Après avoir mis le feu à la Centrafrique, pays livré à une haine maintenant farouche entre Chrétiens et Musulmans (et vice-versa), le dictateur sanguinaire, « pseudo-homme de la Paix », a-t-il semé les graines de la discorde et de l’affrontement entre les Congolais des deux rives ?
A Kinshasa, il y a deux fois plus d’habitants que dans tout notre Congo. On peut affirmer aujourd’hui que Denis Sassou NGuesso, notre dictateur mal-aimé, compte deux fois plus de gens qui le détestent en RDC que dans son propre pays. D’heure en heure, la tension monte à Kinshasa au fur et à mesure que des nouvelles alarmantes proviennent des compatriotes exilés à Brazzaville. Sur le plan extérieur également, on devrait facilement s’en rendre compte le vendredi 2 mai prochain à Paris. Toutes les organisations et associations congolaises de la RDC appellent à manifester devant l’Ambassade d’Henri Lopès.
Nos frères de l’autre rive, surtout ceux de l’opposition réfugiés en Belgique et en France, sont très actifs et très bien organisés. Ils ont vu d’un très mauvais œil notre « pseudo-homme de la Paix », le fourbe d’Oyo, s’immiscer dans une médiation en RDC. Denis Sassou NGuesso, avec ses amis rwandais, les inquiète sérieusement. Ils ont bien compris comment notre « démolisseur-infatigable-pompier-pyromane » a mis le feu à la Centrafrique et, à son arrivée en Belgique le 30 mars dernier, ils ont tenté de le mettre en garde ; caillassage du cortège de véhicules dès la sortie de l’aéroport ; huées et insultes dans le hall de son hôtel à Bruxelles. Tout ce que le tyran déteste (un remake des funérailles de Thystère Tchicaya), nos frères de la RDC se sont fait un plaisir de lui le faire subir.
Denis-la-rancune-tenace et Denis-à-l’ego-surdimensionné ne pouvaient permettre que pareils crimes de lèse-majesté restent impunis. La première « zaïroise » à subir sa colère fut sa propre fille Claudia à qui il reprocha le comportement de « ses parents ». Jean Dominique Okemba en rajouta : la « zaïroise » aurait dû être informée de ce comité d’accueil calamiteux et intervenir en arrosant massivement les leaders! L’altercation fut si bruyante et violente que la Lettre du Continent s’en fit l’écho.
Bruxelles pourtant s’annonçait comme une ville conquise. Louis Michel député européen et envoyé spécial du secrétaire général de la Francophonie sur la situation en RCA, avait bien fait son boulot de vieux serviteur dévoué du dictateur congolais : Diner au côté d’Angela Merkel le 2 avril et un DSN au centre de toutes les attentions durant tout son séjour dans la capitale de l’Union Européenne.
La jubilation du négre devant la chanceliere Merkel
La rancœur de l’autocrate de l’Alima n’en était que plus grande et il en voulait à ces déchets immigrés de lui avoir gâché sa fête et froissé son orgueil démesuré. A la première pierre qui cogna sur sa limousine, la décision d’un châtiment collectif avait été prise : il ordonnera une chasse aux « zaïrois » dès son retour !
C’est ainsi que son ex-sosie de coiffe, le Général Jean-François Ndenguet reçut l’ordre de déclencher l’opération « Mbata ya mikolo», la bien nommée (« gifle des aînés » en français, pour le manque de respect !) Le vieux complice de l’Affaire du Beach reçut l’ordre de remettre le couvert, mais cette fois en beaucoup plus voyant.
Au prétexte d’arrêter et d’expulser des étrangers présumés criminels, plus de 5000 Congolais et Congolaises de la RDC ont été renvoyés dans leur pays brutalement et sans le moindre ménagement.
En fait, depuis deux semaines, que la police de Brazzaville, « la Ndengestapo », mène cette opération, outre les quelques dizaines de morts qui ont été enregistrées, on ne comptent plus les pillages, les violences, les cas de tortures, et les viols. Un véritable billet gratuit, en 1ère Classe pour le TPI !
Ces actes contre les Congolais de la RDC ont été commis alors que le vice-ministre des Affaires étrangères de la RDC, Célestin Tunda wa Kasende, de retour d’une mission de Brazzaville le 10 avril, avait annoncé que les autorités des deux pays avaient convenu de la suspension provisoire de l’opération « Mbata ya mikolo».
Ces expulsions de ressortissants de la RDC se sont encore poursuivies malgré les interventions de Monsieur Raymond Tshibanda, le ministre de la RDC des Affaires étrangères, le 18 avril dernier à Brazzaville, porteur d’un message de Joseph Kabila à son homologue Denis Sassou Nguesso.
