Par Hervé Zebrowski dernier secrétaire de Monseigneur Ernest Kombo, président de la Conférence Nationale Souveraine en 1991, mort à Paris le 22 Octobre 2008.
Il y a quarante ans, très exactement le 31 Janvier 1977, la République Populaire du Congo Brazzaville nouait des relations diplomatiques avec l’Etat du Vatican. Le premier nonce apostolique, l’ambassadeur de l’Etat du Vatican à Brazzaville, fut Monseigneur Oriano Quillici. Et si tout le monde au Congo Brazzaville l’ignore, ou a oublié cette date, le Vatican, lui, se souvient de cet évènement inconcevable en ces années de la guerre froide : la reconnaissance par un Etat communiste de l’Etat du Vatican. Aujourd’hui encore, cette date marque avec entêtement l’entrée de la République du Congo Brazzaville dans une longue nuit de quarante ans, peuplée de sacrifices humains, de massacres, de misère morale autant que matérielle, de guerres monstrueuses, de compromissions indéfendables avec les plus grands responsables politiques ou religieux du monde occidental dit civilisé et chrétien.
Dans l’Eglise Catholique qui est au Congo, en janvier 2017, un cinquième jeune prêtre du diocèse de Nkayi est mort ; cinq jeunes prêtres en un an ! Que se passe-t-il dans l’Eglise qui est au Congo Brazzaville ? Quel monstre y exerce-t-il un pouvoir ? Tout refuge, toute espérance est interdite au Congo Brazzaville. Même dans l’Eglise Catholique.
C’est pourtant avec une immense espérance que le pape Paul VI reçut le 31 Janvier 1977 la nouvelle de la reconnaissance de l’Etat du Vatican par le chef d’un Etat communiste d’Afrique centrale : le président Marien Ngouabi. Il faut se resituer dans le contexte géopolitique et diplomatique de ces années de la guerre froide pour comprendre le courage inouï qui fut celui du président Marien Ngouabi. Par ce geste il montrait au monde entier qu’il entendait s’affranchir des dogmes creux et mortifères du « socialisme scientifique » qu’il avait défendu avec sincérité et ardeur durant quinze ans. Par ce geste de reconnaissance de l’Etat du Vatican, il indiquait clairement qu’il allait rejoindre la voie plus pragmatique, plus inspirée d’un « socialisme Bantou » dont Alphonse Massemba Debat était le grand chantre. Ces deux chefs politiques du Congo Brazzaville, dont l’intégrité intellectuelle et morale était reconnue par tout le peuple congolais, s’étaient assis autour d’une table pour imaginer une nouvelle constitution, de nouvelles institutions susceptibles de donner un élan plus démocratique, plus adapté aux profondeurs de l’âme congolaise, aux réalités du Peuple que Dieu leur avait confié.
Le socialisme scientifique excluait de façon dogmatique, comme à Moscou et à Cuba, toute idée de l’intervention de Dieu dans la vie des hommes ; le socialisme Bantou, quant à lui, tout en laissant une totale liberté à l’homme, acceptait l’idée de Dieu intervenant dans la vie des Peuples. Paul VI et Emile Biayenda, qui avait été créé premier cardinal d’Afrique centrale en 1973, furent, tous les deux aussi, les grands acteurs de cette espérance nouvelle dans laquelle ce 31 Janvier 1977 se proposait d’entrer la République Populaire du Congo Brazzaville : cette espérance d’un socialisme Bantou qui partagerait équitablement entre tous ses enfants les fruits de cette terre du Congo où coulent le lait et le miel ; cette terre du Congo débordant de richesses que le Père a donné à ses enfants. En 1977, dix-sept ans après les indépendances, treize ans avant la chute du mur de Berlin, le Congo Brazzaville, inspiré par des fils magnifiques, sous le regard attentif de Paul VI et donc de tout l’occident chrétien, se préparait à retrouver la voie originale du socialisme Bantou permettant l’émergence d’une société démocratique, d’une économie de partage et d’une politique de développement des hommes. (En 1968, 95% des Congolais sont scolarisés, qu’en est-il aujourd’hui ?)
