Qui sera prêt à mourir pour Kiki, Coco, Cendrine, Juju…et les autres rejetons de Sassou Nguesso !

Claudia dit Coco Sassou et le père Denis

Claudia dit Coco Sassou et le père Denis

Pour le centenaire du déclenchement de la guerre 14-18 les manifestations de commémoration se succèdent à travers l’Europe. Le vieux continent avait partiellement commencé à creuser sa tombe, il y a un siècle, en donnant ce signal de départ à son déclin. L’Incroyable boucherie de cette première guerre mondiale et de celle qui l’a suivie ont finalement fait comprendre aux Européens l’importance de la paix et de la vie humaine.

Si la leçon a fini par porter, auprès de ces vieilles puissances il y a peu encore ennemies héréditaires, on ne peut que se demander quand il en sera de même pour nos guerres fratricides ? Quand verrons-nous fleurir une commémoration pour notre guerre du 5 juin 1997, ou pour les explosions du 04 mars 2012 ? Quand les responsables politiques, tous corps et tous bords confondus, viendront-ils enfin se recueillir et demander un pardon, même symbolique, à toutes celles et tous ceux qui ont été les victimes de leurs ambitions contrariées, ou satisfaites, et de leurs désaccords ? Quand un monument même modeste sera-t-il dressé à Brazzaville pour recevoir ces cérémonies ? Pourquoi un mémorial fastueux et clinquant pour l’Explorateur et pas la moindre pierre, pas le moindre bloc de marbre pour les dizaines de milliers de victimes que nous continuons de pleurer ?

Le travail de mémoire et la repentance sont indispensables à la prévention de tout conflit et de toute folie futurs. Il est sûr que le pouvoir politique actuel, comme pour masquer ses propres responsabilités depuis bientôt deux décennies, n’a jamais fait la moindre démarche dans ce sens. Si certains, dans un autre siècle, se disaient prêts à mourir pour l’Alsace et la Lorraine aujourd’hui, chez nous, qui voudrait donner sa vie pour Kiki et pour Coco ?

Le nouveau conflit qu’une seule famille nous prépare, dans l’hypothèse où nous refuserions ses tripatouillage pour rester à la tête de l’État, pourrait être bien plus sanglant que ceux que nous avons déjà connus et bien plus dramatique que la guerre actuelle au Centrafrique.

Dès le 15 octobre 1997, les neveux d’abord, puis les enfants, ont fortement marqué de leur empreinte, et surtout de leur appétit, les décisions qui furent prises. Le pétrole fut alors confié à une potiche, feu le ministre poète Tati Loutard, et tous les autres postes-clés livrés à des gens malléables à souhait. Aujourd’hui plus besoin d’hommes de paille,  de marionnette, la prise de pouvoir a été totale et ostentatoirement apparente comme les insolents butins de leurs prédations. Ils ne cachent plus leurs immeubles, leurs hôtels, leurs villas, leurs 4×4 par dizaines et leurs jets-privés !

A peine le calme revenu, les chefs de guerre ou chefs politiques les plus précieux ont été, un à un, mis sur la touche ou froidement éliminés ; de Blaise Adoua à André Okombi Salissa en passant par le Colonel Ntsourou, sans oublier Yves Motando. Même dans la nouvelle garde, ceux au caractère trop affirmé sont sciemment mis de côté. La médiocrité régnante ne saurait s’encombrer de gens valables et courir le danger de les voir s’affirmer.

Notre Monsieur émergence, Alain Akouala bateleur infatigable de ce mirage dont il nous rebat les oreilles avec ses zones spéciales qui finiront toutes comme des éléphants blancs, a vu son nom gommé de la liste des passagers de l’avion présidentiel pour Washington ; tout comme Rodolphe Adada et Isidore Mvouba, relégués au simple rôle de ministre bouche-trou réussissant à chaque fois de justesse l’examen de passage pour rester au gouvernement.

