Les Congolais ont bravé l’interdiction de manifester pendant les matchs des diables rouges (CAN)

congoLES VILLES DE BRAZZAVILLE ET DE POINTE-NOIRE PLACÉES EN ETAT DE SIÈGE…

On les croyait amorphes, tétanisés par la peur de l’armée et la police tribalo-sanguinaire de Sassou, mais les Congolais ont prouvé qu’ils étaient capables de défier les armes et les blindés d’un régime aux abois.

Ils ont écrit une partie de la page qu’ils écriront définitivement en 2016, lorsque sonnera le moment de sortir dans les rues pour dire NON au changement de la Constitution et bouter hors du Congo et du pouvoir celui qui se prend pour un Dieu.

Le 31 Janvier 2015, le Congo par le biais de son équipe nationale de football avait rendez-vous avec l’Histoire. Les Diables Rouges devaient affronter les Léopards de la RDC dans le cadre des quarts de finales de la 30e édition de la Coupe d’Afrique des Nations qui se jouait en Guinée Equatoriale. Un rendez-vous très attendu des Congolais qui y voyaient déjà une qualification en demi-finale d’autant plus que le Onze national du Congo affichait un parcours élogieux en phase de poule, fait d’un match nul et de deux victoires face aux Panthères du Gabon et les Zalangues du Burkina-Faso. De quoi faire rêver tout un peuple, toute une nation qui a attendu quarante et un ans depuis le sacre de 1972 au Cameroun pour vivre à nouveau la passion du football.

Le parcours des Diables Rouges dans cette compétition a été si parfait que le peuple priait le Dieu du ciel et de la terre, le vrai, pour que ce bonheur ne s’arrête pas.

Le peuple congolais dans toute sa diversité croyait dur comme fer à la qualification de son équipe et savourait les délices de l’unité véritable autour d’une équipe jeune certes, mais dont le talent a étonné plus d’un observateur. Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, les Congolais ne manquaient aucune occasion de témoigner tout leur soutien à cette équipe qui redonnait à la République toute sa valeur sur l’échiquier continental et faisait parler du Congo autrement à travers le monde, que les médias en ont pris l’habitude depuis un certain temps, parlant juste de la Constitution, d’un pouvoir sanguinaire, de pauvreté, de détournement de fonds, de gabegie des revenus du pétrole et d’une perfide soif de demeurer au pouvoir après plus d’une quarantaine d’années sans résultat concret dans l’intérêt du peuple. Mais à la surprise générale, le pouvoir totalitaire de Sassou voyant le diable partout alors que les seuls diables à traîner dans les rues du Congo par leurs efficacités étaient nos jeunes champions, a décidé de cantonner les Congolais chez eux.

Comme dans une prison à ciel ouvert, la vie à Brazzaville et Pointe-Noire devait s’arrêter net, aucun citoyen congolais ne pouvait se permettre de quitter les limites de sa parcelle pour exprimer sa joie ou son désarroi. Le plaisir des congolais de jubiler en osmose avec leurs champions a ainsi été hypothéqué sur l’autel de la soif d’un homme et d’un groupe de gens de rester coûte que coûte au pouvoir quitte à priver les Congolais des droits primaires qui leurs restent.

Les Congolais ont prouvé qu’ils étaient capables de défier le pouvoir tyrannique et militaire de Sassou

Sur instruction du Ministère de l’intérieur, relayée par les administrateurs maires des villes de Brazzaville et de Pointe-Noire, Hugues Ngouélendélé et Roland Bouity Viaudo, soutenue avec la dernière énergie par les FAC, il  a été fait obligation aux congolais de fermer magasins, boutiques, bar dancing et buvettes à partir de 16 heures 00, soit une heure avant le match du Congo contre la RDC. Les Congolais ne devaient pas aussi se permettre de déployer des écrans géants sur les places publiques, ni projeter ce match dans les salles vidéo de fortune communément appelées vidéo-clubs. Une mesure qui avait pour but d’éviter des attroupements de plus de trois personnes et contenir les moindres mouvements de foules qui pouvaient naitre en cas de défaite des Diables Rouges. Seulement la mesure va à l’encontre des principes fondamentaux des libertés individuelles en ce qu’elle restreint la liberté de mouvement des Congolais au bénéfice d’un pouvoir qui a eu peur que le mécontentement footballistique ne se transforme en mécontentement général.

