« Ceux qui viennent pour demander la paix sans proposer de traité sont des comploteurs » Sun Tzu– L’art de la guerre
« Le chevalier inexistant » est un conte philosophique d’Italo Calvino, fou, délirant où un des Chevaliers de l’armée du roi Charlemagne, Agilufe Edme Bertrandinet des Guildivernes, épris de discipline, excellent paladin, formidable guerrier, extraordinaire homme pour parler aux femmes…mais c’est un leurre. Quand son armure blanche qui lui tient lieu de corps tombe, l’illusion se dissipe, car elle est vide. Ca ne nous rappelle rien ? Même si personne n’ose le dire, le problème de l’opposition congolaise se résume dans l’absurdité de cette histoire de cavalerie.
L’animal est piégé dans le filet
Entendons-nous bien d’emblée : SASSOU est tombé à pieds joints dans le piège constitutionnel qu’il a tendu à ses adversaires. Ironie du sort, la métaphore « l’animal est piégé dans le filet », utilisée devant les sages mbochis le 11mai 2012, pour appuyer sa volonté de vouloir mourir au pouvoir ; peut désormais s’appliquer à cet assoiffé du pouvoir. Cependant, l’opposition congolaise, engluée dans une espèce d’incapacité à créer un véritable rapport de forces, n’arrive pas à réaliser l’essai, pourtant à sa portée.
On ne le dira jamais assez ; toutes les gymnastiques intellectuelles déployées par les officines de Mpila, sous l’emprise du syndrome de l’arapède politique(1), se révèlent inopportunes pour contourner les articles 57 et 185 qui, tout en scellant dans le marbre la rigidité de la constitution du 20 janvier 2002, garantissent ipso facto une alternance démocratique dans notre pays.
Face à cet obstacle majeur, SASSOU et son clan ont opté contre toute attente, pour un changement pur et simple de la constitution. Autre chausse-trape, la constitution de Janvier 2002 n’avait pas prévu les conditions de son extinction. En toute logique, le 14 août 2016 à 14h, Sassou ira à Oyo s’occuper de ses chevaux et de ses autruches. Or, le satrape d’Oyo, qui a eu l’outrecuidance de déclarer devant ses partisans, qu’il n’y avait personne à nguélè ( Brazzaville) pour le supplanter tant qu’il sera en vie ; s’est lancé dans un subterfuge visant un passage en force. Dit autrement, il veut narguer les congolais en organisant un referendum sur la base des listes électorales totalement fausses, avec une CONEL inféodée au PCT.
Pour mettre à profit les deux ans qui nous séparent de la date fatidique, une exigence de rigueur et d’efficacité s’impose au sein de l’opposition. Elle ne peut être atteinte qu’en clarifiant les comportements un chouïa ambigus.
Tenez ! Est-il sensé de la part de Mathias DZON, qui se réclame grand opposant au régime de Sassou Nguesso de déclarer à qui voulait l’entendre, qu’un gouvernement d’union nationale, dont il serait manifestement Premier ministre, serait la seule issue ? Erreur tactique.
Il se marmonne, dans les salons feutrés de Brazzaville et d’ailleurs, que le séjour du Président Guinéen Alpha CONDE à Brazzaville, un ancien de la Fédération des Etudiants d’Afrique Noire en France (FEANF) comme Mathias DZON, aurait été bénéfique pour ce dernier sur deux plans : la levée de l’interdiction de sortie du territoire congolais et la juteuse proposition au poste de Premier Ministre de transition.
Sans bras de fer, point de salut.
Faut-il le rappeler s’il en était encore besoin, qu’une gestion et/ou conquête du pouvoir, reste à tout point de vue, une question de gestion de rapports de forces ? Et qu’un gouvernement d’union nationale, sous les conditions de Sassou, sans avoir préalablement crée un quelconque rapport de forces en faveur de l’opposition, serait une bouée de sauvetage inespérée pour lui ? Comme Ewo et Dolisie !
En politique comme dans d’autres domaines d’ailleurs, mettre la charrue avant les bœufs, constitue une véritable erreur stratégique. N’est –il pas temps à l’opposition ( modérée ou radicale) de prendre véritablement le taureau par les cornes ? Tsaty MABIALA, KINFOUISSIA et autres de l’opposition intérieure, qui végètent dans des partis plus ou moins structurés, n’ont-ils pas encore compris que le temps de la politique polie est révolu ? N’ont-ils pas entendu les cris du peuple, de la Nation ? Ne savent-ils pas, après tant d’années de propagation de la misère et d’effondrement des valeurs qui fondent un Etat viable, que seule une politique de bras de fer fait tomber les dictatures ? Que sans descentes dans les rues, sans manifestations, sans révolution et bras de fer permanent, point de salut ? Pourquoi un tel endormissement, en définitive ?
La guerre des égos, conjuguée à une oligophrénie handicapante, plombe le combat de l’opposition pour le respect de la constitution de 20 Janvier 2002. Certains comportements calamiteux que l’opposition traine comme un boulet au Congo, minent également l’opposition au sein de la diaspora. SASSOU tire sa force des faiblesses de l’opposition, de son inorganisation. Il est donc temps de se faire violence, en mutualisant nos efforts et en aplanissant nos divergences, afin de placer notre pays sur la seule marche qui vaille : la plus haute.
« Les Assises nationales pour l’alternance démocratique » qui ont lieu à Paris du 07 au 10 Juin 2014, étaient des moments très forts et très intenses qui ont suscité un immense espoir au sein des populations, délibérément plongées dans une extrême pauvreté par un pouvoir autiste. Toutefois, cette dynamique ne sera un soubassement du combat pour la restauration démocratique via une alternance mature que si ces « Assises » réussissaient à se muer en une structure stable et pérenne, qui travaillerait en synergie avec les leaders qui ont la maitrise des variables du terrain, notamment avec les trois plateformes de la société civile.
L’histoire a plus d’imagination que les hommes, disait MARX . Celle du Congo est soumise aux spasmes que SASSOU et l’opposition, à des degrés divers, nous imposent. Pendant ce temps, le peuple piaffe d’impatience et rêve sans y croire, à ce que « le Chevalier inexistant » se transforme en « robin des bois », qui lui est un habile braconnier, mais aussi défenseur des pauvres et des opprimés. Arborons tous, les habits de défenseurs de la constitution du 20 janvier 2002 pour contrer la manœuvre perfide de SASSOU. Pour cela, chacun doit y mettre du sien, car, le destin du Congo ne porte pas l’estampille de la fatalité oyocratique.
Djess dia moungouansi « La plume du Congo libre »
(1) Syndrome d’une extrême nocivité qui fait particulièrement rage dans des dictatures d’Afrique Centrale. Il se manifeste par la propension à se maintenir au pouvoir par la terreur.
