Quand bien même l’Etat congolais existerait encore, il faut essayer d’apporter une réponse à cette question.
Le propre d’une République bananière est qu’elle permet à un individu, homme ou femme, d’accéder à la tête d’un Etat par les armes ou par des élections….truquées. La République du Congo au cours de sa cinquantaine d’années d’indépendance a cumulé les genres, à part deux ou trois courtes parenthèses plus ou moins démocratiques.
Cependant, le monde et ses institutions internationales se sont toujours accommodés de ces situations dès lors que le Président, correctement élu ou pas, avait tous les attributs du « Chef » ! L’essentiel étant de tenir et de diriger fermement le pays dont il prenait la tête.
Denis Sassou NGuesso, longtemps, a pu se vanter d’être véritablement le « Chef » de l’Etat congolais, de 1979 à 1991 et de 1997 à 2013. Nul n’ignore que sans ses alliés pétroliers et sans son ami Jacques Chirac, il n’aurait jamais pu prétendre à ce titre ! Ce dernier ami a disparu de la scène politique. Les pétroliers, au moins italiens, depuis longtemps spéculent avec anxiété sur son départ. Les autres ne parviennent pas à trouver en François Hollande un allié décisif comme ce fut le cas avec ses prédécesseurs.
Un pouvoir ébranlé
Denis Sassou NGuesso s’est tout permis, en une trentaine d’années. Le pays a été mis en coupe réglée au profit de sa famille et est arrivé crescendo à un pillage intégral sans que personne à l’intérieur du système n’ose lever la voix. Les explosions du 4 mars 2012, quels qu’en soient les responsables, auraient dû le disqualifier immédiatement. Pourtant son pouvoir a bien été ébranlé ce jour-là et il semble, tant la gestion de ce drame a été maladroite, qu’il sera incapable de s’en remettre.
Sans la moindre victime apparente, l’incursion angolaise à Kimongo est un nouveau coup de boutoir qui a presque assommé son pouvoir déjà dans les cordes ; le prêt de 200 milliards de FCFA (400 millions de dollars) à son compère Ouattara de la Côte d’Ivoire parachève aux yeux de tous son discrédit et sa quasi irresponsabilité !
Bon nombre de ministres, de députés et de sénateurs multiplient les contacts avec les figurent apparentes de l’opposition. Chacun cherche à prendre ses distances avec les abus commis. Tous comprennent la nécessité d’un dialogue…
Quand le Colonel Ntsourou veut témoigner dans l’affaire des Disparus du Beach
L’embastillement du Colonel Marcel Ntsourou durant 17 mois n’avait provoqué que très peu de vagues. Depuis son acquittement, une succession de décisions et de provocations grossières ont ravivé les braises, parmi d’autres, dans l’armée congolaise. L’accélération en France de l’enquête dans l’affaire des « Disparus du Beach » est venue se télescoper avec cette l’affaire du « 4 mars 2012 » alors que le Colonel déclarait se tenir à la disposition de la Justice française pour apporter son témoignage dans la première. Denis Sassou NGuesso, qui n’avait pas été suivi en première instance par les Magistrats lorsqu’il avait « recommandé » une peine de 15 années de prison, ordonna alors, par ses sbires interposés dont son oncle ministre de la justice, une peine de 60 jours de prison pour l’éternel Colonel ; une petite peine pour mieux s’en débarrasser une fois emprisonné ! Mais, contre toute attente, le chef d’état major des Forces armées congolaises, le général de division, Guy Blanchard Okoï, refusa catégoriquement de signer le Billet d’Ecrou que lui présentait son responsable hiérarchique direct, le ministre Charles Richard Mondjo.
Dans cette situation d’impasse totale pour Denis Sassou NGuesso, le Colonel Ntsourou lui tenant tête, barricadé à son domicile du Camp du 15 août avec pour voisin immédiat (mur mitoyen) le Général Okoï, l’Angola envoyait de Kimongo le signal, on ne peut plus clair, qu’elle n’interviendrait pas une seconde fois dans notre pays.
