L’apparence d’un pouvoir fort, hérité du CMP de 1977, a longtemps été entretenue.
A bout de souffle, de ressources et d’intrigues, Il était à la fin des années « 80 » complètement dans l’impasse et n’avait d’autre issue que s’effondrer sur lui-même.
Il avait fallu pourtant attendre la « Chute du Mur de Berlin », dans sa foulée le « discours de la Baule » et enfin la sainte alliance de tous les mécontents congolais pour qu’enfin les conditions d’un débat démocratique puissent s’imposer et que s’ouvre à Brazzaville la Conférence Nationale Souveraine.
Près d’une vingtaine d’années après qu’il renaquit de ses cendres, ce même pouvoir dans les mains d’un même homme, se retrouvera bientôt dans une situation quasi-identique.
Pourtant ni un « printemps arabe » ou un «hiver syrien », ni même les explosions du 4 mars 2012 n’ont pu être l’évènement déclencheur d’un sursaut démocratique. Tout porte à croire que ce sursaut est en train de naître de la conjonction d’un mécontentement total des populations, des révélations provenant de l’intérieur même de la citadelle, et d’un fossé grandissant entre l’extrême richesse d’un groupe de personnes agglutinées autour d’une même famille, (celle du président), et l’extrême pauvreté d’une proportion toujours croissante de Congolais, avec pour les relayer une Diaspora de plus en plus active aux commandes de l’arme redoutable que sont Internet et les « réseaux sociaux ».
La situation sociale est explosive, malgré l’abondance des ressources financières. Aucune illusion ne peut plus être entretenue à ce sujet. Cependant les quelques hommes et femmes qui tirent profit de ce juteux système, refusent, comme une mule qui ne veut pas avancer, d’en prendre conscience. Pourtant, autour d’eux, de nombreux acteurs politiques, amicaux et constitutionnels ne cessent de tirer les sonnettes d’alarme. En vain pour le moment encore…
Tous, comme nous-mêmes, craignent une explosion qui ne satisfera que ceux, très rares, qui n’ont plus rien à faire du Congo parce qu’ils ont constitué des fortunes colossales à l’extérieur et qu’ils préfèrent un nouvel embrasement total plutôt que d’accepter d’être mis de côté.
Déjà en 1991, le Peuple congolais fort de toutes ses composantes, sans que la moindre balle de fusil ne fut tirée, avait su fraternellement et pacifiquement imposer le débat démocratique et l’alternance politique. L’autocrate d’alors n’avait d’autre choix. Aujourd’hui, la situation est identique.
Le 10 septembre dernier, le président de la Cour criminelle, Maturin Bayi, débarqué manu-militari par des agents de la Sécurité d’Etat , à Pointe Noire, de l’avion de la TAC qui l’amenait à Cotonou, avait exprimé tout son courroux devant la caméra de DRTV. La veille déjà, dans la sentence qu’il avait rendue dans l’affaire du 4 mars, il n’avait pas suivi les instructions de son ministre de la justice, Emmanuel Yoka, en libérant le Colonel Marcel Ntsousou.
De ce premier « Non » officiel d’un président de tribunal de se plier aux dérives judiciaires d’un Etat mafieux, s’en suivit alors l’escalade verbale et le « Non » du même Colonel à l’égard du président Sassou NGuesso qu’il défia vertement.
Ce second « Non » entraîna celui du chef d’état-major général, le général de division Guy Blanchard Okoï, qui refusa d’intervenir contre le même colonel retranché dans sa résidence du Camp du 15 août à Brazzaville.
Cette contestation interne traduit l’impuissance actuelle du pouvoir qui ne peut que faire semblant de l’ignorer comme ce fut le cas pour l’incursion angolaise à Kimongo.
Le mécontentement gronde, bien plus qu’il ne grondait en 1991 et bien plus que jamais. De la Diaspora le rejet de ce régime et de ce pouvoir, ne cesse de clamer son « Non ». Les « réseaux sociaux » et internet n’ont plus la moindre retenue dans leurs attaques même lorsque les auteurs s’expriment de Brazzaville. D’autant plus que le dictateur, comme usé par plus de trente années d’un pouvoir absolu, s’amuse à distribuer des centaines de milliards de FCFA qui ne seront jamais remboursés. Dans ces conditions, l’échéance de 2016 n’est plus justifiée sauf à ruiner le Congo davantage.
