I – CRIMES POLITIQUES AU CONGO
Un jour, un Congolais, me lance un défi. Voici un manuscrit qui circule sous le manteau car il parle des Crimes politiques commis au Congo. Aurez-vous le courage de le faire publier ? Je lui réponds, comme je réponds d’habitude lorsqu’un manuscrit m’est soumis : s’il est excellent, je vais le publier. Lecture faite, j’ai compris que ce manuscrit faisait le point sur les assassinats politiques célèbres au Congo : Lazare Matsocota, Joseph Pouabou, Anselme Massoueme, ange Diawara, Marien Ngouabi et Pierre Anga.
J’ai demandé alors aux éditions de L’Harmattan de bien vouloir publier ce manuscrit qui est devenu le livre posthume de Monsieur Albert Roger MASSEMA, (qui était le président de la Commission Conférence nationale) CRIMES DE SANG ET POUVOIR AU CONGO-BRAZZAVILLE, préfacé par le Directeur de l’Harmattan Monsieur Dénis Pryens.
Il n’est plus possible de nier que le Congo actuel s’est construit sur une politique systématique du Crime passé, et présent.
Albert Roger Masséma lui-même a été empoisonné par le pouvoir qui est actuellement en place. Comme Dieu sait si bien faire les choses, c’est par ce livre que ses enfants ont pu être régularisés administrativement en France.
Mais comme le crime est attaché à la conquête et au maintien absolu au pouvoir au Congo, bis repetita, le cycle infernal de la criminalité politique au Congo a continué à tourner.
Le retour de SASSOU au pouvoir a engendré la guerre civile. Le nombre de morts de la guerre civile est estimé à environ 400 000 selon Wikipédia.
Comme si cela ne suffisait pas, le terrorisme d’Etat dirigé par Sassou a encore frappé près de 136 civils sans défense qui refusaient la fraude sur la constitution à Brazzaville, puis fait un nombre de morts estimé à 3 000 morts dans la commission des crimes de masse dans la région du Pool pour couvrir la fraude électorale qui a permis à SASSOU de se maintenir au pouvoir par la force.
Il n’est plus non plus possible de nier les conséquences de ces crimes qui ont bouleversé la vie de la nation congolaise sur les familles, surtout que nous sommes sous le régime de Sassou qui sait tuer, mais ne sait ni réparer, ni prendre soin des orphelins, des veufs et des veuves victimes de ces guerres pour le pouvoir qui durent depuis plus d’un demi-siècle.
Qui connaît le nombre exact des orphelins dont le Congo regorge depuis que Sassou est au pouvoir ? Qui sait comment et de quoi vivent-ils ?
II- ORPHELINS
Il m’a été donné dans mon ministère et dans l’exercice de mon métier d’Avocat, d’observer que si l’orphelin ne bénéficiait pas de l’ancrage social, économique et l’engagement absolu du parent survivant -souvent la mère-, l’orphelin et/ ou l’orpheline politiques congolais se retrouvaient en très grande difficulté qui le faisait vivre dans la marginalité sociale -drogues et tout autre déviances- et surtout dans la marginalité économique faite des extrêmes pauvretés économiques, puisque très souvent l’héritage leur en est privé. Ces crimes étant justifiés par le pouvoir en place sous le mode explicite ou implicite de sanction politique, la privation des biens meubles et immeubles qui sont parfois détruits entrent dans le champ normal de cette catégorie de crimes qui détruisent l’adversaire politique et sa lignée de façon directe ou indirecte.
Il faudrait une mutation mentale et politique pour parvenir d’une part à respecter les droits de l’adversaire politique pour ne plus jamais le confondre avec la posture ennemie.
D’autre part, une révolution mentale et politique est nécessaire pour arriver à distinguer la citoyenneté politique d’un parent engagé politiquement des droits propres et inaliénables des orphelins et orphelines que laisse l’acteur politique.
III- VEUFS ET VEUVES
Plus grave encore est le fait qu’aussi bien dans les crimes de masse comme dans le cas des bombardements du Pool, que dans les crimes commis singulièrement sur une personnalité politique, il n’est pas tenu en compte, le fait que derrière chaque mort il y a bien souvent un veuf ou une veuve qui est abandonné dans son chagrin, sa solitude et sa terrible misère. Le veuf ou la veuve, c’est – à-dire, celui ou celle dont le conjoint est décédé, surtout du fait de l’incroyable légèreté politique de celles et ceux qui pratiquent la politique exige l’engagement de la responsabilité, de ces défaiseurs des destins humains.
Ces crimes de masse ou d’individualités politiques, étant le fait de l’Etat, il est nécessaire que la nation, par ses législateurs successifs, promulgue des lois réparatrices, mais aussi adoptent des lois qui organisent les droits jusqu’à présent méconnus des orphelins, des veufs et des veuves politiques en même temps que sera interdit ce terrorisme d’Etat.
Dominique KOUNKOU
Paris, le 17/06/2016
Ces deux publications exemplifient le caractère bestial ,à la limite de l’analysabilité de la conception politique au CONGO BRAZZAVILLE, depuis l’éruption politique de SASSOU .
