Il n’est guère judicieux d’entreprendre le dialogue avec un imposteur sinon un usurpateur doublé d’un tyran qui, non seulement a fait son temps, mais brillé par une incompétence congénitale notoire quant à la gestion de la chose publique. Le moins que l’on puisse dire c’est que de cette mégestion découle un bilan calamiteux sinon catastrophique. Il n’est plus à démontrer que nous avons à faire à un régime corrompu et corruptible. Il est de notoriété publique que le PCT n’a jamais été un parti républicain encore moins démocratique. En effet, le PCT a été pendant longtemps un parti-Etat qui ne s’est jamais reformé. Comment peut-il en être autrement quand on sait qu’ils ont toujours envisagé une méthode machiavélique et anachronique pour s’accaparer du pouvoir à savoir : « le pouvoir au bout du fusil ». A cela s’ajoute le fait qu’ils se sont illustrés en confisquant le pouvoir par des moyens anti démocratiques.
Depuis des décennies, ce parti de mythomanes pathologiques n’a cessé de manipuler les esprits et de rouler le monde dans la farine, avec une litanie de slogans populistes ayant la vertu d’être creux ; et dont le plus emblématique dès sa genèse est le fameux « tout pour le peuple, rien que pour le peuple. » Pour ce faire, le PCT, présumé parti de gauche s’est illustré par une viscérale incapacité à promouvoir la justice sociale et l’égalité des chances par une politique de redistribution des richesses nationales. Promouvoir la justice sociale et l’égalité des chances, c’est permettre à tout citoyen, quels que soient son origine sociale, son lieu de naissance, ses convictions religieuses ou philosophiques, son âge, son sexe de trouver sa place dans la société. Mais on est réduit à constater qu’ils n’ont jamais promu l’Etat de droit, sensé être un vecteur d’égalité et d’équité pouvant permettre à toutes et à tous un meilleur accès aux droits fondamentaux. En effet, dans une République égalitaire, prônant la justice sociale, personne ne devait être exclu de la société, chacun devait donc pouvoir y trouver sa place.
On ne saurait donc indéfiniment transiger avec un régime incarnant la dictature, la tyrannie et l’oppression. Le PCT est manifestement un parti du passé, complètement sclérosé, ayant non seulement sabordé le précieux héritage socio-économique de Massamba Débat, mais ce régime nous a fait perdre trop de temps et d’importants moyens financiers qui auraient permis d’améliorer de manière significative les conditions de vie des citoyens et d’impulser une véritable dynamique de développement socio-économique. Ils se sont également illustrés en imposant la misère et le malheur au peuple, plutôt que de lui offrir le bien-être et le bonheur. Ce qui est surprenant et navrant c’est le fait qu’ils ont allègrement détruit un tissu industriel aussi conséquent sans que personne ne réponde devant la justice. A l’évidence, nous avons affaire à un ramassis de criminels quand ce n’est un syndicat du crime organisé, ponctué non seulement d’une omerta, mais s’étant arrogé une impunité de fait. Il ne saurait en être autrement quand on sait que depuis longtemps ils planifient la mort, commettent des crimes tant humains qu’économiques sans qu’aucun d’eux ne soit jamais inquiété ni condamné par la justice. Après plus de 45 ans de gouvernance, cet abominable régime a lamentablement précipité notre pays dans un chaos inouï.
A cet effet, l’ancien premier ministre Alphonse Souchlaty Poaty, ayant connu le système de l’intérieur et victime miraculé d’un acharnement d’actes attentatoires à sa vie de la part de la fripouille félonne et criminogène, apporte sa part de vérité sur la violence politique et l’intolérance incarnées par Sassou Nguesso. En fait, il n’y va pas de main morte quand, dans une salve sulfureuse et sans complaisance, il affirme : “Tel est pris qui croyait prendre, dit le dicton populaire. Il veut changer une Constitution qui lui a tout permis : un pouvoir sans partage et sans contrepoids parlementaire, judiciaire, administratif, politique et sociétal ; un usage abusif des forces armées et de la police ; une utilisation personnelle et discrétionnaire des finances publiques ; une propension au mensonge et à la fraude électorale ; des actes prémédités de torture, d’empoisonnement et d’assassinat ciblés ; bref, une gestion crapuleuse, calamiteuse et clanique de l’Etat.”
