Profond respect à tous nos morts tombés par les ordres de la dictature et de la barbarie au Congo Brazzaville.
Dans le discours politique inaugural et fondateur des Assises, s’y trouve explicité et consigné l’esprit de rassemblement pour la victoire finale nécessaire et honorable du peuple congolais contre la dictature en vue de restaurer les conditions objectives et structurantes de l’Etat de droit au Congo Brazzaville.
La légalité populaire de la Conférence Nationale Souveraine de Brazzaville en 1991 et le consensus national et patriotique qui s’est tissé en ce lieu majeur de mémoire collective, n’ont pas cessé d’orienter l’espérance de l’alternance démocratique et d’une alternative dans notre pays.
Les Assises Nationales du Congo sont donc une alternative inédite qui coexiste avec le peuple par le biais d’un message singulier qui transcende les préoccupations du pouvoir et les logiques différentielles de l’opposition traditionnelle.
Ensemble, nous avons accompli, avec humilité et modestie, la première phase de notre mission historique : rassembler dans l’unité d’action les forces critiques, alternatives et celles de la résistance ; puis nous avions conçu et diffusé les idées et les thématiques essentielles de changement et de rupture ; et dans un élan internationaliste, nous avons mobilisé et entraîné les patriotes dispersés dans le monde et en particulier aux Etats Unis d’Amérique dans le combat unitaire contre la dictature du Congo Brazzaville. Nous avons aussi fidélisé l’identité politique et militante des Assises dans la conscience historique des congolais devenant un marqueur patriotique du dévouement de la cause du plus grand nombre.
Nos partenariats avec la société civile et citoyenne ont eu une influence majeure dans la dynamique des rapports de force politique contre la dictature.
L’activité permanente des pôles a permis de rencontrer des compétences nouvelles et d’élargir l’aura des Assises, notamment l’expérience si précieuse de la lutte victorieuse du peuple du Burkina Faso.
Ces derniers temps, nous avons observé la création de nouvelles entités en France, dont les membres proviennent en grande partie des Assises Nationales du Congo et curieusement immédiatement après la grandiose et magnifique marche organisée le 24 octobre 2015 de la Place de la République à Marcadet Poissonnier à Paris ; et les évènements tragiques survenus à Brazzaville le 20 octobre 2015 puis les jours suivants, avec à leur tête de nouveaux acteurs apparaissant subitement.
Nous redoutions la dispersion des forces et l’incohérence des actions désordonnées. Mais sans renoncer à notre cause militante et à notre engagement patriotique et citoyen, nous ne cédions en rien au sens supérieur que nous avions donné à notre combat contre la dictature, l’inhumanité et l’oppression. C’est cela la promesse inaltérable des ASSISES NATIONALES DU CONGO, promesse devenue une mobilisation populaire irraturable et dont l’influence grandissante emporte l’adhésion du plus grand nombre.
C’est aussi l’éthique des militants des « ASSISES », être là nécessairement où se joue le destin national du peuple congolais, ne pas courber l’échine, persévérer toujours jusqu’à la destruction méthodique du mal radical, accomplir par l’authenticité de notre action inédite, le mouvement héroïque et victorieux de la lutte de notre peuple. Cette éthique de la responsabilité face à l’inacceptable, c’est ce qui nous anime en toute circonstance.
Le combat résolu et inaliénable des « ASSISES » se propage loin d’elles, s’enracine comme une puissance transversale de la libération du Congo, une puissance nouvelle de solidarité active et permanente avec les forces organisées du peuple.
La base nationale des Assises, et sa dimension transethnique, transgénérationnelle, transgéopolitique intérieure, voilà un marqueur politique et organisationnel de sa singularité historique.
Les « ASSISES » conçoivent ce qui se donne à elles comme problématique majeure, non pas en fonction des intérêts particuliers et égoïstes, mais en situation avec la totalité nationale élargie, en phase avec la promotion et la défense du bien commun.
Ce que l’on appelle les « ASSISES », c’est l’affirmation de la volonté représentative de la plus grande synthèse exigée par la République progressiste, exemplaire et solidaire à venir, surdéterminée par la tolérance, le partage, la dignité et la liberté.