Le Congo et les Congolais doivent se retrouver tous autour d’un « Non » fondateur !
« Non » aux abus ! « Non » à l’arbitraire ! « Non » à ce président et à sa famille !
Ce « Non » nous devons le crier haut et fort, de Pointe Noire à Bétou et dans toute la Diaspora où qu’elle se trouve.
Ce « Non » ne sera pas un symbole de division mais au contraire le ciment de toute une nation, la nation congolaise. Comme ce fut le cas déjà en 1991, après un dépôt pacifique, un gouvernement de transition remettra en place les conditions nécessaires pour un redémarrage démocratique.
Au peuple congolais, il est grand temps de réactualiser la sainte alliance de 1991. Certes les guerres contre les civils des années 97 et 98 vous ont profondément traumatisés. Ce que nous proposons aujourd’hui est une main tendue pour que tout se passe sans effusion de sang.
A l’opposition politique, demander des états généraux ne suffit pas. Il faut venir à ce grand rendez vous avec une alternative crédible pour notre peuple. La nouvelle classe politique doit tirer toutes les leçons de la seule expérience réellement démocratique jamais connue dans notre pays. Pour ce faire d’ores et déjà elle doit faire ces propres états généraux afin de tomber d’accord sur
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Le nouveau contrat pour la nation congolaise, débarrassé de l’ethnocentrisme (véritable poison actuel) et après résolution des nœuds gordiens comme l’affaire du Beach et autres crimes de sang afin de dégager les responsabilités individuelles.
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Le code pour l’utilisation des ressources nationales.
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Les nouvelles institutions (constitution, assemblées, contre pouvoirs etc.)
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Les mécanismes de sortie de crise (transition, gouvernement d’union nationale, passage direct à des nouvelles élections etc.)
A tous ceux qui veulent quitter le navire et qui clament de plus en plus fort que ‘’trop c’est trop’’, l’histoire d’une grande nation est faite par des grands hommes qui savent prendre de grandes décisions lorsqu’il est encore temps.
Moi, Benjamin Toungamani, actuellement en exil en France, je rejoins le « Non » de mes prédécesseurs et vous invite tous à en faire de même.
Non à Sassou ! Non à sa tyrannie familiale ! Non à sa dictature !
Retrouvons-nous tous Congolais de la Diaspora et Congolais de l’intérieur dans un immense rassemblement du « Non » !
Par Benjamin Toungamani
Plate forme Congolais contre la Corruption et l’Impunité
Diffusé le 24 novembre 2013, par www.congo-liberty.org
Salut mon aîné ! Grand merci pour cet acte patriotique , car sassou revient en France dans quelques jours ! Nous de la diaspora sommes restés inertes devant ce génocidaire , c’est être son complice ! Les congolais de la diaspora doivent se rassemblés et montrer la dangerosité de ce diable de sassou aux peuples Français ainsi qu’à son président ! Car chaque jours qui passe les congolais en paient le prix lourd en vies humaines avec ce fou furieux!!!!
Doyen, cette fois-ci, je me retrouve dans ce discours d’indignation qui devrait être celui de tous les congolais, d’où qu’ils soient et à n’importe quel endroit(en dehors de ceux qui ont intérêt à voir le système perdurer).
Pour rendre à César ce qui est à César, nous devons reconnaître que parmi les premiers actes qui ont marqué le début du mouvement de la désobéissance à l’arbitraire, le mouvement de l’opposition de la règle de droit républicain à l’arbitraire, il y a ce courage de Maître Mbemba et ces collègues avocats, qui ont refusé de se soumettre au dictât de cette triste institution de police politique, érigée en véritable Gestapo.
Partant de ce geste, du soutien des différents relais médiatiques, dont Radio Forum qui a eu l’audace de diffuser l’interview du colonel Ntsourou de puisse cellule de prison, prenant le pouvoir de court, pour qu’il soit dans l’obligation d’organiser un procès, avant même que la fameuse « affaire soit mûre », les congolais réalisent désormais qu’il y a une fenêtre d’opportunité s’ouvre à eux.
Notre pays a des potentialités économiques qui auraient pu permettre à chaque citoyen de vivre dans des conditions plus acceptables, au regard du spectacle de désolation d’une mauvaise gouvernance que nous offre le pouvoir actuelle, se contentant d’afficher quelques réalisations qui ne sont pas proportionnelles aux richesses produites.