En l’état actuel des choses, la situation socio-politique étant délétère, avec un homme tombé en disgrâce aux yeux du peuple et qui tient mordicus à se cramponner au pouvoir pour ne pas avoir à répondre de ses multiples crimes. Il n’est donc guère judicieux pour l’opposition ainsi que la société civile de participer à un dialogue initié par le pouvoir. En tout état de cause, il y a lieu de présumer qu’il y a un risque certain de revivre la triste expérience du dialogue national du 17 mars 2001 à Brazzaville ainsi que ceux qui s’en sont suivis à Ewo et Dolisie. A l’évidence ces rencontres n’ont jamais produit des résultats décisifs allant dans le sens de l’intérêt général, tant le peuple en était chaque fois réduit à tirer les marrons du feu, au profit du pouvoir qui en a engrangé tous les bénéfices. Il n’est un secret pour personne que le régime PCT, au mépris des valeurs démocratiques, a la fâcheuse propension d’imposer ses vues. Et quand bien même un consensus aura été dégagé sur des questions données d’intérêt général, les décisions adoptées à l’unanimité sont rarement exécutoires. Il convient donc de ne pas céder à cette énième tentation d’un indécent dialogue attrape-nigaud, afin de se prémunir du traquenard en perspective, de la part d’un régime aux abois voulant jouer son dernier baroud d’honneur. L’opposition, du moins celle qui se veut républicaine, et non l’autre félonne, est donc tenue de mettre un terme définitif à cette paradoxale et contre productive posture consistant à servir de caution à l’imposture.
Au regard de ce qui précède, il y a cependant lieu d’insister sur le fait que le changement devra se faire dans la rupture et non dans la continuité. Il nous faudra donc tirer un trait sur l’ordre ancien ayant prospéré sur les antivaleurs rétrogrades, sans quoi notre pays continuera à sombrer dans le naufrage dans lequel l’a précipité le régime de Sassou Nguesso. Pour ce faire, si dialogue il y a et si modification ou révision de la constitution il y a, ils se feront sans Sassou Nguesso et surviendront après son départ du pouvoir. A cet effet, les forces vives de la nation, la société civile et tous les appareils politiques se retrouveront lors d’un dialogue national inclusif en vue des Etats généraux de la nation, redessiner les contours de la nouvelle République et poser des règles idoines de l’alternance politique, pour ainsi donner une nouvelle impulsion républicaine et démocratique à notre cher et beau pays.
René MAVOUNGOU PAMBOU
Unis Pour le Congo
Secrétaire chargé des questions éducatives et socio-culturelles
Obama quitte le pouvoir le 20 janvier 2017, il n’a pourtant pas demandé le dialogue avec le peuple américain. Alors c’est quoi cette histoire de dialogue en mode régime sassou nguesso?
Ne participez pas à ce dialogue de con ou de diable du peuple congolais.
Il n’y a pas de dialogue national possible avec le tyran ou le diable sassou Nguesso. Sinon les dialogueurs seront aussi fichés comme appartenant à la lignée du diable du Congo. Oui, on ne pactise pas avec le diable, on l’affronte jusqu’à la mort du satan.
Sassou est fini et ne cédez pas ses caprices diaboliques.
Le vrai peuple vous regarde et les traitres seront sévèrement punis – à suivre !
AUX compatriotes
Lorsque le PCT dit que la constitution est dépassée il aussi simple de répondre qu’en fait c’est le PCT qui n’arrive pas à suivre l’ère du temps donc il est dépassé. Le dialogue ne peut avoir lieu c’est vrai quand on pense que la constitution est claire. Une fois le mandat terminé que celui qui est là avec son équipe parte tranquillement et faire la place à l’alternance pour quoi est ce que c’est difficile au PCT de comprendre cela. le pays n’est pas en instabilité et tous les organes fonctionnent.