La Synthèse du peuple s’interdit l’exclusion, l’intolérance et le sectarisme.
Avions-nous réussi cette digne promesse ? C’est ce qui reste à accomplir, tant le parcours politique et militant des « ASSISES » est honorable.
Les raisons sordides et malveillantes existent pour tenter de dévoyer l’action morale et politique des ASSISES. Certains, situés à l’extériorité de son espace, voudraient la capitulation des ASSISES, afin qu’il ne puisse y rester aucun contre-pouvoir déterminé face à la dictature.
L’objectif fondamental des ASSISES, c’est d’une part, le renversement de la dictature et du régime d’exception en place, et d’autre part, de créer les conditions politiques de la restauration de la légalité populaire par le retour de l’Etat de droit, la souveraineté de la République et le redressement du pays par la transition et l’alternance démocratique.
Nous sommes dans une phase de mutation et de croissance de la lutte. Pour des raisons objectives et de complexité du jeu politique, nous n’avons pas su, collectivement, concrétiser le soulèvement populaire pacifique le 27 septembre 2015 et permettre au peuple souverain de reprendre le pouvoir. Les marges objectives de dignité, de liberté et d’existence étant de plus en plus réduites et violées par l’ordre dictatorial, il devient nécessaire dans cette lutte du peuple de repenser la dialectique militante entre l’extérieur et l’intérieur du pays.
D’abord, en relativisant le préjugé hiérarchique du terrain de lutte dont on a cru, de façon dogmatique, qu’elle détenait, exclusivement la priorité de la décision politique. Ensuite, en suggérant la pluralité des terrains de luttes concrètes et l’égalité objective des opportunités qui peuvent se présenter à nous.
Le 20 octobre 2015 est apparu, dans la lutte patriotique du peuple congolais contre la dictature, le phénomène de l’indétermination, de l’indécision, de l’inhibition et de la désorientation de la direction morale et politique de fait et de consensus, issue de l’appel héroïque de Diata.
Il faut constater que la thèse hégémonique et dogmatique de la prééminence du terrain n’a pas favorisé, hélas, la structuration politique, rationnelle et organique d’une Direction alternative de droit, légitimée et validée par notre peuple.
Il est de notre responsabilité de ne pas souscrire à l’offensive des machines idéologiques de la dictature.
Dans le « Communiqué Final » attestant l’inauguration de la problématique politique des « ASSISES », il a été désavouée et rejetée l’inconsistance d’une éventuelle gouvernance dite d’union nationale sous l’autorité de la dictature comme palliatif à la sortie de crise multidirectionnelle qui mine le Congo. Ce gouvernement de connivence, construit en dehors et contre les intérêts du peuple souverain demeure illégitime.
Et ce Communiqué Final rajoutait que, c’est au peuple souverain lui-même de créer les conditions de la nouvelle légitimité, dans l’hypothèse désastreuse où la loi fondamentale et la perspective de l’alternance démocratique se trouvaient transgresser, souiller, bafouer, aliéner et confisquer par des tiers illégitimes, incontrôlés et obstinés par le putsch voire le coup d’Etat.
Dès lors, dans ces conditions, le peuple souverain était en droit de se réapproprier la légalité constitutionnelle et consensuelle de Mars 1992 et régler par ce biais de droit, le problème de la vacance de pouvoir et d’éviter l’aventure irresponsable des populistes et le règne chaotique des anarchistes.
Ce qui a fait la cohérence politique des « ASSISES », c’est sa capacité de se mettre au-dessus de l’éthnomilitance et le refus de réhabiliter ce modèle désastreux. Sa force a été également de contenir dans le débat critique ces trois courants objectifs et structurants qui se sont construits, progressivement, des lignes de convergence et de solidarité dans l’action.
Il s’agit de la ligne de la Résistance populaire et pacifique, la ligne du consensus éclairé et de la TRANSITION nationale et patriotique, puis la ligne de l’alternance démocratique.
