Peuple Congolais,
Chers(es) Citoyennes, Citoyens et amis du Congo Brazzaville.
Les Assises Nationales du Congo s’associent à l’initiative et à la dynamique de rassemblement des Forces Vives du Congo, partis, mouvements politiques, des plateformes et organisations de la société civile ainsi que des personnalités, tous opposés au changement de la constitution du 20 janvier 2002, conformément à leurs déclarations successives du 09 et du 15 janvier 2015 à Brazzaville.
Les Assises Nationales du Congo appellent tous les démocrates et patriotes congolais, quelques soient leurs appartenances, soucieux de la cause du peuple et qui refusent la dérive nationale du fait d’un « homme » et son clan, de rejoindre massivement le Front uni des Forces vives nationales.
Le regroupement de toutes les forces patriotiques et démocratiques du Congo est une étape salutaire qui conforte la vision fondatrice et le combat des « Assises Nationales du Congo pour l’alternance démocratique ».
Dans ce combat pour la dignité du peuple congolais, les Assises Nationales du Congo se sont données, dès le départ, la mission historique de régénérer les lumières congolaises contre l’autocratie et la barbarie du régime d’exception qui divise la Nation congolaise. Ces idées essentielles concernant la méthodologie et la finalité de la lutte au Congo sont de plus en plus partagées par les congolais et les amis du Congo.
Par ailleurs, cette légitime revendication d’une alternance démocratique véritable et sans équivoque au Congo Brazzaville au plus tard en août 2016, trouve désormais sa résonnance dans les nombreuses prises de position de nombreuses autorités de la communauté internationale, tout comme elle s’exprime à travers les mémorables soubresauts au Burkina-Faso et en République Démocratique du Congo. Ces évolutions récentes témoignent, encore plus, du caractère non négociable du respect de l’ordre constitutionnel et de l’irréversibilité de la marche vers la démocratie.
En ces débuts de l’année 2015, la dynamique de mobilisation des Forces vives nationales, de l’intérieur et de l’extérieur du Congo, s’engage dans une nouvelle dimension, celle de la constitution d’un socle de libération nationale et patriotique légitime pour une fin inexpiable du régime d’exception instaurée au Congo depuis octobre 1997 par Monsieur Sassou Nguesso et son clan.
Les Assises Nationales du Congo, plateforme associative réunissant plus de 38 associations et individualités de la diaspora, ont toujours été préoccupées par le renforcement du rapport des forces en faveur d’un changement intégral de la situation politique au Congo.
C’est pourquoi, en tant que signataires de la déclaration du 15 janvier 2015, les Assises Nationales du Congo réaffirment leur engagement dans la consolidation du large Front Uni contre la violation de l’ordre constitutionnel actuel.
Les Assises Nationales du Congo réitèrent leurs positions de principe à savoir :
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Le « Non » ferme et radical au changement de la constitution du 20 janvier 2002, à la veille du second et dernier mandat de l’actuel Président de la république ;
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Le « Non » au système électoral en vigueur qui implique le rejet total des résultats du recensement administratif spécial de 2013 et l’exigence d’un fichier électoral répondant aux normes internationales de transparence ;
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Le « Non » ferme à l’organisation d’élections d’une part, sans une Commission Électorale Nationale Indépendante dûment accrédités par toutes les parties prenantes à savoir : les partis politiques et la société civile, sous l’égide de la communauté internationale et, d’autre part, sans l’existence préalable d’un dispositif viable de sécurité, d’une justice équitable et d’une administration territoriale républicaine;
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Le rejet de toute forme de transition avant la fin du mandat Président actuel et le refus catégorique de toute participation à un quelconque gouvernement d’union nationale sous la présidence du Général Sassou Nguesso ;
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Le « Non » à tout dialogue organisé par le régime du Général Sassou Nguesso
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L’exigence, en cas de nécessité, de pourparlers sous l’égide de la Communauté Internationale en vue de l’organisation d’un processus électoral juste et équitable destiné à refonder la république au plus tard en 2016.