Anthropologie: le dictateur Denis Sassou Nguesso fait-il parti des mauvais?
Comment reconnaît-on un mauvais?
Le mauvais indique d’abord une mauvaise réputation humaine sur différentes échelles: individuelles, amicales, politiques, amoureuses, professionnelles, locales, nationales, continentales et planétaires.
Il ne vous respecte pas, ni même l’éthique, les principes ou valeurs morales et encore moins la communauté, la société et ou la civilisation. Il ne vous inspire pas confiance !
Le mauvais indique le déclin comportemental de l’individu, la perte ou déni des droits d’autrui, la primauté des attitudes antisociales et dans certaines situations singulières propre à chaque mauvais, des comportements de type psychopathe et sociopathe.
Le comportement de type mauvais se manifeste par cinq caractéristiques mentales majeures: la mauvaise foi, la jalousie de l’autre, l’irresponsabilité face à ses habitudes et son comportement antisocial, le complexe d’infériorité vis à vis de l’autre, et la trahison tout azimut de sa parole donnée.
Il y a des problèmes délicats d’intégration et de coexistence avec le mauvais, problèmes dus à toute sorte de différences liées non seulement au credo, mais à la mauvaise mentalité et au comportement antisocial que l’on constate tous les jours au contact du mauvais et qui seront là pour nous rappeler crûment que les valeurs à la fois politiques et morales sont difficile à appliquer face à ce genre d’individu.
A son comportement de mauvais s’ajoute la mégalomanie, la stupidité, la schizophrénie, la folie des grandeurs, les névroses, psychoses, complexe d’infériorité, psychopathie et sociopathie dont les conséquences antisociales sont l’abus et confiscation irraisonnée du pouvoir, violence, terreur, assassinat politique, génocide, crime contre l’humanité, détournement des richesses et des biens publics de la collectivité ou du peuple souverain.
De l’enfance au comportement de type mauvais…
La construction mentale de l’adulte se réalise lorsqu’il est enfant au cœur de sa famille à laquelle il fait confiance et de son milieu socioculturel.
Sa famille et son milieu socioculturel seront alors ses références pour l’avenir. Tout dépend de la qualité de cet environnement et de l’ambiance dans laquelle l’enfant grandit.
L’enfant fait confiance d’emblée à sa famille et intègre ses normes. On comprend qu’un enfant ayant connu uniquement le mépris de l’autre, les carences affectives, la violence, les brimades, l’humiliation répétée et le mépris de l’autre intégrera ses notions comme des normes: mentales, psychiques, psychologiques, morales, sociales et puis.
Alice Müller dans son livre » c’est pourtant bien » explique comment une telle pédagogie comme la pédagogie noire en Allemagne au XIXe et jusqu’à la moitié du XXe siècle a construit un Adolphe Hitler.
La violence politique dans la dictature Denis Sassou Nguesso a longtemps été comme une affaire ne concernant que les seuls adultes.
Des études internationales ont cependant prouvé qu’elle avait également de graves conséquences sur le développement physique, psychologique et psychique de l’enfant congolais et ou étranger témoin.
Les agressions physiques, verbales, psychologiques et politiques tyranniques, créent un climat de vie marqué au quotidien par l’insécurité et la de-construction cognitive, mentale, psychique et émotionnelle de l’individu congolais ou étranger: enfant et adulte.
Au cœur d’enjeux familiaux, sociaux, policiers et politiques tyranniques, l’enfant se trouve, dès son plus jeune âge, menacé dans son développement.
Les implications psychologiques et médicales de la violence politique posent la question de la protection de l’enfant ou des mineurs face au tyran Sassou Nguesso: faut-il parler d’une forme de maltraitance?
Le tyran a peut être subi durant son enfance des comportements atypiques similaires, de psychodrame familial, de déviance culturelle et sociétale. Il est enfin née d’un traumatisme et de névroses liés à l’enfance de Denis Sassou Nguesso.
