Le PCT est un parti né d’un péché ethniciste, en 1969, pour couronner le coup d’état militaire de juillet 1969 du président Marien Ngouabi et de ses compagnons d’alors qu’étaient le petit Satan, Yhombi, etc, pour ne citer que les plus visibles d’entre eux. Le PCT est un parti de kleptomanes sanguinaires et ethnicistes ayant à leur actif des centaines de milliers de morts et des milliers de milliards de francs volés des caisses de l’état. C’est un parti de criminels psychopathes et sociopathes inaptes à vivre en société avec autrui sans faire usage de la violence, de la duperie.
Le PCT disais-je est un parti né d’un péché ethniciste. Pour le comprendre, il y a lieu de revisiter l’histoire de ce parti, notamment sa genèse.
Avant la naissance du PCT, il y avait la question soulevée par Ambroise Noumazalaye relativement à l’avènement des gens du nord à la tête du pays. Dans une altercation qu’il eut avec le président Massamba Débat, Noumazalaye lui lança sa célèbre phrase: « nous aurons bientôt notre président du nord». Et quand un autre ministre lui posa la question: « comment allez-vous arriver au pouvoir?», Noumazalaye lui fit la réponse suivante: « que voulez-vous que l’on fasse quand la démographie nous est défavorable?».
Noumazalaye posa donc les jalons du coup d’état de juillet 1968 de Ngouabi et de ses compagnons.
Comme l’avait très bien expliqué Mr. Olivier Sathoud dans une interview à Congoliberty, quand un groupe d’intellectuels demandaient au président Massamba Débat de réorienter leur révolution pour mettre l’accent sur le développement économique du pays et que ce dernier leur demanda de lui trouver un successeur, la pensée de Noumazalaye sera mise en œuvre par un groupe de militaires originaires du nord du pays. Ce groupe prit donc le MNR de court et court-circuita les discussions avec le président Massamba Debat pour prendre le pouvoir par les armes.
Ce groupe, dont petit Satan faisait partie en tant qu’un des meneurs, mit donc le président Ngouabi à leur tête et prit le pouvoir en juillet 1968, et ce contre les règlements du MNR. En 1969 quand le PCT est créé, ce n’est alors que pour couronner cette prise de pouvoir par coup d’état mené par un groupe de militaires originaires du nord, qui s’appliqueront à manipuler le président Ngouabi.
C’est en 1972, avec la sortie du Mouvement dit M22, que les congolais se rendront petit à petit compte que l’équipe dirigeante du pays n’était qu’une OBUMITRI i.e. Oligarchie Bureaucratico-Militaro-Tribaliste. Pour mettre fin à cette fumisterie, un groupe d’officiers et de civils des quatre coins du Congo, dont Ange Diawara, Jean-Baptiste Ikoko, Jean-Pierre Olouka et Jean-Claude Bakékolo tenteront de renverser du pouvoir cette poignée d’individus tribalistes autour du chef de l’exécutif, Ngouabi, qui géraient les ressources du pays comme leur patrimoine personnel, au nom de leur espace ethnique, en complicité avec les puissances étrangères.
Dès 1972 donc, des visionnaires avaient mis en garde les congolaises et les congolais contre les dérives du PCT qui n’était et n’est qu’une OBUMITRI i.e. un groupe de kleptomanes sanguinaires qui confondaient et confondent toujours le patrimoine de l’état comme le leur et celui de leur groupe ethnique. Le diagnostic que posèrent donc Ange Diawara, Jean-Baptiste Ikoko, Jean-Pierre Olouka et Jean-Claude Bakékolo sur le PCT, en 1972, était juste puisqu’il se vérifie encore de nos jours. Leur diagnostic n’a pris aucun ride!
Tout le monde sait comment petit Satan avait liquidé les membres du M22 et le deal qu’il proposa aux membres de ce groupes originaires du nord pour ne pas subir le sort qu’il réservait aux originaires du sud de ce groupe. Certains ressortissants du nord acceptèrent l’offre de petit Satan comme Moundélé Ngolo et Camille Bongou, mais il y a eu d’autres qui refusèrent tels que Ikoko et Olouka qui préfèrent mourir à côté de leurs frères du sud au nom de l’idéal d’un Congo Uni du Nord au Sud et d’Est en Ouest. Une purge dans les forces armées devait suivre aussi avec l’épuration arbitraire de plusieurs hommes en armes du Sud du pays.
