Dans le fonctionnement de toute république, il faut reconnaître le rôle fonctionnel ou opératif que joue la triple motrice que constitue l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Toute entrave au fonctionnement de l’un d’entre ces trois organes, entraine inéluctablement une catastrophe ou l’arrêt pour ne pas dire l’agonie ou la mort de l’appareillage républicain. Au regard de la réalité politique et sociale explosive du moment, n’est-ce pas l’occasion de nous arrêter devant ce corps malade pour poser un ultime diagnostic à partir de la seule question qui vaille. Et si c’était l’exécutif ou le cerveau, le législatif et le judiciaire donc le cœur de la république qui demandent à être sauvés ?
Comprendre les maux dont souffrent le Congo, nous fait le devoir de nous intéresser au cadre de son organisation politique et par là-même à l’état de ses organes de fonctionnement, d’opérationnalité et de vitalité. Et ce, parallèlement aux dispositifs vitaux du corps humain. Car l’Homme est par excellence le miroir dans lequel tout cherchant ou tout sachant doit pouvoir trouver le reflet de toute chose. Il va s’en dire de facto que la république ne peut échapper à cette évidence. Toute comparaison n’est pas raison diront mes détracteurs. Toutefois, je soutiens qu’il y a des comparaisons qui portent en leur sein de vraies leçons parce qu’elles sont à la fois, la preuve par la raison et la raison de la preuve. À toutes fins utiles et pour faire court, chez l’homme, dès lors que le cœur cesse de battre et que le cerveau fonctionne, les experts en santé déclarent une mort clinique. À l’inverse, lorsque le cerveau cesse de fonctionner et que le cœur continu de battre, il s’agit de mort cérébrale. Dans le premier cas, tout espoir d’un retour à la vie est possible. Tandis que dans le deuxième cas, la mort est dite irréversible. De ces deux cas en présence, c’est sûrement le premier qui se rapproche de la dysplasie sévère du couple « législatif-Judiciaire » au Congo Brazzaville.
Concrètement, les institutions de la république du Congo sont décapitées et réduites à de simples chambres d’échos des caprices du tyran, l’homme de l’Alima, assoiffé de larmes et de sang des Congolais. En réalité, au Congo Brazzaville, l’exécutif est représenté par celui qui s’est autoproclamé chef de l’état. Le législatif et le judiciaire ne sont que des coquilles vides, des postiches pour se faire une moustache à la Staline ou Adolphe Hitler. L’Assemblée Nationale et le Sénat ne sont plus que de magmas d’opportunistes, d’affairistes et de mafieux en intelligence ou complicité avec l’homme de l’Alima. Les députés et les sénateurs ayant mis entre parenthèse leur rôle respectif de légataires des populations Congolaises. Dès lors, plus rien n’est comme avant et malheureusement, les conséquences sont désastreuses.
Notons que sous la tutelle de l’homme de l’Alima, le ministère de la justice ne fait plus respecter la loi et ne fait plus dire le droit. Il en est de même pour l’armée qui ne protège plus les populations mais les traques aux ordres du même homme. C’est le cas de l’école qui n’instruit plus mais instrumentalise la jeunesse à des fins de propagandes idéologiques. C’est aussi le cas du système de Santé qui n’intègre plus les services de soins de qualité mais des actes à des fins lucratives, les médias publics ne sont pas épargnés par cette gangrène. Métastasé, sclérosé et atteint de dysplasie sévère, le couple législatif-judiciaire ou le cœur de la république n’est plus en état de marche. Quant à l’exécutif symbolisé par le cerveau, il est sciemment coupé du couple législatif-judiciaire transformé en marchepied.
En conséquence, l’homme de l’Alima qui incarne l’exécutif se voit initier et instruire de manière unilatérale des crimes économiques, crimes de sang à l’exemple de ceux liés aux bombardements dans le Pool. Sans oublier tous les précédents forfaits imprescriptibles et bien connus que nous ne cessons de dénoncer : les assassinats du président Marien NGOUABI, du Cardinal Emile BIAYENDE, du président Alphonse MASSAMBA-DEBAT, les disparus du Beach, etc. La liste n’est pas exhaustive. En érigeant sa stratégie politique de gouvernance sur la base du tout sécuritaire, de la terreur et de la violence militaire, on peut en déduire que c’est un cerveau désolidarisé du cœur qui manœuvre depuis. Et dans ce cas, toutes les incohérences, les perversions et les non-sens sont permis ainsi que les choix criminogènes qui en résultent. Dans ces conditions, comment ne pas constater la mort clinique de la république au Congo ?