En tout état de cause, les Assises Nationales du Congo soulignent la nécessité historique d’un changement qualitatif basé sur la promotion et le respect des valeurs morales et politiques, conditions inaliénables de la restauration de la démocratie tel qu’attendue par le peuple congolais.
Ainsi entendu, les Assises Nationales du Congo exhortent toutes les parties prenantes, à tirer des leçons des trahisons multiples et des compromissions répétées qui ont tant ruiné l’espoir du peuple congolais. Elles les invitent à taire leurs egos et à privilégier l’unité d’action des Forces Vives de la Nation, tout en combattant l’opportunisme.
En ce qui les concerne, les Assises Nationales du Congo prendront toute leur part dans la mobilisation de la communauté internationale et des forces vives intérieures et extérieures ainsi que les partenaires du Congo.
Dans cette perspective,
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Les Assises Nationales du Congo poursuivront inlassablement leurs efforts auprès de la communauté internationale comme en témoignent les relations établies avec les décideurs des États-Unis d’Amérique, de la France et d’autres pays du monde ;
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Les Assises Nationales du Congo poursuivront également l’œuvre de sensibilisation des autorités morales et religieuses, ainsi que de tous les acteurs économiques;
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Les Assises Nationales du Congo organiseront et soutiendront toutes les actions de mutualisation et de sensibilisation des Diasporas d’Europe, des Amériques et d’Afrique afin que les congolais de l’étranger participent activement à l’œuvre du changement qualitatif qui s’amorce au Congo.
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Les Assises Nationales du Congo invitent la force publique de se mettre du coté du peuple et à aller dans le sens de l’histoire. Car, comme le précise le Message de Noël des Evêques du Congo, publié le 08 décembre 2014 à son endroit :
« Nous en appelons donc à votre haute conscience du devoir ; vous êtes la force publique, garante de la sécurité de la Nation. Nous osons donc espérer que vous ne ménagerez aucun effort, en cette période où notre pays se trouve à nouveau dans une phase déterminante de sa jeune démocratie, pour préserver la justice, la vérité, la paix et l’unité nationale ».
En dépit de tout, il est aujourd’hui manifeste que l’actuel chef de l’Etat, le Général Denis Sassou Nguesso prépare, à l’horizon 2016, un conflit armé majeur dans notre pays, la république du Congo, à la seule fin de conservation du pouvoir et en violation des dispositions constitutionnelles.
Cloitré dans son mépris de la démocratie, le régime autocratique de Brazzaville s’illustre dans l’arbitraire sécuritaire et dans le terrorisme d’Etat contre les populations désabusées, notamment les plus jeunes, aux seuls torts de l’exercice libre et pacifique de leur droit d’expression ainsi que de leur droit de revendiquer des nouvelles conditions d’existence pour leur avenir.
Les Assises Nationales du Congo, rappellent à l’opinion nationale et internationale que « le mépris des droits humains est la cause principale des malheurs des peuples ».
Les Forces Vives du Congo se battent et se battront aux côtés du peuple congolais pour la restauration de la démocratie et pour l’échec du projet de « présidence à vie » que nourrit le Général Sassou Nguesso.
Les Assises Nationales du Congo invitent les partenaires bilatéraux et multilatéraux de la République du Congo à envisager, à titre dissuasif, toutes les mesures contraignantes et conservatoires nécessaires, tel le blocage des avoirs, contre les donneurs d’ordres et les dignitaires du pouvoir du Général Denis Sassou Nguesso.
Que finisse à jamais, le régime d’exception de Monsieur Sassou Nguesso, maintenant, sinon au plus tard en août 2016 !
Congolaises et congolais de l’intérieur, de l’extérieur, agissons ensemble dans l’unité et la république pour la restauration de la démocratie dans notre beau pays !
Vive le Congo !
Fait à Paris, le 01 février 2015.
