Le Sénégal est un des très rares pays d’Afrique qui n’ait jamais connu de coup d’Etat. Est-il pour autant un modèle de démocratie ? Cela semblerait loin d’être évident… !
Pourtant le combat mené lors des dernières élections présidentielles avait suscité l’admiration de tout le continent, et bien au-delà. Les Sénégalais avaient intelligemment et collectivement pu faire barrage à l’octogénaire Wade dans sa volonté de se maintenir au pouvoir.
Des télégrammes de l’Ambassadrice des Etats-Unis à Dakar, révélés par le site de l’ONG WikiLeaks, avaient décrit Abdoulaye Wade, et son fils Karim, comme plus occupés à ouvrir la voie à une succession dynastique qu’à régler les problèmes urgents liés aux conditions de vie de plus en plus difficiles de la population. L’Ambassadrice notait alors, en 2009, que Karim était surnommé « Monsieur 15 % » alors qu’au début de 2007, on l’appelait « Monsieur 10 % ».
Cette révélation de Wikileaks s’apparente beaucoup à ce qui se passe au Congo, sauf que des « Karim » il y en a quarante dans notre pays (comme les « 40 voleurs ») et que les appeler « Monsieur ou Madame 15% » serait une insulte impardonnable (« invective ») faite à leur insatiable appétit. Des prix de marchés multipliés par 10, des cargaisons entières qui disparaissent ; Karim Wade n’est qu’un enfant de cœur au regard de notre « Kiki 1er, le pétrolier» et autres rejetons Nguesso.
La fortune du fils Wade, évaluée par certains à 700 milliards de francs CFA (environ 1 milliard d’euros), a interpellé la justice sénégalaise. Auditionné par la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), il a bien été inculpé d’« enrichissement illicite » pour un montant de 117 milliards de FCFA, et écroué avec sept autres personnes, le 18 avril 2013, à Dakar. C’est dans cette prison de Rebeuss, au début du mois de juillet suivant, que Kiki Sassou Nguesso lui avait rendu visite par solidarité entre grands délinquants en col blanc mais également du fait de sa grande proximité avec Sindiély Wade, la sœur cadette.
Depuis près d’une décennie, l’instruction de l’affaire des Biens Mal Acquis, démarrée sous Jacques Chirac, diplomatiquement (Centrafrique oblige) tarde à être bouclée et à être transmise à la Cour compétente ; la raison en est que tout le clan Sassou Nguesso est au centre de cette affaire. Alors nombreux étaient ceux qui espéraient, à l’ouverture du procès « des biens mal acquis sénégalais » le 31 juillet 2014 à Dakar, que son déroulement serait exemplaire afin que leur soif de justice soit étanchée. Même très partiellement… !
Une quarantaine d’avocats ont été mobilisés à cet effet, de part et d’autre (certains plus tard en viendront aux mains). Mais au fil des journées d’audience et des suspensions de séances à répétitions, l’opinion publique qui était au début de l’affaire largement du côté gouvernemental s’est mise à glisser vers le « camp Karim » ou pour le moins dans celui « anti-Macky Sall » ; pour une bonne part, « parce que les poursuites entamées par l’actuel président sont de plus en plus mal perçues par la population et surtout parce qu’il n’est pas, lui-même, exempt de tout reproche. »
Le Sénégal, confronté à des difficultés grandissantes, est dans une situation d’exigence d’un Droit incontestable et d’un exercice d’une Justice irréprochable. Le désir profond de l’opinion sénégalaise ne serait pas d’exonérer cette famille d’intrigants et de prévaricateurs, mais celui très fort d’avoir enfin une Justice au dessus de tout soupçon. Les Sénégalais se sont ainsi retournés contre Macky Sall en résonnant de la sorte : « De toute façon lui aussi a volé de l’argent car il a déclaré un patrimoine de 9 milliards, alors c’est injuste que Karim soit emprisonné alors que le Président lui-même s’est servi aussi ! »
Dans la patrie de Léopold Sédar Senghor, comme dans tous les pays francophones, la fonction du « Président » ressort bien comme étant celle du « Premier Magistrat » de la République. Les avocats de Karim Wade l’ont bien perçu eux-aussi, et ils ont beau jeu, stratégiquement, « de contester la justice d’un Macky Sall tout aussi voleur et corrompu que le Client qu’ils ont à défendre ! »
Ce résonnement simpliste, encouragé très sûrement par les communicants du clan Wade, amènera ce procès à une issue incertaine mais très sûrement également à une crise politique ; le bilan de Macky Sall est de plus en plus contesté, autant que celui de ses prédécesseurs, Abdou Diouf y compris. « Ici politique signifie s’enrichir ! Ils gouvernent pour s’enrichir et non pour le développement du pays. Le Sénégal est certes un modèle en démocratie dans le continent, mais en matière de corruption, surtout de clientélisme, il ne vaut pas mieux que les autres pays » affirme-t-on à Dakar.
