Cette question lancinante d’Horace est l’une des questions fondamentales que doivent se poser nos élites surtout ceux des partisans du changement de la constitution ; les mœurs de la vie politique congolaise sont les plus rétrogrades quand on analyse en profondeur les travers que les congolais ont connu ; trois guerres civils, plus sept coups d’états, treize constitutions dont six en régimes d’exception, sans parler de crimes économiques ; comme on peut le constater la situation est d’une telle gravité que l’opposition a raison de solliciter auprès du pouvoir la mise à plat de tous ses maux.
C’est pourquoi dans les débats qui secouent notre pays les partisans du changement de la constitution font semblant de ne pas scruter en profondeur les arguments de l’opposition, des Assises Nationales, et ceux de la société civile qui sont d’une pertinence inouïe car ils oublient un peu trop vite notre passé commun, en un mot notre histoire.
A ceux qui ont la mémoire courte Karl Max dans sa grille de lecture nous le rappelle à juste titre que l’on connait les hommes par leurs pratiques sociales et leurs actes ; les vestiges de la culture du parti unique sont encore présents dans nos mémoires et dans nos esprits ; on se rappellera des faux procès contre Tchystère Tchicaya, Yombi Opangault, les tueries sommaires de Kibouala Kaya et bien d’autres, les arrestations arbitraires, les empoisonnements et autres pratiques d’un passé communiste jamais révolu.
Aussi une notre grille de lecture c’est celle des pères de la psychanalyse, qui, dans l’étude de la psychologie des profondeurs arrivent à déceler en nous nos déviances cachées, nos perversions, notre moi ; c’est ainsi que Freud, Nietzche, Karl Yung, nous aident à identifier la part cacher des comportements de nos hommes politiques, une chose est sûre c’est que nous avons identifié en plus de 30 ans de vie politique plusieurs maladies infantiles des hommes politiques congolais : c’est l’instinct de domination, l’instinct de conservation, l’égocentrisme, l’opportunisme, le mensonge, le narcissisme, la manducation, etc…
A la lumière de ces deux grilles on peut observer que les premières républiques postindépendance avaient plus de mérite, de vertu, que celles de l’ère du parti unique. La constance la plus courante des hommes politique congolais c’est celle de la régulation de la vie politique par la violence. Combien des hommes et des femmes sont morts par l’instinct de domination des uns et par l’instinct de la conservation du pouvoir.
L’autre grande faute enracinée dans nos mœurs c’est celle du non-respect de la norme et des règles communément admises; le pouvoir en place ne respecte pas les valeurs et les principes qui régissent toute démocratie ; plus grave les valeurs et les principes que lui-même s’est donné et qui sont contenus dans sa propre constitution à savoir la liberté, l’unité nationale, l’égalité, la justice.
Ces valeurs ne sont pas respectées au Congo ; en témoigne les récentes expéditions punitives contre Tsourou, maitre Malonga, Mpouele, Mankelé, et les membres de l’opposition congolaise dont Clément Miérassa et bien d’autres ; ces méthodes et ces habitudes ont toujours été celles du système en place : la régulation de la vie politique par la violence, le mensonge, la pensée unique, en un mot un système sans fondement moral. Les conséquences d’une telle vie politique sont multiples, c’est ce que l’opposition appelle crise multidimensionnelle.
Commençons par l’une des plaies des mœurs politiques congolaises c’est la politique politicienne dont le trait dominant est la politique d’arrangement, de combinaisons obscures, et autres artifices ; en effet nul n’ignore que hier le socle commun de la vie politique s’articulait autour des idéologies ; l’idéologie d’inspiration communiste, d’inspiration capitaliste, d’inspiration socialiste, d’inspiration social-démocrate ; les uns et les autres se regroupaient et tissaient des alliances en fonction du rapprochement de leurs valeurs ; et les acteurs s’affrontaient et se mouvaient selon qu’ils appartenaient à tel ou tel camp ; aujourd’hui au Congo les affrontement ne s’organisent plus sur les questions d’ordre idéologiques mais sur la question de savoir qui va contrôler au mieux le pouvoir d’Etat pour assouvir ses besoins et ceux de son clan et son groupe ethnique.
Une autre dimension des mœurs politiques congolaises c’est celle de la possession des biens matériels, car depuis l’aube des temps les responsables politiques congolais ont toujours pensé que la vie politique se résumerait pour eux dans l’enrichissement et dans la possession des biens matériels ce dans l’intérêt d’entretenir leur être biologique et de jouir des plaisirs des sens ; vivant dans une telle obsession ils sont sous l’emprise de la manducation c’est-à-dire la gourmandise qui est l’excès du boire et du manger ; or l’excès du boire et du manger ; c’est le sensualisme usurpant la place du spiritualisme ; c’est la chair victorieuse dans sa lutte contre l’esprit ; et pour y parvenir à cette fin les responsables politiques congolais ont pris en otage l’Etat et y ont fait de la fonction politique une fonction d’enrichissement afin de leur garantir le bien être.
Une des plus grandes faiblesses des mœurs politiques congolaises c’est la faiblesse d’ordre éthique, l’un des plus grands philosophes Athéniens Aristote qui a le plus penser la politique définit celle-ci comme une science du comportement dans la cité ; d’où l’importance qu’il a accordé aux vertus qui sont les rayons de lumière qui doivent éclairer ceux qui ont la prétention de pouvoir gouverner les autres. Aristote et son maitre Platon ont d’ailleurs classifié les vertus entre celles qui élèvent l’homme et les qualités qui abaissent l’homme ; au Congo les hommes politiques ont plus brillé par les qualités qui abaissent, telles, la haine, l’orgueil, l’intolérance, l’intempérance, la lâcheté, etc.…on comprend bien pourquoi le Congo est en manque des grands hommes d’Etat.