C’est un traumatisme pour tout le monde et encore pour les enfants en construction, en développement d’être humain, futur et citoyen.
Quel homme veut-on demain dans ce pays? Parmi ces enfants, certains seront à leur tour peut-être à des postes de responsabilité et auront alors le pouvoir de bien ou mal traiter les congolais de Brazzaville.
Publié par Isidore AYA TONGA, Intellectuel, philosophe et scientifique environnementaliste, votre ambassadeur numérique pour la vulgarisation de la culture scientifique !
Une très belle analyse , mon frère René ! Le Dialogue sans le tyran , ce dernier appartient au passé ! Même Hollande son maître n’on veut plus ! La communauté internationale va organiser l’élection présidentielle , le nouveau président qui aura rétablir la nation congolaise et le rééquilibrage de l’armée !
Mr mavoungou vous avez bien fait votre analyse pour ce criminel assassin sassou faisons tout pour le faire partir je fais confiance à la diaspora sassou est un malade surtout pas de dialogue on peu pas dialoguer avec un criminel assoiffé du pouvoir
Soyons réalistes!
MOTO ASIMBI MODOKI BA TUNA KA VULA NA YE TE!
Que feront les partisans du refus du dialogue si le putschiste et sanguinaire sassou refuse de quitter le pouvoir?
Pas grand chose, il squatte le pouvoir depuis 1997 et je n’ai pas encore vu un seul courageux l’en déloger sauf ceux qui crient et s’offusquent seulement sur internet!
Le dialogue, si dialogue il doit y avoir, c’est pour l’intérêt du peuple et nous épargner des morts gratuites car ceux qui étaient en 1997 au pays et ont été surpris par des balles ce 5 juin ne sont plus là pour en parler… Nous étions sur place, nous savons et personne digne d’humanité ne peut préférer la guerre au dialogue car comme l’a chanté Zao: « quand la balle siffle il n’ y a pas de choisi mon ami… tout le monde cadavre…. »
Ceux qui ont perdu la vie le 06 mars 2012 ne sont plus, hélas, là pour en parler, mais nous autres survivants avec des maisons éventrées à la rue Ngo et ailleurs, nous pouvons en parler.
Sassou doit dégager et sa bande de voleurs et assassins et si nous devons en passer par le dialogue pour épargner des vies, alors oui!
Le pire est d’acculer un tyran en fin de règne et tous ceux qui ont déjà lu SUN TSU le stratège chinois, savent de quoi je parle…
Ce n’est pas ceux qui refusent le dialogue qui seront au front… toujours les enfants des autres… Pour qu’ils viennent ramasser le pouvoir!
Alors, quand on est patriotique, on se refuse rien pour faire grandir son pays! C’est ce que le peuple a fait au Burkina Faso… Pas de guerre mais le tyran Campaoré n’est plus au pouvoir.
Je reste persuadé que la masse critique atteint et dépasse le seuil pour qu’enfin se détruisent les invariabilités installées au Congo depuis 1977 et même avant. Reste à canaliser les énergies atomisées par la peur.
Il faut poser sur la table des solutions en fonction de notre expérience historique et aussi en fonction des forces en présence déclarées ou pas.
Aussi penser que le problème ne se résume qu’en une seule personne, celle du Dictateur est une grave erreur. Derrière le dictateur, il y a une géostratégie »nationale » qui ne dit jamais son nom.
Les solutions extrêmes ne sont pas à exclure tout comme des minima non négociables.
La Politique d’aujourd’hui et de demain, c’est la clarté dans ses convictions.
Solution extrême de la partition défendue par Poaty Pangou et solutions minima, celle de décentralisation extrême sinon celle du fédéralisme. Tout ceci tiré de notre expérience depuis 1959.
Ya Mpambu, tu ne déposeras ton béret de canonnier qu’à la fin du siège du pouvoir installé à Brazzaville depuis 1977. Merci pour tes contributions.