« Les Assises nationales pour l’alternance démocratique » qui ont lieu à Paris du 07 au 10 Juin 2014, étaient des moments très forts et très intenses qui ont suscité un immense espoir au sein des populations, délibérément plongées dans une extrême pauvreté par un pouvoir autiste.
Beaucoup des congolais qui s’affichent dans la diaspora n’ont toujours pas compris qu’ils ne représentent qu’une part infinitésimal des congolais de l’étranger, qui sont en capacité d’exercer toute fonction au Congo.
Dire que cette réunion, dont mes parents et amis du Congo, dans leur misère quotidienne n’ont pas entendu parler représentent un espoir pour eux, cela prouve à suffisance que notre diaspora déconnecté de la réalité du terrain est « la plus bête du monde. »
Je pense que, si la diaspora veut agir concrètement en faveur du changement au Congo, ces actions ne doivent pas consister en une tentative de substruction virtuelle, à la lutte qui se mène sur le terrain.
Elle doit créer des stratégies ayant pour finalité d’être complémentaire à la lutte sur le terrain.
Car, comme l’a dit à juste tire Dzon, l’opposition est sur le terrain au Congo. Il n’y a pas de parti politique en France ; à moins de créer des conditions de se faire embarquer par le colon, pour être placé sans effort ni risque personnel, au perchoir.
@ Ngwa Djess,
Juste un mot, Bravo !
La nouvelle élite congolaise qui ne doit rien à personne, doit dénoncer toutes la roublardise, les mensonges, la fourberie, d’où qu’ils viennent, de l’opposition ou du pouvoir.
Nous ne devons plus laisser faire tous ces acteurs politiques qui ont ruiné notre pays.
Que les Congolais nous fassent confiance et nous soutiennent, notre cap est la descente au pays dans quelques mois…
Grand merci, Djess, pour cette clarification.
La seule bataille qui tienne,c’est celle du strict respect des procédures constitutionnelles. Le pouvoir est tombé dans son propre piège.
Bravo grand Djess. Encore fois, tu nous a pondu une réflexion au dessus de la mêlée. Oui, l’opposition doit se réveiller et prendre le taureau par les cornes. Ceux du pays ne peuvent rien, seuls, sans l’apport de ceux de la diaspora…
Oui Djess, « c’est ca qui est la vérité ». Il faut arrêter de se tourner les pouces. Il est temps d’agir.
A quand les manifestations monstres au Congo comme ce que nos frères Burkinabès nous ont montrés ?
« Les graines du totalitarisme n’en finissent pas de pousser sur le terreau fertile de la passivité congolaise ! » Source : congo-liberty.
SASSOU NGUESSO ET TOUS SES COMPLOTEURS INTÉRIEURS ET EXTÉRIEURS DÉGAGENT – POINT BARRE !
Oui, la conscience, la raison et le droit font la différence fondamentale entre l’homme et l’animal.
Si la tyrannie est l’absence de toute règle et de toute contrainte, alors le perroquet du droit est libre.
Mais ce raisonnement n’a qu’une apparence de vérité: le comportement d’un perroquet du droit est en fait dicté par sa servitude au tyran, de sorte que le perroquet du droit ne peut pas s’empêcher d’agir comme il agit.
La déclaration au mois de mai 2014 sur les ondes de Radio France internationale (RFI) du Professeur Placide Moudoudou, doyen de la faculté de droit ou plutôt de non-droit de l’université Marien Ngouabi du Congo en affirmant « En Afrique le serment n’a aucune valeur juridique. La sorcellerie prime sur le droit ».
Le tyran commande et le perroquet obéit: loin d’être le modèle de juriste, le perroquet du droit est l’incarnation d’une totale servitude à la loi tyrannique. On ne peut parler de juriste que pour un individu qui s’est affranchi du déterminisme tyrannique.
Pour être juriste, il faut pouvoir choisir de faire ou de ne pas faire. Seul donc un individu qui s’est débarrassé de la tyrannie peut remplir les conditions minimales de l’accès au titre de juriste.
Kant soutient que c’est précisément là le rôle de l’éducation : elle a pour but premier de discipliner les perroquets du droit, c’est-à-dire de les réduire au silence pour que l’individu ne se contente pas d’obéir à ce que la tyrannie commande.
S’il suffisait d’obéir à la tyrannie pour appliquer le droit, alors les sujets d’une tyrannie connaîtraient le droit.
Pour Rousseau, la seule solution à ce problème à la fois politique et moral, c’est que je sois aussi l’auteur de la loi à laquelle je me soumets.
Ceci est un cas de prise de conscience juridique et politique.
2016 A 2050 ET +: LE NOUVEAU CONGO VA SE CONSTRUIRE TOUT AU LONG DU XXIE SIÈCLE SANS SASSOU NGUESSO…
ARRÊTEZ DE COMPLOTER ET ATTENDONS LE VRAI VERDICT DU PEUPLE SOUVERAIN SANS SASSOU NGUESSO ET SES FAUX OPPOSANTS…
Merci Djess.
Mais je voudrais rappeler une chose ici. Pour avoir organisé un meeting à Pointe-Noire, autorisé par les autorités locales, un homme et quelques membres de son parti a été condamné à 30 ans de travaux forcés par le régime de Brazzaville, pour avoir commis le crime d’exiger la formation d’un gouvernement d’union nationale, le même gouvernement que sollicite M. DZON Mathias. Cet homme s’appelle MODESTE BOUKADIA. Certains militants, jugés (?) et embastillés sont éparpillés à travers le pays, les uns à Brazzaville, les autres à Impfondo et Ouesso et certains autres sont gardés en otages en des lieux inconnus, tenus au secret. Pourquoi Dzon Mathias n’a-t-il pas soutenus et défendu ces malheureux compatriotes ? Devons-nous craindre que demain DZON MATHIAS sera lui aussi condamné à 30 ans aux travaux forcés comme Modeste Boukadia puisqu’il demande la même chose que lui ? Y aurait-il deux poids et deux mesures ? Si DZON MATHIAS n’est pas inquiété, s’il n’est pas jeté en prison, alors il y a lieu de penser que cet homme est de mèche avec le pouvoir en place à Brazzaville et que toutes ses gesticulations sont de la diversion.
On ne peut pas être Trésorier-Payeur des mercenaires et des Cobras avec leurs supplétifs et venir se présenter OPPOSANT et plus blanc que blanc ou blanc comme neige !
