Nous avons connu le légendaire régime de Mobutu SESSE SEKO, il a pris 32 ans avant de s’écrouler sous le point d’une rébellion surgie de l’Est de l’ex ZAIRE, souhaitée, voulu et encadrée par la puissance Américaine qui voyait en Mobutu, un homme du passé qui ne répondait plus aux exigences de la fin de la guerre froide.
Mais il est curieux de constater que le parcours de Mobutu ressemble comme deux gouttes d’eau à celui du tyran de Brazzaville
Titre 1 ARRIVEE AU POUVOIR
Mobutu entre dans l’armée sans formation de base, il est mis au-devant de la scène après le départ des colons Belges.
E.P. Lumumba son mentor le nomme Secrétaire d’Etat naturellement lui fait une grande confiance.
Dénis Sassou -Nguesso est instituteur, entre dans l’armée à la veille de l’indépendance car il faut des officiers pour la nouvelle armée. Il est donc dépourvu d’une formation militaire de base.
L’assassinat de Lumumba laisse un goût amer à la jeune république du Congo Belge, mais l’ombre de Mobutu plane dans les préparatifs de sa livraison à Tsombé au Katanga pour sa liquidation.
Il reste 5 ans à l’observation, puis devient le maître absolu du Zaïre, un si long règne, avec les conséquences que l’ex Zaïre a du mal à liquider.
Marien NGouabi fait de Dénis Sassou -Nguesso, son ministre de la Défense et Sécurité, il est l’homme clé de confiance au cœur de l’Etat. Mais Marien NGouabi est assassiné au milieu de la journée alors qu’il vit à l’Etat-major de l’armée, par un commando envoyé par un simple civil. Version officielle, Chercher l’erreur.
Mais Dénis Sassou-Nguesso patiente deux ans avant de devenir Président du Congo depuis 31, bientôt 32 ans, compte aller au-delà puisqu’une nouvelle constitution est en chantier dans les couloirs de son palais.
Titre 2 RICHESSE & CULTE DE LA PERSONNALITE
Le Zaïre que dirige Mobutu est riche de minerais, premier producteur mondial de cuivre, le diamant, autant de richesses qui font de Mobutu, l’un des hommes les plus riches de la planète. La presse à sensation disait qu’il était plus riche que son pays le Zaïre (actuel RDC)
Fait bâtir sa cité de Gbadolite, en fait un point de repère, tout le Zaïre vient festoyer dans le hall de son immense palais présidentiel, un Versailles africain disait-on. Dans son village Il excelle dans l’agriculture, l’élevage.
Du début des années 80 à maintenant, le Congo de Dénis Sassou -Nguesso voit sa production pétrolière augmenter, les dernières découvertes d’ENI et le développement du champ MOHO Nord vont dans cette option. Mais seule DSN et sa famille tire le maximum de bonheur, le peuple est tenu à l’écart. Que dire du scandale des « biens mal acquis » BMA, 118 comptes bancaires répertoriés en France, des voitures de luxe, des appartements, d’impressionnants achats cash de vêtements de marque, la liste est longue.
Le petit village de pêcheurs qu’était Oyo devient une cité moderne, un énorme troupeau de bœuf importé du Brésil sous escorte policière, permet au tyran d’étaler ses qualités d’éleveurs aux hôtes venus des quatre coins de la planète.
Mobutu adore le culte de la personnalité, son idéologie le mobutisme, l’authenticité sont chantés, vantés à longueur de journées sur les médias. Il est le bienfaiteur, le pacificateur, l’unificateur. Tout le bien qu’on ne peut trouver en un être de chair. Les courtisans nombreux assurent le relai de ce bal.
Il est fait Maréchal en 1983, le grade le plus élevé de son armée.
Dénis Sassou -Nguesso lui aussi se fait un personnage des plus généreux, tout est fait à son nom. Une route réhabilitée, une école, maternité, toutes les réfections sont à son honneur comme s’il sortait l’argent de sa poche ou que le Congo était sa propriété.