Force est de constater que la Justice congolaise, gérée toujours en famille par le déjà exilé béninois, le très vieil Oncle Aimé Emmanuel Yoka, est une des pires qui soient ! Elle se situe encore au niveau de sombres procès staliniens ; celui de Marcel Ntsourou qui se déroule actuellement n’est qu’un pâle « remake » de celui des attentats contre le Cinéma Star et l’Aéroport de Maya Maya en mars et juillet 1982. Les peines prononcées avaient été, déjà, 5 années de prison avec sursis pour J.P. Thystère Tchikaya (comme pour Marcel Ntsourou en 1ère instance) et une condamnation à mort mascarade pour Claude Ernest Ndalla Graille qui se vantait de « les avoir bien suspendues…», aujourd’hui très proche de celui qui a failli être son bourreau !
La Justice de la République du Congo ne pourra être crédible, audible et acceptée par la population que lorsque le « Premier Magistrat » de la République sera une personnalité elle-même irréprochable, respectueuse des droits et devoirs de chacun comme des siens propres. Nul ne doit être au-dessus de la loi, et l’exemple, pour qu’elle s’applique effectivement à tous, voudra qu’il vienne du sommet de l’Etat.
Le procès de Karim Wade risque fort de tourner rapidement à la parodie. La Justice en laquelle tous les Congolais espèrent en est tout aussi éloignée qu’elle l’est du procès Ntsourou. Il nous faudrait peut-être prendre exemple sur ce qui se passe en Afrique du Sud.
Libres depuis moins de temps que nous sommes devenus, nous-mêmes, victimes de « l’apartheid économique d’Oyo » et de la ségrégation financière de Denis Sassou Nguesso (« tout pour mes gosses, rien que pour mes gosses ! ») le 21 août dernier, les Combattants de la Liberté Economique (Economic Freedom Fighters) avaient interrompu une séance du Parlement provincial de Gauteng devant lequel se présentait Jacob Zuma. Ils l’ont interpellé ainsi : « Quand allez vous remboursez l’argent que vous devez ? Le Défenseur Public vous a ordonné de payer et nous voulons connaître la date à laquelle vous allez le faire ?». Menacé d’être expulsés, ils se sont tous mis à chanter « Rends l’argent ! Rends l’argent ! »
Incontestablement nous pourrons prétendre avoir rattrapé l’immense retard que nous accusons, dans l’exercice du Droit et de la Justice, lorsque Denis Sassou Nguesso sera installé, et il n’y a rien d’infâmant à cela, tout comme son ami Jacob Zuma devant le Parlement rassemblé et que des compatriotes lui chanteront sur le même refrain, comme dans la vidéo : « Rends l’argent ! Rends l’argent ! »
Pour information, les Sud-Africains attendent que Zuma rembourse 15 millions de dollars (7,5 milliards FCFA) ; ce que la famille Nguesso devrait rembourser serait mille fois plus important soit 15 milliards de dollars (7500 milliards FCFA).
Au minimum !
Rigobert OSSEBI
REVUE ET CORRIGÉ
Les présidentielles post dictature Denis Sassou Nguesso: comment réduire au silence les majorités politiques tribales compactes?
PHILOSOPHIE !
Dans l’entreprise, on recherche et on regroupe les meilleurs talents.
Par contre, en politique, on divise pour mieux régner. C’est la raison pour laquelle la politique pose bien des problèmes socioéconomiques et environnementaux dans diverses sociétés actuelles.
Mais, tout compte fait, la tribu congolaise post coloniale se définit comme une subdivision de l’ethnie et sous une forme d’appartenance politique.
En effet, avant d’être un homme politique ou d’état au Congo, on est naturellement le représentant d’un groupe ethnique quelconque.
Cela d’autant plus par manque d’éducation de la population et de manque de transmission des valeurs démocratiques, de liberté de conscience, d’expression et d’association.
Les visionnaires sont comme des inventeurs ou des savants, c’est à dire qu’ils sont universels et immortels sur différentes échelles.
