Dans un de ses livres, qu’un nègre avait rédigé pour lui et que Nelson Mandela n’avait pas préfacé, Denis Sassou Nguesso affirmait, qu’à l’âge incertain de 10 ou 12 ans, il découvrit en 48 heures tous les transports modernes (la voiture, l’avion et le train) pour se rendre de son trou perdu d’Oyo, à son collège près de Dolisie, dans le Niari. Il n’est dit nulle part, où et quand, il tint pour la première fois dans sa main un billet de banque…
Il serait bon de le savoir car, longtemps après, il en a fait son arme principale en s’affirmant comme l’un des dictateurs les plus implacables que l’Afrique n’ait jamais connus.
Sassou I (1979-1992), tout à ses intrigues, ne s’autorisait que quelques coups de poignard dans l’orthodoxie financière et le respect de l’argent public. Il hésitait à franchir franchement le pas tant le pays était encore marqué par son éducation coloniale et par ses prédécesseurs Youlou, Massemba Debat et N’Gouabi !
Il lui a fallu sa traversée du désert à Libreville et à Paris pour découvrir le pouvoir de l’argent qu’il n’avait plus.(1) “Retrouver le pouvoir et l’argent” était devenu pour lui une obsession, une question de vie ou de mort, au point qu’il sombrait dans la dépression dans son appartement de l’avenue Rapp à Paris.
Deux mentors lui dictèrent alors les voies qu’il devait suivre.
Le premier fut Mobutu qu’il rencontrait dans le sud de la France, à Cap Martin, près de Monaco. Le président zaïrois lui disait qu’il fallait prendre exemple sur lui pour le mépris qu’il avait de ses populations, pour son manque de respect du bien public qui était devenu le sien et d’encourager partout le crime pour que personne ne vienne lui reprocher les siens (ce qu’il avait déjà commencé à faire dès 1979). Seul devait compter son bien être, même et surtout, au détriment de celui de tous les Congolais ; peu importe qu’ils vivent comme des chiens et même pire ! « Plus tu les humilies, mieux tu les tiens ! »
La leçon a bien été retenue ! Après dix-huit années au pouvoir, celui que nous appelons tous maintenant “le tyran”, a parfaitement mis en pratique les conseils de Mobutu…
Le second mentor fut Omar Bongo, son gendre. Ils avaient tous deux en commun la haine des Vilis “qui les avaient vendus” durant la traite négrière et ils étaient d’accord, tous deux pour les maltraiter autant qu’ils le pouvaient.
Le président gabonais avait une longue expérience avec les hommes politiques français et l’offrit à son tout jeune beau-père. « Il fallait arroser, arroser, arroser ! » Dans cette discipline l’élève eut tôt fait de dépasser le maître ! Il arrosa tellement que Brazzaville compta vite bien plus que Libreville auprès de toute la Francafrique. Cette dernière alla jusqu’à, sur l’insistance du tyran d’Oyo, refuser d’effacer la dette gabonaise. Il a fallu l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy à l’Elysée pour que la France consente à soulager le Gabon de 30% de ce qu’elle lui devait ; contrairement au Congo-Brazzaville qui avait obtenu 100%. Ceci n’est qu’un petit exemple de la perfidie du dictateur congolais, « toujours se retourner contre celui qui l’a aidé (souvent en abusant de l’épouse ou de l’enfant) et mordre la main qui l’a nourri ! » La liste en est longue d’Adoua à Yves Motando en passant par les dossiers non clos comme ceux d’André Okombi Salissa et de Jean Marie Tassoua.
Au petit jeu, d’étrangler son peuple en l’affamant et par ailleurs jouer les grands seigneurs, Sassou Nguesso avait su occuper les devants de la scène internationale. Mais les temps ont changé, les informations circulent, l’air du temps est contre les dictatures et l’homme a fini par être détesté ; sauf par des nouveaux venus, comme le tout jeune Matteo Renzi qui n’aura peut-être jamais le temps de le connaître parfaitement…!
Mais avant d’être le président de la République, Denis Sassou Nguesso en est le véritable ministre des finances, du pétrole et de la défense intérieure. Rien ne s’effectue dans ces domaines sans son accord !