En 1989 propulsé Général d’armée, le grade le plus élevé de l’armée congolaise jusqu’à ce jour.
Joseph Désiré Mobutu devient Mobutu SESSE SEKO en 1971, Dénis Sassou devient Dénis Sassou-Nguesso en 1973
Titre 3 DES DROITS DE L’HOMME
En 1990 Mobutu est accusé d’avoir commandité l’assassinat d’étudiants jugés frondeurs au campus de l’université de Lubumbashi, une affaire qui fait le tour du monde, un concert de désapprobation secoue la communauté internationale.
Neuf ans plus tard, Dénis Sassou –Nguesso par le truchement de ses collaborateurs immédiats, est au cœur du massacre dit « des disparus du Beach », des ONG de droits de l’homme se mêlent, nul ne peut parier sur le point de chute de cette rocambolesque affaire aux ramifications multiples.
Titre 4 EXTRAVAGANCE
La progéniture Mobutu avait l’aura du père, NIWA fut un moment Président du célèbre groupe musical Zaïko Langa Langa. Kongolo Mobutu alias ‘’SADDAM Hussein‘’ chanté, vanté par bon nombre de musiciens de l’ex Zaire.
Celle de Dénis Sassou -Nguesso connait le même bonheur, les musiciens de deux rives abordent des louanges suscitant une sévère aversion de ceux qui n’approuvent pas ce genre de flatterie, apparaissant comme des insultes à la misère qui s’abat sur les populations soumises aux privations diverses.
Titre 5 LE DESTIN DE SASSOU NGUESSO
Les deux hommes ont lié leurs destins dans la pratique du pouvoir absolu, mais Mobutu d’abord surpris par la maladie, la rébellion enfin la mort n’a pas eu le temps de prolonger son bail au sommet du pays. Derrière Dénis Sassou -Nguesso a trouvé des « Sages » dans tout le Congo pour chanter ses louanges, lui réclamer un règne ininterrompu devant micros et caméras.
Curieuse ressemblance pour ces deux hommes qui se vouaient une excellente amitié. Mais un proverbe hérité de nos ancêtres jalousement gravé dans la mémoire de ‘’vrais sages’’ affirme « Les remèdes utilisés pour soigner le lézard, vont servir pour soulager le crocodile » suivez mon regard.
Les chercheurs de notre histoire contemporaine vont s’interroger pour comprendre comment les rives du fleuve aussi majestueux ont-elles abrité ces deux êtres rocambolesques aux sommets des deux états occultant une bonne partie du premier demi-siècle de histoire poste indépendance.
ITOUA-ONDONGO
Sassou est sorcier son regne arrive a la fin;
Le Rapport 2014/15 d’Amnesty International
République du Congo
Chef de l’État et du gouvernement : Denis Sassou-Nguesso
De graves violations des droits humains, y compris des viols et autres violences sexuelles, des arrestations et des placements en détention arbitaires, des recours excessifs à la force, des tortures et d’autres mauvais traitments ont eu lieu, notamment pendant une vague d’expulsions forcées qui a visé des ressortissants de la République démocratique du Congo (RDC). La liberté d’expression, d’association et de réunion était soumise à des restrictions.
DROITS DES RÉFUGIÉS ET DES MIGRANTS
Plus de 179 000 étrangers de RDC, dont des réfugiés et des demandeurs d’asile, ont été renvoyés de force dans le cadre de l’opération policière Mbata ya Mokolo. Certains ressortissants de RDC restés sur le territoire sont entrés dans la clandestinité par peur d’être expulsés. L’opération policière, conduite dans toutes les villes du pays et selon toute apparence pour lutter contre l’immigration irrégulière et la criminalité, visait en particulier les Congolais de RDC.
LIBERTÉ D’EXPRESSION
La liberté d’expression, y compris la liberté de la presse, faisait l’objet de restrictions sévères, notamment au sujet des projets de modification de la Constitution visant à permettre au président Nguesso de briguer un troisième mandat. Des journalistes ont été victimes de manœuvres de harcèlement et d’intimidation de la part de la police et des autorités locales. Craignant pour leur sécurité, les défenseurs des droits humains hésitaient à dénoncer les atteintes aux droits humains impliquant des fonctionnaires haut placés.