Mais l’éphorie de petit Satan et de sa bande de tribalistes, qui manipulaient le président Ngouabi, allait prendre un coup quand le président commençait à réaliser qu’il était entouré d’une bande de tribalistes incompétents. Cette prise de conscience, qui prenait la forme d’une alliance avec le président Massamba-Débat, allait lui être fatale dans la mesure où il osa défier ceux qui l’avaient fait Roi en 1968. En effet, dans un discours peu avant sa mort, le président Ngouabi prit une posture Christique quand il lança à ces membres de l’OBUMITRI PCT, parti état, qu’il était prêt à laver la saleté de son pays avec son sang, s’il le fallait. Ce défi fit tourner le sang de petit Satan dont la malignité n’a d’égale au Congo. Le reste c’est le 17 mars 1977. L’OBUMITRI PCT préféra perdre un Kouyou que de perdre le pouvoir.
C’était le deuxième coup d’état de cette poignée d’individus de l’OBUMITRI PCT pour continuer à gérer les ressources du pays comme leur patrimoine personnel, au nom de leur espace ethnique, en complicité avec les puissances étrangères. Du PCT, cette OBUMITRI se transforma en C.M.P, avec P comme parti.i.e le PCT. Que de morts après le 17 mars 1977 comme nous l’avons appris à la Conférence Nationale Souveraine de 1991 où on parla des dizaines de milliers de morts innocents pour que cette OBUMITRI PCT continue de se sucrer sur le dos des congolais.
En 1979, petit Satan décida de jouer à visage découvert après avoir été longtemps dans l’ombre comme le faiseur des rois. De l’OBUMITRI du C.M.P on repassa, avec petit Satan, à l’OBUMITRI PCT. La Conférence Nationale de 1991 nous apprit qu’entre 1979 et 1991, le PCT, sous la gouverne directe de petit Satan, avait à son actif plus de 3,000 cadavres d’innocentes personnes et des milliers de milliards de francs détournés des caisses de l’état pour enrichir les membres de l’OBUMITRI PCT et leurs enfants.
En 1997, soit 20 ans après son deuxième coup d’état, et comme l’appétit du sang et de l’argent vient en buvant rouge et en mangeant la chair saignante, bis repetita. Le PCT a refait ce qu’il sait faire de mieux depuis son existence i.e. boire le sang des congolais et manger leurs chairs et voir leurs larmes. En conséquence du coup d’état de juin 1997, on parle des centaines de milliers de congolais morts essentiellement au sud du pays pour que les membres de l’OBUMITRI PCT continuent à gérer les ressources du pays comme leur patrimoine personnel, au nom de leur espace ethnique, en complicité avec les puissances étrangères, notamment ELF = Total.
Fait important à noter avec ce coup d’état de 1997, c’est l’apparition d’un nouveau genre de membres de l’OBUMITRI i.e des véritables PIRANHAS des deniers publics. En effet, si entre 1977 et 1991 c’était les oncles qui tuaient pour avoir licence de voler impunément les deniers publics, à partir de 1997 les enfants de l’OBUMITRI vont se mettre de la partie avec leurs parents pour faire main basses sur les biens des congolais. Pas un mois ne passe au Congo sans qu’un de leurs enfants fête son énième milliard. Résultat, il y a même un bébé de 2 ans chez les membres de l’OBUMITRI qui s’est acheté un appartement au XVIème arrondissement de Paris comme la plupart des enfants du club qui ont des adresses à Courbevoie, Neuilly-sur-Seine, VII, VIII, XIV et XVI arrondissements de Paris sans oublier les autres métropoles du monde comme Shanghai, Dubaï, Nice, Hong Kong, Miami, etc.
Aujourd’hui, devenus voraces et insatiables malgré les océans de larmes et de sang des congolais qu’ils versent depuis 1968, les membres de L’OBUMITRI PCT et leurs enfants sont prêts encore à servir aux congolais le même réchauffé fait de Sang et des Larmes des Autres, et ce en dépit du vent de l’Harmattan qui a pris son envol du Burkina Faso et qui menace de les balayer comme il le fit avec Compaoré qui fut chassé du pouvoir comme un vulgaire voleur d’œufs.
