Faut-il une transition politique au Congo-Brazzaville : Monsieur Denis Sassou-Nguesso, c’est une option politique pour apaiser la société congolaise.

Par Lucien PAMBOU

Monsieur le Président, je ne suis membre d’aucun parti politique au Congo (opposition, PCT ou majorité présidentielle) et encore moins dans la diaspora congolaise en France, pays dans lequel je vis depuis mon adolescence. Je ne suis pas un intellectuel, malgré mes nombreux diplômes académiques et universitaires dans ce pays France, je ne suis qu’un simple sachant et citoyen qui s’intéresse à la vie politique de son pays. Dans une longue interview avec le Directeur des rédactions de Télésud, j’ai exposé trois possibilités pour l’organisation de l’élection présidentielle de mars 2026 : soit la démission du Président, soit la transition politique, soit la nouvelle candidature du président actuel comme la constitution le lui permet.

Pourquoi tant de violence dans le débat politique au Congo par médias interposés ?

Les algarades entre le PCT et les accusations iniques de Serge Yhombi sont lamentables car nous avons beaucoup de mal au Congo, notre pays, à discuter de façon non violente de la situation politique. Des membres de l’opposition avancent l’argument politique d’une transition qui permettrait de remettre à plat les conditions électives pour une consultation apaisée des populations. Ce qui est regrettable est que le débat politique se fait par réseaux interposés et il n’y a pas d’unité de l’opposition pour expliquer les bien-fondés ou non de la transition politique.

Sortons de ce débat interdit sur la transition politique et osons, sans tenir compte du calendrier électoral, des intentions  présidentielles et des exigences de l’opposition, de voir sur un plan juridique et politique ce à quoi peut servir la transition politique dans notre pays, alors que les institutions ne sont pas en crise, même si les conditions de leur effectivité fonctionnelle sont discutées et rejetées, comme l’absence de carte biométrique et la composition du comité en charge des élections. Certains membres de l’opposition estiment que le Président Sassou doit partir car le Congo est confronté à des problèmes socio-économiques, comme le manque d’eau, le dysfonctionnement des hôpitaux, des infrastructures pas à la hauteur d’un pays pétrolier et une éducation défaillante qui laisse sur le bas-côté la jeunesse qui n’a pas d’emploi et qui est précarisée.

Ces éléments de démonstration établis, on note que l’agenda de l’opposition ou des oppositions n’est pas très clair quant au contenu et à la programmation stratégique de la transition politique. S’agit-il de remettre en cause toutes les institutions ? S’agit-il de discuter d’un aspect des institutions ? S’agit-il de constituer un gouvernement d’union nationale ? La question reste entière.

Oui je suis pour une transition politique au Congo mais rien n’est gagné

Pour ma part, en tant que citoyen congolais, je suis pour l’apaisement et si la transition politique est ce moment qui concourt à cet apaisement, j’en suis d’accord. En revanche, en tant que sachant, je me pose des questions réelles sur les conséquences de cette transition politique. Est-elle constitutionnelle ? Comment faire en sorte que cette transition ne se traduise pas, comme lors de la conférence nationale des années 90, par une foire d’empoigne, par des invectives et de la violence car les membres de l’opposition ne sont pas d’accord entre eux et ont des agendas politiques cachés. Ce n’est pas une accusation mais une réalité qui s’observe depuis les années 58 jusqu’à nos jours.

Monsieur le Président, lors de la conférence nationale, vous avez dit que vous assumiez tout ; en acceptant le principe de la transition politique, si tel est votre souhait, vous allez faire de cette transition un problème pour l’opposition. Je continue a ma place de modeste sachant pour livrer à mes compatriotes congolais sachant et aux hommes politiques de notre pays les prolégomènes d’un débat qui doit naître ou qui n’existera pas.

Quelques arguments pour le débat concernant la transition politique

La constitution congolaise prévoit plusieurs méthodes pour convoquer la transition politique. Elle peut être convoquée par le Président de la République, par le Parlement ou par les partis politiques. Dans le cas de notre pays, le Parlement et le Parti congolais du travail, majoritaire, n’ont peut-être pas envie de convoquer une transition politique. Quant au Président de la République, personne ne peut parler à sa place. Si on va plus loin, le cadre juridique montre que la convocation d’une transition politique nécessite de réfléchir sur les réformes à entreprendre et sur la légalité des réformes en conformité avec les normes juridiques nationales et internationales. Ces réformes peuvent porter sur la limitation des mandats, sur les conditions d’éligibilité ou sur les mécanismes du contrôle du pouvoir.