Le 26 septembre, le journaliste camerounais Elie Smith a été expulsé du Congo après avoir été accusé par le ministre de l’Intérieur d’« actes et propos séditieux et subversifs » et d’« intelligence avec des puissances étrangères œuvrant contre les intérêts de la République du Congo ». Des organisations locales de défense des droits humains ont soutenu que cette expulsion avait un caractère politique.
Le 23 septembre, la journaliste indépendante Sadio Kanté a dû quitter le Congo après avoir été accusée, entre autres, de séjour illégal dans le pays. Elle a réfuté l’ensemble des allégations prononcées à son encontre.
LIBERTÉ DE RÉUNION
La liberté de réunion pacifique, en particulier pour les syndicats et les opposants politiques supposés ou déclarés du gouvernement, a fait l’objet de sévères restrictions pendant l’année.
Le 4 novembre, une réunion politique organisée à Brazzaville, au domicile de Clément Mierassa, l’un des chefs de l’opposition et président du Parti social-démocrate congolais, a été dispersée lors d’une descente de police. Des témoins ont déclaré que certains participants avaient été frappés. La police a procédé à une trentaine d’arrestations.
ARRESTATIONS ET DÉTENTIONS ARBITRAIRES
Plusieurs cas d’arrestations et de placements en détention arbitraires ont été signalés en marge de l’opération Mbata ya Mokolo qui ciblait les Congolais de RDC, y compris des réfugiés et des demandeurs d’asile résidant légalement au Congo. Des membres des partis d’opposition, des syndicalistes et leurs proches ont souvent fait l’objet d’arrestations et de placements en détention arbitraires.
Le 4 janvier, la police a interpellé Tamba Kenge Sandrine et ses quatre enfants. Ils ont tous été libérés le jour même sans inculpation. Le policier était venu arrêter Kouka Fidele en raison de ses activités syndicales, mais a interpellé à sa place son épouse et ses enfants. Craignant d’être placé en détention, Kouka Fidele a passé plusieurs mois dans la clandestinité.
Jean-Bernard Bossomba « Saio », un réfugié de RDC, a été arrêté le 22 mai et détenu dans les locaux de la police nationale de Brazzaville jusqu’au 22 juillet. Aucune charge officielle n’a été retenue contre lui. Cet ex-membre de l’armée de RDC a déclaré qu’il craignait pour sa sécurité s’il était renvoyé dans son pays.
VIOLENCES FAITES AUX FEMMES ET AUX FILLES
En septembre, Amnesty International a reçu des informations indiquant que des policiers congolais violaient des femmes, y compris des réfugiées et des demandeuses d’asile. À la fin de l’année, les autorités ne semblaient avoir pris aucune mesure pour enquêter sur ces allégations.
Une petite fille de cinq ans a été violée, apparemment par des policiers ; ses proches ont rapporté que des fonctionnaires l’avaient enlevée de chez elle, à Brazzaville, au milieu de la nuit, emmenant avec eux d’autres membres de la famille. La fillette a d’abord été séparée du groupe, puis toutes les personnes enlevées ont été contraintes de monter à bord d’un ferry en partance pour Kinshasa, en RDC. À son arrivée à Kinshasa, l’enfant a été conduite à l’hôpital, où le viol a été confirmé. En septembre, des chercheurs d’Amnesty International ont adressé la petite fille à un centre médical spécialisé pour qu’elle bénéficie de soins et d’un accompagnement psychologique supplémentaires.
IMPUNITÉ
Des policiers soupçonnés d’avoir commis de graves violations des droits humains ont continué de jouir de l’impunité. Des soldats congolais accusés d’avoir gravement attenté aux droits humains, y compris d’être responsables de disparitions forcées alors qu’ils faisaient partie des forces régionales de maintien de la paix en République centrafricaine, n’ont été visés par aucune enquête.
