SASSOU, DOS SANTOS ET LE MUTISME. Par Benjamin Bilombot Bitadys

SASSOU-DOS SANTOS

SASSOU-DOS SANTOS

L’incursion des troupes angolaise le 15 Octobre 2013 en terre congolaise (KimongO, Iloupaga, Yandza, Pangui, Ngandambinda) et le silence des autorités du Congo-Brazzaville dépasse l’imagination. Des militaires des forces armées congolaises (FAC), mal entraînés, non disciplinés et mal équipés,  ont été enlevés à Kimongo et séquestrés au Cabinda en territoire angolais sans que cette opération d’humiliation n’appelle ni une réplique ni une communication de la part du gouvernement du Congo-Brazzaville. Et, encore moins, une protestation auprès des instances internationales à ce qui apparaît clairement comme une violation du droit international. Jamais, Sassou Nguesso n’a eu aussi peu de relais pour répondre aux attaques militaires de Dos Santos. Son gouvernement est aphone, son armée inexistante et indisciplinée, son parti turbulent et son camp déboussolé.
 Mystères

Parmi les mystères de cette affaire, qui en compte beaucoup, il en est quelques uns qu’on ne peut s’empêcher de relever ici, au risque de recevoir une volée de bois vert. Y aurait-il un deal entre Sassou Nguesso et Dos Santos ? Existerait-il une revendication territoriale suite à une promesse non tenue qui daterait de 1997 ? Dos Santos projeterait-il d’installer un autre homme plus crédible sur le trône occupé par Sassou Nguesso ? Les troupes angolaises auraient-elles été freinées dans leur élan ? L’incursion des militaires angolais à Kimongo aurait-elle été motivée par la présence de 1000 miliciens rwandais stationnés par Sassou Nguesso dans les faubourgs de Pointe-Noire et non loin du Cabinda ? Les troupes angolaises pourchassaient-elles en territoire congolais des éléments du FLEC ? Comment interpréter le silence de Luanda et de Brazzaville ? Les deux hommes, alliés de 1997 , seraient-ils liés par un pacte ? Quels sont les
ressorts des opérations militaires angolaises au Congo-Brazzaville ? Comment  Denis Sassou Nguesso peut-il sortir de ce que certains de ses proches qualifient eux-mêmes de  » spirale infernale  » ? Par quels moyens peut-il redevenir le maître d’un  environnement politique, économique et social dont les pièces semblent chaque jour davantage lui échapper ? De quelles armes dispose-t-il, en somme, pour restaurer une autorité qui a été profondément ébranlée et écornée à la suite de la débâcle des FAC dans le Niari, de l’explosion du 4 Mars 2012 de la poudrière de Mpila, des affaires des biens mal acquis et des disparus du Beach de Brazzaville , recouvrer une crédibilité qui continue de s’effriter faute de résultats tangibles en dépit de moult campagnes de lobbying dans les capitales occidentales et redonner à son action une lisibilité qui s’est évaporée

 Ethnisation à outrance des FAC

Combien, parmi les  admirateurs et les fanatiques des « cobras » habillés en FAC , parmi ceux qui ont poussé tant de clameurs au sujet  de leurs exploits face aux populations de la région du Pool et des pays du Niboland ? , ont pris la peine de  s’interroger sur l’efficacité des troupes congolaises  ? Et, parmi ceux qui l’auront fait  combien auront éprouvé une perplexité sur tel ou tel épisode ? Sur telle ou telle attitude de l’Etat major général, du haut commandement des FAC et des troupes sur le terrain   ? Combien ont éprouvé de la gêne quant au comportement des officiers et hommes de troupes plus visibles dans les « ngandas » et les maisons closes des grandes villes que lors des manœuvres militaires ? La déroute militaire des FAC dans le Niari est-elle si surprenante ? et si la débandade des « mens in kaki » du Congo-Brazzaville était la rançon de l‘éthnisation à outrance des FAC par Sassou Nguesso ?

