Il faut avoir un cœur dur, un cœur de pierre, pour laisser vivre ses congénères dans pareilles conditions et pire encore ses compatriotes et frères. On finit par être lassé d’énumérer et de répéter à longueurs d’articles et de colonnes tous les maux dont nous souffrons du fait de la volonté, de la perversité, de la méchanceté et de la soif de pouvoir d’un seul homme ; du pire personnage que dans son histoire ancienne et récente le Congo n’ait jamais connu…. !
Il suffit de parcourir seulement quelques centaines de mètres au-delà de la nouvelle capitale, Oyo, qu’il s’est construite, pour se rendre compte que les habitants de cette partie de la Cuvette n’ont pas un sort beaucoup plus enviable que celui des Congolais des autres régions. D’ailleurs, depuis longtemps, les paysans du coin se sont partagés les troupeaux de bœufs et de moutons du dictateur. Ils n’attendent que le signal de sa chute pour en prendre possession et pour enfin le goûter en méchoui et en brochettes. C’est dire que ce monsieur, s’il hait tant les Congolais, ces derniers, à de très rares exceptions près, le lui rendent bien. Voilà pour les « vivants » !
Il y a quelques semaines, l’autocrate général-instituteur-éleveur d’ovins et de bovins, dans une mascarade forum-attrape-nigauds-internationaux commandée et chèrement payée au couple Attias, avait fêté un lointain anniversaire que nous ignorions pour la plupart d’entre-nous. Une 25ème commémoration sortie de nulle part à la vérité historique plus que douteuse. Pour ce faire, le tyran de l’Alima bénéficie d’une mémoire complaisante qui se plait à créer des évènements fictifs à sa gloire. En contrepartie, il compose avec une amnésie sélective qui gomme méticuleusement toutes ses mésaventures, imbibées du sang de ses innombrables victimes, qui lui vaudraient d’aller s’asseoir à côté de son ami Jean-Pierre Bemba devant le TPI avant d’aller rôtir en enfer, en brochettes comme ses moutons.
Dans cette rubrique du souvenir et du culte, la très catholique fête de la Toussaint s’est hissée grâce à lui au rang de Fête Nationale qui dépasse, par l’importance qu’il lui accorde, le respect que tout à chacun doit accorder à la célébration du 15 août. Certes, ne sont honorés que ses « chers disparus ». Piteusement toute sa Cour, et tous ceux qui pensent jouer un rôle politique, se rendent auprès de lui et de ses morts au cimetière familial d’Edou dans un recueillement hypocrite. Seuls ses trépassés comptent ! Ce-jour là, tous les nôtres, selon lui, ne valent pas le respect de notre présence, où qu’ils reposent! Ces Congolais qui se prêtent à cette cérémonie sont descendus bien bas, plus bas que la terre qui les recouvrira un jour !
Alors, il ne faut pas s’étonner que le 4 mars 2013 aucune cérémonie ne se soit déroulée dans le champ de ruines et de désolation des explosions de l’année précédente à Talangaï et à Mplia. L’infatigable démolisseur de la nation congolaise, des quartiers nord de Brazzaville et de Bacongo n’a pas daigné offrir la moindre couronne de fleurs pour honorer la mémoire des milliers de disparus de cette date tragique et de toutes les autres.
Les Congolais, principalement à cause du génie maléfique d’un seul homme, souffrent et meurent par milliers, par dizaines de milliers. Mais le tyran craint par-dessus tout qu’à force de réveiller les mauvais souvenirs cela attise encore davantage la haine des Congolais à son égard. Ce en quoi il n’a pas totalement tort !
Ceux du 4 Mars 2012 sont morts du fait de son inconscience et de son irresponsabilité. Dans tout autre pays, il aurait été immédiatement démis. De ne pas l’avoir été n’a fait qu’augmenter le mépris qu’il éprouve pour ses concitoyens. Innocentant d’office ses neveux Bouya et Okemba, il s’est empressé de jeter en prison des « désignés coupables », dont une gamine de moins de quinze ans avec son Oncle le Colonel Marcel Ntsourou. Dans cette logique, bien d’autres ont suivi et suivront pareillement.
Le cruel tyran de l’Alima, plutôt que de s’approcher des familles qu’il a jetées dans le deuil et la désolation, préférera une fois encore s’échapper à ce devoir le plus élémentaire de compassion et de soutien. Un autre forum, celui du Forum International sur les peuples autochtones d’Afrique Centrale (FIPAC) le retiendra à Impfondo du 4 au 7 mars. Encore une fois, les victimes du 4 mars ne seront pas honorées en 2014, comme toutes celles du 5 juin 1997 seront passées dans les oubliettes de l’histoire concoctée par Denis Sassou NGuesso et par ses propagandistes. Elles n’ont pas de place dans son inconscience ni dans celles de ses complices. Cependant, il faut croire et espérer que les esprits de ces morts inspireront leurs descendants vivants. Ce pouvoir assassin méritera sa fin ! Voilà pour les « morts » !
Rigobert OSSEBI
diffusé le 03 mars 2014, par www.congo-liberty.org
Si c’était le colonel Marcel Ntsourou responsable des explosions du 4 mars 2012. Pourquoi cet anniversaire n’est pas commemoré au Congo?
L’amnésie de Sassou ne porte pas seulement sur le 4 mars 2012. Il y a aussi le 18 mars 1977 : assassinat de Marien Ngouabi, son frère dont la mère, Mama Mboualé, fut prise à témoin pour honorer à jamais la mémoire. Sassou chiala devant la dépouille du cousin Ngouabi, des larmes de crocodile puisque tout le monde savait que l’homme qui pleurait était aussi celui qui avait tué celui qu’il pleurait.