La République, comme option, s’imposant à ces courants en tant que récit majeur d’une nouvelle praxis dont nous dénommions : la synthèse.
Nous avons parlé de mutation et de croissance, reconnaissant ainsi la légitimité historique de nouvelles forces qui se sont appropriées les luttes, qu’ils s’agissent des jeunes, des femmes, du Frocad, de l’IDC, des Indignés, et des combattants. C’est toute cette dynamique sociale et politique, traversée par la militance des ASSISES qui s’oppose, à travers une nouvelle synthèse politique, à la dictature de Brazzaville.
Notre expérience historique est riche avec nos différentes organisations et associations des « ASSISES », avec aussi la dynamique structurelle du CODICOR, nous pouvons, tous ensemble, avec l’action militante des nouvelles forces vives, envisager l’élargissement et la rationalité de notre action inédite en se dotant d’un Directoire du peuple qui se pense comme excroissance qualitative et organique du combat populaire contre la dictature et la fin du règne d’exception.
L’enjeu aujourd’hui, c’est la construction de la nouvelle légitimité politique et morale du pays qui passe par un processus maîtrisé de clarification nationale sur les intérêts supérieurs les meilleurs du Congo Brazzaville. Il s’agira entre autres d’actualiser l’idée de la gouvernance transitionnelle pour le redressement national, dans la paix, la fraternité et la concorde.
L’idée majeure est de tenir en dehors du Congo compte tenu des problèmes sécuritaires, un Congrès de l’opposition, des forces alternatives et de la société civile qui devrait instaurer dans les faits le pouvoir du peuple et la gouvernance objective et légitime de la Nation.
Comme les Assises sont nationales, elles sont en droit d’organiser un tel congrès inédit et historique.
Ce sommet aura également pour mission l’obtention par la Communauté Internationale, d’un mandat impératif et exécutoire de protection des populations.
Le renouveau des Assises requiert auprès de nous tous ici rassemblés un comportement digne, responsable, désintéressé au service de toutes et de tous les congolais.
Disponible et dévoué à servir les intérêts démocratiques de notre organisation, je vous demande, au regard de la perspective esquissée ici, la confiance et la relégitimation.
Toutefois, la légalité de mon mandat relève ou bien du consensus transpartisan, ou bien de la compétition électorale démocratique.
Que vive la Renaissance de Assises Nationales du Congo.
Jean Luc MALEKAT
Diffusé le 17 décembre 2015, par www.congo-liberty.org
Les personnes dites cadres Congolais,les vrais champions des assises,conferences,reunions etc…Le temps de toutes ces reunions et rencontres etait longtemps revolu,c’est le tour de prendre les canons et chasser du Congo la france et son valet-gouverneur noir-serviteur(Mr Denis Sassou).Inspirez vous de l’Algerie sinon vous restez les eternels esclaves de la france.
Mon cher Jean Luc,
Sauf aveu implicite masqué d’impuissance et d’échec ou alors saut d’autruche, vous semblez ne pas avoir compris les raisons endogènes plutôt qu’externes de l’implosion de vos « Assises nationales » en groupuscules de micro conseils hauts ou bas, de gauche ou droite, peut etre du centre. C’est risible tout ça, et surtout pitoyable. C’est. Sassou qui s’en sort ragaillardit, avec son toujours même sentiment de super puissance capable de mater dans le sang toute contestation en parculier Bakongo à ce qu’il estime être son gibier qui ne doit pas s’échapper vers « Nguele ».
Commencer par une introspection rigoureuse et sans tabou, l’école du rigorisme Milongo dont vous vous revendiquez vous en a donné la méthode . Actionnez les manettes de la réalité politique congolaise qui a ses spécificités non reproductibles en Occident si ce n’est par simple parallelisme. Faites de la franchise votre credo,, comme votre référence Milongo. Rassembler des personnes éparses quand bien d’ethnie différente, n’implique pas ce que vous qualifier « dimension transethnique ou transgeopolitique interne ». Sassou aussi argue faire de la « transethnie ».