Je suis d’accord en ce qui concerne la réparation, mais est ce qu’il Ne serait pas mieux ou responsable de faire des lois pour lutter contre des crimes politiques et la violence politique car c’est cela qui produit des veufs et veuves politiques. Nous devons faire une examen profond de la politique, car depuis Massamba Débat, la culture du crime et de la violence politique est très presente, elle n’a pas arrêter de tirer des ficelles dans tous les sens pour faire des partenaires ou défaire dans le cas du Congo ceux qui ne partagent le même idéal. Une classe politique qui a toujours brillé par son machiavélisme pervers, dès que la politique devient un moyen pour s’enrichir au détriment du peuple et non au service de celui-ci, les portes de l’enfer s’ouvrent grandement contre la population et tous les adversaires politiques sans que personne ne dise mot. La culture de l’excellence est en berne au Congo, la vie ne représente plus ce qu’elle devrait être, on ne dit plus la vie est sacrée mais plutôt : s’il faut engember de vies humaines pour accéder au pouvoir ou pour la conserve, oubliant fondamentalement que le politique est au service du peuple, il veille à l’amélioration des ses conditions de vie, il gestione sans sans faille les richesses du pays, il respecte à la loupe la constitution…
au vu de tout ce que nous assistons au Congo depuis 1979, nous encore très loin du compte..
29 juin 2016
FONDS SOUVERAIN DU CONGO : ONDONGO AVOUE QUE L’ARGENT A ETE DEPENSE
FONDS SOUVERAIN DU CONGO : ONDONGO AVOUE QUE L’ARGENT A ETE DEPENSE
Nous nous rappelons avoir incité le « gouvernement » du Congo à créer un Fonds Souverain national à l’instar de celui du Gabon qui venait d’être créé. Vous pouvez si vous le désirez faire une recherche à propos sur notre blog pour retrouver l’article en question. Le gouvernement a suivi. Nous ignorons à combien s’élevait le montant dans la cagnotte du fonds souverain avant qu’on ne puise dans la réserve (curieux que le montant d’un Fonds public ne soit pas connu par le grand public). Certains estiment qu’il contenait plus de 1000 milliards de francs cfa mais ce n’est qu’une rumeur. Il semble cependant qu’il y ait beaucoup de liquidités sur ce compte souverain dont la nature et la gestion échappent au peuple congolais. En dehors du régime, personne ne sait où Sassou cache ce pactole. Cet argent devait être préservé pour les générations futures et pour préparer l’après-pétrole. Un démon est passé. La crise s’est installée. Et le gouvernement a regardé du côté du Fonds de réserve pour les générations futures. Une main noire cupide passa. Et puis plus rien dans la caisse – même s’ils disent qu’il reste quelque chose…
Je vous rappelle ce que Denis Sassou Nguesso a dit sur le financement des infrastructures dans notre pays : « les infrastructures ont toujours été financées par de l’endettement… ». Cette vidéo existe en ligne. Vous pouvez la retrouver. Que monsieur Gilbert Ondongo ne nous dise pas que l’Etat a changé de politique pour que désormais les infrastructures en cours – donc déjà budgétisées – soient financées avec l’argent des générations futures – alors qu’on s’est au préalable endetté pour les réaliser ! Etrange. Les investissements en cours étaient déjà financés. Comment expliquer qu’il faille à nouveau les refinancer – d’autant que les retombées sur le peuple ne se font pas assez ressentir ? Il y a un truc qui ne colle pas.
De grâce, qu’on arrête des dépenses de prestige qui ne visent que la gloire du monstre de l’Alima ; cet argent peut être mieux employé pour l’intérêt du peuple. Avant d’utiliser l’argent public, il faut d’abord en prouver l’intérêt public. Quand Ondongo parle de rythme de développement et d’ambitions, il ne démontre en rien en quoi les petites bricoles du régime dictatorial profitent à notre peuple dans son ensemble. Le développement profite à tous et non à quelques-uns et il doit venir vous trouver devant votre porte. Dans un pays où l’eau courante et l’électricité manquent ainsi que la nivaquine, on ne peut pas parler de « développement » parce que le président construit des palais présidentiels qui ne servent à rien aux quatre coins du pays. Je ne vous parle même de la tomate que nous importons…
Souvenez-vous de la vague réponse de Denis Sassou Nguesso à la question d’un journaliste qui voulait savoir où était passé l’argent des générations futures. Gilbert Ondongo, ancien ministre des finances de Denis Sassou Nguesso a répondu à la question selon un ami. Il affirme que le régime illégal de Brazzaville a puisé dans le Fonds de réserve pour payer les salaires des fonctionnaires et les bourses des étudiants. L’ancien argentier de Denis Sassou Nguesso reconnaît qu’au Congo, les dépenses sont désormais largement supérieures aux recettes – d’où la nécessité de faire une ponction dans le Fonds de réserve des générations futures : cela indique que l’Etat congolais a de plus en plus de mal à emprunter auprès de ses anciens débiteurs et il serait important de savoir depuis quand Sassou a commencé à piocher dans la cagnotte. Combien d’argent s’y trouvait ? Combien a été pris ? Combien reste-t-il ? Où se trouve ce pognon ? Qui s’en occupe personnellement ? Qu’est-ce qui nous prouve qu’il a vraiment été utilisé dans l’intérêt des Congolais ? Monsieur Gilbert Ondongo, bien que plus précis que son maître Denis Sassou Nguesso, n’a pas apporté ces détails. Les générations futures dans notre pays sont soi-disant sacrifiées au profit des générations présentes – alors qu’en réalité l’argent du pays est détourné pour acheter des villas cossues en Espagne, en France, au Portugal quand il ne finit pas dans les paradis fiscaux.