Le Sommet USA Africa de Washington a vu arriver avant toutes les autres délégations celle du Congo Brazzaville, bien plus monarchique que républicaine ; un tyran souverain, précédé ou accompagné d’une représentation presque totalement familiale. Coco (Claudia Lemboumba Sassou Nguesso) s’impose toujours sur le devant de la scène mais sait se montrer encore plus efficace dans les coulisses. Elle a, au moins, l’oreille de son père et n’a eu aucun mal à priver de Washington, et de sommet, Alain Akouala.

sassou persona non grata obligé de parler à John Kerry dans les couloirs à la sauvette

Sassou persona non grata obligé de parler à John Kerry à la sauvette dans les couloirs

Pourquoi ?

Une question et son idée même, sont saugrenues ? La domination est telle dans ce milieu familial devenu « mafia » qu’elle s’inscrit totalement dans une relation « dominant-dominé ».  Dans le célèbre livre de Primo Levi, « Si c’était un homme » le héros, prisonnier d’un camp de concentration pendant la Seconde Guerre Mondiale victime d’une brimade réagit ainsi : « Warum ? », dis-je dans mon allemand hésitant. « Hier ist kein warum » (Ici, il n’y a pas de pourquoi) »

Alain Akouala sait parfaitement qu’il évolue dans un régime totalitaire et il n’a sûrement pas posé cette question. Il savait que Coco lui aurait répondu : kanga monoko na yo…olinga, olinga té, mwana mokonzi ezali ngaï, traduction française « ta gueule, la fille du président c’est moi, et je décide ! ». 

Jusqu’à quand les rares compagnons de route, de ce monarque encore sans couronne, accepteront-ils d’avaler des humiliations successives. Pour Washington, les enfants avaient préféré la politique de la chaise vide dans les rencontres à caractère politique plutôt que d’autoriser la présence d’un étranger dans leurs réunions avec de potentiels investisseurs américains. Cette monarchie de fait qui s’est maintenant instaurée à la tête de l’Etat ne s’encombre pas du moindre principe et de la moindre pudeur. Des rendez-vous avaient été confirmés de longue date, notamment celui de la Table Ronde organisée par le National Endowment for Democracy (NED). Aucun représentant du dictateur n’y était présent, attestant ainsi sa volonté de ne pas discuter avec des opposants véritables qu’il n’ait « fabriqués » ou au moins achetés !

Aujourd’hui le paysage politique est parfaitement dessiné, c’est une famille de prédateurs farouchement décidés à ne rien lâcher de la proie, un pays tout entier, qu’ils tiennent de tous leurs crocs, de toutes leurs griffes. Ils sont aidés de quelques serpillères qui se sont vendues à eux pour des maigres restes de leurs festins.

Alors, il faut se demander, parmi ceux qui restent encore de leur côté, qui sera prêt à sacrifier sa vie, et celle des siens, pour Kiki, Coco, Cendrine, Juju, Ninelle, Wemba, Christelle, Caroline, Wilfrid, César, Edgar, Maurice, Jean-Dominique, Jean-Jacques et tous les autres……. ?

Ci dessous une vidéo de la délégation tribale : Entre Père, enfants , neveux et vieille maitresse…

 

Rigobert OSSEBI

Diffusé le 7 aout 2014, par www.congo-liberty.org

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15 réponses à Qui sera prêt à mourir pour Kiki, Coco, Cendrine, Juju…et les autres rejetons de Sassou Nguesso !