En mai, les autorités ont annoncé que 18 policiers impliqués dans des violations des droits humains perpétrées pendant l’opération Mbata ya Mokolo avaient été suspendus de leurs fonctions. Il n’a pas été possible de déterminer clairement si la mesure de suspension était toujours en vigueur à la fin de l’année ni si une enquête avait été diligentée pour établir la responsabilité de ces policiers.
En juin, l’Union africaine a déclaré qu’elle allait ouvrir une enquête sur les accusations portées contre des membres congolais de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA), soupçonnés d’être impliqués dans la disparition forcée, le 24 mars, d’au moins 11 personnes en République centrafricaine. À la fin de l’année, aucune enquête ne semblait toutefois avoir démarré.
VOICI LE PLAN CACHE DE DENIS SASSOU NGUESSO A ÉTÉ RÉVÉLÉ PAR UNE SOURCE FIABLE..
1- L’Organisation du dialogue politique a pour but la mise en place d’une transition d’un an entre le 14 Août 2016 et le 14 Août 2017.
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2- Au cours de cette période de transition, Sassou Nguesso nommera un premier Ministre issu de l’opposition et de nombreux opposants entreront au gouvernement.
3-Sassou Nguesso décidera de la modification constitutionnelle au mois de mai 2017 juste après l’élection à la Présidence française de Nicolas Sarkozy (ou d’un candidat de la droite française). Sassou Nguesso considère Nicolas Sarkozy comme son meilleur soutien.
4- Après l’élection de Nicolas Sarkozy (ou d’un candidat de droite) en mai 2017, un référendum constitutionnel couplé avec l’élection présidentielle sera organisé au plus tard le 15 Août 2017 ( fête de l’indépendance) pour permettre à Sassou Nguesso d’effectuer un troisième mandat de 7 ans (jusqu’en 2024).
Source fiable.
POURSUITE DES MBOCHIOSITÉS*** AÉRIENNES D’ÉCAIR: L’ÉCONOMISTE AU RABAIS OSSO MET LE CAP SUR BEYROUTH LE 2 JUIN
Alors que la COTE D’IVOIRE vient d’obtenir sa CERTIFICATION SÉCURITÉ FAA & Agence Nationale de la Sécurité des Transports, pour desservir le territoire Nord Américain et que les gestionnaires d’Air Ivoire trouvent que la ligne n’est pas rentable pour le moment, OSSO L’Économiste au rabais de SASSOU, qui rêve encore d’aller à Cuba en DREAMLINER aménagé VIP, va à la Conquête du Liban. J’espère qu’HODJEIJ est au courant pour en faire sa proie…
SA SCÉLÉRATESSE SINISTRE D’ÉTAT CANICHE ADADA se pointera une fois de plus à l’aéroport pour lever la patte! …
Un autre constipé intellectuel dit »Économiste de l’aviation civile » sic (Ca n’existe pas!) en réalité Appelé Volontaire Collège dit CONSEILLER AVC NGOYO se chargera du KIA NGAI EWOH! Fais-moi l’affaire! Un YEZATIQUE pour représenter le Congo sans maitriser le domaine technique concerné et sans références.
N’IMPORTE QUOI! Et l’intérêt général dans tout ca!
***MBOCHIOSITÉS: Œuvre monstrueuse conçue, développée et exploitée en milieu clos ou hyper tribal Mbochi, en général projet économique ou action politique nuisant fortement à l’intérêt public.
Quand on insulte les Mbochis et Batékés ça passe. Quand on touche aux laris et autres, on supprime. Vive la démocratie à la sauce Kongolaise; Moi je rentre rencontrer le président. Nous aussi on est de la diaspora.