Il faudra que la dictature nous justifie comment un tout petit pays comme le Congo peut avoir une masse salariale de 410 milliards par an. Monsieur Gilbert Ondongo – même s’il n’est plus aujourd’hui ministre des finances doit un jour rendre des comptes car il sait ce qu’il en est de l’argent du contribuable et du citoyen congolais. Il a longtemps été au coeur du système puisque rien ne fonctionne et ne se fait sans argent. Par conséquent, où qu’il se cache, il faudra aller le chercher. Et il n’est pas le seul : TOUS les anciens ministres de finances du Congo – sans exception doivent rendre des comptes – sans oublier le dernier en exercice. La transition démocratique y veillera au moment opportun.
Denis Sassou Nguesso a été obligé de remplacer Gilbert Ondongo au ministère des finances car ce corrompu ne pouvait plus y être maintenu mais il était au coeur du dispositif du détournement de l’argent public dont des millions d’euros ont été retrouvés dans sa villa au Portugal. Sa longévité à ce poste fera de lui un interlocuteur privilégié. Il sait où est caché l’argent du pays ; il sait qui prenait quoi. Nous irons le chercher même dans la jungle amazonienne. Ceci est une promesse faite au nom du peuple. Finira bientôt le temps des compromis, des compromissions et de l’impunité.
Le Congo peut faire des économies sur les exorbitants salaires du gangster en chef, des ministres et en réduisant le train de vie ruineux de l’Etat. Il n’y a que des coupures drastiques sur les petits salaires de fonctionnaires ; on peut réduire les salaires des ministres, des Généraux et de certains hauts cadres qui amassent des millions à ne rien faire. Certaines caisses noires doivent même disparaître. Toutes ces missions qui ne servent qu’à sortir l’argent du Trésor doivent s’arrêter. On aurait pu croire qu’une dictature compenserait son manque de légitimité par une meilleure gestion mais c’est sans compter sur l’incompétence, la cupidité et l’immoralité des membres qui la composent.
Il y a une solution à cette crise, une solution simple : QUE CHAQUE VOLEUR DU REGIME RENDE LA MOITIE DE L’ARGENT VOLE A L’ETAT. Et là, je me montre bon seigneur en évitant d’exiger TOUT L’ARGENT DEROBE AU PEUPLE CONGOLAIS. A quoi leur sert-il de garder tous ces milliards de dollars dans les banques étrangères quand ils savent que les Mindélés prendront tout ce magot dès qu’ils perdront le pouvoir ? Qu’ils fassent amende honorable pour une fois…
Le Congo est un pays passoire où les étrangers constatent que l’Etat, en fait, se contente de participer au pillage du pays en accompagnant les multinationales – sans prendre la peine de contrôler quoi que ce soit. Ils se mettent eux aussi allègrement à s’enrichir très vite et trouvent que le Congo est un pays merveilleux. C’est pour cela que l’on voit des Camerounais, des Sénégalais, des Chinois, des Libanais, des Français, etc, se mêler de nos affaires quand ils sont chassés du Congo – alors qu’ils négligent les affaires de leurs pays respectifs où il y a aussi des dictateurs. C’est un indicateur qui ne trompe pas…
Si un certain gangster en chef, un gangster d’Etat se croit à l’abri de ses crimes, crimes de sang, crimes économiques, crimes en tous genres, derrière un bouclier nommé « Constitution », qu’il sache que nous changerons la Constitution pour en faire non pas un bouclier protecteur pour le criminel mais une cage de prison pour tous ceux qui ont trahi la nation. IL SUFFIRA DE CHANGER LA CONSTITUTION. Ce n’est pas très compliqué à réaliser…
Ceci montre bien que la crise couve au Congo qui mange désormais les os gardés aux frais pour les générations futures. La seule question qui vaille être posée est la suivante : dans quel état retrouverons-nous le Congo à la fin de cette tragédie politique ? Nous discutons tous les jours avec des fils et filles du Congo qui sont prêts à revenir au pays relever le défi du développement et du bien-être de notre peuple. Je ne parle pas d’affairistes mais de passionnés, d’amoureux du Congo qui veulent investir et s’investir dans la transformation du paysage national du nord au sud…
LION DE MAKANDA, MWAN’ MINDZUMB’, MBUTA MUNTU
Notre commentaire:Il n’ya aura plus d’autre comedie dite conference nationale souveraine qui avait de souveraine que nom alors teleguidee par l’empire francais qui bloquait les conferenciers de voir tous les dossiers et surtout preside par un prelat qui avait cru avoir vu dieu plus que le reste des Congolais.