On peut noter aussi que la transition politique peut s’intéresser aux mécanismes du respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, comme la liberté d’expression ou de réunion. Ces arguments juridiques doivent être accompagnés d’une réflexion sur les arguments politiques. Il s’agit de voir ce que veulent les partis d’opposition quand ils demandent la tenue d’une transition politique. Il est important de regarder et d’analyser au fond leurs intérêts et leurs stratégies. Bien sûr la transition politique sera influencée par les enjeux économiques et sociaux, telles que la pauvreté et la corruption (d’ailleurs le Président Sassou lui-même avait dit le ver était dans le fruit, justifiant ainsi une très grande réforme de la magistrature).

Une autre question fondamentale pendant la transition : la place du Président de la République. Le Président de la République peut-il être tenu à l’écart de la transition politique ? La réponse dépend des membres de cette transition politique et, compte-tenu de son rôle institutionnel, il est difficile de l’exclure du processus transitionnel. La participation du Président de la République est nécessaire à ce processus de transition pour garantir la stabilité et la continuité de l’État.

Dialogue politique et transition politique

Il est important de distinguer le dialogue politique et la transition politique.

  • Le dialogue politique est un processus de discussion et de négociation pour résoudre les problèmes et les conflits politiques. Il permet de trouver les solutions aux conflits politiques entre les acteurs politiques congolais (plusieurs dialogues politiques ont déjà eu lieu dans notre pays à Sibiti, à Ewo).
  • La transition politique est un processus de réformes institutionnelles et politiques. Elle est plus que le dialogue car elle implique des réformes profondes des institutions politiques, telles que la Constitution, les lois électorales et tous les éléments liés au mécanisme du contrôle du pouvoir.

Le Congo est à la croisée des chemins. J’ai ouvert une porte pour un débat interdit. Aux acteurs politiques de se saisir de ce problème. De nombreuses questions doivent être examinées en amont : la durée de la transition politique, la mise à l’écart ou non du Président de la République pendant la transition, comment identifier et apporter des solutions aux problèmes régaliens (comme la gouvernance, les élections, la commission électorale, les cartes biométriques, la nécessité ou non de constituer un gouvernement d’union nationale).

Voilà quelques réflexions d’un simple sachant que je suis, qui s’intéresse à la politique économique et sociale de son pays de naissance le Congo, qui n’a aucune prétention car affidé à aucune écurie de la majorité, comme de l’opposition. Voilà chers compatriotes quelques éléments de débat pour cette question de transition politique importante pour l’opposition et sans effet pour la majorité présidentielle car il suffit de respecter la constitution de novembre 2015 et pour cette majorité les élections doivent se tenir en mars 2026, à moins que le Président Sassou, maître des horloges institutionnelles, en décide autrement, à savoir organiser la transition politique.

Lucien PAMBOU

Diffusé le 03 aout 2025, par www.congo-liberty.org

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12 réponses à Faut-il une transition politique au Congo-Brazzaville : Monsieur Denis Sassou-Nguesso, c’est une option politique pour apaiser la société congolaise.

  1. Le fils du pays dit :

    Doyen Pambou c’est toujours un grand plaisir vous lire.
    Vous êtes pas intellectuel et à ma connaissance vous êtes le premier congolais de la place de Paris à être clair sur ce point à travers un article.
    Doyen, nombreux Congolais semblent ignorer qu’ils sont un pouvoir vassal.
    Le tenant de ce pseudo pouvoir avait déclaré selon Modeste Boukadia l’homme qui attend toujours son coq : Prenez tout ce que vous voulez,payez les salaires et laissez moi mourir au pouvoir.
    Tout ce que je fais c’est la France qui me le demande.
    Écoutez doyen devant ce genre de déclarations et aveux vous ne pensez pas qu’elles peuvent vous donner les idées à reformuler votre texte.
    Doyen,croyez vous qu’un vrai et sérieux Président d’un vrai et sérieux pays peut dire les choses pareilles ?
    Doyen,tous les congolais conscients savent qu’ils ont un faux Président et un pouvoir qu’on leur a imposé depuis 1968.
    Doyen,pensez vous que c’est normal qu’il ait dans un pays de quelques millions d’habitants plus de quarante partis politiques?
    Doyen,dans les pays sérieux ou les populations sont conscientes ils auraient procéder d’une autre manière sûrement la plus brutale possible pour mettre un terme à cette vassalité de leurs pays pour avoir un vrai pays,un vrai état et de vrais dirigeants Voilà pourquoi le Congo n’avance jamais malgré les moyens financiers colossaux et les ressources humaines.Un pays avec de faux dirigeants ne peut pas aller nulle part. C’est aussi simple que ça
    A chaque fois c’est la même farce au Congo élections, dialogue etc.
    Doyen,il faut absolument des conscience individuelles et de la conscience collective pour un début de solutions qui vont sortir ce pays de l’ornière.
    Le peuple Congolais doit prendre conscience.Les autres peuples de ce monde qui ont compris comment il fonctionne ne sont pas dans la bêtise.