Oui, l’OBUMUTRI PCT veut servir le même réchauffé concocté depuis juillet 1968 pour qu’’ils continuent de s’enrichir sur le dos des congolais. Pour ce faire, ils nous promettent encore des graves sévices corporels comme nous l’a si bien expliqué pigasse dans leur Pravda du 18 novembre 2014 qui avait pour éditorial: L’ORDRE.
Oui, vous avez bien entendu: ordre! Ordre pour nous de se plier à leur injonction si nous voulons que l’entente continue entre Eux et Nous, nous disent-ils. Leur injonction, qui s’inscrit dans la suite de «Ba Méka Sassou Té! Ba Kéba Na Bango», se résume à: accepter le changement de la constitution de 2002 pour que petit Satan rempile en 2016 sinon c’est la guerre entre nous et vous.
Vous conviendrez qu’avec l’OBUMITRI PCT, nous ne sommes pas sortis de l’auberge. C’est une guerre permanente qu’ils nous imposent depuis juillet 1968. Malgré l’évidence constitutionnelle qui fixe bien la limite d’âge à 70 ans et la limite du nombre de mandats à deux , les mises en garde claires de Barack Obama et dernièrement de François Hollande, l’OBUMITRI PCT nous dit, par la voie de Pierre Ngolo dans une interview à RFI:
« …Je pense que la souveraineté appartient au peuple. Et si le peuple veut, personne ne peut s’opposer. Nous constatons qu’au sein de la population congolaise il y a comme une volonté allant dans le sens du changement de la Constitution…».
Ne sommes-nous pas en face des autistes et d’une provocation de la part de l’OBUMITRI PCT? Le 28 septembre 2014, le peuple Congolais avait exprimé sa volonté en boycottant à 95% les élections départementales et communales. De quelle autre «volonté allant dans le sens du changement de la constitution» parle-t-on si les élections dont les listes électorales devant servir de rampe de lancement à l’élection de 2016 avaient été boudées par le peuple souverain?
L’autisme de l’OBUMITRI PCT face à l’évidence de la loi fondamentale, des conseils des grands de ce monde, et son irresponsabilité génétique, ayant occasionné des centaines de milliers de congolais morts et des milliers de milliards de francs volés par ces membres, doivent nous conduire à exiger la dissolution de ce parti-état.
Petit Satan s’était appuyé et s’appuie sur ce parti-état, dont il est resté le président malgré les dispositions de la constitution, pour conquérir et conserver son pouvoir. L’OBUMITRI PCT va de pair avec petit Satan. On ne peut parler de l’un sans parler de l’autre. Il en va de même de la structure de répression que sont les forces armées, notamment la direction générale de la surveillance du territoire (DGST) et la direction générale de la police.
Voici ce que disait Jean-Pierre Olouka, du M22, à propos de l’appareil d’état:
« La question de l’appareil d’État compte incontestablement parmi celles qui se posent communément à tous les pays désireux de lutter contre l’impérialisme. Lorsque nous analysons l’échec de N’Krumah au Ghana, nous constatons que l’erreur la plus importante que commit ce grand militant africain fut de ne pas s’être attaqué radicalement à l’appareil d’État. »
Source: Autocritique du M22.
Voyez-vous chères et chers compatriotes, à force de jouer à l’autruche, la réalité finit par nous rattraper. La question que soulevait Jean-Pierre Olouka du M22 est toujours d’actualité. Nous avons en face de nous la même OBUMITRI PCT qui s’accroche au pouvoir au prix du Sang et des Larmes des congolais avec la même violence aujourd’hui démultipliée par l’épée de Damoclès que fait peser sur leur tête la CPI et les BMA. D’ailleurs, un des leurs, Norbert Dabira est attendu, le 5 décembre 2014, au Tribunal de Meaux, par des «petits juges» dixit petit Satan. Est-ce un hasard ?