Il n’y aura non plus d’autre comedie nommee ceremonie de lavement des mains macules de tous genres de crimes.
Cette fois-ci,il y aura une vraie justice populaire compose de juges impartiaux et competents.
Cette fois-ci,il y aura un vaste audit dans tous les domains de la vie du pays.
Tous les dossiers examines et ils seront passes au peigne fin un par un.
La peine de mort sera reintroduite dans le code penal a cet effet.Depuis le 31 juillet 1969,tous ceux qui ont vole,tous ceux qui continuent a voler et tous ceux qui participant inclus les etrangers a la destruction du patrimoine commun des Congolais rendront les comptes,ils rendront gorge.
Brazzaparisinfos
3 h ·
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Le Général Nianga Mbouala Ngatsé se fait rouler par une jeune mineure.
Le chef de la garde présidentielle de monsieur 8%, ne compte plus ses maîtresses dans la ville de Brazzaville. Ceux qui suivent sa vie à la loupe, disent qu’il n’en compte pas moins d’une dizaine.
Une d’entre elles ne manque pas de génie. Prétextant une grossesse dont notre général serait l’auteur, elle somme ce dernier de l’envoyer accoucher en France. Le général s’exécuta (avait-il le courage d’en décider autrement), et envoya la jeune fille auprès d’une de ses sœurs installée dans la capitale française. Le séjour en France de la future maman coûte plusieurs millions de FCFA à notre général. Jusqu’au jour où, il s’entend dire que la grossesse s’en est allée mystérieusement et que la jeune fille est de retour à Brazza.
Abusant de la naïveté de notre général, la jeune fille monte un autre deal : maman a chantier à Pointe-noire, le devis émis par les maçons fait 60 millions de FCFA. Le général, mwana ya ngana, a pesa, a tala té, n’alla pas par quatre chemins. Le soir, il vient déposer le pactole devant servir à la construction de la maison de sa belle-mère à Pointe-Noire, ainsi que les frais de séjour de sa dulcinée.
Celle-ci s’embarque pour Pointe-Noire. Dans la ville océane, elle ne passe pas inaperçue. Elle achète des vêtements de luxe, des bijoux et mène une vie accélérée au point de dilapider les fonds ramenés de Brazzaville en un laps de temps. Qu’à cela ne tienne. Elle joint son amant et lui annonce que les 60 millions n’ont pas suffit à achever le chantier de maman; il en faut 20 millions de plus. Papa a pesa a tala té ne discute pas, il met la main à la poche et envoie la somme exigée.
Un jour, il découvre le mensonge et apprend que sa dulcinée était aussi l’amante du commandant de la zone militaire de Ponte-Noire, le général Ollessongo. Pris de colère, Nianga Mbouala décide de couper les ponts. Privée de bonheur et d’honneur, la jeune fille a fini par faire un AVC et passe les pires moments de sa vie auprès de sa famille à Moukondo.
ETEYA BINO FIMBO NA FIMBO GAZ NA GAZ
Notre commentaire: Il n’ya aura plus d’autre comedie dite conference nationale souveraine qui avait de souveraine que nom alors teleguidee par l’empire francais qui bloquait les conferenciers de voir tous les dossiers et surtout preside par un prelat qui avait cru avoir vu dieu plus que le reste des Congolais.
Il n’y aura non plus d’autre comedie nommee ceremonie de lavement des mains macules de tous genres de crimes.
Cette fois-ci,il y aura une vraie justice populaire compose de juges impartiaux et competents.
Cette fois-ci,il y aura un vaste audit dans tous les domains de la vie du pays.
Tous les dossiers examines et ils seront passes au peigne fin un par un.
La peine de mort sera reintroduite dans le code penal a cet effet.Depuis le 31 juillet 1969,tous ceux qui ont vole,tous ceux qui continuent a voler et tous ceux qui participant inclus les etrangers a la destruction du patrimoine commun des Congolais rendront les comptes,ils rendront gorge
.
Pour répondre au fils du pays, je partage son avis qu’il faudra juger tous ces voyous mais pas selon leurs règles.
Selon les règles démocratiques avec une justice indépendante dans un état de droit ou ce
n’est pas le pouvoir qui édicte les peines.
Sinon à quoi cela sert de changer le régime.
La peine de mort par contre doit évidemment être supprimée définitivement.
Vraiment cet ONDONGO est un voyou de la pire espèce. UN CRIMINEL ÉCONOMIQUE qui a dilapidé tout le travail d’ ANDELY ET DE PACIFIQUE ISSOIBEKA ses prédécesseurs.
Et dire que je l’ai parfois soutenu comme un ancien de PARIS2…
Des ramassis de docteurs en économie sans substance intellectuelle , si ce n’est avoir téléchargé des thèses des autres .