Escalade verbale
Le Colonel Marcel Ntsourou hausse le ton depuis qu’il a compris que les Forces Armées Congolaises (FAC) ne provoqueront rien qui lui soit hostile. A une récente attaque dans la presse locale, l’éternel Colonel réplique : « Ceux qui encensent et placent Sassou au-dessus des hommes doivent savoir que ce n’est qu’un mortel avec toute sa vulnérabilité de mortel. Il n’est ni Dieu, ni son ange, il n’a rien d’extraordinaire, ce n’est qu’un homme ordinaire ! »
Faisant fi de ses maigres galons, il ajoute : « je suis vraiment un soldat et un soldat solitaire en lutte contre la pire espèce que la nature n’ait jamais créée en ce début de siècle et contre un système arbitraire et inique que cette espèce a pu tisser dans notre cher pays presque deux décennies durant. »
Conservant un semblant de respect pour sa fonction, plus loin, il menace l’homme : « Le président Sassou le sait maintenant que pour ce qu’il m’a fait, il payera le prix le plus lourd et que ses tentatives d’instrumentaliser la force publique, l’administration et la justice ne sont plus que le chant d’un cygne mourant. »
Tout au long de ses écrits, les attaques fusent : « Monsieur, votre délire sur mes réseaux dormants, sur mes partisans et amis, sur la communauté internationale induite en erreur, relève du traumatisme d’une âme hantée par la responsabilité d’un drame et la volonté de l’étouffer. »
De son retranchement, il clame longuement sa révolte et discourt sur le véritable « état de la nation ». Simple snipper ou enfin Général d’un soulèvement contre la dictature, le voilà qui conclue : «L’arbitraire dans ce pays a suffisamment connu des jours de gloire. La constitution du Congo demande de s’y opposer. Elle a été votée par les hommes et les femmes de ce pays qui, de ce fait, sont d’accord avec moi. Devant cette réalité, je suis prêt à passer pour un martyr. Je laisse le choix des moyens à vous et à vos commanditaires. Quelque soit le moyen par lequel vous voudrez faire triompher l’illégalité et l’arbitraire, je m’y opposerai et c’est un devoir constitutionnel de tout citoyen. Je serais vainqueur au non de la légalité ou martyr de la légalité. »
Et alors, surprise, le militaire « résistant » se débarrasse de son uniforme et de ses galons, ultime provocation envers le général-instituteur et signe uniquement de son patronyme : « Marcel Ntsourou »
Mobilisation générale dans le recueillement
Alors que se rédigeait ce brûlot, à Oyo-Edou se déroulait la cérémonie aux disparus de la famille du dictateur érigée en Fête Nationale du 1er Novembre. Aux frais du pseudo Etat congolais, tout entièrement accaparé par quelques-uns, Denis Sassou N’Guesso s’était assuré, en plus des membres de sa famille, de la présence de membres du gouvernement (Georges Moyen, Charles Richard Mondzo, Alain Akouala Atipault, Parfait Kolélas, Bruno Jean Richard Itoua, Claudine Munari, Rodolphe Adada, André Raphaël Loemba) et du parlement, des présidents ou représentants des institutions constitutionnelles, ainsi que de la cohorte habituelle des amis et courtisans. Sans oublier, dans cette cérémonie prétendument vouée au recueillement, la présence de plus d’une dizaine d’associations et de groupes de danse venus « compatir à la douleur du Chef de l’Etat », parmi lesquels l’Association Maman Mouébara, l’Association Jean Dominique Okemba (AJDO), l’Association les Amis d’Okemba Ghislain, les groupes Ndzololo-Ndzololo Kuani, l’Association Vocale Bantou (AVB), Ekongo, Olama International, Amis Ondébé, Abara Ngouma, ACJE section d’Obeya.
Les Cobras en garde très rapprochée
La République, plus bananière qu’elle ne l’a jamais été, devient de plus en plus incertaine ! On savait déjà que Pierre Oba, le fidèle parmi les fidèles et ami et ministre de toujours, se soumettait à la fouille corporelle lorsqu’il se retrouvait avec le dictateur mais cette mesure tend à s’élargir et personne n’y échappe plus. Dans son fief d’Edou, au saint des saints du cimetière familial Kona-Kona, le dictateur congolais n’était approché que par son imposante garde de Cobras. Habillés en Hugo Boss et aux aguets derrière de larges lunettes noires, ils assuraient un rempart infranchissable même durant le dépôt de gerbe et face aux groupes folkloriques qui curieusement dansaient et chantaient dans cette circonstance.