La Coordination Générale des Assises Nationales du Congo
Bien, bien et encore bien!!!!
Le peuple vous attend au pays et ce n’est pas les USA ni la France, ni la communauté internationale qui vote ou se sentirait concernée par le sort des congolais… Le calvaire dure depuis… 1997!
En face, en RDC, des millions de morts et où est votre communauté internationale??? kabila comme sassou, comme biya, comme obiang, comme dos santos, comme idriss déby, ne tripatouillent-ils pas assez les élections depuis des décennies?
En fait, le syndicat des dictateurs africains connu sous le nom de UA, vient de mettre à sa tête un dictateur, certes père de l’indépendance du Zimbabwe, et autocrate nommé Mugabe!
Maintenant, assez de discours, venez tous au pays pour commencer l’obéissance civile que vous appelez de vos voeux!
Car pas question que nous servons de chair à balles et à canons pour que vous veniez occuper les postes et la présidence.
pour commencer la désobéissance civile, il fallait entendre.
un dialogue national pourra arranger les choses dans notre pays,que le président sassou sort de son mutisme,il est le garant des institutions?
Comment garantir l’état de droit grâce aux institutions ?
L’état est-il un état d’esprit individuel et collectif? Un état peut-il fonctionner sans règles, ni loi et règlements respecté par le citoyen et respectant les droits fondamentaux de celui-ci?
Dans tous les cas, une maison quelle-qu’elle soit ne peut être construite sans socle, ni fondation et même sans structure architecturale – Sinon, elle s’écroulerait dans le temps comme un château de cartes. https://www.youtube.com/watch?v=h6lFleEN7SY
Cher Makita, Je ne pense pas qu’il soit judicieux d’entreprendre le dialogue avec un imposteur sinon un usurpateur doublé d’un tyran qui, non seulement a fait son temps, mais brillé par une incompétence congénitale notoire quand à la gestion de la chose publique. Le moins que l’on puisse dire c’est que de cette mégestion découle un bilan calamiteux sinon catastrophique. Il n’est plus à démontrer que nous avons affaire à un régime corrompu et corruptible et nous savons tous que le PCT n’a jamais été un parti républicain encore moins démocratique. Comment peut-il en être autrement quand on sait qu’ils ont toujours envisagé une méthode machiavélique pour s’accaparer du pouoirr à savoir : « le pouvoir au bout du fusil ». A cela s’ajoute le fait qu’ils se sont illustrés en confisquant le pouvoir par des moyens anti démocatiques. Ce régime nous a fait perdre trop de temps et de précieux moyens financiers qui auraient permis d’améliorer les conditions de vie des citoyens et d’impulser un véritable développement socio-économique. Pour ce faire, Si dialogue il y a, il se fera sans Sassou Nguesso et surviendra après le départ son départ du pouvoir. Les forces vives de la nations, la société civile et tous les appareils politiques se retrouverons lors d’un dialogue national inclusif pour des états généraux de la nation, redessiner les contours de la nouvelle République et poser des règles idoines en vue de l’alternance politique.
À René MAVOUNGOU PAMBOU
Frère.
Vous dites dialogue national inclusif?
Vraiment?
Que faire des trois partis qui ont disposé des milices qui ont tué nos compatriotes innocents?
Peut-on construire un pays avec pour fondation l’impunité? Je doute fort! Cela ne fera que rendre les rancunes encore plus tenaces.
Oui, oui, et encore oui au dialogue national! Cela ne doit pas être synonyme d’impunité pour ne pas dire d’un déni de justice.
La vie humaine est sacrée et supérieure à toutes constitutions.
Oui, au dialogue national, à l’exclusion de ceux qui ont été des chefs de guerre, dirigé des milices, membres des milices, etc.
À cette liste, il faut ajouter tous les hauts fonctionnaires, membres des gouvernements et élus qui n’ont jamais respecté l’article 48 de la constitution au rabais qui stipule que toutes ces sommités doivent déclarer leurs patrimoines avant et après la prise de leurs fonctions, sous peine de déchéance.