La république au Congo est dans une situation de mort clinique. En effet depuis trois décennies et plus, un homme et un seul homme s’acharne à défaire et à travestir les acquis de la république à travers ses institutions. Les amputant au jour le jour de leurs fonctions vitales et de leurs vocations régaliennes respectives. Le cadre de l’organisation politique et sociale autrefois fondé sur une architecture pyramidale de forme triangulaire avec le sommet pointant vers le haut ou le ciel se retrouve inversé. Avec l’homme de l’Alima, le sommet du triangle pointe vers le bas ou la terre. Toute chose qui montre la volonté de cet homme de s’affranchir des Us et Coutumes de la démocratie et des sociétés civilisées. Toute chose qui démontre l’incapacité de l’homme de l’Alima à s’arrimer aux hautes valeurs morales de l’humanité. Ce qui n’est pas sans conséquences sur le bon fonctionnement des institutions de la République, incarnées par d’ordinaire par l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Il faut s’y faire nous dit-on du côté de Mpila et des bords de l’Alima.
Mais que faut-il entendre par cette inversion de figure ou cette autre configuration du cadre de l’organisation du pouvoir politique dans la gouvernance au Congo ? Rien d’autre, sinon que désormais le pouvoir vient d’un homme et d’un seul homme et non du peuple. C’est, cet homme qui détient désormais les pouvoirs de faire et de défaire les princes, les rois, les prophètes, les anges et les démons. C’est lui qui détient désormais le droit de vie ou de mort sur les Congolais. Nul est besoin d’en faire la démonstration. Les bombardements dans le Pool, au motif de rechercher un soi-disant fugitif, les intimidations des populations, les arrestations des leaders des partis politiques, le musèlement de l’opposition et la confiscation des libertés pourtant source des énergies créatrices des richesses sont la marque indélébile de l’exécutif de sa « Nouvelle république ».
Pour ceux qui ne le sauraient pas, le Congo offre un spectacle des plus ignobles ou les antivaleurs culminent des sommets insoupçonnés, franchissables par les seuls voyous, malfrats de tous ordres, délinquants séniles, riches et nouveaux riches en intelligence avec le SASSOULAND. Un spectacle savamment ordonnancé par l’homme de l’Alima qui se prend pour le très haut, le DIEU vivant des Congolais. Le tout, sur fond d’un système fondé sur l’achat des consciences, le saupoudrage, le clientélisme, l’iniquité, l’impunité, la prostitution et la corruption. À en croire les seuls vrais chemins que l’homme de l’Alima aient trouvé de mieux à proposer au peuple du Congo. Hélas, cette conception de la politique n’honore ni son concepteur ni ses affidés et adeptes très nombreux dans les partis politiques de tous les bords confondus (opposition ou pas). Et curieusement, très nombreux aussi dans les églises (toutes obédiences chrétiennes sans exception), dans les mosquées et dans les temples maçonniques au Congo. Ces marqueurs de l’étroitesse du champ de l’esprit du concepteur de ce système politique avilissant et rétrograde démontrent à suffisance le degré inquiétant de dégénérescence des capacités cognitives de l’homme de l’Alima à créer un cadre favorable à la culture de bonnes mœurs pour la construction du VIVRE ENSEMBLE suggéré dans la devise du Congo : UNITE -TRAVAIL-PROGRES.
Aujourd’hui, toutes les générations confondues dénoncent énergiquement l’indifférence, le cynisme, le sadisme et la cruauté avec lesquels le consortium des politiciens Congolais assassine délibérément le pays au point de le clouer dans une logique de guerre multiforme et permanente qui, par ailleurs est devenu un fonds de commerce pour l’exécutif et une source de revenus pour d’autres à mesure que dure le contentieux socio-politique ou post électoral. Curieusement dans ce chao contextuel et conjoncturel, les marchands d’illusion se font de plus en plus nombreux. Les uns appelant l’homme de l’Alima au dialogue, pourtant plus que jamais assoiffé de sang et de larmes des Congolais. Les autres organisant ici et là des conventions de vaincus et d’autres encore appelant aux états généraux, comme s’ils ignoraient les prétentions macabres de l’homme de l’Alima qui n’a cessé d’orchestrer des génocides successifs dans le pays. L’homme de l’Alima a suffisamment prouvé que le dialogue n’était pas une corde pour sa guitare.