Tigres de papier. Généraux d’opérette

Où sont passé les affairistes, généraux d’opérette Noël Essongo, Oléssongo, Bokamba, Prosper Nkonta, Norbert Dabira, René Boukaka, Guy Blanchard Okoï, Philippe Tchicaya, Morlendé, Ngatsé Nianga Mbouala, Jean Dominique Okemba, Charles Richard Mondjo…  qui avaient le poil sec et lustré vis-à-vis des habitants des agglomérations de Bacongo et Makélékélé ? Que sont les muscles bandés devenus des « cobras » déguisés en FAC, la mâchoire en avant de Obargui et François Ibovi et les maxillaires d’Isidore Mvouba battant la charge, de sa voix de basse,  contre les populations non armées du Pool ? Qu’est devenu Bienvenu Okiémi, porte-parole du gouvernement   du Congo-Brazzaville, d’ordinaire si prompt à réagir sur tout et n’importe quoi ?généraux
  Carpe

Jamais, à la lumière de l’incursion des  militaires angolais et de l’inertie des troupes congolaises, les forces armés congolaises n’ont si bien porté leur nom : la grande muette. Muette comme une carpe. Sassou Nguesso, le PCT, les FAC et les épigones du « chemin d’avenir » sont à poil. Le roi est nu. Alors que la situation politique et militaire du Congo-Brazzaville exige de la rigueur, de la vigueur, de la fermeté et de l’autorité, Sassou Nguesso, les FAC, le PCT et les épigones du « chemin d’avenir » s’illustrent en « émollience ». Sur le  champs de bataille, Dos Santos a pris le dessus et a marqué des points et Sassou  a été contraint de constater l’inexistence, la vulnérabilité et la fragilité de ses « cobras ». Les forces armées congolaises, à défaut d’être une force de défense du territoire, ne sont qu’un  machin constitué de miliciens « cobras » et un instrument de conservation du pouvoir
entre les mains d’un homme : Denis Sassou Nguesso. Reste à lui  asséner , en 2016, le dernier coup de grâce électoral.
Benjamin BILOMBOT BITADYS

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

12 réponses à SASSOU, DOS SANTOS ET LE MUTISME. Par Benjamin Bilombot Bitadys

  1. TONA dit :

    Je me souviens de Ndenguet brandissant deux kalachnikov rouillées abandonnées par les Ninjas dans une rivière. Les hommes politiques se succédaient pour commenter l’évènement. Nous nous souvenons aussi des voleurs de câble électrique que la police Congolaise exhibait près d’un mois à la télévision. Pour ce qui se passe aux Frontières, personne n’en parle. Voyez-vous chers compatriotes nous ne savons rien de ce qui se passe dans nos frontières. Les autorités se taisent. Maintenant vous avez une idée de ce qu’ils dépensent par mois puisqu’ils n’ont de compte à rendre à personne. C’était bien cela le sens de leur slogan: « la paix chèrement acquise » donc ils ont le droit de voler comme ils veulent. Ils ne vous rendront jamais des comptes.

  2. fleuve congo dit :

    MOI, JE LA SURNOMME  » LA GIFFLE ANGOLAISE » . QUAND AUX COBRAS, .JE LES NOMME TOUJOURS COMME TEL DEPUIS LEUR VICTOIRE COALISEE CONTRE LES FIDELES MILITAIRES ET PATRIOTES DE 1997.

  3. L’on a tendance à oublier que Sassou,n’était plus aux affaires en 1997, quand Dos santos et ses troupes l’ont aidé à perpétrer son coup d’état.
    Sassou, en tant que simple citoyen, fût-il ancien chef d’état, avait-il le droit de faire appel à des troupes étrangères pour venir destabiliser un gouvernement légal et massacrer des Congolais ?Avait-il le droit de détenir par devers lui des armes de guerre ?
    Sous d’autres cieux, Sassou devait étre poursuivi pour haute trahison, pour intelligence avec une armée étrangère et pour détention d’armes de guerre (ce qu’il a reproché au colonel Ntsourou, comme quoi le ridicule ne tue pas au Congo.)
    Nous les Congolais, enjoignons l’opposition congolaise dirigée par Dzon, Mierassa et Kinfoussia, qui est devenue le porte-parole des sans voix, d’engager des poursuites judiciaires contre le sieur Sassou pour des crimes dont j’ai parlé plus haut.
    Dikamona alias Wu Ba Wuna, We na Meso.