Quand à l’idée de synthèse, poursuivez là et vous reviendrez regulierement pour refaire les mêmes constats d’implosion. UN ENGAGEMENT FRANC L’EST SUR UNE SEULE ET UNIQUE LIGNE ET NON SUR UNE SYNTHESE DE LIGNES. Et se rassemblent spontanément ceux qui partagent l’unique ligne.
Enfin admettez l’intemporalité de l’engagement, ce qui apparait à un moment, a déjà existé à l’état latent et disparaîtra le moment venu, c’est la loi naturelle. Le challenge c’est la durée d’existence visible. Faites exister vos « assises » tant que faire ce peut et coller pas des qualitifs pompeux occidentaux à ce qui émerge. Le. Congo a ses tribalistes y compris masqués et l’occident à ses populistes assumés ou decomplexes, Le Congo a ses ethnies assumés et decomplexes et l’Occident a ses peuples historiques et linguistiques masqués et étouffés au nom des nations.
Or la nation congolaise est à construire. Faut-il toujours mimer les mots et modèles de l’occident?
« la logique vous emmène d »un point A vers un point B, mais l’imagination vous fait decouvrir les merveilles de la création » ça c’est le génie d’Einstein qui l’a enseigné. Tiens, un occidental!
@ Mr MALEKAT
Le problème de l’opposition congolaise reste et restera les égos des uns et des autres. Pourquoi diable vous ne pouvez pas former une plateforme commune avec ceux qui sont au pays, au lieu de vous éparpiller? L’atomisation de l’opposition parisienne à Sassou ragaillardi ce dernier. Mr MALEKAT, vous qui êtes partisan du récent héritage de Milongo, du fait d’avoir été dans son gouvernement, pourquoi ne rentrez-vous pas au Congo, pour aller renforcer les plateformes IDC-FROCAD? A votre honneur toutes les entrées que vous avez eues aux Usa, en France, et à travers toute l’Europe occidentale! Maintenant que c’est fait, votre action et votre place sont à Brazzaville.Votre carnet d’adresses, celui de Modeste BOUKADIA, celui de Robert POATY-PANGOU…s’épaississent, alors allez mouiller le maillot sur place!
Mouiller le maillot sur place, vous dites ! Plutôt se faire arrêter comme Paulin Mackaya. Les Guy Brice Kolélas, Okombi-salissa, Tsaty-mabiala sont des députés, ils bénéficient pour le moment de l’immunité parlementaire, lui Jean-Luc Maleckat, rien. ce pouvoir ne connait pas la honte, ils vont le cueillir comme une mangue mûre. Les Assises, c’est l’extérieur. Le Général de Gaulle est bien parti de quelque part.
Mr Malékat, je vous exhorte à continuer le rassemblement au sein des Assises Nationales du Congo. Ce jeu de la division dans lequel beaucoup de membres des Assises sont tombés en voulant créant des structures nouvelles qui se cassent la gueule d »ailleurs, c ‘est le jeu de Sassou. Ils le savent mais ils s’y prêtent quand même par envie de commander ou d’exister. Restez droit dans vos bottes Mr Malékat, ne vous laissez pas secouer par ces multiples divisions et l’avenir vous donnera raison car les congolais auront retenu de vous que vous êtes un Homme de conviction. Simon Pierre Moussounda, Noel Magloire Ndomba, Alexis Richard Miayoukou et bien d’autres sont les tontons flingueurs des Assises. Ils combattent aujourd’hui un bébé qu’ils ont enfanté eux-même. Ils tirent de grosses ficelles dans le but de faire émerger un autre mouvement qui mettrait les Assises hors jeu. On se demande quand meme pourquoi ne travailleraient-ils pas à une réorganisation de ces Assises au lieu de souhaiter leur mort. Sassou, Ndomba,Moussounda,Alexis Miayoukou, Meme combat. Ouvrez les yeux chers compatriotes.