Comme en Europe et aux Etats Unis plus tard, au temps de la fondation des jeunes nations occidentales, Dieu se trouvait au cœur des peuples en marche. C’était insupportable pour Moscou et Cuba. Mais au Congo Brazzaville le Diable veillait. Lui, il faut en être sûr, n’était pas habité par une quelconque idée de socialisme, qu’il soit d’essence scientifique ou Bantou. Le Diable avait pris le visage d’un homme qu’il avait porté par sa puissance au rang de ministre de la Défense et de chef de la Sécurité.
Le Diable s’était emparé de cet homme qui, entouré de quelques ténébreux apôtres à sa dévotion, avait lui-même décidé librement de le choisir pour maitre afin de pouvoir dominer le Congo Brazzaville puis l’Afrique centrale et pourquoi pas le monde tout entier… Chacun d’entre nous en effet connait les dix commandements du Malin et le Christ lui-même, au désert, dut rejeter ces tentations… Tu n’adoreras qu’un seul maitre, moi, le Diable, tu tueras, tu voleras, tu porteras de faux témoignages, tu n’honoreras pas tes parents en commettant l’inceste, tu commettras l’adultère, tu jalouseras ton voisin …. Et je te donnerai la terre en héritage. Que savons-nous du Bien, nous pauvres hommes, pas grand-chose, car personne, hormis le Fils de l’Homme, n’a jamais vu Dieu. Mais cependant, du Mal, nous savons tout et il nous suffit de lui ouvrir notre âme et notre cœur, de nous mettre à son service délibérément, de le choisir pour maitre, pour avoir, un temps du moins, l’illusion de dominer le monde. Staline l’a fait, en poussant la logique du socialisme scientifique jusqu’au bout, Hitler l’a fait, en affirmant la domination de la race arienne sur le monde et en exterminant la moitié du peuple qui a donné le Christ au monde, Sassou Nguesso l’a fait en décimant son propre peuple pour s’accaparer les richesses d’une terre magnifique donnée à tous les Congolais par le Créateur. Il l’a fait pendant quarante ans, sous le regard cupide et complice du monde occidental et notamment de mon pays la France et de la ville où se portent toute mon espérance et ma foi en Christ ressuscité : Rome.
Alors j’ai fait un rêve :
Au bord de l’Alima, dans un endroit familier au pharaon Denis et à son épouse Antoinette, existe une sorte de chapelle étrange où se trouvent de très nombreuses reliques de ces quarante ans de règne sans partage. Ces reliques sont celles d’hommes magnifiques qui ont marqué nos cœurs et nos âmes et qui continuent par-delà leur mort, toujours atroce, à nous montrer le chemin. (Gravement blessé par sa garde congolaise, Marien Ngouabi fut achevé par sa garde cubaine, Massamba Debat fut si atrocement torturé que son corps ne fut jamais rendu à sa famille et Emile Biayenda fut enterré vivant au cimetière d’Itatolo).