Très coûteux culte des disparus
L’incroyable pouvoir moribond, attaqué de toutes parts, insensible aux souffrances de toute une population s’adonne aux fêtes de chaque instant, dilapidant la richesse nationale devenu sienne.
La célébration catholique de la Toussaint et de la Fête des Morts à Oyo par les ex-marxistes est un évènement incontournable. Aussi l’aéroport international d’Ollombo (quasi aéroport privé du dictateur) connait alors sa période d’activité la plus intense. Les nombreux jets-privés de la famille et les avions affrétés pour l’occasion encombrent le tarmac. D’une manière ou d’une autre les dépenses sont couvertes par l’Etat. D’une bonne source du Trésor, c’est pour un montant de 3 milliards de FCFA (5 millions d’euros), que tout ce monde est transporté, logé et nourri aux frais de ce qui reste de la République. Aussi, l’occasion est bonne pour remplir le Palace Alima 5 étoiles d’OYO l’ex-village de pêcheurs qui veut se donne des airs de Saint Tropez, ancien village de pêcheurs aussi.
Mais ni à Oyo, ni dans la ville de Brazzaville, il n’y a eu de cérémonie aux victimes du 4 Mars 2012, pas une gerbe n’a été déposée ce jour-là par les pillards de la République du Congo. Difficile d’afficher plus grand mépris pour les centaines, voire milliers, d’innocentes victimes.
Décidément les morts d’Oyo sont bien mieux traités que les vivants dans tout le Congo. Dans le département de la Cuvette des écoles sont restées fermées faute d’enseignants. Les établissements scolaires de Mboma, Eniongo et Nsama situés dans la sous-préfecture de Ngoko n’ont pu accueillir les enfants de ces villages. Les enfants et les petits enfants du dictateur s’en moquent, ils ont droit aux meilleures écoles partout dans le monde.
Pour le tyran, toute tentative de reconquête du pouvoir, qu’il avait naguère, serait illusoire ; la pirogue Alima prend l’eau de toutes parts. Il ne peut plus compter sur l’armée. Marcel Ntsourou et son voisin, le Chef d’état major des Forces armées congolaises, le général de division, Guy Blanchard Okoï, le lui rappellent en permanence. Après l’affaire de Kimongo, les Cobras doutent aussi et n’assurent qu’un service minimum. Denis Sassou NGuesso ne peut opter que pour une timide, mais très lucrative, stratégie d’un maintien au pouvoir. En faisant le « dos rond » le plus longtemps possible il augmentera encore considérablement sa fortune personnelle. Chaque mois, une dizaine de cargaisons de pétrole (soit environ 500 milliards FCFA) est négociée et en partie détournée par Denis Christel. De plus, les préfinancements, c’est-à-dire les paiements d’avance des cargaisons par les Traders, couvriraient déjà plusieurs mois de production.
A défaut d’être le Chef de l’Etat incontesté, connu et reconnu de tous, Denis Sassou NGuesso est déjà entré dans l’histoire pour l’incroyable pillage de nos ressources.
Par Rigobert OSSEBI
Diffusé le 4 novembre 2013, par www.congo-liberty.org
Cette sorte de célébration anthropophagique, maquillée en fête de la toussaint, met en évidence, de façon saillante,l’injustice faite aux disparus du 4 mars 2012 et des 354 du beach de Brazzaville par l’homme aux surnoms d’animaux. Eux n’ont pas de sépulture. Depuis longtemps leurs âmes en peine errent sans que le dictateur n’ait pour eux qu’une parole qu’il affectionne « ils ne m’empêchent pas de dormir ». Un tel cynisme poussé à son paroxysme peut-il resté éternellement impuni ? wait and see !