  1. Ibrahima Bouba dit :

    L’homme que ses thuriféraires les plus zélés affublent de surnoms d’animaux, a tenté effectivement d’aller faire le paon à Washington. Mal lui en a pris.Entre l’incompétence sidérante de ses équipes tribales et les positions intransigeantes de Washington sur les valeurs démocratiques, il s’est littéralement transformé en chat dans l’eau, s’ébrouant désespérément dans un milieu hostile qu’il n’aime pas. Et ce n’est pas sa tentative d’approche désespérée de John Kerry, pour convaincre de ce que « son peuple veut le référendum » au détour d’un couloir qui y changera quelque chose. L’animal sanguinaire était mal à l’aise. L’administration américaine connait tout de lui : son tribalisme, son clanisme assumé ses frasques, ses assassinats, sa propension mobutuesque au vol des deniers publics. Ils savent qu’il n’est pas l’homme de l’avenir du Congo. Aucun échange bilatérale ne lui a été accordé avec le moindre sous chef de bureau du département d’état ou de la maison blanche.Il n’était pas parmi les chefs d’états que Washington avait décidé de mettre en avant.Ici, à Brazzaville, on nous passe en boucle, son numéro nullissime au Nationale Press Club et sa photo avec Obama. Quand tout le monde sait comment cela se passe: à la va vite car 50 chefs de gouvernement attendent leur tour. S’il ne perçoit pas cela comme le chant du cygne, c’est que, décidément il réfléchi vraiment comme un animal et ses supporteurs ont vraiment raison de le voir comme tel.

  2. ROBERT dit :

    Mon très cher frère « Rigobert OSSEBI »,

    A votre question, la réponse est là.

    Le 05 Juin 1997, Denis SASSOU NGUESSO prend les armes détruit le SUD et massacre la population des 5 régions du SUD.

    Le 06 Mars 2014, le résultat du recensement de 2013 rend son verdict : la population des 5 régions du SUD s’est effondrée. Celle des 5 régions du NORD a très fortement augmentée.

    NB : Ambroise Edouard NOUMAZALAYE était préoccupé par le problème de la faiblesse de la population du NORD. Denis SASSOU NGUESSO a levé cette inquiétude.

    Voilà la réponse mon très cher « Rigobert OSSEBI »

  3. Dieudos Eyoka dit :

    Très cher frère « Rigobert Ossebi »

    Extrait du texte : « Dès le 15 octobre 1997, les neveux d’abord, puis les enfants, ont fortement marqué de leur empreinte, et surtout de leur appétit, les décisions qui furent prises. Le pétrole fut alors confié à une potiche, feu le ministre poète Tati Loutard, et tous les autres postes-clés livrés à des gens malléables à souhait »

    Pourquoi ne pas avoir également mis le nom de Mathias Dzon aux finances ?.

  4. Anonyme dit :

    Oui, cela s’est exactement passé comme cela. Tous ceux qui ont participé à cette prise forcée de pouvoir ont été mal récompensés. Même OBO le défunt beau fils ,sans qui, rien n’aurait été possible a été défié comme jamais. On lui a retiré la dépouille de la femme qu’il a mariée légalement alors que l’on sait que les époux sont unis à vie.
    Circulez, il n’y a rien à voir
    Les proches se sont accaparés de tous les pouvoirs. L’armée a été totalement tribalisée. certaines administrations sont à 75% composées de ressortissants de la grande cuvette. A la SNPC, tout le monde est de la cuvette. sinon à 80%..Au ministère de Bouya et là ou il est Président du Conseil d’administration , c’est la cuvette centrale qui est privilégiée. lors des recrutements.
    Sans compter l’envoi éhonté de 450 cuvettois sur 500 à Cuba par François IBOVI. Certains ,sont devenus propriétaires de gisements de pétrole au large de Pointe Noire

    Afin de mesurer le démembrement du tissu national et ses conséquences sur l’avenir, il faut mettre de tels faits en exergue et surtout aller le dire à Justin KOUMBA, Pierre MABIALA, le Ministre postiche SILOU. Ntsourou, MOTANDO,ADOUA qui a été le premier à pénétrer dans la chambre de Lissouba le 12 octobre 1997 l’ont compris trop tard.