  4. PIERRE ANGA dit :

    Voilà l’homme. Voici l’homme. avait-on dit en l’an 33. Voilà l’homme, voici l’homme disait-on à IKONGONO.

  5. Matière grise dit :

    La génétique de Denis Sassou Nguesso et l’hygiène dictatoriale au Congo Brazzaville.
    PHILOSOPHIE GÉNÉTIQUE !
    Quand deux gènes malades ou deux mutations génétiques se suivent, il faut placer la troisième à l’infinie.
    L’HYGIÈNE DICTATORIALE !
    Denis Sassou Nguesso est par sa densité de matière (chromosomes) composé de 12 gènes abimés (à transmission autosomique recessif) sur 30.000 dont dispose l’individu.
    Ces 12 gènes abimés sont en partie responsable de son comportement de type stupide, cynique, sanguinaire et surtout dictatorial.
    Denis Sassou Nguesso est un dictateur – sa descendance et voire ses enfants et ses petits-enfants le seront aussi.
    Notre devoir est de nous enquérir d’une loi de prévention de culture dictatoriale, de l’hygiène dictatoriale de ce que l’utopie fera de la descendance Denis Sassou Nguesso, de ses idiots, de ses imbéciles, de ses fous, de ses traites, trop traites pour être utile à l’état congolais, à la sécurité nationale, à la démocratie, à la communauté, à la société et aux civilisations nouvelles.
    Il faudra donc recourir à une sorte d’hygiène dictatoriale – c’est à dire d’empêcher ses incapables et ses mauvais de faire encore la politique au Congo.
    Il faudra inscrire par la loi et dans la mémoire collective et transgénérationnelle que tous ceux qui porteront le nom de Sassou Nguesso seront synonymes de traitres, de haute trahison de l’état, de dictateurs et de pilleurs des ressources naturelles et des deniers publics.
    Les descendants de Denis Sassou Nguesso ne pourront un jour refaire la politique sauf lorsqu’ils auront payés leur dette à la nation congolaise.
    Cette dette s’élèverait aujourd’hui à près 50 milliards de dollars US ou d’argent public gaspillé et volé par Sassou.
    C’est donc près de 1 milliard de dollars US que va devoir rembourser chaque enfant sur les 50 issus de ses nombreux lits adultérins.
    CES ENFANTS ET SES PETITS -ENFANTS SONT POUR LA PLUPART PORTEURS DE CHROMOSOMES AUTOSOMIQUES RECESSIFS A TRANSMISSION DE CARACTÈRE CYNIQUE, SANGUINAIRE, DICTATORIAL, CONFISCATOIRE DE L’ÉTAT, DES DENIERS PUBLICS ET DE HAUTE TRAHISON.
    POUR CONDAMNER LES CAS SPÉCIFIQUES DE HAUTE TRAHISON ET DE CERTAINS HOMICIDES VOLONTAIRES ET DE CRIME CONTRE L’HUMANITÉ – NOUS DEVONS OBLIGATOIREMENT RÉTABLIR LA PEINE DE MORT AU CONGO BRAZZAVILLE.
    EXÉCUTION DES CONDAMNÉS PAR PENDAISON ET PAR INJECTION LÉTALE !