ODONGO ou une imposture intellectuelle , comme on en trouve dans l’île de sassouland .Partout où il est passé , on compte des cadavres dans les placards des ministères dont il avait la charge
On parle des milliards disparus à son époque au ministère du travail.
L’homme a une pathologie addictionnelle au vol des deniers publics , au même titre que KIKI auquel il n’a rien à envier en matière de mafia financière .
Mais le CONGO post SASSOU se rappellera à leurs souvenirs .
La loge sorcière de SASSOU s’est fait un nom à coup de petro-CFA dans le gotha maçonnique mondial. Mais les pratiques demeurent celles de petits voyou de bas quartiers. Alors que MOBUTU fut recalé pour cause de » TROP DE SANG SUR LES MAINS » SASSOU continue à être reçu dans les cercles de la maçonnerie mercantile française.
Ah Encore la FRANCE…
PRIÈRE:
» AH! MAÇONNERIE MERCANTILE FRANÇAISE SORS DE CE CORPS!… SORS DU CONGO! »
De la désobéissance civile
Je crois que nous devrions être hommes d’abord et sujets ensuite. Il n’est pas souhaitable de cultiver le même respect pour la loi et pour le bien. La seule obligation qui m’incombe est de faire bien. On a dit assez justement qu’un groupement d’hommes n’a pas de conscience, mais un groupement d’hommes consciencieux devient un groupement doué de conscience.
La loi n’a jamais rendu les hommes un brin plus justes, et par l’effet du respect qu’ils lui témoignent les gens les mieux intentionnés se font chaque jour les commis de l’injustice.
Le résultat courant et naturel d’un respect indu pour la loi, c’est qu’on peut voir des magistrats, des militaires, colonels, capitaines, caporaux et simples soldats, policiers et toute la clique, jouant au jeu de maintien d’une soi-disant paix dans une discipline presque stalinienne contre leur gré, que dis-je? contre leur bon sens et contre leur conscience pour la plupart, ce qui rend la situation sociale, économique et politique plus éprouvante pour maintenir un porter un régime dictatorial qui, petit-à-petit, détruit les fondements de notre société.
Ils n’en doutent pas le moins du monde: c’est une vilaine affaire que celle où ils sont engagés. Ils ont tous des dispositions pacifiques. Or, que sont-ils? Des hommes vraiment?, ou bien des petits fortins, des magasins ambulants au service d’un personnage sans scrupules qui détient le pouvoir?
C’est eux l’armée, et la milice, les geôliers, les gendarmes, la force publique, etc. La plupart du temps sans exercer du tout leur libre jugement ou leur sens moral; au contraire, ils se ravalent au niveau du bois, de la terre et des pierres et on doit pouvoir fabriquer de ces automates qui rendront le même service. Ceux-là ne commandent pas plus le respect qu’un bonhomme de paille ou une motte de terre. Ils ont la même valeur marchande que des chevaux et des chiens. Et pourtant dans la logique de la dictature on les tient pour de bons citoyens. D’autres, comme la plupart des législateurs, des politiciens, des juristes, des ministres et des fonctionnaires, servent surtout l’État avec leur intellect et, comme ils font rarement de distinctions morales, il arrive que sans le vouloir, ils servent le Démon.
Une élite, les héros, les patriotes, les martyrs, les réformateurs au sens noble du terme, et des hommes, mettent aussi leur conscience au service de l’État et en viennent forcément, pour la plupart à lui résister. Ils sont couramment traités par lui en ennemis. Un sage ne servira qu’en sa qualité d’homme et ne se laissera pas réduire à être « la glaise » qui « bouche le trou par où soufflait le vent »; il laisse ce rôle à ses cendres pour le moins.
Quelle attitude doit adopter aujourd’hui un homme face au gouvernement congolais ? Je répondrai
qu’il ne peut sans déchoir s’y associer. Pas un instant, je ne saurais reconnaître pour ce gouvernement cette organisation politique qui est aussi le gouvernement de la mort et de l’embastillement.
Tous les hommes reconnaissent le droit à la révolution, c’est-à-dire le droit de refuser fidélité et
allégeance au gouvernement et le droit de lui résister quand sa tyrannie ou son incapacité sont notoires et intolérables.
Le gouvernement congolais est comme une machine dont les frictions dégénèrent en oppression et vol organisés, alors je dis « débarrassons-nous de cette machine ». En d’autres termes, lorsqu’une minorité de la population d’une nation qui se prétend le havre de la liberté est composé d’esclaves, et que tout un pays est injustement persécuté et soumis à la loi martiale, je pense qu’il n’est pas trop tôt pour les honnêtes gens de se soulever et de passer à la révolte. Ce devoir est d’autant plus impérieux que ce n’est pas notre pays qui est envahi, mais que c’est nous l’envahisseur.
En langage clair, ce n’est pas la kyrielle de politiciens véreux qui s’oppose à la destitution du petit dictateur de Brazzaville mais la kyrielle de citoyens qui s’intéressent davantage à leurs petits avantages matériels, essentiellement composés des « nguiris » et de la masse des indifférents tribalisés qui créent les conditions de maintien au pouvoir de notre petit dictacteur de Brazzaville à tout prix.
