Sassou Nguesso en vieillissant parle ; il parle beaucoup. En parlant de lui-même, il révèle au monde mais surtout à son peuple sa nature profonde et son véritable trait de caractère. La première piste d’exploration de ce sulfureux personnage tient de la trace indélébile évidente laissée par son contexte de naissance qui procède de la complexité de son univers mental et psychologique. Ainsi, s’est forgé en lui une grille de lecture culturelle en déphasage conceptuel d’avec les paramètres qui fondent les outils d’analyse les plus ordinaires des réalités de notre époque.
Sassou Nuesso est né dans ce qu’il apparaît, selon toute vraisemblance, comme un campement au bord de la forêt du fleuve Alima proche d’un village actuellement appelé Edou, fait de peuples pécheurs-cueilleurs. Et là commence toute l’histoire d’un homme dont le profil psychologique cache mal les peines, les complexes et les frustrations accumulées avec le temps. C’est une des clés pour mieux comprendre les ressorts de son fonctionnement d’adulte porté par une perception de la vie plutôt fondée sur un fort désir de vengeance, d’animosité et de peur viscérale à se regarder soi-même à travers le miroir qui est l’autre à la fois différent et complémentaire, et non une menace qu’il faut à tout prix détruire.
Sassou Nguesso répète à l’envi au premier arrivant sinon au dernier de ses hôtes de passage que lui, enfant, a beaucoup souffert, traversant le fleuve Alima à la nage d’une main tandis que l’autre [main] se chargeait de porter les vêtements et le kit scolaire, avant de parcourir une centaine de kilomètres de distance à pieds nus pour rejoindre son école où il apprend à faire avec la langue du colonisateur blanc ; laquelle langue, pour un ex-colonisé, représentait ou représente encore le premier viol de l’intimité de la personnalité du jeune enfant qui aurait voulu hériter du savoir et de la culture souche de ses parents dont la langue maternelle est la moelle épinière.
S’agissant des parents, un fort soupçon raconte que le père géniteur notamment, est porté disparu. Il serait venu ou du Soudan, peut-être de Dahomey du côté de la Côte d’Ivoire actuelle, ou encore du Benin. Personne, en tout cas officiellement, n’en sait pas davantage. Il ne faut guère espérer que la vérité sur cette zone d’ombre soit connue un jour tant le culte du secret est une des règles d’or de vie de cet homme froid et déformé par son profil de formation de flic à la roumaine.
Ces souvenirs d’une enfance pénible et vécu comme une corvée ne semblent pas avoir été assumés de bon con cœur. Bien au contraire, ils ont visiblement marqué la conscience d’un homme qui en découvrant la vie dans d’autres contrées du Congo de l’AEF où les études l’ont conduit, à savoir Dolisie, à l’époque petite bourgade bien aménagée et florissant d’un tissu commercial tenu essentiellement par des sujets portugais. Et puis, bien sûr Brazzaville, la ville capitale où, comparée à ce qu’étaient les villages le long du littoral du fleuve Alima, la vie et l’organisation administrative coloniale offraient déjà une espèce de confort à ses habitants de race noire quand bien même ils étaient traités avec mépris en vulgaires indigènes.
Le jeune Sassou sorti fraichement des profondeurs de la forêt vierge équatoriale en a sans doute voulu à l’humanité toute entière. Lui que le hasard du destin a laissé éclore dans un environnement de pure nature, hostile et contraignant s’est construit à partir de ce moment-là, le mental du guerrier vengeur. Patiemment, sans annoncer la moindre ambition, il s’est introduit subrepticement dans les cercles du pouvoir par le truchement de l’armée dont la vocation dans une Afrique en recomposition, était de servir de pilier central pour la consolidation des micros Etats en création.
La suite, tout le monde la connaît. Il a sacrifié tout et tout le monde sur son passage : la fraternité, l’amitié, la loyauté, etc… Prêt à tout, ce qui compte pour lui, c’est d’atteindre des buts qu’il s’est fixé. Ni l’instruction reçue, ni le parcours professionnel n’a pas permis de sédimenter une assise intellectuelle de grande valeur humaniste et ouverte à l’échange, à l’empathie, au désintéressement, ou encore façonné une certaine rigueur morale. Il s’est enfermé dans une bulle, cette forme de refus à se construire une identité qui sublime la vertu comme moyen de dépassement de soi.