Par conséquent, il devient impératif de rejoindre ce mouvement du « NON » à l’arbitraire, chacun dans sa condition, de façon intelligence, pour donner à notre pays l’opportunité de vivre dans un univers de justice et de partage équitable de ressources.
Mettons de coté les querelles de chapelles et pensant avant tout au bien-être de ceux qui sont exclus et se contentent de voir une minorité fêtée des anniversaires à plusieurs des millions d’euros, pendant que le congolais lambda ne peut s’acheter un manioc entier, si ce n’est quelques morceaux…
Cher Doyen,
Ce qui nous manque à mavula, c’est un leader intègre et constant dans le combat de la justice et la démocratie. Nous sommes donc prêts à vous suivre, car nous ne faisons pas confiance à tous ces apprentis politiciens, dont la plupart sont des transfuges du pct. organisez-vous politiquement, et nous vous suivrons , et le congo du nord au sud vaincra !
tangu yi fueni
Permettez moi de rire un peu!
Le peuple congolais a toujours dit NON à Sassou. Ce appel me paraît inutile. Le peuple n’aime pas les Tricheurs et Sassou en est un. Ce même peuple n’a d’ailleurs jamais apprécié Ngouabi à cause du culte de la personnalité que son entourage s’évertuait à imposer. Au collège, je trouvais ridicule de jouer au pionnier rouge.
La triche aux élections a démarré avec Ngouabi qui s’égayait de 99% lors de l’homologation de la constitution rouge. Mais pire, Sassou n’a aucun crédit aux yeux des compatriotes. Seuls les flatteurs et boukouteurs qui jouent leur rôle de valet en disent du bien.
Putschiste, tricheur, menteur, kleptomane, despote, incompétent et assassin, Sassou sait qu’il ne peut gagner aucune élection au Congo . C’est devenu l’un des refrains de Ndzon , car celles qu’il organise au pays sont truquées et faites pour la forme.
Nos » honorables députés » et Maires ne sont-ils pas que des valets corrompus nommés pas leur maître? Le NON est le slogan des Congolais depuis la chute de DEBAT. Il est inutile de faire des appels à son sujet, il est ancré dans l’âme de tout esprit libre.
Ne pensez pas les compatriotes soient TOUS DE COLLABOS !!!!
Qui es tu pour enjoindre les gens a dire non?De qui as tu acquis reçu cette légitimité pour oser dire non a un président démocratiquement élu je dirais plébiscité par les congolais?
Que propose tu aux congolais plus que ce qui se fait avec le chemin d’avenir?
Réponds a ces trois premières questions pour ouvrir le débat.
On ne distrait pas le peuple par ses états d’âme. N’est pas président qui le souhaite.
Vous vous payez des mots monsieur TOUMANGANI, vous n’avez même pas la légitimité d’un chef de bloc, et vous osez amuser l’opinion en appellant a dire non au sage du contient, artisanat de la paix, développeur du Congo? C’est a croire que vous êtes le plus prétentieux d’entre tous.
Tes alliés de l’opposition radicale ont organisé une réunion au boulevard avec 3000 participants qu’ils ont qualifié au début de méga meeting, à plus forte raison, toi qui n’est même pas leader d’un quartier de ngagbgalingolo?
Pourtant ni un « printemps arabe » ou un «hiver syrien », ni même les explosions du 4 mars 2012 n’ont pu être l’événement déclencheur d’un sursaut démocratique. Tout porte à croire que SASSOU EST AIME PAR SON PEUPLE. ET CE DERNIER TIENT A LA PAIX CHÈREMENT ACQUISE.
A BAS LES CALOMNIEUX, LES AIGRIS, LES ENVIEUX, LES SANS SCRUPULES, LES ENNEMIS DU CHANGEMENT, LES ETHNOCENTRIQUES…
Je salue le courage et l’objectivité du Chef de l’Etat congolais . Ce qui compte pour les congolais, c’est sa détermination a conduire le pays à l émergence. Comme il s y prend bien, il est nécessaire qu’il poursuive son action. Le reste n’est distraction.
Comme toujours les valets aux ordres du dictateur aboient parce qu’ils savent tous combien Benjamin Toungamani est à la pointe du combat.
