« Il ne peut y avoir de Hitler que dans un peuple qui souhaite et veut avoir un Hitler »
Baldur Von Schirak (Mémoires)
Nous sommes dans un pays où les bontés des hommes s’amenuisent au quotidien, face à un monstre, sorte d’énergumène issu du chaos primitif. Il jaillit de la masse par l’élan de sa personnalité un seigneur qui est autoritaire, préfère les diktats de la victoire à la négociation. Le grand chef pense que l’on ne peut pas être bon naturellement et, de ce fait accompli, ses hommes de mains, les ligueurs encadrent tous les citoyens au seuil maximum de l’obéissance. Ils ont la solidarité grégaire de l’attachement au village.
L’inquisition pour les hérétiques et aussi la destitution, l’internement, l’expropriation. C’est tout d’abord l’oppression d’une minorité sur la communauté populaire. Ceux des donneurs d’alerte qui s’expriment tout à trac subissent des atrocités si exceptionnelles qu’ils restent traumatisés tout le long de la vie parce que persécutés et se replient sur eux-mêmes.
Les Congolais sont des sujets d’une tragédie moderne dans un cercle de terreur et d’adulation. Dans ces zones d’ombre, on lutte pour la vie. Dans cet ensemble complexe, une tribu est sacralisée, exacerbée, au dessus de la masse. Le petit habitant est un flâneur au pays de la servitude, bedeau éclairé dans un comique plein de raillerie.
Face au tyran, il y a toutes ces saloperies particulières qui poussent à nous affliger.
Pour lui, les autres ont toujours tort et il ne cherche qu’à soulager sa conscience en réprimant davantage. Un Congo en plein abandon funeste, tous les faîtes du mal sont atteints. Un monde aboli, des dispositions abusées, des espérances ingrates, des fortunes sacrifiées.
Et tous ces morts à la criée, les déprédations des brigands affamés, la plus terrible catastrophe de notre histoire contemporaine.
Que de gâchis, des citoyens réduits à une telle extrémité de mendicité. Des fuyards, des loqueteux dans nos quartiers qui se taisent et courbent l’échine. La décrépitude, les palanches, les étals de marché, des bouffons gesticulateurs dans un air de misère déprimant, voilà quelques clefs pour comprendre la réalité d’aujourd’hui : la ruine.
L’inertie et la mauvaise volonté interdisent la paix et le calme, les distorsions, le culte de l’action et la vertu de la violence. Sur notre propre terre, la constante précarité, l’éphémère, l’aléatoire. Un quotidien légèrement de guingois, voilà pourquoi tous nos rêves ont perdu de leur pureté.
Tous ces obstacles qui s’amoncellent sur les routes de notre combat, la controverse et le débat sont des champs hermétiquement clos. Des petits territoires sans loi, un ramassis de caractériels agressifs avec règlements de comptes, l’impuissance de l’Ẻtat. Les dominants utilisent la violence de gangs à leur profit. Des spoliateurs aguerris. Le Congo s’apparente à un immense reposoir couvert de légendes de détrousseurs, de naufrageurs de l’économie Nationale, ces puissants du Capital financier épris du mythe du bonheur et du progrès indéfinis.
Pourquoi un peuple si haut a-t-il perdu la certitude et la foi ? Que de tentatives totalitaires de la part des chefs de groupements tribaux et du rassemblement en faisceau, de volontés convergentes du PCT.
Un pays abandonné aux malfrats, aux riquiquis. Tous nos intellectuels transformés en bouviers de spectacles rodéos. L’endoctrinement, il n’y a rien de plus terrifiant que l’abus et la terreur qui sont chez nous des lieux communs. Ce méga-mythe de l’identité ethnique, l’apanage des conseils tribaux déterminent les adversités de ceux qui dirigent le Congo en prophètes.
Emmanuel Kant nous prévient : « La justice doit prévaloir même s’il devait en résulter que toute la canaille du monde périsse ».
Ces nouveaux bandits qui nous dirigent, quant au contenu et à l’intention, par leur esprit de défi et de paradoxe, nous manipulent. Que dire de l’état dégradant de la Nation ?
Les vociférateurs et tous ces furieux qui sortent de leurs retranchements, présents dans toutes les institutions vénérables comme l’Eglise, l’Armée, les banques et des centaines de sociétés de spéculation foncière. Rien ne va plus, les intrigues de cour, tous ces mensonges qui sonnent comme des forfaits irrémissibles. Tant d’argent dans le gaspillage. Et tout est à la faillite !
Un peuple que l’on dirige vers l’obscur et l’inconnu, toutes ces années d’usage hypocrite du bien commun. La prévoyance et la technique de l’entourloupe, soutenues par des holdings intercontinentaux apporte le succès mérité aux magouilleurs d’Etat. Face à la connaissance de ces ignominies, notre peuple ne peut que périr d’épuisement et de désespoir. Unissons-nous face à la tyrannie, un peuple en disposition d’offrir toutes les obéissances et les lamentations de ses sujets devant ce grand seigneur absolu est un peuple vaincu.
Face à des violences délibérées, les citoyens indécis sont accoutumés à la dictature. Mais à qui pourraient-ils recourir ?