Au crépuscule de sa vie, avec une longévité au pouvoir sans pareille dans l’histoire post indépendance du Congo-Brazzaville, aucune bribe, pas la moindre trace d’une pensée politique structurée n’a émergé. Mais, prosaïquement, juste un ramassis de généralités.
Il s’est dédoublé mieux démultiplié, certainement volontairement pour voguer d’un personnage à un autre, en fonction des circonstances et des enjeux, des acteurs en présence et des théâtres d’opérations, toujours tourné vers un but : prendre le pouvoir pour conjurer le sort d’un destin qui a mal commencé ; exercer par propulsion répulsive toute autorité dans un élan maniaco-dépressif qui comble une déficience propre à un trouble de personnalité lié à la recherche d’un repère identitaire perdu ou imaginaire.
Sassou Nguesso, à force de démultiplication, a fini par échapper à l’indispensable connexion avec l’essentiel qui est en chacun : l’être intérieur. S’il sait au millimètre près ce qu’il veut (le pouvoir), il ne sait pas ce qu’il aime. Même pas ses enfants. Il n’en a quasiment élevé aucun. En tout cas, pour ce qui concerne ceux et celles de ses enfants qui se réclament de sa descendance directe, pour la plupart reconnus bien longtemps après leur naissance. Il a fait le choix de ne pas aimer, au risque de tomber amoureux et donc de nourrir de la compassion et du ressenti affectif.
Une question pour le moins iconoclaste peut se poser. Sassou est-il de bonne foi ? Allons-y ! Sassou Denis, devenu Sassou Nguesso Denis, du fond de sa personnalité complexe est peut-être de bonne foi lorsqu’il avance qu’il travaille bien, qu’il a tout donné à ce pays, que ce sont les autres (ceux/celles qui le critiquent) qui seraient, de son point de vue, malhonnêtes et donc de mauvaise foi.
Cette approche d’analyse s’appuie sur la rapide démonstration des lointaines origines des ressorts qui ont forgé le socle intérieur de l’homme Sassou Nguesso. Comment comprendre autrement que lui clame à qui veut l’entendre que les routes, les écoles, les hôpitaux, les aéroports, les sociétés (entreprises) et tout ce qui fait le Congo d’aujourd’hui existent bel et bien. Certes de façon insuffisante et souvent en mauvais état de réalisation ou de fonctionnement, mais ça existe. Pour lui, c’est cela son bilan, positif. Ce que lui n’a pas connu dans sa cuvette natale à Edou.
Sassou Nguesso se sent blessé, offusqué et offensé lorsqu’il lui est fait le reproche sur la pénurie d’eau d’électricité, de carburant ou encore l’existence des marres d’eau qui rendent la circulation chaotique sur Brazzaville par exemple après une pluie. Il faut l’entendre rétorquer que les gens (le peuple) n’ont aucune raison de se plaindre d’autant que chez lui (entendez sa résidence de Mpila) aussi des délestages d’électricité sont légions et on trouve des marres d’eau sur toutes les voies de circulation à Mpila y compris devant sa fameuse résidence. Cela est bien vrai !
Ne pas le comprendre, c’est passer à côté d’une dimension primordiale qui met en évidence la psychologie d’un enfant, a la naissance livré aux fourches caudines de la pauvreté et de l’oubli, que l’histoire a hissé à la plus haute marche de l’ascenseur social de son pays pour en faire un Président, hélas dictateur nombriliste de triste mémoire et kleptomane, par correction.
Ironie du sort. L’histoire de Sassou finira là où elle a commencé ; à Edou. En 2016, après son départ, il y a très peu d’alternatives que ce vieil homme fatigué et chargé de lourds contentieux historiques trouve pour sa retraite un accueil délirant à Madingou, à Lékana, à Hinda,… sinon que de se recroqueviller sur son village qu’il a aménagé en conséquence pour y pratiquer , certainement, de l’élevage de bovins et peut-être par reflexe atavique, un peu de pêche. Peut-on supposer…
Juste retour des choses pour une calamité né.
