Le bras droit du président burundais Pierre Nkurunziza et patron de facto de la sécurité intérieure, le général Adolphe Nshimirimana, a été tué dimanche à Bujumbura dans une attaque à la roquette, relançant les craintes d’une escalade des violences qui frappent le Burundi depuis trois mois.
Ancien chef d’état-major et souvent présenté comme le numéro deux du régime, le général Nshimirimana a été victime d’une attaque contre sa voiture en début de matinée dans la capitale burundaise, ont indiqué à l’AFP des témoins.
Son véhicule a été touché par deux roquettes, puis arrosé à l’arme automatique, selon ces témoins. La police a fait état de sept arrestations, sans aucune autre précision.
Sa mort a été confirmée peu après l’attaque par le chef de la communication de la présidence, Willy Nyamitwe : « j’ai perdu un frère, un compagnon de lutte, la triste réalité c’est que le général Adolphe Nshimirimana n’est plus de ce monde », a-t-il indiqué dans un message sur Twitter.
Pour le camp présidentiel, la mort de l’officier supérieur, un intime de Nkurunziza, a constitué un choc.
« La situation est très grave. Le général Adolphe était quelqu?un d’indispensable dans le système. On est en train de tout mettre en ?uvre pour gérer la situation, mais ce n?est pas facile. Nos garçons ont envie de se venger », a affirmé à l’AFP un haut cadre de la présidence.
« Vous n’imaginez pas ce qu’Adolphe représentait pour nous », a expliqué une source au sein du Service national de renseignement (SNR).
« Ils viennent de déclarer la guerre et ils vont voir ce qu’ils vont voir », a averti sous couvert d’anonymat un général de l’armée burundaise.
Le général Nshimirimana, officiellement « chargé de mission à la présidence », faisait partie d’un groupe de généraux issus de l’ancienne rébellion hutu CNDD-FDD (aujourd’hui parti présidentiel ultra-majoritaire) sur lesquels s’appuyait le président Nkurunziza.
Il avait été évincé de la tête du pouvoir dans le cadre d’un conflit au sein de la hiérarchie militaire, tout en restant incontournable. Il avait ainsi gardé en sous-main le contrôle de l’appareil sécuritaire du pouvoir.
L’officier supérieur avait dirigé la Documentation nationale (police présidentielle) et était l’ex-chef d’état-major des Forces pour la Défense de la Démocratie (FDD).
Sa disparition intervient une semaine après la proclamation de la victoire à la présidentielle du sortant Pierre Nkurunziza, pour un troisième mandat dénoncé par l’opposition, la société civile et plusieurs pays occidentaux.
Le mouvement de contestation contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza, élu en 2005 et 2010, est né fin avril après l’annonce de sa candidature, en violation, selon ses adversaires, de la Constitution et de l’Accord d’Arusha qui avait mis fin à la guerre civile.
Il a été émaillé de violences qui ont fait une centaine de morts et ont poussé quelque 170.000 personnes, selon l’ONU, à fuir dans les pays voisins.
Les autorités burundaises ont déjoué un coup d’Etat militaire à la mi-mai et finalement réussi à mettre fin, mi-juin, à un mois et demi de manifestations quasi-quotidiennes à Bujumbura, en les réprimant brutalement.
Le général Nshimirimana avait joué un rôle-clé au sein des forces de sécurité pour déjouer la tentative de coup d’Etat et mettre un terme aux manifestations.
Les autorités burundaises ont enfin été confrontés à une série d’attaques à la grenade, notamment à Bujumbura, et des combats ont opposé début juillet l’armée à des rebelles dans le nord du pays.
L’histoire post-coloniale du Burundi est jalonnée de massacres entre Hutu et Tutsi et le petit pays d’Afrique des Grands Lacs se remettait progressivement depuis dix ans d’une guerre civile ayant fait 300.000 morts entre 1993 et 2006.
