Ce samedi 3 Mai 2014, John Kerry est arrivé dans la capitale de la R.D.C. en provenance d’Ethiopie. Après l’étape de Kinshasa, le Secrétaire d’Etat américain se rendra le dimanche à Luanda, en Angola, pour une rencontre avec le président José Edouard do Dos Santos. Respect des droits de l’Homme, démocratie et investissements sont au centre du périple du chef de la diplomatie américaine.
« Ces trois pays africains sont d’une grande importance pour les États-Unis, et le secrétaire d’État Kerry ne devrait donc pas passer sous silence leurs mauvais bilans en matière de droits humains », a commenté Sarah Margon, directrice par intérim du bureau de Washington de Human Rights Watch. Lors de sa visite, John Kerry devrait souligner combien les droits humains, le développement et la sécurité sont inextricablement liés .
Curieusement Brazzaville, qui est au centre géographique de ces déplacements, est royalement ignorée par l’Administration américaine.
On peut retourner le programme de Kerry dans tous les sens, le Secrétaire d’Etat américain ne fera pas le saut de puce, entre les deux capitales congolaises, pour daigner saluer celui qui prétend être « le véritable successeur de Mandela ».
Dans son ranch d’Oyo, les chevaux de Sassou-NGuesso seront de repos ce week-end. Ils n’auront pas à se prêter à une pitoyable séance de rodéo avec le dictateur déguisé en cow-boy pour tenter d’impressionner son distingué visiteur. Dommage pour John Kerry, il rate pourtant-là une occasion de franche rigolade qui l’aurait joyeusement accompagné jusqu’à la fin de ses jours… !
Pour sa part, le « comploteur de la RCA » (dixit Bozizé) enfin démasqué, le tyran à l’ego démesuré, n’apprécie pas d’être laissé pour compte. Les milliards dépensés auprès de ses lobbyistes patentés pour lui organiser, le 11 février dernier, la mascarade du 25ème anniversaire du Protocole de Brazzaville au cours de laquelle se bousculaient les Prix Nobel, n’auront pas permis la moindre reconnaissance – bien au contraire – de la part de l’Administration américaine.
Décidément pour Washington,l’escroc–corrupteur du FMI et de la Banque Mondiale afin de bénéficier indûment du programme PPTE, le putschiste invétéré-chef de guerres civiles, n’appartient pas à la catégorie des dirigeants avec lesquels il est possible de discuter et que l’on fréquente, mais bien à celle de ceux que l’on laisse de côté. Définitivement !
Cependant, ce qui sera dit à Kinshasa entre Joseph Kabila et John Kerry, porteur d’un message du Président Barack Obama, devrait valoir également pour Brazzaville.Nul besoin pour l’autocrate d’Oyo d’aller coller son oreille à la porte du salon dans lequel se dérouleront les entretiens. Tout le monde est déjà fixé sur ce qui y sera dit.
AvecJoseph Kabila, John Kerry exigera qu’un coup d’arrêt soit porté à l’aventurisme politique de ceux –« ses sages du Niari et de la Bouenza »- qui encouragent Sassou Nguesso à faire réviser la Constitution pour briguer un troisième mandat présidentiel. Des propositions seront avancées quant à la manière d’appuyer le processus de démocratisation, notamment par un processus électoral transparent. D’ailleurs, la société civile de la RDC a adressé un mémorandum, qui va dans ce sens, au chef de la diplomatie américaine. « Non à la révision constitutionnelle en période préélectorale ; oui à la préparation de l’alternance démocratique », ont ainsi écrit ses leaders.
La société civile congolaise-B. serait bien inspirée d’en faire au moins autant auprès de la diplomatie américaine qui ne saurait avoir une approche démocratique pour une population d’une rive du fleuve Congo et une tolérance d’une dictature mafieuse pour celle de l’autre rive : en sachant bien que de part et d’autre des frontières naturelles ou pas de ces pays, il s’agit en réalité d’un même peuple !