  5. STERVOS dit :

    CES TRISTES EXEMPLES POUR LA JEUNESSE INTELLECTUELLE

    Grands commis de l’État ou Ministres Fantoches, sans dignité ni patriotisme!
    Un Ministre ferme sa gueule jusqu’à quand? Alors il faut avoir la dignité de s’amender en démissionnant. L’ histoire jugera!
    MVOUBA le MINDJOULA INDUSTRIEL, ADADA le MINISTRE Fantoche des Transports etc. Vous avez surement amassé assez pour la retraite, NON?

    TRISTE EQUIPEE POUR UNE IMPOSTURE INTELLO-GOUVERNEMENTALE BIEN CONGOLAISE!

  6. NKUNA dit :

    Comme disent les bagandas : « Une famille unie mange dans la même assiette ».
    Un des points essentiels du sommet des USA était la rencontre avec les opérateurs économiques américains.
    Au delà des relations déjà entreprises avec les pays africains, ce genre de forum permet de nouer de nouveaux contacts.
    Si l’on écarte certaines personnes dont la fonction aurait justifié leurs présences à la rencontre, c’est qu’elles ne sont en réalité que des accompagnateurs, des décors, au festin de la famille Nguesso , qui se partage ce gros gâteau milieu qu’est le Congo (pour illustrer la paix chèrement acquise).

    Comme disent les sénégalais, « il ne peut y avoir de paix sans compréhension ». La compréhension commence par la connaissance de l’autre, de ce qu’il est, de ces attentes…
    A partir de la, peut s’installer un dialogue constructif susceptible de déboucher sur une paix durable, non imposée.

    Or, au Congo, on nous chante à longueur de journée le slogan de la paix chèrement acquise, avec un chef de clan qui a le doigt sur la gâchette, avec un équipement renouvelé à souhait, au détriment des besoins essentiels de la population.

    Sur ce point, nous frères ougandais disent que : « Quand il y a la paix dans le pays, le chef ne porte pas de bouclier. »
    Et aux somaliens qui ont beaucoup d’expérience dans le domaine d’ajouter : « Si vous ne pouvez pas résoudre vos problèmes dans la paix, vous ne pouvez pas les résoudre à la guerre. »
    Mais, je ne perds pas de vue la pensée de Madiba qui disait que dans le combat de libération, c’est quelque fois l’oppresseur qui définit les moyens de luttes.

    Pour cela, ne perdons pas de vue l’essentiel de notre combat, celui de mettre fin au règne des imposteurs que nous imposent le grand capital, pour mieux piller nos richesses.
    Ce combat, cette victoire espérée ne viendra que par une lutte menée sur tous les fronts, chacun selon ses capacités, son positionnement…
    Et je sais que certains d’entre nous, même dans l’ombre, arrivent à donner quelques coups à l’adversaire. Mais, il en faut plus pour faire tomber cette bête.

    Ce n’est qu’en aidant le peuple congolais à élever la voix que nous pourrons mettre en marche le processus de destitution de ce grand malfaiteur infatigable, que l’Alima a eu le malheur de nous rejeter.
    Aurait –il mieux fait de nous épargner ces créatures, sinon les garder dans leur environnement, en attendant l’ouverture à la civilisation de l’honneur, du partage équitable et du respect la vie humaine extra-tribale.
    On est en face des individus victime de ce qu’on appelle en sociologie la « contre acculturation », donc une résistance à l’adoption du sens de la vérité, de l’honneur, du respect de la parole donnée.

    En sociologie, cela définit comme une opposition à la culture dominante, sélection de certains traits par la culture dominante, certains traits sont acceptés pour former la nouvelle culture, alors que d’autres sont refusés ».
    Nous constatons donc que chez ces sujets, le modèle par excellence est celui qui privilégie les liens parentaux, la tribu, la cupidité, la manipulation. Autrement dit, on se retrouve dans l’esprit de récits des explorateurs du XIXe siècle, comme PONEL.