Ces âmes, en ce lieu de ténèbres, ne reposent pas en paix. Ces âmes magnifiques sont en errance au-dessus de l’Alima. Elles supplient le pharaon Denis et sa femme Antoinette de laisser à d’autres le soin de conduire leur peuple. Ces âmes sont par milliers. A la tête de ce cortège silencieux marchent ceux que nous connaissons bien : Emile Biayenda, Alphonse Massemba Debat, Marien Ngouabi, Georges Firmin Singha qui, lui, s’adresse plus particulièrement à la reine Antoinette et à ses petits prêtres du Binkoko, Barthélémy Batantu et bien sûr à mon père spirituel, ce géant en Christ ressuscité que j’ai eu l’honneur de servir, Ernest Kombo. Dans son testament qu’il m’a remis quelques jours avant sa mort, Ernest écrivit : « Je veux reposer à coté de Marien Ngouabi et d’Alphonse Massemba Debat. » Ernest savait bien que son testament serait respecté à la lettre et qu’il reposerait lui aussi dans cette étrange chapelle de l’Alima. Ernest nous dit aussi dans ce testament: « que les ancêtres et les saints, le cardinal Emile Biayenda et Monseigneur Georges Firmin Singha, par la miséricorde de Dieu et l’intercession de la mère du Sauveur m’accueillent auprès de Jésus miséricordieux. » Ernest Kombo voulait sauver tous les hommes y compris ce fils de l’Alima qu’il voulait exorciser. Il est mort pour cela. Alors avant de partir vers les enfers pour toujours, entrainés par le Diable et les Binkoko, j’ai vu Denis et Antoinette entendre la supplique de toutes ces âmes errant au-dessus de leur case de l’Alima. Ces âmes magnifiques leur disaient : « Laissez Moise et ses frères reconstruire la terre promise qui a été donnée aux Congolais, cette terre où coulent en abondance le lait et le miel pour tous. Dieu est miséricorde.» C’est alors que dans mon rêve j’ai vu Moise et tous ses frères sortir de la prison et de leur exil. C’est alors aussi que j’ai vu à Paris mes chefs politiques et militaires entendre eux aussi la voix de ces suppliciés qu’ils connaissent. C’est alors qu’à Rome j’ai vu le pape François allumer une lumière, celle du Saint Cardinal Emile Biayenda enfin canonisé, éclairant ainsi tous les martyrs du Congo mais surtout, surtout, éclairant notre route pour rebâtir au centre de l’Afrique une terre de paix et de prospérité et inverser les flux migratoires ici en Europe. Cardinal Emile Biayenda, Alphonse Massemba Debat, Marien Ngouabi, Georges Firmin Singha, Barthélémy Batantu, Jean Guth, Ernest Kombo…….
Santo Subito.
Par Hervé Zebrowski
Diffusé le 17 janvier 2017, par www.congo-liberty.org
Cet texte, qui est laborieusement conçu nous rappelle bien de choses sur l’origine des malheurs du peuple congolais, mais aussi identifie clairement l’auteur sinon l’artisan de ces nombreux malheurs, j’ai nommé Denis Sassou Nguesso, qui continue, malheureusement, à sévir tel un ogre recevant ses ordres directement de Lucifer, si ce n’est lui-même en chair et en os, à en juger par ses actes odieux…
Malgré tout, Dieu nous a donné le pouvoir de le vaincre, c’est donc à nous, Congolais de tous bords, de conjuguer nos efforts, en s’unissant le plus possible, pour libérer notre pays et nos concitoyens. Ne comptons d’abord et surtout que sur nous-mêmes, en commençant par soutenir la résistance du Révérend Pasteur NTUMI, par tous les moyens possibles, pourvu que le diable soit confondu.
De cette victoire dépendront toutes les autres, dont celle de la libération de tous les prisonniers politiques, et de l’alternance politique pacifique dans notre cher et beau pays.
Cette photo de nos deux héros souriant, le président Marien Ngouabi et le Cardinal Emile Biayenda, assassinés dans des conditions effroyables il y a 40 ans, doit nous revigorer dans notre combat pour la paix, l’unité nationale et la démocratie…
Vive le Congo, uni et indivisible !
LE DIABLE EST DEVENU PRESIDENT ET DE LA LIBYE ET DU CONGO
Dans ce long couloir du bâtiment principal du petit séminaire de Mbamou, il m’arrivait de m’attarder sur quelques images et photos accrochées au mur. Il y’en avait une qui m’impressionnait particulièrement, celle d’un cardinal noir dans les années 60 : le cardinal Malula, nommé par le Vatican en 1969. Premier cardinal de la RDC et d’Afrique centrale. Juste pour corriger cette petite erreur.