D’ailleurs bon nombre de voix s’élèvent, dont celle de l’ancien-Ministre Jean-Luc Malekat, pour soutenir la vision de l’Afrique juste et légitime du Président Barack Obama qu’il a décrite dans son discours du 11 juillet 2009 à Accra. Certains déclarent que ce fut le plus beau discours qu’il n’ait jamais prononcé et tous, comme nous-mêmes, applaudissent et le soutiennent lorsqu’il déclare : « l’histoire est du côté de ces courageux Africains, et non dans le camp de ceux qui se servent de coups d’Etat ou qui modifient les constitutions pour rester au pouvoir. L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais de fortes institutions. L’Amérique ne cherchera pas à imposer un système quelconque de gouvernement à aucune autre nation. La vérité essentielle de la démocratie est que chaque nation détermine elle-même son destin. Ce que fera l’Amérique, en revanche, ce sera d’accroître son aide aux personnes et aux institutions responsables, en mettant l’accent sur l’appui à la bonne gouvernance (…) et d’isoler ceux qui ne le font pas. »
La République du Congo ne saurait être exclue du propos du président américain et de sa vision. Ses représentants véritables, ceux de la société civile et non les pseudos sages de la Likouala, de la Bouenza ou du Niairi, doivent le faire savoir à l’Administration américaine.
Et le plus tôt sera le mieux.
NDLR : Denis Sassou NGuesso, notre président mal-aimé, a très mal supporté l’affront que la diplomatie américaine lui a infligé. C’est à Sibiti qu’il est allé cacher ses peines et rancœurs loin de Brazzaville d’où il aurait pu apercevoir, de l’autre côté du fleuve, les mouvements et l’agitation liés à la présence du représentant de Barack Obama. Pour qu’il se console, il faudra que les sages de la Lekoumou, déjà gavés comme des oies par la municipalisation accélérée, le supplient eux aussi de ne pas quitter le pouvoir. Et si ce n’est pas suffisant, dès demain les expulsions de Zaïrois reprendront de plus belle…
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 4 mai 2014, par www.congo-liberty.org
JOHN KERRY : Joseph Kabila ne doit pas briguer en 2016 un troisième mandat présidentiel,interdit par la Constitution
Toute à une fin !
Le peuple congolais, le vrai a déjà dit « NON A LA MODIFICATION DE LA CONSTITUTION ».
Tout ce que le régime entreprend comme stratégie anti-constitutionnel ou confiscatoire de la liberté de conscience ( achat de conscience) ne passera pas.
Sassou Nguesso est aux abois et il doit comprendre c’est fini ses plans machiavéliques envers le peuple souverain.
De 2014 à 2016, Sassou Nguesso et ses traitres doivent déjà préparer leurs bagages soient pour l’exil ou pour la prison point barre.
Sassou est égocentriste. La loge maçonnique à laquelle il appartient ne lui a jamais appris à dissoudre son moi, à désintégrer ses noeuds psychologiques, mais au contraire à les renforcer. N’attendons donc pas de lui un éveil ou une révolution de sa « conscience ».
Seule une révolution lui fera quitter le pouvoir.
Dėnis Sassou-Nguesso sur les traces d’un certain » Joseph-Dėsirė » pardon Sesse-Seko qui termina bon an mal an sa course à Rabbat et pour toujours , kiadi kibeni . Oyo , risque de subir les mėmes pillages que Gbado-Litė . Alors c’est bien le moment que l’intėressė puisse penser de son aprės pouvoir , c’est-à-dire sa retraite , sinon , il sera trop tard . Que sa celebre fille puisse bien lui montrer les dangers qui le guettent .
A bon entendeur , salut !