Nous étions avertis lors de la Conférence Nationale Souveraine. Nous étions sensibilisés par les hommes et femmes politiques qui savaient ce que sassou faisait au peuple Congolais. Nous étions aussi informés que sassou avait tué plus de 3000 de nos compatriotes. Lorsqu’il avait perdu le pouvoir suite aux élections démocratiques, certains d’entre nous pensions que cet homme serait jugé comme cela se fait dans d’autres pays. Or, chez nous au Congo, nous aimons la souffrance, nous n’aimons ce qui est juste sinon, pourquoi nous sommes allés à Maya-Maya l’attendre à son retour d’exile forcé? Pourquoi jamais au grand jamais n’arrivions à copier ce qui se passe de beau dans d’autres pays ? Tenez, Mandela sort de prison, le pays est à genoux en particulier du Côté des Noirs. Ces Sud Africains ont attendu que Mandela termine son mandat pour aller aux élections. Au Congo, cela est impossible, tout le monde est ministrable, tout le monde a un parti politique, tout le monde a des amis Français. Sans compter ceux qui ont dans leurs gênes, la culture de guerre. Maintenant que sassou déplace la capitale Congolaise à Oyo, nous nous plaignons. Oui, c’est vraiment touchant et difficile à supporter. Le 04 Mars plusieurs de nos compatriotes meurent. Nous pensions, pour cette fête des morts, les hommes politiques de notre pays, allaient leur rendre hommage. Rien n’a été fait. Vous remarquerez d’ailleurs, si aujourd’hui sassou était dans l’opposition, croyez-moi une telle erreur serait une des sources d’un coup d’état. Vous voyez maintenant pourquoi les Congolais n’aiment pas cet homme ?
Aussi longtemps que le peuple aura besoin de lui il sera la, donc nous vous inquiétez pas pour lui.
Paraphrasons Gabriel Garcia Marques (Nobel colombien de la Littérature) . Bravo Ossébi pour ta « Chronique d’une chute annoncée ». Chaque jour qui passe est un jour en moins au long, très long, trop long pouvoir du ploutocrate d’Edou/Penda. La question est : à quand ce jour final ? A quand la fin de ce film noir dont le scénario n’aurait même pas traversé l’imagination de Shakespeare qui l’avait pourtant (l’imagination) très fertile en matière de démesure en politique. Serait-ce à Pâque ou à la Trinité ? Ou, pire, à la Saint glin-glin ? Pourtant le plus tôt serait le mieux. Les grecs disaient » Ô temps accélère ton vol ! ». Je dis : « Ô temps, précipite la fin de ce système infernal ». Comme le bonhomme aime fêter les morts, la plus belle épitaphe qu’on aimerait lire sur sa tombe est la suivante : « Ci-gît un monarque, tigre de l’espèce humaine «
C’est l’apocalyspe pour les Nguesso. Une orange bien mûre tombe toute seule sans aucune force externe. .Ne vous inquietez pas, Il y aura un procès équitable pour ces bandits de la République, ils connaîtront une vraie justice.
Mon frère Ossebi , le départ du diable sassou est une question vitale pour les peuples congolais ! Cet odieux criminel est comptable de tous les malheures des congolais ! Il y’a qu’à regarder télé sassou les communiqués neurologiques les congolais meures trop jeunes d’hôpitaux digne de ce nom! Comment peut -on vivre dans pays où une personne sur trois cent travaille? Un pays où l’eau potable reste un luxe? Car l’eau du robinet est impropre à la consommation !!!!
Oui Bonheur, il bondi de la république quand il se bat a faire venir les investisseur au pays, bondi lorsqu il investi dans les hôpitaux, dans les écoles, oui il est bondi lorsqu il construit des route lourd, bondi lorsqu il s’arrange pour que le chômage quitte le pays …….
Vraiment n’importe quoi Loubaki, vous dite Bravo pour des analyses qui tire leur source sur la personne de DSN et sur oyo tout de suite on se rend compte que c’est un discours tribale. Nous. Sommes fatigues de lire des histoires a dormir debout.
vous qui soutenez ce sanguinaire d’edou, vous serez pondu ce jour la…on vous connait.!!
trente ans ca suffit,qu’il soit raisonnable et qu’il s en aille sans plonger
notre pays dans une nouvelle crise.a son retour en 97,j étais parmi ceux
bien que désapprouvant la méthode,pensaient que l homme avait un projet
pour le pays.mais la désillusion fût grande en peu de temps.
pour masquer le manque de vision,d idéal,on s est lance dans la
municipalisation accélérée.mais on se rend bien compte que c est juste
un moyen de détournement de dénier public.en faite cet homme à
enjamber les corps des congolais juste pour sa tronche. près de trente
ans à la tête de ce beau et riche pays sans parvenir à donner le nécessaire
vital à la population,et pourtant il n est pour rien à l embellie économique
que connaît le Congo.il se comporte vraiment en gangster.
