Au moment où le dictateur Sassou-Nguesso s’apprête à se rendre à Cuba, qui, selon nos informations pourrait être sa future terre d’exil, force est de comprendre que les signes de sa chute ne trompent pas.
Interdit de prendre la parole lors du sommet de la francophonie qui vient de s’achever à Dakar, Sassou-Nguesso y a été foncièrement humilié. Son candidat, le « number one » de la traîtrise, Henri Lopès, piètre ambassadeur du Congo à Paris, n’a pu succéder à Abdou Diouf. A ce sujet, un proche du Président François Hollande a déclaré : « … après la révolution burkinabè, un homme du président Sassou ne peut plus prendre la tête de la Francophonie ; ce serait un signal désastreux, confie un membre de la délégation française à Dakar. Bref, la révolution burkinabè a impacté ce sommet de Dakar, et Paris, encore une fois, a imposé son choix…»
Démocrate convaincu, Abdou Diouf n’a pas souhaité que son successeur ait été soutenu par un dictateur. Quel qu’il soit ! D’où le choix de la canadienne Michaelle Jean, à la tête de la francophonie.
L’autre humiliation est venue du président Nigérien, Mahamadou Issoufou, qui s’est adressé clairement en ces termes au dictateur Sassou-Nguesso: « La tendance à la démocratie en Afrique est irrépressible ».
La vraie question qui taraude à présent dans l’inconscient du dictateur Sassou-Nguesso, est celle de tous nos morts, connus ou anonymes.
Quelle que soit sa future terre d’exil, tous nos morts pèsent et pèseront sur sa « conscience ».
Tigre de papier, Sassou-Nguesso quittera le pouvoir de son plein gré. Cerné, ayant perdu le soutien des chancelleries et de ses obédiences, il essaiera, pour ne pas aggraver son cas, de ne pas se faire happer par la C.P.I pour répondre de tous ces crimes commis au Congo.
En remontant dans le temps, les premiers crimes commis par le dictateur Sassou-Nguesso, ont commencé en 1970.
N’ayant aucun respect pour la vie humaine, Sassou-Nguesso avait exhibé les cadavres de Kinganga, Diawara, Ikoko et Oluka. Tous furent enterrés dans une fosse commune au cimetière de la Tsiémé.
Mars 1977 fut qualifié par Sassou-Nguesso, de semaine rouge, en assassinant, avec la complicité des siens qui gardent encore l’omerta (jusqu’à quand?) Marien Ngouabi. Brutal et cynique, Sassou-Nguesso détourne les « soupçons » sur des innocents qu’il élimine méthodiquement. Ce fut le cas de Massamba-Débat, dont les yeux auraient été crevés par un haut officier de l’armée, qui a été aperçu il y a quelques mois à Reims, lors de la veillée et de la levée du corps de sa fille.
Emile Biayenda, Kimbouala-Nkaya, Ontsou, Mbouo, de nombreux militaires et anonymes ont été liquidés. Sassou-Nguesso est alors ministre de la défense, et dirige le Congo du 18 mars au 03 avril 1977.
En 1977 et en 1978, des massacres sont commis dans le nord du pays. A Owando, Obéa, Otendé, Osaké, Iranga(dont le village fut incendié par ses milices et mercenaires).
En 1997(juin-octobre), Sassou-Nguesso a arraché la vie à 30.000 de nos compatriotes.
Herbert Massamba, fut torturé et brûlé vivant par les cobras de Sassou-Nguesso.
A la fin de la guerre annoncée par ses soins, Sassou-Nguesso ordonne dix jours d’épuration ethnique, tribale, physique, et de pillages systématiques des opposants. Il a par la suite ordonné la chasse à courre des cadres politiques des partis adverses jusque dans l’arrière-pays (Pool, Bouenza, Lékoumou, Niari, Kouilou), sur des bases purement ethniques et tribales.
Sur sa lancée criminelle, Sassou-Nguesso et ses complices, ont fait disparaître 353 de nos compatriotes au Beach de Brazzaville. Mis en examen, Dabira est dans ses petits souliers. Ndenguet va en catimini à Monaco.
Le colonel Marcel Touanga et tous les congolais épris de justice de paix espèrent que le dictateur répondra un jour de ses crimes. Afin de permettre à nos morts de reposer en paix, et à ceux qui ont eu la vie sauve de faire leur deuil.
Sassou-Nguesso a reconnu devant son parlement être à la tête d’un Etat irresponsable où la paix et la sécurité ne sont pas préservées, un pays dictatorial, donc partial où les libertés fondamentales ne sont réservées que pour un clan et une famille.
D’ores et déjà, ne faisons pas à Sassou-Nguesso ce qu’on lui reproche. Si la violence est sa marque de fabrique, le pacifisme qui nous caractérise vaincra. Et le contraindra de prendre le chemin de l’exil.