Notre cri de ralliement proviendra du peuple. Le caudillo local à sa popularité en lambeaux. Ce parano intrusif et exclusif, personne ne croit plus en lui. Ses reniements et ses indécisions lui ont fait commettre l’irréparable. Avec des excès d’une rare violence.
Ceux que l’on a mandés auprès de la diaspora nous attisent avec des artifices trompeurs. Méfions-nous. Ceux-là ont une absence totale de sens moral. Ces socio-fascistes, traîtres, qui cèderaient à l’affliction la plus grande et à de rigoureux exercices de pénitence sont de grands menteurs. Méfions-nous des esprits malins, des mirages, des illusions dont nous pouvons être les jouets. Méfions-nous de la crapulerie qui réussit.
Dans l’essaim fort étincelant des courtisans près de la cour, il y a de vieux amis qui ont rejoint la République des maraudeurs. Ces bonimenteurs, ces hommes-caméléons, ces imposteurs consolident, par leur savoir-faire, un fâcheux terreau de fertilité. Et par ordonnance du Négus, ils participent à toutes les expéditions punitives. Face à cette dictature instituée, les fondations de la diaspora semblent embryonnaires, unissons-nous !
Il faudrait peut-être se méfier des divisions souterraines. Sans rêver nécessairement à l’avènement d’une cité harmonieuse, il faut démasquer les camouflages, des faux-amis spécialistes en technique de manipulation de masse, des prédicateurs itinérants.
Dans les années 70, me revient ce pâle reflet de ma jeunesse. Enfants, nous étions au pays des merveilles, à admirer, paisibles, la nuit, le ciel, la grande ourse, la constellation du scorpion.
Aujourd’hui, avril-mai 2015, les gamins du Congo sont de pauvres perclus qui abdiquent et s’éteignent à petit feu.
L’imposition des jougs, fantasmagories et invraisemblances, élucubrations méphitiques et larronage, une apothéose folklorique.
Vivre servilement, balkanisés dans l’abrutissement du monde qui les accable, les petits gamins du Congo-Brazzaville acceptent d’âpres obligations et des servitudes volontaires, des masses juvéniles illettrées, des sans-grades, jusque dans l’humiliation, des injuriés si conformes. Les gamins, par excès de prudence, regardent toujours par terre. Ils sont tous rentrés dans leur coquille, intacts, se sentent à l’abri face à la raison d’Etat, toujours dans des pathologies et des mécanismes de servilité.
Nous sommes devenus résistants parce que nous avons vu notre Congo, le bonheur originel en train de s’effondrer, raison pour laquelle nous sommes devenus agissants.
Vous vous souviendrez sûrement de cette légende : « Jonas, comme il désirait se rendre à Tarsis, prit un vaisseau à Joppé. Le vaisseau rencontra la tempête, l’équipage décida de tirer un homme au sort afin qu’il fût jeté à l’eau pour apaiser la mer. Hors, le sort tomba sur Jonas. Les matelots s’emparèrent de ses pieds, de ses mains. Ils jetèrent son corps dans les vagues, un poisson immense l’engloutit. Jonas s’écria à l’instant d’être engouffré dans l’abîme … L’algue entoure ma tête, je descends dans le pays d’autrefois … ».
Voici, chers amis et chers lecteurs, raconté ici la foi de l’homme dans une forme extrême de perspicacité. Nous, les exilés, les déplacés, les sans-terres, sommes tous des Jonas. Nous sommes tous déterminés à le revoir, le pays d’autrefois, le beau Congo, guidés par la main de la divine providence.
Dina Mahoungou le 27 avril 2015
Ecrivain et journaliste médias
Auteur de la trilogie romanesque « Kongoscopie » :
Tome 1 (2010) : Agonies en Françafrique aux éditions l’Harmattan
Tome 2 (2012) : Les parodies du bonheur aux éditions Bénévent
Tome 3 (2015) : Ô pays, couleur de cendre aux éditions Edilivre.
@ Dina Mahoungou,
Merci d’avoir mis à nu ce diable de dictateur qu’est Monsieur Sassou Nguesso, ce batard adopté par le vieux Julien Nguesso que l’une de ses nombreuses femmes qui lui faisait qui le trompait avec un commerçant itinérant béninois.
Sassou Nguesso s’est vraiment le diable pour le Congo. Qu’il aille en enfer !
Les intellectuels congolais devraient suivre ta voix dans la dénonciation de la gouvernance de notre pays.
Le Congo est fier de son fils que tu es !
Sans un soulèvement populaire,
Sans l’aide de Barack Obama via la cia,
Sans l’aide sage de François Hollande,
Le Congo se dirige pas à pas vers une 2e guerre civile. sassou se prépare à 200% pour un baroude d’honneur criminel dont il est par essence né.
Le sang va encore couler au Congo jusqu’au génocide souverain contre sassou, son clan, et ses dignitaires serviteurs du crime contre le peuple d’Afrique noire congolais.
Est-ce le gestuel qui fait de SASSOU un Hitler ou ses pratiques? Je me pose la question. J’ai honte a la place de l’auteur de ce texte. On ne peut pas pousser si loin le bouchon de la haine. Qui peut croire a une telle comparaison? C’est simplement pitoyable et nauséabond.