LE FUTUR PRÉSIDENT DE TRANSITION POLITIQUE AU CONGO SERA NORDISTE LIBRE ET SINCÈRE ET LE PROCHAIN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE POST DICTATURE SASSOU NGUESSO SERA UN
SUDISTE LIBRE ET SINCÈRE LUI AUSSI… ET NOUS Y TRAVAILLONS POUR CELA… ET VIVE L’ALTERNANCE POLITIQUE POLITIQUE CONGOLAISE DE 2016/2017 A 2022 ET PUIS… LES VALEURS AJOUTÉES POLITIQUES NOUVELLES DU CONGO… A SUIVRE !
DENIS SASSOU NGUESSO ET SES PLANS MACHIAVÉLIQUES A, B, C, D, E ET C 2014/2016: L’animal est piégé dans le filet !
« Ceux qui viennent pour demander la paix sans proposer de traité sont des comploteurs » Sun Tzu– L’art de la guerre
« Le chevalier inexistant » est un conte philosophique d’Italo Calvino, fou, délirant où un des Chevaliers de l’armée du roi Charlemagne, Agilufe Edme Bertrandinet des Guildivernes, épris dediscipline, excellent paladin, formidable guerrier, extraordinaire homme pour parler aux femmes…mais c’est un leurre. Quand son armure blanche qui lui tient lieu de corps tombe, l’illusion se dissipe, car elle est vide. Ca ne nous rappelle rien ? Même si personne n’ose le dire, le problème de l’opposition congolaise se résume dans l’absurdité de cette histoire de cavalerie.
http://congo-liberty.com/?p=9968#comments
Cet article de notre compatriote Djess Dia Moungouansi, comme d’ailleurs ces précédentes livraisons, est un chef-d’œuvre. Comptez parmi les bravos accordez à votre esprit critique et d’analyse le mien tout aussi appuyé. Échouer face à un ennemi qui cumule autant de handicaps résultant des ses propres manigances politiciennes sur une très longue histoire politique servie aux congolais n’est pas du tout acceptable. Une grande responsabilité à l’opposition (la résistance) de l’intérieur et à celle de l’extérieur. A ceux qui majorent l’une ou l’autre au détriment de l’une ou l’autre, ERREUR TRES GRAVE !! La politique intérieure et la politique extérieure d’une nation comptent pour deux instances régaliennes d’un État. Aucun pays ne vit en autarcie. Depuis octobre 1997, le Congo vit une dictature féroce qui a jeté sur le chemin de l’exil des milliers et des milliers de congolais. une situation jamais vécue auparavant. Comprenons donc comment les deux dimensions de la politique interne et externe sont intimement liées. Le retour d’un État démocratique sera la résultante de la synergie entre les forces d’opposition (de résistance) sur le terrain et celles de l’extérieure. De grâce, travaillons plutôt à cette synergie qu’à autre chose. La question du pouvoir se posera par la suite quand les conditions d’une démocratie véritable que tous semblent appeler de leurs vœux seront rétablies. Là, chacun aura la légitimité de se présenter aux suffrages divers et être ou non destiné à telle ou telle autre fonction. Mais on ne met pas la charrue avant les bœufs !!! C’est torpiller et libérer le piégeur de ses propres pièges. Nous sommes avertis et un homme averti en vaut deux. Merci encore pour l’article.
Ayons l’audace de nous faire violence à cet ordre mafieux du sassouisme système, afin de créer les conditions d’une vraie alternance politique et sociale au Congo… Et la solution ne viendra pas d’un quelconque parti ou individu, mais des Congolais dans une opposition citoyenne et patriotique.
Et pour ne pas demain, sombrer dans les mêmes erreurs d’hier, nous devons, nous imposer le devoir de mémoire et exiger pour la moralisation de la vie politique, que les acteurs politique et haut fonctionnaire de l’administration tant civile et militaire de ses trente dernières années, de déclarer l’origine de leurs patrimoines, afin de réhabiliter l’état de droit.
Sinon faire partir la crapule sassou, sans son système est une escroquerie politique, dont la victime est connu d’office le peuple, du moins une partie du peuple…
Que le message de cette opposition de libération doit être clair, à l’endroit des Congolais dans leur ensemble et aux partis politiques.
LE DEVOIR DE MÉMOIRE, LA MORALISATION DE LA VIE POLITIQUE, LA RÉHABILITATION DE L’ÉTAT DE DROIT.
MaDOUMA LISSAFI, les démocrates congolais, les vrais, ont en face maintenant deux criminels et dictateurs: sassou dénis et MATHIAS DZON.
Proposer un gouvernement d’union nationale permet à sassou de se soustraire y compris tous ses maffieux compagnons à la cpi. Ce piteux gouvernement d’une unité inexistante ne peut voir le jour que pour le simple mobile d’une existence de quatre milices listées souvent dans nos posts.
Mathisa Dzon est un criminel: Les congolais qui souhaitent la fin du système sassou DOIVENT PLUS UE JAMAIS S’UNIR POUR SOLDER sassou dénis, mathias dzon et leur système inique.
Mr. Djess.
Sassou va degager Mais Avec les attitudes et les reactions comme les votres. En lisant ton article, j’ai trois impressions: soit tu n’a pas suivi tout le discoure de Dzon, soit tu as un probleme particulier contre Mr. Dzon, soit tu es un collabo de Sassou. Car moi, j’ai suivi Ce discoure sur YouTube et nullement Mr. Dzon a dit que Sassou devait être president d’un gouvernement de transition Lui devait être 1er ministre. Vous avez abuse de votre plume et de l’intox et du mensonge. En parlant, de la transition, il a fait allusion de la transition ‘en prenant l’exemple de la conference nationale, lorsque le changement de la constitution etait necessaire.
Je suis certain que congo-liberty et tous ce qui ont soutenus Mr. Djess ont un plan contre l’unification de l’opposition interieure et la diaspora afin de dégagé Sassou et sa famille du pouvoir en 2016.
Mais Sachez ceci, vous avez ete detectes. Opposition et la diaspora reunies vont vous deboulonner et vous degager comme un ballon.
Votre armée des cobras et mambas, ne pourra pas vous protéger car la CPI et Obama vous get gettent.
Sassou, tu vas degager!
BELLE ANALYSE DE THÉODORE…THÉO…
Ayons l’audace de nous faire violence à cet ordre mafieux du sassouisme système, afin de créer les conditions d’une vraie alternance politique et sociale au Congo… Et la solution ne viendra pas d’un quelconque parti ou individu, mais des Congolais dans une opposition citoyenne et patriotique.
Et pour ne pas demain, sombrer dans les mêmes erreurs d’hier, nous devons, nous imposer le devoir de mémoire et exiger pour la moralisation de la vie politique, que les acteurs politique et haut fonctionnaire de l’administration tant civile et militaire de ses trente dernières années, de déclarer l’origine de leurs patrimoines, afin de réhabiliter l’état de droit.