Next step:
Mais à quand la radio pour parler aux paysans de Hinde, de Tchiambe Nzassi, de Nkake Mweke?
Oui le dialogue mais attention avec ce dictateur il faut que la communauté internationale soit la parce-que il est très intelligent
Mfoa a écrit:
«Le dialogue, si dialogue il doit y avoir, c’est pour l’intérêt du peuple et nous épargner des morts gratuites car ceux qui étaient en 1997 au pays et ont été surpris par des balles ce 5 juin ne sont plus là pour en parler… Nous étions sur place, nous savons et personne digne d’humanité ne peut préférer la guerre au dialogue car comme l’a chanté Zao: « quand la balle siffle il n’ y a pas de choisi mon ami… tout le monde cadavre…. »
Mais on va dialoguer pourquoi et sur quoi? Y a-t-il un problème pour que l’on organise un dialogue?
Vraiment les congolais étonneront toujours leur monde. En Namibie, au Senegal, au Mozambique, pour ne citer que ces pays, il y a eu des elections. Le passage des témoins a eu lieu. Comment se fait-il qu’au Congo l’élection présidentielle soit un problème qui appelle un dialogue? Et pourquoi dialoguer? La constitution est là; elle fonctionne; le pays et ses institutions sont stables et fonctionnels. Le problème est où?
Pour appeller au dialogue, le problème doit être identifié. Or, de l’aveu même de sassou, la constitution a permis la stabilité, la paix et la sécurité. Alors, il est où le problème? À moins de nous dire comme pigasse, l’homme aux testicules quatre fois plissées, que le Congo a besoin des forts forts pour faire face au terrorisme comme il l’explique dans sa feuille de choix. Les congolais n’ont pas besoin d’hommes forts, mais plutôt d’un état de droit! Ce sont les lois qui régissent le fonctionnement d’un pays dit civilisé. Les Hommes passent, les lois demeurent.
Non! Il y a quelque chose qui ne va pas chez vous les tenants du dialogue. Chaque jour qui passe, vous nous trouvez un nouvel alibi. Aujourd’hui, on nous agite la menace des tueries, dixit Mfoa. Hier c’était les sages qui doi-disant appelaient au changement de la constitution; avant-hier c’étaient des associations de la société civile, du genre bokamba yangouma et autre ewangui, qui exigeaient le changement de la constitution à travers un dialogue.
Non, arrêtez avec vos balivernes. Organisez votre dialogue et taisez-vous. Vos arguments des tueries ne font plus recettes. Tous savons qu’il n’y a que vous qui êtes capables de meurtres en séries sur vos propres compatriotes comme vous savez le faire depuis juillet 1968 jusqu’à ce jour car, vous seuls êtes détenteurs des armes de destruction masse, des milices, des camps d’entraînement, des cahces d’armes disséminées à travers le pays, des mercenaires positionnés sur tout le territoire.
Dites-nous, quelle difference cela peut faire pour des congolais, que vous avez réduits à l’état des mort-vivants, si vous les tuez physiquement comme vous savez le faire depuis juillet 1968? Croyez-vous que cela fera une grande difference? Cela pourrait être même une deliverance, pour certains, que de vivre dans l’enfer dans lequel vous les avez enfermés depuis votre retour au pouvoir avec l’aide des troupes étrangères qui ont décimé vos propres compatriotes.
Oui, aujourd’hui, les congolais préfèrent mourir que de vous subir encore. Ils attendent votre bêtise pour vous montrer qu’en fait vous n’êtes rien sinon des tigres en papier. La preuve vous a été donnée lors des victoires et défaites des Diables Rouges à la CAN 2015. Les congolais vous disent en choeur: Même Pas Peur!
Oui, même pas peur de vous. Et vous le savez très bien. Autrement, vous nous auriez tiré lors de la CAN. Aujourd’hui, vous avez peur. Pour prevue votre pigasse ne cesse de changer d’arguments nuits et jours pour justifier votre injustifiable. Quand on passe son temps à changer d’argumentaire comme on change ses sous-vêtements c’est que l’on est dans le faux. Nous, au contraire, nous sommes constants: Pas de Dialogue avec Vous! Commettez la bêtise; et nous vous ferons la fête comme les Burkinabé l’ont fait pour compaoré.