En effet, André Milongo au lendemain du déclenchement du processus démocratique déclarait en ses termes, je cite « je ne suis pas l’otage d’une tribu ou d’une région … »
Cette pensée visionnaire d’André Milongo avait pour but premier de discipliner les habitudes dé-civilisationnelles tribales et de comportement politico-régionaliste d’un autre temps.
André Milongo souhaitait donc réduire au silence ces habitudes pour que le congolais, du Nord au Sud
et de l’Est à l’Ouest ne se contente pas d’obéir aveuglement à ce que le tribalisme politique ou ethno-régionaliste commande.
S’il suffit d’obéir à la majorité ou coalition tribale pour appliquer l’alternance politique, alors les électeurs issus des tribus minoritaires congolaises ne connaîtront jamais la démocratie.
La seule solution à ce problème à la fois politique, moral et civilisationnel, c’est la mise en place d’un processus démocratique d’élection présidentielle basé sur le collège d’électeurs à l’échelle nationale.
Seule
la synthèse entre le modèle d’élection présidentielle américain, et la constitution congolaise du 15 mars 1992 puis la nouvelle constitution post dictature Denis Nguesso pourra correspondre au mieux à la
problématique « représentativité électorale suprême » au Congo.
Le collège électoral comptabilisera l’ensemble des grands électeurs paritaires par région.
C’est pourquoi, nous devons d’abord repenser l’idée d’une république fédérale au Congo post dictature Sassou Nguesso.
L’idée d’une république fédérale au Congo Brazzaville implique que toutes les collectivités régionales doivent elles-mêmes gérer et participer dans la conduite des affaires politiques, juridiques, administratives, socioéconomiques, culturelles, environnementales et sociétales de leur écosystème local et national.
Cette république nouvelle sera celle de la représentativité juste et viable des collectivités locales à l’échelle nationale.
Nous devons ensuite repenser à l’échelle locale, régionale ou nationale nos modes de pouvoir politique ou économique, de démocratie revisitée ou participative.
Nous devons enfin repenser à l’échelle locale, régionale ou nationale nos modes d’éducation, de formation, de besoins, de production, de consommation, de transport et de rejet dans l’environnement national.
Problème: une organisation quelle qu’elle soit: état, entreprise ou association, peut-elle efficacement fonctionner sans prendre en compte les problématiques de traçabilité, fiabilité et cycle
de vie des données entrantes et sortantes?
Un état peut-il planifier et élaborer un management socioéconomique, culturel et sociétal stratégique et opérationnel sur différentes échelles – quand les données biostatistiques de la population sont fausses? Ça ne colle pas !
Le plan d’action de tout gouvernement reste-il une œuvre humaine et donc perfectible? Cela implique t-il la prise en compte de bien d’autres informations au-delà du simple état civil, carte d’identité et passeport informatisé biométrique, et carte électorale des citoyens?
Le recensement général de la population post dictature Sassou Nguesso a pour objectif de doter l’état et ses institutions nouvelles, les administrations et les collectivités locales reformées d’un véritable outil de travail fiable et d’aide à la décision.
Les résultats de ce recensement général concerneront le volume de la population – la répartition – la structure par sexe, âge, tribu ou groupe ethnique – la situation familiale – l’éducation ou l’enseignement, la formation professionnelle – la maitrise des langues, les nationalités – les migrations intérieures et extérieures – les modes de production, de consommation, de transport et de rejet dans l’environnement – les revenus et pouvoir d’achat – l’activité socioéconomique – les conditions de l’habitat et de logement, d’accès aux soins, à l’eau potable et à l’énergie….
Fiabiliser scientifiquement et techniquement les données statistiques – c’est aider les différents acteurs de la vie publique ou politique, juridique, sécuritaire, militaire, socioéconomique, culturelle, environnementale et sociétale à se libérer et à pouvoir conquérir la maitrise de ces données et donc construire pas à pas la démocratie, la société et la civilisation nouvelle.
En effet, la fiabilité des données statistiques est le signe tangible des connaissances, de liberté, de justice, de démocratie, du savoir, des savoir-faire, de la créativité, de l’innovation, des technologies, des valeurs ajoutées, du progrès, de société et de civilisation nouvelle.
Rendez-vous dans la nouvelle civilisation post tyran Sassou Nguesso !
Etant d’origine congolaise, ayant habité pendant 18ans en Suisse, pour ma dignité gardé ma nationalité congolaise au courant de mon séjour en Europe.
Actuellement et depuis 2ans, ayant acquis la nationalité sénégalaise: je ne le regrette pas du tout, car se sentant Panafricaniste, il fallait au moins acquérir une nationalité, mais pas celle de l’occident.
Je suis sénégalais, et le serais durant toute ma vie.