Sinon faire partir la crapule sassou, sans son système est une escroquerie politique, dont la victime est connu d’office le peuple, du moins une partie du peuple…
Que le message de cette opposition de libération doit être clair, à l’endroit des Congolais dans leur ensemble et aux partis politiques.
LE DEVOIR DE MÉMOIRE, LA MORALISATION DE LA VIE POLITIQUE, LA RÉHABILITATION DE L’ÉTAT DE DROIT.
« Le margouillat pense qu’il remue le fromager alors qu’il s’use » dit-on en Côte d’Ivoire.
Notre diaspora, que nous côtoyons au quotidien, semble être inondées, tout au moins en ce qui concerne quelque têtes d’affiche cyber-médiatique, inondées d’ayatollahs de la démocratique, qui se distinguent par leur aptitude à la prédication monolithique, sur des thèmes connus de tous.
Je ne vois pas ce que l’on nous apporte de nouveau, au delà des différents points de presse des opposants qui décrivent régulièrement la situation chaotique du pays et de perspectives de sortie de crise.
Mais, chose cuiseuse, ces ayatollahs, font recette, avec un degré d’absurdité qui nous rappelle des propos de Youlou, simplement en propageant des versets connus de tous en matière d’alternance démocratique et d’Etat de droit, tout en se préservant d’aller mouiller la chemise sur le terrain, comme a osé le faire Paulin Makaya.
Dans cette diaspora, il y a quelques rares des personnes qui sont physiquement, sinon concrètement engagés dans le combat à travers des actes qui vont au delà d’une simple posture cybernétique, par des actions qui donnent du fil à retordre au pouvoir clanique.
Par contre, les prédicateurs, incapables de sortir de l’incantation, se cantonnent de pilonner ceux qui risquent leur vie pour défendre leurs idées.
Dans leur puritanisme démocratique, ils nous vendent un monde de « bisounours », où le tyran serait neutraliser et remplacer du jour au lendemain par une classe politique sortie d’une chapelle du Croix Koma, et lavée à l’au de kamba.
Et, pourquoi pas aller directement faire notre marché de politiciens chez des marabouts, car tout homme est faillible.
Seul la justice et l’Etat de droit peuvent nous préserver, sinon réparer des défaillances humaines.
Alors, que Dieu nous prête vie et vivement août 2016, l’heure de vérité qui finira par dévoiler le vrai visage de nos « prophètes des derniers temps ».
DONNER DES LEÇONS, C’EST A LA PORTÉE DE TOUT LE MONDE, CONCOCTER DES SOLUTIONS MAGIQUES DERRIÈRE UN PC, CA NE FAIT PAS BOUGER D’UN IOTA LE DICTATEUR.
MAIS AGIR CONCRÈTEMENT, AU CONTACT DE CEUX QUI ENJAMBENT DES CADAVRES LA MORGUE POUR RETROUVER LA DÉPOUILLE DE LEURS PARENTS, FAIRE CHEMIN AVEC EUX, C’EST CE QUI DÉTERMINE LA QUALITÉ DE NOTRE ENGAGEMENT ET AMÈNERA LE PEUPLE A CHOISIR, DANS LA PERSPECTIVE DES ELECTIONS LIBRES.
BEAUCOUP DE CEUX QUI FONT DE LA CYBER-POLITIQUE S’AFFICHENT AVEC DES GROS MOTS POUR ATTIRER L’ATTENTION DU TYRAN, DANS L’ESPOIR D’UN APPEL POUR ALLER PARTICIPER AU BANQUET…COMME THIERRY…
Mr Jean NKALA
Deux postures sont envisagées : on ne fait rien parce que l’on est dans la résignation, comme toi, ou bien on ose.
Dans un pays, quand le camp de ceux qui ose est en minorité par la faute des gens comme toi ,point de salut. Le Congo mérite plus que ça, et il faut des gens courageux qui mettent leur tête dans la réflexion. Mon grand frère Djess fait partie de ces gens qui non seulement critiquent, mais prennent le temps de faire des propositions idoines. Oui, cher ami, la situation de notre pays est très préoccupante et si tu estimes que l’on ne doit pas proposer des solutions de sortie de crise, c’est que vous êtes complices de ce système immonde…
Le moment est venu pour nos prétendument opposants de mettre la tête sur billot, à la place de la rhétorique ecria.
3 pensées à destinations des contre-courants de pensées combattifs.
Dans « La Marée du soir », Henri Montherlant a écrit « Il n’y a que deux partis dans un pays : ceux qui osent dire non, et ceux qui ne l’osent pas. Quand ceux qui ne l’osent pas dépassent en nombre considérable ceux qui l’osent, le pays est fichu ».
Albert Einstein, a écrit, je cite: » Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les laisse faire sans rien faire et ceux qui ont le privilège de savoir ont le droit d’agir. »
Enfin, pendant l’apartheid Nelson Mandela a dit ceci: » J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur mais la capacité de la vaincre ».
Alors le peuple congolais courageux vaincra bientôt sa peur contre le tyran Denis Sassou Nguesso, ses serviteurs, ses courtisans, ses loups, ses vautours, ses forces obscures ou machiavéliques et ses sbires criminogènes.
Je voudrai préciser à l’attention de mes amis que Théodore qui a écrit ci-dessus porte
comme moi le même prénom mais il ne s’agit nullement de Théodore Malonga .
« L’art de gouverner consiste à ne pas laisser vieillir les hommes dans leur poste ».
NAPOLEON BONAPARTE
Il est franchement incongru de penser du mal de certains de nos compatriotes qui eux luttent sur place au Congo, j’ai tantôt dit qu’il n’est plus normal à l’heure où nous sommes de se dire des petites phrases du genre : Math. DZON est criminel comme le Président Sassou (cf Madouma Lissafi), c’est simplement de la diffamation capable de poursuites judiciaires. (pour rappel) Le problème du Congo, je ne cesse de dire est celui de trouver des voies et moyens d’aller vers l’alternance mais dans la paix car le peuple souffre actuellement de tous les mots. Donc l’idée d’aller aux assises pour se mettre ensemble et discuter des schémas à suivre est salutaire autrement le Congo est géré par les puissance étrangères la preuve le départ du président Lissouba, l’affrontement est l’arme des faibles, j’ose dire,,,,le mal du Congo est évident comme je l’ai souligné avant car les évidences ne sont plus à démontrer. L’injure et la calomnie sont à bannir je pense qu’ il faut dépasser ce cap et aller vers la discussion démocratique; qui au final produira ce qu’attendent les peuples. Venir ici pour insulter et ne rien avancer de concret est inadmissible; au point ou nous sommes. Proposez et toujours proposer dans des cercles dynamiques de discussions, de sorte que ces visions atteignent de qui de droit. C’est une manière pour ma part de voir les choses; libre à qui veut d’y adhérer. Alors cher compatriote Madouma Lissafi si vous avez des différents personnels avec certains hommes politiques du Congo alors n’entrainer pas tout le monde dans cette aberration conceptuelle, exprimez-vous aussi émerveiller nous par vos propos sinon laissez tomber le verbiages l’insulte n’est pas un argument je vous apprends en politique ».Ne vous comportez pas comme ceux que vous insulter »ayez un brin de patriotisme et d’amour du prochain ,,,ne vous retrancher pas dans des considérations tribales et ethniques pour vs faire valoir restez donc humble et surtout objectif lorsque vous avancer sur une discussion. Autrement vos propos n’engage que vous comme nous sommes en « démocratie » ici sur la toile
Je partage la leçon que propose mackatchikaya, sur la lourde maladresse de disqualifier Dzon !