Les délestages pour maintenir le peuple dans la peur

Pour réussir ce plan de dictateur, la Société Nationale d’Electricité qui peine à fournir de l’électricité de qualité aux Congolais, a été mise à contribution. Le courant a été coupé dans toute la ville de Pointe-Noire du matin jusqu’à 14 heures. Et de facto, c’est aussi l’eau qui a manqué dans les robinets des Congolais, en tout cas chez ceux qui ont encore la chance d’en recevoir. L’électricité a été réinjectée sur les lignes deux heures avant le match, mais seulement dans certains quartiers et non sur toute la ville.

Les forces de l’ordre ou plutôt du désordre et de la psychose ont été déployées dans les deux villes comme si les capitales congolaises faisaient face à une agression menaçante. A Pointe-Noire ville de six arrondissements, pas moins de trente-neuf véhicules Toyota BJ y compris des bus Coaster et des blindés qui sillonnaient les rues avant d’être dispersés dans la ville à raison d’au moins neuf BJ par arrondissement.

Lourdement armés, les soldats gendarmes et policiers avaient pour consigne de tirer sur tout groupe de gens qui s’entêteraient à  faire le contraire de ce qui était prévu.

Mais au cours de ce match ou la chance a souri à deux fois aux Diables Rouges, les Congolais ne s’empêchaient pas de sortir dans les rues pour crier leur joie. Et quand la fin est arrivée, le Congo ayant perdu par quatre buts à deux, nombreux ont été ceux de nos compatriotes à défier les restrictions de Mpila. Ils sont sortis dans les rues, bravant les sbires de Sassou qui n’ont pas tardé à faire usage de gaz lacrymogènes et de tirs à balles réelles mais en l’air. De fond Tié-tié à Mbota en passant par d’autres quartiers, les congolais l’ont fait prouvant qu’en 2016 lorsque le moment viendra, la peur changera de camp. A Brazzaville d’importants dégâts ont été enregistrés, dont des pillages.

Pour apaiser l’ardeur de la population, ils commençaient à ne plus trop savoir comment y mettre fin, l’ordre a été donné de plonger les quartiers chauds de la ville dans le noir et une présence policière et militaire soutenue a été maintenue jusqu’au lendemain six heures.

Mais la détermination des Congolais ne s’est pas arrêtée là puisque le 1er février, les rues de Brazzaville et de Pointe-Noire ont encore été le théâtre des scènes de liesse suite à une folle rumeur qui a circulé faisant état de la qualification des Diables Rouges en lieu et place des Léopards de la RDC. Selon cette rumeur, les Léopards auraient fait jouer des étrangers ! Une fois encore la police a usé de tirs de sommation pour disperser les foules qui étaient dans les rues.

Les signes du temps ne trompent pas

Que ceux qui croyaient que le Congolais ne peut relever le défi de crier sa colère dans la rue  et chasser Sassou du pouvoir lisent ce signe du temps. Le pouvoir est au peuple, bientôt viendra le jour où il le donnera à une autre génération, celle qui n’est ni couverte de sang, ni mouillée par les larmes des innocents.

GANDI MWANA BWALA

Diffusé le 2 février 2015, par www.congo-liberty.org

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9 réponses à Les Congolais ont bravé l’interdiction de manifester pendant les matchs des diables rouges (CAN)

  1. Dieudos Eyoka dit :

    Il y a eu des tirs, et dit-on des morts et des blessés, à Ollombo et à Oyo… Dans le fief de Denis Christel ! Les parents mbochis sont maltraités comme les autres.

    60 % de la population congolaise a moins de 20 ans. Ces jeunes ne sont pas traumatisés par la 1ère guerre de Sassou contre sa population. C’est une erreur de calcul et de stratégie grossière !