Si congo-liberty ne publie pas sur Sassou, ce site va fermer. Et comme tel, tous les mémoires sur ce site n’ont pour thème que Sassou. Il est Président du Congo. En croyant le salir au nom de la haine, le groupuscule d’apatrides ignorent magistralement qu’il salit le Congo. Heureusement pour eux que ce qu’ils disent relève de leurs rêves, éloignés de la réalité congolaise. Parce que si Sassou était comme il le décrivent, eux n’oseraient pas écrire toutes ces niaiseries qui n’inspirent que pitié pour leurs auteurs. La haine pour la haine ne construiront jamais le Congo. Dégoût et tristesse !
C’est vraiment regrettable pour le rédacteur de cet article, qui s’improvise journaliste, en mettant sous presse un article rempli d’incohérence. Lorsqu’ on connait mal le Congo on se documente, parce que le journalisme, c’est aussi l’investigation. Faut il que vous repartiez à la fac pour apprendre les fondamentaux de ce métier qui requiert rigueur professionnelle et déontologique. Pour ma part de vous informe que le Congo se porte bien, et les Congolais sont au travail pour faire éclore le développement tant souhaité. l’époque d’Adolph Hitler est révolue et vous sommes à une époque où l’Afrique a besoin des Pan-africanistes et des patriotes; et Denis Sassou N’Guesso en est un, à moins que vous soyez daltonien ou hypermétrope
Brillantissime article, pénétrant et instructif, sauf pour le dénomés républicain et le sieur Ma patrie emmergaent dans les gamelles du pouvoir satano-tyranno-sanguinaire. Sassou, un sanguinaire hors pair quin a toout « gagné » par la tricherie, même son épouse il l’a priseb à un autre à la veille d’un mariage dont les cartons avaient déjà été envoyés aux invités. C’est cet homme sans foi ni loi que certains soutiennent. PAYS DE MERDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Chère sœur MAHOUNGOU,
En vous lisant, on perçoit le zèle et la hargne qui dévorent en vous toute couardise et pleutrerie.
C’est tout à votre honneur, c’est d’autant plus perçant, que les mbochis et leurs valets ont déjà commencé à vous lapider dans leur tribunal « boko-aramiste ».
Il suffit de lire les commentaires, en amont pour s’apercevoir, de cette lapidation, par eux, dont vous faites l’objet.
Mais alors, après toutes ces paroles que vous avez dites, que préconisez vous?
Vous parlez constamment du peuple, qu’il me soit permis de vous demander quel peuple?
Il n’y a pas au congo, le peuple, il y a « les peuples », à savoir les peuples du SUD et du NORD.
1/ Le peuple du NORD est dans une logique d’hégémonie et de négation de son altérité, si ce n’est de destruction du peuple du sud, ceci étant motivé par la conservation du pouvoir au NORD (fuit du travail de Noumasalaï, le cerveau penseur nordiste).
En guise d’illustration, lors de l’appel de talangaï, ces nordistes qui pourtant souffrent, eux aussi, ont répondu favorablement à sassou en lui donnant leurs enfants comme bourreaux des SUDISTES, malgré le fait qu’ils étaient eux même en souffrance.
Ils ont répondu promptement et sans aucune hésitation à aller massacrer les sudistes, dans les dites « opérations COLOMBE (grand NIARI) et MOEBARA (POOL) »
Au point que déjà en l’an 2000, le tyran sassou se félicitait dans sa lettre confidentielle (qui a fait le tour des réseaux sociaux, il y a si peu) du succès de MOEBARA, et regrettait que COLOMBE n’ait pas connu le même succès.
2/ Le peuple du SUD est dans une logique du syndrome de Stockholm, affectionnant son bourreau, pour qui, il se battrait jusqu’à la mort, pour la survie de celui-ci.
Lobotomisé, décérébré et castré, il ne peut plus rien faire. Réduit à être des poltrons, des pleutres et des couards. La liberté lui fait peur. Se libérer du joug du bourreau l’effraie plus qu’autre chose. Le travail accompli par les nordistes (avec Noumasalaï en fer de lance) a trop bien fonctionner.
Il ruse avec sa souffrance, criant haut et fort à qui veut l’entendre, qu’il ne souffre pas, qu’il ne se fait pas massacrer, que son bourreau est en fait son bienfaiteur, longue vie au bienfaiteur NORDISTE au pouvoir, que le bienfaiteur NORDISTE au pouvoir est la meilleure chose qui pouvait arriver au congo. Voilà l’homme du SUD.
Alors dans ce contexte, quel est le peuple qui va se soulever? celui du NORD, celui du SUD ou les deux?
En ce qui me concerne, je préconise la solution des 9 signataires de la déclaration de la création de l’ETAT du SUD CONGO.
Solution que partageaient: Christian Jeale en 1959, MOUDILENO MASSENGO en 1977, MAKOUTA MBOUKOU et MAYIMA MBEMBA en 1999, POATY PANGOUT en 2009, BOUKADIA en 2012 et pleins d’autres gens en coulisse.
Si quelqu’un a une meilleure solution, pour mettre fin à cette incompatibilité de Mœurs, entre NORDISTES et SUDISTES, et pour éviter le massacre prochain des SUDISTES, programmé par sassou et les NORDISTES, puisse t-il m’en faire part.