Je ne fais pas la même lecture concernant Ngouabi. Les convictions marxistes donc du socialisme scientifique n »étaient pas évidentes. Je ne suis pas convaincu non plus que Noumazalaye était socialiste convaincu. Ce courant pro-Noumazalaye a déstabilisé le pouvoir de Massamba Débat et le poussera à la démission en 1969, année d’accès au pouvoir de Ngouabi. Ces jeunes officiers de la partie septentrionale (Ngouabi, Yhombi et Sassou ) avaient-ils des convictions socialistes ou voulaient -ils tout simplement s’emparer du pouvoir ? L’avenir nous donnera la réponse par le biais de nos amis du M22. Ils ont créé une créature, l’instrumentalisation du tribalisme, qui a fini par dévorer celui qui lui avait insufflé le premier souffle.
Cette créature ne voulait pas mourir et il n’était pas prêt de l’être parce qu’il avait encore 2 pères qui le nourrissaient grassement. Elle continue à vivre et à hanter nos nuits, même nos jours. Nous devons la détruire pour conjurer la malédiction ou la détourner pour en faire une arme contre le dernier père nourricier, Sassou. Cette créature est en train de perdre l’essence même de son existence : ne manger que les gens du sud. Sassou est en train de modifier son régime en lui donnant à manger aussi les enfants du nord. Elle ne sait plus et en train de perdre ses repères. C’est le moment de la retourner contre son dernier père pour le dévorer. Après cela nous la tuerons, place de la mairie, à Brazzaville. Cette créature, une duperie, finira dans les eaux tumultueuses du fleuve. Nous n’en voulons plus.
Tous les enfants qu’elle a dévorés, du sud et du nord ont affaibli à tour de rôle toutes les parties vitales de son organisme. Nous combattrons avec la même force tous ceux, d’où qu’ils viennent, voudront créer encore un tel monstre.
Compatriotes
intervenez en plus de congo liberty sur d’autres sites en france comme je le fais moi meme depuis fort longtemps
Et comme je je le dis si vous estimez que le probleme congolais est important évitez d’avoir une attitude endogamique en vous parlant dans l ‘entre soi
vous aller tourner en rond votre communication sera faible et personne ne vous entendra
@Lucien Pambou
RDC et Gabonais sont très impliqués dans la communication sur Twitter ; de loin le meilleur vecteur pour toucher tous les décideurs et leurs relais.
A bas les MBOCHIS muets, les endormeuses et endormeurs complaisants de tout bord, qui rêvent tous les jours, toutes les nuits, et, inénarrables et cocasses se congratulent dans la platitude qui perdure depuis dans sa banalité originale, sans faire bouger d’un iota…
En attendant les autres qui se font jaser à l’infini, les âmes se ruinent au passage. Les recettes pourries qui ont empoisonné beaucoup et continuent de causer la diarrhée invasive, naturellement, nul n’en veut plus.
Vit-on qu’une seule fois? Alors, la fin peut bien justifier les moyens.
YUMAS!
Article à retenir et à faire lire à toutes les générations du Congo
Bon,je tiens tout simplement a dire que Mr Sassou le pion, valet de l’empire français et assassin de toutes ces personnes sous les ordres de ses employeurs en occident est également ami du Vatican siege de l’Eglise dite catholique.On l’ouvre largement les portes au Vatican a Rome.Pas longtemps il était reçu au Vatican en compagnie de ses amis de l’autre secte diabolique-criminelle appellee a tort par franc maçonnerie puisqu’elle n’a rien de franc maçonnerie telle conçue par son père Imhotep(fondateur d’une philosophie noble).
Quel paradoxe !.Continuez a divertir ceux qui sont encore naifs.
Toutes les religions quelles qu’elles soient, font partie des principaux canaux d’asservissement, à travers lesquels les hommes sont à tord endoctrinés, aliénés aussi bien mentalement que culturellement ! Cela a, bien sûr un impact sur le plan spirituel.