Il nous faut suivre celui et ceux qui ont su porter des coups véritables à celui qui se croit invisible et qui finira par tomber bientôt
Déjà en Janvier 1997 le Peuple congolais fort de toutes ses composantes, sans que la moindre balle de fusil ne fut tirée, avait su fraternellement et pacifiquement acclamer le retour démocratique et l’approche d’une alternance politique. Le DSN National n’avait d’autre choix. Aujourd’hui, la situation est identique le peuple a beaucoup plus qu’hier besoin de lui.
C’est étrange tout de même, cette célérité avec laquellle, tous les thuriféraires de DSN taxent les autres d’ethnocentrisme dès que l’on émet une critique de « leur pouvoir ». Or depuis 1997, il ne faut pas être grand clerc pour voir par les actes, comment, au quotidien, ils gèrent le pays de façon tribale et tribaliste. Tous les postes juteux, absolument tous les postes sont pour la race pure des gens originaires des bords de l’Alima. Quand ils sont ensemble les professions de foi nationale et nationaliste et les grandiloquences sur l’unité nationale sont jétés aux oubliettes. Ils embouchent avec ferveur la trompette du « Bokondzi na bisso ». Et je suis sûr que ZEN, Pepe Balissou et autres chantent aussi cette complainte. L’hypocrisie que vous nous chantez ne passe plus. Un grand nombre de congolais, parmi lesquels le colonel Ntsourou ont mis en évidence votre supercherie. L’angoisse qui vous habite, c’est que vous sentez qu’une houle de ras le bol est entrain de monter des entrailles du peuple.Et vos déclamations sur la popularité de DSN sont proportionnelles aux récriminations qui fondent sont impopularité. Sortez de la mentalité nauséabonde du « Bonkondzi na bisso ».
A Zen,
Mais enfin monsieur!
Que vous voulez – vous faire croire aux congolais ? qu’ils sont heureux sous cette dictature criminelle et corrompue ? que leurs enfants sont en sécurité lorsque cette dictature s’arme continuellement non pas pour défendre l’intégrité du térritoire national (cf. l’affaire de l’incursion des troupes angolaises à Kimongo est éloquent) mais simplement pour distribuer la mort à ceux des congolais qui oseront réclamer justice et liberté? Qu’ils doivent s’estimer heureux lorsque la fortune nationale est accaparée par une poignée d’ignares lorsqu’elle n’est pas dilapidée pour assouvir la mégalomonie d’un vieux pseudo-sage africain croulant devenu la risée de tout un continent? Si vous êtes un des nombreux profiteurs de cette dictature grotesque, trouvez vous un autre refrain pour soulager votre conscience au lieu de venir aboyer pour défendre grossièrement ce régime.
coup d’épée dans l’eau, les jeux sont faits, le glas approche inexorablement… gardez votre énergie, vous en aurez besoin un jour pour consoler votre énergumène – président!
Ibrahima Bouba, JE COMPREND VOTRE ÉMOTION, OUI CELLE DE VOIR UNE CORRÉLATION PARFAITE, UN AMOUR PORTE A SON PAROXYSME ENTRE UN HOMME ET UNE NATION.
JE LE REDIT VOTRE VŒU LE PLUS ARDENT EST QU’A LA PLACE DE SASSOU, QUE L’ON PUISSE LIRE TSAFOU.
DSN EST LE DEUXIÈME PRÉSIDENT DU CONGO DÉMOCRATIQUE, MAIS SANS AUCUN DOUTE LE PREMIER DES PRÉSIDENTS A METTRE LA DÉMOCRATIE EN MARCHE DANS NOTRE RÉPUBLIQUE DU CONGO.
Pro Sassou : Beurk !!!! La propagande, quand elle est indigeste à ce point, devient insipide et produit l’effet contraire de celui escompté. Quant au nom Tsafou, que vous évoquez, c’est un noble nom de lignage du Royaume Loango, vous savez, la contrée d’où sort 90% de la richesse du Congo, et sur laquelle vous vous vautrez sans gêne et sans conscience nationale. De mon point de vue, ce ne serait que légitime qu’un Tsafou, comme vous dites, soit président du Congo. Mais vois-tu cher pro Sassou, dans ces contrées là, la culture démocratique est culturelle et de tradition. Contrairement à ceux qui privilégient la violence aveugle et les autodafés de populations entières pour arriver au pouvoir, instaurer une démocrature et crier sur tout les toits qu’on est un démocrate. Qualité qui, d’ailleurs, ne résiste pas à la vérité des faits. Quant à voir » la correlation parfaite, un amour porté à son paroxysme entre un homme et une nation (sic!) » je vous renvoi simplement au moment où toute une ville et une région les huèrent et les conspuèrent spontanément, lui, son épouse et sa délégation de tribalistes. Avouez que, comme amour, il y a meilleure expression. Mais comme distingué propagandiste du « Bokondzi na bisso », en vous mentant à vous même, vous pouvez aisément vous masturber sur la popularité virtuelle du conducator d’Oyo, tribaliste en actes.