Bien à vous
Continuez de parler de peuple du nord. On verra comment vous allez réussir à le chasser sans l’implication du nord. votre erreur est de nous faire peur…..
AUX COMPATRIOTES
Il m’est absolument impossible de laisser passer ici les quelques réactions de Congolais fussent-ils du nord ou du sud et du centre du pays. J’ai cité ceux des congolais qui réagissent en termes d’ethnicité et de tribalisme; à mon avis lorsque l’on reproche à quelqu’un d’être un voleur est ce que l’on a soi même le désir de le devenir? Je n’y pense guerre, alors pourquoi faire donc le jeu de la division sur lequel ce système de gouvernance à implanter ses marques? Je ne me retrouve pas dans ces logiques où il faut diviser pour régner.
Ce que tous nous reprochons à ce pouvoir l’exclusion, la dictature le régionalisme et le tribalisme,,,autrement c’est ce que certains de nos compatriotes dans leurs réactions ici affichent. Si demain nous reconstruisons ce pays avec ces mêmes attitudes soyez en sûr que rien ne se fera pour développer la nation.Il est inopportun de penser que même dans le sud toutes les ethnies s’accordent, ce qui est aussi vrai pour le nord car les katangais , les makoua et les kouyou sont en porte à feu avec les mbochi .
Cette histoire de rivalité ethnique a été aussi vécue lors du pouvoir de Lissouba (l’attaque de 91 vers le centre culturel français par les éléments de Lissouba sur ceux de kolélas) et en 93 le forfait de moutabala et mfilou voilà un peu l’histoire, et le génocide de owondo à ne pas oublier en fin celui du pool par le pouvoir actuel.
Toutes ces vérités sont là et je crois que seule la justice pourra un jour remettre la clarté dans ce pays mais pour l’heure le combat est celui de libérer le pays des rapaces et des personnes qui ne veulent pas de son éclosion économique et sociale. Venir ici ressasser les théories que tous nous réprimons est de nature à ne pas rechercher l’unité. Enfin quoi que chacun est libre de dire ce qui est de son droit, mais aller dans le sens où l’on ne recherche pas la création de la nation c’est regrettable.
Toutes ces tergiversations et divisions inutiles ne font que le jeu de Sassou et de tous ces corrompus qui pillent le pays. La simple gestion et le bilan désastreux de Sassou devrait suffire amplement à créer l’unité nécessaire et provoquer le départ de tous ces voyous.
Il est désolant de voir que la route est encore longue difficile.
A NAT TURNER,
Plus nous avançons vers 2016 plus notre méchant President s’entête a rester au Pouvoir. Et pour lui malheureusement, rester au Pouvoir c’est éliminer ses contradicteurs. Mais quand il a le Pouvoir, il fatigue les gens avec ses amusants projets de société. Pire, chez lui l’usage des armes pour tuer le plus discrètement possible est permanent.
Mais comme il a sous ses ordres une armée qui n’est pas la pour protéger le Peuple souverain, autant que nous nous réparions en deux Congo ( SUD et NORD). Beaucoup n’aiment pas qu’on emprunte ce langage, mais ils ne nous proposent rie, sinon des solutions de compromis ou nous finiront par être prisonniers a vie. Dans deux Etats, chaque citoyen est libre de choisir ou vivre a condition de respecter les règles de l’Etat; ou est la xénophobie? Il y’a bien des Matsouanistes qui vivent a Owando, a Djambala, et a Ouesso, qui les a déjà touché ?
Cependant, ceux qui sont a Brazzaville a Mpissa avaient été massacrés pendant la guerre de 1998 par la bande de voyous de Bakana Vital et les Matsanga Willy; la maison de MASSENGO Tiasse servait de refuge des biens volés par ses gardes du corps.
Il est souhaitable que les gens comprennent cet argument. Mais le bruit que font les gens de France-là avec les Assises, le Ndzon, les CAP etc… c’est du vent. Épargnez-nous un autre génocide s’il vous plait le temps court et tres vite.
Aux internautes,
Tout propos hors sujet, et en particulier sur le sud ou nord Congo sera supprimé. Ce n’est pas le sujet de l’article.
Merci pour votre compréhension
Je sais que je suis dépourvu d’intelligence et je suis certainement l’un des plus idiots parmi les congolais, qui de coutume sont si intelligents.
C’est pourquoi je vous demande à vous, savants sur ce site:
Quelle solution proposez-vous pour épargner la vie à plus d’un million de sudistes (et aussi épargner la vie des nordistes dans le cadre des dommages collatéraux), par rapport au prochain génocide que planifie sassou et ses soutiens?
Des conteneurs estampillés « matériaux de construction » ont cédé sur la route où ils étaient convoyés, et à la grande surprise des passants et riverains, c’est des armes de guerre qui en sortaient.
Depuis quand, des armes de guerre sont elles des matériaux de construction?
Et ces prétendus « matériaux de construction » sont convoyés en catimini pour massacrer qui?
Contre qui l’usage de ces arme est il destiné?
Les mercenaires étrangers et autochtones (exclusivement nordistes) recroquevillés à tsambitso, y sont pour aller en guerre contre qui?