La franc-maçonnerie , celle qui fait l’objet de plusieurs controverses, dans laquelle sont incluses les pratiques ténébreuses, tendant au sacrifice permanent des humains, n’est pas celle qui émane d’AMON RË, d’AMENHOTEP, de SETH, d’HORUS etc…
ça reste quand même, dans tous les cas un cercle vicieux, pour les esprits puritains. L’ideal serait de ne pratiquer que l’amour et rien que ça, sans s’attacher à une quelconque philosophie, fût-elle religieuse ou philanthropique.
@Dreamliner,
une fois que vous avez dit « A bas les Mbochis… » , en quoi ceci peut -il faire avancer la lutte ?
Oui il y a quarante ans que Sassou Nguesso un chef de terroristes, des assassinats du CMP (Comité Militaire du Parti) en mars 1977 et celles des guerres civiles du Congo, telle qui avait commencé le 5 juin 1997 pour se poursuivre en nettoyage ethnique de 1998 à 2003 et qui firent 400.000 victimes, » les dispaus du Beach qu’ il a commencé à renforcer sa méthode diabolique d’accuser les autres pour ses crimes contre l’humanité., « Lorsque Sassou Nguesso et Yhombi-Opango assassinent Marien Ngouabi. Quand Ils détournent les soupçons sur des innocents Laris-Bakongos qu’ils éliminent physiquement et organisent une semaine sanglante,au cours de laquelle sont opérées de nombreuses exécutions sommaires, et les malheureux sont enterrés comme des chiens, torturés avant d’être abattus ou enterrés vivants, Sassou Nguesso était passé le manipulateur nr1 de la scène congolaise et Africaine.
L’’ex-Président Massamba-Debat, dont les yeux auraient été crevés, puis dépécé et jeté en pature aux lions du parc zoologique. le Cardinal Emile Biayenda, les lieutenants Kimbouala-Nkaya, Mboro, Ontsou, ainsi que d’autres innocents étaient massacrés, alors que Sassou Nguesso est ministre de la Défense, et dirigea provisoirement l’Etat, du 18 mars au 3 avril 1977, » Ntoumi était il là? Est cet Ntoumi qui est auteur de la torture, des traitements inhumains sur les prisonniers politiques ou pas dans les prisons sales et insupportables du Congo? La liste est encore très longue des crimes, assassinnats de Sassou Nguesso.Le tyran Sassou Nguesso a rendu un vibrant hommage à sa force armée tribale et ses supplétifs qui bombardent le département du Pool depuis prèsque déjà une année, en déclarant : « Il s’agit des vaillants officiers et des braves soldats de nos forces de défense et de sécurité dont je salue l’esprit de mission, d’abnégation et de sacrifice qu’ils consentent au quotidien pour assurer notre sécurité et notre quiétude collectives. „Honte pour Sassou Nguesso et sa clique qui continuent à se livrer aux génocides dans le Pool, massacrer les Congolais au mépris des règles élémentaires des droits de l’Homme.Pendant son discours, Sassou Nguesso qui commandite depuis près ses forces à semer la mort dans le Pool,n’a pas du tout évoqué un seul mot sur les populations du Pool sous les bombes des hélicoptères, avions de Combats et sous les armes lourdes et légéres des milliers de soldats, policiers, milices, mercenaires venus de l’Afrique, du monde entier auxprès desquels ils les a livrés.Le Congo est un grand pays aux terres très fertiles et incroyablement riche en matières premières et très peu peuplé , quand un président, gouvernement sont incabable après plus de 10 ans à gagner la bataille du développement socio-économique, une telle équipes n’est pas du tout viable. Il faut que finisse le système repressif, sanguinaire et mafieu de Sassouz Nguesso pour que les Congolais vivent enfin. Sassou Nguesso et clique sont des des grands criminels, des individus sans foi ni loi. Pour 2017, Sassou-NGuesso demande à son gouvernement illégal de dire la vérité. Espérant pour cela que l’auteur de très nombreux crimes contre