles et porcelaines devenu ministre, avait réussi à s’accaparer d’une grande partie des marchés publics au niveau des ses différents ministères. Une petite partie de ces marchés était d’ailleurs attribuée à des opérateurs économiques de sa tribu avec lesquels ils se partageaient les dividendes.
André Okombi Salissa, qui s’érige en donneur de leçons et qui s’autoproclame intègre, semble oublier que hier ministre, il prenait du plaisir à humilier les agents retraités de l’Etat en les qualifiant de «serpents sans venin» et de «rats de tous les râteliers».
Il a donné des coups de ciseaux aux enveloppes destinées à la paie des pensions, multipliant ainsi par mille la misère de ces pauvres diables. M. Okombi Salissa n’a jamais géré les différents ministères qu’il a occupés en toute transparence. En se démarquant du pouvoir pour avoir perdu sa part du gâteau, il croit avoir fait peau neuve en ralliant l’opposition radicale, celle là même qui n’est constituée que d’anciens dignitaires peu modèles du pouvoir, devenus des aigris. C’est un vrai club des anges déchus.
André Okombi a formulé des critiques à l’endroit du gouvernement sur la fraude massive ayant occasionné l’annulation du baccalauréat 2015. Mais il a oublié de mentionner qu’il a eu à gérer le brevet d’études technique (BET) session de juin 2012 dans le district de Lékana, où il a fait écarter les noms des élèves Mboussa Dachy et Ngantsio Ngouolali Thierry Eude, admissibles à la première session, au profit des noms d’Ontsouka Luchrese Pegeline et Ontsouka Aude Demetrie Dahvia, qui n’étaient même pas inscrits sur la liste d’examen de ce centre.
André Okombi Salissa joue au guignol, avec des ambitions qui dépassent ses potentialités morales. Resté fasciné par le Président Sassou N’Guesso qu’il n’atteint même pas à la cheville il rêve de le remplacer à la tête de l’Etat. Ce n’est ni plus ni moins que de la pure folie ; et pour cause, sa politique se base sur les considérations ethniques.
Quant à sa stratégie médiatique elle demeure nulle et ne peut tromper personne surtout pas le peuple congolais. Il est très peu probable sinon quasiment impossible que Mr Okombi Salissa parvienne un jour au niveau atteint par Denis Sassou N’Guesso. Et si M. Okombi Salissa tient tant à arriver à la tête du pays, ce n’est certainement pas pour servir les Congolais, mais pour se servir davantage à coup sur. Avec un André Okombi Salissa à la tête du pays, le Congo est bien parti pour vivre de perpétuelles crises politico-militaires. Car, l’homme est sans foi ni loi.
URL source: http://blogs.mediapart.fr/blog/cap2016club/200815/andre-okombi-salissa-un-gangster-qui-joue-au-guignol
http://blogs.mediapart.fr/blog/cap2016club/200815/andre-okombi-salissa-un-gangster-qui-joue-au-guignol
A celui qui haït Okombi Salissa, au fossoyeur de la démocratie
C’est ce genre d’analyse contre okombi salissa qui prouve à suffisance que sassou ne veut pas quitter le pouvoir. Cette analyse sent le pct. C’est la preuve que sassou et le pct vont jusqu’aux boutistes changé la constitution. A lire cette feuille de chou, j’ai la nausée.
On dit bien au Congolais que le pays est dévasté par les mauvaises pratiques, le Congolais ne bénéficie pas des richesses du pays, le Congo est malade, le problème est sassou et son pct, essayons d’autres personnes, et, certains compatriotes viennent nous distraire avec des articles « à la con ». Excusez-moi chers internautes.
Nous avons dit sassou part d’abord, c’est le jeu démocratique, le peuple connait qui a fait quoi, le temps viendra, ce valeureux peuple saura faire son procès, le procès des autres Congolais, ce n’est pas le moment.
Pourquoi, vous vous acharnez sur Okombi, et l’assassinat du cardinal Biayenda, la sépulture de Massamba-débat, et les cocoyes, les mamba de guerre, les requins, les cobras, les ninjas, l’assassinat de Marien Ngouabi, les samba dia nkoumbi et les Mizelet, les disparus du beach, les empoisonnements, les …., pourquoi vous n’en parlez-pas, où sont les responsables. N’importe quoi.
Qui a des mains sales, ils sont nombreux, très nombreux, ceux qui ont du sang dans les mains, la file est longue, peut-être même que le géniteur de ce post n’est pas exempt de reproches, mais ce n’est pas la préoccupation de l’heure.
Maintenant là. C’est la constitution: Partira ou partira pas, voilà le problème.
Est ce que ce peuple croit-il encore en son président ? Je doute. Est ce un énième leurre de sassou ? Attend-il l’après jeux africains comme ce prédateur tapi dans l’obscurité pour croquer ce peuple et détruire le pays ? Comment va t-il gérer les questions des listes électorales ? Va t-il mal gré l’interdiction de son peuple et de la communauté internationale prononcer son référendum ?