Comme les morts ne sont pas morts, ils nous rejoindront pour nous donner la force de traduire Sassou-Nguesso devant les autorités judiciaires. Ils pèsent sur sa « conscience ».
En espérant qu’il en ait une !
Olivier Mouebara.
Diffusé le 01 décembre 2014, par www.congo-liberty.org
Le régime Sassou Nguesso n’est même plus raisonnable et encore moins conscient de ses actes, de ses habitudes et de son comportement criminel à l’égard du peuple. Et pour cause !
Après avoir volontairement détruit les libertés fondamentales et la condition humaine au Congo Brazzaville et voilà que ce même régime tyrannique se permet désormais de s’attaquer à la résistance congolaise de France et de Paris.
Il s’incruste par des meetings en salle tout azimut du PCT à Paris. Nous disons « NON » à cela.
C’est les raisons pour lesquelles le regain de violence actuel est dans la signification de la liberté et de la dignité d’un peuple contre ses forces du mal ou tyrannique orchestrés par le régime politique congolais.
Oui, la violence politique au Congo appelle la violence digne à l’extérieur du pays.
NON aux meetings PCT ou des représentants PCT en France.
Sinon, la violence sera l’unique expression conduisant le peuple à dessaisir et sans condition, monsieur Denis Sassou Nguesso de décision suprême au Congo ou contre ce que tout le monde qualifie d’actes de sabotage sans procédant des libertés fondamentales et de la condition humaine au Congo……
OUI DANS LA VIE D’UN ROI OU D’UNE REINE IL Y A UN TEMPS POUR TUER, VOLER, MENTIR ET VOLER , MAIS IL YA UN TEMPS POUR PAYER TOUT LE MAL QU’IL OU QU’ELLE PU FAIRE.
DE 1970 à 1997 TOUT LE SANG VERSE UN JOUR SERA PAYE.
JOSEPH LOUBASSOU.
si c’est de cette manière penses-tu aux morts congolais, c’est le l’hypocrisie, un raccourci aux pouvoirs, ne pense pas aussi ce pays nous allons le laisser à des personnes doter de haine et de la culpabilité comme vous; lorsque un congolais (de l’opposition ou de la majorité) manque une opportunité à l’international c’est le pays qui perd, et de toute de façon, la francophonie n’est pas notre absolue.
Seule solution qui lui reste à mon avis, retourner en forêt comme il fût au début de sa vie. Fils de merde, enfant bâtard, président des CONS et à la CON
Sassou a un dossier en béton sur Hollande. Et c’est Sarkozy qui va le lui sortir .
SASSOU NGUESSO ATTAQUE LA LIBRE EXPRESSION FRANCOPHONE !
A quoi sert la francophonie si on ne peut pas francophoner librement et pour cause !
SASSOU NGUESSO A INVESTIT EN 2014 PRES DE 10,000,000 EUROS POUR FOUTRE LE BORDEL DANS LE NUMERIQUE DE L’OPPOSITION EN FRANCE…
Après avoir détruit le site Brazzanews puis acheté le site mwinda et voila que le dacpresse est désormais indisponible.
Oui, les hackers chinois et sud asiatiques embauchés et financé par Denis Sassou Nguesso à travers les pétrodollars congolais travaillent à plein régime.
Bientôt les sites congo-liberty, congopage, MCCD et Zenga MAMBU seront eux aussi indisponibles.
Tous ces faits prouvent que le futur ministre des telecommunications, du numérique post sassou et puis… fera sous ordre du ministre de la justice et de administration pénitentiaire ce quand vous dira pas ici – A suivre !!!
BOUYOYAS SUR JEUNE AFRIQUE
Plusieurs délégations africaines se sont offusquées, dans les coulisses du sommet, de la teneur du discours de François Hollande. Personnellement, qu’en avez-vous pensé ?
Concernant les principes énoncés, je n’ai pas vraiment de critiques à formuler. Mais sur la forme, ce discours m’a surpris. Ni le cadre ni la manière n’était approprié. Ça m’a donné l’impression que ce discours était adressé à une certaine opinion dans son pays, et non pas aux chefs d’État africains. Comme beaucoup, j’ai été surpris par sa manière de faire. De même j’ai été surpris par son interprétation des événements au Burkina Faso. Sans doute ces événements sont-ils arrivés parce qu’il y a eu des manquements, mais il faut se garder de généraliser à l’ensemble du continent. Prétendre que tous ceux qui modifieraient leur Constitution n’ont pas leur place dans l’espace francophone est exagéré. Chaque cas est spécifique.
Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Francophonie | Pierre Buyoya : « Comme beaucoup, j’ai été surpris par la manière de faire de François Hollande » | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
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Si Denis Sassou Nguésso s´est décidé de se foutre en Cuba, qu´il s´en aille le plus vite que possible. Il nous á fait perdu notre précieux temps de jeunesse. Qu´il s´en aille le plus tôt que possible. Nous avons des projets á réalisé pour le bien de chacun de notre nation.
Qu´il s´en aille et qu´il ne reviendra plus faire des coups d´etat qui appauvri notre nation.
Qu´il s´en aille en Cuba le plus vite que possible.
La souveraineté bafouée ,l’afrique martyrisé encore une fois ,mais nous disons Avec force :non.
Le modèle que l’on tente de nous imposer à démontré ses limites en lybie,en Égypte.Modèle r
Le gouvernement cubain pour l’accorder l’exil pour une duree maximale de 6 mois.Apres il devra l’extraditer au Congo ou il sera juge et emprisonne jusqu’a sa mort.Autrement,l’ambassade de Cuba sera brulee a Brazzaville.
Vous faites comme si les gens du nord menacés par vous abandonneront leur leader . Nous savons à quel point vous nous aimez!
Rassurez vous on s’est préparé pour se protéger de vous. On s’aura quoi faire.
A mon frère Monkongo Ndeke,
Point n’est besoin d’avoir peur de vos sœurs et frères du sud. Le peuple Kongo est un peuple pétri d’amour qui puise sa force dans le BUKONGO qui est la matrice de sa culture et sa civilisation. Le peuple Kongo est habité par le KIMUNTU. Donc, rassurez-vous, après la chute du dictateur barbare, criminel et sanguinaire nommé sassou. Les frères du sud ne pourchasseront nullement les gens du nord. A la différence de certains Mbochis, nous sommes nous peuple Kongo très attaché à la vie humaine car elle est sacrée. Mais, toutes les personnes ayant collaboré avec ce régime qui nous a tant fait de mal seront traduites en justice. Ses personnes, on les retrouvent a la fois dans le nord et le sud.
Pour finir, après le départ de sassou. La justice devra être au centre de cette nouvelle république. Elle s’attèlera a juger tout le monde quelque soit son origine ethnique et régionale.
C’est sur le tarmac de l’aéroport José Marti de La Havane que le Boeing, spécialement affrété́ et transportant à son bord le président Denis Sassou-N’Guesso et son épouse, Antoinette a atterri ce lundi, 1er décembre, à 16h05 mn. Le couple présidentiel congolais a été accueilli au bas de la passerelle, par le Vice Ministre des affaires intérieures Lojelio Sierra.Pascal Onguiembi, l’ambassadeur du Congo a Cuba, était aussi présent. Après le mot de bienvenue et la remise des bouquets de fleurs au couple présidentiel par deux jeunes Congolaises, les deux hommes d’Etat ont entamé leurs premiers échanges, une bonne dizaine de minutes durant.
Le séjour du président prévoit, entre autres, la visite du Centre pour le Génie génétique et la Biotechnologie, dès ce mardi, 02 décembre. Ensuite, le président de la République ira à la maison de l’Afrique, où il visitera le vernissage, exposition Kiebe-Kiebe. Cette journée se poursuivra par la cérémonie de dépôt de gerbe sur le monument de José Marti, héros national de la République de Cuba, avant la visite du mémorial José Marti. Le clou de la journée sera marqué par la cérémonie officielle d’accueil et les entretiens en tête à tête entre les deux Chefs d’Etat.
Mercredi, Dénis Sassou N’guesso se rendra à l’université des sciences de l’informatique et à l’institut cubain d’ophtalmologie Ramoneur Pando Ferrer. La rencontre avec la presse cubaine, marquera la fin du séjour de trois jours du Président de la République, qui regagnera Brazzaville le jeudi 04 décembre.
De notre correspondant à La Havane
http://clubsassou2016.com/2014/12/02/a-cuba-denis-sassou-nguesso-a-recu-un-accueil-empreint-de-chaleur/
Pr Tsomambet : » La DGST, une expérience à ne pas revivre »!
Publié par Arsène SEVERIN sur 27 Novembre 2014, 17:20pm
Catégories : #Politique
Tsomambet, Mierassa et Makita-Mbama devant la presse Tsomambet, Mierassa et Makita-Mbama devant la presse
Interpellé par la police et embastillé dans les locaux en pierres de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), le professeur Anaclet Tsomambet, libéré après six jours de détention dit en avoir vu de toutes les couleurs. A tel point qu’il tire cette conclure : « l’expérience de la DGST n’est pas à revivre »!