Aujourd’hui, la peur ne le quitte plus ! Son premier réflexe a été de verrouiller encore plus les sorties d’argent. Il lui fallait assécher le pays de manière à ce que personne ne puisse bouger contre lui. A Brazzaville, plus que jamais l’argent ne sort plus, ni pour le peuple, ni pour les services, ni pour les entreprises. Certes la chute des prix du baril de pétrole est passée par là ! Mais les restrictions actuelles dépassent de beaucoup l’impact qu’elle aurait dû avoir.
Depuis son retour à la tête de l’Etat, l’argent a été son instrument de pouvoir favori. Il en a couvert les vauriens, les méchants et les imbéciles de tous bords ; au premier rang desquels figuraient sa propre famille, ses enfants et ses neveux. Il s’est amusé à en exclure toute une population et deux générations de jeunes au moins qu’il a privées de soins, d’éducation et même de nourriture. Plus d’un tiers de la population congolaise vivait en 2014 en situation de sous-alimentation selon le PAM.
Le tyran de l’Alima s’est servi du Trésor Public congolais non pas pour le bien-être de sa population mais comme un instrument de domination, comme une arme de destruction massive. Il en a privé avant tout ceux qui auraient pu un jour lui faire de l’ombre, mettre en question sa
tutelle monarchique. Il a tout brisé dans l’oeuf. Toutes les têtes qui dépassaient ont été décapitées, au propre comme au figuré. Il a détruit des vies entières, des carrières, à petit feu pour faire durer son plaisir. Pas un élève brillant congolais fut encouragé par son pays pour aller dans une grande école ou une grande université étrangère. Le Congo n’a enregistré aucun parcours exemplaire , aucune élite bien formée !
Aujourd’hui le ressentiment est grand contre l’homme-démon et sa famille. Du Nord au Sud, même à Oyo, les populations n’en veulent plus. Les abus financiers, que nous avons toujours rapportés en détails, ont maintenant ouverts les yeux du plus grand nombre. L’argent, qui faisait sa force, son pouvoir et son arrogance, creuse le trou béant dans lequel ils s’engouffreront tous. Leurs fortunes, bien mal acquises, serviront leur perte. Le nom des Nguesso sera synonyme de “voleur” pour les générations futures, il sera encore plus difficile à porter que celui de Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Za Banga.
Ce dernier avait utilisé des prête-noms monégasques pour dissimuler dans le paradis fiscal de la Principauté les trésors qu’il avait dérobés tout au long de son règne brutal.. A sa mort, le pactole avait disparu dans les 2 km2 du plus petit Etat au monde sans que jamais personne ne puisse en retrouver la trace.
Voilà bien une leçon que notre dictateur, plus mal aimé que jamais, ne veut méditer. L’argent volé ne sera pas emporté en enfer pas plus qu’au paradis. Cette arme qu’il a aimée utiliser contre les autres finira très bientôt par se retourner contre lui et tous les siens. Et toutes ses psychoses sécuritaires, comme celle de transformer Brazzaville en ville morte à chaque fois qu’il la traverse, n’y changeront rien !
RIGOBERT OSSEBI
Diffusé le 25 mars 2015, par www.congo-liberty.org
- Une partie de son magot avait été confiée au grand homme d’affaires congolais dont il était associé. Ce dernier avait tout perdu et il avait été aussi à l’origine de la faillite de la BIDC. L’autre partie était dans un compte à la BCCI, une banque fondée au Pakistan qui avait également fait faillite.
Je crois que sassou c est fini pour toi vos partir est paix on a plus besoin de toi tu as tout ce qu il te faut Antoinette tu ne peux pas conseiller ton mari vraiment
Mesdames messieurs les journalistes de la presse écrite, parlée et audiovisuelle du Congo Brazza.
Vous qui avez trahi la Charte d’éthique professionnelle des journalistes en participant activement et en toute connaissance de cause à la désinformation permanente et au matraquage des consciences de la population au profit de cette dictature familiale.
Vos écrits, paroles et vidéos sont là comme un tatouage indélébile et vous resteront associés pour interpeller votre conscience d’avoir été un des rouages qui a asservi le peuple.
Vous êtes et resterez comptable, aujourd’hui et demain, de vos actes devant le peuple.