Voilà des questions qui méritent réponses aujourd’hui et maintenant, au lieu de nous embastiller, faire diversion dans des considérations pécétistes. On vous connait vous les gens du pct, ça sent la plume du pct, ça n’a pas changé depuis plus de 40 ans.
Le problème des hommes, le moment viendra, il est plus facile de gérer le problème des hommes que de détruire un système bien rodé dans le mensonge, l’intimidation, les assassinats, les arrestations arbitraires, l’inceste, l’adultère, la fourberie, l’orgueil et les crimes économiques comme le système pct et ce, depuis de très nombreuses années.
Facile vous les gens du pct, de révéler, de mettre en lumière vos méthodes. Le disque ne passe plus, il est rayé.
Sassou a dit, en 2016, à la même date, il y aura un autre président, fiction ou réalité, 2016 est à nos portes. L’on se rappellera de l’auto-suffisance d’ici l’an 2000, to kanissa après pétrole, ……
Il oubliait que 2000 n’était pas loin. Ou en sommes-nous ?
2016, c’est dans quelques jours. Sassou n’a fait que jeter le doute dans les esprits des Congolais.
Le frère Kivouvou vient d’énumeré les problèmes du CONGO B , pire encore le congo Brazzaville importe le foufou , l’arachide, le savon , l’orange et la banane de la RDC , en realité le taux des chomeurs dans le sud du pays est de 95% au nord c’est le plein emplois car la milice de Sassou recrute toutes les trimestres des années dépuis 1997 avec le coup de force du sanguinaire ! Sassou à besoin d’une psychiatrie lourde , car pour créér un tel désastre ,il faut être fou !!!
C’est bien dit mon cher, mais là où vous faussez tout, c’est quand vous dites qu’Okombi n’atteint pas Sassou à la cheville.
Sassou est un serpent qui a initié Okombi à la violence et qui a massacré beaucoup de ses compatriotes en s’alliant à l’occident. Ce n’est pas digne d’un père de la Nation. Souvenez-vous de l’épisode Ntsourou qui a mobilisé toute une partie de l’armée et occasionné des dizaines de morts en plein jour en pleine capitale. Ce n’est pas honorable cher ami. Souvenez-vous de l’épisode Ikongono à Owando pour tuer – comme un chien – son frère Anga. Souvenez-vous de 1998, dans le Pool et les pays du Niari qui pourtant avaient le droit de protester contre son coup d’état. Souvenez vous des pauvres enfants séparés cyniquement et brutalement de leurs parents pour être tués sans ménagement : les disparus du beach, après un message officiel de paix du chef de l’Etat invitant ses compatriotes à rentrer, ce qui n’était qu’un piège, bref, Okombi a fait ce qu’il a fait, mais Sassou reste un homme dangereux.
Vous qui parlez maintenant, il suffit qu’il vous arrive un petit accident, vous serez transporté au CHU, vous verrez le niveau des risques que vous allez affronter.
Dites-nous où le Congo a fait des progrès ? Au niveau de l’enseignement ? De la Santé ?
Avez-vous vu le niveau de la corruption ? La deliquescence de l’Etat qui a même perdu l’autorité. Quand le president demande que le passeport devienne gratuit, son acquisition devient plutôt plus cher.
C’est bien dit cher loubaki. Le pctiste qui a parlé de Okombi, est un vrai fanfaron !!
Dans ce qu’a dit ce PCTISTE, tout est aussi vrai il faut le reconnaitre. Mais si le Camarade OKOMBI vient apporter son concours au Peuple souverain pour mettre un terme a ce qu’il est convenu d’appeler l’Etat des Sauvages, nous le recevons grandement, mais qu’il se contente de ce qu’il a deja pique dans son passe politique, et qu’il laisse une Generation de Gens aux mains propres diriger le Congo de demain sans leur mettre les batons dans les roues. Mais s’il manoeuvrait pour prendre le pouvoir, malgre le depart du Tyran, il rencontrera la mort brutale des mains d’un de ceux qui ont perdu leurs Parents des mains criminelles du FRONT 400. Quel triste nom!
Laisser okombi tranquille même s’il a fait du mal au congolais c’est pas grave pour le moment on veut le départ de sassou donc unissons nous c’est pas la peine de critiquer le bilan de okombi
On félicitera évidemment l’initiative de notre compatriote de tenter de faire le point du discours du général Sassou truffé de contre-vérités. On pourrait également, de façon tout à fait légitime, faire la critique de la critique. Rien d’anormal, c’est la loi du genre.