Et pour ceux qui feignent de l’ignorer et qui persistent dans l’art de divertir le peuple : la dictature, la barbarie et la tyrannie ne sont pas des terrains propices au dialogue. Le temps du dialogue, des états généraux et autres est à venir. Certes, notre pays a besoin de réaffirmer son unité, mais pas à n’importe quel prix. Nous devons d’abord nous assurer que le loup est mis hors de la bergerie. Et ensuite rassurer tous les Congolais du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest que la place de la République est rouverte à l’ensemble des Congolais. Et, ce n’est qu’après avoir fait constater que la grande église, la grande mosquée ou le grand temple symbolique (le Congo) est à couvert, que les Congolais pourront aisément convoquer le dialogue, les états généraux ou autres concertations fraternelles selon les formes convenues. Donc, pas de dialogue avant que le l’homme de l’Alima n’ait rendu à César ce qui appartient à César : la victoire du peuple Congolais.
À l’instar de tout ce qui précède, il convient de dire que ce vocable de dialogue d’avant l’heure sonne la trahison, la duperie et la capitulation. Le peuple Congolais ne réclame qu’une chose et une seule. Mettre fin à un holdup électoral de mauvaise augure, perpétré par le loup de l’Alima qui sévit actuellement dans le Pool et qui n’hésitera pas d’étendre son génocide dans les autres régions du sud. La dignité doit être le maître mot, même en politique. Il y a des fondamentaux que l’on n’enseigne plus. Le seul traitement qui s’impose à un voleur, c’est la sanction conformément à la règle. On ne dialogue pas avec un criminel doublé de voleur. Même dans les enfers, Lucifer ne peut soutenir le vote sur l’impunité en l’espèce.
Des ténèbres où nous sommes plongés par le loup de l’Alima à la lumière que nous espérons atteindre, le chemin devient trop long pour le peuple Congolais. Depuis la « Nouvelle espérance » en passant par le « Chemin d’avenir » pour déboucher avec bégaiement à la « Nouvelle République » dont le premier acte se traduit par la guerre contre les populations du Pool. Un génocide prémédité et infligé à son propre peuple. Et dire qu’il faut dialoguer avec un bourreau d’une telle cruauté. Il y a anguille sous roche.
Avant que le loup de l’Alima ne crève de sa propre rage, à force de se mordre sa queue, le peuple Congolais refuse de tourner en rond et de voir son pays disparaitre du concert des nations civilisées. Incontestablement, la république au Congo est dans la situation de mort clinique. Il est encore temps de le remettre sur de bons pieds. Des solutions existent : la réanimation ou la transplantation. Vous l’aurez compris. Faut-t-il faire avec les mêmes ou rénover la classe politique congolaise ? Dans tous les cas, il n’est ni trop tôt ni trop tard.
Au vu de l’émiettement, de la fragilité, de l’inconstance et de l’inconsistance de certains membres de l’opposition intérieure, les forces militantes de la diaspora doivent s’orienter vers la construction d’un cadre politique et d’actions avec les prérogatifs d’un gouvernement ayant pour colonne vertébrale, un projet pour le Congo. Et avec lui, dès maintenant le devoir impératif de créer les conditions d’organisation et de supervision du financement des forces vives Congolaises de l’étranger, d’inventer un nouveau schéma organisationnel du pouvoir politique incluant les chefferies (pouvoir traditionnel), de redessiner les bases et les objectifs de l’économie du Congo de demain, libérée du tout endettement avec des alternatives de fonds propres, etc.
Etait-ce donc une erreur ou une faute collective que d’avoir hissé à la magistrature suprême un homme qui a n’en point douter entretenait un plan machiavélique et pervers contre le peuple Congolais et par conséquent contre son propre pays ? Que puisse les universités et les laboratoires des savoirs se saisir de la question pour nous éviter à l’avenir de telles banqueroutes.
Enfin, il ne nous a pas échappé tout le long de cette coulée d’encre, la mise en lumière du vrai mal qui mine la république du Congo. Il est urgent d’y remédier si nous voulons sortir définitivement du cercle vicieux de la violence politique. Au-delà des institutions de la république du Congo qui sont profondément altérées, il y a un intrus qui est le vrai mal du Congo. Ne le cherchez pas ailleurs : c’est l’Homme Congolais lui-même qui reste une construction inachevée. Dès lors, l’achèvement de cette construction devient la tâche de chacun pour chacun.