Chères et chers compatriotes, cela n’aura aucun sens d’exiger le départ de petit Satan mais pas la dissolution de son instrument politique qu’est le PCT. Cela ne fera pas aussi de sens que petit Satan tombe mais pas les membres de l’OBUMITRI PCT qui ont dirigé le pays avec lui depuis 1968 avec des massacres de masse et des détournements des deniers publics. Petit Satan s’était appuyé et s’appuie sur un large réseau d’hommes et de femmes qui s’attendaient en contrepartie de leur soutien et fidélité une licence pour piller le pays en toute impunité. Ces membres de l’OBUMITRI PCT doivent être non seulement déchus de leurs droits civiques, mais aussi poursuivis en justice pour corruption, kleptomanie, assassinats, vente des ressources du pays aux étrangers, etc. Les comptes du PCT, ses bâtiments et autres actifs doivent être récupérés par l’État congolais.
Pour le mal que l’OBUMITRI PCT a fait aux congolaises et congolais, massacres des innocentes personnes, corruption aggravée, entretien d’un état de guerre permanente, ethnicisme comme mode de gouvernance de la chose publique, dislocation du tissu social, dictature, etc, le PCT doit être dissout dès que le régime PCT sera terrassé comme l’a été celui de Compaoré, l’ami et complice de petit Satan dans le martyr du peuple Congolais. Tous les membres de l’OBUMITRI PCT doivent être interdits de faire de la politique. La DGST doit être dissoute et ses principaux responsables ayant terrorisé le peuple doivent être arrêtés et traduits en justice pour leurs crimes.
C’est le prix à payer pour essayer de faire repartir le Congo sur de nouvelles bases. Laisser le PCT et son OBUMITRI intact serait prendre un nouveau ticket pour l’enfer pour les années à venir comme les actuels dirigeants de CAP l’avaient permis lors de la Conférence Nationale quand ils le sauvèrent du lynchage populaire mené par Kolelas. Ce manque de vision politique a été récompensé par le conflit fratricide de 1992-1993 dans les quartiers sud de Brazzaville et le coup d’état de 1997. Les conséquences de cette absence de vision, tous nous le vivons dans nos âmes et chairs, pour certains.
Alors, cette fois-ci pas de demi-mesures. Il faut achever le travail de démolition totale, d’éradication de ce parti jusqu’à sa racine pour que cela serve de leçons aux autres qui auraient le rêve d’implanter au Congo leur OBUMITRI afin qu’ils, leurs enfants et maîtresses fassent mains basses sur les ressources communes des congolaises et congolais.
Par Nassimina Mêrii
Je suis à 70% pour dissoudre à vie le PCT et à 100000000000000000000000 de % pour dissoudre la DGST…
Je pense que les courtisans comme les Soudans et les mercenaires doivent être traités comme des bagnards, allusion faite aux bagnes coloniaux.
Je pense que les conditions de détentions de ces gens là seront dures. Ce qui voudra dire que le mercenaire qui pourra suivre dans cet univers carcéral spécial de type Guatanamo sera complétement détruit: physiquement et psychologiquement. Après, il attendra toujours le retour en vol charter vers son pays.
Les americains ont fait ça aux islamistes à Guatanomo, nous allons le faire nous aussi au Congo sur les mercenaires capturés pendant la chute de Sassou Nguesso.
Je suis à cent pour cent d’accord que le PCT devra disparaître. Ensemble avec le PCT, tous les autres partis actuels de la scène politique nationale aussi. Ces vulgaires épiceries devront subir impérativement le même sort que leur parrain.
Rappel : Les partis politiques qui constituent le décor du paysage politique actuel de notre pays ne font pas preuve d’un creuset de l’unité nationale dans leurs effectifs et configuration, ni en représentation par les cadres dirigeants et ni par leur localisations géographiques. Ce sont des petits partis sans cohérence dans leur coloration doctrinale, des écuries de charlatans et ne doivent leur existence que pour l’aide apportée à un faiseur de roitelets afin que le leader se fasse une place au soleil.
Le peuple congolais n’a plus besoin des tels politiciens.
Le Congo et son politique doivent se refaire de fond en comble. Le Congo doit renaître après Sassou. Dans la lancée des idéaux de notre lutte pour la modernisation du Congo, la disparition des partis politiques actuels du Congo est un must qui doit se souscrire au premier rang de notre agenda.