Qui peut bien pleuré un assassin? pas moi c’est le résultat de vouloir à tout pris rester au pouvoir en changeant la constitution pour que le HUTU, maître d’éducation physique de son état reste éternellement au pouvoir, aidé en célà par notre BOURREAU NATIONAL qui a mis à sa disposition les milliards du Congo pour tuer son peuple.
Deux bonnes roquettes en pleine ville pour tuer un génaral guerrier? Il faut le faire.En tout cas tous les PCTistes qui veulent du changement de la constitution et les généraux félons devraient avoir tous des voitures blindées car personne n’a le monopole des roquettes dans un pays aussi armée comme le Congo aux frontières fluides où les militaires de la RDC ont planté leur drapeau au vue au sue de DENGUET et NIANGA le barbu.
Nous n’aurons pas besoin de chasser SASSOU ou de tuer avec des roquettes ses généraux. SASSOU verra la résistence dès qu’il appellera au référendum à OUESSO comme il l’a prévu.
S’il sort ses armes, le peuple se retrouvera en face de lui et on verra comment il fera, la suite il le sait.
Ça ne fait que commencer. Obama le leur avait dit. La pente devient glissante très glissante même.
Et si ce général était tout simplement « sacrifié » par NKURUNZIZA lui-même ? Ce serait une bonne excuse pour éliminer des opposants à son troisième mandat. On connait les basses manœuvres des dictateurs africains quand ils se sentent acculés. Pour la conservation du pouvoir, Ils sont capables de tuer leurs proches et faire porter le chapeau par d’autres.
Donc prudence ! Voyons comment le camp du dictateur NKURUNZIZA va réagir. S’ils se mettent à traquer et massacrer des opposants, c’est que l’assassinat de ce général était programmé par le pouvoir,
A vouloir jouer au jeu des représailles ils vont inéluctablement plonger leur pays dans le cycle à l’issue incertaine de la guerre civile. Quelle gloire peut-on tirer à être à la tête d’un pays en proie à une guerre civile?
Je crains pour mon pays, le Congo. J’ai peur que cela ne se produise dans notre pays.
APPEL A LA MOBILISATION GÉNÉRALE D’ICI AU 12 AOUT 2016 AVANT 14H30, 25 SECONDES !
L’union fait la force, mais l’union pas la fusion, l’union c’est l’unité – l’une des trois valeurs de la république du Congo Brazzaville.
Cet appel est initié par Isidore AYA TONGA, un vrai patriote comme vous et nous. Il est destiné aux vrais esprit libres congolais. Il appartient à ces esprits et à leur âme et conscience individuelle à lire par vidéo ce message et de le diffuser sur les réseaux images: youtube, daily-motion, etc
Parmi quelques esprits libres que j’ai objectivement sélectionné figurent: Donald Emperator, Sadio Morel Kanté, Sosthène Kongodila Samba, Marie-Louise Abia, Cyr Makosso, Mobessissi de ParisBrazzaInfo, Lion de Makanda, Jean-Claude, Bruno Mouélé, Sanellie Tamba Tamba, Paul Marie Pouélé, Clément Mierassa, Arold Gatien Samba, Mingwa Biango, Bob Ebaka, John Benit Dzaba, Isidore Aya Tonga, Réné Mavoungou Pambou, Raphel Goma, Michel Ange Tsiba, Richard Baudry Egntoni Ehouloung, Charles Boawao, Jean-luc Malekat, Marie France Ndion, Getrude Bienvenue Malalou-Koumba, Dia Moungouansi, Jerome Itoua-Okongo, Marienta Osséré Ikako, Laurent Dzaba, Jean Claude Mberi… la liste est très longue…
ALORS ENSEMBLE CONTRE SASSOUFFIT EN DIFFUSANT CHACUN ET CHACUNE CE MESSAGE !
Chers compatriotes,
Chers patriotes civiles et militaires congolais,
Chers soldats et officiers de la défense nationale,
Cher peuple souverain,
Nous assistons, impuissants, à la dégradation de notre société, de notre pays, de ses valeurs spirituelles, morales, sociales, éthiques et culturelles.