l’humanité, des disparus du beach, du hold-up électoral et massacre son peuple dans le département du Pool, des assassinats des présidents NGouabi, Massambat-Débat , du cardinal Biayenda, des détournements de fonds publics depuis plus de 33 ans, ainsi que du pillage systématique des revenus pétroliers, des biens mal acquis etc commence par nous dire la vérité sur les raisons qui lui pousse à agir comme il le fait depuis plus de 40 ans.Le peuple Congolais a besoin du départ sans condition de Sassou Nguesso le terroriste et de toute sa clique terroriste, mafieuse avant tout dialogue. Il ne faut plus tolérer la présence de Sassou Nguesso, le semi illétré et sa cliques . Ils sont des Terroristes, des individus dangereux. Avec eux, il n’ y aura pas de droits de l’homme, les droits humains, la liberté, individuelle, la démocratie, le développement au Congo. » Jusqu’à quand, peuple congolais, allons-nous accepter cette humiliation qui vise à détruire l’être congolais, à démolir l’être congolais, physiquement, moralement et psychologiquement? »Les Congolais conscients de nos devoir et responsabilité. Il ne reste plus à perdre un seul instant le temps.Combien de temps allons nous encore laisser le pays aux mains des terroristes, criminels, barbares du régime Sassou Nguesso qui ne se reculent en rien avec la corruption à l’échelle internationale, les biens mal acquis, l’achat des armes de guerre, à destruction massive et achat de conscience? Les enlèvements, tortures, disparitions et tueries massives,accusations mensongères montées de toute pièce sont devenus de plus en plus le lot du quotidien au Congo erigé par le système très méchant et très oppressif de Sassou Nguesso. Le Congo s’enfonce de plus en plus dans une très grave crise multidimensionnelle : crise politique, économique, sociale, morale. Voulons nous continuer de vivre ainsi? « L’accession de Sassou Nguesso au pouvoir qui apparaissait comme un banal accident de l’histoire, se révèle être une tragédie, faisant du Congo le cœur des ténèbres.Quand le monde se réveillera demain, les Bakongos et les Tékés qui peuplent la région du Pool, territoire comparable à celui de la Suisse ou de la Belgique ou encore du Rwanda, auront été exterminés. »
http://mwinda.org/congo-b/19-politique/529-sassou-et-la-dictature-du-genocide
Unissons nos efforts pour renverser sans retard, Sassou Nguesso et sa clique et sauver le Congo! La désobéissance civile bien suivie est une arme redoutable. Aux opposants, stratèges, Il faut créer les conditions d’une insurrection populaire sans retard.Une autre chose pour l’opposition surtout extérieure est d’arriver à renverser la tendance en mnatière de communication. Les réseaux sociaux font un travail formidable. Mais cela ne suffit pas. La radio et Les chaines de television du pouvoir qui se livrent à la propagande, la désinformation,captés partout dans le monde ont nettement une avance considerable pour masque la vérité sur ce qui se passé réellement au Congo.
Veuillez remettre la phrase dans son contexte évident! Qui a dit qu’elle était calibrée singulièrement pour « faire avancer la lutte »?
On a pas besoin de creuser profondément dans son intellect pour vouloir couper les cheveux en quatre à propos, et au moindre post. Nous suspectons aisément que tout le monde peut le comprendre facilement…
Serait-elle donc finalement cette potion amère qui fait réculer ‘votre’ lutte, selon vous? Si oui, navré pour votre émoi; sans commentaire de plus! Sinon, il y a bien autre chose d’interpellant dans ce paragraphe.
@Londi dit:
« une fois que vous avez dit « A bas les Mbochis… » , en quoi ceci peut -il faire avancer la lutte ? »
Une fois que vous avez posé cette question, en quoi cela fait avancer la lutte ?