Lorsque sassou dit en mbochi, que l’animal est dans le filet et que les « autres » ne pourront pas le prendre, qui sont les autres? est-ce ceux dont le sang et larmes ont trop coulé?
Lorsque dans sa lettre dite « confidentielle » sassou se félicité d’avoir tué le 3/4 (c’est sa lettre qui le dit et non moi) de la population dans le pool et qu’il devrait, poursuit-il, en être de même dans le GRAND NIARI, le peuple du nord s’en est il indigné? Est il monté au créneau pour défendre le peuple du sud?
Enfin, veuillez s’il vous plait éclairer l’ignare que je suis: pourquoi entretenir le projet colonial et son oeuvre, en maintenant les frontières grotesques (et sans fondements sociologiques, historiques, culturels, antropologiques…) coloniales décidées en 1884-1885 à la conférence de berlin?
Sommes-nous cohérents en combattant le mosolé du violeur et assassin colon savorgnant de brazza, tout en tenant mordicus à projet et à son oeuvre, dont entre autre les frontières, maintenant ainsi les enclos coloniaux?
Ces enclos coloniaux abusivement et pompeusement appelés nation, état ou pays, n’ont ils pas été fait à dessein pour que s’autogénère le chaos, car étant des ensembles artificiels où des peuples ayant des cultures antagonistes auraient l’obligation de vivre ensemble?
La révolution en route au Burundi…( source RFI/AFRIQUE)
L’armée, qui s’interpose lorsque des camions anti-émeutes tentent d’entrer dans les quartiers, a même été acclamée par la population.
Les manifestants, des jeunes hommes pour la plupart, disent que « la police est du côté du pouvoir, l’armée est du côté du peuple ». L’armée, elle, dit que sa mission est différente de celle de la police.
« L’armée a été déployée dans plusieurs points de Bujumbura depuis la nuit dernière pour maintenir l’ordre public », a ainsi expliqué le général Gaspard Baratuza à l’Agence France-presse, précisant que l’armée ne serait pas engagée dans des actions anti-émeutes mais qu’elle était sur le terrain pour « protéger la population ».
Sur le terrain, les soldats n’empêchent pas les manifestants de monter des barricades, pas plus qu’ils ne réagissent aux slogans anti-Nkurunziza tels que « Pierre Nkurunziza ira à la CPI ». Les militaires paraissent clairement là pour faire baisser la tension.
A MR LE WEBMASTER,
Vous ne pouvez pas aussi nous obliger a débattre sur un sujet qui n’est pas riche. NAT TURNER dit des choses vraies et nous avons le droit de l’accompagner dans sa pensee car elle est juste.
Vous vous êtes peut être en France, mais les obus c’est nous qui les recevons en zone Sud et particulièrement vers COMMISSION. Alors soyez gentil de nous laisser changer de sujet tant que cela contribue a trouver des solutions pour évincer le Tyran. Nous vous lisons tous avec les Lion de Makanda, mais que retenons-nous: des Gens qui en fait font des appels du pied a l’actuel President pour se retrouver dans un Gouvernement dont eux seuls connaissent les noms.
Merci
Je voudrais rebondir sur l’intervention de RFI AFRIQUE.
La pravda de Brazzaville indique ce matin qu’il y a certaines tensions.
Il y a eu deux morts !
Pauvres journalistes …
Je connais bien le bâtonnier du Burundi qui a passé plusieurs années en prison.
Les avocats et beaucoup d’intellectuels de ce pays sont déterminés à chasser leur tyran qui viole la constitution.
Enfin je partage totalement l’intervention de Matchtikaya.
Il faut être unis.
J’ai cette chance incroyable d’avoir des amis de toutes ethnies.
Je vais vous faire une confidence… Je suis incapable de faire des différences.
Les congolais de bonne volonté doivent s’unir afin de faire de ce pays un exemple pour l’Afrique en chassant le tribalisme et la corruption.
ATTENTION un grand feu guette l’Afrique Centrale : le grand bouleversement arrive. Le grand nettoyage se fera. Ceux qui se couvrent de peaux de brebis, seront grandement surpris. Le jugement du peuple Congolais passera par la Commission : Vérité, Justice et Réconciliation. Rien ne sera caché, tout sera dit au grand jour, il faudra s’expliquer. Ceux qui se sont enrichis sur le sang et les larmes du peuple Congolais devront parler et payer. Ecouter pour ne pas dire: je ne savais pas.
https://youtu.be/D5gvmiac14E
Il parle hautement de ce que beaucoup n’aiment pas entendre. Allez dans Brazza News vous verrez le Gouvernement de OKOMBI SALISSA, alors qui aura des comptes a rendre sur les crimes du Front 400. Et il a NTSATY Mabiala comme premier Ministre alors que celui-la doit aussi s’expliquer sur la mort du Colonel LOUNDOU.