Vous devez avoir honte que de tenir des propos qui n’ont têtes ni queues du genre pour l’intérêt du pays. Quel intérêt du pays? Avant avez-vous tenu compte de l’intérêt du pays quand vous dilapidez les deniers publics pour vous achétez des hotels particuliers à Neuilly-sur-Seine, Paris XVI, Paris VII et dans la région PACA? L’Intérêt du Peuple est de ne pas lui voler pour se remplir les poches. L’intérêt du Peuple c’est d’offrir du travail aux jeunes, une éducation adequate, des soins de santé, etc. C’est aujourd’hui que vous semblez découvrir son intérêt? Si vous pensez au Peuple, commencez à lui restituer vos biens mal acquis à ses dépens; après on saura si vous êtes vraiment sincères.
Ba niama; bi mboulou! Vous allez tomber comme compaoré; bande de criminels que vous êtes! Toute chose, sur cette terre, a un temps: un début et une fin. Croyez-vous condamner toutes les générations des congolais à la paupérisation comme vous l’avez fait pour leurs grand-parents et parents?
Votre satan sassou s’est trompé d’époque. Il faisait peur aux gens de sa generation qu’il tuait à volonté. Il a beau dire que celui qui prendra sa place n’est pas encore né; mais compaoré et autres kadhafi et saddam Hussein le disaient aussi. Où sont-ils? Le petit kabila, le disait aussi; mais il a fini par plier le genou. Votre tour arrivera dans pas très longtemps. Les drones qui vous rasent les têtes à tsambitso au point où vous ne savez plus où les cacher ne sont qu’un des signes qui nous disent que votre chute est très proche.
Dans votre chute, nous vous accorderons tout de même une consolation: vous n’irez pas seuls en enfer. C’est tout votre système qui sera balayé de fond en comble jusqu’à vos progénitures maudites. Le Congo nouveau ne se fera pas avec vous et vos vrai-faux opposants qui vous cautionnent vos bêtises.
il y a des rêveurs sur ce site encouragés par des avocats défenseurs des intérêts de leurs pays qui insultent le Congo et se font payer par la SNPC. Vous pensez que les occidentaux parlent de Démocratie, respect de ceci cela parce qu’ils veulent réellement voir installée dans notre pays la démocratie? C’est quoi un Congo fort pour les intérêts de la France …. c’est pas bon pour la France…. Sassou sera remplacé par plus docile que lui … vous serez étonné …. vous avez entendu NDZON se prononcer non? C’est à la suite des échanges inter-obédiences maçonbniques de Paris qui ont eu lieu en présence des acteurs et/ou représentants de 5 principaux remplaçants éventuels de Sassou. Une stratégie de conservation de pouvoir a été mise en place par ces derniers…. vous allez voir bientôt.
A MAMBANDZILA,
Il me semble que ce compatriote ignore la force d’un peuple une fois debout, le échéant le Burkina qu’en fait les maçons? pour vous reprendre autrement, attention le Congo profond dort mais le jour où il se lèvera ce sera trot tard pour ceux qui pensent rester éternellement au pouvoir. Je vous demande d’arrêter d’intimider le Congolais dans son élan de faire partir le tyran et son système. Si vous aimez votre pays et comprenez l’état dans lequel il est vous ne vous réjouirez pas ainsi,n enfin la liberté vous donne droit de dire ce que vous vous voulez mais l’on ne prend pas à la légère un cas de ce genre: la souffrance d’un peuple depuis plus de 40 ans. Pour vous comme les maçons déciderons alors il faut croiser les bras et se taire attendre de l’occident un remplaçant à Sassou? Réveillez-vous cher ami,,,il est temps.
SOYEZ DES ÊTRES LIBRES ET NON DES SERVITEURS A UN TYRAN A BOUT DE SOUFFLE !!!
