« Le mal ne se maintient que par la violence » « et la vérité est la seule arme dont nous disposons » Gandhi, 23 mars1922
Jean-Luc Malekat, et les membres du comité préparatoire, viennent de jouer un tour de force d’une portée historique voir surnaturelle en rassemblant toute l’opposition congolaise présente en Europe ; paradoxe de l’histoire, Dieu choisit parfois la simplicité, la pauvreté et l’innocence pour faire passer sa vérité et sa grandeur.
Le même Jean-Luc Malekat au cours de la réunion tenue le 5 avril 2014, reprenant en son compte les douces phrases adressées au Seigneur par Saint François d’Assise, prenait un engagement devant Dieu pour parler de sa patrie le Congo, abimée, outragée par les haines et les guerres absurdes, prônant l’union dans la justice ; déclaration faite sous forme de serment :
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Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière
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Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
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Là où est la haine, que je mette l’amour.
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Là où est la discorde, que je mette l’union.
En disant cela Jean-Luc Malekat nous invitait à s’associer avec lui pour répondre à cet appel venu du fond de son cœur ; le ton était tellement grave comme s’il se sentait convoqué par le destin et par une voie intérieure, une voie sensible, une voie qui parle au cœur ; ce cœur tel que le comprennent les mystiques chrétiens, ce cœur Pascalien qui a ses raisons propres et que la raison ne connaît pas.
Depuis la barbarie, réunir tant des congolais en exil qui ne se parlaient qu’a peine, habités par la peur et par la dureté du pouvoir de Brazzaville dont les pratiques ne changent pas, Jean-Luc Malekat et les membres de son comité sont venus insuffler un esprit nouveau, un esprit du non-renoncement et de reconquête du vivre ensemble.
Depuis la guerre, les différents protagonistes en particuliers les laissés pour compte, dans un climat de confiance et de liberté retrouvée, ce en dehors de ceux dont le pouvoir débauche et corrompt, les congolais ne sont jamais retrouvés comme tel le mardi 10 juin 2014. Ces hommes et ses femmes venus d’un peu partout, de l’intérieur de France, comme de l’extérieur saluer l’initiative des organisateurs.
Ce qui différencie l’opposition de Jean-Luc Malekat et le pouvoir de Brazzaville c’est que dans le drame que connaît le Congo Brazzaville, les grandes actions ne peuvent aboutir qu’appuyées sur une grande mystique et des grandes mystiques, Malekat n’en voit pour les congolais que deux qui s’affrontent, celle de la croix qui rassemble la majorité des congolais qu’on tue, humilie, opprime et celle du pouvoir avec ses méthodes connues
Le mardi 10 juin 2014 Jean-Luc Malekat semblait inviter ses compatriotes à méditer la quatrième béatitude évangélique : « heureux ceux qui ont faim et soit de la justice parce qu’ils seront rassasiés » Mt 5,6. En effet il est prouvé par l’histoire que les hommes et les femmes qui ont faim et soif de justice sont forts, invincibles contre toutes adversités dont aucune ne peut les effrayer. Jean-Luc Malekat convie donc tous les congolais aimant la justice et la liberté et les invite à se convaincre de cette force qu’avait Salomon quand il dit que: « le juste est plein de sécurité comme un lion, il ne sera sans aucune crainte ».
L’originalité et la sainteté de ces retrouvailles trouvent leur explication par son financement, pendant que les éléments du pouvoir tournaient en dérision notre manque d’argent, d’autres prédisant l’échec des assises, les membres du comité et tous les autres congolais de bonne volonté ont dû mettre la main dans la patte pour faire aboutir ses assises ; ce qui me fait dire que c’est par notre pauvreté que nous allons recouvrer la grandeur du Congo Brazzaville ; grandeur qui fut dire au Général de Gaulle dans son message lu par André Malraux lors de l’indépendance du Congo le 15 août 1960 et repris par l’intellectuel Joseph Badila dans la Semaine Africaine du mardi 3 juillet 2012 :
« Brazzaville, ville illustre pour toujours dans le monde des peuples libres ; hier haut lieu de la France combattante, aujourd’hui centre actif du développement de tout un peuple, devient la capitale d’un Etat indépendant » ; ces mots rappellent la vocation première qui fut celle du Congo Brazzaville celle d’incarnée la liberté et d’être le foyer moral et spirituel qui devait éclairer les autres Etats.