On ne reconstruit pas un pays avec des criminels et des voleurs.
Les chefs de guerres et kleptomanes sont maires, délégués, conseillers, membres du gouvernement, députés et… Président. Voilà le vrai drame du Congo.
Au frère Réné MAVOUNGOU,
Notre malheur vient de la non application des recommendations de la Conférence Nationale au point de nous retrouver avec les mêmes aujourd’hui , avec un même parti unique le PCT à qui l’on n’a laissé tous les biens de l’état dans ses mains. Pendant que les autres partis achètent leur terrains pour construire leur siège, la conférence nationale à laisser au PCT les terrains qu’il occupait alors seul parti unique avant la conférence nationale. La congolaise est sur un terrain de l’état, de quel droit le PCT construit son siège sur ce terrain bien de tous les congolais.
Tous les tueurs d’avant la conférence nationale, des guerres de 1997 1998 1999, du 4 mars du beach sont au pouvoir et s’arment à longueur de journée pour tuer encore en 2016
Mon cher M’Foa, chercher des soutiens extérieurs en plaidant le problème Congolais auprès de la communauté internationale, comme le font activement les Assises, ne peut être une action vaine comme vous semblez le dire.
Tous les dictateurs dont vous avez fait état, sont soutenus d’une certaine manière par quelques lobbies. L’intervention de la communauté internationale pour le cas du Congo ne serait pas une mauvaise chose dans le cadre du renversement de rapports de forces. Nous savons tous que Sassou avait pris le pouvoir avec l’aide de Chirac (France) qui a beaucoup pesé sur l’implication du Gabon, par où passaient les armes du coup de force et sur l’implication déterminante de l’Angola. Si de la même façon, l’armée Angolaise débarque à Brazza, pour une raison ou pour une autre, je ne vois pas que le pouvoir en place résistera.
Dites moi, aujourd’hui si Sassou se retirait, pensez vous vraiment, qu’une alternative digne de ce nom se fera à Brazza? Vous convenez avec moi, qu’on déshabillera Pierre pour habiller Paul car les gens qui ont détourné des milliards de l’argent public vont le déverser pour acheter les voix de nos populations habituées depuis dans ce marchandage car 17 ans de règne absolu avec une aussi rare perversion de mentalités sont bien passés par là…
Je plaide plutôt pour une mise à plat totale des institutions d’exception pour espérer refonder la République.
À Jules Placide Ubert Ondongo.
Frère.
Nous disons la même chose dans le fond.
Cependant, vous conviendrez avec moi que des assises nationales mais à « l’extérieur » équivaut à demander à ceux qui sont sur place de servir de chair à canons pour que les « planqués » en Occident viennent voler la révolution du peuple.
Au demeurant, vous relevez avec perspicacité l’implication de la France. Pensez-vous que la France qui a fait livrer les armes à sassou et à Lissouba n’ait plus d’intérêt au Congo?
La manipulation des hommes politiques africains n’est pas prêté de prendre fin de si tôt.
La mise à plat totale des institutions n’appelle t-elle pas aussi la remise en question des hommes?
La meilleure constitution au monde ne nous servira à rien tant que nous ne serons pas une grande nation, c’est à dire, un peuple avec des femmes et des hommes qui respectent les lois qu’ils s’assignent.
Aux girouettes des assises, arrêter. un coup vous dialoguez avec le Pct dans les débats futiles, d’ autres part vous clamez tout haut pas de dialogue avec le Pct, a la fin un seul qualificatif bande d’hypocrites tribalistes prostitués.
Les errements,les turpitudes et l’escroqurie politique que nous redoutions depuis la préparation des « Assises Nationales » émergent lentement et sûrement des eaux troubles du milieu politicien Congolais de France,plus exactement de la place de Paris pleine de marchands d’illusions et de roublards de haut vol.Stop! au voyeurisme politique,réorientons autrement les Assises.