Le ministre avait fermement dénoncé les cas de tortures, de pillages, de viols et autres traitements inhumains dont sont toujours victimes ses compatriotes refoulés de la République du Congo et promis la mise en place d’une commission d’enquête. En réalité le TPI serait totalement compétent pour se saisir de l’affaire. Ndenguet (le Ndengestapiste) ne saurait y échapper !
Un Député de la RDC, Monsieur Franck Diongo, dans une vidéo, s’est longuement expliqué sur la genèse de cette crise :
Alors jusqu’où Denis-l’incendiaire est-il prêt à mettre le feu dans son propre pays ? Ne craint-il pas de perdre le contrôle de ces hostilités qu’il a déclenchées et que, finalement, elles se retournent contre lui ? Pourtant, il est fort à parier que c’est bien ce qui se produira !
En Europe, aux USA, on finira bientôt par comprendre combien notre dictateur a abusé de leur crédulité et que leurs dirigeants n’auraient jamais dû le recevoir autrement qu’avec des Juges ! Cette crise pourrait bien être l’erreur de trop commise par un tyran trop sûr de lui … ! Cela fait une trentaine d’années qu’il s’amuse dans sa récréation. Il est absolument temps d’en siffler la fin !
Rigobert OSSEBI
Diffisé le 27 avril 2014, par www.congo-liberty.org
NDLR. Bruxelles le 30 mars 2014 en début d’après-midi : Drapeaux, drapelets, banderoles mis à la disposition d’une foule compacte qui se forme devant l’Ambassade du Congo, avenue Franklin Roosevelt. Deux cars attendent pour la transporter à l’aéroport militaire de Melsbroek, où le Boeing personnel du dictateur doit atterrir peu avant 18 heures. Roger Julien Menga, l’ambassadeur du Congo se devait de réserver un accueil exceptionnel à son président. Claudia lui en avait donné les moyens. C’est dans le quartier de Matongé qu’il est allé recruté dans la communauté de la RDC la « claque » dont il avait besoin. 100 euros par personne. Transport aller/retour assuré en car. Paiement à l’aéroport après le départ du président. Sassou NGuesso avait bien été accueilli par une foule en liesse. Ne reconnaissant dans la foule que des originaires de la RDC, il avait vite fait de monter dans sa Maybach pour aller rejoindre son hôtel à Bruxelles. Roger Julien Menga le suivit immédiatement sans honorer le paiement de ses figurants. Mini émeute sur le tarmac. Les mécontents montèrent dans les cars et tentèrent, arrivés à destination. en vain de pénétrer dans l’Ambassade. Sans aucun doute, ils se sont joints aux protestataires dont le Député Franck Diongo a fait état sur Youtube et dont traite l’article de Rigobert Ossebi.
Le chatiment est le seul remede pour eux .
Trois rumeurs circuleraient en ce moment dans le cercle très fermé du pouvoir de Brazzaville
1- Sassou Nguesso serait actuellement en train de transformer tous les domiciles des nordistes qui lui sont proches en gigantesques dépôts d’armes de guerre pour combattre toute personne qui tenterait de l’empêcher de réviser sa constitution
2- Sassou Nguesso serait en très grande difficulté mystique car depuis le massif sacrifice humain de Mpila, en mars 2012, qui a attiré tous les regards du monde sur lui (jusqu’à aujourd’hui), depuis que le monde entier sait désormais que son pouvoir vient absolument des sacrifices humains, il ne saurait plus comment s’y prendre sans se faire soupçonner ou accuser.
3- L’astuce qu’il aurait trouvée pour résoudre son problème des sacrifices serait sa compagnie aérienne ECAIR. Il paraitrait qu’une très grave catastrophe aérienne serai programmée avant 2016, ce qui lui permettrait de payer sa dette satanique et de retrouver son pouvoir, pour continuer à régner sur le Congo jusqu’à la fin de ses jours. Une dame du cercle présidentiel, résidant à Brazzaville, aurait téléphoné à ses parents résidant en France pour leur dire avec insistance : « bo mata na ECAIR te, ata soki ba lobi eza gratuit, bo mata te »
Est-ce une information ou une intoxication, nous n’en savons rien mais nous ne négligeons rien ; et nous demandons à chacun de mener des enquêtes tout en étant très prudent car l’éléphant de Mpila semblerait très blessé et prêt à tout écraser sur son passage.
Par mesure de précaution, nous aussi, nous disons à tous les congolais, comme l’a fait la dame : « bo mata na ECAIR te, ata soki ba lobi eza gratuit, bo mata te »
Les combattants de la RDC comprennent-ils à présent l’indignation des combattants de Brazza lorsqu’ils insultent certains artistes de leur pays?