Tous les voleurs et destructeurs du patrimoine commun des Congolais feront tous la prison a defaut de les fusilles.A malin malin et demi
CES UNIVERSITAIRES CONGOLAIS AU SERVICE DE LA GESTION CLANIQUE DE SASSOU
ILLUSION TECHNOCRATIQUE ET MISÈRE INTELLECTUELLE DES MINISTRES DU CONGO BRAZZAVILLE
LETTRE OUVERTE A ONDONGO MINISTRE D’ÉTAT
En regardant la Vidéo de MATHIAS DZON, il a en fin connaisseur des mécanismes peu orthodoxes de la gestion des finances congolaises, porté une accusation grave envers le Ministre actuel de l’Économie et des Finances:
UNE BANQUE PRIVÉE AYANT POUR PRINCIPAL ACTIONNAIRE SASSOU SERT MAINTENANT DE TRÉSOR PUBLIC BIS!
Cela dépasse mon entendement et j’interpelle ce DOYEN qui nous a précédé a PARIS II de s’en expliquer publiquement!
QUELLE DÉCHÉANCE MORALE ET INTELLECTUELLE! si c’était vrai!
ONDONGO, cher ANCIEN NE VOUS R.ADADAnisez pas!
C’est à dire NE DEVENEZ PAS CE MINISTRE FANTOCHE QUI POUR RESTER MINISTRE EST PRÊT A TOUTES LES COMPROMISSIONS!
PS: Je comprends maintenant le role qu’on pourrait faire jouer à l’ AGENCE DE LA BEAC D’OYO!
Bon article. Trop c’est trop!
Où va l’argent de l’or noir, pour reprendre l’indignation et l’étonnement du président Théodoro Obiam Nguéma ? En voyant l’état de délabrement avancé de Sibiti,lors de la célébration du 54ème anniversaire du Congo à Sibiti, le président équato-guinéen, ne pouvait pas se retenir de demander aux devant certains collaborateurs du dictateur congolais en ces termes: « Comment avec autant d’argent, l’intérieur du Congo peut-il être dans un état aussi calamiteux, pitoyable et désastreux, alors que tous les équato-guinéens vivant au Gabon sont rentrés, et que notre pays se transforme? Où va l’argent public congolais? ».Le Congo n’a, depuis plus de trente ans, jamais été gouverné normalement. » disant mieux depuis 1977. » Et surtout depuis l’immigré béninois-ivoirien de se hisser au pouvoir dans notre pays) comme l’ a commenté madouma lissafi.Le dictateur Sassou-Nguesso, sa famille, son clan et ses courtisans ont méthodiquement vidé les caisses. L’entourage du tyran d’Oyo s’est enrichi sans vergogne, au détriment d’une population clochardisée.Aujourd’hui, les congolais ne vivent pas, mais survivent… » Les congolais meurent comme des mouches et vivent dans des conditions épouvantables et sont exposés à tout genre d’épidemie par manque total d’ hygiène. L’OMS devrait fermer sa direction en guise de protestation » Ne laissons pas au dictateur Sassou-Nguesso s’asseoir sur nos institutions en humiliant l’ensemble du pays et ses forces vives. A l’impossible, le peuple congolais n’est tenu.(http://congo-liberty.com/?p=9972). » Non au changement de la constitution! Non au referandum. Par ailleurs il ne vaut pas la peine que l’opposition, les intellectuels perdent leur temps pour ce faux débat. L’heure est arrivée pour déposer le tiran et son systéme.
http://brazza-news.com/changement-constitution-au-congo-brazzaville-benjamin-toungamani-faire/. Réunissons nous sans plus attendre 2016 et brisons les chaines de misère qui nous retiennent.
Mes Chers compatriotes !
Tant que SASSOU sera au pouvoir, nul procès sur les biens mal acquis ne pourrait se tenir au Congo.
Sassou est le premier magistrat du pays.
Un magistrat non seulement respecte et applique la loi, il a aussi un pouvoir d’interprétation. Interprétant à sa façon le droit congolais, sassou a certainement trouvé un texte de loi qui lui permet de s’enrichir allègrement sans risque d’être inquiété par le système judiciaire qu’il a lui même a mis en place et contrôle.
Quel est le magistrat, capable de risquer sa vie en ouvrant une instruction sur le scandaleux vol d’Etat perpétré par la dysnatie d’Oyo ?
Sassou, criminel, voleur, n’doki, dont la progéniture est composée de plus de zaïrois ( KIKI, claudia, ninelle et les autres bâtards),attend tranquillement son dernier jour.