Est-ce que le fait de dénoncer la mbochisation averée du pouvoir et la quasi inertie de la majorité des mbochis qui profitent directement ou indirectement du système dans une proportion largement supérieure à la moyenne, peut aller à l’encontre de la prise des initiatives pour faire avancer la lutte ?
En terme de littérature couverture de bonne intention, le pouvoir dictatorial n’a rien à envier à vos théories sur l’unité nationale et l’émergence du Congo.
S’il fallait s’en tenir à la théorie, avec tout ce qui a été produit de part et d’autres, le Congo serait une havre de paix et d’espérance pour tous.
Mais hélas, ce qui fait la différence, c’est l’action.
Et, dans le cas du Congo, il n’y a de se faire des films, les barbares au pouvoir ne seront délogés que par des coups de canons.
Ce qui fera la différence entre les barbares qui jurent l’effet quantitatif des armes, c’est la capacité à pouvoir mener une lutte intelligente visant à éliminer les têtes de réseaux.
Quant aux moyens pour y arriver, ils ne peuvent s’exposer sur un environnement suivi par de personnes de tout bord, qui rêvent d’anticiper sur ce que préparent les vaillants combattants.
Prenez donc soin de votre allergie à la critique des mbochis paresseux, et rêvant d’une vie éternelle du Dracula d’Oyo.
Dreamliner / Mado, je ne sais plus, il est parfois nécessaire d’avoir une profonde réflexion sur des phénomènes qui gangrènent notre société depuis les indépendances. Les réactions épidermiques ne sont que des manifestations agacées de toutes celles et tous ceux qui ne prennent pas le temps de poser le problème calmement et d’essayer de chercher les solutions les plus efficientes et surtout les plus durables. Vous soutenez une thèse qui n’est que la conséquence d’un phénomène construit par les assoiffés du pouvoir de tout horizon.
Dans la partie septentrionale, lors de la traque d’Anga, Sassou a massacré des concitoyens et le reste du pays n’avait pas réagi à cette tragédie qui aurait dû provoquer logiquement une condamnation unanime du reste du pays. Silence. Il commet un génocide au Pool, toutes les autres régions, même les frontalières, restent silencieuses. Silence, on tue. Le fait tribal, savamment entretenu, a creusé des sillons entre les différentes éthnies de ce pays. Les Vilis ne viendraient pas au secours des Bakongos et vice-versa, les Mbembés ne se préoccuperaient pas de ce qui arrive aux Batékés et vice-versa, etc. Sachez que cette duperie est le mal profond de ce pays, le monstre que Sassou entretient pour continuer à nous diviser et ainsi nous soumettre. C’est ici qu’il est fort. Il a, d’une façon insidieuse, instillé ce poison qui consiste à penser que tous les mbochis tirent profit des vols qu’il commet et du coup, obligés de sentir solidaires de ses crimes.
C’est un peu le débat monté de toute pièce par la droite réactionnaire en France qui demande aux paisibles Musulmans de condamer les crimes commis par des extrêmistes. En quoi tous les Musulmans sont-ils complices de ces fous furieux qui sèment la désolation dans la société occidentale ? Dans le cas du Congo, Sassou et son clan sont seuls responsables des crimes et du génocide dans le Pool. Ils sont les seuls qui doivent répondre de la banqueroute dans laquelle ils ont précipité le pays, pas tous les Mbochis dont certains vivent dans des conditions parfois plus précaires que leurs concitoyens du sud. Une armée divisée connaîtra toujours des défaites. Dans cette guerre asymétrique que nous livre Sassou, nous devons faire travailler nos têtes pour équilibrer les forces et ainsi nous donner la chance de le vaincre. Si certains de nos concitoyens croient encore à cette duperie, notre travail, ici, doit consister à leur démontrer le contraire. Si nous les pointons du doigt, nous les éloignons et de ce fait nous contribuons à élargir le fossé.