Il est imminent d’instaurer une hygiène civique dans la qualité des débats et de l’offre des orientations doctrinales par les acteurs politiques d’un Congo moderne.
Il doit avoir une transparence des offres de l’idéologie prônée par un parti et sa cohérence dans l’exercice et la pratique de ces actions devant le peuple congolais. Le Congo n’a pas besoin de girouettes ni d’acrobates en politique.
Les partis politiques d’avenir du Congo doivent se distinguer les uns des autres dans leur philosophie, idéologie et surtout dans la pertinence du choix de leur vocation de politique socio-économique nationale tout comme leur doctrine sur la politique fiscale du Congo.
Toutes les règles macro-économiques qui régissent le bien-être des peuples ont toujours été l’objet des convoitises, de concurrences et de débats d’idées contradictoires entre les courants de gauche et de la droite.
L’électorat congolais, devra dans l’avenir faire un choix entre l’offre politique faite par la gauche et de celle faite par la droite lors des échéances électorales.
Nous devrions instaurer des mécanismes assez patriotiques afin que des partis politiques dignes de ce nom puissent voir le jour au Congo. Les partis au Congo doivent obtenir une audience institutionnelle nationale et non tribale ou régionale.
Ils doivent devenir des organisations indépendantes hautement organisées et dirigées par des hommes intègres qui sauront regrouper tous les congolais et congolaises. Des organisations fortes capables d’exister même dans l’opposition au sein du parlement national. Le parlement congolais a besoin des partis forts pour contrôler l’exécutif et traquer les partis ou le parti majoritaires.
Les critères de reconnaissance désormais d’un parti politique apte à participer aux échéances électorales du futur Congo, seront la livraison d’une liste des adhérents et adhérentes ou sympathisants et sympathisantes au nombre de 110.000 personnes représentées selon leurs origines et localisations géographiques en Nombre de 10.000 par régions.
Oui chaque parti politique congolais devra présenter un tel dispositif afin d’obtenir le sauf-conduit de s’engager politiquement au Congo. L’unité nationale doit être vécue tout d’abord au sein des partis politiques avant de le faire miroiter sous forme de parodie au peuple.
La politique ne doit plus se servir de régions, ni de tribus pour obtenir une audience nationale alors qu’ils ne l’ont pas pratiqué sous Sassou.
Fini le temps des épiceries familiales, les clubs tribalistes,des sectes, les groupes de thérapies des vieux rescapés du PCT et des nostalgiques du monopartisme.
Le Congo « administratif » fait actuellement état de 10 Régions plus « 1 » pour la ville de Brazzaville.
Je ferai tout pour être en avant de la scène ensemble avec nombreux compagnons pour animer une structure de lutte lors de l’installation d’une institution nationale d’après Sassou avec mission d’organiser le paysage des partis politiques d’un Congo moderne..
En tout et pour tout le PCT doit disparaître …
Oui, le PCT doit disparaître ! Mais pour un changement systémique au Congo-B, il faut jeter en prison, toutes les personnes qui ont contribué et participé au retour de Sassou au pouvoir dans le sang.
Vivement la FIN et la Justice du Peuple !
Le Congo est dirigé par un président criminel, illégal, dictateur, genocidaire incompétent entouré aussi d’un clan de criminels, d’une bande de tribalistes incompétents et aussi genocidaires pour la plupart d’entre eux. En dehors des crimes de sang, viennent les crimes économiques massifs. Sassou Nguesso, famille et son clan ont fait main-basse sur les richesses pétrolières du pays, sur les caisses de l’état pour enrichir sans honte, pendant que la plus grande population du Congo vit dans la misère, dans une pauvreté incroyable. Sassou Nguesso confond toujours le patrimoine de l’état comme le tien et celui de son groupe ethnique. Lui, ses faux enfants, sa famille, les ressortissants de sa tribu, de sa région, sont en première ligne dans tous les secteurs d’activité où prospèrent les affaires (sécurité privée, transport aérien, grands travaux, bâtiment, hôtellerie, transactions immobilières, téléphonie mobile, l’eau, etc…) » http://www.ladepechedabidjan.info/LA-SAGA-DU-CLAN-DE-SASSOU-NGUESSO-AU-Congo-Brazzaville-Main-Basse-sur-les-richesses-d-un-PPTE_a1882.html).
