Edgard N’guesso n’a hérité de rien. Ses grands parents n’ont pas laissé de fortune. Ils n’étaient pas dans les affaires. Le président de la République lui-même nous parle volontiers de ces kilomètres qu’il faisait à pied, en pleine forêt équatoriale pour chercher sa vie à l’école. Il n’y a donc jamais eu d’héritage, des parents ou de quelques grands-parents qui aurait pu se chiffrer à la cinquantaine de millions de Cfa. Ni même à la vingtaine de millions.L’avocat Jacques Okoko, même s’il aimerait déjà tout effacer de son excitation et de toute sa fierté d’avoir hurlé, devant l’immense foule de la conférence nationale souveraine,en 1991, qu’il a compté parmi ses locataires, un certain Denis Sassou-N’guesso, il reste qu’il a levé un pan qui retrace le chemin parcouru par l’homme que nous aimons. Et partant par tous ceux qui, aujourd’hui en mettent plein la vue aux Congolais avec la fortune publique. La nôtre ! Celle de tous les Congolais. Parbleu !
Denis Sassou-N’guesso sauva l’honneur en s’octroyant son lopin de terre du côté de l’ex-dépôt CFCO. Mais son retour au pouvoir après le coup d’état de 1997, a transformé depuis le quartier « dépôt » en banlieue chic des N’guesso et d’autres gars du régime. Des acquisitions qui ne sont pas du goût des propriétaires terriens, les « ngantsié » qui n’y comprennent que dalle !
On se souvient donc de tout ! Bon sang ne saurait mentir. Même de la mercane 500 qui faisait suer à grosses gouttes, régulièrement les deux frangins : Edgard et Willy. Au point de les conduire chaque fois chez le mécano, avenue Reine Ngalifourou à Ouenzé. Ils suaient à grosses gouttes, et attendaient que le mécano « pète » un miracle pour démarrer leur teuf-teuf. Dites-vous que cette époque est loin derrière. Parce que depuis que Denis Sassou-N’guesso est revenu au pouvoir, l’ancien enfant de troupe, Edgard N’Guesso est devenu milliardaire. Il est tellement milliardaire de deniers publics qu’il prend au trésor de la république, qu’un paon qui se vante d’être allé à l’école avec lui, Rémy Ayayos Ikounga, ne s’attarde pas sur le chiffre lorsqu’il verse son obole aux bonnes œuvres. L’ami du pacha est un pacha. Sa succès-storie, Rémy Ayayos, la raconte même en live à la télévision. À faire pâlir de jalousie les potes de Thomas Hollande, le fils de François, qui eux, appartiennent à ce pays où l’on ne peut être riche d’être simplement le neveu, le fils, la fille, l’oncle, le cousin, l’épouse, le « bokilo », la maîtresse, les enfants d’un soir ou l’ami du président de la République ou de ses enfants. Ce pays où l’on ne confond pas la fortune publique et à sa propre poche.
En nommant Edgard N’guesso, directeur du domaine présidentiel, le président Sassou en a fait un milliardaire à la vitesse de l’éclair. Lequel dispose comme un Premier ministre de tout un cabinet. De quidams et de valets qui émargent sur le budget de l’Etat. On a ouvert les coffres du trésor public à un fossoyeur de l’économie nationale. Qui a trouvé le moyen d’organiser son enrichissement? Et la faillite de l’Etat. Qui pique tout sur le dos des Congolais.Et pour mieux les endormir, il fait recours à tous les paroliers de l’autre rive, grassement rémunérés. De telle sorte que l’on grave son nom. Lui, le parvenu. Les génies du commerce ont cessé d’être des riches, il n’y a plus que les N’guesso. Propriétaires du trésor public congolais.
Les contribuables se saignent, Edgard se sert. Y compris les gars de son cabinet, chacun y va de son ingéniosité. Ce n’est pas grave, le contribuable congolais va encore devoir payer. Le directeur du domaine présidentiel a décidé de surclasser tout le monde. Et d’enrichir tous ses copains. Il n’y en a que pour eux. Mais nous, les « Gavroches patriotes de la république », nous le tiendrons à l’œil, nous recenserons tout, dans le moindre détail, pour les mettre KO ! Même debout !
On en était encore à supputer sur la capacité de nuisance sur l’économie nationale d’Edgard N’guesso. Il fait pire que tous les « gouverneurs » du Palais que la république a connus. Derrière son visage angélique, il y a un criminel économique qui se cache. Lire l’intégralité de l’article…
Toukasse Valence
Ce qui m’etonne c’est qu’au seuil de la fin d’un pouvoir condamnee, que des jeunes comme eux ne craignent pas ce qui pourrait leur arriver d’un moment a l’autre. En tant que soldat il devrait apprendre ce que l’on appelle la RETENUE. Je ne jouirai surtout pas de voir un tel lynchee par la colere populaire, fut-il un mauvais compatriote.
Un bon BULLDOG qui peut vraiment plaire à ses amis. Si c’était pas le pouvoir d’autres espèces pourraient mieux évoluer dans la forêt vierge sans ambages. Heureusement le parvenu de l’oncle était là pour terrir cette image.