Sassou aux yeux des Brazzavillois est un président illégitime. C’est un putschiste qui oppresse le peuple souverain et détourne la richesse de l’Etat au profit du clan ou de ceux qui l’ont aidés à prendre le pouvoir par la force.
Aussi entendre des artistes flatteurs et sans discernement chanter la gloire de du criminel de Mpila, nous révolte au plus haut point. Voyez-vous comment sa police est composée de malades et drogués de tout calibre? C’est la conduite de tout président autoproclamé.
Notre combat, remettre au peuple souverain brimé le pouvoir afin qu’il choisisse lui-même ses dirigeants et son mode développement.
Ne le lynchez pas, nous le voulons vivant pour le juger!
Article 35 de la déclaration de l’homme et du citoyen » quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
Nelson Mandela avait dit » j’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre ».
Autrement dit, la violence appelle la violence – il est pour cela indispensable voire obligatoire pour tout citoyen violenté par un régime politique criminogène de pouvoir se défendre par la violence.
Dans le cas des deux Congo Brazzaville et Kinshasa, la violence contre les dignitaires et leurs proches qui sont installés en occident doit être la règle.
Partout où ces gens là seront en visite ou installé en occident, leur intégrité physique ou morale doit être menacé jusqu’à la chute de ces deux régimes politiques criminogènes.
Ensemble pour la violence contre ces gens là comme l’avait fait Léon Kengo wa Dondo à la gare du Nord à Paris.
Ne lâchez pas et on ne lâchera rien – ils peuvent parler comme des perroquets, ne lâchons rien – la violence doit être permanente jusqu’en 2016.
BALIVERNES POUR LES RUMEURS MAIS TOUT DE MEME INQUIETANTES!
OUI! INQUIETANT, QUAND ON CONNAIT LE TRIO DES MACONS SATANISTES QUI GERENT ECCAIR:
ADADA/BOUYA/OSSO.
Telle la source des expulsions des ressortissants de la RDC de Brazzaville?
Eh ben! Nous ne sommes pas sortis du bois avec les auteurs de telles «petitesse» comme on le disais enfant.
Tiadi Mingi si c’est vrai!
c,est regrettable
La criminalité politique, socioéconomique et culturelle est entretenue par Sassou Nguesso lui-même (donneur d’ordre) et son clan qui violent inlassablement les droits du peuple en créant un climat de peur et de terreur dans le pays et dans les états voisins.
Le régime politique dictatorial DSN est hostile à la construction mentale, émotionnelle et sociale du peuple congolais – c’est l’alarme.
Article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen » quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
Sassou Nguesso doit partir en 2016 ou avant – son départ ne sera pas négociable. Sassou Nguesso est un criminel qui denis ses actes criminogènes et ses contre-valeurs morales à l’échelle individuelle, locale, nationale et continentale.
SASSOU DÉGAGE
Sassou Nguesso est désormais relégué dans la lignée d’une autre époque. 2014 à 2016, c’est les années de l’abolition des régimes dictatoriaux en Afrique noire ou plutôt contre ces régimes qui ont plus tué d’africains ou de noirs que l’esclavage et la colonisation réunie. Ceci est un cas de conscience !
L’homme à la rancune tenace donne du pain béni à son homologue voisin qui, du fait de ces expulsions forcées, récupère bon nombre de ses opposants qui s’étaient réfugiés à Brazzaville. Réfugiés et expulsés!!! Où en est-on avec le respect des Conventions internationales garantissant la protection de ces hommes vilnérables? C’est bien dommage que toutes les vertus cardinales de l’instruction et la formation soient savamment foulées aux pieds. Il ne nous reste qu’à associer la compassion des victimes à toute forme de contestation encore utilisable. Notamment celle devant l’ambassade du Congo à Paris. Merci à « Buala me nienga » pour son avertissement très « ECAIRé ».
vous faite honte au pays les zaïrois son papier son devenue bien aujourd’hui c’est vraie nous avons nos problème a résoudre entre nous ici au pays ne mélangeons pas svp quel honte
nous ici on s’organise ils sont indésirable partout l’Angola , sud africa partout Alleur aux lieu de leur demander de régulariser leur situation non vous a crier sur le pouvoir a fait ceux ci a fait cela n’importe quoi dérapage oui il y a des policier radier de la police et mis aux arrêt au commissariat central parmi des expulser il y a des voyou , voleur , etc il vont la bas pour montrer que on les a torturer qui sais je si ces pas de voleur même des journalistes de la rdc appelle aux représailles honte a vous, le Congo n’es pas une province de la rdc mon dieu vous a vue l’insécurité qui commençais a devenir incontrôlable qu’il reparte et ils doivent avoir des papier du Congo pour leur bien
Quel salmigondis!