Le Congo manque d´infrastructures routières de tout genre et l’insalubrité le manque d’hygiène sont à la source de nombreuses maladies. Le Congo Brazzaville a un très grand retard sur le plan de développement.(http://www.mampouya.com/article-35223295.html),(ttp://congo-sphere.over-blog.com/article-35209155.html ).
La volonté de changer à la veille de la fin du mandat, la constitution taillée à sa taille et défondue farouchement malgré des multiples critiques, est un crime contre l’humanité. Dernier élément en date sont les entreprises des reponsables du PCt en France et ceux du journaliste mercenaire Picasse à la solde de Sassou Nguesso et son pouvoir qui viennent encore évoquer, à quelques semaines les événements du Burkina Faso le thème du référendum, du changement de la constitution qui ne devrait plus constituer un sujet d’actualité,il y a quoi se demander si le pouvoir ne veut pas comme d’ habitude tendre ici un piège et faire prémediter l’usage de la violence? En tout cas, en écrivant ceci » Le problème que nous devons résoudre aujourd’hui est celui de la démarche à suivre si nous voulons que le peuple congolais adhère pleinement à une telle avancée est d’initier sans plus attendre le débat public qui, par étapes successives, conduira à la consultation populaire permettant aux citoyens de se prononcer en toute connaissance de cause sur la gouvernance publique. »n’est pas seulement une provocation, mais aussi un crime contre l’humanité. Le peuple Congolais laissé pour compte, qui n’a guère cessé de compter des cadavres d’innocents dans son rang et voir » tant d’argent des ressources nationales faire que le bonheur du dictateur Sassou Nguesso, de ses enfants, de sa famille, des membres de son clan, ne veut pas du tout de consultation populaire organisée par lui et son gouvernement. Le peuple congolais ne veut pas de dialogue, pas de gouvernement d’union, pas de tenue des élections présidentielles en 2016 avec sassou et ses partisans.(http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=4810 ). Le nouveau Congo n’a pas besoin du clan OKEMBA/NDENGUE/OBARA, de Jean Jacques BOUYA, Kiki Sassou Nguesso et consors. (http://www.ivoirebusiness.net/?q=articles/congo-jean-jacques-bouya-le-milliardaire-qui-veut-succ%C3%A9der-%C3%A0-sassou-nguesso). Oui tout est à reconstruire: le cerveau, les mentalités, l’économie, le social, le cadre de vie des population et tout et tout comme l’a écrit FNSC ou force nord sud congo.Sassou Nguesso et sa clique sont pris dans leur propre piège. L’idée ou projet d’un référendum en vue d’une modification de la constitution avec Sassou Nguesso nous amenera nulle part et constitue un débat dépassé. Un président entouré d’ un groupe de kleptomanes sanguinaires,incompétents qui ont commettent des massacres de l’ordre » des disparus de beach », d’explosions de Mpila, des génocides du Pool sans oublier des détournements massifs les ressources du pays, ne peuvent pas se permettre de parler au nom du peuple et jouir de tant d’impunité. Dans d’autres cieux, cela ne serait plus possible de laisser un tel président et sa clique au pouvoir. La comédie a assez durée. Sassou et clique sont des grands criminels, assassins qui ont tiré des avantages considérables à la constitution taillée à leur taille. Il est temps de les chasser du pouvoir, au lieu les laisser le temps de continuer à prendre en otage le peuple, voler et massacrer les congolais comme ils veulent. Ce que le peuple veut cet le départ sans condition de cet Hittler africain, sa clique et son système. Dans l’intérêt du pays, nous devrons oeuvrer par tous les moyens que le dictateur-sanguinaire Sassou-Nguesso et sa clique partent du pouvoir avant 2016. S’il faut juste se tenir compte des pires atrocités commises au Congo par Sassou Nguesso et sa clique, des violations de droit de l’homme, des malversations financières, BMA au Congo et que le regime PCT est désapprouvé à plus de 95% par le peuple congolais, ces motifs suffissent pour exiger le départ immédiat du dictateur et sa bande de criminels. Pour le repetter, en dehors du massacre du Beach, il y a eu massacre systématique de la population du Pool, des quartiers sud de Brazzaville. Il y a eu la destruction de villages du Pool par les forces militaires de Sassou Nguesso.Le monde doit se tenir compte de toutes ces exterminations des populations du Sud au Nord, car il ne faut pas non plus oublier le cas d’Anga et de son village, il y a quelques années. Sassou Nguesso n’ a pas le mérite de rester Président pour avoir été l’ auteur de tant de crimes contre l’humanité. les allégations de complicité dans ses massacres, crimes sont aussi contre l’entourage, collaborateurs immédiats du président génocidaire.