En effet, si la proposition de Dzon conduit à la fin du despotisme au Congo incarné par le putschiste kleptomane de Mpila et son clan, il faut l’encourager. L’objectif demeure la fin du Mal.
Toute stratégie qui libérerait le peuple souverain opprimé doit être utilisée. Le pays n’a pas à échouer dans sa libération en 2016 ou avant.
C’est preuve d’idiotie et de légèreté de jugement que de fustiger les compatriotes en 1ère ligne qui subissent de affreuses humiliations du dictateur fraudeur.
Dzon et d’autres risquent leur vie au front tous les jours. Ceux-ci auraient pu s’embarquer allègrement dans le boukoutage intensif ou la plate servilité comme le font Mabiala, Kolelas Moungalla, Mvouba etc…
Sur place, il faut un courage certain pour affronter le diable dans sa tanière. Sachons donc avec humilité, apprécier les efforts mélioratifs des patriotes qui souhaitent la fin de la barbarie politique au pays.
Après Sassou et clan, le peuple souverain saura lors des élections véritablement assainies, choisir son PRESIDENT.
@LOULENDO de Ponton, je suis désolé de devoir te rappeler certaines choses.
1) – Il n’y a pas de chasse aux sorcières, ni de conjuration contre Mathias DZON.
2) – Nous n’avons non plus à dérouler le tapis rouge pour des gens qui n’ont pas la conscience tranquille et qui ont posé des actes répréhensibles et qui savent aussi que leurs mains ne sont pas aussi propres qu’ils le prétendent.
Ce n’est pas parce que M. Mathias DZON s’est placé du côté de l’Opposition qu’il est du coup devenu un agneau.
Monsieur Mathias DZON est l’une des trois personnes qui ont co-signé ou contresigné la CONSTITUTION DE 2002, avec OBA Pierre et SASSOU NGUESSO himself (lui-même). Il sait ce qu’il en est et donc, il ne peut pas, aujourd’hui, venir nous dire que la Constitution est mauvaise. Ne l’avait-il pas lue et relue avant de la contresigner?
Si M. DZON n’était pas débarqué du système par celui dont il était le TRESORIER-PAYEUR, serait-il dans l’opposition? Je ne le crois pas du tout. Pas un seul instant.
M. DZON MATHIAS a été le TRESORIER-PAYEUR des mercenaires, des Cobras et de tous les supplétifs de l’Ogre de Mpila. Alors, peut-il expliquer cela? Pourquoi? Ne fait-il donc pas partie des criminels du Congo?
S’il vous plaît, ne défendez pas l’indéfendable. A lui de rendre compte à la Nation, d’expliquer son rôle dans cette organisation macabre, funeste…
Congo-Mfoa écrit: » Il sait ce qu’il en est et donc, il ne peut pas, aujourd’hui, venir nous dire que la Constitution est mauvaise. Ne l’avait-il pas lue et relue avant de la contresigner?
C’est le spécialiste du hors sujet.
Le combat d’une partie de l’opposition aujourd’hui, dont Dzon fait partie, est le « NON » à la modification de la constitution de 2002, que les griots du PCT présentent comme étant arrivée en fin de cycle, pour permettre l’alternance.
Il fait également partie de ceux qui proposent une concertation nationale pour définir « un nouveau contrat social » et des meilleurs conditions d’organisation des élections répondant aux normes internationales.
Nous avons tous fait le constat de la non viabilité des listes électorales et du trucage des élections. Il suffit de vous rapprocher de ceux qui ont tenté de briguer un mandant, sans le parapluie du grand manitou, pour savoir comment les élus sont en réalités prédéterminés ou nommés. .
Révisez au moins vos notes et slogans, pour bien les placer la où il faut.
Que nous soyons d’accord avec lui ou non, il y a des évidences qui coulent de source; tout au moins pour les gens honnêtes.
Ce lapsus révélateur prouve ce que je disais il y a quelques temps, que vous manifesté une certaine virulence, au point de faire usage du mensonge éhonté, quand il s’agit des opposants particuliers.
@Pierre Djoué, c’est tout ce que tu retiens de toute mon intervention au sujet de DZON Mathias? Il n’y a pas que la Constitution. Que dis-tu du reste? Nous voulons simplement des personnes clean. Voilà tout ! Il n’y a pas de « virulence, au point de faire usage du mensonge éhonté, quand il s’agit des opposants particuliers » (sic). On ne fait que rétablir les faits. En réalité, on ne voudrait même plus de personnes qui ont été nourries au beurre, au miel et au lait du monopartisme.
Quelle différence y a-t-il entre le gouvernement d’union nationale demandé par Modeste BOUKADIA et celui demandé par Mathias DZON ?
Pourquoi d’un côté, on le condamne à 30 ANS de travaux forcés et les membres de son parti à 7 années de prison ferme et,
De l’autre côté, Sassou ordonne la restitution du passeport à Mathias Dzon pour venir délivrer sa parole de « gouvernement d’union nationale » à Paris devant les membres de son parti sans être inquiété pour son retour au Congo ni pour ses hommes sur place ?