Je dis bien:escroquerie politique.
Retenons bien : Mr Manona est un Eminent membre des « Assises nationales » qui sonne là, comme unTocsin pour que cessent la cacophonie,la supercherie et le désordre au sein de notre plateforme qui pourtant, se voulait dynamique et visionnaire.Il est grand temps de produire un rapport d’étape pour une auto-évaluation de nos actions.Le recuser malicieusement comme cela s’est produit dimanche dernier,nous conduirait vers une impasse politique qui consacrerait le règne des truands au service du système tentaculaire et odieux de Brazzaville qui les manipule..A bon entendeur,salut!
Ceux qui sont pour les assises sont pour SASSOU. Et on ne vous suivra pas. Le mamndat de SASSOU prend fin en 2016. Il a fait son temps.
On a simplement besoin d’une élection transparente et libre. Pourquoi n’avez vous pas initié un dialogue en milieu de mandat du dictateur?
Je demande comme le 31/01/2015 d’être massivement dans la rue si ce dialogue est initié.
Il n’a pour but que de détourner l’opinion congolaise du véritable problème: Le départ de SASSOU est ses partisans.
Quel est le but de ce dialogue?
Quel est l’ordre du jour?
SASSOU donnera des millions à chaque participant et après?
Croyez-vous que les congolais vont fermer les yeux après ce dialogue?
Non! Arrêtons de tergiverser et de perdre du temps et allons à l’essentiel : Commission electorale indépendante et révision de la liste électorale.
Voilà le vrai et unique débat.
Ahhhh la jeunesse congolaise! La critique est facile chez vous. Croyez-vous que les membres des Assises qui se batten pour faire partir petit Satan le font seulement pour vouloir prendre sa place? Il nous faut élever le niveau du débat. Aux Assises, vous devez le savoir que ses animateurs se sacrifient sur plusieurs fronts pour le bien de tous avant de penser d’abord à leurs carrières politiques. Je ne sais pas combien de Congolais pourraient se sacrifier financièrement et sur le plan familial pour sortir notre pays de l’obscurantisme dans lequel petit Satan l’a plongé depuis son retour aux affaires par coup d’état.
Nous devons être très de nos compatriotes des Assises qui se batten pour tous et produisent des résultats que chacun peut mesurer à sa juste valeur comme l’atteste le recent voyage que vient d’effectuer à Brazzaville La directrice Afrique centrale du département d’Etat. Cette visite de la diplomate US intervient seulement quelques jours après celui effectué par Maleka et Dzaba aux USA où ils furent reçus par deux sous-secrétaires adjoints du Département d’État des USA.
Quel autre résultat voulez-vous que les Assises vous montrent pour être convaincus que ces compatriotes oeuvrent pour le bien de tous? Ohh, on ne peut mettre fin à la klepto-dictature de petit Satan en étant à l’étranger. Alors, comment expliquez-vous ce voyage de Mme Meyer au Congo?
En France, nous apprenons qu’une offensive policière et judiciaire est en cours depuis quelques jours dans l’affaire des biens mal acquis par petit Satan et son fan club. Croyez-vous que c’est un pur hasard? Lisez bien le communiqué des Assises où il est question du gel des avoirs de petit Satan et des membres de son fan club.
Ahhh les Congolais, sachons reconnaître à sa juste valeur le travail d’Autrui pour le bien-être de tous. Aussi, arrêtons d’opposer les Assises aux Congolais du pays. Le coup de pouce que Mme Meyer est allé donné aux Congolais sur place est, entre autres, le fruit du travail des Assises qui furent reçus par des très Hauts Fonctionnaires du Département d’État au mois de janvier dernier. Dans les mois à venir d’autres initiatives des Assises se concrétiseront pour rendre groge à ce voyou de kleptomane sanguinaire.