Je ne cherche pas querelle à des ennemis lointains, la France, l’UA, l’UE, etc. mais à ceux qui, tout près de moi, collaborent avec la dictature et lui sont soumis: privés d’aide cette dictature serait inoffensive et détruite. Nous sommes accoutumés de dire que la masse des hommes n’est pas prête; mais le progrès est lent, parce que l’élite n’est, matériellement, ni plus avisée ni meilleure que la masse.
Le plus important n’est pas que vous soyez au nombre des bonnes gens mais qu’il existe quelque part une bonté absolue, car cela fera lever toute la pâte. Il y a des milliers de gens qui par principe s’opposent à la dictature et à la guerre mais qui, en pratique, ne font rien pour y mettre un terme; restent plantés les mains dans les poches à dire qu’ils ne savent que faire et ne font rien. Quel est le cours d’un honnête homme et d’un patriote aujourd’hui? On tergiverse, on déplore et quelquefois on pétitionne, mais on n’entreprend rien de sérieux ni d’effectif. On attend, avec bienveillance, que d’autres remédient au mal, afin de n’avoir plus à le déplorer. Tout au plus, offre-t-on un maigre encouragement.
Comment peut-on se contenter d’avoir tout bonnement une opinion et se complaire à ça ? Quel plaisir peut-on trouver à entretenir l’opinion qu’on est opprimé ? Si votre voisin vous doit de l’argent, ne serait-ce qu’un Euro, vous ne vous bornez pas à constater, à proclamer qu’il vous a roulé, ni même à faire une pétition pour qu’il vous restitue votre dû; vous prenez sur-le champ des mesures énergiques pour rentrer dans votre argent et vous assurer contre toute nouvelle fraude. L’action fondée sur un principe, la perception et l’accomplissement de ce qui est juste, voilà qui change la face des choses et des relations; elle est révolutionnaire par essence.
Sous un gouvernement qui emprisonne quiconque injustement, la véritable place d’un homme juste est aussi en prison. La place qui convient aujourd’hui, la dictature ait prévue pour ses esprits les plus libres et les moins abattus, c’est la prison d’État. Ce dernier les met dehors et leur ferme la porte au nez. Ne se sont-ils pas mis dehors eux-mêmes, de par leurs principes? C’est là que nos chers leaders d’opinions parfois divergentes se retrouveront, sur ce terrain isolé, mais libre et honorable où l’État relègue ceux qui ne sont pas avec lui, mais contre lui: c’est, au sein d’un État tortionnaire, le seul domicile où un homme libre puisse trouver un gîte honorable. S’il y en a pour penser que leur influence y perdrait et que leur voix ne blesserait plus l’oreille de l’État, qu’ils n’apparaîtraient plus comme l’ennemi menaçant ses murailles, ceux-là ignorent de combien la vérité est plus forte que l’erreur, de combien plus d’éloquence et d’efficacité est doué dans sa lutte contre l’injustice l’homme qui l’a éprouvée un peu dans sa personne même.
Une minorité ne peut rien tant qu’elle se conforme à la majorité; ce n’est même pas alors une minorité.Mais elle est irrésistible lorsqu’elle fait obstruction de tout son poids. S’il n’est d’autre alternative que celle-ci: garder tous les justes en prison ou bien abandonner le pouvoir, l’asservissement, l’État n’hésitera pas à choisir. Si un millier d’hommes devaient s’abstenir d’obéir aux lois scélérates, payer leurs impôts cette année, ce ne serait pas une initiative aussi brutale et sanglante que celle qui consisterait à les régler, et à permettre ainsi à l’État de commettre des violences et de verser le sang innocent. Cela définit, en fait, une révolution pacifique, dans la mesure où pareille chose est possible.
Si le percepteur ou quelque autre fonctionnaire me demande : « Mais que dois-je faire? », je lui réponds: « Si vous voulez vraiment faire quelque chose, démissionnez! » Quand le sujet a refusé obéissance et que le fonctionnaire démissionne, alors la révolution est accomplie. Même à supposer que le sang coule. N’y a-t-il pas effusion de sang quand la conscience est blessée ? Par une telle blessure s’écoulent la dignité et l’immortalité véritable de la personne humaine qui meurt, vidée de son sang pour l’éternité. Je vois ce sang-là couler aujourd’hui.
Ainsi l’État n’affronte jamais délibérément le sens intellectuel et moral d’un homme, mais unique-ment son être physique, ses sens. Il ne dispose contre nous ni d’un esprit ni d’une dignité supérieurs, mais de la seule supériorité physique. Je ne suis pas né pour qu’on me force. Je veux respirer à ma guise.
Ce mois de juillet voit naître cette résistance pacifique. Nous devons tous y adhérer avec pour seul objectif de liberté au-delà de notre appartenance éthnique ou régionale.
Vive la désobéissance civile !
Vive l’opposition congolaise !
Vive le Congo libre !
Mes Chers amis,l’esprit destructif Denis Sassou alias de Mister eight per cent,son pct,son clan,ses ministres,ses enfants,ses parents,ses courtisans et tous ceux qui gravitent autour de lui est vraiment pathologie.
