Les députés et l’Assemblée nationale élaborent la mascarade de démocratie sur laquelle s’appuient les dictateurs ; au Congo de Sassou Nguesso comme au Bukina Faso de Compaoré.
Ce dernier avait bien eu l’idée de faire avaler à son peuple son maintien au pouvoir en se servant de « son » Assemblée pour faire passer un projet de révision constitutionnelle. Comme tout le monde le sait, la rue en avait décidé bien autrement….
Denis Sassou Nguesso, qui ne brille ni par la mesure, ni par la raison, n’en a toujours pas tiré la leçon. Il s’en remet toujours à la ruse, laissant à chacun le soin de tirer des conclusions hâtives qu’il ne suivra pas. Alors que tous se perdent en conjectures, le temps passe et il retardera sa décision autant qu’il le pourra. Certes le Parlement avait été brûlé à Ouagadougou, mais il compte bien sur son Assemblée et sur son Sénat fantoches pour le tirer de l’embarras. Composés majoritairement de rejetons, de gendres, de parents, d’amis et de complices, les deux chambres singent une parodie de légalité alors qu’elles ne sont que le faire-valoir de tout son contraire.
Alors que les Congolais, le peuple congolais, depuis trois décennies souffrent de tous les maux que lui inflige la tyrannie de l’Alima, Denis Sassou Nguesso bichonne ces pseudo-élus fantoches. Pas question de les faire soigner dans n’importe quel hôpital du Congo ou de France ! Pour ces spécialistes du passe-passe législatif, il fallait leur garantir d’être soignés dans un des meilleurs hôpitaux au monde : l’Hôpital Américain de Neuilly (près de Paris) !
C’est ainsi que le 30 octobre 2013, le président de l’Assemblée nationale, Justin Koumba, signait avec le professeur Claude Maylin, grand ami du dictateur, un accord de partenariat entre les institutions congolaises et le très fameux hôpital ; ouvrant ainsi ses portes aux heureux élus congolais.
Cadeau conséquent du dictateur-monarque en direction de ceux qui légitiment ses vols, ses fraudes et ses détournements
Trop souvent leurs votes, aux ordres du tyran-voleur, ont permis de ratifier des accords pétroliers, miniers, fiscaux qui se réalisaient au profit de tous, sauf du Congo et du peuple congolais ; peut-être était-ce pour cela qu’il faut si bien les traiter ; du point de vue du pouvoir, bien évidemment !
Dans son numéro du 5 mars 2015, le magazine Le Point s’est livré à une grande enquête, intitulée « Splendeurs et misères de l’Hôpital américain » qui commence ainsi : « Marguerite Duras comparait ses couloirs aux coursives d’un paquebot. C’est ici, chambre 2327, que l’écrivain en cure de désintoxication souffrit mille morts à l’automne 1982. Comme Edith Piaf avant elle. C’est ici que Bette Davis exhala en 1989 son dernier soupir. Serge Gainsbourg était son voisin de couloir. C’est ici que Pierre Drieu la Rochelle, en 1944, se tailla les veines et fut sauvé in extremis par des infirmières. C’est ici qu’Onassis et Truffaut moururent, que François Mitterrand rendit une dernière visite à son ami Roger-Patrice Pelat, que Jean-Luc Delarue, dans une ultime et dérisoire mise en scène de lui-même, convia la presse people à le photographier à sa sortie de chimiothérapie.