Ma foi en l’unité des Congolais du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest de notre pays, reste intacte et impose de considérer l’ensemble du personnel politique congolais, et au-delà, tant ceux de l’opposition que ceux de la minorité présidentielle, dans un ensemble fraternel dans lequel je m’inscris volontier. Fort de cet élan non moins spirituel et spiritualiste, c’est donc avec le verbe franc que je partage mon indignation avec les nombreux indignés marqués du sceau « Congolais » ou qu’ils se trouvent de partout dans le monde. La fraternité étant un élan dynamique de l’esprit dans lequel prospère toutes les vitalités d’humanisme chargées de vérité, de transparence, de rigueur et d’amour envers autrui en l’occurrence ses frères. Osons la fraternité pour le Congo en particulier et pour l’humanité en générale !
Sous l’auspice de la fraternité, je nous invite à faire preuve de bon sens en laissant jaillir du fond de nos tripes, tout l’amour que nous portons pour ce pays, afin qu’il soit mis un terme à l’esprit d’animosité mortifère et discriminant qui a cours au Congo Brazzaville par la seule volonté de désir de puissance d’un homme, de surcroit exsangue de probité, de légitimité et de fraternité.
Que vive le Congo, la terre que nous avons tous hérité de nos ancêtres !
Bernardin DILOU
Diffusé le 10 novembre 2016, www.congo-liberty.org
Moi y’en a pas comprendre l’intérêt de cet article. Rien de nouveau sous le soleil.
La nouveauté est de constater que Sassou a avoué publiquement ne pas pardonner le pool de son refus de voter pour lui. Aujourd’hui il fait donc la guerre. Guerre qui s’arrêtera selon lui une fois que » les populations du pool, les dirigeants politiques se mettront derrière Le president pour neutraliser Ntumi ». Autrement dit, soit vous me livrez Ntumi et vous aurez la paix sinon c’est tant pis pour vous.
POURQUOI LE MONDE ENTIER LIBRE TREMBLE T-IL DEVANT LE TYRAN SASSOU NGUESSO DU CONGO BRAZZAVILLE?
L’ENNEMI DE L’HOMME C’EST D’ABORD L’HOMME – L’ENNEMI DE TA RACE C’EST D’ABORD TA PROPRE RACE – L’ENNEMI DE NOTRE EXISTENCE SUR CETTE TERRE DES CONS ET D’IMBÉCILES C’EST L’HUMAIN D’ABORD NOS CONNERIES ET PUIS…
Trop de corruption tue la corruption et le monde des affaires sur différentes échelles d’un marché soutenable: créer les conditions d’un vrai marché de matières premières, de services et de business dans le bassin du Congo revient à protéger d’abord la biodiversité faunistique et floristique du continent noir – et sans oublié cette géo-diversité de minerais et métaux rares – conditions associées à l’échelle du continent noir, aux enjeux de notre existence humaine partout dans le monde.
Protéger cet écosystème, c’est avant tout respecter la volonté électorale des peuples de ce bassin riche en biodiversité et en géo-diversité majeurs et protéger l’existence anthropologique et naturelle de tous les êtres humains dans le monde.
L’impact des agissements de l’homme sur la nature, des puisements à l’infini qui mène à l’épuisement des ressources et au dérèglement du climat, de la chaine alimentaire…est déjà visible et a des répercussions sur la santé de l’homme, sur son cadre de vie, sur son bien-être physique et moral.
Repenser le monde de demain est sans cesse ré ajustable avec la prise de conscience de nouveaux désastres, disparition du monde d’espèces animales, florales …et enfin les minerais, les métaux rares… Le sassou Nguesso contrôle t-il la France de A à Z ? Explication: https://www.youtube.com/watch?v=C5LqbQy6scE
LA DIASPORA DOIT LANCER UN ULTIMATUM SOLENNEL A TOUS LES CADRES DU POOL DE DEMISSIONNER DE TOUTES LES INSTITUTIONS SASSOU-NGUESSO SOUS PEINE DE BANNISSEMENT TOTAL PAR TOUS LES RESSORTISSANTS DU POOL.
DES MILLIERS DE GENS MEURENT DANS LE POOL, ET TOUT HOMME DU POOL DOIT SE DESOLIDARISER DE TOUS CES CRIMES CONTRE L’HUMANITE.