Soulignons aussi l’autre grand mal qui mine la société congolaise qui est la corruption. Aujourd’hui notre république est parmi la plus corrompue au monde, elle a atteint toutes les couches sociales ; en effet lorsque la république est corrompue, c’est-à-dire altérée, elle est rendue autre, elle n’est plus elle-même, elle est morte. Montesquieu dans l’esprit des lois disait qu’il faut obliger l’homme politique « d’avoir la vertu politique en république car elle concerne ceux qui ont charge l’Etat, pour qu’ils ne se mettent pas à le piller aussi, que les citoyens pour qu’ils ne préfèrent pas à sacrifier la rigueur indispensable au bien commun au profit de leurs commodités personnelles, sinon la république est une dépouille et sa force n’est plus que le pouvoir de quelques-uns ».
Après les indépendances la morale du pays élevait au pouvoir des hommes éminents surtout des hommes qui gardaient et observaient les mœurs de nos ancêtres et celles reçues de l’ordre colonial qui mettaient l’accent sur certaines vertus civiques telles l’honnêteté, le respect, la sobriété, la loyauté, l’effort dans le travail etc.…
Pour terminer notre propos on peut dire que le maintien de la concorde nationale n’est pas possible sans justice, car la justice est l’une des vertu cardinale de la bonne gouvernance de la république, or s’il n’ y a pas de droit sans justice, le droit n’incarne pas à lui seul la justice, la justice est une vertu publique, elle nécessite des hommes justes pour l’incarner dans leurs mœurs c’est-à-dire dans leurs manières d’êtres ; Machiavel nous montre avec une clairvoyance inouïe le rapport entre république et vertu publique qui rejoint d’ailleurs l’interrogation d’Horace, Machiavel écrit que « de même que les bonnes mœurs, pour se conserver, ont besoin des lois, et les lois, pour être observées, ont besoin des bonnes mœurs ». Les bonnes lois sont insuffisantes seules, il faut des bons gouvernants vertueux qui ont une haute idée du Bien et de l’intérêt général pour qu’ils puissent les observer.
On est en droit de se poser la question de savoir si la république du Congo Brazzaville ne ressemble pas à la république romaine avant sa chute ; c’est ce qui fait dire à Cicéron que les causes principales de la chute de Rome ce sont les vices, l’injustice, la corruption, en un mot l’immoralité des romains.
Le philosophe Sénèque précepteur de Néron n’avait pas tardé de faire ce constat amer sur la république de Rome, il déclare : « ce ne sont point les barbares qui ont détruit l’empire romain, ce sont les vices qui ont vaincu les triomphateurs du monde et tout ce que la vertu avait élevé s’écroula par les excès » ; Juvénal n’est pas en reste quand il déclare que : « l’univers asservi par les romains réclamait des vengeurs ; c’est la corruption, plus formidable que les armes qui s’est chargée de cette exécution. Tous les crimes, toutes les scélératesses ont fondu sur nous depuis que Rome a perdu sa pauvreté ; le luxe et les richesses ont brisé notre puissance »
Ce dont le peuple congolais redoute et reproche au pouvoir c’est de revivre pendant plus de 5 ans dans ce système faite de violence, de la corruption, du mensonge, du manque de liberté, d’intrigue, d’immoralité, d’injustice, de la police politique, d’intolérance, d’arrogance, du manque de respect des autres bref, on connait le lourd tribu que cela nous a couté alors faisons nôtre cette réflexion d’un politique italien du 18è siècle qui disait : « les nations vivent des qualités et des vertus de leurs hommes politiques ; elles meurent de leurs défauts, de leurs fautes, et de leurs crimes ». Que le peuple congolais nous donne ces nouveaux hommes et ces nouvelles femmes imbues des hautes vertus morales et spirituelles pour que le Congo Brazzaville retrouve sa beauté première qui a fait de notre pays le haut lieu de la liberté.
Marcel ABIGNA.