A DELBAR,
Cher compatriote, merci de reconnaître que une nation se construit dans l’unité et non dans la division telle que cela risque de se passer au Congo si jamais nous ouvrons nos yeux. NAT-TURNER et ANONYME disent des choses certes que tous nous réprimons depuis la nuit des temps où est arrivé au pouvoir le président Sassou et sa bande. Car tout système dictatorial vit des faiblesses d’un peuple et chez nous c’est le fait que les intellectuels et hommes politiques ont cédé à la corruption et fait de la politique une carrière.Le tribalisme est un moyen que s’offre ce pouvoir pour sa survie et donc si les congolais se mettent ensemble et décident de se déferre de ce pouvoir ; les choses reviendront d’elles mêmes. Alors que nous pension à la stratégie de sortir le Congo du piège dans lequel il est mis, il y en a des nôtres qui sèment la zizanie comme s’ils étaient mandatés par ce pouvoir pour distraire les autres des vrais enjeux de demain.
Je crois que le webmaster a un grand devoir de remettre un peu d’ordre sur ce site de sorte que les débats relatifs aux injures et à la division soient purement et simplement effacés par eux.Il n’est pas interdit de dire que ce pouvoir est clanique et tribaliste tous les Congolais le savent, donc le débat n’est pas à ce niveau sinon tout le monde a des arguments pour fustiger ce gouvernement avec partenaires. DELBAR ET ANONYME sont dans l’émotionnel on le leur concède mais il faut allez plus loin c’est-à-dire voir demain comment sera fait ce pays une fois la mission accomplie, celle de faire partir toute cette bande de pilleurs. Il y’a aujourd’hui dans toutes les familles du Congo des enfants dont la mère ou le père est d’une région diférente et d’ailleurs ceux qui ont eu naissance à Brazzaville et qui ne savent pas d’où sont venus leurs parents comment allez vous les traiter. Il est grand temps de penser qu’au Congo nous sommes assez mûrs de savoir remettre la société à l’endroit. Ce qui se passe aujourd’hui est un système mais qui passera si seulement le peuple se dresse contre eux les animateurs de cette façon d’agir.N’oublier pas que nous sommes sous une dictature et quand owondo est puni jusqu’à disparaître les enfants de moins de 15ans lors des événements liés à Anga, et la répétition de ce mouvement dans le pool ce sont des congolais qui ont en souffert. J’estime à mon humble avis que les gens sont conscient voilà pourquoi ils dénoncent ces forfaits et crimes mais n’évoquent pas la séparation du pays en deux trois au quatre, oui, ce pouvoir manipule et fait ce qu’il veut lorsqu’il impose au Congolais d’accepter les monuments de ceux des explorateurs qui ont fait du mal à ce pays,,mais que voulez vous que les congolais disent lorsque le système n’a pas encore atteint son point de non retournement? Mais à présent le fruit est mûr les astres ont parlé le temps est là ils partirons et ce pays pourra revivre sous une nouvelle ère. La simple lecture et le respect de la constitution suffiront de les contraindre.
A DELABR ET ANONYME je veux dire que tous nous tramons la douleur de la situation du Congo nous interpelle tous et quelque part il faut rester vigilant cette fois -ci ne pas céder et tenir debout.
ATTENTION BRAZZA NEWS RECOIT DES FOIS DES INFORMATIONS VENANT DE FORTUNE NDOMBE, DES JOURNALISTES DE NDENGUET ET D’OKEMBA. ATTENTION A LA MANIPULATION, J’AI CROISE DES GENS D’OKOMBI QUI NE CONNAISSENT PAS CE CHIFFON DE GOUVERNEMENT.
A ANONYME,
Attention à toi car tu gères la rumeur,,,,,voilà pourquoi ton ami MFOA t’a fuit,,,,,si tu veux le croiser il est souvent vers le lycée « Savorgnan de Brazza » pas trop loin de ton quartier d’ailleurs au camp de la milice,,,,,,,
Ce cite comme tout autre il ya des personnes qui viennent pour distraire et désinformer ,,donc attention à tout ce que nous lisons ici ,,c’est aussi un combat de communication.
Quand je dis que sassou est le fils biologique de Satan, il faut me croire. Cet individu est pire qu’un Moudjoula. Tant que nous ne saisirons pas cet aspect satanique de cet individu, nous serons toujours à côté de la plaque.
Petit satan est un contre-homme. Son âme appartient au démon, sinon comment comprendre sa tyrannie et son ethnicisme. Tout chez cet individu défie l’humain. Il n’a d’humain que l’apparence physique. Il est à Satan ce que Jésus Christ est aux Chrétiens.
Lisez ce que nous dit de lui son ex-camarade. Il y a de quoi avoir froid au dos. Le pays est gouverné par des forces sataniques. Nous devons beaucoup prier pour exorciser notre pays.