Pas d’écoles , pas d’hopitaux, pas d’eau, pas d’électricité pour la population, donc pas de tombe de Sassou au CONGO, il préfère l’ETRANGER donc tombe à l’étranger comme MUBUTU.
Patience,patience,même les petit-fils seront dans les geôles en attendant leurs 18ans d’âges légales pour être(encore)dans les geôles!Ils paieront!Tous!!!!
Je me permets de dire à l’auteur que votre analyse et les perspectives que vous y avez faites SERAIENT RECEVABLES DANS LE MEILLEUR DU MONDE (CONGOLAIS) AUQUEL NOUS AVONS TOUS CRU pendant des années, JUSQU’AU JOUR où NOUS c’est-à-dire, LES AUTRES (selon Sassou. Cf. Son discours du 12/08/14 devant son congrès), RESSORTISSANTS DU SUD CONGO AVIONS COMPRIS QUE L’ON SE FAISAIENT BERNER PAR LES UNS (Ressortissants du Nord). Ces derniers depuis LONGTEMPS AVAIENT RESOLU DE SE COUVRIR DES ORIPEAUX DE LA REPUBLIQUE DU CONGO, du DISCOURS SUR L’UNITE NATIONALE et L’INDIVISIBILITE du territoire pour en REALITE NOUS ANEANTIR! TELLE EST L’EFFROYABLE REALITE QUE LA LUCIDITE INTELLECTUELLE NOUS EMMENE MALHEUREUSEMENT A VOIR!
C’est pour CELA, qu’au FOND, les Sud Congolais ne sont CONFRONTES QU’A UNE SEULE ALTERNATIVE, UNE SEULE QUESTION FONDAMENTALE: SE SEPARER DES NORDISTES POUR ENFIN ÊTRE LIBRES, PRESERVER LEUR VIE ET ASSURER LES CONDITIONS DE LEUR EPANOUISSEMENT. Et, donc, REJOINDRE, L’ETAT DU SUD CONGO ou CONTINUER LA COEXISTENCE MORTIFERE, REGRESSIVE, MEDIOCRE et ASSERVISSANTE sous le joug des Nordistes!
Le bon sens DEVRAIT RAISONNABLEMENT EMMENER les Sud-Congolais à FAIRE LE CHOIX DE LA VIE et non de LA MORT! Car, le PARCOURS QUE NOUS AVONS EU AU CONTACT DES NORDISTES EST SUFFISAMMENT ELOQUENT POUR FAIRE TOMBER TOUTE CECITE INTELLECTUELLE! A cela, ON NE PEUT QUE REMERCIER, LES 9 SIGNATAIRES DE NOUS AVOIR MIS LA PUCE A L’OREILLE DE PAR LEUR AUDACE!
Nos frères du nord se comportent comme des personnes qui n’ont aucune conscience. Nous avons comme l’impression à la place de leurs cerveaux il n’y a qu’une éponge. Ils se comportent comme des gangsters sans loi à l’égard de leurs frères du sud. Et d’ailleurs ils prennent du plaisir d’avoir massivement exterminé les Bakongo en 1998. Il y’a parfois a se demander si nos frères du nord font appel a l’esprit critique. Durant le génocide de 1998 perpétré par sassou et ses cobras mbochis, aucune voix des intellectuels venant de la partie nord du pays ne s’était levé pour dénoncer ses actes barbares commandités par leur champion nommé sassou. En plus, aujourd’hui nous voyons toutes et tous ce qui se passe dans notre pays. Tous les posts a haute responsabilité sont entre les mains des mbochis. Et lorsque les gens du sud dénoncent cet état des faits, les nordistes crient au scandale et nous traitent des tribalistes. Pour entreprendre au Congo, il te faut un parrain mbochi. Et nos frères du nord cela ne les choquent pas et ils trouvent tout ceci normal. Quand les frères du sud critiquent la façon dont est gérée les revenus générés par l’exploitation de nos matières premières par le gouvernement sassou et ses enfants pléthorique. Nos frères du nord crient au terrorisme.
Tout ceci montre bien que les frères du sud n’ont pas la même conception culturelle des choses. Donc, au lieu de passer notre temps a persuader et a convaincre nos frères du nord à changement de comportement ce qui est une peine perdue. Il est préférable que nous puissions nous séparer afin de préserver les nôtres des affres et de la barbarie de ses êtres venus d’un autre monde. Au moins, dans cette nouvelle république ( Sud Congo) les nôtres pourront enfin espérer à des lendemains meilleurs.