A tous ceux qui sont engagés dans ce combat autour de Jean-Luc Malekat et qui s’agitent pour une raison ou pour une autre deux vertus doivent être observées dans la plus grande foi, la première c’est l’espérance car comme dit Charles Péguy « la foi que j’aime le mieux, dit Dieu, c’est l’espérance…L’espérance voit ce qui n’est pas encore et qui sera. Elle aime ce qui n’est pas encore et qui sera dans le futur du temps et de l’éternité ».
La deuxième vertu c’est la charité, mère de toutes les autres vertus que portent l’homme, la charité est le plus grand commandement de Dieu. L’amour est le don le plus grand que Dieu ait fait aux hommes, il est sa promesse. Dans corinthiens 13 verset 4 à 7 Saint Paul déclare « que la charité est patiente, elle est plein de bonté ; la charité n’est pas envieuse ; la charité ne se vante pas, elle s’enfle pas d’orgueil, elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche pas son intérêt, elle ne s’irrite pas, elle ne se réjouit pas de l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; elle pardonne tout etc.… »
Comme on peut constater la profondeur de cet appel, il exige de nous et de ceux qui sont engagés au côté du peuple congolais à plus de persévérance. Le Catéchisme de l’église catholique affirme que : « L’autorité ne s’exerce légitimement que si elle recherche le bien commun du peuple et si, pour l’atteindre, elle emploie des moyens moralement licites. » S’il arrive aux dirigeants d’édicter des lois injustes ou de prendre des mesures contraires à l’ordre moral, ces dispositions ne sauraient obliger les consciences, En pareil cas l’autorité cesse d’être elle-même et dégénère en oppression.
Les Assises ont montré le chemin et que nous ne sortirons des difficultés collectives et nationales que par la valeur de notre conscience morale et la solidité de nos forces spirituelles, en choisissant le camp du Bien nous avons choisis le camp de la culture qui est l’amour du Congo et de l’humanité et qui est aussi le champ de l’excellence ; car la culture est l’unité de la Vie et de la Beauté, elle est la synthèse des réalisations qui élèvent et inspirent ; mais dans le camp adverse c’est la destruction, les souffrances et la mort, aussi nous savons par expérience que ceux qui font souffrir les autres la providence a déjà scellé leur avenir. Ainsi, la culture et la paix rendent l’homme véritablement invincible car, se rendant compte de toutes les conditions spirituelles qui leur sont nécessaires il devient tolérant, vertueux.
Marcel ABIGNA, président de la commission valeurs républicaines, morale politique et paix.
Diffusé le 22 juin 2014, par www.congo-liberty.org
DENIS SASSOU NGUESSO ET SA FRANCAFRIQUE FRANÇAISE DOIVENT-ILS ENSEMBLE REPENSER L’ÊTRE, L’INDIVIDU, LE NON-ÊTRE, LE DROIT, LA SOCIÉTÉ, LES INSTITUTIONS, LA DÉMOCRATIE, L’INTÉRÊT GÉNÉRAL, LES NOUVELLES SYNTHÈSES ET LES CIVILISATIONS NOUVELLES?
Sinon, à quoi ça sert d’être encore humain et ou transgressif dans la France de ce début du XXIè siècle?
PHILOSOPHIE !
On est toujours un peu moins sage lorsqu’on se sait être entouré d’innombrables institutions fictives de sagesse arbitraire ou obscure. Ceci est un cas de prise de conscience de l’esprit et de respect des règles du droit du peuple souverain et des institutions.
Le congolais quel qu’il soit possède un avenir, mais il possède aussi un passé fait de quelques éléments marquants, de souvenirs, de médiations profondes et solitaires. Comme nous, il sait et il oublie, respecte et méprise, raisonne bien et se trompe quand il ne sait pas. Sage, il accorde sa confiance ou la refuse.