A BEC JAUNE
Dans ce lot d’indignations, tes soutiens systématiques à l’homme de Mpila résonnent comme un pet dans un internat à minuit.
L’heure viendra (elle est déjà arrivée) où ton bec sera cloué et tu riras jaune.
Quand je parle des réalisations de DSN c’est sans fanatisme, c’est un Monsieur qui a arrêter avec les discours mais ils pose des actes, pour quoi ne pas l’encourager ou reconnaître ce qu’il fait de bien? La modernisation de ce pays est un processus qui est en marche…..
Mobola, ne cesse de nous démontrer qu’il est rempli de haine et de jalousie, comme ça vous souhaitez qu’on vous laisse prendre les commandes de notre beau pays. Un bon président fais toujours le pompier quand les ennemis de la république agissent, sans oublier que c’est lui qui est on position de force a l’instare de DSN.
Chers compatriotes, pourquoi ne pensez vous pas en un seul instant que l incursion de l’armée Angolaise est une mise en scene de Sassou pour faire peur aux congolais , et pour reprendre la main qu il est entrain deja de perdre .
Pourquoi ne parlez vous de sassou que des biens mals acquis et des disparus du beach avez vous oublié que la bombe qui avait fait exploser le dc 10 francais etait bien placée depuis Brazzaville avez vous oublié les attentats commis á brazzaville au cinema et á l aeroport de brazzaville pourquoi ne pas l associer á cela ,sassou est tres dangereux la france ne peut pas facilement se debarrasser de lui car il peut se transformer en camikaz car il a des arabes avec lui au congo peut etre aussi encore des reseaux lybiens pour faire exploser soit Brazzaville encore des avions francais .
@Ngomgo. T inquiète pas DSN est un faiseur de paix, un homme de paix, voilà pour quoi tu constate qu’il est sollicite un peu partout en afrique pour partager son expérience en la matière, donc soit en sur qu’ il ne laisserai jamais le pays sous la direction de ceux qui vont le détruisent comme autrefois, comme nous peuple souhaitons qu’il reste au pouvoir et lui aimant son pays on est ensemble, nous n’avions plus le temps a perdre car 2025 c’est demain.
Bec Jaune, vraiment, ton fanatisme t’aveugle sur la réalité de ton propre pays. Oui dans les rêves de tous les congolais il existe certainement les belles réalistaions dont tu parles avecune ferveur extatique. Mais dans la réalité de la vie quotidienne des congolais, il n’ y a rien de tout cela. Mais tu as raison en effet, il a arrété avec les discours, il pose des actes. Mais tribaux, claniques et nuisible à l’unité de la nation. J’en veux pour preuve, la liste des 500 boursiers pour suivre des études à Cuba. Nouveauté dans notre pays, plus de 400 sont tous du NORD du pays. Certainement qu’ils sont les plus intelligents et les aptes ? Tu parles de modernisation ? les foyers congolais ont l’électricité 2 jours sur 7. L’eau, certains , pour en voir la couleur vont encore au fleuve. Et lorsqu’elle sort des robinets , elle est impropre à la consommation. Avant l’arrivée de l’homme aux surnoms d’animaux sur la scène politique, les congolais avaient tout cela. Lui même en a largement bénéficié, y compris dans sa carrière, puisque le pays n’était pas tribaliste et celà grâce à l’action des hommes comme Youlou et Opangault. Si pour toi, la modernisation c’est la promotion exclusive des mbochis, alors là oui, je suis d’accord avec toi. Si c’est pour le bien de toute la nation, en fait de modernisation, il faut plutôt parler de régression.
@Lusada, une fois de plus DSN est un homme paix. Toutes vos assertions sont trop gratuites, toutes des histoire montes de toute pièce par la france en complicité avec les ennemis de la république juste pour salir l’ image de notre chère président, mais cette fois ci la super chérie ne passera pas, car nous sommes vigilant nous veillant sur notre pays.