ASSEZ TOURNER AUTOUR DU POT. QUE CHACUN CHOISISSE SON CAMP ET LE DISE OUVERTEMENT.
LE PEUPLE SOUFFRANT APPRECIERA.
FINI LES BLA BLA.
TROP DE TEMPS PERDU…. TROP DE MORTS…
Pourquoi au Congo Brazzaville La médiocrité à pris la place du bon sens? Alors que tous congolais honnêtes doivent désavouer la légitimité de Sassou ! Le type qui se décape la peau que j’ai vu hier à la télé est un fou furieux !!!
@bantou Bâ Kongo
L’appel doit aller au dela des cadres du Pool. Mokoko, Tsaty, Okombi, Munari n’ont ils pas été voté au pool?
Pourquoi leur silence?
Sassou explique qu’il a organisé des fetes dans Le pool mais ne comprend pas que Le pool n’ait pas voté pour lui. Voila le drame du pool.
Le propos de Sassou montre que la nation congolaise n’existe pas parce qu’il en fait un probleme où seuls les dirigeants politiques du Pool, les populations du pool doivent trouvent la solution.
Depuis 1 mois toute la presse économique africaine a titré sur la débâcle ECAIR à partir d’un arrêt de vols.
Ce débâcle a un visage MME MOUSSA, mais le vrai responsable est sans doute JEAN LOUIS OSSO. le sage chinois CONFICUIS aimait dire que la victoire a plusieurs pères, mais la défaite est orpheline.
La cohorte d’OSSO introduite auprès de SASSOU, ainsi qu’un réseau maçonnique merdique et incompétent tissé dans le transport aérien sous l’égide de BOUYA qui aujourd’hui s’attaque aux ZONES ÉCONOMIQUES qui ont pourtant un titulaire officiel de niveau ministériel montre le niveau de cupidité insouciante d’un clan sans gène.
INCROYABLE! QUE DIT MOUAMBA?
En AFRIQUE DE L’OUEST, on prend au moins la peine de corrompre les ministres de l’ASECNA, Au Congo on les humilie!
a Anonyme
Je suis d’accord avec toi.
Mais que les leaders du Pool commencent. Et les autres suivront.
Quand ta maison brûle, tu ne te croises pas les bras pour que les autres éteignent l’incendie à ta place. Tu dois toi même montrer l’exemple et être en première ligne.
Cela peut se traduire par : « Aide toi, le ciel t’aidera ».
En bref ! Si tu veux être aidé, commence par t’aider toi même.
Si deux, trois ou quatre dirigeants du Pool démissionnent, vous verrez que beaucoup d’autres de toutes les régions vont les imiter.
Mais dans la situation actuelle du Pool, ceux qui ont l’exemple à montrer et le plus d’intérêt à agir, sont d’abord les élus ORIGINAIRES du Pool dont les parents sont victimes des bombardements.
Dire cela ne revient pas à dire que seuls les dirigeants du Pool doivent résoudre les problèmes du Pool, mais que ce sont eux qui doivent lancer les hostilités avant que les autres ne viennent en renfort.
Ce serait un non sens aujourd’hui qu’un dirigeant du Kouilou, du Niari ou de la Lékoumou démissionne puisque n’ayant pas en première instance subi un dommage dans sa région, sa famille ou ses administrés.
J’espère que je me suis bien fait comprendre et ne pas être accusé de séparationniste.
Ne vous trompez de l’image de Trump, il beaucoup d’argent il devenu président de USA pas pour s’enrichir mais remettre l’Amérique a sa place.
LES FRANÇAIS SONT PLUS DANGEREUX QUE CE T’HOMME (LA PREUVE EN EST LE POOL SE VIDE SA POPULATION, SASSOU LE TERRORISTE FRANÇAIS RECRUTENT LES MERCENAIRES POUR TUER VIOLER, BRULER LES VILLAGES DES CONGOLAIS SOUS LES ORDRES DE LA France).
LES BONNES NOUVELLES SONT DIFFICILES EN ÉTANT EN FACE DE LA France ON PERT ESPOIR.