A l’examen, il apparaît que le régime politique tyrannique de Denis Sassou Nguesso et ses dignitaires n’ont pas la légitimité nécessaire à l’exercice de leur fonction. Ils n’exercent qu’en raison de notre laxisme à faire valoir le juste droit.
En effet, les structures sociopolitiques, socio-économiques, environnementales, sécuritaires et de la défense nationale de notre pays sont en danger.
Par conséquent, par l’appel du 15 août que j’annonce à travers cette déclaration, je souhaite d’une part mettre en place l’encadrement sécuritaire devant conduire le peuple vers le soulèvement populaire contre le pouvoir félon abusivement installé à la tête du Congo. Cela dure depuis le 5 juin 1997.
D’autre part, préparer la nouvelle classe politique à adopter la tenue d’un processus de transition ou de l’alternance démocratique, libre et transparente.
Chaque Congolais est désormais devant un choix historique :
1- Ignorer cet appel et se rendre complice par son silence du régime tyrannique ou d’exception qui continue à bafouer nos droits et à imposer ses lois claniques, mafieuses et traités illégitimes, contraires à toute logique de quête de bonheur pour chacun d’entre nous.
2-reconnaître la légitimité de cet appel et ainsi permettre au peuple souverain congolais de provoquer enfin ce changement de régime politique que nous attendons tous.
Considérant que la Souveraineté du peuple est inaliénable et imprescriptible et que toute atteinte à ce principe engendre une violation intolérable à la Constitution en vigueur.
Considérant qu’il convient, qu’il est légitime et qu’il est sacré d’unir à partir du 15 Août 2015 au 15 Août 2016 toutes les forces contre «un pouvoir exercé illégitimement, arbitrairement ou dictatorialement», lequel expose la nation à un danger vital par l’arbitraire, la terreur, la violence, les assassinats, le des-humanisme, l’ignorance, l’oubli, la médiocrité, la stupidité, l’impunité, le mépris, la corruption, la dilapidation kleptomane des deniers publics et du patrimoine commun.
Dès lors, cette proclamation solennelle et en vigueur rappelle, garantie et protège les droits naturels constatés et imprescriptibles de tous les congolais ; ces droits étant la liberté, la justice, le devoir de mémoire, l’éducation, la condition humaine, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
L’article 11 de la Déclaration de 1789 devant ici être rappelé: «La communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme: tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi» – et j’ajouterais le respect par tous des institutions de la république.
À cet effet, cet appel organise immédiatement toutes les structures nécessaires permettant à l’ensemble du peuple congolais de s’exprimer par des assemblées citoyennes régulières et ainsi, seul et démocratiquement, de décider de la réorganisation de la souveraineté.
Dans les 60 jours qui suivront cet appel, une liste de plans de soulèvement populaire sera donc adressée à toutes les forces de résistance intérieure et extérieure à la tyrannie.
Les forces de l’ordre, armée, gendarmerie, douanes et police sont au service du peuple congolais qui les entretient.
Et à cet effet, elles ont l’obligation absolue et devront, en exécution de leur mission, assister le peuple congolais lors du soulèvement populaire, notamment en permettant et facilitant le libre accès en toute sécurité des locaux suivants : le Palais du peuple (palais présidentiel), le Palais de l’assemblée nationale du sénat, de la maison de la radio et télévision nationale.
Les politiciens, les responsables hiérarchiques des forces de l’ordre et des administrations publiques à tous les niveaux, qui, à compter du soulèvement populaire, s’opposeraient aux décisions de salubrité publique et aux mesures provisoires édictées par l’assemblée constituante doivent comprendre qu’ils seraient inéluctablement considérés comme trahissant le peuple et toutes les valeurs du Congo éternel.
L’objectif annoncé est la restauration au Congo Brazzaville d’un État digne et conforme aux aspirations légitimes du peuple congolais attaché fondamentalement à une vraie et réelle séparation et indépendance des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, économique et médiatique.
Toutes les forces armées de la Nation, doivent donc individuellement et collectivement se préparer à escorter le Peuple mobilisé, symbolisant l’image d’une armée respectueuse du peuple et des valeurs incarnées par le nouveau Congo.