Mes frères congolais de Paris, vous vous éparpillez pourquoi? Pourquoi plusieurs chapelles à la con? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Ne vous divisez pas, soyez unis, nous comptons beaucoup sur vous car nous ici nous sommes coincés. Arrêtez donc votre cinéma, unissez vous et travaillez nuit et jour pour nous trouver une solution très vite. Sassou va tous nous tuer ici si vous ne venez pas à notre secours. Il a commencé avec les tueries et les enlèvements. J’étais en première année à Marien Ngouambi lorsque le Ministre Maléka aux affaires. Ce dernier, en effet, m’a bien marqué. Il était l’un des rares ministres à l’époque qui connaissais bien ses dossiers. Il a donc fait ses preuves. Pourquoi ne pas constituer une force autour de lui ( je rappelle que c est un homme intègre, bosseur, et sans cadavres au placard) et former une grande force au niveau de la diaspora. Il est le président des Assises du Congo, aller renforcer ces Assises, travaillez ensemble. Il me parait sérieux et digne de confiance. Et quand nous apprenons la naissance de plusieurs structures à Paris, je me dis que ça y est, Sassou les a eu. Pitié pour vous. Vous etes une diaspora lamentable, incapable de nous venir en aide. Vous mangez bien tous les jours, vous dormez en paix, et vous vous en foutez un peu de nous qui sommes au feu tous les jours. Tu ne sais pas quel jour tu seras enlevé par Sassou et Ndengué. Non; Non; ne vous divisez pas les amis, pensez à nous qui souffrons et tombons tous les jours au front. CHERS AMIS DE PARIS? NOUS VOUS DEMANDONS L UNION SACRE. Faites le pour nous
Malekat ne nous dit les raisons de cet éparpillement. Allons à la racine du problème. Par ailleurs, je trouve bizarre qu’après le chèque en blanc de Hollande au chef des mbochi, subitement apparaît lé nommé Laube qui ouvre la porte de l’Elyzée aux Assises. Et ce même monsieur propose la création d’une autre structure. Il faut débroussailler tout ça pour voir clair, car pour je vois lé chef des mbochi derrière toute cette pagaille. Avant de terminer , Malekat doit nous dire qu’est-ce qu’on lui reproche?
Maintenant pour terminer, les Assises doivent intégrer la dynamique de la création de la république du Kongo. Après tout ce qui s’est passé au Congo avec les assasinats des Kongo sous l’œil indifférent des mbochi et autres tribus du nord de l’actuel Congo, je crois que les choses ne seront plus comme avant.
Quand des hommes dit politiques ne peuvent pas rester dans une association qu’ils ont eux meme cree pour des raisons n’ont connue c’est extremement grave. je m’associe sans hesitation a la demarche de monsieur Jean-Luc Malekat que je trouve plus consistant dans sa logique politique
D’où vient ce fameux Mr Taube que les petits leaders de la place de Paris, nostalgiques de la période coloniale, ont suivi en lui donnant un chèque en blanc sans réfléchir???????????? Ils ont été à l’Elysée, ils ont été au Quai Dorsay, mais ont-ils été reçu par les patrons de ces lieux ou bien pr des simples conseillers???????? Et qu est ce que leur réception a changé au sort du peuple congolais? Rien du tout sinon la division et l’éparpillement de cette diaspora, le seul véritable but de l’arrivée de Mr Taube et de Mr Makomé qui étaient chacun dans dans rôle.Et Quel rôle certains ténors des Assises ont-ils joué dans cette dispersion de la diaspora? Nous commençons par Mr Ndomba Noel Magloire, le fameux intellectuel du Grand Niari. Il ne va pas vous échapper que ce dernier a clamé haut et fort qu’il ne faisait partie à aucune de ces deux structures et qu’il prenait ses distances.FAUX. En effet, ce dernier a placé plusieurs de ces petits du Nibiland dans les deux structures afin de les contrôler à distance comme il aimme le faire, un grand manipulateur ce dernier.Il y a d’un coté Mr Diess et compagnie au CNRT de Mr Taube, et de l’autre coté Mr Ferdinand Mounkala au H2CRT……. Drôle de jeu. A quoi joue-t-il ce dernier? Je