C’est aussi ici qu’Alain Delon fait surveiller son coeur de septuagénaire, là que Zinedine Zidane, Johnny Hallyday, Jacques Chirac, Claire Chazal et à peu près tout ce que l’époque compte de stars du sport, de la chanson, de la télévision, du cinéma et de la politique peut aller se faire discrètement soigner…. »
L’article insiste encore sur le côté glamour de l’établissement, sur ceux qui viennent y mourir et d’autres y donner la vie. Mais le fond de l’article nous éclaire surtout sur le côté abusif de la facturation, de la multiplication des examens et sur le coût des interventions :
« …Chefs d’Etat africains, golden boys moscovites, chefs d’entreprise asiatiques : pour toute cette population étrangère n’étant pas couverte par la Sécurité sociale, la facture ne devrait ici, en théorie – et en théorie seulement –, pas être beaucoup plus lourde qu’à l’hôpital public. Plus mystérieuses sont les motivations des deux tiers de patients français qui acceptent de payer rubis sur l’ongle jusqu’à 150 euros la consultation, 6 000 euros de caution à chaque hospitalisation et au minimum 10 000 euros l’accouchement quand la capitale regorge de tant de bons hôpitaux publics… »
L’Hôpital Américain de Neuilly est un lieu réservé qu’à des privilégiés, aux nantis de la planète. Il faut se demander que viennent faire les élus d’une population congolaise privée elle-même de tout soin décent, dans ce temple des privilèges médicaux : «…La vérité, c’est qu’on va surtout à l’hôpital de Neuilly pour éviter de « patienter des heures avec toute la misère du monde », se réjouit Constance, une jeune accouchée ; qu’on va naître et mourir dans cette enclave hospitalière pour être, au fond, entre soi… « C’est un Jockey Club médical, s’agace la fille d’un patient. On va au même club la semaine, au même golf le week-end et on est fier de se faire soigner à « l’Américain », de régler des factures énormes à un hôpital qui ne soigne pourtant pas mieux qu’ailleurs, c’est absurde… » Comme si payer plus cher que le tout-venant était un talisman contre la maladie, la souffrance et la mort… Ce matin de février, des serveurs en livrée retirent les plateaux aux étages des chambres, des patients venus en consultation attendent dans de confortables petites salles chacune dotée d’un écran de télévision… »
L’enquête va plus loin et le patient, Congolais ou pas, se transforme en pigeon : … « Bien entendu, tous ne cèdent pas à cette spirale du chiffre, spirale que dément la direction, estimant juger « l’implication des médecins sur la base de critères qualitatifs et quantitatifs ». Certains, dont ce praticien qui vient de quitter l’établissement, racontent une « entente » entre un petit nombre de médecins qui les scandalise. « Ils sont une quinzaine à s’être organisés en circuit pour se passer les clients et leur prescrire des examens abusifs qui sont inutiles et, comme tous les examens médicaux, non dénués de risques, raconte-t-il. Quand un patient arrive en disant qu’il a un peu mal au ventre, celui qui l’examine l’entend dire qu’il a aussi parfois mal à la tête, il l’envoie à son collègue qui lui fait passer une IRM qui ensuite lui recommande d’aller faire une fibroscopie, le quatrième prescrit un examen du rythme cardiaque, et ainsi de suite. » Naïf « pékin » qui, au terme de tous ces examens, pousse les portes tambours dans l’autre sens, une sérieuse ardoise sous le bras, mais avec le sentiment qu’à « l’Américain », au moins, c’est du sérieux… Surpris, tout de même, par des factures particulièrement lourdes, plusieurs ressortissants du Moyen-Orient auraient récemment fait connaître leur mécontentement. « Ils commencent à en avoir marre de se faire plumer, mais le problème, c’est qu’avec les patients étrangers et sans couverture sociale certains praticiens n’ont aucune limite », raconte une secrétaire médicale. « Autrefois, les médecins étaient incités à récupérer directement leurs honoraires auprès des malades. Ce n’était pas très élégant ni transparent », explique le professeur Bloch. Sous-entendu en liquide…
« Une quinzaine de médecins se sont organisés en circuit pour se passer les clients. »
Comme partout le client est roi, et l’on comprend mieux l’empressement du Professeur Maylin ami dévoué de notre tyran mal-aimé, de diriger nos 208 députés et sénateurs serviles vers cet établissement huppé de la région parisienne…
Pendant que les Congolais attendent la charité d’un MercyShips pour se faire soigner, les prochains signataires de la modification constitutionnelle vont faire examiner sous IRM leur moindre bobo. Ces complices, législateurs de la maltraitance congolaise, ne sont pas moins responsables que le tyran lui-même. Ils devraient réfléchir au sort qui avait été réservé à leurs homologues burkinabés, et deux fois plutôt qu’une, parce qu’après ils ne pourront plus recevoir des soins à l’Hôpital Américain ; ni ailleurs au Congo !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 17 mars 2015, par www.congo-liberty.org
Sassou dégage tu n as rien fait au Congo quand tu es malade tu te fait soigner en France et les pauvres congolais qui ne peuvent pas se soigner correctement
Les femmes congolaises de brazzaville mobilisons nous pour chasser ce dictateur assassin nous devons être uni du nord au sud c est pas tout les bochis. Qui son au lait au miel donc laissons le tribalisme nous devons être une personne comme on était avant que ce dictateur arrive
Cet article résume à lui seul la classe dirigeante du Congo qui se soigne à l’étranger pendant que le peuple vit dans la misère.
Comment peuvent-ils dormir tranquillement !