http://www.afriqueeducation.com/index.php?option=com_content&view=article&id=468
A MACKTCHICAYA,
S’il te plait, jette un coup d’oeil sur Brazza News tu verras le Gouvernement qu’on attribut a OKOMBI SALISSA et tu comprendras que je ne gère aucune rumeur. De plus beaucoup utilisent le nom Anonyme. Si par erreur OKOMBI devenait President, ce serait une insulte au combat que nous menons pour un Congo nouveau. Chaque fois qu’on veut avancer, beaucoup de frères du Nord tiennent a nous ramener a des choix que seuls eux trouvent leur plaisir; c’est çà le vivre ensemble? Faire partir un President SASSOU pour mettre en place un President OKOMBI pour ramener tout le PCT? si c’est pour çà, moi je préfère la séparation. Peut être que tu ne vivait pas dans les quartiers sud en 1998, moi jusqu’aujourd’hui j’en ai peur de voir ces Bébés et ces enfants abandonnés car la Maman venait de mourir et que personne dans sa fuite ne voulait d’une charge. C’est çà mon Cher MACKTCHICAYA ce qui risque de se répéter au vue des nombreuses armes qu’on ne cesse d’acheter. Ce n’étaient pas des militaires réguliers qui étaient entrés en zone Sud , mais les petits sauvages Batekes du Front 400 de Okombi Salissa et du colonel Ntsourou. En récompense, ils sont presque tous a la DCRM pour garder les points sensibles des FAC, volia pourquoi le President SASSOU tient le Colonel Ntsourou de coupable des erreurs du 4 Mars a Mpila.
Mais si tu peux nous apporter un Congo nouveau avec des Personnes qui n’ont rien a se reprocher, je serai alors pour un Congo bien uni.
Merci
A ANONYME
Cher compatriote,
Toute atrocité vis à vis d’un peuple ou d’un groupe de gens est préjudiciable et condamnable par la loi et les recommandations internationales par les tribunaux internationaux. les événements de 98 sont une vérités, et pour ma part je m’y incline quant à la douleur des peuples qui du reste nous laisse dans un état qui aujourd’hui nous pousse à dire non à tous ceux qui ont ces velléités; ou encore qui concoctent des plans pour faire revivre cela à notre cher CONGO. Je vous concède toute la vérité que d’aucun ne remet en doute. Mais aussi je comprends votre crainte et d’ailleurs votre cri pour faire que plus rien de semblable aux années passées ne resurgisse.
Savez-vous que l’intox aujourd’hui est comme un moyen pour discréditer ceux des congolais qui vont à l’encontre du plan du changement de la constitution? Pour ne pas m’arrêter à cette histoire de gouvernement d’OKOMBI , je voulais simplement dire qu’il faut lire et faire une analyse de tout ce qui se dit ici et en tirer une substance, croyez-vous franchement que ce monsieur va avoir le courage d’afficher ici son projet de gouvernement au moment où les congolais sont sur un chemin stratégique de bouter le gouvernement actuel dehors?
N’ayez peur de rien la situation du Congo appartient au peuple comme l’on fait les burkinabés et si par malheur ceux qui sont aux commandes tuent un seul manifestant alors vous verrez comment ce pays sera envahi une fois tout le peuple debout.Il y a une guéguerre entre eux membres du pct, laissez les se mordre les doigts le problème du peuple est celui de voir partir ce gouvernement pct et son système.
La préoccupation est celle là pour l’instant, pour que ce pays retrouve un minimum de vie comme dans le passé. Aujourd’hui personne ne dira à un congolais que ce gouvernement d’Okombi est vrai, et celui qui est aux affaires restera,,,,,la preuve pourquoi les journalistes de télé Congo n’animent pas des émissions où l’on fait parler le peuple dans les rues de Brazza ou de pointe-noire? Nous sommes tous sensibles à la situation actuelle du pays et ce qui est vrai est qu’aucun Congolais normal originaire de partout n’accepte la façon dont il est traité par ce gouvernement où c’est le clan qui gère tout.Bref on ne refera pas tout le temps le diagnostic du Congo ; car le mal est déjà connu. Ce qui reste c’est de mobiliser pour faire comprendre que ces hommes là aux affaires devront partir de gré ou de force.
ALOULA
Le républicain va à contre courant du constat que toutes les élites en leur grande majorité reprochent à Sassou..Je n’ai jamais entendu ce Sassou tenir un discours plein d’amour et d’humanisme, dans les actes, les propos et les discours il ne fait cracher du venin. Non républicain ton Sassou était un monstre que les congolais n’ont jamais connu; Est-ce-que tu peux nous donner le nombre des victimes que ce système a fait disparaître?
Merci MACKTCHICAYA pour ta réponse. Mais pourquoi Mr OKOMBI ou son entourage ne démentent cette information, c’est que quelque part a l’habitude de nos frères formés a Moscou dans le moule du PCT, ce sont des ballons d’essai pour voir la réaction du Peuple au travers des internautes.
Alors dans ces conditions je me prononce avant: Mr. OKOMBI ayez l’obligeance de na pas vous présenter a une quelconque élection au Congo jusqu’à ce que vous ayez répondu des exactions perpétrées par le Front 400 au Pool. Au moment des Faits, il n’existait plus des FAC Républicaines donc la milice privée COBRA faisait la loi sous les ordres de ses differents Chefs selon les missions. Lorsque celle-ci sentait une résistance de l’autre Coté, elle faisait appel aux Angolais pour mettre le rouleau compresseur. C’est d’ailleurs dans ces conditions que le colonel Ntsourou a échappé a la mort a Maya maya.
J’ajoute que J.P. MBEMBA est a la CPI a cause de ses Milices en RDC; en quoi nos Chefs de milices auraient-ils un traitement de faveur pour les mêmes Faits?