Si la liberté est l’absence de toute règle et de toute contrainte, alors l’animal est libre. Mais ce raisonnement n’a qu’une apparence de vérité: le comportement d’un animal est en fait dicté par son instinct, de sorte que l’animal ne peut pas s’empêcher d’agir comme il agit.
Au Congo Brazzaville du tyran Denis Sassou Nguesso par exemple: le dictateur commande, le sujet congolais obéit. Les citoyens congolais sont-ils dans la signification de l’instinct animal?
L’instinct commande, l’animal obéit : loin d’être le modèle de la liberté, l’animal est l’incarnation d’une totale servitude à la nature. On ne peut parler de liberté que pour un être qui s’est affranchi du déterminisme naturel.
Pour être libre, il faut pouvoir choisir de faire ou de ne pas faire. Seul donc un être qui s’est débarrassé de la tyrannie des instincts peut remplir les conditions minimales de l’accès à la liberté.
Emmanuel Kant soutient que c’est précisément là le rôle de l’éducation: elle a pour but premier de discipliner les instincts, c’est-à-dire de les réduire au silence pour que l’homme ne se contente pas d’obéir à ce que sa nature commande.
S’il suffisait d’obéir aux lois pour être libre, alors les sujets d’une tyrannie connaîtraient la liberté. Pour Jean-Jacques Rousseau, la seule solution à ce problème à la fois politique et moral, c’est que je sois aussi l’auteur de la loi à laquelle je me soumets. Et vous Monsieur Sassou Nguesso?
sassou et son pct ont vraiment tué le congolais dans son ensemble. Le destin des congolais est maintenant décidé par des franc-maçons à Paris. Ils ont choisi les 5 remplaçants de petit satan. Bravo Louis Bakabadio! Voilà un de vos étudiants Mambanzila qui vous a tres bien compris; vous qui disiez que petit satan sera remplacé par un franc-maçon le même jour que vous demandiez de rentrer au pays pour venir boukouter en créant nos partis devant soutenir petit Satan.
Continuez à rêver debout. Ne dit-on pas que l’espoir fait vivre?
Pour toutes les personnes qui croient être au parti unique et qui n’ont toujours pas compris le sens du débat et veulent imposer aux autres leur vérité putative…
Entre
Ce que je pense
Ce que je veux dire
Ce que je crois dire
Ce que je dis
Ce que vous avez envie d’entendre
Ce que vous croyez entendre
Ce que vous entendez
Ce que vous avez envie de comprendre
Ce que vous croyez comprendre
Ce que vous comprenez
Il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même…
A ISIDORE AYA DE MAKOUA OU AYA TONGA universaliste…..
Franchement j’ai du mal à vous suivre et pourtant vous n’en dite pas que de mauvaises choses, aussi il vous arrive de toujours aller au delà; du point de vue de la forme; certes vos dires sont profonds mais cette psychanalyse essentielle que vous faites, souvent du Congolais et de son dirigeant, sature le mental au point de ne plus vous lire car vous aller en dehors de ce que le lecteur attend ici . Anthropologie, philosophie, chimie et physique,,,sociologie que sais-je encore….?
j’aurai souhaiter vous voir ici nous étaler vos écrits ,sur le Congo et son dictateur, que vous envoyez partout pour faire connaître la situation du Congolais ,,,un moyen de vulgarisation de cet état de fait. Ici nous lisons oui est ce que vous vous êtes demandez si l’international connais comment vit le paysan Congolais aujourd’hui? L’intellectuel devra à présent se prêter à ce jeu : la sensibilisation tout azimut dans les ambassades et représentation des nations unies….partout où il se trouve une occasion.
Je vous exhorte à ce devoir citoyen et ceci est valable pour tous. car le PCT prend de l’avance sur vous en cette matière pour détourner l’attention des observateurs. L’intellectuel doit rétablir la vérité du Congo avec ce pouvoir en allant vers les ambassades: (dire ce qui est)
….Aussi soit concis pour mieux te suivre ici