  2. Bienvenu Mabilemono dit :

    Madame Claudia (Koko) Sassou va-t-elle descendre enfin de son petit nuage et prodiguer le bon conseil à son père

    L’argent facile, l’ivresse du pouvoir et l’aveuglement qui va avec avaient fini par faire perdre définitivement aux Nguesso et leurs Amis tout sens de la réalité.

    Ils croyaient avoir dompté les Congolais pour les avoir sauvagement massacrés en 1998 et 1999.

    Ils croyaient qu’il leur suffirait de brandir la menace de la guerre pour que les Congolais se tiennent à carreau (ils avaient fait de la guerre de 1997, 98 et 99 une assurance-vie pour leur pouvoir).

    Ils croyaient les Congolais tellement traumatisés par les supplices qu’ils leur avaient fait subir en 1998 et 1999 (cf. la guerre du pool, ses milliers de morts et ses 353 disparus du Beach) qu’ils étaient persuadés que plus personne dans ce pays n’oserait se lever contre leur pouvoir (d’où leur fameux slogan « le Congo n’est pas le Burkina », sous-entendu, les Congolais n’oseront pas se lever car ils ont encore en mémoire le souvenir de 1998 et 1999).

    Ils croyaient ainsi avoir assis leur domination sur l’ensemble des Congolais du Nord au Sud.

    Ils se croyaient aimés et adulés au point de se prendre même pour des irremplaçables.
    Bref, ils croyaient avoir domptés les Congolais et conquis le Congo, et se voyaient déjà conserver le pouvoir à vie et de père en fils….

    Et maintenant que la réalité les rattrape et que le vaillant peuple congolais vient de leur faire la démonstration qu’il n’a pas peur et qu’il est INDOMPTABLE, que vont-ils faire à présent ?

    Après ce test qui apparaît aujourd’hui clairement comme un avant-goût et un sévère avertissement du peuple, Nord et Sud confondus, Denis Sassou Nguesso et ses camarades du PCT vont-ils persister dans leur logique d’affrontement avec le peuple ou vont-ils au contraire opter pour la sagesse et renoncer à leur funeste projet de changement de la Constitution contre la volonté du peuple ?

    En tout cas, nous osons espérer qu’après le message d’avertissement que viennent de lui adresser les jeunes du quartier « Mama Mboualé », en saccageant et en incendiant les locaux de sa permanence parlementaire, cette fois au moins, Madame Claudia (Koko) Sassou descendra de son petit nuage et saura prodiguer le bon conseil à son père mais aussi à son petit-frère, Denis Christel, qui se voyait déjà en futur successeur du père.

  3. Isidore AYA de Makoua dit :

    Débat de droit à la vie et de la civilisation

    Un état ou un peuple qui ne punit pas ses criminels barbares (homicides volontaires) ou politiques (haute trahison, assassinats politiques) est un état ou un peuple qui, inéluctablement s’enfonce et s’enfoncera toujours dans le non-droit, la loi du plus fort, l’impunité et dans la dé-civilisation.

    C’est pourquoi et au plus profond de moi-même, je limite pour l’instauration d’une nouvelle administration judiciaire et pénitentiaire indépendante, juste, viable et durable dans le temps.

    OBJECTIFS !
    1- l’instauration d’un état de droit fiable et respecté par le citoyen congolais et la communauté internationale: droit civil, administratif, social, économique, commercial, pénal, pénitencier, etc

    2- l’instauration d’une administration judiciaire et pénitentiaire indépendante: lois, règlements et modalités seront fixés entre pouvoir et contre-pouvoir fiables et optimisés.

    3- l’instauration d’une pénitentiaire indépendante: l’instauration de la peine de mort par pendaison pour les crimes et délits barbares, terrorisme, homicides, rituels sataniques, crimes de masse, crimes contre l’humanité, assassinats politiques, haute trahison.

    La peine de mort sera rétroactive et une 10eme d’établissements pénitentiaires seront construits en moins de deux ans sur l’ensemble du territoire national, ce que le dictateur n’a pas pu faire en 34 ans de sa dictature, c’est logique.