L’OBJECTIF DE TRUMP C’EST DE RECONSTRUIRE L’AMÉRIQUE (LE MONDE DE DONNER ET RECEVOIR). IL EST GRAND TEMPS D’ARRÊTER TOUTE NÉGOCIATIONS AVEC LA France POUR LE PROBLÈME DES CONTENTIEUX ÉLECTORAUX, LA France NE CHANGE PAS LA France NE NÉGOCIE PAS DEPUIS 1998 SASSOU LE TERRORISTE FRANÇAIS CONTINUE SON CHEMIN. AVEC LA France NOUS N’AURONS RIEN.
IL EST TEMPS DE SE TOURNER VERS L’AMÉRIQUE VERS TRUMP PAS OBAMA CAR IL N’A RIEN FAIT POUR L’AFRIQUE. AVEC TRUMP NOUS AVONS LA POSSIBILITÉ DE CHASSER LA France DU CONGO.
Merci pour l’équipe qui a commence les approches avec l’Amérique, surtout ne pas associe un français dans nos démarches. Les choses viennent de changer avec Trump (avec Trump c’est l’Amérique qui compte. Nous avons quelque chose a donné a l’Amérique et l’Amérique pensera a nous)
C’EST MAINTENANT AVANT QUE LES FRANÇAIS NE PUISSE FERMER CETTE PORTE, ILS VONT TOUT DIRE SUR TRUMP ALORS QUI TREMBLENT DE SA PRÉSENCE, ILS LE SAVENT QUE LE MONDE VIENT DE CHANGER.
Nous étions une dizaine de frères et sœurs en train de regarder le discours de sassou, toujours insipide, quand un frère sénégalais s’exclama: « mais le monsieur se décape la peau, ohh, à son âge !! ».
Nous n’avions pas pu attendre la fin de son discours, abordant la question du Pool; vraiment décousu, haineux, cynique, méchant. Comment un tel monsieur, qui devait conseiller, rassembler, unir, peut il débiter de telles insanités, quand bien même, en son for intérieur, il sait qu’il n’a obtenu que 8%. Il a donné l’impression de quelqu’un qui voulait paraître beau, fort et en bonne santé, c’est tout le contraire qui est apparu, plutôt un homme pâle, drogué pour les besoins de la cause, un homme qui a une peur bleue de la perte du pouvoir. Il avait tout l’air d’un homme totalement désemparé.
« Est ce que cet homme qui rétrograde l’Afrique a vu Nelson Mandela ? » a souligné un frère tanzanien.
Personnellement, j’ai lu en cette sortie de sassou, une fin de règne, je pense qu’on le lui a déjà dit.
Wait and see….
Selon Sassou Nguesso, il y avait la fête dans le Pool à son passage dans les villages et villes de ce département en proie à des violences armées. Il a même voulu tourner en dérision la crise político -militaire dans ce département en la qualifiant de » banditisme ». En tout cela, je voudrais vous faire une reflexión sur deux petites choses importantes. Je ne comprends pas qu’on nous parle de simple banditisme lorsque pour l’éradiquer on utilice les armes Lourdes comme les chars et les helicoptères de combat qui pulversent les bombes et obus de façon indiscriminée sur les populations civiles. Ces mêmes moyens hier furent employés dans la guerre du pool ou beaucoup de nos compatriotas ont perdu leur vie arrachée par les bombes sassou nguessoniques. Par ailleurs, Je crois que Sassou Nguesso, l’illégitime président du Congo reconnait son illégitimité lorsqu’il appelle les politiques poolois et leurs militants de l’appuyer pour isoler les rebelles conduits par Ntoumi. Pourtant cette même population s’est prononcée contre sa reélection par le vote de mars dernier, pourquoi l’inviter encore fort honteusement et de cette manière obscène a y serrer les rang pour isoler Ntoumi. En fait pour lire entre les lignes sassou nguesso en malle de legitimité dans le pays tend de nouveau la main à Parfait Kolelas, pour qu’il organise ses militants et rentrent de nouveau dans les rangs. Kolelas Parfait fils egaré tel un enfant prodrige de la Bible est de nouveau rappeler par le Père Sassou Nguesso à qui Bernard Kolelas peu avant de mourrir à confier sa famille pour boire et manger à la table de mpila. Que Kolelas Parfait le pensé bien mille fois, avant de repartir chez Sassou Nguesso. Il doit d’abord réflechir à très haute voix et y penser sérieusement si c’est possible la conversión d’un criminel multirécidiviste du genre Sassou Nguesso qui n’a jamais cessé d’utililiser depuis presque quatre decennies les mêmes methodes qui lui ont permis d’assassiner Marien Ngouabi, Emile Biayenda, Alphonse Massamba Debat etc. Si Kolelas repartait chez Sassou Nguesso, c’est que sa mort est proche. Sassou Nguesso ne le laissera pas vivant les années qui suivront. Il utilisera les gens de sa propre famille politique ou biologique pour écourter sa vie comme il a fait à de nombreux compatriotas dans notre pays. Voilà un peu ma petite reflexión que je voudrais soumettre à votre appréciation
L’ÉQUIPE DES USA DOIT ADRESSER UNE LETTRE DE FÉLICITIONS CLAIRE AU PRÉSIDENT TRUMP.