  2. Samba dia Moupata dit :

    Mais à quoi joue Lucien Pambou ? Sassou Denis est un barbare qui est à sa neuvième constitutions toujours sur mesure. Lucien pambou parler de Sassou Denis comme un homme civilisé c’est est une faute grave ! Clément Mierassa est le cousin germain de Florent Tsiba , Jean Jacques Serge Yhombi est le cousin de Jean Dominique Okemba, Destin Gavet reçois régulièrement l’argent de kiki Sassou dont son grand très proche de pierre ngolo est député du PCT .La constitution de mars 1992 reste en vigueur c’est la seule constitution votée par les congolais. Le reste n’est que mensonge et manipulation. Peut on dialoguer avec un barbare ? Les congolais doivent s’en charger de Sassou Denis qui est le principal responsable de la misère et la désolation .

  3. lucien pambou mkaya mvoka dit :

    A samba dia moupata
    Merci cher samba pour l info concernant les filiations entre mierassa et Florent tsiba
    Idem pour Serge yombhi et jdo ainsi que les tribulations de gavet
    Voilà cette opposition introuvable sur je critique toujours sur ce site

    Sassou est prêt à garder le pouvoir a tout prix
    Tu dis que Sassou doit partir comment fait-on
    Méthode violente ou démocratique par le vote d une population apeurée en partie et l autre partie qui soutient Sassou
    Mon papier est un entre deux doit le départ volontaire de Sassou doit opposition violentea population q trop souffert
    1997 est par la
    Les 400000 morts sont encore dans les têtes
    Le Pct s organise
    L opposition se cherche un ou des leaders tout en se chamaillant

    Excuse moi cher samba on est dans un pays de fous
    L opposition dit que Sassou doit partir mais comment
    Le dialogue et la transition politique peuvent être des protocoles à minima pour éviter les violences
    Le Pct et Sassou veulent les election présidentielle s’ en mars 20z6
    Une partie de l opposition dit non
    Alors organisons cette transition en dehors du congo
    Mais il faut avoir a l’ esprit que la violence militaire n’ est pas très loin

    Au Congo comme tu dis tout n’ est que mensonger car c est f abord des affaires de famille et de privilèges financiers du Pct a l opposition

    Bien a toi
    Lucien pambou mkayamvoka

  4. pierre martin dit :

    transition politique dites vous cest non mr. tirez dabord les lecons de la premiere transition sous mr andre milongo

    aujourdhui il vous est demande daller aux elections mr ntoumi a premeire vue sera candidat et le pool a deja donne son accord de principe a voter pour lui. sauf qu il y a un bruyant silence du cote du niari et de la cuvette. deja la il n’a aucune chance d’acceder a la magistrature. supreme.

    ensuite mr frederic bitsangou a poste sur youtube une photo pieds nus.avec des ninjas autour de lui eux aussi pieds nus photos recentes et noon une sequence de lintelligence artificielle

    un chef detat pieds nus cest serieux ca? cote expression francaise chez bitsangou frederic zero/20. certaisn disent qu il aurait des origines kinoises enfin les gens sont terribles

    denis christel sassou ng est mauvais tres mauavais meme car ne dun pere congolais et dune mere congolaise de kin, vous dites qu il est tres mauvais

    frederic bitsangou semble t il ne dun pere congolais et dune mere congolaise de kin lui vous dites qu il est bon il peut aller aux elections.non mr votre demarche est absurde mr

    sous la transition mr b kolelas avait pris une photo ou ses pieds du moins ses orteils etaient visibles. cela avait suscite un degout du cote de lupads

    on ne peut pas appeler a une seconde transition dans un tel contexte

    trouvez vous un homme politique qui se fera aimer aupres de la france

    mr pambou vous dites ceci

    Je ne suis pas un intellectuel, malgré mes nombreux diplômes académiques et universitaires dans ce pays France, je ne suis qu’un simple sachant et citoyen qui s’intéresse à la vie politique de son pays.