DOLISIE MARTYRISE PAR LE TYRAN ET DOLISIE INSTRUMENTALISEE AVEC L’AIDE DES FELONS JOUANT A VISAGE DECOUVERT… MAIS DOLISIE, ALORS DOLISIE… LA VRAIE DOLISIE SE LEVERA POUR NE PLUS JAMAIS SE FAIRE ABUSER, J’ALLAIS DIRE SE FAIRE BAISER A NOUVEAU. Chercher et trouvez l’astuce dans la stratégie du tyran: le symbole Dolisie, fief de Pascal Lissouba qui demande avec force le maintien au pouvoir de son tortionnaire ! Constatez qu’il y a vraiment du louche là. Surtout ne pas mettre en scelle une localité du Nord du pays. Ce serait trop flagrant ! Ces villes du Nord que le tyran disait, en s’érigeant sur le toit’ SI JE MEURS A 11 HEURES, TOUS NOS VILLAGES AU NORD SERA BRULES A 13 HEURES. AYONS LA MEMOIRE DES EVENEMENTS DU PAYS, SUIVONS LEUR FILIATION ET NE PARAISSONS PAS COMME DES IDIOTS QU’ON DISPOSE A SOUHAIT. A ce niveau de la situation avec des félons comme les-Mabiala-budules et autres Kumba je ne sais quoi, seul une réaction du peuple, bien entendu apeuré et traumatisé, fera la différence. CETTE ESCROQUERIE DOIT ETRE STOPPE SANS AUTRE FORME DE PROCES.
Peuples congolais de la diaspora comme au pays , aujourd’hui nous sommes tous victimes de la barbarie de sassou ! la diaspora congolaise devraient s’alliés à de la RDC , car notre avenir meilleur nous l’impose , chers compatriotes 2016 c’est maintenant sinon le calamiteux sassou va encore briser notre avenir !
Kabila dégagera en Décembre 2016. Sassou lui l’aura fait depuis Août de la même année. Resplendiront alors deux pays démocratiques aux objectifs identiques.
La RDC +LE CONGO B+ L’ANGOLA = Assurance Vitale du Monde .(AVM) = CONGO FEDERAL
Aussi, que 2016 voit arriver aux affaires des esprits nouveaux aux ambitions planétaires. Pourvu que les putschistes en puissance soient écartés de la bonne graine.
Ces trois CONGO ont mieux que le pétrole: l’EAU en abondance.Et ça c’est la VIE.
Que l’on brûle tous les putschistes de la terre!!!
En principe, le putschiste est kleptomane, menteur, tricheur à souhait, usant de la brutalité puisque incapable de dialoguer, il n’est pas instruit, il despote et par tous les moyens, il essaie de faire accepter son pouvoir illégitime, il écrase toutes voix critiques préférant les flatteurs ou valets, il s’entoure des collaborateurs incompétents,il chef de clan il est donc très minable .
Au Congo, ce type d’homme politique se nomme un SASSOU. Comprend dès lors pourquoi le représentant d’OBAMA n’a pas daigné le rencontrer. C’est une charogne à éviter!
En tout cas, les Congolais partagent les idées d’Obama sur la gestion politique d’un pays.
Le truc c’est que notre Tyran-bien aimé va appeler son nouveau Ducon Hollande pour créer aussi une visite dans les mois qui viennent,attendons nous à cela!
« KERRY (seulement secrétaire d’état) ignore royalement SASSOU-NGUESSO » comme XI JIN PIN (président de la Chine populaire) avait ignoré KABILA lors de sa visite au Congo. Qui gagne, un secrétaire d’état ou un président de la république ? Ceci pour dire que le titre votre article est RIDICULE !
@l’Observateur pointu
Joseph Kabila, ex-chauffeur de taxi n’a pas la prétention de diriger l’Afrique et pourquoi pas le monde (comme Denis le mégalo). Le type est somme toute très simple
Denis Sassou NGuesso ex-instituteur a un ego peu commun qui mériterait un bon internement psychiatrique. Le président chinois, à qui il doit des milliards de dollars pour ses barrages et ses aéroports, lui est tout acquis et donc il s’en moque. Kerry c’est Obama. Donc la gifle il l’a prise en pleine poire. Il est parti cacher son affront à Tsibiti auprès de sa favorite, une fille de Justin Leckoundzou.