@TOUKASSE VALENCE
Merci d’avoir rejoint le Peuple congolais et Congo-Liberty dans leur lutte contre les despotes, les voleurs et les corrompus. Ce ralliement est d’autant plus louable que tu as été un temps chargé de leur communication. Nous t’accueillons à bras ouverts et fraternellement. Tout homme ou femme qui contribuera à leur départ sera considéré(e) comme un héros !
Nous attendons avec impatience la suite sur Denis Christel et tous ceux que tu as très bien connu. Nous comptons sur ta mémoire.
Bien fraternellement
Il ya que les imbéciles qui ne changent pas, ou qui ne le font que par opportunuité. @ TOUKASSE VALENCE, donnes nous la preuve que tu as changéetjureque tu nous donneras la suite de tout ce que tu connais de ces voleurs de la République.
Je trouve cet article intéressant et l’exemple du fils Sassou démontre à lui seul la corruption
totale du régime.
Comment une personne dont la famille est sans fortune, qui n’a pas hérité et qui n’est pas un entrepreneur privé, peut-il en arriver là ?
La réponse est évidente.
En Françe être le » fils de » ouvre des portes mais pas les caisses de l’Etat.
Sassou NGuesso avec son clan de l’Alima-Oyo-Edou, le MOBUTU du Congo-Brazzaville.
Discours d’Obama au siege de l’UA (extrait):
Barack Obama a appelé les dirigeants africains à respecter leurs Constitutions, à ne pas s’accrocher au pouvoir. Des attitudes irrationnelles qui fragilisent les progrès démocratiques de leurs pays, selon le président américain : « Je dois être honnête avec vous. Je ne comprends pas cette attitude. Je suis dans mon second mandat. Cela a été un extraordinaire privilège pour moi de servir en tant que président des Etats-Unis, mais notre Constitution dit que je ne peux concourir pour un troisième mandat. Lorsqu’un dirigeant essaie de changer les règles du jeu en cours de route pour rester au pouvoir cela risque de créer de l’instabilité et des conflits, comme on l’a vu au Burundi. Et c’est souvent le premier pas vers la paralysie. Parfois, on entend un chef d’Etat qui dit : je suis le seul à pouvoir empêcher cette nation d’éclater. Si c’est vrai, cela signifie qu’il a échoué à construire une véritable nation ».
Le président américain a ajouté qu’il y avait plein de choses à faire quand on était plus au pouvoir et que l’on avait un peu d’argent en banque.
Un discours applaudi
Il faudra attendre un peu avant de connaître la réaction des dirigeants africains dont plusieurs ont pu se sentir visés par les propos de Barack Obama, mais une chose est sure, ces mots ont été vraiment extrêmement bien accueillis par tous les jeunes qui remplissaient la salle. En effet, beaucoup d’adolescents, des jeunes d’une vingtaine d’années avaient été invités pour l’occasion dans le hall Nelson Mandela de l’Union africaine. Et c’est vrai que quand le président a abordé ce sujet, il y a eu un tonnerre d’applaudissements. Barack Obama a pu voir qu’il pouvait compter sur la jeunesse et s’est d’ailleurs particulièrement adressé à eux. Il leur a dit plusieurs fois que c’était eux qui avaient le pouvoir de changer les choses sur le continent, que ce soit politique ou en termes économiques.
]@Precolonialisme,
A votre avis ce discours est rationnel ou pas. Je suis tout à fait d’accord avec lui et les réactions des dirigeants Africains ne servent à rien.
C’est connu que tous ceux qui veulent changer les constitutions de leur pays comme Sassou veulent s’éterniser au pouvoir pour continuer à voler avec leur clan et quelques voyous de la République .Ceux ci ne doivent leur existence qu’avec un pouvoir comme celui de Sassou car dans un pays organisé où la compétence est de rigueur, ils n’auront pas de place parce que non concurrentiels et habitués àla facilté des yaka noki noki.
le M2NR est une diversion du pouvoir pour désorienter le peuple. Tout comme l’est « PO NA EKOLO, SAMU NA BUALA » pour instrumentaliser la jeunesse. Soyons vigilants; les NGUESSO sont prêts à tout pour conserver le pouvoir.
Je suis certain qu’il y a des vaillants cadres militaires Congolais qui me lisent et qui pensent justement comme moi,que le temps du nettoyage et du toilettage du Congo est arrive.Alors vaillants cadres militaires Congolais virez du plancher tout ce beau monde qui ruine et detruit le patrimoine commun des Congolais
je ne comprends pas. Chez eux, tout le monde a crée un parti politique ou une association. politiques: kiki kaka, willy machin, sassou ngueso,, antoinette épouse, claudia consort….bref .
Pourquoi cette famille croit ( pense ) que les congolais ne peuvent faire union qu’autour d’eux seulement ,?