@Ibrahima, excellent ta réaction, mais des belles phrases qui ont tous aucun sens car elles sont vide. A mon sens pour qu’il y est des répercussions significatives sur la vie de tout les jours des Congolais faudrait bien qu’on pose des jalons quelque part, dire que dans la vie quotidienne des Congolais il y a aucune répercussions des actes posés par le président je dirais non, sinon comment nous vivons dans ce pays? Suis tenté de faire des rapprochements pour être plus explicite mais ça ne sert a rien. Aujourd hui la plus part des Congolais qui ont compris les différents message du chef de l’état ne souffre plus, on attend plus la fonction publique, ceux qui sont menuisier considère leurs activités comme étant un métier car autrefois ( ils disais je ne travail pas suis menuisier ) pour ne citer que ceux la. Je ne cesserait de souligner que DSN est quasiment le seul président du Congo qui n’est pas tribale il travail avec tous les Congolais le plus important chez lui est que tu soit Congolais. Ensuite vous parlez des étudiants qui sont partis pour cuba j’ai pas pris le temps de lire ces 500 nom pour savoir s’ il y a combien de nordiste ou de sudiste pour moi ce sont des Congolais, maintenant s’il y a 400 nordiste je sais pas pour quoi cela dérange si c’était l’inverse vous sortira certainement d’autres objection. Le Congo est un beau pays et DSN est un bon président, on ce qui concerne l’eau et l’électricité bien que 7 / 2 est une pire invention, mais nous reconnaissons que c’est pas la total c’est tout un processus sa ira.
A Lousolo, Homme de paix ? je ne pense pas il n’y a la paix que lorsque lui est au pouvoir, pense à la période de Ngouabi, Yhombi, Lissouba. Le fauteur de troubles c’est bel et bien lui. Tu dis asserions gratuites ? Donc DSN n’est pas un voleur de deniers publics lui et sa famille ? Où trouve-t-il tout cet argent alors sachant que ni lui ni les membres de sa nombreuse famille ne sont des héritiers ? Les 354 disparus du Beach existent-ils oui ou non ou c’est monté de toute pièces aussi ? Par qui ont-ils été tués ? Les explosions de Mpila ne sont – elles pas la conséquence de l’incurie organisée par lui, du fait des incompétents qu’il nomme constamment sur des bases tribales ? De quelle supercherie parles-tu Lousolo; lorsqu’en fait,il s’agit d’histoires réelles dont il est bien l’acteur principal.
Je dirais tout simplement ceci aux idiots,aveugles et fanatiques du banditisme tropical de Mr Sassou et ses amis que:L’art de construire une maison et le meme de la construction d’un etat.La fripouille d’edou et ses amis de 45 ans ont echoue mais le Jerry Rawlings Congolais leur montrera comment batir un etat.Mark my words
Bof quoi encore attendre de ce monsieur.
ce qu’il n a pas fait en près de trente années,le pourra t-il en deux
ans?
@Ibrahima. Le peuple est souverain, si les présidents dont tu a citer ne vivaient pas en harmonie avec le peuple c’est de la faute de DSN, ils ont martyrise le peuple au retours nous savons tous ce qu était arriver. Depuis que DSN est la personne ne me dira qu’il n’y jamais eu des moment de désordre dans ce pays, mais il a su gérer. On ceux qui concerne les soit disant disparus du beach nous avons tous suivi ce procès et on sais qu’aucun des soit disant rescapé n’a pu prouver la vérité tous des histoire montes de toute pièce….. DSN est bon pour notre pays.
DSN, a presque tout donne a notre pays, la quasi totalité des route, des hôpitaux, des infrastructures de base. La première laiterie du congo est arrive avec DSN kiekiekiekiekiekiek
Le congo a á peine 4millions seulement , avec toutes les richessses qu on a, on devait aussi faire mieux que la guinée Equatoriale , le Senegal et le Benin .