Vous qui vous êtes fourvoyés, le peuple saura le jour venu vous rappeler toutes vos turpitudes.
De simples « journaleux » qui se sont fourvoyés et continuent à le faire à longueur de presse écrite ou d’antenne télé (TV- PCT- Congo), notamment un des meilleurs, le chien de son maître, le servile « ANDRE ONDELE » ainsi que celle qui a participée activement à la marche mi putes mi soumises « BIBIANE ITOUA KOULOUMBOU ». Transmettez à ces valets zélés du pouvoir que le peuple saura, le jour venu, les remercier comme il se doit pour leur contribution à cette désinformation permanente et ce matraquage des consciences.
« DEGAGE « « QUITTE LA »
Pas étonnant!!!
Pour résister à l’appel de l’argent et à l’achat des consciences, pas de miracle!!!
Il faut avoir une profession, et j’exclus tous les politiciens. En effet, combien d’opposants exercent un métier indépendant en dehors de la fonction publique?
Combien d’hommes politique du Congo sont capables d’occuper des fonctions dans le privé?
La majorité des politiciens n’ont fait que ça et les nouveaux venus Akouala Atipo, Okiemy, Bouya, Odongo, Moungala Thierry étaient tous des galériens en France et au Congo…
Curieusement, depuis qu’ils sont à la mangeoire, ils nous parlent de constitution arrivée en fin de cycle. La meilleure blague de Moungala qui injuriait sassou quand il était journaliste à Mwinda…
Tous ceux qui ont occupé un poste depuis 1992, et avant, sont devenus riches du jour au lendemain et la palme d’or revient au régime du putschiste sassou.
Ensuite, il faut avoir des femmes et des hommes d’une probité immaculée. Qui ont l’intérêt du pays comme but suprême et qui savent que chaque falanga ou franc qui sort du trésor public doit être destiné au bien-être du peuple.
Enfin, la corruption est le projet de société de tout dictateur qui se respecte alors qu’ailleurs c’est une option. Sans corruption sans régime ne tient pas.
Heureusement que de tels régimes ont l’avenir d’une feuille morte portée par le vent.
Il faut entendre : sans corruption Son régime ne tient pas.
CONGO LIBERTY CONTINUEZ VOTRE COMBAT!
FÉLICITATIONS AU MINISTRE LOEMBA POUR LES NOUVELLES DISPOSITIONS SUR LE PROFIT OIL
Les Congolais ne sont pas tous des incapables et il y a de ces gens qui même dans le système essaient de servir loyalement leur pays.
En lisant les nouvelles dispositions du Code des hydrocarbures, on peut voir 35 pour cent minimum pour l’ÉTAT et interdiction de torcher le gaz naturel.
DU TRAVAIL DE DE PRO ET JE SUIS SUR QUE CONGO LIBERTY Y A CONTRIBUE PAR SON TRAVAIL DE VULGARISATION DES INCONGRUITÉS DE LA GESTION PÉTROLIÈRE AU CONGO.
POUR MEMOIRE:
Le Gabon est entre 26 et 30 p.c
L’Angola entre 35 et 45 p.c.
ADADA l’avait laissé entre 15 et 20 p.c. à la fin de SASSOU I
CONGO LIBERTY CONTINUEZ VOTRE COMBAT! Tout simplement!
Dans ce travail accompli par le ministre Loemba, le clan de l’Alima a quand même reussi à introduire les dispositions leur permettant de continuer à piller le pays. Ce sont l’attribition des permis d’exploitation à la SNPC et quand on sait que cette entreprise est un repaire des ressortissants mbochis qui y ont tous les pouvoirs, je vous laisse deviner la suite. La deuxième disposition est la concession à des sociétés privées nationales de 15% dans les contrats de partage de production. Et d’après vous quels sont les fameux privés nationaux capables d’investir les sommes aussi énormes que demande cette industrie ? Après avoir infiltré toutes les banques, tous les prestataires pétroliers avec l’argent du conribuale, les voici donc qui décident d’être des producteurs de pétrole, toujours avec l’argent du peuple. Dites à un voleur de ne plus voler, il continuera à voler, vraiment incorigibles ces mbochis, pendant ce temps le peuple souffre mille misères, Pointe-Noire est dans un état d’insalubrité qui l’expose aux épidémies divers. Il est temps que ce clan de prédateurs dégage
BRAVO , CHER AMI POUR VOTRE PERTINENCE, JE CONTINUE A SCRUTER LES TEXTES!