Edgard Nguesso un garçon sans mérite , son parcours à l’école des cadets était chaotique , sa formation comme officier à Madagascar c’était les vacances dorées et ces médiocres comme aussi son frère Willylfrid Nguesso multi milliardaires se font passés pour des méritants ! Le congo dira merci à Hollande et OBAMA encore hier qui réitèré sa volonté de faire partir tous ces chefs corrompus d’Afrique dont Sassou le numéro de la mafia !
GENÈSE D’UNE MBOCHIOSITÉ EN INVESTISSEMENT:
AÉROPORT OYO OLOMBO
Près de 300milliards d’investissement pour un trafic de 2 mouvements hebdomadaires.
MBOCHIOSITÉS: Œuvre monstrueuse conçue, développée et exploitée en milieu clos ou hyper tribal Mbochi, en général projet économique ou action politique et nuisant fortement à l’intérêt public .
Dans l’histoire des crimes économiques de DENIS SASSOU, l’aéroport d’OYO OLOMBO restera un cas d’école tant par l’ampleur du gâchis que par le processus opérationnel qui a conduit à cette catastrophe.
Les générations futures du Congo ont le droit de savoir pour l’histoire et pour une prise de conscience des dégâts de la cupidité et de la mauvaise gouvernance des projets dans les structures parallèles.
Au commencement DENIS SASSOU coincé par le revirement de Kabila qui ne veut pas faire passer les armes angolaises par son territoire, craignant une nouvelle affaire de génocide en 1997. Les charmes de MUNARI sur DEOGRACIAS BOUGUERA y sont pour beaucoup aussi, puisque c’est lui qui sera le plus farouche opposant à la décision de faire transiter les armes des angolais par la RDC.
Sassou et ses stratèges sont obligés de s’attaquer à Owando pour son aéroport qui est le plus proche capable d’accueillir les AN24. Bongo jusque là neutre va aussi sauver la mise du Beaufils en donnant une semaine de transit à ses alliés à force de maladresses lissoubiennes (qui est parti entretemps se balader au RWANDA en négligeant A DIOUF venu expressément à Libreville pour le conflit congolais).
Il fait le serment de construire un aéroport proche de son terroir, ce qu’il entreprendra dès la prise de pouvoir, hélas en confiant le dossier à son neveu EDGAR NGUESSO très limité techniquement. Celui-ci s’accoquine immédiatement avec les vautours de la place MBOCHIS bien sur dont le plus représentatif n’est autre qu’OBAMBI. Chaque fois que des milliards sont débloqués le mec prend tranquillement l’avion pour ROME et les Paradis fiscaux pour alimenter les comptes des 2 lascars. Rien n’avance au point d’émouvoir SASSOU lui même qui tance son neveu et lui demande de restituer une partie de l’argent. Tout Brazzaville se souvient de ces disputes entre Sassou et le neveu préféré; Tout Poto-Poto se glosait en pensant que même Edgar le petit nabot commençait à tenir tête à SASSOU.
De là BOUYA va entrer en scène avec une voracité insoutenable avec la société ESCOM et le prix du baril aidant tout est multiplié par 10 en terme de gigantisme. Entre-temps la DÉLÉGATION DES GRANDS TRAVAUX EST CREE sous le modèle ivoirien à l’époque d’HOUPHOUËT BOIGNY (la DGX de Cesaréo qui a signé de belle manière tous les grands travaux de la RCI) Le projet est remis pratiquement à zéro par une bande d’incapables sans références en management de projets qui entourent BOUYA: OSSO, OTOKA, ONDELE etc.
Ce gigantisme n’a d’autres buts que de faire sortir plus d’argent du trésor public car plus les montants sont élevés, plus les montant à détourner sont conséquents.
Au finish près de 300 milliards de FCFA pour un trafic de 2 avions par semaine et un enrichissement crapuleux:
Combien dans la poche de BOUYA, NGESSO EDGAR, OSSO, OBAMBI milliardaires….?
UN CRIME ÉCONOMIQUE DANS TOUTE SA LAIDEUR..
Espérons que la sagesse populaire décidera un jour de leur sort.
Si vous voulez vous intérresser au « dossier » Ollombo, il faudrait vous rapprocher fortement de Bouya et son caniche royal italien: Marco Villa. Architecte de son état, mais n’ayant jamais construit que des présentations soporifiques en format microsoft power point, c’est lui qui est derrière le faste de Oyo, hopitaux, hotel Alima Palace (géré par son vieux copain Alain Ferrand, multi-récidiviste et maire du Barcarès), construction d’un aéroport par les chinois, desservi deux fois par semaine par ecair (tient, encore Bouya et Marco Villa). La clé est là.
Restez tranquille, bientôt on s’occupera de tout ce beau monde,pourvu que Bouya ne s’écalte pas entretemps ou ne meurt pas AVC.
Quant à OBAMABI l’éternel Président de la chambre de commerce nommé alors qu’ailleurs, on le devient pas vote,il gagnera Oyo par bateau avant qu’on ne le rattrape à YORO pour être pendu car autant de crimes économiques ne peuvent rester sans suite.