Nous exigeons la libération sans condition de l’Abbé Yanguissa et de tous ceux qui croupissent en prison pour des motifs politiques ». Il faut que l’impunité finisse! Les crimes contre l’humanité commis par Sassou Nguesso et sa clique sont trop nombreux pour les laisser encore au pouvoir. Sassou Nguesso a fait un coup d’état qui a marqué très négativement la vie des congolais. Sassou Nguesso est principalement venu au pouvoir pour se vanger, pour venir diviser le peuple congolais, pour » se remplir les poches, gâter sa famille et se barder des honneurs. Sassou Nguesso et ses complices ont choisi de sacrifier le Peuple pour des intérêts égoïstes, partisans et mesquins. Aujourd’hui encore,Sassou Nguesso et sa clique auteurs de génocides du Beach, des génocides dans les quartiers du sud, dans le Pool, Niari,des innocents pendant l’arrestation de Ntsourou de l’explosion de Mpila, sans oublier les Biens Mal Acquis continuent à traumatisser les Congolais et le massacrer. Sassou Nguessou et sa clique ont mis le Congo à terre:( http://brazza-news.com/?p=12189 ).Il faut mettre les faucons du PCT, OKEMBA/NDENGUE/OBARA etc) dans l’impossibilité de continuer à oeuvre pour perdurer le Système Sassou qui tourne grace à la corruption. le mensonge, la tricherie, la ruse, l’intrigue. Jean Dominique Okemba qui n’est pas cité dans l’affaire du disparu du Beach et d’autres massacres du pouvoir Sassou Nguesso. est par exemple à l’origine des assassinats du 04 mars 2012.(http://congo-liberty.com/?p=6078)(http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=3068). Il est l’assassin du jounaliste, Joseph NGOUALA Directeur de publication du journal le Tam-Tam, correspondant de l’AFP et de Rfi au Congo retrouvé mort un matin du 27 juin 2007 à Brazzaville.(http://www.mampouya.com/article-jean-dominique-okemba-le-suppot-de-satan-106174870.htm(http://blogs.mediapart.fr/blog/ausmidt/130412/congo-brazzaville-drame-du-04-mars-2012-le-contre-amiral-jean-dominique-oke). En un mot, le peuple du congo n’a pas besoin du changement de la constitution ou de révolution du palai. Il a besoin d’ une alternance démocratique véritable avant 2016 avec cadres nouveaux qui n’ont pas de passé sombre.