Ainsi les forces armées congolaises seront revenues au service de la Nation et prêtes à la défendre dans l’Honneur et avec vaillance.
Si des politiciens ou des nervis tentaient d’opposer une résistance par l’emploi de moyens scélérats, de forces mercenaires ou de troupes étrangères – les traîtres devront répondre judiciairement de leurs actes étant ici rappelé l’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et du citoyen qui précise:
«La garantie des droits de l’Homme et du citoyen justifie l’existence et l’entretien d’une force publique, mais cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée».
Si donc, des autorités ou des individus corrompus contrevenaient aux ordres du Peuple mobilisé – il serait alors du devoir de leurs subordonnés de leur désobéir et de s’opposer à leurs supérieurs, y compris par leurs armes fidèlement restées au service du Peuple.
Toutes les mesures vont être prises pour offrir au Peuple congolais la garantie que ce soulèvement populaire se fera dans l’ordre et le civisme.
Toutes les structures nationales seront préservées et la mobilisation générale n’aura d’essentiel objectif immédiat que de rendre au Peuple sa véritable souveraineté.
Avec le départ du pouvoir du tyran Denis Sassou Nguesso, ce n’est pas le vide politique qui va se créer au Congo Brazzaville. C’est une Vacance de Pouvoir ouverte par la Constitution de 2002 et dûment constatée par les Institutions Constitutionnelles prévues à cet effet.
Dès lors, s’ouvrira une véritable période d’analyse, de réflexion et de décision, plus ou moins longue, que nous appelons LA CONSTITUANTE ; une rencontre historique qui posera fondamentalement la question de la NATION QUI N’EXISTE PAS, DE l’État DE DROIT et de la DÉMOCRATIE dans notre pays, y compris de la DÉMOCRATIE ÉLECTORALE ou GOUVERNANCE ÉLECTORALE.
En instaurant l’organisation nécessaire à la création et à la proclamation d’un pouvoir de transition politique de 3 ans – ce pouvoir établi par la volonté générale et approuvé par l’ensemble de tous les citoyens congolais, conduira le pays d’une part vers la restauration de l’état, de son autorité, des comptes publics, de l’économie, de la création de richesses, de l’aménagement du territoire, du cadre de vie, et du rétablissement de la justice et du social pour tous.
D’autre part, ce pouvoir conduira le pays vers la tenue des élections présidentielles, législatives et locales libres et transparentes.
Alors que vous soyez cultivateur, villageois, citadin, artisan, chef d’entreprise, jeune, vieux, élève, étudiant, chômeur, universitaire, chercheur, enseignant, fonctionnaire, retraités, médecin, mère au foyer, policier, gendarme, militaire, victime des crimes de sang de sassou Nguesso, ou à la recherche d’un être disparu à cause de l’intolérance politique ou assassiné par les sbires de la dictature, vous devez œuvrer à cet appel afin que tout cela cesse.
Rejoignez l’appel du 15 Août 2015 au 15 Août 2016 et soyons tous unis pour reprendre la dignité, la gouvernance politique et la souveraineté de notre pays.
L’heure est arrivée de mettre fin à ce système tyrannique ou ce régime politique d’exception qui nous oppresse, nous oppose, nous divise et agit toujours à l’encontre du bien-être du citoyen congolais ou de la condition humaine au Congo Brazzaville.
Tout peut changer si chacun d’entre nous le veut, une opportunité aussi exceptionnelle ne se renouvellera pas.
Le 15 Août 2015 sera le point de départ de ce merveilleux rassemblement de toutes celles et ceux souhaitant une société de justice, de libertés fondamentales, de la condition humaine et de paix, attachée aux valeurs fondamentales de l’humanité et de la civilisation.
Oui, tout citoyen congolais a désormais le droit et devoir légitime et sacré de défendre dans l’honneur et la dignité, la souveraineté de son peuple contre la tyrannie des instincts politiques maléfiques.