MACKTCHICAYA prêtes-moi ta plume, j’ai peur du retour d’un seul de ces criminels aux affaires. Quelqu’un avait dit: qui a bu boira…. sauf que après avoir bu s’il prend le volant, il va en tuer encore d’autres. Pourquoi lui donner ce privilège?
A ANONYME,
Loin de vouloir monopoliser la discussion ici , nul n’est appelé à se faire sa propre loi sauf lorsqu’on est en face d’une dictature qui ne respecte pas la loi, tôt ou tard le peuple fini par rattraper les fossoyeurs de sa destinée. Quelque soit le temps que cela pourra prendre, voilà pourquoi je t’encourage à avoir en ce moment un seul objectif de sorte que tu ne déroutes pas de la ligne patriotique que nous nous efforçons de tracer. Lorsque l’on dit que nous luttons pour libérer ce pays du système dans lequel il est cela veut dire quoi pour toi?
Le cas OKOMBI et certains qui ont servit auprès de ce système n’échappe à aucun congolais, le jour venu comme il question de rétablir la démocratie au Congo ; la justice passera sans esprit revanchard ni complaisant. Mais indexer quelqu’un aujourd’hui là n’est pas l’objectif du moment.
Lisez l’interview de monsieur Souchlaty Poaty actuellement en ligne sur Brazza -news vous comprendrez beaucoup de choses. Le temps est compté et le travail de sensibilisation est colossale donc ne perdez pas votre énergie à penser comment OKOMBI dort -il et qu’est ce qu’il mange……car n’importe qui peut annoncer ici qu’il sera le prochain président, ou premier ministre. Évitons donc l’insulte et les jugements de valeurs, nous devrions respecter chacun de nos compatriotes sans oublier bien sûr: qu’il y a une justice pour tous.
Sassou NGUESSO est le fils biologique de satan – ça a été prouvé depuis son 1er crime diabolique dès l’age 11 ans – c’était en 1953 non loin de Tsambitso – Sassou Nguesso égorgea son propre cousin pour une histoire de jalousie de pèche (cf les archives coloniales au Congo Brazzaville).
En effet, ce 1er victime de Sassou criminel était plus talentueux sur la pèche que lui.
Sassou l’avait alors étouffé le 22 mars 1952 à 16h00 à 3 km du village Tsambitso (Rivière l’alima) puis Sassou entra au village et la suite… 6 personnes encore en vie et 17 petits-enfants seraient prêts à témoigner le crime.
D’après les témoignages congolais et français encore en vie et les archivages de l’administration coloniales du haut Congo ( l’actuel Nord Congo Brazzaville) – tout est près pour livrer aux congolais la carrière criminelle de Sassou.
Cet article est à lui tout seul la QUINTESCENCE de l’aliénation de l’homme noir et du peuple noir.
Nous avons un auteur qui parle aux congolais mais toutes ses références sont étrangères aux congolais.
Du reste, combien de blancs ont lu John Hobbes et son Léviathan?
Ça ne sert à rien d’employer de gros mots, là où un petit mot suffit.
Nous avons déjà l’islam et le christianisme, deux religions imposées par les arabes et les blancs par le sabre et le fusil.
Aujourd’hui nous sommes esclaves de ces egrégores étrangers.
Quand Tchimpa Vita a dit au pape que Dieu lui a fait une révélation, la désignant comme nouveau guide de l’église, elle a été brûlée…
Mais, les noirs doivent croire à Jésus ou à Mahomet…
Nous parlons et étudions en français, la langue des colonisateurs et premiers et plus grands pilleurs du Congo devant sassoufit.
Alors, le premier des combats d’un peuple est sa désaliénation.
La première charte des droits de l’homme est africain et date de 1236 environ, des siècles avant John Hobbes et son Léviathan.
Un peuple qui ne s’approprie pas son histoire, ne peut être respecté.
http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Charte_du_Manden
SALUT A TOI CHER COMPATRIOTE MFOA
Enfin de retour après un périple dans les méandres de la pensée pure? Oui c’est vrai nous sommes encore comme qui dirait dans une sorte d’aquarium où chaque visiteur apport ce dont nous nous devions manger pour notre survie, car nous dépendons encore des puissances étrangères. Qu’il s’agisse de la sphère spirituelle (le christianisme et l’islam) nous sommes contrôlés et qu’il s’agisse de la gestion de la cité sur ce plan pas de commentaires le vécu nous l’enseigne au jour le jour. Notre histoire est encore écrite par nos prédateurs appuyés par leurs valets locaux qui travaillent pour les anciennes colonies.
Il n’est pas injuste d’avoir des relations de partenariat avec les pays amis , fussent-ils de l’hémisphère nord; mais ce qui est à déplorer est le fait de ne pas comprendre que ces gens là ne ferons rien de manière que l’Afrique se développe; aussi quelque part il n’est pas dit que le peuple d’Afrique soit soumis aux dictatures tel que cela se passe dans beaucoup de pays d’Afrique du nord au sud du Sahara.Notre histoire sera écrite le jour où nous comprendrions que l’Afrique est notre terre.
L’aliénation dont tu parles qu’il faille que nous quittions n’est autre que le manque d’une fierté patriotique. C’est ainsi que obligation est faite à chacun d’où qu’il se trouve à cultiver cette semence afin de la répondre partout pour les générations à venir.