    Les premiers prisonniers seront d’abord tous les criminels ayant agit en toute impunité pendant le régime Sassou Nguesso.
    Au départ, c’est d’abord près de 800 individus susceptibles d’être jugés puis condamnés et dont 125 pourront se retrouver dans les couloirs de la mort par pendaison.

    A terme, c’est à dire dès 2019 à 2025, plus de 7000 citoyens pourraient être emprisonnés pour des peines de réclusion criminelle allant de 10 ans à perpétuité et 300 exécutés par pendaison (la peine de mort pourrait être discutable, mais la perpétuité, non discutable).

    Une partie de cette nouvelle administration pénitentiaire pourrait être sous-traitée par les prestataires extérieurs à l’état congolais et l’état pourraient en bénéficier de leur savoir-faire et de leur expérience pénitentiaire.

    COMMENT LE NOUVEAU UNIVERS CARCÉRAL CONGOLAIS POURRAIT-IL RAPPORTER A LA SOCIÉTÉ, A LA COLLECTIVITÉ ET A L’ÉTAT?

    1- Le nouveau univers carcéral congolais à caractère impunité criminalité zéro au Congo Brazzaville pourrait considérablement réduire le volume dans la population du nombre de criminel post 34 ans de dictature Denis Sassou Nguesso qui sillonnent encore les différents écosystèmes urbains et ruraux du pays.

    2- Plus de justice et de criminels incarcérés pour de nombreuses années – c’est plus de vie et de droit pour le citoyen, de démocratie et de civilisation.

    3- Les criminels incarcérés doivent non seulement réparer leurs crimes envers la société, la collectivité et l’état – mais ils doivent aussi être rentable pour le développement économique du Congo post dictature Denis Sassou Nguesso.

    En effet, le prisonnier quel qu’il soit sera nourrit, soigné et recevra une formation et un savoir-faire.
    En contrepartie, il sera utilisé pour l’intérêt général, c’est à dire servir comme main d’œuvre gratuite pour les travaux d’infrastructures et de grands travaux de construction du pays.

    Ce système de main d’œuvre gratuite sera continuellement amélioré et fonctionnera à plein régime au-cour des 20 prochaines années et plus.
    Mots – clés: études, formation, savoir-faire, métiers, collectivités locales, entreprises, manutention, sous -traitance, infrastructures, BTP, grands travaux, etc…

    Tout le modèle économique et social du nouveau univers carcéral congolais post dictature Denis Sassou Nguesso sera étudié, réglementé et mis en œuvre entre pouvoir et contre-pouvoirs issus de la nouvelle démocratie congolaise.

    Philosophie: le détenu quel qu’il soit (statut social) doit être rentable pour la société et pour tous les secteurs d’activité partenaires de l’univers carcéral du pays. A suivre !

  4. René MAVOUNGOU PAMBOU dit :

    La libération de notre pays de la dictature est imminente et cette autre « génération, celle qui n’est ni couverte de sang, ni mouillée par les larmes des innocents » finira par arriver aux affaires. Mais le plus important est que le changement que les congolais appellent de tous leurs voeux se fasse dans la rupture plutôt que dans la continuité. En effet au regard de la déliquescence sociale, un travail titanesque attend les futures autorités post-alternance. Lesquelles devront, avant toute chose, mettre sur pied, et comme préalable, une politique volontariste de moralisation de la vie publique ou d’assainissement des moeurs politiques. On ne dira jamais assez que le blason de notre pays a été allègrement foulé au pied par des félons et ce beau pays a perdu son âme. en conséquence, il est tombé plus bas que terre! Sans être alarmiste, je dirais que le Congo-Brazzaville va mal, très mal même. J’ai cependant l’intime conviction qu’aucun gouvernement ne pourra prétendre développer un pays dont le tissu social est gravement miné par de redoutables fléaux reconnus par tous comme des antivaleurs. C’est pourquoi il est impératif de soumettre notre société à un traitement choc en vue de leur éradication. Le salut de la patrie est à ce point.