Par N’tekolo Menga
Fait et publié à Brazzaville, Le 09 février 2014.
Diffusé par www.congo-liberty.org
Cher N’tekolo Menga, je vous reconnais volontiers un sacré génie de la plume, je voulais dire un mercenaire de la plume. Cette analyse on ne peut plus psychologique et psychanalytique de notre tyran national made in Edou-Oyo est d’autant plus pertinent et percutant que j’en ai trésailli et jubilé du tréfond de mon âme. Le moins que l’on puisse dire c’est que Sassou Nguesso joue son va-tout, car les jours de son régime honni de tous sont comptés. Le fait pour lui de vouloir s’accrocher au pouvoir pour y mourir quand ce n’est de transformer le Congo-Brazzaville en une monarchie dysnatique héréditaire s’explique surtout par le nombre de casseroles qu’il traine derrière lui. Mais le peuple, qui n’oublie jamais, l’attend au tournant et n’a pas encore dit son dernier mot. L’évidence c’est que, chaque chose en son temps et chaque chose a un début et une fin. Et cette fin est proche et inéluctable, Sassou Nguesso le pressent. Cette évidence s’impose avec autant plus de force qu’on ne saurait l’éluder! Et je ne pense pas que Sassou Nguesso puisse s’en tirer à bon compte cette fois-ci. Une chose est cependant certaine, il finira par être ratrappé par l’histoire et de ce destin tel que lui-même en a été l’artisan, il n’y n’échappera guère. Voilà une chose dont il est conscient et pour laquelle il éprouve une réelle appréhension. En somme, avec la chute prochaine du régime tyrannique de Sassou Nguesso, le peuple congolais espère en la fin d’un long, douloureux et traumatisant chapitre de son histoire. Cher N’tekolo Menga, puisse Dieu te bénir abondammment!
Cher N’tenkolo Menga,
Que dire et rajouter après cette très belle analyse…juste merci !
C’est un vrai pathologique de l’espèce humaine dans le contexte africain en général et congolais en particulier ! C’est un menteur et accusateur né ! Il rejette sur les autres tout ce qui est dit et fait considéré comme! C’est un villageois qui ne s’est jamais assumé. Il voulait être citadin pour dépasser tous les citadins et être le premier de ces citadins orgueilleux et méprisants
Je trouve ce papier reste tendre avec Sassou ! Moi je pense plus tôt que ce dernier à un très bel avenir judiciaire au congo comme à la CPI , car Sassou signifie le malheur des congolais ! Ce type à tous les grand défaut du monde, criminel sanguinaire et économique , ce crétin saboteur ne mérite pas une retraite paisible à EDOU !!!
Cher N’tekolo Menga,
J’attendais et j’appelais de tous mes voeux cette analyse psychanalytique.
Merci de l’avoir faite et avec quel talent…!
Analyse à compléter :
Nous retiendrons qu’au-dessus des consciences individuelles, existe la raison qui permet à de libres consciences de trouver un accord entre elles. Or chez Sassou, cette raison ne permet pas d’agir de façon positive, de mieux réfléchir. La raison est nourrie de valeurs universelles.
Cet homme se meut mentalement loin des exigences d’une cité démocratique, seule capable d’instaurer avec rigueur des règles justes et partagées. Sassou prend donc plaisir à se mouvoir joyeusement dans un monde où le droit et les lois positives justes sont crucifiés par l’immoralité, la kleptomanie et la violence.
En principe, afin qu’une conduite ait une valeur morale, il est nécessaire que le sujet soit capable de discerner si cette conduite est bonne ou mauvaise. Sassou hélas, est incapable d’une telle vertu de clairvoyance. Sa sphère éthique est inondée par la tricherie qui constitue sa culture.
Comme le héros tragique, iI est géniteur du Mal. Aussi aime t-il le despotisme et le gaspillage des deniers publics. C’est en cela qu’il est la figure du congocide.