VOILA LES CONTRIBUTIONS ENRICHISSANTES QUE NOUS RECHERCHONS SUR CE SITE PATRIOTIQUE.
MAERCI!
Bravo le président SASSOU pour ta gestion de plus en plus rigoureuse des relations pétrolières … avec 35% tu nous attires des opposants qui se tapent déjà dans des salles de réunion à Paris.
Ce que Vous ne dites pas EST LE FAIT QU’ils reviennent SUR LES DISPOSITIONS MISES EN PLACE EN 1994 PAR PASCAL LISSOUBA. OUI, C’est LISSOUBA QUI AVAIT IMPOSÉ AUX COMPAGNIES ÉTRANGÈRES LE PARTAGE DE PRODUCTION À 35%.
EN REVENANT PAR COUP D’état LES MBOCHIS L’AVAIENT BAISSÉ À 15%. Mieux, ils avaient baissé le seuil du partage des profits pour favoriser les compagnies étrangères en échange d’un soutien pour mourir au pouvoir.
Miangua avait écrit un article dessous. Merci Mingua , tu les dépasses tous frangin. Bravo!
Avec cette décision, si elle est mise en application de façon rétroactive, sassou vient de signer sa fin comme il le fit pour Ngouabi. Souvenons-nous que c’était à travers un pétrole bradé aux français que sassou eut l’aval de ceux-ci pour faire son coup d’état contre Ngouabi. En revenant sur les termes de son contrat avec ceux qui l’avaient mis où il est, sassou vient de s’acheter la corde par laquelle il sera pendu. A quelque chose, malheur est bon. Le piège va bientôt se refermer sur lui.
Oh, quand des gens sans vision s’emparent de la destinée d’un pays! Voilà des individus qui, pour assouvir leur soif du pouvoir, vendent les ressources de leurs pays à vil prix dans l’espoir de mourir au pouvoir. Maintenant qu’ils voient cette lubie prendre l’eau de toutes parts, ils feignent de revenir à la raison.
Non, sassou. assume jusqu’au bout ta bêtise. Tu croyais que nous ne savions pas que tu avais bradé notre petrole à vil prix? Le fait que tu fasses marche arrière est un aveu de ta part. Dans pas très longtemps, des comptes te seront demandés ainsi qu’à tes complices.
POUR PROGRESSER RECONNAISSONS LE TRAVAIL D’UN COMPATRIOTE!
LE CODE DES HYDROCARBURES impulsé par Le Ministre, est un pas très positif pour notre pays, s’il est adopté et appliqué rationnellement.
M. KOUKEBENE avait fait un travail positif et innovant sous LISSOUBA, il s’agissait plus de PARTAGE DE PRODUCTION et il faut reconnaitre que cela permettait au pays de ne pas être lésé par les artifices comptables dont les multinationales sont les maitres! La plus grade faute de l’entourage de LISSOUBA (KOUKEBENE, MOUNGOUNGA et MUNARI) dans le pétrole c’est l’industrialisation des dettes gagées. Il y a eu de la légèreté! Hélas la vie est injuste parfois parce que que c’est SASSOU et sa clique qui ont largement profité du travail de KOUKEBENE.
VOILA POURQUOI IL FAUT FÉLICITER CE COMPATRIOTE EXPERT DANS SON DOMAINE QUI EFFACE PRESQUE 40 ANS DE GESTION DU GRAND CANICHE. SI C’EST BIEN APPLIQUE DE FAÇON TRANSPARENTE…
Après les propos de l’ancien PM SOUCHLATY POATY sur les pratiques de certains membres du Gouvernement congolais, bien de mythes se sont fracassés.
Le Ministre LOEMBA a fait un bon papier et tous les congolais doivent le soutenir pour dire ,voila un enfant du pays qu’on a pas envoyé étudié pour rien!
En même temps comme un symbole le CHEICK du pétrole congolais qui a été auteur de bien de bradages n’était pas dans la salle.
C’EST COMME UN SYMBOLE OU LE SIGNE DES TEMPS…