Ces propos tenus le 27 novembre au cours d’une conférence de presse co-animée à Brazzaville par Clément Mierassa et le professeur Makita-Mbama témoignent des déboires que cet ancien ministre a connus lors de « sa courte » détention à la DGST. « L’endroit est sans foi ni loi, on peut vous y détenir jusqu’à plus de 72h au mépris de la loi. Je ne sais pas si le pays a besoin d’endroits comme ça. La DGST franchement à quoi ça sert », s’est demandé le professeur Tsomambet arrêté le 4 novembre dernier au domicile de l’opposant Mierassa où ils tenaient avec une trentaine de personnes une réunion sur le changement de la constitution et les événements survenus au Burkina Faso.
« J’ai été gardé avec onze personnes dans un réduit, sans moustiquaire, avec trois petits matelas, exposé aux piqures de moustiques. Chaque jour ils nous apportaient un sandwich à la sardine que nous avons d’ailleurs refusé de manger. Heureusement que notre nourriture venait de l’extérieur, de nos parents. Ces pratiques doivent cesser, c’est une humiliation. On ne peut pas traiter les êtres humains dans ces conditions », a dénoncé Tsomambet, ancien recteur de l’Université Marien Ngouabi.
Réclamant la reconnaissant de ces titres, cet universitaire se dit être tombé plus bas qu’il ne l’a jamais rêvé. « Je suis quand même un ancien ministre de ce pays, un Grand officier du mérite congolais, un ancien recteur de l’université Marien Ngouabi, un Grand commandeur de ce pays, un Grand Prix de la recherche scientifique. Pourquoi traiter des cadres comme ça », s’est-il encore interrogé dans sa légendaire voix grisonnante.
N’ayant pu retenir ses larmes, un autre universitaire, le professeur Henri Boukoulou, président du parti des verts du Congo, a raconté dans le plus grand lyrisme son séjour à la DGST. « Je ne savais pas que ces choses-là existaient encore dans notre pays. Nous ne sommes pas de criminels ou de vulgaires voleurs pour être traités ainsi comme au temps du monopartisme. J’ai passé trente ans de ma vie à enseigner les jeunes gens à l’université. Et qu’on me bastonne, me soulève et me jette dans une Bj, franchement que reste-t-il d’un citoyen responsable comme moi? J’ai ensuite passé six jours sans me laver, sans vraiment me coucher », a-t-il témoigné entre des sanglots.
Après leur sortie de la DGST où ils étaient retenus officiellement pour « troubles à l’ordre public » avec certains militants et des étudiants, ces responsables de l’opposition congolaise ont manifesté leur grand étonnement sur les pratiques de détention à la DGST. « La DGST n’est pas le lieu habituel pour garder les gens qui doivent être poursuivis en justice. C’est une structure qui a des pratiques à bannir et à dénoncer. Ces pratiques nous rappellent celles de l’ancienne sécurité d’Etat au temps du mono », a rappelé Clément Mierassa qui a annoncé saisir le juge pour les préjudices subis par ces collègues de l’opposition.
Eric Mampouya devenu sans papiers depuis cette mésaventure au domicile de Clément Mierassa se dit vulnérable « ne sachant pas comment ses régler les notes et réagir aux situations civiques faute de papiers ». Il a raconté lui aussi que lors de sa détention, ils avaient en partage une chaise à trois, deux co-détenus qu’ils ne connaissaient pas, des ressortissants de la province de l’Equateur en RDC, selon lui. « On ne devait faire kaka que deux fois par jour, à 7h et à 19h. On peut se laver, mais sans savon, on mange des sardines. Des endroits qui ne devraient pas exister dans notre pays, des choses absolument à bannir », a-t-il tempêté.
A l’issue de cette conférence de presse, les anciens détenus de la DGST ont réaffirmé leur combat. « C’est le président de la république qui a lancé ce débat, et lui disait qu’il devrait écouter tout le monde avant de demander au peuple de trancher. Pourquoi quand c’est nous, il y a la police qui vient nous attaquer », se plaint Eric Mampouya.
Lors de l’arrestation de ces opposants chez Clément Mierassa, ils ont été dépossédés de leurs biens de valeur, « téléphones et 100.000 francs CFA, carte grise et permis de conduire », pour le professeur Boukoulou, « carte monétique, passeport et téléphones », pour Eric Mampouya, et 150.000 francs CFA pour un étudiant. Les plaintes déposées par les intéressés à la police ont purement et simplement été « rejetées »!
http://severinnews.over-blog.org/2014/11/pr-tsomambet-la-dgst-une-experience-a-ne-pas-revivre.html
Pour ceux qui disent que l’Afrique est bafouée; prouver aux yeux du monde que vous êtes des démocrates, des patriotes, la preuve c’est le régime de Sassou qui passe le temps à traqué les opposants, cas de Mierassa et bien d’autres, depuis qu’il tue ses compatriotes où est la liberté, Sassou c’est un tortionnaire qu’ils abandonnent ces méthodes, pour éviter que la France qui est une démocratie adulte puisse lui donné les leçon.