AVEC TRUMP L’AMÉRIQUE D’ABORD. IL COMPTE CHANGER LES RELATIONS DE L’OTAN (QUI PERMETTENT LES FRANÇAIS DE SEMER LE DÉSORDRES AU CONGO).
APRÈS LA LETTRE DE FÉLICITATION, LUI SOUMETTRE UN DOSSIER CLAIRE AVEC TOUS LES PROJETS.
OUBLIER LA France
OUBLIER LA France
OUBLIER LA FRANCE
LES MBOCHIS CBM (Cupides Betes et Méchants) décrits par PONEL compagnon de DE BRAZZA claquent 700 MILLIARDS pour une dette de 1 Milliard et demie de FCFA!!!
C’est ainsi que prend fin les reves de décollage du secteur des transports aériens au Congo à cause de pouilleux petit MBOCHIS nommé OSSO sans back gound significatif dans l’aéronautique.
AH! DENIS s’il te reste encore un peu de dignité Ne faites pas ca! car c’est la disparition certaine d’un petit joyau de 700 milliards pour une dette de 1 Milliard et demie de FCFA!
Virez OSSO, car souvenez vous c’est lui qui a fait rentrer ces petits WESTAF jusqu’à vous sans discernement!
La RAM ne peut assurer aucun avenir à ECAIR car leus destinations ne sont pas complémentaires mais concurrentielles pour l’essentiel…. OSSO a trop peur maintenant pour vous le dire alors ne l’écoutez plus!!!!
Sassou veut distraire les gens. Il a été humilié par le peuple congolais qui désire une alternance. Delà, sa sympathie pour l’OPPOSITION.
Pour déjouer les réclamations du peuple, il invente la chasse de NTUMI. Un citoyen qui réfute la victoire volée au peuple. Quant Sassou, vous avez un minable mec qui s’exprime comme un enfant, incapable de comprendre le mot crise. Il y a crise et désordre au POOL et dans la Bouenza. Mais il ne peut la voir. Il est creux !
Tout le Sud a voté contre le putschiste Sassou. Pourquoi NTUMI? Parce qu’il a refusé de vive voix, à l’image des patriotes libres, de reconnaître la « victoire » du despote de Mpila. Il ne reconnaît pas ce minable imposteur récidiviste.
La traque de NTUMI est donc une dérobade. Sassou est un malhonnête brisé et honteux. Il vit et fonctionne tel un putschiste en sursis qui sait le traitement terrible que le peuple lui réserve.
Sassou, le peuple aura ta peau !
La traque de NTUMI est une diversion politico- criminelle de ce voyou sorti d’OYOBEEK .Les problèmes du CONGO ne se résument pas à l’arrestation de NTUMI car la saignée dans les caisses de l’ETAT , ne l’en rend pas responsable .
IL n’est nullement responsable du bricolage honteux de l’ancienne constitution .En définitive NTUMI est comme tout citoyen congolais , privé des fruits issus d’une véritable démocratie .Notre pays ne peut être accroché à la respiration d’un homme , qui n’a rien de supérieur aux autres congolais .La fabrication icônique de cet homme par SASSOU est un aveu d’échec , de la conduite des affaires de notre pays .
C’est encore NTUMI qui a fait couler ECAIR ;
QUE SASSOU arrête de nous berner sur le cas NTUMI dont il avait fait un délégué des ninjas et nous débiter des balivernes sur cet homme dont beaucoup de nous , se moquent royalement , car , politiquement il était inexistant .
Confectionner un corbeau VIOLET dans les fours de MPILA , afin d’en faire le mal du pays , la blague parait légère MONSIEUR 8% .
Vous serez chatié par le peuple , quoi que tu mentes à la terre entière .