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Les Africains restent les seuls sur cette terre a caresser les empires et leurs valets dans le sens des poiles.Ils sont les seuls sur cette terre a refuser la liberte malgres l’oppression violente qu’ils subissent depuis des siecles.Suivez l’exemple de l’asie et l’amerique latine ou les valets des empires ont ete vires par les canons.En Amerique latine il n’y a plus des valets.Regardez la bolivie,’l’equateur,le bresil,le nicaragua,le venezuela et Cuba ou le grand castro devant une poignee des rebelles ont deloge le valet des etats unis fulgencio batista,arme jusqu’aux dents.
Hibrahima, allez vous plaindre chez le côlon qui a eu à délimiter les terres d’Afrique.
je ne vais pas verser comme vous dans l’injure, mais simplement vous dire qu’a la tête de la république SASSOU est encore à sa place. Il est certainement l’homme le plus lucide de sa génération Essayez de passer au peigne fin l’histoire politique de notre pays. Si vous le faites sans aucun préjugé vous y verrez certainement en lui la grandeur d’esprit que beaucoup n’ont pas eux.
Donc quand le moment de partir viendra, il se retirera sans aucun doute.
Cher Pro Sassou, je ne pratique pas l’injure, ce n’est pas dans mon éducation loin s’en faut. Je n’utilise que les mots pour nommer ce que je concois, et que me montre la réalité. DSN est en effet le président du Congo, je ne le conteste pas. Ce que je veux est qu’il le conduise réellement dans la bonne direction. Et, de mon point de vue, la direction n’est pas la bonne. Pour l’etayer, je prends des exemples concrets.Vous parlez de grandeur d’esprit ? Nous avons eue dans ce pays un Opangault et un Youlou qui ont eue de la grandeur d’esprit, je ne pense pas que DSN leur arrive à la cheville.Un Massambat Debat après avoir mener ce qui sera la seule politique d’industrialisation jamais engagée dans notre pays, voyant qu’il ne faisait plus l’unanimité, eue la grandeur d’esprit de démissionner pour éviter un bain de sang. Marien NGouabi s’apercevant de l’impasse dans laquelle le menait la voie idéologique du marxisme, eue la grandeur d’esprit de le reconnaitre et entama des consultations pour donner au pays une autre direction.Trop tard cependant le mal étant fait.Et pour vous montrer que je suis objectif, la grandeur d’esprit de Sassou, je le vis lorsqu’il accepta la conférence nationale et reconnu sa défaite lors des seuls élections véritablement libres jamais organisé dans notre pays. Nous lui demandons de faire la même chose aujourd’hui et de sortir de son Clan tribale. Ai -je suffisamment, selon vous, cher pro Sassou, passé au peigne fin l’histoire politique de notre pays ?
Semedi dernier 23 novembre 2013, si l’on s’entient à la date officielle, Sassou nguesso né le 23 novembre 1943, a acompli 70ans. Contrairement à son épouse qui au mois de mai dernier célébrait son anniversaire à grande pompe à saint tropez, Mr Sassou qui veut encore se presenter en 2016 alors que la constitution lui en prive la possibilité de se representer pour une uinieme fois, n’a pas voulu la publicité pour ne pas attirer l’attention sur la question de son age. Pour cela, je vous en rappelle que sassou depuis le samedi dernier à 70 ans. alors nous devons nous preparer et mettre nos stratégies en place pour evacuer ce mr et sa cohorte qui sont entrain de ruiner le pays.
@H Alingabeka, DSN est un Mr dont les pensées sont axes sur le travail, sur le bien être de son peuple, il s’oublie pour son peuple. Voilà pour quoi nous peuple avions souhaiter son retours et l’obligeront a rester au pouvoir pour son pays car notre pays a encore besoin de lui. C’est pas l’avis de 4 irresponsables payes par un assoiffer du pouvoir qui changera quelque choses.