Très beau texte en dépit des nombreuses fautes d’orthographe…
Effectivement le texte de Mr Abigna est très beau comme l’a souligner le précedent internautes malgré les quelques fautes orthographiques qu’il comporte. Toutefois il met a nu ou presque le comportement de la caste ou du clan d’Edou -Oyo au pouvoir et même des intellectuels congolais qui défend ce système sans avenir pour notre pays. Personnellement, je ne comprends pas que des intellectuels comme le Prof. et historien T. Obenga, des juristes comme Madoudou ou Marcellin Dzoumanguélé pour ne citer que ceux là, se laissent manipuler par un Sassou Nguesso qui a terminé sa scolarité avec BEPC+ 1 avant d’être recruter dans l’armée par l’abbé Fulbert Youlou. Franchement la minable prestation que nous avons tous suivie de la part de ceux qui prétendent être nos élites ( même si ces intellectuels avaient faim, s’il vous plait) me fait douter sérieusement de leur niveau académique. Je suis persuadé qu’ils ont du acheter leur titres ou diplômes universitaires. Tous ces intellos orphelins d’idées et d’ambition restent un danger pour notre pays. Sans les philosophes des lumières et autres écrivains français du 18è sièle, la révolution de juillet 1789 n’aurait jamais eu aujourd’hui autant d’écho. Je regrette beaucoup que notre pays a toujours pour modèle la France. Il faut connaitre certainement des langues pour beaucoup connaitre même au dela de la soi disant » notre mère patrie ». Je viens de découvrir un homme, en fait un jeune espagnol Íñigo Errejón Galván, né a Madrid, 1983, il a 31ans seulement aujour’hui, c’ est un politologue et politicien du Royaume d’Espagne. il y a obtenu son doctorat en science politique il y a un peu plus de trois ans, actuellement il est chargé de l’idéologie de la nouvelle association politique espagnole connue sous le nom de PODEMOS. Il est libre dans la pensée et dit ce qu’il pense sans détour. Je vous inviterai à le suivre pour ceux qui connaissent l’espagnol, et vous vous en rendrez bien compte que ni Obenga, ni Madoudou, ni Ndzoumanguélé, ni Mabiala, ni Okiémi ne valent le niveau intellectuel de ce petit agé seulement de 31 ans. Je ne dis pas qu’il n’ y a pas des intellos dans notre pays. Dans le débat sur la Constitution certains prof. de l’université ont démontré avec brio, et magnanimité que le projet de Sassou et ses acolytes à vouloir changer la constitution de 2002 était suicidaire pour notre pays. Ils ont même appelé cela, avec raison bien sûr coup d’Etat. Je les félicite. Mais pas ceux là qui ayant achété leurs titres universitaires se permettent de s’appeler professeurs, maitres avocats alors que leur niveau est vraiment en deça de ce qu’ils prétendent être en vérité. Incapables de tenir un raisonnement cohérent sur la constitution de 2002 que Sassou Nguesso (pour certains d’entre eux le messie congolais) veut simplement changer pour mourir au pouvoir, ils se sont livrés par le voyourisme le plus obsène à étaler leur débilité intellectuel sur la place publique proferant des hérésies politico juridiques jamais entendues dans l’histoire des peuples et des civilisations universelles.
Isidore AYA TONGA, membre actif ou très actif des assises nationales pour l’alternance politique apaisée au Congo, et membre participant du comité d’action, de Congo y a sika, codicord, mccd et puis se réserve droit de ne pas prendre à la règle prete, la pensée de Victoir Tamba Tamba…
Pour Victor Tamba-Tamba, un autre dirigeant du CAP, le fameux dialogue ne porterait pas par exemple sur les questions de changement de constitution, notamment sur des articles verrouillés qu’il a estimé être déjà « définitivement alors définitivement réglés par l’actuelle constitution ».
Victor Tamba-Tamba a affirmé être plutôt favorable à un dialogue qui traite des questions de gouvernance démocratique et l’alternance au mandat actuel du président Denis Sassou N’Guesso. « Celui qui viendra avec un dialogue à sa façon et qui ne concerne pas les intérêts du peuple ne sera pas écouté.
Nous ne le suivrons pas. Il ne s’agit pas pour nous de dialoguer sur un éventuel troisième mandat du PCT, mais comment préparer l’alternance avec des élections justes et équitables.
Nous souhaitons un dialogue plus serein au cours duquel nous pourrions discuter des questions du fichier électoral, du recensement administratif ou de Commission électorale qui est jusqu’à ce jour non independante », a-t-il tempêté devant les journalistes.
Voilà qui est au moins clair comme l’eau de roche. Oui, il n’y a rien à négocier avec le pct sinon que:
le recommencement du recensement du corps électoral
la rédaction d’une nouvelle loi électorale
le retour au découpage electoral de 1992
la mise en place d’une commission électorale indépendante.
Tout ceci doit intervenir dans un calendrier bien établi. La fin du deuxième trimester 2015 devrait être le terme de tous ces changements. Les Burkinabé ont travaillé en l’espace de 2 semaines pour définir la gouvernance de leur transition. Alors, pourquoi pas les congolais? Le recensement devrait prendre au maximum 5 à 6 mois vu qu’une partie du travail avait déjà été fait. Il restera à radier des listes électorales des mineurs, étrangers et personnes décédées ainsi que réintégrer les citoyens qui avaient été écartés des listes pour des raisons propres au pct.
Il ne doit pas y avoir de négociations sur une quelconque amnistie pour des crimes économiques et crimes de sang. Le Peuple n’a mandaté personne pour aministier qui que ce soit. Ceux qui s’aventureront sur cette voie subiront la justice populaire. Fini cette époque de lavage des mains. Ceux et celles qui ont volé et/ou tué doivent répondre de leurs crimes.
Tous les voleurs et criminels doivent être déchus de leurs droits civiques. On ne peut plus bâtir du neuf avec du vieux. Non! Ce n’est plus possible.Regardez sassou qui est revenu par coup d’état en 1997. Regardez tous ces milliardaires et millionnaires que son regime a fabriqué. Même des enfants de 16 ans d’une même famille ont des maisons dans le 92, les XVI et VII arrondissements de Paris. Où ont-ils eu l’argent pour acheter dans ces beaux quartiers? On ne parle pas des millions et milliards qu’ils ont dans les paradis fiscaux.
Il faut épurer tous ces hors-la-loi du pct et de l’opposition. Oui, dans l’opposition,il y a aussi des milliardaires sans cause vu qu’ils n’ont hérité de personne et n’ont aucune activité professionnelle pouvant justifier leur fortune. Certains ont même du sang des congolais sur les mains. Il nous faut une revolution et non une alternance. Celles et ceux qui veulent de l’alternance suscitent en moi des doutes. Le mot alternance n’est pas à la hauteur des enjeux de notre pays. Il nous faut aller très loin pour laver ce pays sur tous les plans pour éradiquer les anti-valeurs. Des Femmes et des Hommes intégres doivent prendre les commandes de ce pays et non toujours les mêmes has been qui nous bassinent les oreilles depuis les années 60-70. Oui à une passerelle générationnelle, mais il y a une nécessité de changer de logiciel.