Voilà qui est RIDICULE de la part d’un grand père qui va se taper la fille ainée d’un homme à qu’il il doit une partie de son pouvoir… ! L’addition totale de tous ses crimes ne tardera pas à lui être présentée…!
Le sérieux chez un individu pourrait s’évaluer par la factualité des éléments qu’il avance dans ses propos; et non en recopiant par idiotie et avec paresse ce que les médias officiels lui donnent à japper.
Je ne m’attacherai donc qu’aux faits. Voyons donc quelques faits et actes que l’Amérique aura accompli au nom de la «démocratie» et des «droits de l’homme»:
• Participation de la CIA (Central Intelligence Agency) dans l’assassinat, par le biais de laquais locaux, de Patrice Lumumba.
• Renversement du gouvernement de Mohammad Mossadegh, premier ministre de la République d’Iran (opération Ajax), après que celui-ci ait voulu nationaliser le pétrole iranien.
• Renversement de Jean-Bertrand Aristide, président «démocratiquement» élu d’Haïti.
• Planification et financement de divers coups d’état en Amérique latine.
• Et je ne parlerai pas de l’Irak, de l’Afghanistan, de la Lybie et autres…
A toutes celles et ceux qui parmi vous semblent ENCORE croire que la présence de Sir Kerry – membre, comme George Walker Bush, de la société secrète «Skull and Bones» (crâne et os) – en Afrique fût motivée par les droits de l’homme et le souci d’aider les Africains à disposer seuls des richesses de leurs pays et à être indépendants, je ne pourrais que vous interjeter ici ce qu’un frère Afro-américain pourrait vous interjeter en la circonstance : «Nigger please !»
Et pour celles et ceux qui espèrent ENCORE en la France, sachez que, lors de son intronisation, le président François Hollande plaça son quinquennat sous les auspices de Jules Ferry (1832-1893) qui défendit les intérêts du grand capital français en DÉVELOPPANT LE COLONIALISME…
Apprenez aussi que lorsqu’un renard se couvre de plumes, ce n’est jamais dans l’intention de pondre des œufs…
Et je vous donnerai, en guise de conclusion, un petit secret. Un politicien ou diplomate expérimenté séduit une masse ignorante de la même manière qu’un homme séduit généralement une femme. Il dit aux idiots qu’il a en face de lui ce qu’ils veulent entendre…
LEONIDAS
LEONIDAS
C’est fini le bon temps des pro-Sassou primaires et incultes qui réagissaient au quart de tour avec des commentaires bourrés de fautes d’orthographe. Avec ce nouveau venu, c’est le haut du panier (de crabes) qui n’a presque pas besoin d’aller chercher ses références sur Wikipédia. Aurait-il traîné à Yale sur les mêmes bancs que W., le demeuré, pistonné par son père pour y entrer ? Que je sache, il n’y a pas eu de compatriote de ce côté-ci du fleuve qui ait eu cet honneur ! Aux yeux de ce bienheureux du système personne ne saurait trouver grâce, mais il nous conforte dans l’idée que Sassou et sa bande ont de nous : des idiots qui ne sauraient être séduits (plutôt violés) par quiconque d’autres qu’eux !
Mais que le chocolat belge se rassure, les Congolais ont bien compris qu’ils ne pouvaient et ne devaient compter que sur eux-mêmes. La fin de ce pouvoir s’accélère et ses mises en garde sont superflues.
Alors, tout aussi courtoisement, pour toi aussi : « Nigger please ! »
Monsieur Eyoka.
Je vais être court et vous demander ce qui suit en vous priant de répondre avec précision :
1. Veuillez nous montrer ce qui dans mon commentaire laisserait à penser que je suis un «pro-Sassou».
2. Veuillez nous montrer ce qui dans mon commentaire démontre que je suis «inculte».
3. Veuillez nous montrer ce qui dans mon commentaire démontre que je suis «un bienheureux du système».
4. Veuillez nous montrer, Monsieur le professeur de français, les fautes d’orthographe que vous avez pu relever, car nous avons tous envie d’apprendre de vous.