Congo-Mfoa avait dit : « Devons-nous craindre que demain DZON MATHIAS sera lui aussi condamné à 30 ans aux travaux forcés comme Modeste Boukadia puisqu’il demande la même chose que lui ? Y aurait-il deux poids et deux mesures ? Si DZON MATHIAS n’est pas inquiété, s’il n’est pas jeté en prison, alors il y a lieu de penser que cet homme est de mèche avec le pouvoir en place à Brazzaville et que toutes ses gesticulations sont de la diversion. »
Où va l’argent de l’or noir, pour reprendre l’indignation et l’étonnement du président Théodoro Obiam Nguéma ? En voyant l’état de délabrement avancé de Sibiti,lors de la célébration du 54ème anniversaire du Congo à Sibiti, le président équato-guinéen, ne pouvait pas se retenir de demander aux devant certains collaborateurs du dictateur congolais en ces termes: « Comment avec autant d’argent, l’intérieur du Congo peut-il être dans un état aussi calamiteux, pitoyable et désastreux, alors que tous les équato-guinéens vivant au Gabon sont rentrés, et que notre pays se transforme? Où va l’argent public congolais? ».Le Congo n’a, depuis plus de trente ans, jamais été gouverné normalement. » disant mieux depuis 1977. » Et surtout depuis l’immigré béninois-ivoirien de se hisser au pouvoir dans notre pays) comme l’ a commenté madouma lissafi.Le dictateur Sassou-Nguesso, sa famille, son clan et ses courtisans ont méthodiquement vidé les caisses. L’entourage du tyran d’Oyo s’est enrichi sans vergogne, au détriment d’une population clochardisée.Aujourd’hui, les congolais ne vivent pas, mais survivent… » Les congolais meurent comme des mouches et vivent dans des conditions épouvantables et sont exposés à tout genre d’épidemie par manque total d’ hygiène. L’OMS devrait fermer sa direction en guise de protestation » Ne laissons pas au dictateur Sassou-Nguesso s’asseoir sur nos institutions en humiliant l’ensemble du pays et ses forces vives. A l’impossible, le peuple congolais n’est tenu.(http://congo-liberty.com/?p=9972). » Réunissons nous sans plus attendre 2016 et brisons les chaines de misère qui nous retiennent.
Merci DJESS pour votre contribution.
Seule observation, la phrase attribuée à Mr DZON est complètement fausse et mensongère car ayant pour objectif de discréditer ce candidat potentiel à la présidence.
« Tenez ! Est-il sensé de la part de Mathias DZON, qui se réclame grand opposant au régime de Sassou Nguesso de déclarer à qui voulait l’entendre, qu’un gouvernement d’union nationale, dont il serait manifestement Premier ministre, serait la seule issue ? Erreur tactique. »
Lors de sa conférence, Mr DZON a été très clair sur le sujet. L’hypothèse que DZON puisse occuper la primature dans le cadre de la transition, fait partie des scénarii échafaudés à Mpila.
Ce scénario, a pour corollaire, l’impossibilité pour Mr DZON de candidater pour la magistrature suprême après la période de transition..
Vous devez le savoir et comment osez vous écrire de telles inepties alors que le moment n’est pas à la division de l’opposition mais à rassembler les oppositions éparses aussi bien au Congo qu’à l’extérieur du pays.
Aux partisans de Dzon,
Arrêter de fantasmer car Dzon n’a aucune base électorale, et il ne peut gagner une élection démocratique.
Personne dans les régions sud du pays ne votera pour un voleur comme lui, et encore moins quelqu’un qui a participé au génocide de nos parents des régions sud. Ni dans le pool, le niboland et dans le kouilou il n’aura nos votes. Croyez-vous que nous avons oublié nos morts, nos martyres ?
Ne rêver pas, nous sudistes, nous aimons les gens honnêtes et correctes, il y a des hommes crédibles comme Mierassa par exemple qui depuis des années lutte tant mieux que mal.
Dzon ne passera jamais, et nous ferons tout pour qu’il en soit ainsi. Qu’il aille rejoindre Sassou avec lequel, il a tué les congolais.
Marché total prend la politique pour les étales de l’avenue Matsoua.
Dans la vraie vie, nous avons des Mvouba, Mme Milongo, Kolélas père et fils, Mavoungou, Ntoumi, Makosso, Moungala, Mabiala, Mantsanga qui votent pour Sassou et eux mêmenpeuvent tout à fait recueillir des vois librement consentis, dans une élection libre et transparente, au Sud du pays.
Personne n’a été mandaté pour parler au nom des ressortissants du Sud Congo et chacun de nous sait qui est son bourreau. Et, beaucoup sont des vrais natifs du Sud.
Vous êtes pris dans vos fantasmes kongologique, car aucune personne ne peut prédire l’issue d’un scrutin imaginaire.
Et, c’est un homme du Pool qui vous parle et qui ne partage pas vos rêves messianiques, allant jusqu’à affirmer qu’aucune personne au Sud ne peut voter pour Dzon.
Je ne sait pas de quoi sera fait demain et pour l’instant me semble-t-il, le combat du collectif des partie de l’opposition consistance à obtenir les conditions de alternance et d’une élection crédible.
Le choix des candidats dépendra des circonstances qui ne sont pas à mon sens connues aujourd’hui, si ente que les chose se passe comme nous le souhaitons.
Il vous arrive de vous relire ou vous êtes plutôt emportée par la propagande?.
Essayons de parler de principe et le moment venu, chacun se déterminera en fonction de son instinct.
#Arlette KIMPILA, « à beau mentir qui vient de loin », dit l’adage.
1) – Ton premier mensonge, c’est d’avoir emprunté le prénom d’une femme : « ARLETTE ». Je m’attendais à lire le propos d’une femme, mais quelle surprise quand tu te dévoiles et dis : « (…) ET C’EST UN HOMME DU POOL QUI VOUS PARLE… »
2) – Le premier mensonge me fait douter de ta véritable origine. Beaucoup de compatriotes du Nord empruntent actuellement des noms des sudistes pour faire valoir leurs idées et soutenir l’ogre venu de OYO avec ses piranhas. L’inverse est aussi vrai, car bon nombres de sudistes empruntent aussi des noms de nordistes pour faire passer leurs messages et faire croire qu’au nord aussi il y a des gens qui exècrent le génocidaire de OYO. Et toi tu ne fais l’exception…
Ceci dit, « mon cher » ou « ma chère » ARLETTE KIMPILA, personne ne t’interdit d’être du côté de DZON, de le soutenir et de porter son message. Mais sache que DZON MATHIAS fait partie des hommes comme OKOMBI SALISSA et/ou JEAN-MARIE TASSOUA alias GENERAL GIAP, etc., chefs d’écuries de Cobras ayant opéré des massacres humains, des crimes contre l’humanité et des génocides dans le sud du Congo en général et particulièrement dans le Pool. Ils sont nombreux ces gens-là qui ont du sang dans les mains. Tu en fais certainement partie et sans doute aussi un des leurs. Qui sait ? J’ai encore en mémoire le charnier de Mbanza-Ndounga. Dans le Pool ou dans tout le sud-Congo globalement, il y a aussi des personnes lugubres qui ont assassinés leurs propres compatriotes ou qui ont toujours été du côté de PLUS GRAND CRIMINEL DU CONGO (PGCC) que tu dois bien connaître. Ces gens-là, ce sont les Willy MANTSANGA, les MVOUBA, etc., pour ne citer qu’eux. Il y en a bien d’autres…
Alors, ne prends donc pas tes convictions personnelles, comme pour te convaincre, pour une réalité incontournable. DZON MATHIAS, mon cher ami, ne pourra jamais gagner une élection au Congo, surtout dans le Sud, sans les tripatouillages du PGCC. Ensemble, ils avaient contresigné l’actuelle constitution que le PGCC remet lui-même en cause. Ensemble, ils ont géré les mercenaires de diverses nationalités, sans parler des COBRAS et leurs supplétifs comme les Hutus rwandais, les troupes angolaise, tchadienne, marocaine, etc. Mais reste avec lui. Après tout, n’est-il pas Congolais ! Mais n’oublie pas un homme comme CLEMENT MIERASSA, lui au moins, il est constant et plus crédible que ton DZON Mathias !