Aussi, Peuple Congolais, ne vous faites pas voler votre victoire par ces hors-la-loi tapis au pct et à l’opposition. Demendez à ces gens l’origine de leur fortune et les cadavres de leurs placards. Si vous remettez encore ces êtres dangereux en scelle, et bien vous aurez du sassou sans sassou. Pour une fois, soyons des grands garcons et des grandes filles. Avez-vous vu la gourmandise avec laquelle les pct ont siphonné les deniers publics après leur traversée du désert de 1992-1997? Et bien, il y a des sosies des pct dans l’opposition et dans la société qui attendent leur tour pour s’enrichir aussi. Il faut les démasquer et mettre hors d’état de nuire. La meilleure façon de se débarasser de ces êtres nuisibles c’est d’exiger que:
Tout candidat au poste de président de la république ait les mains propres i.e. pas de détournement de deniers publics, pas d’enrichissement sans cause, pas de crimes de sang. Il ne doit y avoir dans sa famille aucun voleur ni criminel politique à 4 generations près.
Il en va de même pour tout candidat au poste de député, maire, conseiller. Dans la haute fonction publique, les mêmes règles doivent être appliquées. Leurs prédécesseurs ayant versé dans le vol et le crime doivent être poursuivis devant les tribunaux partout où ils seront cachés. Mais ceci n’est pas le mandat de ceux qui doivent discuter avec sassou des conditions de son départ. C’est l’un des mandats de l’équipe qui remplacera le régime du pct, qu’il nous faut bannir de l’espace public congolais d’ici le 14 août 2016. Le pct est l’incarnation du mal dans notre pays. Tous les maux que Mr Abigna a décrit dans son beau texte s’appliquent à merveille à ce parti des hors-la-loi.
Tenons bon cette fois-ci et soyons très exigeants avec ceux qui vont venir pour essayer de se server aussi au lieu de server. On les reconnait par leur versatilité.
A mon frère le Juge,
Je partage entièrement votre réflexion. Notre cher beau pays le Congo a besoin d’une révolution et non d’une simple alternance. Celles et ceux de l’opposition qui ont fait fortune sans raison valable et ayant du sang des victimes innocentes ne seront pas épargner et devront rendre compte au même titre que les partisans du PCT. Toutes les milices devront être dissoutes et l’armée et la police devront être réformée de fond en comble. Toutes les villas construites par les barons du PCT avec l’argent volé du vaillant peuple congolais devront être réquisitionnées. Oui le PCT ce parti de voleurs et criminels devra tout simplement être banni du paysage politique congolais.
Surtout, ne venez pas nous parler d’amnistie. Toutes ses personnes qui ont semées la désolation dans nos familles devront être traquées partout où elles iront se cacher.Aucun moment de répit ne leurs seront laissées. IL FAUDRAIT QUE LA JUSTICE FASSE SON TRAVAIL
Comme toujours les articles de Marcel ABIGNA sont jours intéressants et suscitent qu’on en approfondissent le contenus bravo.
Mais qu’appelez-vous alternance démocratique apaisée? Dans le cas du Congo, le Vaillant Peuple s’attend a une libération de longues années d’esclavage sous le poids d’un clan de « sauvageons ». Ce n’est pas du tribalisme que de le dire; mais comment une minorité peut-elle s’accaparer de 85% des richesses d’un Pays, et narguer des Êtres humains comme eux sous une opulence insultante! Souvenons-nous des films de Hercule d’autrefois, chaque fois qu’un roi tombait, que faisaient les esclaves? Eh oui! la colere du Peuple dans pareil cas ne peut passer que par des actes de pillage systématique.
Les Tamba-Tamba avec leur CAP, nous allons les botter copieusement. NIMI Madingou n’est-il pas le Monsieur qui ne cesse de nous rappeler ses liens conjugaux avec la Famille Mbochi du Président SASSOU-NGUESSO? Aucun de tous ces loqueteaux ne doit revenir sur la scène politique. Ils doivent tous aller se reposer pour ceux qui n’ont rien a se reprocher; mais pour les coupables de loin ou de près nous serons impitoyables.
Quant-a Marcel ABIGNA, vous remarquerez que ses articles sont longs avec le but recherchée de solliciter un apaisement de la rage populaire montée contre ses frères de Régions. Il est conscient de ce qui va arriver. Car s’ils avaient le vents en poupe sont langage serait certainement différent.
Les gens comme ce voyou de Pierre Ngolo, mais vraiment! pensez-vous que si quelqu’un se mettait a corriger cet bandit en public, j’en serais contre?
Kani mouzololowako. Koundou die nandi.
A Mr Balossa Jean je connais Mr ABIGNA il n’est pas du nord il est de l’est plus précisément de la Lekoumou le nom qu’il porte est trompeur éviter d’être tribaliste, il y a des traitres partout dans chaque région d’ailleurs c’est plus précisément dans trois régions qu’il y a plus des traitres , le Pool, le Niari et le Kouilou région de la femme de Sassou
Cet article me paraît à plus d’un titre intéressant. C’est tant mieux pour la bonne gouvernance du pays dans les semaines à venir.
J’apprécie le post de notre ami de lutte, le démocrate, Aya Isidore. Lorsqu’il appuie la vision de Tamba-Tamba sur le fait de mieux organiser les règles de l’alternance politique dans notre pays.
A cet effet, je réalise que c’est plus qu’une alternance qu’il faut organiser; nous avons besoin immédiatement de doter notre magnifique pays d’une GRANDE REVOLUTION en matière de SUPERSTRUCTURE COERCITIVE.