parle bien de Mr Ndomba. Ce dernier aurait négocié une place dans la nouvelle république de Mr Sassou par le biais de ses amis franc maçon et par le biais de Tsatsy Mabiala. Il en a marre de gérer la galère à Paris et a profité de la création des Assises pour exister afin de négocier intelligemment sa place au Congo, ce qui a été fait semble-t-il….. On ne sera donc pas étonné si dernier venait à démissionner de son poste aux Assises. Qui vivra verra. Un autre maniplateur, un grand manœuvrier, un tribaliste de la première classe, Simon Pierre Moussounda. Ce dernier est celui par qui le phénomène de la division est rentrée aux Assises. Il a passé son temps à torpiller les assises en prophétisant sur sa disparition sans condition. Il va organiser des réunions secrètes avec pour seuls participants, les frères du Niboland pour comploter contre les Assises. Il est le cerveau penseur des idées « Dynamique des Assises », « Forces vives du Congo » ……. des créations qui avaient pour but de faire de l’ombre aux Assises et d’étouffer son coordonnateur, Mr Malékat. Mr Mounsounda, où passé ton éthique militaire puisque tu es un colonel de l’armée congolaise????? Ce n’est pas en organisant des réunions entre amis du Niboland cad entre anciens lissoubistes que vous allez prétendre diriger notre pays déjà divisé par le tribalisme. Mr Alexis Miayouka mange à toutes les sauces. Il est de toutes les initiatives, car il veut gagner quoiqu’il arrive. Aucune constance chez ce Mr qui passe pour le plus intelligent alors que ce n’est pas le cas. Son égo surdimensionné lui joue de salles tours.Il est partout, je veux dire dans toutes les chapelles, un infidèle, un Martin Mbéri celui-là. C est malheureux……… Bref, la diaspora a péché et continue à pécher par l’égo surdimensionné des uns et des autres. Ils ne savent pas respecter des chefs qui’ils choisissent eux mêmes. Mais ne vous en faites pas, vous serrez comptables de tout ce qui pourra arriver.
Beaucoup trop de paroles et gesticulations inutiles pour de bien piètres résultats.
Sangsue guesso a encore de beaux jours devant lui.
Pauvre Congo
Peut on être sincère et ne pas reconnaître l’intégrité et l’honnêteté de Jean Luc MALEKAT ?
La réponse est non.
Reconnaissons que tout opposant qui ne reconnait pas le sacrifice et l’effort du ministre MALEKAT est sois ignorant sois de mauvaise foi.
Il est vrai que ce n’est pas de bonne franchise que de dire du mal de ses amis. Mais s’ils sont nos amis, c’est que nous les jugeons aimables, et ne dire que ce qui nous déplaît en eux, c’est ne dire que la moitié de la vérité.
Quand au ministre MALEKAT il doit se rappeler de:Quand le besoin de dire vrai fait négliger les égards, quand, préoccupé des choses, on oublie les personnes, alors le désir de faire triompher l’opinion qui paraît juste peut avoir l’air du désir de triompher. Ceci est une faute. La franchise ne doit pas être poussée jusqu’à la crudité ; la vérité ne doit pas seulement vaincre, elle doit gagner.
Le ministre doit continuer dans sa grandeur et c’est le moment qu’il affirme sa ligne, tous les intellectuels de bonne foi le soutient à fond et avec une cohérence extraordinaire.
« le soutient »=le soutiennent
Pourquoi à chaque fois,les opposants congolais à la dictature finissent par être des opposés contre leur propre camp, laissant la majorité présidentielo-mafieuse et le dictateur installer progressivement la monarchie au Congo avec la bande à Kiki?
Enfants du Congo,nous avons besoin des uns des autres pour le Congo et aucune force seule ne pourra vaincre le dictateur!
Unis dans la diversité,restons mobilisés sinon nous passerons notre temps à refaire ce qui a été déjà fait.De structure en structure,nous finirons en petit groupe de trois ou cinq personnes.
Bon courage à vous et ne nous insultons pas,argumentons!apportons nos apports divers pour faire avancer la cause de notre peuple en souffrance depuis des décennies voire des siècles.