A bon entendeur… !
Et sans rancune !
Bonjour. C’est curieux la manière de répondre de Mme Arlette KIMPILA dit, je cite : « Marché total prend la politique pour les étales de l’avenue Matsoua. […] Personne n’a été mandaté pour parler au nom des ressortissants du Sud Congo et chacun de nous sait qui est son bourreau. Et, beaucoup sont des vrais natifs du Sud. »
Fort bien. Qui avait mandaté le Général de Gaulle pour libérer la France ? Qu avait mandaté ceux qui avaient créé l’URSS ? Quand des personnes constatent qu’il y a des tueries, des massacres, il y a toujours des gens qui se lèvent et parlent au Nom de ces Peuples brisés, soumis et mis en prison à ciel ouvert.
C’est ainsi que le Général de Gaulle se leva et prit une barque depuis la Bretagne pour tranverser la Manche pour se rendre en Angleterre, voir le premier Ministre Winston Churchill à qui il se présenta de la manière suivante « Vous recevez ici la France ». Londres lui permit d’organiser la France Libre.
Vous aussi Mme Arlette KIMPALA, vous aurez pu être de ceux-là qui pensent qu’au Congo les tueries il y en a trop et qu’il faut en finir avec cette politique de crimes de génocide et de crimes économiques si tant est que la souffrance humaine c’est-à-dire des Congolais du Nord comme du Sud de ceux qui sont restés au Congo, pris au piège de ne pouvoir parler, émeut soit tant si peu les consciences. L’histoire se fait par les hommes et généralement par une petite poignée d’hommes. Et les peuples suivent toujours. C’est l’histoire qui nous apprend ça.
Personne, en effet, n’a mandaté les signataires de la requête de déclaration de l’Etat du Sud Congo (http://sudcongo.wordpress.com/2014/05/17/congobrazzaville-requete-de-declaration-de-letat-du-sud-congo/) mais un fait est là, cet Etat est de fait comme celui du Nord Congo puisque c’est Théophile Obenga qui l’a écrit « Si les choses ne sont pas vues de cette manière, on aboutit à la scission, à la partition… » (Théophile Obenga, Pour le Congo – Brazzaville, Réflexions et Proposition, Ed. L’Harmattan, 2001). (http://congo-liberty.com/?p=9964) »
Non, le Peuple du Congo ne veut pas être soumis aux diktats de Théophile Obenga. Il y a eu crime de génocide, crimes économiques. C’est cela la vérité, le nier c’est faire le jeu de la continuité des crimes de sang et économiques au Congo.
Voilà les raisons, la source de l’initiative de la déclaration de l’Etat du Sud Congo (https://www.youtube.com/watch?v=aPM5RSlqeWY&list=UUiJyq2RJqSWKtLuD4QAbbxA) dont le dossier est bel et bien sur le bureau du Secrétaire général de l’ONU qui a commencé de consulter le régime de Brazzaville.
Il me semble que certains de nos compatriotes ici n’ont toujours pas compris la démarche des opposants congolais qui du reste oeuvrent pour la paix si dans le cas contraire il ya de ceux qui attendent l’affrontement alors allez-y à Brazzaville et commencer la guerre. C’est franchement soucieux de lire dans les propos de certains ici que leurs seuls options c’est l’affrontement. Parler loin du Congo c’est facile le mieux serait d’aller sur place comme l’a fait paulain makaya,,,,et les autres,,,,,car en politique il faut avoir le courage et savoir assumer ces positions.la politique des salons de café c’est du passé, la cyber politique est sans effet puisque l’impact n’est point efficace, aussi le paysan Congolais n’est pas sur le net,,,,,allez donc au pays et faites le tour des villages pour proposer et dire ce qu’il faut ;;;;;;bref,
REVUE ET CORRIGÉ !!!
Les présidentielles post dictature Denis Sassou Nguesso: comment réduire au silence les majorités politiques tribales compactes?
PHILOSOPHIE !
Dans l’entreprise, on recherche et on regroupe les meilleurs talents.
Par contre, en politique, on divise pour mieux régner. C’est la raison pour laquelle la politique pose bien des problèmes socioéconomiques et environnementaux dans diverses sociétés actuelles.
Mais, tout compte fait, la tribu congolaise post coloniale se définit comme une subdivision de l’ethnie et sous une forme d’appartenance politique.
En effet, avant d’être un homme politique ou d’état au Congo, on est naturellement le représentant d’un groupe ethnique quelconque.
Cela d’autant plus par manque d’éducation de la population et de manque de transmission des valeurs démocratiques, de liberté de conscience, d’expression et d’association.
Les visionnaires sont comme des inventeurs ou des savants, c’est à dire qu’ils sont universels et immortels sur différentes échelles.
En effet, André Milongo au lendemain du déclenchement du processus démocratique déclarait en ses termes, je cite « je ne suis pas l’otage d’une tribu ou d’une région … »
Cette pensée visionnaire d’André Milongo avait pour but premier de discipliner les habitudes dé-civilisationnelles tribales et de comportement politico-régionaliste d’un autre temps.
André Milongo souhaitait donc réduire au silence ces habitudes pour que le congolais, du Nord au Sud
et de l’Est à l’Ouest ne se contente pas d’obéir aveuglement à ce que le tribalisme politique ou ethno-régionaliste commande.
S’il suffit d’obéir à la majorité ou coalition tribale pour appliquer l’alternance politique, alors les électeurs issus des tribus minoritaires congolaises ne connaîtront jamais la démocratie.
La seule solution à ce problème à la fois politique, moral et civilisationnel, c’est la mise en place d’un processus démocratique d’élection présidentielle basé sur le collège d’électeurs à l’échelle nationale.
Seule
la synthèse entre le modèle d’élection présidentielle américain, et la constitution congolaise du 15 mars 1992 puis la nouvelle constitution post dictature Denis Nguesso pourra correspondre au mieux à la
problématique « représentativité électorale suprême » au Congo.
Le collège électoral comptabilisera l’ensemble des grands électeurs paritaires par région.