    « IL N’Y A PLUS D’ESPOIR CES REJETONS »

    Cependant, il faut garder en tête que la patience peut faire cuire une pierre, comme on dit en Afrique.
    Car, c’est dans la longueur de la nuit que l’aube finit par se rompre. Nous finirons par voir le jour, le bout du tunnel.
    I Have a dream…

  7. Matière grise dit :

    SOCIÉTÉ ET PROCESSUS DE CIVILISATION NOUVELLE AU CONGO BRAZZAVILLE !
    VERS DE NOUVELLES SYNTHÈSES INTER-TRIBALES POLITIQUES AU CONGO: L’ALTERNANCE POLITIQUE APAISÉE AU CONGO BRAZZAVILLE !

    2014/2015/2016/2017/2022, ON L’AIME OU NON – IL VA ÊTRE FICHÉ COMME L’HOMME DE NOUVELLES SYNTHÈSES POLITIQUES DU CONGO POST DICTATURE DENIS SASSOU NGUESSO…

    Jean Luc MALEKAT est né le 25 novembre 1951 à Brazzaville. Il est le fils de Félix MALEKAT et Firmine LEZOi.

    Sa scolarité se déroule au gré des affectations de son père « Haut fonctionnaire » dans les différentes régions du Congo-Brazzaville. Il commence à l’école de Saint-Vincent de Poto-Poto (Brazzaville) et termine son cycle primaire à l’école officielle de Dongou dans la région de la Likouala. Il poursuit ses études secondaires à Chaminade (Brazzaville) et au Lycée de Kinkala dans le région du Pool.

    Collégien brillant, il s’envole ensuite pour la France, et poursuit ses études à l’institut Saint-Martin de Rennes, où il obtient son BEPC et son Bac en 1970.

    Faculté de Sciences Economiques de Rennes, puis Grenoble avec l’obtention d’un Doctorat en Sciences Economiques. Il s’inscrit en parallèle à l’Institut d’Etudes Commerciales de Grenoble, et à l’Ecole Nationale des Impôts de Clermont Ferrand dont il a été diplômé.

    Début 1980 de retour au Congo, il intègre l’Administration fiscale où il gravit tous les échelons du simple agent vérificateur, chef de division, chef de service, directeur central, pour devenir Directeur Général des Impôts en 1989. Il participe à la conférence Nationale Souveraine de 1991 en tant que patron du fisc.

    En parallèle, il était chargé de cours à l’Université Marien Ngouabi à Brazzaville et à l’Ecole Nationale d’Administration et de la Magistrature où il enseignait les finances publiques et le Droit fiscal. Au sein de l’Union Douanière des Etats d’Afrique Centrale (UDEAC) l’actuel Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), il participe à l’instauration de la TVA dans les pays de l’Union.

    Après la Conférence Nationale, il devient en 1991 Secrétaire d’Etat chargé du Budget dans le premier Gouvernement d’André MILONGO puis Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan jusqu’au passage de relais à la présidence de Pascal LISSOUBA.

    Au sortir du gouvernement, il réintègre l’Administration fiscale au poste de simple agent vérificateur. Néanmoins, cela lui permet de collaborer tant avec des cabinets privés dans différents pays africains pour des audits qu’avec les administrations fiscales pour faire évoluer leur législation. Ce jusqu’à ce jour. Il n’a jamais cessé, également, de suivre attentivement les engagements financiers de son pays d’origine.

    Il s’était engagé politiquement aux côtés de Messieurs Paul KAYA, Bernard GALIBA et Edouard EBOUKA BABAKAS pour créer le MDS. Il a eu la responsabilité d’inscrire le mouvement dans l’Internationale de la Démocratie Chrétienne. Dans ce cadre, il a eu à faire de nombreux déplacements en Amérique Latine, dans l’Union Européenne. Il a eu également à participer aux Conseils des Ministres des ACP.