Parce que la mauvaise gestion du pct résulte d’une coercition plus que NULLE, dénuée de toutes logiques nationales républicaines, conçue dans le but de plus hypothéquer l’avenir des générations futures, d’ostraciser les congolais d’origine en faveur d’une immigration coloniale arabe(800000 barbus venus des pays du golfe et des émirats sont logés dans le sud du pays), d’offrir un avenir trop incertain à notre peuple, et surtout, de préparer les esprits les plus faibles, ceux devenus complices du pct sanglant, à l’érection d’une monarchie des nguesso et des sassou!
Alors, pour y remédier à ce funeste projet de destruction massive des nos cadres coutumiers et traditionnels ou de notre identité culturelle, nous devons nous munir des préceptes nouveaux coercitifs.
D’où la DISSOLUTION des quatre MILICES du pouvoir pct , QUE JE PROPOSE aux démocrates dans le débat qui va s’ouvrir prochainement au pays.
A cet effet, je lance un cri à mes compatriotes du Nibolek, du Pool et du Kouilou(génocide oblige:750000 victimes entre 97 et 2002!), de ne pas participer sur le piteux et criminel débat de la fameuse et inexistante base du pct. Il faut en convenir que le pct n’a pas une base au congo Brazzaville. Les explosions du 04/03/12 ayant détruit le seul périmètre de résidence morale de ce parti hautement génocidaire.
NE PRENEZ PAS PART A CE FAUX DEBAT: NOUS SOMMES TROP PROCHES DE LA LIBERTE, LA DEMOCRATIE:LE PRESIDENT OBAMA ET SON ADMINISTRATION NOUS Y PRÊTENT MAIN FORTE A CET EFFET. NE GÂCHEZ PAS LA CHANCE DE SE DOTER D’UNE REELLE DEMOCRATIE. ET, SURTOUT, DE CONSTRUIRE ENSEMBLE UNE NOUVELLE ARMEE, UNE NOUVELLE GENDARMERIE, UNE NOUVELLE POLICE, DE NOUVEAUX SERVICES SPECIAUX! UN VRAI ETAT DE DROIT!
Isidore AYA TONGA pense que la construction d’un pays ou d’un état est comme celle d’une maison.
En effet, une maison quelle qu’elle soit ne peut être construite sans socle, ni fondation et surtout sans structure architecturale – sinon, elle s’écroulerait à court terme comme un château de cartes.
Le Congo-Brazzaville post dictature Denis Sassou Nguesso a donc impérativement besoin des nouvelles règles de jeux politiques, économiques, sociales, culturelles, environnementales, sociétales et des lois règlementant ainsi une nouvelle démocratie fédéraliste et décentralisée du Congo au 21è siècle.
La constitution du Congo est un texte fort et une excellente base pour la construction d’un état
démocratique.
Ce n’est donc pas un problème de texte fondamental mais de personnes et une volonté politique.
Tant que Sassou ne violera pas la Constitution il doit rester à sa place et terminer son mandat.
Je rappelle que modifier les articles relatifs aux nombres de mandats est une violation car le texte
fondamental l’interdit.
Pour le juriste que je suis, il m’apparaît qu’une telle modification est un coup d’état même par référendum.
Je pense donc qu’il est indispensable de protéger ce texte qui protège dans la mesure du possible
les Congolais.
C’est le message qu’il faut faire passer au peuple.
J’indique également qu’au Burkina il n’y avait pas d’interdiction de modification, ce qui place Sassou dans une situation bien plus délicate que Campaoré.
Je confirme qu’organiser un référendum avec pour objectif de modifier des textes, qui ne peuvent
pas l’être, est un coup d’état.
Le temps pour Sassou est compté et il faut donc tout faire pour empêcher ce référendum ou le retarder.
Au plus il sera proche de la fin du mandat au plus il apparaîtra comme une nouvelle manipulation du peuple.
Tout viendra du peuple ou rien ne viendra de lui.
Ceux qui aiment le Congo se doivent donc de communiquer à ce sujet et expliquer à la population
la machination dont ils vont être l’objet.
Itadi et ses camarades ont accueilli avec enthousiasme le faux dialogue que propose contraint sassou. Mais je me demande pourquoi le font-ils? Ont-ils au moins parler avec les autres membres de l’opposition? Qu’est-ce qui explique ce cavalier seul au moment où petit Satan est proche de la sortie?
Avant petit Satan, son ami Compaoré avait fait la même propisition de dialogue à l’opposition du Burkina. Il s’était avéré que ce n’était qu’une manœuvre dilatoire pour gagner du temps pour mieux rouler dans la farine les burkinabé. Heureusement, ces derniers avaient dit non et exigé simplement son départ qu’ils obtinrent le lendemain de cette proposition de dialogue de Compaoré.
Doit-on sortir de Harvard pour comprendre que nous sommes en face d’une tromperie de petit Satan qui est acculé par la pression du peuple , de Barack Obama?
Messieurs de CAP, j’espère que vous n’avez pas la mémoire courte. C’est vous avec Lissouba qui aviez sauvé petit Satan à la conférence nationale alors que le peuple demandait sa tête vec Kolelas en tête. Comment il vous avait remercier? Par un coup accompagné d’un genocide de votre base électorale. Aviez-vous oublié ces faits pour être les Premiers à répondre à la proposition du faux dialogue de petit Satan? Que cache votre précipitation et le manque de concertation avec les autres forces de l’opposition et de la société civile?