Sassou a toujours brillé par la médiocrité , les mauvais choix ! Ce fou furieux ne pense qu’àcheter les armes de guerre ,pour consolider sa dictature ! Combien coûte ces partenariats entre le congo et le val de Grace , les hôpitaux de paris et le très prestigeux hôpital Américain de Neuilly au trésor publique congolais? Alors qu’un président prévoyant aurait créé les conditions dans son propre pays! J’ai écrit à madame Hèlene Le Gall la conseillère Afrique du président Hollande sur ce sujet ! Ils ont qualifier sassou de monstre ! J’en appelle aux congolais d’écrirent cette dame de cœur qui compatie à la misère de la population congolaise , à fin de sceller le sort de Sassou!!!
DE GRACE PDT SASSOU: BOUYA N’EST PAS CESAREO
GRANDS TRAVAUX DU CONGO:
LES ASCARIS ÉCONOMIQUES DE BOUYA & OSSO
La création des grands travaux a été une idée puisée dans le modèle ivoirien de réalisation des projets d’infrastructures ambitieux. Le VIEUX HOUPHOUËT BOIGNY voulant laisser une empreinte indélébile sur son pays mettait un point d’honneur à suivre un certain nombre de chantiers qui lui tenaient particulièrement à cœur. On retrouve ce modèle chez les Présidents de la Vème République Française.
Il n’est pas question de vampiriser tous les projets d’investissement d’un pays comme on le voit au Congo depuis 12 ans pour enrichir le clan.
Le bilan est tout simplement désastreux pour l’économie Congolaise, mais pas pour le clan avec des projets les plus mal ficelés de l’histoire du Congo.
Bouya n’est pas CESAREO:
Alors que CESAREO fut un grand ingénieur des ponts et chaussées, une fois de plus Sassou nous impose Bouya titulaire d’une licence d’informatique et pilote de Fk27. Et au Congo comme cela est devenu la norme, il s’est entouré de petits parasites sans background comme Osso (Économiste des transports aériens IFURTA) ou OTOKA qui lui est quand même Ingénieur mais très inexpérimenté à l’époque, car ancien diplômé sans emplois.
C’est l’ossature des Grands Travaux au Congo, à laquelle on peut ajouter les gens comme OMANI Ingénieurs des TP spécialité aéroports pour cautionner des choix irrationnels et un certain NGOYO qui se proclame Économiste de l’aviation civile dans son CV (en réalité Prof de collège tout court) arrivé par le Parti unique à LINA CONGO par la magie du tribalisme. Rien que le titre qu’il se donne n’existe pas dans la nomenclature des métiers de l’aviation cela donne une idée du bagage technique: Un constipé intellectuel qui vampirise même retraité aujourd’hui le Ministère des Transports distillant son venin d’incompétence et faisant d’ADADA le ministre des transports le plus fantomatique de l’histoire.
Voila des gens qui ont liquidé la manne des petro dollars qui a coulé sur le Congo pendant près de 15 ans dans un pays qui ne manque pas de cadres économistes. Rien à voir avec CESAREO qui a signé des autoroutes Canon et qui pleurait en quittant la Cote d’Ivoire son pays d’adoption, un pays qu’il voulait encore transformer. UN BÂTISSEUR DE LA TREMPE DES VAUBAN ou des Barons HOFFMAN à l’échelle de la Cote d’Ivoire.
Des investissements colossaux sans créations d’emplois parce que le tissu de PME qui devait prendre des pans entiers des travaux n’est pas en place ou découragé par le favoritisme mafieux et clanique. Une jeunesse peu orientée métiers par des exemples de Sans métiers qui trustent tous les postes juteux et des pros qui galèrent.
TSENGUE TSENGUE en sait quelque chose. Des projets budgétivores souvent mal exécutés qui hypothèquent les chances d’émergence du Congo pour un siècle.
1- BARRAGE D’IMBOULOU Encore plus d’instabilité dans le réseau de distribution électrique.
2- OYO OLLOMBO 3 Mbochis sont devenus milliardaires et 300 milliards pour 2 vols hebdomadaires.
3- MAYA -MAYA une piste couteuse en plein Centre ville a 100 m du Palais des Congrès et du stade pour 75 ans de potentiel d’exploitation..A un millio de mouvements on verra les nuisances.
4-ECAIR Société aux comptes hermétiques dont la création a quelques liens avec le détournement des 300 milliards destinés initialement à la construction des casernes et les 300 morts de MPILA.
5- Des ouvrages de Genie civil urbain à ciel ouvert au grand désaroi des Ministres spécialistes que sont SILOU ou OUOSSO. Le premier était tellement désespéré devant les Sénateurs qu’il s’est écrié » NOS ENFANTS LES CASSERONT ».