  8. Les nouvelles synthèses de l'intelligence congolaise post sassou nguesso ! dit :

    La liberté « Être libre, c’est faire ce que je veux » !

    PHILOSOPHIE DE LA LIBERTÉ !
    Si la liberté est l’absence de toute règle et de toute contrainte, alors l’animal est libre. Mais ce raisonnement n’a qu’une apparence de vérité: le comportement d’un animal est en fait dicté par son instinct, de sorte que l’animal ne peut pas s’empêcher d’agir comme il agit.
    L’instinct commande, l’animal obéit : loin d’être le modèle de la liberté, l’animal est l’incarnation d’une totale servitude à la nature. On ne peut parler de liberté que pour un être qui s’est affranchi du déterminisme naturel.

    Pour être libre, il faut pouvoir choisir de faire ou de ne pas faire. Seul donc un être qui s’est débarrassé de la tyrannie des instincts peut remplir les conditions minimales de l’accès à la liberté. Kant soutient que c’est précisément là le rôle de l’éducation : elle a pour but premier de discipliner les instincts, c’est-à-dire de les réduire au silence pour que l’homme ne se contente pas d’obéir à ce que sa nature commande.

    S’il suffisait d’obéir aux lois pour être libre, alors les sujets d’une tyrannie connaîtraient la liberté. Pour Rousseau, la seule solution à ce problème à la fois politique et moral, c’est que je sois aussi l’auteur de la loi à laquelle je me soumets.
    Nelson Mandela a dit: j’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre.
    Nelson Mandela a dit: Il est difficile d’expliquer à quelqu’un qui a les idées étroites qu’être « éduqué » ne signifie pas seulement savoir lire et écrire et avoir une licence, mais qu’un illettré peut être un électeur bien plus « éduqué » que quelqu’un qui possède des diplômes.

    Nelson Mandela a dit: l’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde. Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse.
    C’est en revenant à un endroit où rien n’a bougé qu’on réalise le mieux à quel point on a changé.
    Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de la haine, des préjugés et de l’étroitesse d’esprit.

    BARACK OBAMA A DIT «Trop de dirigeants se disent solidaires du combat de Mandela pour la liberté, mais ne tolèrent pas l’opposition de leurs propres peuples»
    «L’humanité est unique, une seule, nous devons tous faire attention à tout ce qui est autour de nous»
    «Mandela est un géant de l’histoire qui a lancé une nation vers plus de justice,
    comme Martin Luther King, Mandela a donné une voix puissante aux peuples opprimés»
    «Je remercie les peuples d’Afrique du sud pour avoir partagé Mandela avec nous».

    «Quand l’injustice pèse sur nos cœurs, quand nos plans s’éffrondrent, pensons à Nelson Mandela»
    «Nelson Mandela nous a montré le pouvoir de l’action, de la prise de risque au nom d’un idéal.». Barack Obama !

  9. le fils du pays dit :

    A mon cher frère Ossebi
    Aucun Congolais qui a sa tete en place pourra mourir pour ce groupuscule de piranhas don’t le chef de file est le grand piranha d’Alima.Les doivent se debarraser par tous les moyens le plus tot que possible de cette mafia qui ruine et detruit le patrimoine commun des Congolais.Trop c’est trop.

  10. Madouma Lissafi, Mon cher Rigobert, ta question trouve une réponse très plausible dans les groupuscules des immigrés arabes importés dans notre pays par sassou dénis. Ce en moins de dix ans!

    Il suffit de lire la géopolitique tribale des monarchies du golfe, pour s’en rendre compte que ces BARBUS moyenâgeux sont un composé très hétéroclite des moralités opposées aux nôtres comme l’actualité nous le décrit ces derniers temps. En effet, en réaction aux terribles explosions des armes miliciennes du 04/03/12, je viens de lire sur YouTube.com, un quasi appel de l’un de ces émirs du crime pullulant dans notre pays (ils sont plus de 800000 arabes chez nous maintenant) dans des termes qui disent long des mobiles de leur présence au Congo. Il s’agit ni moins ni plus que d’investir dans un délai très court, l’espace politique et social de notre pays.