  6. Le dictateur Denis Sassou Nguesso – trop complexé pour être fier dans sa peau !
    Les Nguesso seraient des « Sambissa », des descendants du peuple Abbey déporté au Congo par le colon en 1910.
    Durant la période coloniale, une révolte laminaire du peuple Abbey en janvier 1910 (début 1905, fin 1918), conduit à la déportation de plusieurs ressortissants de ce groupe ethnique vers la Centrafrique et le Congo-Brazzaville. En effet, las des excès commis par les colons dans le cadre du portage, du travail forcé et des injustices dont ils sont constamment victimes (confiscation d’armes juste après le versement des lourdes taxes requises pour leur transport, actes arbitraires, piétinement de la dignité humaine etc..), les Abbey se révoltent. Ils sont laminés sans pitié par environ 1 400 tirailleurs venus du Sénégal non sans avoir eu à décapiter un commandant français du nom de Rubino.
    COMPLEXE D’INFÉRIORITÉ DE LA PEAU NOIRE DES NGUESSO => LE BLANCHIMENT DE LA PEAU PARAIT ÊTRE LA SOLUTION LA PLUS DOUILLETTE, MAIS A TERME, DE LOIN, LA PLUS INCONFORTABLE ( CANCER DE LA PEAU).
    Les psychologues, psychanalystes et les psychiatres(ethnopsychiatries) ont plusieurs critères pour chaque « complexe d’infériorité de la peau noire des Nguesso » qu’ils incluent dans leurs études :
    > Il est de race noire ou de peau noire.
    > C’est une personne qui a subit un psychodrame conscient ou inconscient (injures , la discrimination, des humiliations répétées, de traumatisme et des névroses liés à l’enfance).
    > L’attitude et l’éducation parentale comme les désaccords, remarques et comportement négatifs envers un enfant âgé de moins de six ans peuvent créer un complexe d’infériorité.
    > C’est une personne qui est légèrement dérangée du point de vue psychologique et mental.
    > C’est un individu qui a grandi et vit encore dans le déni de race, de traits physiques et de couleur de peau noire.
    > La personne complexée par sa peau noire s’accroche généralement au blanchiment de la peau pour se forger une carapace et avoir ainsi un sentiment au moins d’égalité.
    CAS SPECIFIQUE DE COMPLEXE D’INFÉRIORITÉ DE LA PEAU NOIRE.
    > ON PENSE QUE DENIS SASSOU NGUESSO EST QUELQU’UN QUI MANQUE DE CONFIANCE EN LUI.
    > DENIS SASSOU NGUESSO EST QUELQU’UN QUI A DES PROBLÈMES DE TRANSPIRATION ( NUISANCES OLFACTIVES LIÉES AUX NÉCROSES PERMANENTES DE LA PEAU) – IL DOIT SENTIR MAUVAIS ET SURTOUT QUAND IL FAIT CHAUD ( VENTILATION, CLIMATISATION ET DESODORISATION PERMANENTE).
    > DENIS SASSOU NGUESSO EST QUELQU’UN QUI CONSOMME BEAUCOUP DE MINÉRALOCORTICOÏDES ET DE GLUCOCORTICOIDES.
    DENIS SASSOU NGUESSO EST QUELQU’UN QUI COURT LE RISQUE ÉLEVÉ D’AVOIR UN CANCER DE LA PEAU.