Nous nous bornerons, cependant, ici, à un seul point, parce que très couramment utilisé par de nombreux commentateurs, et que nous citons: « A sa décharge [de Sassou], pour être objectif et en accord avec lui, il faut reconnaître que les dirigeants issus des élections générales post conférence nationale s’y sont très mal pris quand il s’est agit de mettre la démocratie et ses acquis sur de bons rails »! Cher compatriote, honnêtement, c’est quoi « mettre la démocratie et ses acquis sur de bons rails » quand on connaît les débuts du régime issu des urnes! Il est connu que la guérilla commence avant que le premier gouvernement mis en place ait pris une seule mesure puisque, je l’ai déjà dit ici, il est renversé suite à sa déclaration de politique générale! Cela n’existe ou n’a existé nulle part dans des démocraties déjà assises puisqu’il aurait fallu trouver des justifications autres que politiciennes, personnelles et partisanes!
Essayons de faire un effort d’objectivité sinon nous faisons du sur-place puisque, dans l’hypothèse, pas évidente, de changement de régime après la dictature, nous risquons de revivre le même scénario, en raison de la très mauvaise foi des leaders du PCT. La petite mise au point, rapide, que j’ai faite à l’occasion de la critique de la sortie de Zacharie BOWAO (« La résurrection de l’éthique de circonstance… ») est tout à fait d’actualité à cet égard. L’une des grandes particularités de la dictature, sur un temps prolongé, comme c’était le cas au sortir de la Conférence nationale, comme demain après le règne de la barbarie et des anti-valeurs, c’est l’atrophie de l’Etat. Le dirigeant après Sassou demain, comme en 1992, se retrouvera dans un régime où les grands maux (le pillage des ressources de l’Etat, le tribalisme et le régionalisme, le mercantilisme et la vénalité,…) auront été exarcerbés à leur paroxysme et, alors, une petite étincelle suffit pour allumer le feu. Votre affirmation que j’ai citée démontre que nous n’avons toujours pas bien fait le diagnostic des problèmes de l’origine de notre système politique après la Conférence nationale. C’est exactement comme si, à l’instar du PCT, vous reprocheriez à Milongo de n’avoir pas réussi à payer le premier mois de salaire des fonctionnaires après son investiture en juin 1991, alors que cette situation est l’une des grandes conséquences du régime précédent. Il en est de même des votes tribaux et régionalistes qui s’ensuivirent et qui sont plus le résultat de l’échec de trois décennies de fausse unité nationale!Ce qui s’est passé en novembre 1992 dans les changements de majorité c’était une obscénité politique, une forme d’adultère politique qui a inoculé la suite. En disant cela, je n’absous pas le régime alors établi de certains manquements mais qui, à mon avis, pouvaient être corrigés, dans l’immédiat ou plus tard, par des moyens démocratiques. Votre proclamation est tout juste ce que recherche le PCT pour justifier ses forfaitures. Mais, je pense que j’aurai plus tard, oralement, l’occasion de revenir sur les mésinterprétations des débuts de notre système politique post-conférence nationale. Gare toutefois à nos erreurs et méprises. Au sortir de la Conférence nationale, comme demain au sortir de l’odieuse dictature, faute d’une transition prolongée, on aura besoin, mieux que dans les grandes démocraties du monde aujourd’hui, d’une période de graçe sans laquelle le régime successeur s’effondrera. Au Congo et ailleurs. C’était, à mon avis, un miracle déjà que le régime issu des urnes ait pu tenir cinq ans, mais bien cabossé comme peut le reconnaître tout observateur objectif. Bonne réflexion…
Bien dit Felix. Toutefois, cette fois-ci, le pct sera totalement aboli et tous ses dirigeants interdits d’activités politiques et déchus de leurs droits civiques. Il n’y aura plus de pct après la chute de sassou Denis p, à moins que nous soyons victimes du syndrome de Stockholm pour accepter que l’histoire bégaie une nouvelle fois. le ménage doit se faire une bonne fois pour toute; plus question de demi-mesures du genre conférence nationale. Refuser cette évidence serait accepter de voir s’installer au Congo une dynastie ethniciste.
NOUS S’Y PRÉPARONS DEPUIS PARIS ET RÉSEAUX INTERPOSÉS A METTRE LES CONGOLAIS DANS LA RUE…
N’ATTENDEZ PLUS LES MESSAGES ET LES MEETINGS A LA CON DU FROCAD, IDC NON MERCI, ILS N’ONT PAS DE COUILLES DE MOBILISATION GÉNÉRALE OU DU SOULÈVEMENT POPULAIRE ET MAINTENANT – C’EST DES IMPOSTEURS ET DES LÂCHES C’EST PROUVÉ DEPUIS 2002 A NOS JOURS…
N’ATTENDEZ NI L’AIDE DE LA FRANCE, NI DES USA ET COMPAGNIE… MAIS DU SOULÈVEMENT POPULAIRE ET MAINTENANT – METTEZ LE PEUPLE CONGOLAIS DANS RUE ET MAINTENANT… POINT BARRE… SI SASSOU APPORTE LA VIOLENCE LES 4,8 MILLIONS DE CONGOLAIS REPENDRONT PAR LA VIOLENCE ENVERS LE RÉGIME ET SES ENFANTS….
LA RÉVOLTE EST A DEUX PAS D’AGIR SANS IDC ET FROCAD DE LÂCHE FACE AU TYRAN…