Au Congo,avant que Denis Sassou et ses amis assassinent Mr Ngouabi le Congo n’avait deux plus reconnus entrepreneurs,Tsie Tsie et Ebina,deux hommes qui ont cree de la recherche avec la sueur de leurs fronts.Des l’Assassinat de Mr Ngouabi par Mister eight per cent et sa clique du CMP subitement l’homme comme Mr Ossète Jonas devient entrepreneur et propriétaire de SavCongo compagnie publique créée par l’intègre et Manager hors paire le défunt President Massamba Debat.Donc Ossète Jonas du metier de menuisier-charpentier devient du jour au lendemain industriel ainsi débuta la folie destructive jusqu’aux jours d’aujourd’hui du patrimoine commun des Congolais par Mr Denis Sassou,son pct,ses equipes successives,les membres d’équipe du president Lissouba a l’exception de l’équipe de Mr Milongo,le reste tous sont des charognards d’un autre age qui pillent et détruisent le Congo avec les étrangers venus des quatre coins du monde.
Le Congo legue par nos ancetres est devenu la charogne de tous les vautours locaux et internationaux dont Mr Denis Sassou alias Mister eight per cent et ses amis de tous bords,anciens comme nouveaux ont ouvert la porte largement.
Le Congo renaitra de ses cendres.Il n’y a pas un mal qui dure cent ans (100 ans)et il n’y aucun peuple qui le supporte dixit Fidel Castro
@LE FILS DU PAYS ; notions historiques , je valide .
Karl Max a dit quelque chose de très important: que » l’on connait les hommes par la pratique social » Au Congo on nomme les hommes sans connaitre leurs éthique, souvent des hommes et des femmes sans vertus politique. La compétence ne suffit pas il faut y ajouter la vertu.
Congolais, levons nous comme le demande notre hymne national. Surtout ne nous leurrons pas sassouffit est un criminel naît c’est dans son sang. Il ne peut plus sortir le congo du trou ou il la enfoncer avec sa famille. Des lors pour l’arrêter il faut la désobéissance civile. Même pire criminel il ne pourra pas tuer tout les congolais ni renvoyer tous de la fonction publique. Imaginons un pays sans administratif ni état
Quelque fois se retirer de ce combat peut être une meilleure stratégie de survie personnelle. Non! Le retrait ne sera pas ce signe qui donne raison à Sassou et son système, mais la deception de voir que, ceux qui le combattent ne l’affrontent pas sur un terrain approprié. Sûr soit disant de vaincre leur bourreau sempiternel, Il se laissent vite allez à son jeu et facilement se font dévorer, sans même d’avoir le temps de réaliser leur erreur de jugement.
Depuis 1963, donc pendant 53ans, une même personne (SASSOU NGUESSO) appliquant la même methode ( PARVENIR A LA DOMINATION COMPLETE EN USANT DE LA DIVERSION ) , sur un même peuple ( CONGOLAIS ) et nous ne parvenons toujours pas à dessiller nos yeux. De Sassou ou des congolais, quelle est en definitive la partie idiote dans ce « face à face » ? Exempt le risque de me tromper, je répondrai qu’il n’y ait de peuple aussi idiot que les congolais.
Rien ne sert d’étaler les soit disants diplômes dont se targuent le pseudo inyellectuel du Congo. La discipline personnelle exigerait que lorsque les concepts engendrent la confusion mentale, il vaut mieux revenir à une perception élémentaire. Ce retour à l’élémentaire peut être salutaire pour l’ensemble de la communauté.
De nos écoles primaires des années 60 et 70, nous nous rappellerons la fameuse formule:
ECONOMIE= GAIN -(moins) DEPENSE.
Si après que nous ayant payé nos factures et toutes les nécessités il nous reste une portion de notre gain, l’economie est positive. Car on fait du « savings ». Nos parents au Congo disent: mu’ mé economisé.
Sassou a empoché des sommes astronomiques des ventes du petrole, du bois, des entrees fiscales, etc…. De cet argent, il avait été contraint d’ouvrir une fenêtre qui garantisse un héritage pour des générations dites futures. Le Congo, je l’ai visité l’été passé après l’avoir quitté en 1993 pour me construire une vision anglo-saxonne, plus réaliste et plus pragmatique. Choqué du chisme ethno-regiono-societal que je découvrais dans vos commentaires, l’état du Congo que j’ai eu la curiosité de visiter, région par région, ne trouve aucun justificatif quant à la destination évasive de son argent.
Pour couper net, LE CONGO N’EST PAS EN FAILLITE. Son argent existe et celui-ci est caché par le clan ayant pris le pays en otage, pour mieux dominer, pour mieux asservir, pour mieux assujetir.
Souvenez-vous que lorsque le PM A. Milongo prend les cles de la primature, il retrouve le cash congolais à 20 fcfa, au trésor public. Le Congo qui avait une belle petite survie passa au regime de salaires impayés et ceci donna même à Justin Lekounzou l’odace de dire « gouvernement ya nzala ».