    Lorsque ces appels tonnent des inepties du genre « qu’il faut être vigilant » c’est à dire que les arabes doivent se tenir prêts dès que le roi sassou 1er les invitera à prendre les armes contre les 52 ethnies originelles de notre pays. Bien sûr pour défendre ce qui deviendra dans un futur proche leur terre : parce que la création de la monarchie des nguesso et sassou est l’ultime projet que caresse l’ensemble de ces immigrés à l’image de celles du moyen orient.

    Rigobert, ceci n’est pas anodin, car, ce ne sont les arabes qui doivent être VIGILANTS mais plutôt les congolais originels qui DEVRONT L’ÊTRE PLUS QUE JAMAIS.

    Tu as sur ces explications lapidaires, la suite logique à ta bonne question. Si nous faisons la politique de l’autruche, nous allons droit vers un GRAND DANGER. Lequel? Alors, nous aurons à appliquer les préceptes d’un islam rigoriste, violent, maffieux, criminel. Telles les MUTILATIONS à la hache, au coupe-coupe, machette, aux ciseaux, lames rasoir des CLITORIS de nos femmes, filles, petites filles ou peut-être de nos mamans; telles aussi les oppositions de ces barbus à notre patrimoine culinaire: plus question de manger de la viande de porc ou de notre goulou mu mako, notre goki, nos chenilles ou mitsonguis, larves ou tsombés, etc. Tout ce qui fait la puissance culinaire appréciée des 52 ethnies du pays de notre identité culturelle. Pis, voiler nos filles, fillettes et femmes! SOYONS VIGILANTS, NOUS CONGOLAIS ET NON LES ARABES QUI DOIVENT ÊTRE PLUS VIGILANTS CHEZ NOUX;

  11. PROTOGORAS dit :

    LE CONGO A 52 SOUS-GROUPES ETHNIQUES ,MAIS PAS 52 ETHNIES.

  12. C’est triste que ce soit disant président ,se prosterne devant le secrétaire d’état américain ! En plus cette photo montre le désaveu à sassou ! Car ce salopard veut changé la constitution du congo pour continuer sa démolition du pays ! A nous la diaspora de dénoncer ce diable dans son entreprise criminelle , car sassou n’est que la valonté de l’occident au congo!!!

  13. Dieudos Eyoka dit :

    https://www.youtube.com/watch?v=eyZ1sAFDByA#t=74

    Les gardes du corps de Kabila à côté de son hôtel mettent KO un combattant.

  14. ROBERT dit :

    Mon très cher frère « Rigobert OSSEBI »,

    A votre question, la réponse est là.

    Le 05 Juin 1997, Denis SASSOU NGUESSO prend les armes détruit le SUD et massacre la population des 5 régions du SUD.

    Le 06 Mars 2014, le résultat du recensement de 2013 rend son verdict : la population des 5 régions du SUD s’est effondrée. Celle des 5 régions du NORD a très fortement augmentée.

    NB : Ambroise Edouard NOUMAZALAYE était préoccupé par le problème de la faiblesse de la population du NORD. Denis SASSOU NGUESSO a levé cette inquiétude.

    Voilà la réponse mon très cher « Rigobert OSSEBI »

  15. Mfoa dit :

    Quelle question!?

    Les mêmes valets qui tueront pères et mères pour défendre le dictateur sassou, feront allégeance à la progéniture.
    À moins que le grand féticheur et franc-maçon de papier appelé le « spécial » dans l’art de la liquidation physique ne réserve un sort funeste à cette progéniture.

    Au fait, on s’en moque car en 2016. C’est TERMINUS pour tout le monde.

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