Mon cher N’tekolo Menga vous avez saisi les contours psychanalytiques de ce personnage, cela relève de l’analyse de la psychologie des profondeurs développée par Nietzsche, Carl Jung, et Freud, tout se résume à l’ignorance et comme son environnement ne lui a pas laisser le choix de s’éduquer convenablement cela a amplifié le phénomène; Platon et Aristote diront que l’homme n’est pas mauvais en soi mais s’est l’ignorance qui le rend méchant voir bête, le Christ dira qu’il faut le laisser car il ne sait pas ce qu’il fait, donc la question essentielle pour notre pays est celui de l’éducation, de la culture, de la philosophie et de la religion pour tout prétendant à gouverner, par expérience les grands hommes d’état ont été des hommes simples et d’une grande humilité.; aussi par expérience la fin des hommes d’état imbus d’eux-mêmes et orgueilleux a toujours été tragique, les cas sont légion: les Mobutu, Kadhafi, Ceausescu, Hitler, malheureusement l’homme ne tire pas les leçons de l’histoire. Comme dit le prophète Isaïe j’aurais averti.
Merci infiniment Cher N’tekolo Menga pour cette brillante analyse pour la personnalite de M. Sassou Denis…… Je n’ajouterai qu’une chose: Herold qui avait decrete tout comme pharaon avant lui, la mort par le glaive d’état des premiers-nes masculin de chaque famille, n’avait jamais pu empecher sa succession et le triomphe de la raison!….C’est le temps de la fin…..la nature finit toujours par reprendre ses droits!
Voici une très belle ébauche de la personnalité d’un homme qui a toujours voulu manipuler tout ce qui existe. Le genre d’homme qui n’accepte pas la réalité au point de vouloir changer la couleur de sa peau en descendant aussi bas que possible au point de se badigeonner des produits chimiques chaque matin pour decaper la peau, il veut devenir blanc car cet homme est habité par un profond complexe d’inferiorité.
Toujours dans cet élan de refuser la réalité il n’admet pas avoir des cheveux blancs du haut de ses 70 ans passés et dieu merci pour lui les produits chimiques existent et il oublie qu’il s’enfonce dans la falsification. La falsification a toujours été son fort au point de refuser la paternité de ses enfants. Ce qui est réel n’existe pas chez Sassou.
C’est finalement ce personage très vulnérable que ses mentors qui ne voulaient pas accepter l’indépendance des pays africains ont choisi pour hisser au rang de président. Dès son age adulte il presentait les signes d’un homme manipulable prêt à utiliser la violence pour refuser le cours de l’histoire.
Toujours dans son refus de la réalité l’homme a cru bon de sortir une ineptie du genre qu’on aurait retrouver son « vrai acte de naissance » pour echapper à la limitation d’age inscrite dans la constitution taillée sur mesure, un acte de naissance qui sera en totale inadéquation avec toute sa vie notamment l’age auquel il aurait fait sa première fille. En clair Sassou est un vil personnage que ses compatriotes veulent jeter assez rapidement aux oubliettes mais comme la mauvaise herbe ce monsieur nous montre qu’il faut beaucoup de travail pour s’en debarasser
Belle analyse, comme l’aurait fait un psychanaliste a la demande d’un tribunal pour eclairer sa lanterne ou a la decharge d’un avocat pour disculper son client ou attenuer sa peine.
Le dernier mot revient au Jury pour decider du sort de l’inculpe et au President du tribunal, de prononcer la sentence.
Patience donc.
BONJOUR A TOUT LE MONDE !
Je souhaite d’un coté, une bonne semaine à toutes ses petites cervelles qui travaillent pour le compte exclusif du renseignement extérieur du dictateur Sassou Nguesso. Vous êtes les serviteurs du régime et les ennemis de la restauration de la démocratie au Congo.
Bien sûr que vous êtes confortablement installé en occident et vous bénéficiez par ailleurs des droits sociaux issus des luttes sociales ici occident, bref vous êtes des pauvres gars.
Je souhaite de l’autre coté, une bonne semaine à tous les résistants congolais de l’intérieur et de l’extérieur, vous êtes pour moi des vrais hommes libres et de valeurs.
Chaque chose à une fin, la dictature sassou Nguesso aussi… oui cela va arriver bientôt.