  7. H. ALINGABEKA dit :

    Chers compatriotes, l’heure est gravissime. Si nous ne prenons pas les choses en mains, nous risquerons de périr tous pour le faute d’un voyou et de son clan qui depuis des années qui nous malmènent. il y a quelque chose obscure et louche sur cette affaire de la marche des soldats angolais sur notre territoire et avec cela la prise en otage de 47 millitaires congolais basés dans la region mililitaire de Dolisie. Que se passe t-il réélllement? les mbochis parlent beaucoup! en s’en souvient d’Ibovi françois lors des évènements traigiques de 1997 à qui la chaine RFI avait même accordé ces antennes pour s’exprimer contre le regime lissouba. Comme l’auteur de l’article a souligner, le silence d’un autre cancre Bienvenu okiemi qui sort souvent de manière intempestive pour désinformer l’opinion nationale et internationale nous laisse stupefaits. Lui même Sassou n’est pas à mettre hors de ces grosses gueules. L’homme qui dormait un certain 5 juin 1997 n’avait il pas évoquer pour contrattaquer l’armée regulière l’argument de la légitime défense? et pourquoi n’a t-il pas donner l’ordre à ses soldats de faire comme en 1997, pourchasser les soldats angolais et les repousser hors de notre territoire? Cet homme, n’ est il pas le même qui, au sortir de l’audience à lui accordé par François Hollande parlait du principe de la non ingérence? Pourquoi jusqu’ici ne rappelle t-il pas à l’angola un autre principe du droit international de la souveraineté de l’Etat congolais dont les frontières sont inviolables? Ou est parti Pierre Ngolo, avec son « touche pas à mon président » Ne fallait il pas mobiliser les membres du pct pour marcher devant l’ambassade de l’angola à brazzaville avec un autre slogan  » touche pas à mon pays ou viole pas les frontière de mon pays »?
    Nous devons le savoir et sassou lui même le sait aussi, sans l’armée angolaise, il n’aurait jamais gagné la guerre de 1997 avec débris des cobras qu’il a recruter ici et là entre 1992 et 1997. Pour cela le congo apparait comme un pays à la merci de tout le monde avec ses frontière complètement permeables. La preuve est là. Il y a un article intéressant publié courant mars par RFI dans le contexte de la chute de bozizé et l’intervention de la france au mali qui traitait de l’inéfficacité des armées africaines et dépourvues du materiel adéquat et aussi des hommes formés. Je peux dire qu’il n’ y a pas d’armée au Congo. Il suffit juste de la marche dans notre territoire d’une force etrangère tout tombe et s’écroule comme une chateau de carte. Que serait il passé si à la place de cette incursion militaire angolaise dans notre territoire, c’était les populations de Kimongo ou d’un autre lieu du pays (sauf oyo) qui faisaient une marche pacifique pour reclamer un centre hospitalier, la reparation d’une école, la construction d’un pont cassé? La réponse est simple, l’armée allait répondre en tirant à balles réelles et à bout portant sur la population. Les exemples de ce genre sont legions dans l’histoire récente de notre pays. On peut citer le cas de cet étudiant toujours durant cette année qui a perdu la main à cause d’un projectile militaire quand les cobras (pas les policiers) ont été envoyé par ndengué jean françois pour reprimer le mouvement des étudiants. Où sont partis ces hommes à la gachette facile qui écument les casernes de notre pays?Jamais avec les congolais reclamant leur droit en usant les moyens pacifiques le gouvernement sassou n’a souvent pas menager la voie des négociations comme on l’a vu avec cette humiliation à domicile par la force angolaise.
    Mais il faut le dire, il y a un problème réel et grave dans notre pays. L’auteur de l’article qui nous fait reflechir en ce moment souligne qu’il y a près de 1000 ex soldats rwandais et zairois postés près de Pointe Noire? Cela devrait nous pousser à des interrogations sérieuses. Il n’est pas souhaitable d’avoir des armées etrangères dans un pays. On ne sait jamais ce qui pourra arriver demain. La situation dans l’est de la RDCnous en édifie éloquemment. A moins de croire que le Congo c’est Sassou ou Sassou c’est le Congo. Ce qui n’est pas le cas d’autant que sassou n’est qu’une goutte d’eau, un minime particule qui est dans un vaste océan qui est notre pays. Il est appelé à partir. hier c’etait fulbert, youlou, massamba debat, marien ngouabi yombi opango, sassou nguesso, pascal lissouba et encore sassou nguesso, rien n’est écrit en ce que je sache que sassou est éternel. Les philosophes de l’histoire nous en expliquent bien le mouvement de l’histoire. Alors notre pays était en paix et tranquile. Malgré nos limites, qui ont conduit notre classe politique explosé notre pays dans ce qu’elle a appelé betise humaine pour fuire le terme barbarie ou sauvagerie. Nous voulons la paix, pas celle que sassou nguesso et ces sbire nous annoncent mais la paix legendaire de nos ancêtres. que sassou l’assoifé de pouvoir et de sang, fasse partir les mercenaires qu’il a posté à coté de pointe noire pour nous eviter encore un bain de sang dans le pays. On en a marre! Nous voulons un avenir radieu pour nos enfants et le developpement de nos villes.Sassou Nguesso, dit nous, revèle nous le pacte secret que tu as fait avec le pouvoir angolais en guise de remerciement pour sa participation à tes côtés dans la guerre du 5 juin 1997 comme effort de guerre. Jamais nous n’avons eu un problème de ce genre dans notre pays.