Je vous remercie !
http://congo-objectif2050.over-blog.com/2015/08/l-appel-patriotique-du-15-aout-2015-au-15-aout-2016.html
@ Congo Mfoa
Pourvu que Sassou pour une fois comprenne qu’il ne va pas continuer à jouer au dur.Un proverbe de chez moi dit » qu’une feuille vivante, à force de se ballader a fini par se faire avaler par l’anus de l’éléphant et s’engloutir ».
Si SASSOU peut encore nous épargner de sa sorcellerie, votre voeux sera exaucé, sinon ce qui s’est produit ce jour à Bujumbura ce jour risquera d’arriver ici. Tous les ingrédients sont réunis mon frère, mais ne le souhaitons pas.
Sassou risque de connaître le même sort.
Les enjeux au Congo sont trop importants pour qu’un despote putschiste continue de narguer le peuple souverain.
Les agitations stupides et puériles menées par le régime congolais pour se maintenir au pouvoir, font énormément honte à tous!
Toute l’Afrique et le Monde démocratique observent donc les Congolais et attendent d’eux une Véritable Révolution Sociale et Politique à Brazzaville.
Le Congo va servir d’exemple et de modèle ! Que Sassou et clan apprennent qu’ usurper le pouvoir, se paie très très cher au XXIè siècle.
Nous avons perdu 30 ans de modernisation depuis le coup d’Etat contre Lissouba. Aussi, le discours de ce 15 Août 2015 sera le lancement des hostilités, ou le début d’une alternance apaisée.
Paix à l’âme de ce monsieur qui laisse une famille endeuillée. Mais j’ajouterai que, malheureusement, il a fini comme il a vécu. Que ceux qui ont les yeux voient et les oreilles écoutent. S’ils ont une cervelle réfléchissent car, très souvent, on récolte ce que l’on a semé.
Que ce soit un coup de nkurunzinza pour effrayer son monde, le boomerang lui reviendra en pleine gueule; mais si c’est l’opposition qui est derrière ce coup, attention il y a feu dans la demeure car, comme dirait l’autre, il n’y a pas de place à un jeune arbre à côté d’un grand arbre.
Aujourd’hui, avec leurs satellites et autres drones, ils peuvent atteindre n’importe quel roitelet comme dans les d’enfant Nintendo ou X-Box.
Les paroles visionnaires étaient prémonitoires et nous avons bien la preuve ici que rien n’est dit au hasard. Les burundais ont baissé trop tot la garde, d’après ce que je vois. Il y a manifestement eu relâchement à tous les niveaux de l’Etat, suite à l’élection présidentielle. Ce qui est une erreur malheureuse, sachant que les menaces du dirigeant vaniteux d’une nation belliciste telle que les USA étaient très explicites. L’événement est très lier au récent passage du Mario B.Obama qui appelle à la dégénérescence matrimoniale dans la région. Ce à quoi le President Kenyatta a répondu que peuple s’oppose à ce que ce « néo mariage » fasse l’objet d’un débat constitutionnel. Combien de N’Zôônzi (le Sage) accepteront ils d’animer pareille dote ? On croit rever là.
Maintenant que le sang a couler c’est que la guerre est déclaré. Le mieux est de lancer un appel au calme en direction des peuples africains de la région des Grands Lacs, car ils doivent se souvenir que cette partie du continent n’est pas à son premier attentat avant coureur. En 1994 déja, quelques esprits dangereux (USA en tête) avaient jugés bon d’exploiter les rivalités ancestrales qu’entretiennent les Hutus et les Tutsis. Le résultat tragique (génocide, balkanisation, pillages de la RDC) de cette stratégie délibérée est connu de tous.
Puis qu’il a fallu d’abord que l’avion à bord du quel avaient pris place les anciens dirigeants du Burundi et du Rwanda soit la cible des roquettes anti aériennes. Jusqu’à présent la très esclavagiste CPI ignore toujours l’identité des véritables auteurs (Tutsi Power ?) et commanditaires occidentaux. Ainsi la france a été chasser de la region au profit des anglo-saxons qui eux soutiennent leurs esclaves Tutsi, connus pour etre un peuple très menteur et specialiste des basses oeuvres. Remarquez la position assez floue du céleste PS et de la Gauche (le Rwanda c’est eux aussi) sur le Burundi qui est le dernier pays francophone de la région.