    un peu de modestie vous fera du bien, le moi est haissable

    sur le plan politique le congo brazzaville est subdivise en trois blocs

    bloc 1 pool. vous netes pas du pool pas de suffrages. la encore dans ce pool il faut etre de la famille kolelas

    bloc 2 nairi bouenza lekoumou. vous netes pas originaire dune de ces trois regions pas de suffrages

    bloc 3 cuvette sangha likouala. vous netes pas de la cuvette la egalement vous navez aucune chance

    vous voyez que les choses sont dures pour les matthias dzon clement mierrassa angios engambe joe w ebina lassy mbouithy….claudine est depute et les autres?

    ca ne vous a pas semble bizarre non

    en une minute frederic bitsnagou a beneficie dun engouement terrible manifeste exclusivement dans le seul pool , ailleurs zero comme du temps de b kolelas.ca ne vous a pas fait reflechir

  5. Le fils du pays dit :

    Aux congolais et Congolaises
    Certains font semblant de l’ignorer.
    Il ne faut pas se voiler la face pour dire que le Congo n’est pas indépendant, à cette tête un pouvoir vassal et les pseudos dirigeants serviteurs des intérêts obscurs étrangers qui s’enrichissent sur dos du peuple Congolais tout en le maintenant dans l’ignorance et la misère.Les pseudos partis politiques, élections et dialogues nationaux ne sont que les farces pour embrouiller le peuple Congolais.
    Pour tant le pseudo Président de ce pays était clair dans ses déclarations et aveux selon Modeste Boukadia qu’il avait ceci:Tout ce que je fais c’est la France qui me le demande.Prenez tout ce que vous voulez, payez les salaires et laissez moi mourir au pouvoir.Ces déclarations en réalité lèvent le doute à ceux qui croyaient pas que ce pays n’était pas indépendant.
    Le peuple Congolais dans son ensemble doit prendre conscience et chercher les solutions pour avoir un pays indépendant et des vrais dirigeants pas les valets.

  6. Samba dia Moupata dit :

    Cher Lucien Pambou toute révolution à besoin des ses fils et filles connus, or le frère Lucien entretient une ambiguïté qui laisse perplexe certains au pays qui attendent de leur fils pambou un geste de compassion ! Car légitimé une barbarie fait de vous un mercenaire éditorialiste dans cette chaîne internationale pour Sassou et une insulte pour nos sœurs et frères qui subissent la barbarie de Sassou Denis, qui le font mourir de faim, de soif et encore moins d’électricité. Cependant Sassou Denis privilégie ses parents Mbochi à la SNPC, dans les services des douanes, des impôts et des Voyous comme Paul Obambi qui pillent les carrés miniers à Mayoko sans être inquiété.

  7. lucien pambou mkaya mvoka dit :

    A pierre martin
    Vous ne m avez pas bien lu
    De plus vous pouvez aussi regarder la vidéo jointe a mon texte qui est point de départ de ma réflexion
    Dans cette vidéo que je vous conseille de visionner repose sur trois hypothèses démission transition politique représentation tation du président Sassou en mars 2026

    L hypothèse de la transition politique est une hypothèse de travail pour éviter les violences électorales
    De plus pierre je n insulte personne car k ai été correctement élevé par mes parents
    Maîtrisez vos émotions et soyez correct pour ne pas dire poli
    Le moi n est pas haïssable c est une propedeutique pour essayer d expliquer la situation complexe au Congo

    Je ne suis pas intellectuel comme aiment se designer les congolais
    On voit sur le terrain pratique leur incapacité pragmatique
    Je ne suis ni Émile Zola ni victor Hugo qui eux ont des longues oeuvres littéraires
    Moi et j insiste moi je ne suis su un simple sachant
    A rc vous pierre l ethnicisme car vous raisonnée en blocs ethniques
    Pitié pour vous
    Le président Sassou n a pas à attendre votre raisonnement alambiqué pour décider d il doit ou non se présenter en mars 2026
    Et s’ il doit ou on organiser la transition politique comme source d apaisement pour le vivre ensemble comme mantra de la cohésion sociale
    A. ‘bon entendeur meilleure posture pour une réflexion organisée et lucide

    Lucien pambou mkayamvoka

  8. lucien pambou mkaya mvoka dit :