6- etc.
Le Congo est tombé bien bas techniquement et intellectuellement.. avec ce banditisme d’État et des projets ascaris qui parasitent le développement du Congo pour un siècle.
J’ai une proposition simple.
Après août 2016, toutes ces sommités de l’État auront obligation de se soigner dans les hôpitaux du pays datant d’une autre époque, sans matériel adéquat et personnel.
Après tout, puisque le sanguinaire putschiste construit leur Congo… Pas besoin d’aller se soigner à l’étranger.
À mon avis, cela leur donne plus de cauchemars que le reste. Ils vont tous se suicider avant, et tant mieux.
Ce qui est « pigeonnés » dans cette affaire c’est le trésor Public Congolais, donc le peuple Congolais qui lui doit se contenter du CH tUe de Brazzaville qui n’est rien d’autre qu’un mouroir.
Sans compter les incongruités administratives du genre : Albert NGONDO Mbochi de Tchikapika Trésorier Payeur Général depuis 17 ans, Jean-Alfred ONANGA Mbochi Directeur Général des Douanes depuis 17 ans, NIcolas OKANDZI Mbochi, qui avait lachement assassiné un employé originaire du pool au pretexte qu’il lui avait subtilisé une colossale somme d’argent ( ce qui c’est révélé faux par la suite) impuni, Directeur Général du Budget depuis 15 ans. Je m’arrête là car la liste est longue. Et bien sûr tous ces messieurs sont multimilliardaires sans avoir cré une entreprise et vivant, comme des vautours sur la rente de l’etat. L’un des derniers grand Directeur de grandes structures, non mbochi, Jean Marie ANIELE (16 ans de présence lui aussi) a fini par être viré, ils ont eue sa peau et l’ont remplacé par quelqu’un du terroir Mbochi.Et ils veulent que l’on change de Constitution pour que le pillage clanique continu de plus belle.
C’est à l’hopital americain que GANAO , Gerard BITSINDOU , KOMBO-MATSIONA furent décédés alors qu au chu de brazzaville le directeur de cette structure vient de lancer un sos aux autorités afin de rehabiliter le service d’ urologie le module dialyse n’existe pas .Au congo quand vous souffrez d’une insuffisance renale votre mort est certaine.
Sassou c est un criminel il est aller construire un chu dans son village qui ne sert à rien au lieu de faire dans la capitale ou pointe noire
tout a été dit , point n’est besoin que j’en ajoute, car tous les présidents africains, sont la fabrique des mauvaises nouvelles, de la barbarie sanguinaire et il sont des pyromanes qui ne pensent qu’à ceux qui les soutiennent, les adulent, ils ne pensent qu’à leur clans, à leurs enfants, des avortons reconnus quand ils sont devenus présidents par des coups d’état; tel est Sassou qui a ajouté le nom de Ngeusso, après avoir tué son frère qui l’avait aidé sérieusement sur le plan professionnellement, il en est une exemple le plus patant de al vie poltique congolaise contemporaine; ainsi va la vie des peules africains……on en finira jamais tant que les voyous sont là viellissant sur les bancs du Sénat ou de l’Assemblée en se vautrant sans rien faire du bien du pays ou de leur peuple..
Pourquoi ne pas doté le Congo des hôpitaux dignes de ce nom? Au CHTUE, les équipes médicales exigent tant d’argent pour examiner un malade! Pour le corps médical congolais du CHTUE, seul l’argent compte.
Aucun amour pour les patients et aucune déontologie n’est appliquée.
Les factures de Neuilly sont souvent salées. Pourquoi ne pas envoyer toutes ces personnes malades. Sassou préfère aller en Espagne. Voilà la prodigalité!
Obama quitte le pouvoir le 20 janvier 2017, il n’a pourtant pas demandé le dialogue avec le peuple américain. Alors c’est quoi cette histoire de dialogue en mode régime sassou nguesso?
Ne participez pas à ce dialogue de con ou de diable du peuple congolais.
Il n’y a pas de dialogue national possible avec le tyran ou le diable sassou Nguesso. Sinon les dialogueurs seront aussi fichés comme appartenant à la lignée du diable du Congo. Oui, on ne pactise pas avec le diable, on l’affronte jusqu’à la mort du satan.
Sassou est fini et ne cédez pas à ses caprices diaboliques.
Le vrai peuple vous regarde et les traitres seront sévèrement punis – à suivre !!!