Alors continuons le combat pour la dignité de 90% de congolais qui n’ont pas accès ni aux soins, ni à l’eau potable, ni à l’énergie, ni aux moyens de transports en commun, ni aux infrastructures et encore moins au social et au cadre de vie digne d’un pays producteur de pétrole, de bois précieux et des mines solides – un pays potentiellement riche mais très pauvre et très endettés par la folie d’un dictateur et de ses valets locaux et étrangers.
COURAGE AUX RÉSISTANTS !
LA HONTE ET LE DÉSHONNEUR AUX SERVITEURS DU RÉGIME
VIVE LA LIBERTÉ ET LA DÉMOCRATIE, LA LUTTE CONTINUE
Valentin
Cher N’tenkolo Menga
Que dire encore sur ce dictateur affamé et insatiable. Le souhait pour tout congolais c’est de voir ce monsieur partir en 2016.chaque chose a son temps et sa fin est proche
Félicitation au compatriote N’Tekolo Menga. Votre analyse de notre tyran national est parfaite, on comprend mieux pourquoi cet idiot de Sassou a conduit le pays dans le cahot. ce n’ait pas la faute du peuple Congolais s’il est né en brousse, que son géniteur l’ai abandonné, qu’il ai eu une enfance malheureuse. Ce n’ait pas au peuple Congolais de payer la facture de son douloureux passé. On comprend pourquoi il gaspille les deniers public pour son propre plaisir sans penser aux autres, il n’a connu que la misère dans sa brousse natal,On comprend mieux pourquoi il déteste tous les Congolais originaire de sud qu’il souhaite exterminer car en découvrant nos contrés pour ses études, il a découvert un monde qu’il ignorait et que notre mode de vie est supérieur dans tous les domaines à ce qu’il connait depuis son enfance et depuis il a une jalousie tenace envers nous et qu’il s’était juré de nous le faire payer. Mr Sassou n’en vous déplaise, nous ne sommes pas responsable de votre passé, s’il y a un responsable ce sont vos parents et personne d’autre. Si vous étiez un fils digne du Congo, vous auriez du vu votre fonction faire tout le possible pour que les enfants né sous votre présidence ne vivent pas ce que vous aviez vécu. Qu’avez-vous fait? rien sinon pire. Alors n’attendez rien de nous. Vous espérez nous amadouer en nous parlant de votre passé afin d’obtenir une clémence afin de finir votre vie dans votre village, et bien non. Vous avez commis des crimes qu’on peut définir comme crime contre l’humanité et cela n’est pas pardonnable. Désolé il fallait y penser avant.
Nous ne voulons plus les bêtises au congo.Critiquez c’est bien,mais critiquer à bon éscient c’est mieux.Efforcons nous a leguer une histoire propre à nos enfants,même si nous ne voulons pas de l’ogre de mpila qui crucifie la vie des congolais que nous sommes.
Permettez moi d’apporter juste un rectificatif á ce beau texte.
-« Le dictateur Sassou a bel et bien élévé des enfants chez lui à mpila ».
La defûnte Edith,et Juliène (joujou) pour les intimes ont bien été élévées à mpila pour ne citer que les deux.Nous avions bel et bien fréquentés les mêmes écoles,collèges et lycées.
L’absence d’un père biologique me parrait être la source plausible,en ce qui concerne les maux qui gangrènent la psychologie de ce dernier.
Pour arriver a bouter sassou dehors en 2016,il faudrait aussi savoir reconaître ses points positifs.
Merci.
Rodgers,
Pourriez-vous, vous qui semblez en connaître, nous donner les points positifs de Sassou?
Merci d’avance.
Pourquoi la question se pose t-elle pas !!
Une telle analyse conduit à une mise au point sur le concept difficile de la Responsabilité, et de bien distinguer son acception morale ,de son emploi juridique ou politique. William le souligne ironiquement plus haut.
Sassou n’est pas malade. Il est bien portant et calcule ses actes nocifs sur le peuple souverain. Il sera donc responsable de tous ses crimes et coupable d’usurpation et d’abus du pouvoir.
Mr NTEKOLO, ne créez pas de confusion par une sorte de dilution qui favoriserait l’impunité des responsabilités.
Le despote de Mpila est bien portant et la justice assainie après 2016, l’attend impatiemment ! Chacun est responsable de ses actes.