Ce que vous faites n’est qu’un autre sauvetage de petit Satan comme vous le fîtes lors de la conférence nationale, et ce pour des calculs électoralistes qui ont fini de vous péter sur la gueule comme une bombe en 1997. Vous voilà de nouveau entrain de commettre la même faute aujourdhui en tendant la main à petit Satan pour le sauver du piège dans lequel il s’est fourré tout seul.
Vous parlez de transition, mais de quelle transition? Nous avons une constitution qui s’impose à tout le monde. Alors, où est le problème? Au plus tard le 14 août 2016, petit Satan doit partir sans conditions, mais le plutôt serait le mieux.
Petit Satan a falsifié le corps électoral ainsi que les circonscriptions, il faut refaire le recensement et revenir au découpage électoral de 1992. Petit Satan a falsifié la loi électorale, il faut rédiger une nouvelle loi electorale. Petit Satan a mis une commission electorale à sa botte, il faut une nouvelle commission electorale représentative de toutes les forces. Pour faire ces changements, a-t-on besoin d’une transition?
Je ne pense pas que nous ayons besoin d’une transition pour apporter ces changements. Vous parlez de transition, mais qui sera à la tête de cette transition, petit Satan? Et quelle sera la durée de cette transition? Elle va durer au-delà de 2016 avec petit Satan?
Nous vous disons, non merci! On ne veut pas de cette transition avec petit Satan. Il doit partir avant ou au plus tard le 14 août 2014. Nous ne voulons plus de lui. S’il refuse nous prendrons les rues. S’il tire sur nous, nous lui imposerons la jurisprudence Djotodia avec nos alliés américains, français, angolais et européens. Il n’y a pas que petit Satan qui sait se servir des armes. Il sait que ses milices ne valent rien, eux qui sont arrivés dans les charrettes de Dos a Santos à Brazzaville.
Alors, messieurs du CAP, prière de ne pas raconter des konneries. Le peuple a trop payé de votre manque de vision politique, vous qui aviez sauvé petit Satan à la conférence nationale. Cette fois-ci epargnez nous vos combinazzionne, vos compromissions avec petit Satan qui a fait la fortune de la plupart d’entre vous cama’a membres du comité central du pct et ministres.
À Itadi, nous avons encore en mémoire tes visites chez petit Satan au plus fort du genocide au sud du Congo quand les congolais se cachaient en brousse et d’autres en exil. Vous n’étiez pas inquiet ni inquiété de rencontrer petit Satan. Alors, réfléchissez davantage avant de poser des actes qui vont vous rattraper très bientôt. Quand petit Satan va sur la tombe de Kolelas, dans le cimetière où ses sbires avaient déterré le sépulture d’un membre de cette famille, vous croyez qu’il veut quitter le pouvoir ou cherche-t-il des alliés pour se maintenir au pouvoir?
De toutes les façons, mieux que celles et ceux de votre génération quittent la scène politique au même moment que petit Satan i.e. avant ou au plus tard le 14 août 2016. Vous avez ruiné le pays au profit de vos familles qui se la coulent douce avec l’argent volé au peuple congolais. Nous ne voulons plus de vous. La politique n’est pas un métier. Prenez votre retraite et jouissez tous des biens mal acquis. Le conseil vaut autant pour l’upads de tsaty mabiala, le mccdi des Kolelas et le rdd de Yhombi. Allez-vous en car, vous avez fait trop de mal aux congolais avec petit Satan, et ce pour le biens de vos enfants, femmes et parents. C’est fini. Les congolais ont besoin des hommes intégres aux mains exempts de sang et de crimes économiques.
@ Le Juge, Isidore AYA TONGA, homme intègre de la lignée de A.Milongo, JL. Malekat et puis de tous les autres combattants intègres a dit ceci » Denis Sassou Nguesso: c’est 32 ans de dictature, de gâchis des deniers publics congolais et de criminalité hors-série » !
SINON POURQUOI NELSON MANDELA A DIT CECI !
L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde. Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse.
C’est en revenant à un endroit où rien n’a bougé au niveau de la condition humaine et des libertés fondamentales qu’on réalise le mieux à quel point on a changé.
Isidore AYA TONGA ajouta « Oui, l’inégalité entre couche sociale, tradition, culture, société et civilisation n’est pas fondée sur la nature – elle réside dans l’éducation ou l’information qu’on donne à l’individu ou plutôt dans celle qu’on lui refuse. Ceci est un cas de prise de conscience universelle au niveau philosophique, politique, économique, social, culturel, environnemental et sociétal ! »
EXPLICATION
A dit Maitre DELBAR, UN HOMME INTÈGRE QUE JE NE CONNAIS QUE PAR SES ÉCRITS A DIT DIT CECI: Au Burkina Faso il n’y avait pas d’interdiction de modification, ce qui place Denis Sassou Nguesso dans une situation bien plus délicate que Blaise Campaoré.
Le temps pour Sassou Nguesso est compté et il faut donc tout faire pour empêcher le référendum ou le retarder.
Au plus il sera proche de la fin du mandat au plus il apparaîtra comme une nouvelle manipulation du peuple.
Tout viendra du peuple ou rien ne viendra de lui. Ceux qui aiment le Congo se doivent donc de communiquer à ce sujet et expliquer à la population la machination dont ils vont être l’objet.
Vive la voix du peuple libre, de la liberté et de l’alternance politique au Congo Brazzaville !
Grand meeting du 15 août Intervenants 3 – Jean Claude MBeri et Donald EMPERATOR http://www.youtube.com/watch?v=iRGpWI1ri5g
mADOUMA LISSAFI,
Au Juge, ton information relative à l’appui plus que favorable du piteux et grossier sanglant dialogue émis par les dirigeants du cap et sassou ne doit aucunement surprendre tout congolais de bon sens.