Éduquer, respecter le congolais, c’est d’abord lui donner le moyen de devenir lui-même, c’est l’aider à se libérer et à conquérir cette maitrise de soi, seul signe d’imagination, de créativité, de la liberté, de la démocratie et de la civilisation.
La loi reste la loi. Elle est générale et impersonnelle et elle doit être respectée par tous. Elle est au dessus de tout le monde. Elle doit s’appliquer un point un trait….
Isidore AYA TONGA pense que la construction d’un pays ou d’un état est comme celle d’une maison. En effet, une maison quel qu’elle soit ne peut être construite sans socle, ni fondation et surtout sans structure architecturale – sinon, elle s’écroulerait à court terme comme un château de cartes.
Le Congo-Brazzaville post dictature Denis Sassou Nguesso a donc impérativement besoin de nouvelles règles de jeux politiques, économiques, sociales, culturelles, environnementales et des lois règlementant ainsi une nouvelle démocratie fédéraliste et décentralisée du Congo au 21è siècle.
Je pense qu’une constitution est impersonnelle mais lorsqu’elle est adoptée, elle est censée être souveraine. Elle peut être amendée en cas de besoin.
Le besoin ici n’est pas celui d’un individu, d’un putschiste, d’un dictateur ou d’un groupe d’individus éclairés, mais pour l’intérêt général, l’intérêt du peuple souverain.
Denis Sassou Nguesso fait-il le con avec la sagesse des traditions congolaises? Oui, c’est à peu près cela !
Faire le con, c’est s’en foutre de la gueule de quelqu’un ou des intérêts d’un individu.
Les intérêts ici sont ceux du peuple souverain et non pas ceux d’un individu, d’un putschiste, d’un dictateur ou d’un groupe d’individus éclairés, mais pour l’intérêt général, l’intérêt du peuple souverain.
Pourquoi la désobéissance civile est le préalable vers le processus de l’alternance politique au Congo Brazzaville?
PHILOSOPHIE !
La valeur d’un peuple quel qu’il soit ne se mesure pas à l’individu intelligent ou non – elle se mesure plutôt en terme de collectivité, de courage, d’intelligence et de la force d’oser dire » NON » sur différentes interfaces anthropologiques.
Albert Camus : « Ce n’est pas la révolte en elle-même qui est noble, mais ce qu’elle exige » – je dirais de l’individu.
C’est pourquoi, le peuple souverain congolais ne souhaite plus laisser monsieur Denis Sassou Nguesso vouloir le trahir indéfiniment et impunément dans le temps. La désobéissance civile devient donc le préalable vers le processus de l’alternance politique au Congo Brazzaville.
Par ailleurs, la révolte classique oppose la violence à la violence.
La désobéissance civile est plus subtile : elle refuse d’être complice d’un pouvoir illégitime et de nourrir ce pouvoir par sa propre coopération.
Le principe même du pouvoir politique pourrait rendre possible l’efficacité de cette action.
LE POUVOIR LE PLUS FÉROCE TIRE TOUTE SA PUISSANCE DE SON PEUPLE.
Ainsi, dès l’instant où la population refuse d’obéir, l’État n’a plus de pouvoir.
C’est principalement Gandhi en Afrique du Sud et en Inde, Sekou Touré en Guinée, Martin Luther King aux États-Unis, Mandela en Afrique du Sud, les Mères de la Place de Mai en Argentine et la contestation du pouvoir soviétique dans les années 1980, les Tunisiens et égyptiens au printemps arabe en 2011 qui en ont montré l’efficacité de la désobéissance civile.
Un peuple peut donc résister sans violence par la désobéissance civile et provoquer l’effondrement d’un État illégitime.
AVEC LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE DENIS SASSOU NGUESSO ET SON RÉGIME DOIVENT ÊTRE EN POSITION DE FAIBLESSE TOTALE !
L’OBJECTIF EST QUE DENIS SASSOU NGUESSO NÉGOCIE SON DÉPART OU SA CHUTE ET LE PEUPLE CONGOLAIS PAR SA DENSITÉ DE MATIÈRE ET DE NEURONES SERA LIBÉRÉ PAR LUI-MÊME.