Je pense que le premier coup d’ etat des hommes du nord fut perpetré en 1966 apres l’ arrestation de felix mouzabakani dans la premiere affaire kolelas, en effet en 1964 kolelas avait demandé à mouzabakani de simuler une manoeuvre militaire dans le pool afin d’ acheminer les armes vers brazzaville mouzabakani va le dissuader de cette idée en lui conseillant que par rapport la situation securitaire du moment tout mouvement contestataire sera toujours vouer à l’ echec. Ce que mouzabakani pensait seulement etre un projet de la part de kolelas etait deja une concretisation car les armes se trouvaient deja à kimpanzou et celles-ci furent apprehender par le gouvernement massamba-debat grace à la vigilence des services de securité et à la trahison des populations de kimpanzou n’ oublions pas que la trahison est un label genetique des populations du pool ( andré matsoua avait été trahi par les memes personnes qui pourtant l’ ont fait evader au tchad ) . Les armes maintenant aux mains du gouvernement qui va commençer ses investigations les ameneront à kolelas or celui -ci est un civil et dans l’esprit des dignitaires du MNR le cerveau penseurs ne devait etre qu’ un militaire et pendant ce temps kolelas pensait que mouzabakani l’ avait tahi. Le 15 aout 1964 lors des festivités du premier anniversaire de la revolution le president massamba-debat en presence du president kazavubu à la place de la gare de brazzaville va exhiber quelques armes en disant qu’ il connaissait les commanditaires et certains se trouvaient dans cette tribune, effectivement kolelas qui etait directeur des affaires etrangère donc autorité du pays s’y trouvait et cette nuit il va traverser le fleuve pour se retrouver à kinshasa. Parfois on peut se demander le president massamba-debat en clamant connaitre les commanditaires n’ ouvrait-il pas une breche à kolelas afin que ce dernier puisse fuir et n’ oublions pas que massamba-debat et kolelas habitaient la meme rue à bacongo c’ etait des voisins. Apres la fuite de kolelas pour les revolutionnaires du MNR il fallait trouver maitenant trouver le cerveau militaire de ce complot et voila mouzabakani pris entre deux feux: celui des bakongos et celui des nordistes. A la chute du president youlou c’est kikadidi qui etait parti prendre le president massamba-debat à boko et david mountsaka le chef d’ etat major etait un bureaucrate donc un paperassier et de surcoit bakongo alors que felix mouzabakani lari etait un homme de terrain donc d’ action et c’etait l’ homme à abattre chez les bakongos et aussi chez les nordistes dont le leader sur le plan politique etait noumazalaye et ils vont mettre en echiquier sur le plan militaire ebadep et lorsque mouzabakani fut arreté et condamner en1966 pour les nordistes la voix etait libre pour s’ occuper de massamba-debat etete sur le plan militaire .Ce n’ est pas un fruit d’ hasard qu ‘en 1968 ngouabi va utiliser le meme mouzabakani pour le liberer de la maison d arret de brazzaville et avec ses troupes mouzabakani va entrer au camp de la meteo (biafra) et mettre en deroute les elements de la defense civile. Apres l’avoir utiliser dans la chute de massamba-debat ngouabi va le faire arreter pour un coup d’ etat imaginaire, mouzabakani sera arreter a moutampa un bled du pool avec la complicité des population de cette localité oui trahison des populations du pool quand tu nous enchaines.
M. ZABAZABA, LES BONS ET LES MAUVAIS SONT PARTOUT, DU NORD AU SUD
Écrivez un livre, mais en évitant certains raccourcis tels que » utilisés par le capitaine MARIEN NGOUABI » ou GENE DE TRAHISON POUR LE POOL, car personne ne peut croire que le capitaine de 27ans qu’était MARIEN NGOUABI à l’époque pouvait manipuler les vieux briscards de la coloniale qu »étaient MOUZABAKANI et MOUNTSAKA.
Toutes les révolutions ont presque dévorés leurs enfants et celles du Congo ne fait pas exception, alors que vous recherchez systématiquement une opposition NORD SUD, mais les faits historiques tels que vous les agencez sont plausibles…LA VRAIE LEÇON POUR LES POLITICIENS DU POOL, C’EST DE RETENIR QUE:
SI LISSOUBA A APLATI SI FACILEMENT KOLELA EN 92, C’EST PARCE QU’IL AVAIT L’IMAGE MOINS TRIBALE QUE CE DERNIER ET CE QUI LUI A PERMIS DE PRENDRE 3 DÉPUTÉS DANS LA LIKOUALA, AVANT QUE CETTE DYNAMIQUE NE SOIT BRISÉE PAR QUELQUES AVENTURISTES EXTRÉMISTES MAJORITAIREMENT MBEMBE…
AVIS AUX JEUNES POLITICIENS QUI S’ENGOUFFRENT DANS LE TRIBALISME AUJOURD’HUI…
PS: Peut-être que le Congo doit maintenant etre dirigé par un Pdt SUDO-NORDISTE né après l’indépendance comme meilleure solution.
Oui,le Pct et ses satellites doivent être dynamites.Ce groupuscule des incapables,des vauriens,des idiots,des voleurs et criminels doit être démantelé.Tous ses membres doivent être entendus par la vraie justice Congolaise sur le dossier de leur crime collectif(crimes économiques et de sang)avec interdiction formelle de ne plus faire la politique.
vous êtes vraiment dans le rêve, le vrai tribaliste c’est vous derrière votre article