En complément à la question de Mr Anonyme posé à Rodgers, vous qui me semble t-il connait la famille Sassou car vous aviez fréquenté les mêmes établissements scolaire depuis le primaire jusqu’au lycée avec ses enfants. Avez-vous découvert comme nous ou connaissiez vous le passé de Sassou?en plus Il n’est pas le premier chef d’état au monde qui fut abandonné par son géniteur et cela ne lui donne pas le droit de rendre les autres responsable des fautes de son père.Pouvez-vous nous dire pourquoi déteste t-il tant les Congolais originaire du sud? Vous nous parlé des points positifs, pouvez vous nous les énumérer, cela pourrait peut être lui accorder des circonstances atténuantes quand le moment venu, il sera jugé pour ses crimes contre le peuple Congolais. En avance merci.
LA DICTATURE FRANCA-FRIQUE SASSOU NGUESSO RACONTE A SON PEUPLE QUE 1 + 1= 3 ALORS QUE CHACUN SAIT QUE 1+1= 2 RAISON UNIVERSELLE ET IMMUABLE…
RENCONTRE OBAMA/HOLLANDE !
NOUS N’AVIONS AUCUNE ‘INTENTION DE DIVULGUER AUX YEUX DU MONDE TOUS LES ENJEUX DE LA RENCONTRE HOLLANDE/ OBAMA: OUI, LE POUVOIR OBAMA EST EN CONNIVENCE TOTALE AVEC TOUS LES IDÉAUX DE L’UNIVERSALISME DES SOCIÉTÉS ET DES CIVILISATIONS NOUVELLES QUE PARTAGENT LA FRANCE DÉMOCRATIQUE.
MOTS-CLÉS: DÉMOCRATIE, OCCIDENTALISME, DÉMOCRATIE, MARCHE, DETTE PUBLIQUE, TAUX DE CROISSANCE EN OCCIDENT, POUVOIR D’ACHAT, PROTECTION SOCIALE, AFRIQUE, MISE EN DÉROUTE DES DICTATEURS D’AFRIQUE NOIRE, NOUVELLES FEMMES ET HOMMES POLITIQUES AFRICAINES, NOUVELLES STRATÉGIQUES DE COOPÉRATION, DE DOMINATION, D’INTELLIGENCE ET PUIS ET PUIS ENCORE…
QUESTION D’OBAMA A HOLLANDE: HOLLANDE DONNEZ NOUS CLAIREMENT VOS POSITIONS ET VOS VOS INTÉRÊTS VITAUX DANS CE PAYS INTELLIGENT….TOUS LES ÉLÉMENTS RELATIFS A LA QUESTION CONGO-BRAZZAVILLE, A DÉFAUT LES USA AGIRONT SEUL A BRAZZAVILLE BIEN AVANT 2016…
DES LA CHUTE DU RÉGIME DICTATORIAL, JE VOUS DONNE RENDEZ-VOUS A BRAZZAVILLE AU CONGO POUR RECEVOIR DES COURS A LA TELE CONGO D’ÉDUCATION DE LA MATIÈRE A LA CIVILISATION ET AUX NOUVELLES SYNTHÈSES EN MARCHE VERS LES PROCHAINS MILLÉNAIRES…
COURAGE AUX RÉSISTANTS !