  8. william dit :

    Et, vous pensez, Mr Dikamona, que Dzon est exempt de reproches? Qu’il merite t il de conduire l’oppostion dans ce combat? Qu’il a les mains propres et n’est pas un potiche?

    Vous me surprenez, Wu ba wuna, we na meso, il me semble au contraire que vous etes aveugle et pret pour etre a nouveau roule dans la farine du systeme.

    Au cas ou vous l’ignoriez, nous n’avons pas affaire a un individu mais a un systeme et, a ce que sache, Mr Dzon en fait partie.

    Des poursuites judiciaires a l’encontre de Sassou est une bonne idee mais elle n’est pas nouvelle, le monde entier en parle. La nouveaute serait que Mr Dzon, votre modele, soit le premier a etre traduit en justice relativement a sa gestion de Directeur de la Bidc et du ministere des finances de l’apres 1997.

    Pour le reste, cherchez vous d’autres brebis a conduire dans les nombreux trou du systeme car aussi aveugle que vous etes, vous ne les conduirez pas ailleurs.

  9. INDIGNADOS dit :

    Le combat que nous menons aujourd’hui est celui de mettre fin à un pouvoir qui règne par l’arbitraire et qui n’hésite pas à s’en pendre à ceux des collaborateurs qui osent faire preuve d’une marge de liberté d’esprit. Et les exemples sont légions.
    Nous comprenons bien à travers l’article ci-dessus, mais aussi de par notre propre expérience que ce pouvoir ce constitue autour d’un noyau dur à connotation clanique, sinon tribale. Les autres membres ne sont que des satellites qui viennent donner forme au système…
    Dire aujourd’hui que Dzon fait parti d’un système, c’est ne pas connaitre la logique de fonctionnement du pouvoir de Mpila, mais aussi faire passer des milliers de congolais qui suivent le collectif des partis de l’opposition pour des imbéciles.
    Selon Joël de Rosnay, un système est un ensemble d’éléments en interaction dynamique, organisé en fonction d’un but.
    Les opposants actuels au système sont comme des « signes ayant changés de forêt. », recherchant une alternative à la confiscation du pouvoir par « un système clan. »
    Comme on dit dans la sagesse africaine, « Le singe qui a retiré sa queue de la gueule d’un chien ne court plus de la même manière que les autres. »
    Donc, il y a des personnes qui sont en avant-garde du combat en faveur de l’alternance, en s’engageant à travers des actions politiques sur le terrain, quelque soit leur portée, mais dont l’efficacité sera à mesurer à moyen ou long terme.
    Par conséquent, je suis du même avis que M. DIKAMONA qui appelle à soutenir le collectif et qui nous donne aussi une approche qui mérite réflexion, si nous sommes tous contre le clan de Mpila.
    Des attaques contre certains membres de l’opposition, par des accusions fortuites, sans constitution d’une saisine des institutions adéquates, ce n’est à mon avis que de la pure diversion ; si ce n’est un moyen de vouloir se positionner en pleine tempête, avant même que nous atteignions la rive.