Chers compatriotes de la diaspora , n’ayant plus peur de sassou ! Les jeunes ont montré hier à l’éternel Ambassadeur Lopez ! Ne lâchons plus rien ! Ndengué , olléssongo, OBara , Mouani , Itoua Poto , okemba Jean Dominique , kiki sassou , Claudia sassou , Antoinnette sassou , Jean. Jacques Bouya ,ces criminels sont tous domiciliées en France . Notre libération est très proche ! Surtout Rétablir notre République du Congo .
En 1968, le Président Alphonse Massamba Débat est renversé. Marien Ngouabi nomme Félix Mouzabakani aux fonctions de ministre de l’intérieur. Très vite, il va subir les assauts paranoïaques du jeune pseudo officier Sassou Nguesso en faisant des fiches contre lui.
Bientôt Félix Mouzabakani sera arrêté. Comme chef d’accusation, « il voulait renversé le pouvoir ». Ce qui sera le fond de commerce de Sassou Nguesso, tout le temps qu’il est resté à la direction de la sécurité d’état.
C’est sassou Nguesso qui, le premier à demander à Marien Ngouabi (naïf au départ de l’affaire), la tête de Félix Mouzabakani. Mais il eut la vie sauve grâce à la clairvoyance du Président Marien Ngouabi, l’humaniste enroulé dans la violence par Sassou.
Il ne céda pas aux sirènes de l’homme qui veut déjà son premier crime politique, le Président Marien Ngouabi ne lui laissa pas l’occasion.
La même année, Bernard Kolélas alors opposant fieffé contre le socialisme, débarque à Brazzaville armes et bagages pour mettre fin à une idéologie qui n’a apporté que malheur dans chaque pays où l’on l’a pratiqué. Son coup de force est mort né.
Attrapé, il est humilié, exposé au stade Éboué où il subit la furia d’un monde déchainé et chauffé à bloc. Il est battu comme une bette, j’y ai été. A la tête de ceux qui demandaient sa tête, il y a en premier lieu le sous-lieutenant Sassou Nguesso (voir en photo dans les archives). Il sera intraitable. Il veut qu’on lui livre Bernard Kolélas pour faire ses méchouis.
Mais encore une fois, le Président Marien Ngouabi ne céda pas. Il déclara en substance: » je préfère avoir un homme comme Bernard Kolélas opposant. On sait ce qu’il est est et ce qu’il veut . Mais pas comme les autres qui vous disent que vous êtes son camarade, alors qu’au fond, ils vous déteste ». C’était prémonitoire.
En 1970, l’assassinat du lieutenant Kingaga: le premier crime politique de sassou
En 1973, l’assassinat de Ange Diawara: le deuxième crime politique de sassou et jamais 2 sans 3 (l’assasinat de Marien Ngouabi), jamais 3 sans 4 (l’assassinat de Massamba Débat), jamais 4 sans 5 (l’assassinat du cardinal Émile Biayenda) et jamais n sans n+1 (n= nombre de victimes, de témoins gênants, de concurrents ou d’adversaires politiques de ce monstre de Sassou).
Sassou assassin,
Sassou est tueur né,
Sassou est tueur en série,
Sassou es l’incarnation de la traitrise,
Sassou est l’incarnation du mal,
Sassou est l’incarnation des crimes de sang politique de ses 45 dernières années au Congo.
Le moment venu, nous saurez comment le punir durement, très durement sans scrupule. Qu’il continue à jouer au Président avec ses enfants et petits enfants. Ces victimes auraient eux aussi souhaiter voir leurs parents et grands parents vivant.
Justice sera rendu aux victimes de sassou
Pendant que nous nous contentons de poster les commentaires en ligne, moins de 10% de ceux qui ont déjà rencontré le président de la République s’oppose au changement de la constitution de 2002.
Donc il faut faire du concret avant que le sujet échappe définitivement.
Ecair a Dubai et au Liban pas étonnant ces coins du monde sont les endroits ou la caste au pouvoir depense et cache l’argent du peuple Congolais.Il faut vaut vite donner un coup de pied a ce système diabolique et les fusiller tous,je dis bien tous son concepteur,sa cours,les courtisants et les porteurs d’eau au système.Faire passer tous par les armes
c est trop bet