Il faut convenir que toute la parenté directe et indirecte de pascal Lissouba, est un groupe de bipèdes sans scrupules. Ce sont les mêmes qui ont noyé la présidence de Lissouba: trahisons en tous genres, concussions diaboliques avec la françafrique, les criminels du mpla ou dos santos, les chirac et autres vautours de la France militaire, affairiste, pétrolière maffieuse, etc…
Alors, voir itadi jean qui fut le financier de sassou durant les années 80 se vêtir de la chemise du pct, ne peut et ne doit nous surprendre.
Tous ces gens là, devenus pauvres financièrement, savent qu’il est mieux de reprendre la carte du pct que de libérer le Congo et son peuple du plus grand criminel en Afrique centrale: sassou dénis.
Les congolais doivent se libérer d’eux-mêmes que de se vautrer avec les parents de Pascal Lissouba.
Madouma lissafi, Au juge,
Ce qui est pire c’est que la sénilité du pct issue de la bouendza et de la lékoumou continuent de faire très mal au peuple congolais.
Alors que sassou est aux abois, ce sont ces anciens chiens de la chasse à la courre qui lui viennent au secours. jamais les vieux pecetistes du Nibolek n’ont été aussi minables que maintenant: participer à la prescription du génocide qui a fait 750000 victimes dans leurs propres régions natales!!! sachez que tout génocide ne peut être imprescriptible.
Vraiment, moukouéké et itadi vont faire boire les habitants originels ou ce qui en reste du Nibolek une LOURDE DECOCTION TROP NAUSEABONDE JUSQU’A LA LIE! Terrible puanteur morale et politique!!!
mais, ne baissons pas les bras devant ces traites vieillards su pct.
Les démocrates vont cracher sur vous messieurs du nibolek pécétiste.
Le Juge compétent juge à charge et à décharge et procède par des investigations avant de tirer des conclusions.
Mais, celui qui écume les réseaux sociaux brillent par son évocation du Congo virtuel, pendant que des vaillants combattants se battent sur le terrain, au péril de leur intégrité physique.
Ce que je viens de lire sur un blog devrait aider le juge à tourner son doigt 7X77 fois avant de débiter ses cours de théologie morale.
LU POUR VOUS:
« Le CAP de Jean Itadi salue l’appel de dialogue du PCT, mais…
Publié par Arsène SEVERIN sur 13 Novembre 2014, 13:16pm
Catégories : #Politique
Les leaders du CAP en conférence de presse
« Nous sommes d’accord pour un dialogue sincère où toutes les options sont permises et où on ne vient pas imposer un ordre du jour établi. Si c’est du genre dialogue politique d’Ewo ou de Dolisie, alors nous aurions eu tort d’avoir applaudi le PCT », a déclaré jeudi à Brazzaville Christophe Moukoueke, un des responsables du Congrès africain pour le progrès (CAP) au cours d’un échange avec la presse.
Dans une déclaration publiée à Brazzaville, les membres du CAP ont en effet salué la position du Parti congolais du travail (PCT), appelant la classe politique à un dialogue. Mais le CAP a estimé que ce dialogue ne devrait pas être imposé et voir des questions sans intérêt y être abordées. Pour Victor Tamba-Tamba, un autre dirigeant du CAP, le fameux dialogue ne porterait pas par exemple sur les questions de changement de constitution, notamment sur des articles verrouillés qu’il a estimé être déjà « définitivement alors définitivement réglés par l’actuelle constitution ».
Tamba-Tamba a affirmé être plutôt favorable à un dialogue qui traite des questions de gouvernance démocratique et l’alternance au mandat actuel du président Denis Sassou N’Guesso. « Celui qui viendra avec un dialogue à sa façon et qui ne concerne pas les intérêts peuple ne sera pas écouté. Nous ne le suivrons pas. Il ne s’agit pas pour nous de dialoguer sur un éventuel troisième mandat du PCT, mais comment préparer l’alternance avec des élections justes et équitables. Nous souhaitons un dialogue plus serein au cours duquel nous pourrions discuter des questions du fichier électoral, du recensement administratif ou de Commission électorale qui est jusqu’à ce jour non independante », a-t-il tempêté devant les journalistes.
Le président du CAP, l’ancien ministre Jean Itadi a reprécisé au cours de cette conférence de presse la position de son parti qui s’appuie à celle du Collectif des partis de l’opposition lancée en juillet 2012, appelant le gouvernement à organiser les états-généraux du Congo. Une rencontre qui permettra, d’après les opposants, de mettre sur la table toutes les questions qui minent la vie politique au Congo. Pour Jean Itadi, l’appel du PCT devrait s’inscrire dans ce cadre. Il y a de vraies raisons, croit-il, de parler de bonnes intentions des membres du PCT qui ont appelé au dialogue entre toutes les forces politiques du pays. « Nous estimons qu’il y a des gens serieux et intelligents pour réfléchir sérieusement sur cette question et qui sont favorables à l’alternance démocratique », renchérit Jean Itadi qui n’exclut pas la possibilité d’accompagner une transition qui serait mise en place à l’issue de ce dialogue.