Aussi haut qu’un oiseau volera, il finira par se poser. Il est temps que vous vous reposer Monsieur le président Sassou Nguesso.
C’est le seul arbre que vous aurez planté et on se souviendra de vous pour avoir libérer le Congo de votre médiocrité et de votre sorcellerie.
LE POUVOIR LE PLUS FÉROCE TIRE TOUTE SA PUISSANCE DE SON PEUPLE.
Ainsi, dès l’instant où la population refuse d’obéir, l’État n’a plus de pouvoir. Un peuple peut donc résister sans violence par la désobéissance et provoquer l’effondrement d’un État illégitime.
Oui, la désobéissance civile est le préalable vers le processus de l’alternance politique au Congo Brazzaville !
A SUIVRE AU CONGO- BRAZZAVILLE ENTRE 2014 A 2016
Malékat me semble honnête..
INVITATION A L’ASSEMBLEE GENERALE
La coordination des Assises Nationales du Congo pour l’Alternance Démocratique vous prie de bien vouloir prendre part à l’assemblée générale qu’elle organise le 29 Juin 2014.
Date : 29 Juin 2014
Heure : 15H00 à 19H00
Lieu : Paroisse catholique Saint-Hippolyte.
Adresse : 27, avenue de Choisy Paris 13.
Métro : Porte de Choisy, ligne 7
Tramway : T3a
Bus : 47, 183.
soyez le bienvenu.
Jean Luc Malekat
A monsieur Abigna,
Bien que votre appel soit celui du saint esprit, par lequel tout humain se voit attribuer une mission noble pour l’intérêt général, je vous signale que cet engagement n’est possible que lorsqu’il construit autour et par des actes très forts. la force fait allusion ici à densité probe de la morale qui les habille, encadre et ordonne.
Aussi, la Coordination pour ces Assises nationales doit faire des choix très clairs:
-se décider de conduire le peuple congolais à une véritable réconciliation nationale en organisant méthodiquement la DISSOLUTION des quatre milices qui font office d’ramée, de gendarmerie, de police et des services spéciaux.
-Dire la vérité aux congolais ou au peuple congolais sur la COLOSSALE MANNE PETROLIERE que le pays DOIT TOUCHER DES 2017: 210 mille milliards ou 21000000000000000 de cfa. C’est la cause de cette guerre que nous livre sassou dénis et la France pour se maintenir au pouvoir. Cette double vérité n’a jamais été révélée par l’opposition à Brazzaville.
Ces deux actes sont absolument DIVINS DES LORS QU’ILS SONT PROBES, SAINTS, JUSTES.
Le Congo est face à deux pouvoirs: une opposition dite radicale par la dictature stupide sassou nguesso et une majorité dictatoriale radicale.
QUI A TORT OU RAISON…
C’est à chacun et dans sa libre conscience d’en tenir compte.
L’africain ou le congolais est souillé et humilié par qui?
Pour l’opposition dite radicale et ou pour le pouvoir tyrannique dit radical aussi qui va souillé le congolais?
Avec ces gens là du pouvoir tyrannique, le Congo ou le congolais est fichu…
Quoique dans la Francafrique Sassou Nguesso, il y en aura encore des gens libres qui ont des principes ou valeurs de civilisation, un cerveau, la raison et la conscience humaine au sein de la francafrique denis sassou nguesso actuelle…
En cas d’incartade ou d’actes racistes lepeniste ou d’autres contre les intérêts des africains et ou congolais en France et ou en occident, à qui s’en prendre?
A nous-même ou à des boucs émissaires comme le français ou la française ordinaire qui n’en sait rien de toute les folies tyranniques en Afrique noire.
D’après tout les français n’en savent rien de toutes ses combines entre l’environnement politique française et sa francafrique business intérêt particulier de l’espace et le temps.
Bien sûr que les intérêts vitaux de la France (matières premières) servent souvent d’alibi à cette folie contre-valeur. Et si les démocratie africains alliés à la France et ou à l’occident pouvaient apporter plus de valeurs ajoutées économiques et sociales à l’occident que les seuls valeurs matières premières?