5. Et enfin, Wikipédia ?! Nigger please !
Pour terminer, lorsque je parlai des masses idiotes séduites, cela n’était nullement en référence à notre négus mais de Kerry & Co.
Et, qu’il ne vous en déplaise, ayez la «courtoisie» de ne pas me tutoyer… s’il vous plaît.
LEONIDAS
Monsieur Eyoka.
Une autre question que j’oubliai de vous poser et à laquelle il nous intéresserait d’avoir une réponse de votre part.
Parmi les faits que je citai dans mon commentaire qui, semble-t-il, vous aura «égratigné», je vous prierais de bien vouloir nous citer un seul qui fût erroné et contraire à la vérité.
Monsieur, d’avance nous vous remercions et, avec impatience, attendons vos lumières.
LEONIDAS
Monsieur Leonidas, bonjour.
Avec tout le respect que je vous dois, je vous demande à votre tour de respecter les cris de douleur et les larmes du peuple congolais. Où étiez en 2009 lorsque pendant sa campagne le président de la république a fait croire à la population de la ville de Pointe-Noire qu’à partir de 2010 les coupures d’eau et d’électricité ne seraient plus qu’un mauvais souvenir? Comme vous l’avez si bien dit: <>. Le président avait avec succès réussi à berner le peuple. Rien ne sert de garder à notre tête quelqu’un qui ne sert pas la cause du peuple congolais.
Monsieur Leonidas, bonjour.
Avec tout le respect que je vous
dois, je vous demande à votre
tour de respecter les cris de
douleur et les larmes du peuple
congolais. Où étiez en 2009 lorsque pendant sa campagne le
président de la république a fait
croire à la population de la ville
de Pointe-Noire qu’à partir de
2010 les coupures d’eau et
d’électricité ne seraient plus qu’un mauvais souvenir?
Comme vous l’avez si bien dit:
<>. Le président avait avec
succès réussi à berner le
peuple. Rien ne sert de garder à
notre tête quelqu’un qui ne sert pas la cause du peuple
congolais.
A «Anonyme»,
En m’adressant à vous, je m’adresserai aussi à d’autres. Si vous deviez relever dans ce qui suit quelque élément que vous pourriez considérer ne pas vous concerner, vous aurez l’obligeance de l’aborder sous la forme d’une digression.
Dans un échange verbal ou écrit, il est primordial que les questions posées aux uns et aux autres fussent en rapport avec les propos de celles et ceux que vous interpelez, ainsi qu’avec le sujet discuté.
Aussi, les «croyances» et «pratiques» des uns et des autres n’ont pas, selon moi, à être discuté ici. La «croyance» est une «hypothèse»; et je ne discute pas d’hypothèses avancées par les uns et les autres lorsque l’on touche aux réalités de la vie. Je ne m’intéresse qu’aux faits.
Sur ce site, il est abordé des sujets qui touchent à la vie d’hommes, de femmes et d’enfants. Nous discutons ici des réalités de notre pays le Congo.
Parce que vous vous adressez à des adultes, vous vous devez d’être clair, direct et sans équivoque dans vos propos. Les commentaires et avis exprimés doivent être soutenus par des éléments factuels.
Je m’adresse maintenant directement à vous «Anonyme».
1. Vous me dîtes «je vous demande à votre tour de respecter les cris de douleur et les larmes du peuple congolais.» Je vous prie de bien vouloir me montrer par quels propos je me serais rendu coupable d’irrespect à l’égard des cris de douleur et des larmes du peuple congolais.
2. Vous me dîtes «Où étiez [vous] en 2009 lorsque pendant sa campagne le président de la république a fait croire à la population de la ville de Pointe-Noire qu’à partir de 2010 les coupures d’eau et d’électricité ne seraient plus qu’un mauvais souvenir?» Veuillez m’expliquer en quoi cette question est liée à mes propos précédemment tenus.
LEONIDAS