Le CAP est une formation politique créée il y a un mois par d’anciens fidèles du président Pascal Lissouba (1992-1997) n’ayant pas été casés lors du dernier congrès de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS). Ce parti est principalement animé par Jean Itadi, Christophe Moukoueke, Victor Tamba-Tamba et Jean Mouyabi, tous d’anciens ministres de Lissouba en dehors de Moukoueke qui était faisant de rois en tant que secrétaire général de l’UPADS. La nouvelle formation politique est très active au sein du Collectif des partis de l’opposition où militent les Clément Mierassa, Mathias Dzon ou Guy Raymond Kinfousia. »
http://severinnews.over-blog.org/2014/11/le-cap-de-jean-itadi-salue-l-appel-de-dialogue-du-pct-mais.html
HEUREUSEMENT QUE NOTRE JUGE N’EST QUE VIRTUEL.
AUTREMENT, BONJOUR LES DEGATS.
@ Isidore et Madouma,
Nous sommes en présence d’une lutte de classe entre le Peuple miséreux et la nouvelle classe des Parasites qui vivent de la politique depuis de 40 ans aux dépens des congolais. ces Parasites de tout bord siphonnent les richeses du pays et ils sont solidaires entre eux. Ce sont ces individus pour qu’il nous faut se débarrasser par tous les moyens pour éviter au Peuple les conséquences nocives de leurs combinazzionne.
Le Congo a des gouvernants honnêtes de la trompe des pères de la nation et du président Marien Ngouabi qui a payé de sa vie pour l’unité nationale et le redressement de notre économie. L’intégrité de Ngouabi se mesure dans la posture christique qu’il prit peu avant son lâche assassinant quand il dit aux congo: » si mon pays est sale, je suis prêt à le laver avec mon sang ». Quand il tint cette posture christique, il était en négociations avec le président Massambat Debat pour que ce dernier (re) prenne en charge l’économie et lui se contentant de la gestion du parti. Voilà un homme intègre qui reconnaît ses limites et veut les corriger au nom de l’unité nationale.
voila le type de governant qu’il faut aux congolais I.e. Ceux et celles qui placent l’interet de leurs gouvernés au-dessus de tout. Nous devons mener des recherches pour retrouver cette espèce rare de gouvernants afin d’éradiquer ces kleptomanes parasites qui vivent aux dépens des congolais.
@ Kimpila,
Un peu de retenue pour faire la publicité du CAP. Que peut-on attendre de ses animateurs qu’ils n’ont pu faire en plus de 40 ans aux commandes? Attention au régionalisme. Ces gens sont aussi kleptomanes qu’est petit Satan qu’ils veulent accompagner dans une transition.
Nous ne voulons plus de cette race des politiques professionnels qui ont détruit le pays depuis de 40 ans au profit de leurs familles. Dis-moi, leur fortune vient d’où? Pourquoi supporter ces gens qui ont fait la même chose que sassou avec les deniers publics?
Kimpila, je ne sais pas votre âge, mais il y a des gens qui ont une mémoire d’éléphants et qui gardent tout. Savez-vous le projet Ferco? Connaissez-vous le beau-fils d’Itadi, Moanda qui etait avec sassou quand celui-ci tuait ses parents en 1997-2002? Attention! Avant de dire n’importe quoi, informez-vous. Il y a des dossiers qui sortiront après la chute de petit Satan sur ceux et celles qui veulent s’acheter une virginité.
Bref, nous ne voulons pas de transition dont parle CAP. Il y a une constitution qui s’impose à tous.
Le dialogue est mieux que la violence! C’est même de la sagesse primaire.
Mais faut-il que le contenu de ce dialogue soit au profit du peuple. Qu’il vise sa liberté et le retour triomphant de la démocratie trop tôt lynchée par le putschiste récidiviste de Mpila.
Que laisse Sassou? Rien ! Il est si incompétent qu’il a cru que la division et la haine entre le Nord et le Sud appartiennent à la bonne gouvernance.
Le dialogue ne peut se charger que du retour d’un Etat de droit au Congo après le despote et clan. Le dialogue devra faire savoir que punir toutes les canailles alliées du pouvoir illégitime et violent de Sassou est nécessaire. Que lui-même doit s’attendre à une sanction sans pitié du peuple même s’il démissionnait avant 2016.
Reconstruire le pays, tel doit être l’objet du dialogue !
Que vive un Congo sans Sassou en liberté!!!
Itadi a salue l’idée mais il n’a pas dit oui au dialogue tel que Sassou en a l’habitude genre Ewvo ni Dolisie, réfléchissez parfois avant de porter tout opinion.
Vous avez la tête dure ou quoi? Les congolais ne veulent plus des voleurs qu’ils soient du sud, nord, est où ouest. Nous n’en voulons plus. Si pour des questions ethnicistes vous voulez donner une virginité aux voleurs de vos villages, les congolais vous disent: Non car, qui a bu, boira. Hier, ils ont volé, aujourd’hui ou demain si l’occasion leur est offerte, ils vont encore voler. Alors, les voleurs ne sont plus les bienvenus.
A OKOMBI BIAYENDA
Inigo est different de nos trois profs par rapport a une vertu.ce jeune espagnol se sert de son savoir, son intelligence pour aider les autres.Il a donc une vertu , LE DESINTERESSEMENT.Nos trois profs emploient leur savoir pour rouler les autres .Pour eux, tout tourne autour de leurs interets egoistes.Ils n’ont pas cette vertu appelee DESINTERESSEMENT.En bref,la vraie intelligence ne vient non seulement pas de longues etudes,mais aussi du developpement des vertus.C’est important d’avoir des hauts grades universitaires,mais ce n’est pas suffisant pour se faire appeler ‘un homme tres intelligent’.
On dis quoi du pénis de Victor Tamba- Tamba circulant sur le net. je n’oublie malheursement pas celui de l’ambassadeur du Congo au Maroc.
Défenseurs de l’état Nguesso, si vous êtes vraiment du Congo-B, meditez sur le PAYS.