C’est pourquoi, nous devons d’abord repenser l’idée d’une république fédérale au Congo post dictature Sassou Nguesso.
L’idée d’une république fédérale au Congo Brazzaville implique que toutes les collectivités régionales doivent elles-mêmes gérer et participer dans la conduite des affaires politiques, juridiques, administratives, socioéconomiques, culturelles, environnementales et sociétales de leur écosystème local et national.
Cette république nouvelle sera celle de la représentativité juste et viable des collectivités locales à l’échelle nationale.
Nous devons ensuite repenser à l’échelle locale, régionale ou nationale nos modes de pouvoir politique ou économique, de démocratie revisitée ou participative.
Nous devons enfin repenser à l’échelle locale, régionale ou nationale nos modes d’éducation, de formation, de besoins, de production, de consommation, de transport et de rejet dans l’environnement national.
Problème: une organisation quelle qu’elle soit: état, entreprise ou association, peut-elle efficacement fonctionner sans prendre en compte les problématiques de traçabilité, fiabilité et cycle
de vie des données entrantes et sortantes?
Un état peut-il planifier et élaborer un management socioéconomique, culturel et sociétal stratégique et opérationnel sur différentes échelles – quand les données biostatistiques de la population sont fausses? Ça ne colle pas !
Le plan d’action de tout gouvernement reste-il une œuvre humaine et donc perfectible? Cela implique t-il la prise en compte de bien d’autres informations au-delà du simple état civil, carte d’identité et passeport informatisé biométrique, et carte électorale des citoyens?
Le recensement général de la population post dictature Sassou Nguesso a pour objectif de doter l’état et ses institutions nouvelles, les administrations et les collectivités locales reformées d’un véritable outil de travail fiable et d’aide à la décision.
Les résultats de ce recensement général concerneront le volume de la population – la répartition – la structure par sexe, âge, tribu ou groupe ethnique – la situation familiale – l’éducation ou l’enseignement, la formation professionnelle – la maitrise des langues, les nationalités – les migrations intérieures et extérieures – les modes de production, de consommation, de transport et de rejet dans l’environnement – les revenus et pouvoir d’achat – l’activité socioéconomique – les conditions de l’habitat et de logement, d’accès aux soins, à l’eau potable et à l’énergie….
Fiabiliser scientifiquement et techniquement les données statistiques – c’est aider les différents acteurs de la vie publique ou politique, juridique, sécuritaire, militaire, socioéconomique, culturelle, environnementale et sociétale à se libérer et à pouvoir conquérir la maitrise de ces données et donc construire pas à pas la démocratie, la société et la civilisation nouvelle.
En effet, la fiabilité des données statistiques est le signe tangible des connaissances, de liberté, de justice, de démocratie, du savoir, des savoir-faire, de la créativité, de l’innovation, des technologies, des valeurs ajoutées, du progrès, de société et de civilisation nouvelle.
Rendez-vous dans la nouvelle civilisation post tyran Sassou Nguesso !
A Monsieur mackatchicaya dit le 01/09/2014 à 14:55 : « Parler loin du Congo c’est facile le mieux serait d’aller sur place comme l’a fait paulain makaya,,,,et les autres,,,,,car en politique il faut avoir le courage et savoir assumer ces positions. »
Vous semblez oublier des membres du parti de M. Modeste BOUKADIA sont jetés pour 7 ans de prison ferme et lui-même condamnés à 30 ANS de travaux forcés pour avoir exigé la mise en place d’un gouvernement d’union nationale (http://musitsundi.wordpress.com/2014/04/27/brazzaville-congo-un-leader-de-parti-politique-condamne-a-30-ans-de-travaux-forces/) alors que les criminels ne le sont jamais. Bien au contraire ils paradent comme Mathias Dzon, Okombi Salissa qui avaient eu pour mission de « tuer tous les cadres du sud », Mathias DZON ne peut nier cette vérité puisque c’est lui qui payait grassement les Cobras qui tenaient le « FRONT 400 ». Je crois qu’il doit y avoir un peu de tenue dans les propos que l’on tient ici.
Je n’en veux pas ni à Mathias DZON ni à Okombi SALISSA mais je crois qu’il doit y avoir une certaine pudeur si l’on veut arriver à une réconciliation qui est d’ailleurs difficile à faire !
A Malela-Ndoki
Je suis tout a fait en accord avec vous. Certains dirigeants de notre opposition politique doivent se regarder dans un miroir avant de venir nous raconter des balivernes. Mrs DZON et OKOMBI en font partie.
A Malela-Ndoki
Monsieur.
Il ne faut pas travestir l’histoire et surtout quand il s’agit du pays des autres, même si bon nombre des congolais ont aussi la nationalité française.
Dans une lutte, il y’a le symbole et la substance.
Degaulle, comme l’avait souvent raillé Mitterrand, est un symbole (résistant de l’extérieur ou porte parole avec le conseil national de la résistance) et non pas un résistant au sens premier. Les vrais résistants ont été sur le terrain et non pas au chaud en Angleterre. Ce sont ceux qui ont saboté et donné de leur vie en combattant… Si tous avaient été au chaud en Angleterre comme Degaulle…
Degaulle est juste un symbole et celui qui a initié avec son conseiller jacques Foccart le malheur de l’Afrique avec la Françafrique, une mutation du colonialisme que nous subissons jusqu’à ce jour , qu’illustre bien les Francs des Colonies Françaises d’Afrique (fcfa).
Il a le mérite d’avoir eu une vision grande pour la France, mais les vrais résistants l’ont mis en ballotage en 1965 en soutenant Mitterand.
L’auteur de cet article a certainement la liberté de faire part de ses points de vue mais, il manque d’objectivité quand il tape sur l’opposition intérieure dans son ensemble.
Soyons serieux, j’ai écouté l’intervention de Mathias Nzon, en aucun moment il a dit ou a prétendu devenir le 1er Ministre de Transition, çà c’est du mensonge et de l’intoxication; c’est ce que nous reprochons au dictateur et son clan. Et puis, ce n’est qu’une proposition qu’il a faite, il n’a pas le monopole de la reflexion ni toi mais c’est en prenant en compte toutes ces propositions qu’on pourrait le moment venu ressasser les bonnes idées qui conviennent au contexte et au peuple pour faire partir la dictature. Mais dans la division rien ne sera fait. Aussi, un peu de respect à l’opposition intérieure qui se bat depuis des années contre un système qui empeche tout. Un peu d’humilité vis à vis de cette opposition qui a fait avancé bien de dossiers. Dit moi est ce que le débat actuel sur la constitution a été initié par toi et tes petits amis les opposant du web? alors un peu de sérieux, le moment est au rassemblement et à la réflexion sur des stratgies communes: Plan A, B, C etc…..