J’appelle le peuple frère du Burundi à faire preuve de la plus grande retenue, de sorte qu’il ne tombe dans le piège du oeil pour oeil dent pour dent que lui tendent les cerveaux malades de Washington. Sans quoi il risque de fournir le prétexte à plusieurs décennies de domination insolente et humiliante, justifiée par le souci du matraquage mémoriel au quotidien. Si les burundais choisissent la voie de la paix et de la sagesse ils se prémuniront longtemps du terrorisme intellectuel crypto sioniste de certains groupes nilothiques extrémistes. Les burundais doivent dès à présent aller au dialogue, dans l’esprit de Sibiti.
Ça doit faire réfléchir sassou et ses enfants quant on à désobéi aux présidents Hollande et OBAMA voilà les conséquences très tragique ! Un homme averti en veaux deux! Il faut écouter les maîtres du monde car tu tient ta légitimité par eux , qui ont validé ton coup d’état en 97! Sinon sassou prépare une fin tragique pour toi et ses enfants!!!!
Iniesta
Pour Iniesta comme tout bon beneficiaire d’un regime ignoble comme celui de Sassou, Nkurunziza n’est pour rien dans ce qui se passe au Burundi, c’est au contraire une victime. Il dira probablement la meme chose pour Sassou, celui-la meme qui a ete mis au pouvoir par ces memes « bellecistes » devenus curieusement des « mechants » aujourd’hui tout simplement parce qu’ils demandent a ces potentats de respecter les constitutions de leurs pays. Si Nkurunziza avait respecte la constitution, ce pauvre assassin de general ne serait pas tue tout comme des centaines des manifestants pour le respect de la constitution tombes sous les balles des tueurs sous les ordres du general assassine. Comme on dit, qui tue par l’epee perira par l’epee.
On a appris aussi que cet assassin de general ainsi que ses collegues tueurs pro Nkurunziza sont grassement payes par le tresor congolais pour les encourager a massacrer la population burundaise opposee a la dictature et le pouvoir a vie. Ton Sassou serait aussi en train de conseiller Kabila de changer la constitution et de ne pas quitter le pouvoir de sorte qu’il ne soit pas le seul a vouloir mourir au pouvoir.
La planete terre est hierarchisee, du plus puissant au plus faible, et la loi naturelle du plus fort est de vigueur comme dans toutes les societes animales. Dans ce sens, ignorer ce que dit Obama, l’homme le plus puissant de plus de 7 milliards d’habitants de la terre, c’est passer pour une mouche qui se prend pour un oiseau. En plus, oser envoyer a la television et dans les depeches de Mpila des energumenes comme Mabiala Pierre, Okiemi ou encore le mercenaire Pigasse pour vilipender et traiter le president des etats unis de tous les maux, c’est franchement manquer de conscience. N’oublier pas que le president americain est l’homme aux plus grandes oreilles de la planete en plus de detenir la clef de la plus grande puissance militaire du monde. Donc tout ce que vous racontez sur votre tele ou votre journal officiel, ou vos transfers d’argent au Burundi, Burkina, aux milices centrafricaines sont bien connus.
Faire la gueule a Obama, c’est ignorer qu’on est une petite mouche et qu’on peut se faire ecraser a tout moment d’un simple coup de la main. Votre milice tribale appelee armee disparaitra en moins de 5 minutes s’il decidait de le faire, et votre chef sera repris dans un egout (comme d’autres dictateurs) et livre a la vindicte populaire comme Kaddhafi.
A ta place, au lieu de « l’esprit de Sibiti », j’aurait dit l’esprit de la conference nationale « souveraine ». A la CNS, les gens avaient discute librement tandis qu’a Sibiti, les membres du pct, organises en plusieurs associations et petits partis se sont reunis entre eux, sous la direction des camarades membres du bureau politique du pct Obami Itou, et Ayessa.