La fameuse CNS tant vantee passa a côté pour que la justice ne s’ensuive. En 1992, Pr Pascal Lissouba élu, ne trouvèrent ni sous et pire, même le palais presidentiel est pillé par Sassou Nguesso. Ce ne sont pas des détails inutiles pour un peuple qui tient à faire avancer leur pays.
Ondongo n’est pas un homme du peuple ou un fils du Congo. Ondongo est un homme du systeme Sassou, engendré par lui, lié à l’ensemble et tous travaillons pour le meme but. S’il parle d’argent depensé il veut juste nous dire que tout ce qu’ils ont volé est mis à l’écart. On reprend à zéro en endettant le Congo jusqu’à l’assujetissement complete.
Donc, il ne s’agit pas ici de rapporter les douleurs patriotiques comme le viserait Sassou et sa petite bande. Il s’agit de prouver notre fermeté sur le principe: SASSOUFIT! CE SYSTEME EST A ABATTRE COUTE QUE COUTE.
Aux Compatriotes charges d’élaborer les textes pour le nouveau Congo,tenez en compte ce que j’avance ici.La nouvelle maison post pct doit être en ordre.
Au Congo post Denis Sassou alias Mister eight per cent et see amis du pct,parmi les structures a mettre en place avec leur garde-fou,il y aura la déchéance de la nationalité Congolaise a tous les étrangers qui sera remplacée par la carte de resident pour ceux qui justifieront la raison valide de leur presence au Congo,il y aura le ministère pour l’investissement étrangère pour que les chinois ne viennent plus vendre les nemes,le manioc,les arachides etc,pour que les pakistanais ne viennent plus vendre les marchandises achetees a 1euro et revendues a prix d’or,pour que les libanais ne viennent plus blanchir l’argent sale dans les croissaneries,tout ce que je viens de citer n’est investissement que dans tete de Mr Sassou et ses amis du pct.Ce ne sont pas les investissements,c’est du n’importe quoi,c’est la porte d’entree des étrangers pour la plupart invites par Denis Sassou et ses amis pour piller et siphonner l’argent du Congo.Prenez l’exemple de MHojeij,Libanais et amis de Sassou qui demande les gros sous au Congo avec son commisimpex.Fevrier 2015,70 libanais débarquent a l’aéroport A Neto de loango,ils n’ont pas de visa,un agent d’immigration les retient,un coup de fil de la mafia d’Oyo intime l’ordre de les laisser passer les frontières.
Mes Chers Compatriotes,Mr Sassou et ses amis de tous bords doivent rendre les comptes de leur 48 ans d’activités délicieuses.
@webmaster , excellence , VEUILLEZ PUBLIER , les séquences des images issues de la conférence européenne sur l’AFRIQUE et notamment sur Le congo .
Toutefois , je signale aux compatriotes , le refus par les partis socialistes et ceux de la droite , d’organiser , une commission chargée de statuer sur le cas congolais .
Depuis mercredi , nous sommes à BRUXELLES
Nonobstant ; ce hiatus précité , nous sommes en droit de penser que , la fin est proche et nous entrevoyons le bout du tunnel .
LE NOM DE SASSOU est jeté en pâture , sur tout BRUXELLES , même les chiens y résidant , en sont informés .
Plusieurs députés européens , sont outillés sur la dictature congolaise imposée , au peuple congolais par DEGAT SASSOU .
Nous allons continuer , à limer le fer jusqu’à sa dislocation .
BRAVO CHERS COMBATTANTS DE LA LIBERTÉ ET PARTICULIÈREMENT AUX INTERVENANTS SUR CE SITE QUI SONT AUSSI SUR LE TERRAIN!!!
Le pouvoir va organiser une situation comme celle du 04 avril lors de la publication des faux résultats par ordre du président JDO, Nianga Mbouala et autres en utilisant le général Ndenguet et les hommes d’Hydevert dans les secteur de la maison d’arrêt en créant ainsi la panique dans toute la ville. Ensuite 15 mercenaires vont pénétrer a la maison d’arrêt faire sortir les prisonniers et assassiner le GÉNÉRAL MOKOKO ,en donnant la version selon laquelle, le GÉNÉRAL MOKOKO a reçu une balle lors de l’intervention des partisans de l’opposition qui ont attaquer la MAISON d D’ARRÊT pour le libérer. Dans l’échange des tires avec l l’armée,il a reçu une balle……
Source Sukissa
L’apres Sassou impose que soit mis a plat tout le systeme Congo afin de tout reprendre, en vue d’un apport consequent pour une bienseance et un meilleur bien-etre au Congo.
ça ne me surprend pas. Voyez comment la sécurité engloutit les finances publiques. je vous assure qu’au bout de cette histoire farfelue de Ntoumi et les ninjas, il y ‘aura tant de nouveaux entrepreneurs. mais avant cela, que de dégâts!
Inutile de se lancer dans la moralisation, sassou nguesso s’en fout de la fermeture des entreprises, des licenciements… pour lui, une seule chose compte, sa sécurité au pouvoir.
A vous de trouver la solution à cette donne.