Oui, au XXIè siècle, il sera plus sûr pour la France et l’occident et pour bien d’autres partenaires économiques de l’Afrique d’entretenir des relations économiques viables et durables avec les démocraties africains qu’avec les dictatures tyranniques actuelles. Ceci est un de conscience économique et durable au service de l’économie globale et des enjeux planétaires ou des générations futures raciales et ou interraciales dans l’espace-temps.
A suivre…
AUCUN HOMME AU MONDE NE POURRA GÉRER L’ÉTAT D’ÂME D’UNE SALOPE. OUI, UN DICTATEUR EST COMME UNE SALOPE, C’EST A DIRE QU’IL GÈRE SON ÉTAT D’ÂME EN FONCTION DES RENCONTRE ET DE SES ENVIES.
Le Congo est face à deux pouvoirs: une opposition dite radicale par la dictature stupide sassou nguesso et une majorité dictatoriale radicale.
QUI A TORT OU RAISON…
C’est à chacun et dans sa libre conscience d’en tenir compte.
L’africain ou le congolais est souillé et humilié par qui?
Pour l’opposition dite radicale et ou pour le pouvoir tyrannique dit radical aussi qui va souillé le peuple congolais?
Avec ces gens là du pouvoir tyrannique, le Congo ou le congolais est fichu…
Quoique dans la Francafrique Sassou Nguesso, il y en aura encore des gens libres qui ont des principes ou valeurs de civilisation, un cerveau, la raison et la conscience humaine au sein de la francafrique denis sassou nguesso actuelle…
En cas d’incartade ou d’actes racistes lepeniste ou d’autres contre les intérêts des africains et ou congolais en France et ou en occident, à qui s’en prendre?
A nous-même ou à des boucs émissaires comme le français ou la française ordinaire qui n’en sait rien de toute les folies tyranniques en Afrique noire.
D’après tout les français n’en savent rien de toutes ses combines entre l’environnement politique français et sa francafrique business intérêt particulier de l’espace et le temps.
Bien sûr que les intérêts vitaux de la France (matières premières) servent souvent d’alibi à cette folie contre-valeur. Et si les démocrates africains alliés à la France et ou à l’occident pouvaient apporter plus de valeurs ajoutées économiques et sociales d’abord à l’afrique et puis à l’occident que les seuls valeurs matières premières livrées par les dictateurs?
Oui, au XXIè siècle, il sera plus sûr pour la France et l’occident et pour bien d’autres partenaires économiques de l’Afrique d’entretenir des relations économiques viables et durables avec les démocraties africaines qu’avec les dictatures tyranniques actuelles.
Ceci est un de conscience économique et durable au service de l’économie globale et des enjeux planétaires ou des générations futures raciales et ou interraciales dans l’espace-temps.
A suivre…
SOYONS VIGILANTS
Il y’ a très peu de congolais sinon les séides du pouvoir et ceux qui sont à la mangeoire qui défendent encore un dictateur putschiste qui a obtenu seulement en sa qualité de président sortant, 16,86% à l’élection de 1992, et aujourd’hui se prévaut d’être élu avec régulièrement des chiffres autour de 85%, que même les probabilités ne peuvent expliquer.
Nous devons être vigilants, sassou nguesso n’est qu’un élément du système françafricain!
Or, l’opposition ne dénonce pas cette françafrique qui a permis de livrer les armes à un dictateur en 1997 et de signer encore des contrats léonins en faveur de TOTAL et CIE.
Personne ne dénonce la monnaie de la soumission, le franc des colonies françaises d’Afrique (F.CFA); l’absence d’industrie sur place car la françafrique et la Chine prennent nos ressources naturelles pour les transformer dans leurs industries… Donc pas de travail pour nous, etc…
sassou nguesso doit dégager et nous devons changer de logiciel si nous ne voulons pas encore déchanter.
Pourquoi ne fixons-nous pas des dates de manifestations mensuelles jusqu’en 2015 et à partir de 2015 faire des manifestations hebdomadaires devant l’assemblée nationale en France et devant l’ambassade du Congo?
Il faut passer à l’action et arrêter les palabres!!!