  10. M. William,
    Rassurez-vous, M. William. Je ne suis pas aveugle ni ne suis atteint de d’autre cécité.
    Je ne dis pas que M. Dzon est exempt de reproches. Si nous continuons à remuer les poubelles de tout un chacun, on y trouvera toujours quelque chose de mauvais, car personne n’est parfait. Certaines poubelles seront plus puantes que celles des autres.
    J’ai remué celle de M. Sassou et j’y ai trouvé ce que j’ai écrit. Me suis-je trompé? Prouvez-moi le contraire.
    Aujourd’hui, M. Dzon, est l’un des leaders de l’opposition qui dit tout haut ce que nous n’osons pas dire pour sauvegarder nos privilèges. Je suis surpis que vous n’ayiez relevé que le nom de M.Dzon parmi les leaders de l’opposition, que j’ais cités. Il y a aussi MM.Kinfoussia et Mierassa. Ils font tous partis du collectif de l’opposition. Et eu égard à leur courage, je les enjoins à déposer au nom du peuple congolais une plainte contre M. sassou pour détention d’armes de guerre, pour intelligence avec une armée étrangère et pour haute trahison. Il était simple citoyen comme vous et moi. A quel titre avait-il fait venir une armée étrangère le soutenir avec ses cobras pour renverser un gouvernement légal ? Prouvez-moi que ces délits ou crimes que je reproche à M.Sassou ne sont pas fondés. C’est autour de ça que doit avoir notre débat et non sur la personne de M. Dzon. Ne nous diverissez pas et ne cherchez pas de faux-fuyants
    Heureusement que M. Indignados a compris la quintessence de ce que j’ai écrit. Merci, M. Indignados.
    Ne vous en plaise, M. William. Je persiste et je signe que M. Sassou doit comparaître, entre autres, pour les crimes suivants : détention d’armes de guerre, intelligence avec une armée étrangère et haute trahison. A ce propos je cherche de grands avocats pour soutenir et plaider cette plainte contre M. Sassou.
    Jean-Marie Dikamona alias Wu Ba Wuna we na Meso.

  11. le fils du pays dit :

    Quand je dis que Mr Sassou en lui seul et ses amis de 45 ans sont le mal du Congo,les jeunes bec jaunes tellement idiots comme leur maitre crient au scandale.Comment un pays peut être dans un désordre total ainsi.Ils sont contents de voir les Congolais être soignes par un fameux bateau de solidarité accoste a la cote congolaise faute d’un système de santé et des hôpitaux dignes.Il est prend temps de le menage soit fait dans notre pays

  12. H. ALINGABEKA dit :

    Les informations qui semblent circuler dans les milieux proches du pouvoir de Brazzaville que j’ai reçues d’un ami travaillant à la CIA du Congo le département animé pae Dominque Okemba me fconnu sous le sigle CNS me font rire. En voici la nouvelles: Sassou Nguesso est né le 23 novembre 1948 à Edou. Ce n’est plus en 1943 mais en 1948. C’est ce qui est écrit noire et blanc sur l’acte de naissance retrouvé de Sassou Nguesso, établi à la sous préfecture de Fort Rousset. Pour tout dire, un obstacle pour les présidentielles de 2016 vient d’être sauté. En 2016 sassou nguesso n’aura que 68ans. La bataille se jouera maintenant sur la résivion de la Constitution en ce qui concerne les mandats présidentiels. Si l’on s’en tient aux dispositions de la constitution de 2002, Sassou Nguesso aurait épuisé ces change pour se présenter comme candidat. Comme vous le savez, dans la cas actuel, si ce dernier avait la volonté de ne plus se representer, il aurait sans doute désigné son successeur pour que celui – ci s’impreigne de la réalité du pouvoir et soit connu par le peuple comme futur candidat. Il n’ y a rien de tel. Le PCT veut encore faire des manoeuvres pour ouvrir une autre issue à sassou nguesso. D’après la même source qui me donne les informations, le PCT veut faire réviser la constitution concernant les mandats présidentiels. Ainsi, pour piéger le peuple et le pousser à accorder un dernier mandat à sassou nguesso, on parle de ramener le mandat à 5ans ( le peuple dira que 5ans c’est rien puisque ça passe vite.) et entre temps une autre reforme se fera pour le nombre de mandat, soit 3mandats au dela desquels on ne peut plus se representer. Au total un président élu pourrait resté au pouvoir pendant 15ans. Voilà ce qui est projetté par le PCT dans le cadre de la révision constitutionnelle et qui semble avoir beaucoup d’adhésion dans le milieu du pouvoir. Je vous donne cette information pour qu’ensemble nous nous reflechissons pour arreter ce désordre et cet ordure qui s’appelle le PCT et ou Sassou Nguesso.

Laisser un commentaire