Sachez qu’un seul doit ne peut laver tout le visage.Chaque doigt a un role à jouer. Aussi, les Congolais de l’intérieur ont un role à jouer tout comme ceux de la Diaspora. Et toute aide venant de l’extérieure est bonne à prendre comme nous le prouve l’aide que l’Angola venait d’apporter à nos frères et soeurs de RDC dans leur bataille contre Kabila qui veut s’éterniser au pouvoir comme petit Satan. Plusieurs d’entre nous croient à tort que Kabila a plié seulement à cause de la pression de la rue. Oui, il y a eu la pression de larue kinoise, mais elle n’était pas déterminante dans le choix de Kabila de ne pas modifier leur constitution. José Edouardo Dos Santos était mandaté par les USA pour aller dire ses 4 vérités à Kabila sur son projet fou de vouloir modifier leur constitution. D’où son récent voyage à Kinshasa du 20 janvier 2015 au moment où le peuple battait le pavé contre le projet de modification de la constitution de la RDC. C’est en pleine crise que Dos Santos fit ce voyage.
N’oublions pas d’intégrer le fait extérieur dans notre lutte de libération nationale. Je suis heureux qu’enfin les Assises aient compris le sens de la lutte de liberation que je donnais à notre combat contre petit Satan. Il nous faut libérer ce pays de cette peste. Et dans toute lutte deliberation, certes il faut compter sur ses propres efforts, mais l’aide extérieure est aussi indispensable. C’est ce que la lutte des mouvements de libération en Afrique, en Amérique Latine et en Asie nous ont montré. Les angolais avaient pris les armes contre l’occupant portugais; mais les bases arrières du Congo étaient indispensables pour leur lutte de libération. Jamais les angolais restés en Angola n’avaient accusé ceux luttant à partir du Congo ou de la Zambie de se servir d’eux comme des chairs à canon. Comme nous l’enseigne l’économie, il y a une division du travail. Chacun contribue à sa façon et selon ses moyens à la construction de l’édifice national.
Les Etats-Unis pour l’alternance démocratique au Congo (Agence Afrique 06/02/15) –
La directrice Afrique centrale du département d’Etat a dans un échange avec la presse mercredi à Brazzaville demandé que les autorités congolaises ne changent pas la constitution. Dr Robin D. Meyer a expliqué que les changements de constitution aux fins de favoriser le président sortant créent l’instabilité politique et fragilisent les institutions. « Par expérience des Américains, je ne conseille pas aux autorités de changer la constitution. Les efforts des Etats-Unis c’est de dissuader les pays qui veulent faire cela », a dit Mme Meyer en visite à Brazzaville. La diplomate américaine a estimé que le Congo était à un moment important de son histoire et que « les autorités devraient saisir cette opportunité pour favoriser l’alternance démocratique dans le pays ». Elle reconnaît cependant la possibilité au Congo de « changer légalement et démocratiquement sa constitution » dans le but de moderniser le système de gouvernance du pays. Depuis 2014, le débat sur le changement ou non de la constitution congolaise emballe les états-majors politiques. Plusieurs opposants pensent que si le président Denis Sassou Nguesso arrivait à faire passer cette réforme, il pourra se représenter aux prochaines élections de 2016, ce que ne lui permet pas l’actuelle constitution. – See more at: http://fr.africatime.com/congo/articles/les-etats-unis-pour-lalternance-democratique-au-congo#sthash.2elua2UP.dpuf
Nassimina Mêrii n’a pas le courage d’assumer ses opinions pour la simple raison qu’il parle comme un anonyme alors qu’il est reconnu comme un officier égaré qui fréquente les politicards congolais qui accompagnent El diablo Sassou .tout ce que nassimina mêrii raconte,est mensonge et diversion.son petit groupe d’amuseurs publics est connu depuis.Ils rentreront bientôt à brazzaville sous la pression de leurs mentors du PCT comme cela l’a été pour ceux du fameux Front en 2000.Personne ne vous prend au sérieux puisque vous êtes identifiés comme des marionnettes du pouvoir de Brazzaville.Vous serez bientôt confondus.