    Cher samba
    Je ne légitime rien et encore moins la politique de Sassou
    C est vrai on du mal intellectuellement a se départir d’une méthode analytique contradictoire
    J ai des yeux pour voir je ne suis pas f accord avec ce que Sassou fait subir a la population congolaise
    Cher samba ce n est pas a toi que je vais apprendre la couardise de tes frères congolais de la majorité comme de l opposition
    J aurai pu entrer au Congo comme on me l apropose
    Mais mavie est ici et depuis mon adolescence je reste libre de penser de dire et d amener endrpassant l émotion negre qui nous submerge pour dire les choses
    C est vrai j ai eu des problème s à l’oral de l agrégation d économie mais j ai toujours assume ma contradiction vis a vis du jury en sortant par le haut

    Je ne vis pas au ciel mais je refuse le mensonge de mes frères congolais quo font de la politique pour d en mettre plein la panse
    Voilà samba j assume cette façon de décrypter la vie politique congolaise violente et tordue
    A la différence de certains de mes compatriotes je ‘ ai pas besoin de la politique pour être propriétaire dans ce pays France
    De plus la politique j ai été élu conseiller municipal de ma ville sous les couleurs de l impression Sarkozy de 2008 2014
    Bien a toi

    Lucien pambou mkayamvoka

  9. lucien pambou mkaya mvoka dit :

    Lucien pambou a
    Fils du pays
    Samba dia moupata
    Anonyme
    Pierre martin alias noko dsd

    Merci a mingwa biango

    De rendre possible ce débat quasi interdit sur le site Congo Liberty
    Au delà de nos émotions respectives et de nos croyances bis a vis de la politique congolaise je souhaite a votre réflexion les.
    points suivants
    1 les congolais ‘r se déplacent pas pour voterl e président Sassou reçu

    Pas tous car il ya une partie de la population qui vas voter
    Sassou malgré un taux faible de participation est élu

    2 que fait-on des manifestations qui pourraient être organisées par l opposition ou les opposants
    3 le président Sassou et le Pct refusent la tenue f un dialogue inclusif et la transition politique
    4 que fait l opposition dans ce cas là
    5
    L opposition va t’elle organiser des primaires pour désigner son champion6
    Et si coûte que coûte malgré le boycott Sassou maintient au 26mrs l election
    Autre hypothèses Sassou ne se présente pas que font les oppositions

    Voilà des questions concrètes au delà des oukases habituelles sur la vie politique congolaise
    Voici
    Lpambou mkayamvoka
    Merci pour vos solutions pertinentes et argumentees aux modestes questions que je pose

  10. Lucien pambou mkayamvoka dit :

    Continuons le débat interdit
    Par Lucien pambou

    Boycott des élections
    Départ de Sassou
    Pas de dialogue inclusif
    Pas de transition politique
    Que fait on dans un univers où le pouvoir est offele
    Que fait on s’il ya un coup f état militaire
    Ou sont les chefs de l opposition comme au Sénégal avec diomaye et sonko
    Contre Macky Sall
    Comment se fait la jonction entre l opposition de l intérieur et l opposition issue des diasporas congolaise
    Qui finance si election il ya la campagne électorale de l opposition ou des oppositions
    Sassou doit partir que fait on concrètement après sur le terrain au delà de nos bavardages permanents
    Sassou construit une politique politico administrative en d appuyant sur son clan mbochi
    Comment rassurer nos compatriotes du nord qu ils sont au nom de la citoyenneté congolais comme tout le monde
    Ce n est pas une question anecdotique
    Pour Sassou c est une espèce d assurance vie électorale en s appuyant sur son clan
    Depuis 1958 1959 1960 1970 1993 1997 2003 2015
    L espace politique congolais est gangrène par la violence et par l incapacité de notre pays a faire émerger des dirigeants politiques bâtisseurs du Congo même si on est nuls scientifiquement techniquement et technologiquement
    Sciences humaines et sociales quantum tiens la formation des congolais dans l inutile palabre sans horizon défini
    J ai dit
    Voici
    Lucien pambou mkayamvoka