  5. YAKA DIA MAMA ba boya ka té dit :

    Les Diables rouges du Congo étaient champion d’Afrique en 1972 et non 1974.En 1974 c’est les Léopards du Zaire.Merci à vous de corriger cette erreur pour l’histoire de notre pays.

  6. Ce désaveu devrait faire réfléchir la famille sassou ! Comment une famille peut s’approprier de toutes les richesses d’un pays ! Même Chris Bongo Nouarra qui délivre les cartes grise des véhicules est le beau fils de sassou! Le peuple congolais en a marre de la gestion calamiteuse de cette famille ! Cette dernière s’occupe même de la location des chaises jusqu’à la vente du pétrole Brut ! Ces diables doivent quittés le congo sans conditions !!!

  7. MADIELA de l'ISG dit :

    @Bienvenu Mabilemono

    MABILE on sait pourquoi tu t’es retiré des Nguesso — insatisfaction par rapport au poste proposé et le fait que tu aurais été cocufié. Alors tes histoires avec les Nguesso va les régler ailleurs!

  8. Le Juge dit :

    Alors, Louis Bakabadio que dites-vous du soulèvement des jeunes des quartiers nord-sud-est-ouest de Brazzaville contre votre chef petit satan?

    L’autre jour vous nous disiez que si les jeunes se soulevaient contre petit satan à Bacongo il y aura un contre-soulèvement à Talangaï. Où en sommes-nous aujourd’hui?

    Vous les oiseaux de mauvais augure deviez avoir honte. Quelque part je lisais les écrits du fils de son père qui entonnait la même chanson. C’est un trait héréditaire chez les Bakabadio ou quoi? Quant à votre frère maçon que vous voyez à la tête du Congo postdictature du petit Satan, je vous invite à très bien méditer ce qui s’est passé ces derniers jours au Cong car, c’est au karcher que ce pays sera nettoyé de la saleté de votre regime.

    Bravo jeunes congolais. Vous avez montré à petit satan et ses sbires que le Congo est le Burkina. Croyez-moi jeunes congolais, plus rien ne sera comme avant car, avec la démonstration de votre bravoure, la peur a définitivement changé de camp. Debout comme un seul, vous avez déjoué les pronostics de ceux qui vous disez anesthésiés par les 17 ans d’obscurantisme de petit Satan. Vous avez montré au monde entier que vous savez ce que vous voulez et surtout qui est le principal auteur de l’enfer dans lequel vous êtes faute de perspectives d’avenir meilleur.

    Merci d’avoir incendié le local de la fille de petit Satan. Avec cet acte, vous les avez vraiment atteint et surtout montré que vous savez qu’ils sont responsables de votre vécu et avenir peu reluisants. Pire, vous leur avez montré que vous ne les aimez pas comme le reste des congolais qui les ont vomi.

    Tenez bons jeunes du Congo. Votre avenir passera par les actes que vous posez aujourd’hui. Aussi, la lutte doit continuer et surtout ne vous faites voler les fruits de votre lutte contre cette dictature immonde. Les anarcho-profito-situationnalistes sont en embuscade. Dès que l’occasion se présentera ils vous voleront les victoires que vous allez remporter dans les prochains jours contre cette dictature. Aussi, soyez très vigilants.

    Ne vous faites manipulés par ces êtres sans foi ni loi. Battez-vous pour un Congo meilleur où chaque citoyen aura des chances égales pour s’épanouir peu importe ses origines sociales, régionales, etc. Un tel congo a existé. Mais le pct de petit Satan et son fan club ont retiré l’échelle après eux pour que d’autres congolais ne gravissent pas l’échelle sociale. C’est votre droit que de vivre dans la dignité. Alors, jeunes congolais tenez bon. Que les arrestations ne vous découragent pas. Ce sont des intimidations sans lendemain car, leur chute est inéluctable.

  9. TANDOUHAVA dit :

    Oui
    leur chute est inéluctable. Il y a un temps pour tout que ceux qui ont les oreilles entendent et prennent au sérieux cet avertissement.

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