Merci
Je comprends ces congolais qui veulent le résultat à l’immédiat mais sachez que nous ne pouvons pas vaincre la colère et la haine donc le tribalisme que le système « SASSOU » à semé simplement en les supprimant mais nous devons ardemment cultiver les antidotes qui sont la tolérance,la patience, l’intégrité et l’efficacité.
C’est pour cela que les opposants qui veulent aller aux élections n’ont pas encore compris que passer par une transition est un passage obligé pour faire table rase et déraciner le système « sassou »,
.vous comprendrez par là que Jean Luc MALEKAT est le seul d’avoir cette vision cartésienne et le seul a être capable de mener cette mission car on ne peut pas parler « de ne pas voler » si sois même on est voleur.
En politique il ya deux choses les ambitions et les capacités, beaucoups des congolais ont des ambitions (beaucoups des cercles,associations politiques ….) mais peu ont des capicités pour mettre le congo sur les rails.
Oui, mes chers amis soyons lucides, nous ne pouvons plus nous masquer derrière des pseudos, chacun doit s’exprimer pour contribuer au bien être du pays.
LES « ASSISES NATIONALES » doivent rester et être diriger par un rassembleur comme Jean Luc MALEKAT, ce plate forme est pour tout congolais de bonne foi,
Oui je peux blesser en disant certaines verités mais la réalité est que le pays est malade ,il faut de vrais remède.
Faisons un peu de philosophie: le sujet est
»
Le bien et le mal ne sont pas des grandeurs parfaitement opposées l’une à l’autre ; le bien souvent accouche du mal et la capacité de voir le mal en face est ce qui nous ouvre la capacité d’un bien relatif. »
Que pensez vous ?
LE TELEPHONE MOBILE DE ISIDORE AYA TONGA EST HORS SERVICE… IL NE PEUT QUE RECEVOIR DES APPELS MAIS PAS APPELER, ALLER COMPRENDRE…
BON WEED END A TOUS LES ESPRITS LIBRES ET SOUVERAIN LA VICTOIRE CONTRE LE TYRAN SASSOUFFIT EST PROCHE… CAR LES RÉSEAUX ENDOGÈNES ET PÉRIPHÉRIQUES SONT ACTIVES ET SONT ENCOURS D’ACTIONS AFIN DE LIBÉRER LE CONGO SOUVERAIN DES NGUESSO ET DE L’OYOCRATIE…
Congo-Brazza: sur décision du ministre Mokoki, le général Mokoko n’a plus les éléments pour sa sécurité
Le ministre délégué à la défense, Gilbert Mokoki fait retirer au Général Jean-Marie Michel MOKOKO les éléments de l’armée Congolaise affectés à la sécurité de la résidence de ce dernier qui représente le Congo pour l’Union Africaine à Bangui.
Depuis que Jean-Marie Mokoko a émis des resserves sur le projet de la pérennisation du Président Denis Sassou Nguesso au pouvoir, il est devenu la cible des sécurocrates du régime de Brazzaville.
En effet sans prendre l’avis du commandant des troupes du détachement militaire Congolais déployé en Centrafrique, dans le cadre de la MINUSCA, détachement qui est dirigé par le Général Léonard Essongo, le ministre délégué à la défense du Congo, Gilbert Mokoki a pris un arrêté dans lequel il a intimé l’ordre au commandant en charge de la gestion du détachement Congolais de faire retirer les éléments postés pour la sécurisation de la résidence du Général Jean-Marie Michel MOKOKO .
Une décision qui a fait réagir le commandement de la Minusca qui n’a pas été officiellement saisi par les autorités Congolaise. De son côté le général Mokoko fidèle à son attitude n’a dit mot et à pris acte.
Selon nos informations, le ministre de la défense n’aurait pas informé son chef d’état major. Affaire à suivre.
© OEIL D’AFRIQUE
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Une gabonaise qui sait parler contre Sassou Nguesso
Je suis très surpris par les interventions des uns et des autres. Aucun Congolais seul ne dispose de la solution miracle aux problèmes qui minent notre pays. Les assises sont et ont été ce rassemblement qui a permis que l’expression plurielle se fasse, sur la place de Paris, avant qu’elle n’impacte au niveau du pays en influençant la création du Frocad, et récemment celle de l’IDC, à l’intérieur du pays.