  11. Le fils du pays dit :

    Doyen Pambou c’est toujours un grand plaisir vous lire.
    Vous êtes économiste et professeur des universités si je me trompe de vos titres n’hésitez pas de me corriger.Dans ce texte vous avez déclaré ne pas être un intellectuel.Ce n’est pas en guise de comparaison mais juste pour précision que je dis ceci:Je ne suis pas intellectuel,je suis ingénieur civil.
    Doyen, humblement je n’ai pas la science infuse,je ne sais pas tout.
    Vous avez posé la question de savoir ma solution devant ce drame Congolais.
    Franchement Doyen vue la configuration du Congo, les conditions de vie des populations,les comportements et agissements des pseudos politiciens et dirigeants on arrive facilement à la conclusion de tout est faux.C’est à dire faux,fausses institutions et faux dirigeants,faux révolutionnaires des vrais marionnettes de puissances étrangères qui hier pour prendre le pouvoir des mains du Président Massamba Débat pour en faire tout ce que nous voyons et vivons dans ce pays depuis juillet 1968 se disaient être révolutionnaires.Doyen les faits sont là.
    Pour certains Congolais qui doutaient ou encore confus de l’existence de ce faux Congo, Jean François Probst à travers ses prises de paroles publiques et son livre Jacques Chirac mon ami de trente ans avait dit au moins l’essentiel aux congolais.
    Pour rajouter la couche le Président du Pct selon Modeste Boukadia avait fait des déclarations: Tout ce que je fais c’est la France qui me le demande.Prenez tout ce que vous voulez,payez les salaires et laissez moi mourir au pouvoir.
    Doyen,un vrai Président d’un vrai pays ne peut pas dire où faire ce genre de déclarations et aveux.
    Le peuple Congolais dans son ensemble doit prendre conscience de ses conditions de vie et s’organiser pour faire sauter le verrou qui l’empêche d’être en paix et vivre dans la prospérité.Ce monde création du bon dieu certains être l’ont transformé en un endroit cruel et diabolique où les peuples faibles ne comptent pas.
    Doyen,voilà mon avis qui n’a jamais changé à propos du pays pour lequel pendant plus de deux décennies les agents du Pct et leur parrain à tort me cherchent les poux sur la tête en gaspillant l’argent du trésor public dans les mercenaires et les services parallèles.
    Doyen,la vérité n’a pas de tombe dixit le dicton.Mon avis c’est le même avis de la majorité des congolais conscients et soucieux du Congo et son peuple.

  12. pierre martin dit :

    vous dites ceci

    Une autre question fondamentale pendant la transition : la place du Président de la République. Le Président de la République peut-il être tenu à l’écart de la transition politique ? La réponse dépend des membres de cette transition politique et, compte-tenu de son rôle institutionnel, il est difficile de l’exclure du processus transitionnel

    cest non mr . le congo ne tombera pas dans un tel piege dixit ange ed pounguy premier ministre suite a un mouvement dhumeur des etudiants congolais le 11 – 11- 1986

    aujourdhui il est hors pour vous de revenir a brazzaville injurier denis sassou ng au palais des congres cest non mr

    hier me jean martin mbemba avait depouille mr denis sassou ng de ses pouvoirs constitutionnels. une conf nat ne peut etre souveraine source internet

    etre souverain veut dire pour une republique ne consulter personne

    la conf nat etait souveraine et qui donnait l’ordre de paiement des agents de l’etat a cette epoque?

    la conf nat etait souverraine c’etait un abus en fait donc le president de la rep etait en principe mgr kombo president du presidium de la conf n’est ce pas mr?

    vous mavez demande que je vous respecte ok cest fait mais sinon que vous maviez dit que vous etiez barde de diplomes, relisez vous mr

    mr kombo etait donc le president de la rep or a cette epoque c’etait mr denis sassou ng. il y avait donc deux chefs detat a brazzaville ce qui etait contraire a la constitution

    et qui nous avait mis dans cette confusion juridique ? voici la rep: j m mbemba ou me j m mbemba

    le pool toujours le pool dixit clement mouamba premier ministre

    cote francais la mr je dis non je n’ai pas de pb d’expression francaise tant a lecrit qu a loral . rien avoir avec les congolais y compris ceux qui vivent en france qui sont incapables de sexprimer en bon francais sans y associer du lari lingala munukutuba au point ou ils sont tous inaudibles et incomprehensibles

    mr sachez que je comprends tres bien le francais. par contre vous ne connaissez rien de la politique congolaise ca par contre je peux vous le dire

    nicolas sarkozy bof ma voix avait ete jointe a celles des autres africains qui lui avaient interdit toute presence physique sur le continent africain. sarkozy en afrique cest fini ca mr.il avait quand meme fait assassiner un chef detat en focntion…. une telle info nest pas a mettre dans un cv politique.

    sarkozy non , mr il n’est pas a conseiller c’est lui non, avec l’affaire betancourt

    en conclusion

    DENIS SASSOU NG DEMEURERA EN FONCTION SI VOUS NE LE VOULEZ PAS RESTEZ EN FRANCE

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