@ IBRAHIMA, vous nous laisser lire qu Un Massambat Débat après avoir mener ce qui sera la seule politique d’industrialisation jamais engagée dans notre pays, voyant qu’il ne faisait plus l’unanimité, eue la grandeur d’esprit de démissionner pour éviter un bain de sang. J’ai comme l’impression que vous avez la mémoire courte ou vous faites semblant d’ignorer l’histoire de notre pays, souvenez vous encore de l’époque ou DSN quittait le pouvoir en respectant la loi des urnes??? En plus vous oser comparer les réalisations de Massambat Débat a celle de DSN, vous êtes très drôle. DSN a presque tout donner a notre nous lui devons beaucoup d’egard svp.
Bec Jaune, quand vous me lisez, lisez moi en totalité et pas à moitié, car vous suréagissez à l’émotion et à l’affect. Pro Sassou a qui j’adressai mon post suite au sien, m’a très bien compris, lui. Quant aux réliasations industrielles du Président Massamba Débat, je vais vous les citer : Sanghapalm, Usines d’allumettes de Betou, Huilka, Sucrerie de Nkayi, Sotexco, Impreco,Cimenterie de Loutété, Ferme de Loudima, Socobois,SNE,SNDE,SCKN, RNTP, OFNACOM et je suis sûr que j’en oubli. Et celà en cinq ans. Entreprises toutes mises en faillite par la gestion marxiste. Maintenant, je t’autorise à me citer les réalistaions industrielles de DSN et j’approuverai si c’est vrai.Lui est au pouvoir depuis près de 30 années. Je le répète cher compatriote, partons de la vérité des faits pour faire avancer notre pays.Nous vivons de trop de mensonges et de propagande. Du reste, dire la vérité, ce n’est pas manquer de respect à l’endroit de DSN ni d’égard.Celà s’appelle la liberté de parole, et cette liberté a été trop souvent galvauder dans notre pays.
L’angola est l’un des pays qui ont compris la menace de l’islam venu du qatar et ne veut rien savoir de cette religion et d’autres sectes tandis que Sassou et ses proches inondent le congo avec ces fous de dieu.Lisez ceci:L’Angola ne veut pas de la religion Islam sur son sol
Le ministère de la Justice et Droits de l’Homme ferme les mosqués jusqu’à nouvel ordre
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Ministre de la Culture garantit la lutte contre les sectes religieuses illégales
Le ministre de la Culture, Rosa Cruz e Silva, a garanti mardi, à Luanda, les efforts redoublés pour lutter contre les sectes religieuses, notamment celles qui sont illégales.
Répondant aux questions posées par les députés de la 6ème à la Commission de l’Assemblée nationale, lors d’une visite de travail au ministère de la Culture, Rosa Cruz e Silva a proposé que cette tâche soit exécutée en partenariat avec les ministères de la Justice et de l’Intérieur.
« Le phénomène religieux comporte plusieurs composantes, notamment le contrôle de l’immigration illégale et la reconnaissance/légalisation des confessions religieuses, raison pour laquelle il est nécessaire l’engagement de tous », a-t-il renforcé.
Selon la ministre, cette action requiert également la révision de la loi 2/04 du 21 mai, concernant la liberté de culte, l’actualisant au contexte national actuel, comme un moyen de lutter sans relâche contre le surgissement de congrégations, dont les cultes sont contraires aux us et coutumes de la culture angolaise.
En ce qui concerne l’Islam, dont le processus de légalisation n’a pas été approuvé par le ministère de la Justice et Droits de l’Homme, la ministre a expliqué que comme d’autres confessions dans la même situation, leurs temples seraient fermés jusqu’à nouvel ordre.
» Toutes les sectes sur la liste publiée par le ministère de la Justice et Droits de l’Homme dans le quotidien angolais « Jornal de Angola » sont interdites de réaliser des cultes, ils doivent donc garder ses portes fermées », a-t-elle souligné.
Rosa Cruz e Silva a informé qu’il y avait actuellement dans le pays 194 sectes, dont les procès de sollicitation de régularisation n’ont pas été acceptés. « En plus de cela, nous avons aussi une longue liste de plus de mille demandes de légalisation », a-t-elle dit.
Actuellement, a ajouté la ministre de la Culture, il y a à peine 83 églises reconnues, dont trois/quatre avec une action visible au bénéfice de la société angolaise.
Durant la réunion, les députés ont posé plusieurs questions/préoccupations concernant l’état actuel de la culture et du fonctionnement des différents départements du ministère de la Culture