Nombreux sont nos compatriotes, qu’ils soient au pays, où à l’étranger, bénéficiant des prébendes du régime en place se taisent, rasent les murs, et sont complices du chaos actuel. On ne les entend pas dire un mot ou prendre position sur la monstruosité anticonstitutionnelle à deux têtes issue du référendum illégal du 25/10/2015. D’autres compatriotes, résidant au Congo, ont bien compris, sont conscients de la situation, mais n’osent pas agir compte tenu de l’état de guerre larvée, d’enlèvements et d’assassinats, qui s’est ré-installée depuis le 20/10/15.
Quand vous avez au sein de la diaspora quelques compatriotes courageux, qui malgré leurs limites et leurs qualités s’investissent, avec les moyens qui sont les leurs (souvent sans aucun financement de l’état congolais, mais avec leurs maigres revenus), ils méritent respect et un minimum de considération. Pour nous qui avons vu les assises naître, nous savons que Malekat, Moussounda, Ndoba, Miayoukou, et tant d’autres que vous ne citez pas, vivent tous un véritable sacerdoce pour porter haut le flambeau du martyr du peuple congolais. Chers compatriotes, soyons pondérés dans nos analyses. Il faut que nous fassions des réflexions constructives, mais profiter de votre anonymat derrière un écran pour décrédibiliser tel ou tel autre personne, ne contribue ni plus ni moins qu’à desservir la cause des populations congolaises.
Une grande partie de la pensée politique qui accompagne la crise congolaise actuelle a été formulée par les assises et reprise par les autres plate-formes. Initialement, les assises avaient été créées en vue de l’alternance politique et n’avaient aucunement prévu l’hypothèse du 25/10/2015 qui a consisté à doter notre pays d’une seconde constitution, promulguée le 06/11/2015, et qui a placé de fait le pays dans un chaos juridique. Ce qui nous pousse à croire, en réalité, que notre pays n’a plus de texte constitutionnel, et personne ne peut prétendre que des élections sont possibles en 2016. Cette hypothèse est irréaliste et irréalisable, car tous les organes d’état ayant tiré leur légitimité de la constitution de 2002 sont devenus caducs depuis le 06/11/2015, en commençant par la présidence de la République, l’Assemblée Nationale, le Conseil Constitutionnel, etc.
Malgré les flottements liés au mois d’octobre dernier, les assises demeurent pour leur part, au sein de la diaspora, le socle à partir duquel va se bâtir une nouvelle pensée politique qui permettra la régénérescence du pays… Nous y croyons et nous y sommes très attachés, car notre pays ne mérite pas un tel traitement. Quel Congo allons nous léguer à nos enfants qui à Brazzaville, à Pointe Noire, à Owando, à Lekana, à Dolisie, ne peuvent ni manger à leur faim, ni aller à l’école, ni bénéficier d’un comprimé de quinine lorsqu’ils tremblent de paludisme ? L’attitude consistant à toujours désigner des boucs émissaires est irresponsable et explique pourquoi notre pays le Congo continue de piétiner, car c’est en créant le soupçon que l’on élimine les innocents, et depuis 50 ans notre pays n’a connu que cette démarche qui explique aujourd’hui sa régression.
L’assemblée générale du 20/12/2015 sera un moment politique consensuel et convivial pour doter les assises d’une nouvelle dynamique. A cette occasion les apports de tous devront de nouveau se conjuguer, en lieu et place des diatribes évoquées par certains anonymes.
Le Congo a besoin de vous tous. Sortez de vos tanières, car l’heure est vraiment grave. Après, il sera trop tard.
Mawawa Mâwa-Kiese
http://www.cafelitteraire.fr/archives/1587
Frère Mawawa Mâwa-Kiese, bien dit, très bonne analyse constructive. A bon entendeur salut ! Et grand merci pour cette intelligence qui est la vôtre !