Alors á monsieur Lousolo je dirais que le fanatisme aveugle n est pas bon en 34ans de pouvoir sassou a fait ce que Bony Yaya a fait en 5ans
J ajoute que Boni yaya n a pas les mains salis par le sang des inoncants comme votre modele dsn
Je ne m’étonne plus de voir la belle brochette constituée de mes compatriotes, sévèrement essorés de l’archéocervelet, encore en mesure de trouver des ressorts à même de défendre ce triste renégat. Prière de bien vouloir noter la saisissante référence à la marque de l’uniforme qui habille les corniauds préposés à la garde rapprochée du roi Ubu : « Hugo Boss », qui habilla les militaires du Troisième Reich (l’Etat allemand nazi) et les Jeunesses hitlériennes.
De deux choses, l’une : soit le général des tropiques est un béotien fini, auquel cas il faut lui pardonner cette incurie dans son choix de l’uniforme signé Hugo Boss ; soit, bardé de son profil d’ancien instituteur (avait-il seulement exercé?) ayant gardé des notions d’Histoire dont il a délibérément choisi d’exploiter un pan pour des fins tristement percutantes, il a simplement voulu rappelé à quiconque s’aventurerait à contrecarrer sa course à l’appauvrissement intégral de ce beau pays, qu’il en ferait bien un méchouis à la gloire de son initiation à « l’orgue de barbarie ».
Une personne qui a des mains sali est quand même invite par d’autre pays pour régler les différent, une personne qui a des mains sali est reçu a l’elyse paradoxale
Franchement dit, ce qui me semble être une cérémonie privée pour le Président d’honorer la mémoire de ses parents disparus, devient de plus en plus une affaire d’Etat ou les membres du gouvernement doivent forcément y prendre part. Ces célébrations d’Oyo nous donnent l’impression ce qui est regrettable, qu’il y a que Sassou qui a perdu des parents dans ce Pays. Et, pire encore, toutes les charges relatives à ces célébrations sont prises en compte par le trésor public, in fine par les contribuables Congolais. Nous avons alors ici un problème qui a le mérite d’être débattu au-delà de toutes considérations politiques et ethniques, comme cela est souvent le cas au Congo car, dès qu’on soulève un problème de Management des Caisses du Pays, on recourt facilement aux tribalismes. Que tous les morts soient considérés de la même manière sans aucune distinction ne peut qu’être le souhait de tout un citoyen…
A+
Mr Bec jaune, a vous entendre, tout va très bien au Congo. Il y a une chose: ou vous êtes aveugle ou vous êtes un inconditionnel de Sassou. Les Congolais meurent par manque de soin, l’eau potable est une denrée rare( et ce n’est pas l’eau qui manque au Congo), les coupures d’électricité font partie du paysage, les écoles, n’en parlons pas, les élèves sont assis à même le sol, plus de 60% des jeunes au chômage et j’en passe car la liste est longue. Après prêt d’un demi siècle de pouvoir qu a fait votre Sassou dans un pays aussi riche que le Congo? Si il a fait une chose: s »enrichir a outrance, sa famille et ses lèches botte compris, dépenser des sommes faramineuses pour aller se recueillir sur la tombe de ses parents ( argent pris au trésor public du Congo) distribuer de l’argent à tout va à l’étranger pendant que son peuple souffre,et j’en passe. Vous me direz il y a la route Pointe-Noire / Brazzaville. Mais enfin je ne sais pas si vous vous tenez informé de l’actualité internationale, regardez l’Angola pays qui a eu son indépendance après le Congo, vous avez vu leur classement au niveau développement sur le continent Africain? Le Congo est loin très loin derrière. A l’allure ou le Congo avance et si par malheur avec Sassou ou l’un de ses mbochis qui ne valent pas un clou, en 2025, le Congo sera toujours sous développé. Les villes Congolaise ressemblent à des décharges public a ciel ouvert, les routes n’en parlons pas, le Congo Brazzaville importe même le foufou, et vous dites que grâce à Sassou le Congo avance. Vous êtes d’une malhonnêteté incroyable. Avec des gens comme vous Sassou et sa bande peuvent dormir tranquille et croire qu’ils travaillent pour le bien des Congolais. La chance qu’a le peuple Congolais s’est que vous êtes une minorité de tête vide de mbochis qui vie grâce à l’argent volé par Sassou et sans lui vous êtes perdu. Un conseil met un peu plus de coté car la fin arrive a grand pas.