Au début, Sassou tirait des coups de canon chaque 18 mars pour symboliser la commémoration. Puis, silence radio. Plus rien. Ceux qui avaient encore des doutes sur la culpabilité du chasseur/pêcheur/ cueilleur de l’Alima quant à l’égorgement de Marien Ngouabi sont désormais persuadés que le bonhomme a les mains dégoulinant de sang dans cet historique fratricide.
Comment peut-on être inhumain à ce point ?
SASSOU NGUESSO A TUÉ BEAUCOUP DE NORDISTE AUSSI !
Déjà en mars 1977, après l’assassinat de Marien Ngouabi, plusieurs kouyou contestant sa mort furent jeté vivant dans l’Alima. C’était entre le 20 et 30 mars 1977.
Le 04 mars 2012, les armes et munitions de guerre tuèrent de 1500 nordistes habitant le quartier de Mpila (le fief du régime) et sans oublier plusieurs disparus, 15 000 sans abris.
SASSOU NGUESSO A TUÉ BEAUCOUP DE NORDISTE AUSSI !
En novembre 2013, l’affaire Tsourou et sassou Nguesso assassinat encore des nordistes. On compte près de 80 morts.
Plusieurs nordistes opposants ou contestataires à son régime furent assassinés dont les célèbres Pierre Anga, Xavier Katali, Marien Ngouabi père (1977) et fils (1991), etc
En résumé Sassou Nguesso a assassiné en statistiques: 3500 nordistes et 2400 sudistes (le cardinal Émile Biayenda, l’ex président honorable Massamba Debat, Franklin Boukaka et plein d’autres morts politiques du cynisme et sanguinaire l’homme d’Edou).
Du nord au Sud, nous devons tous être unis et lutter contre les serviteurs du régime. Ces serviteurs sont du nord comme du sud, de l’est et de l’ouest.
Sassou Nguesso est le danger commun à tous.
Nous devons donc utiliser tous les moyens humains afin que ce diable soit mis hors d’état de nuire à tout un peuple.
Le reste viendra quand il sera dans les mains et la justice du peuple souverain.
DEBOUT PEUPLE CONGOLAIS !
MA RÉFLEXION DU JOUR !
Je ne peux pas comprendre des grands adultes congolais se contentent de dire OUI, OUI, AH OUI D’ACCORD…
Vous aurez l’électricité tous les 15 jours, oui, oui, on est content.
Vous aurez l’eau potable dans un mois, oui, oui, on est content.
Dire OUI comme ça, acquiescer à tout, cela ne peut advenir que de personnes sous oppression.
C’est comme dans une famille où il y a un père violent qui fait peur à tout le monde, exerce des pressions psychologiques, menace physiquement avec des passages à l’acte, opprime économiquement et administrativement – les membres de la famille n’ont qu’à dire OUI OUI, et à essayer en cachette d’avoir un peu de vie ou plutôt de survivre.
Il s’agit d’une aliénation collective et l’individu n’a plus de réflexion a moins que quelqu’un vienne un jour lui demander comment ça se passe avec ton dictateur?
En conclusion: les dictateurs ne construisent jamais les sociétés bien au contraire.
Et pour cause, dans 97% de cas, les dictateurs apportent le chaos. Par ailleurs, tous ceux qui travaillent ou soutiennent les dictateurs ont besoin de les protéger pour aussi éviter le chaos.
MAIS LE CHAOS EST DU COTÉ DU PEUPLE OU DU DICTATEUR?
A SUIVRE !
Kennedy disait : arrêtez de dire pourquoi mais dites pourquoi pas ?
C’est ce que les habitants de Kiev ont fait.
Pour ce qui concerne l’affaire du 4 mars, je comprends qu’il soit difficile de commémorer un événement dont on est responsable.
J’ai défendu le colonel pendant 18 mois et je pense être bien placé pour dire au peuple congolais
que l’incurie du gouvernement est la seule cause de ce drame.
Le 16 décembre des dizaines de personnes ont été tuées et actuellement autant pourrissent en
prison sans pouvoir voir un avocat.
Tout va très bien à Brazza … Dormez-bien .
TROP GRAVE TROP GRAVE TELLEMENT MORIBOND CE MAKIAVEL A LA TETE DU CONGO PEUPLE JUSKA PLESBICITER LES MELODRAMES Z AUX SUJETS DE NOTRE CHAIR BOUKANEE SANS VERGOGNE MAIS C EST QUOI CE OUF DE SASSOU IL EST DIJONCTE SANS PUDEUR C EST DEGEULASSE :
http://www.voiceofcongo.net/werrason-jb-mpiana-tshala-muana-roga-wata-junior-mvula-zara-nzete-chantent-pour-le-4-mars-de-brazzaville :
PREUVE TANGIBLE DE TOUTE LA CLIC Z LISTED WANTED DESORMAIS LES CHASSEURS DE PRIME S Y FRONTERONS LES MAINS REVENGE DU SANG PAR LE SANG SANS MERCI EZEKIEL 30 v11 …ILS TIRERONT L EPEE CONTRE L EGYPTE ET REMPLIRONT LE PAYS DE MORTS…IL N Y AURA PLUS DE PRINCE DU PAYS D EGYPTE…LES BRAS DE PHARAON TOMBERONT ET ILS SAURONT QUE JE SUIS L ETERNEL.