LA HONTE ET LE DÉSHONNEUR AUX SERVITEURS DU RÉGIME
VIVE LA LIBERTÉ ET LA DÉMOCRATIE, LA LUTTE CONTINUE http://www.youtube.com/watch?v=lBDvFtxKPHU
Je suis d’accord avec Lubaki lua malanda, je suis étonné que tout le monde baisse les bras, et attendent patiemment 2016 envoyer à la CPI ce voyou, meurtrier, sanguinaire, voleur et tyran, certains parlent même de le laisser aller se reposer sur les rives luxuriants de notre beau pays du fleuve Alima, avec tout le sang qu’il a sur les mains et dans le coeur, s’il en a un., sa place c’est a la CPI; Dites-moi, qu’est-ce que Bemba a fait de pire pour s’y retrouver? et gbagbo est-il plus criminel que ce sanguinaire? Tout congolais sensé sait que c’est Sassou qui a assassiné Ngouabi, parce qu’il voulait remettre le pouvoir à Massamba débat, mais il n’a pas hésité à assassiner Massamba débat, tout en sachant que c’est lui sassou qui était à l’origine de de l’assassinat de Marien Ngoubi, un illustre fis du pays, qui avait du cran, plein de charisme et d’altruisme, il faut pas oublier qu’il doit rendre compte pour l’assassinat de Ngouabi, d’abord, ensuite, sassou est responsable de tous les autres assassinats,politiques, sans oublier les morts du beach, il est responsable avec Jacques chirac de tous les morts, lorsqu’il est venu faire un coup ‘état de l’unique Président congolais qui a été élu au suffrage universel, Lissouba,, sassou doit rendre compte de tout cela,, chers congolais, n’oubliez pas que lors de son élection, Lsisouba avait dit : » Dans 5 ans, je vais faire du Congo « une petite suisse » Donc sassou dans sa tête il s’est dit: Si en 5 ans lissouba réussi a faire du congo une petite suisse, je suis foutu, parce que cela faisait 20 ans que lui pillait le pays et qu’il couchait sans vergogne avec les épouses de ses collaborateurs…Alors peuple congolais, ne soyez pas amnésique, depuis 30 ans, combien rapporte le pétrole par jour? Ne croyez vous pas que c’est mieux d’envoyer à la CPI celui qui est à l’origine de tous les maux des congolais, pour que le reste puisse réfléchir et se dire : « On ne peut pas indéfiniment se moquer du peuple sans rendre compte » Donc au Président de Congo LIBERTY Je dis: » Faites signer aux congolais une pétition pour envoyer sassou à la CPI, il ne faut pas 2016.certains vont dire qu’on ne peut rien faire tant qu’il est au pouvoir, dites moi, qui a voté sassou, personnellement, c’est toujours Lissouba qui est Président élu démocratiquement..Donc sassou n’est qu’un resquilleur,…Voilà la base sur laquelle il faut réfléchir pour l’envoyer à la CPI… certes, ce n’est pas facile, mais c’est dans ce sens qu’il faut diriger l’arme…Je suis de tout coeur avec Lubaki lua malanda ..
je suis partant pour la CPI!!!Loubaki lua MALANDA a raisin ainsi que Charles DIANTESA, la CPI, c’est quelque chose dont on avait jamais penser, au lieu de chercher à caresser sassou dans le sens des poils, il faut foncer,Alors le President Nzaba, la balle est dans ton camp, tu décides et nous te suivons, on peut déjà prendre rendez-vous avec les responsables ici sur place…Courage, nous sommes avec toi…
C’est vrai que le Congolais a eu peur depuis longtemps pour rien, trop de sans a coulé et continue à couler pour un seule homme, qui ne pense même, pas pour le bien du pays, il vole tout l’argent du Congo, saccage, tout assassine tout sur son passage, il est temps d’arrêter ce massacre, sa place est à la CPI…Je penche du côté de Loubaki lua MALANDA, je soutiens Samuel DIANTESA ainsi que Manzala François…La place de sassou c’est à la CP. Je vous encorage, je suis partant pour signer la pétition…
Enfin des congolais qui pensent à la bonne solution pour le pays, inutile d’attendre la fin du mandat de sassaou, personne ne l’a élu comme responsable des congolais, c’est un resquilleur, il force tout, il n’est pas capable d’être élu comme député, il sait qu’il ne passera pas, donc pour le congolais, sassou n’est pas président du pays, je suis d’accord avec Samuel Diantesa lorsqu’il dit que c’est toujours Lissouba qui est président du Congo, c’est le seul qui a été élu démocratiquement, les autres ne sont que des voleurs, et la Bible dit que le voleur ne vient que pour tuer et égorger…Mais le berger comme Lissouba, il connaît la voix de ses brebis…la palce du tyran sanguinaire et et voleur c’est à la CPI
BRAVOS!
A la comédie pénale internationale (CPI), n’oublions pas d’envoyer Ntumi, Lissouba pour avoir bombardé bacongo par plaisir en 1993…les ninjas, aubevillois, cocoyes et cobras pour nos 40.000 morts en 1997.
Bravos encore et merci de ne pas les oublier.