Monsieur Ambouandé
Vous avez parfaitement raison.
Il est regrettable que l’armature même de l’état honore souvent les morts de la famille Ngesso alors que nous sommes en république. Ces pratiques provoquent un sentiment de ségrégation autour des morts de notre pays. Il y a les « illustres disparus » de monsieur sassou qui doivent être honorés aux frais de l’état, de l’autre côté, les Congolais qui se débrouillent pour aller désherber les tombes de leurs proches qui découvrent celles-ci vieillies et n’ont aucun moyen de les rénover. Ensuite ceux des Congolais qui ne savent où leurs parents ont été enterrés et regardent méduser la télévision Congolaise projetant les images de la famille ngesso en longueur de journée. Enfin, il y a les « indigents » c’est-à-dire les tombes anonymes éparpillées partout dans le territoire. Ces tombent devaient être fleuries par l’état Congolais pour cimenter l’amour autour des Congolais morts pour diverses raisons. La confusion autour de la toussaint au Congo est fonction de ce qui se passe au cœur même de l’état Congolais. Sassou a « gagné » la guerre contre une partie du pays donc l’état lui appartient à lui tout seul. Il doit donc recevoir les présidents étrangers à OYO alors que nous avons une capitale politique. Il habite sa résidence privée alors que nous avons un palais présidentiel. Il fait construire un mausolée à la gloire du colon alors que nous avons des personnalités Congolaise qui se sont battus pour notre pays et qui n’ont jamais été glorifiés ni reconnus. Oui, je suis de votre avis, il faut le moment venu, que l’état Congolais sache faire la part de chose. Ce qui est privé est du domaine privé et ce qui à l’état doit l’être aussi, ceci pour éviter l’éternel débat du tribalisme.
Chers compatriotes Bec Jaune et Lousolo, vous êtes d’un optimisme à toute épreuves, ce serait bien pour le pays s’il était justifié franchement, un tel désir de voir son pays sortir de l’ornière est à encourager. Cependant, cet optimisme s’appelle optimisme béat. Vous êtes sur votre bulle de voir DSN à la tête du pays et c’est la seule satisfaction que vous en retirez. Je ne sais si vous connaissez ce personnage du livre de voltaire « candide » le bien nommé. Pour vous « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes », il n’y a pas de malheurs,non plus de morts, pas plus de souffrances des congolais…celà a son côté sympatique du point de vue de l’allégorie du bonheur. Mais, conseil d’ami, prenez garde à ce que vous ne soyez des imbéciles heureux.
Chers compatriotes, je vous donne quelques informations reçues du milieu proche du CNS:
1. Sassou se prépare à se représenter en 2016. Dans le soit disant acte de naissance retrouver que l’on a etendu parler ici et là, Sassou nguesso serait né le 23 novembre 1948 à Edou et l’acte de naissance est établi à la sous préfecture de Fort Rousset.
2. La révision de la constitution se fera d’ici mars 2014. Le mandat presidentiel sera ramener à 5ans et le président de la république ne peut être élegible que 3fois pas au dela.
3. Le candidat à la présidentielle doit avoir entre 35 et 76 ans accomplis. Ainsi à moins de 35 ans la candidature à la présidence est inacceptable comme elle l’est aussi au dela de 76ans.
4. Sassou n’ a pas préparer un candidat à la succession. il veut se representer lui même en ramenant le mandat présidentiel à 5ans.
Le Jerry Rawlings Congolais arrive pour le nettoyage ,le reste n’est que le bavardage de ceux qui detruisent et ruinent notre patrimoine commun de juillet 1968
Nous serons toujours présent pour défendre notre pays, avec DSN nous marchons vers l’émergence, oublions les jaloux …..
C’est vraiment desolant, au point de tressaillir d’effroi, a la lecture de certaines intervention, et dire que ce sont des citoyens congolais donc des compatriotes, des freres, des parents, nos proches qui proferent ce genre de paroles!!
Pourquoi sommes nous devenus si distants les uns des autres au point d’etre etrangers, aveugles et insensibles a la detresse de notre pays et de ses habitants?
De grace, refrenez votre egoisme, examinez et analysez le Congo, notre pays, avec tact et responsabilite.
Soyons au dessus de la melee.