Cher compatriote, Dreamliner / Mado, le tribalisme est un fait politique mais nullement un fait social, c’est un outil de celles et ceux qui veulent s’emparer du pouvoir. N’épousons pas les schémas sociologiques laissés par le colon pour meiux nous diviser, cela nous conduit aux situations que nous avons vécues au Rwanda et au Pool. Des situations comme celles-ci personne ne sort vainqueur à part celles ou ceux qui les orchestrent.
Si vous me lisez, vous avez dû voir une stratégie et un plan d’actions que j’ai exposés, ici. Ne croyez pas que notre action s’arrête après le post. Pour cela, j’ai besoin de tout le monde dans ce pays pour le déployer donc je n’adhère pas à votre vision parce que je suis persuadé qu’elle nous conduit tout droit vers le mur que Sassou dresse pour nous contrer. Cher compatriote, je suis persuadé que vous avez tort à vouloir chercher les solutions dans cette voie. pensez-vous que je suis un rêveur, soit, le rêve ne précède-t-il pas l’idée, l’idée, l’action ?
Lu sur le net:
Un chef d’entreprise a reconnu avoir corrompu des cadres de la Société nationale des Pétroles du Congo, dont l’un des dirigeants est le fils du président Sassou Nguesso.
Ce n’est pas tous les jours qu’un chef d’entreprise avoue à voix haute qu’il a cédé à la corruption pour obtenir des marchés. Il est plus exceptionnel encore que le détail des versements soit connu au centime près et que la justice s’empare de l’affaire pour tenter de lever le voile sur les arrière-cuisines de marchés passés avec une entreprise publique africaine. C’est rare, mais c’est arrivé. Et le 13 septembre dernier, dans une salle d’audience déserte du palais de justice de Paris, un corrupteur a parlé.
Nizar Ben Abdallah, Français de 36 ans né en Tunisie, est fondateur et gérant de Consosystem, une petite entreprise spécialisée dans l’informatique. En jean et tee-shirt marron, d’une voix rauque, il admet :
« J’ai fait des erreurs, j’aurais dû faire les choses plus proprement, j’ai pris conscience de la gravité des faits. »
Son client, la Société nationale des Pétroles du Congo (SNPC), n’est pas une banale entreprise. Elle gère une production de 35.000 barils d’or noir par jour. Et Denis Christel Sassou Nguesso, le fils du président en exercice, surnommé dans le pays « Kiki le pétrolier », est le PDG de sa filiale de distribution.
Plusieurs milliers d’euros versés… par virement
Sur procès-verbal, devant les policiers de l’Office central pour la Répression de la Grande Délinquance financière (OCRGDF), Nizar Ben Abdallah a expliqué benoîtement que « s’[il] n’avai[t] pas versé ces commissions, [il] n’aurai[t] pas pu avoir de missions car en Afrique, ça se passe comme ça, c’est monnaie courante, c’est un sport national ».
Au très respectable D. Londi !
Il me semble que Dreamliner fait allusion aux Mbochi muets, ceux qui sont complaisants, laissant faire, sans bouger d’un iota…, et non de tous les Mbochis
Je présente mes excuses à Dreamliner si j’ai déformé sa pensée !
« Quand les envahisseurs européens ont occuper l’Afrique, nous avions nos terres, eux n’avaient que la Bible. Ils nous ont obliger à prier les yeux fermés, lorsque nous les avons ouverts, les imposteurs blancs avaient la terre et nous la Bible » (Jomoh Kenyatta)
@ David,
Pas de soucis du tout. C’est entre nous à la fin, pour un objectif ultime. Du moins, j’ose l’espérer encore! Seulement, on ne peut plus se permettre de laisser rien au hasard.
Entre-temps, dans cette optique, une autre heure est arrivée du côté du Potomac, pour nous de pomper sans mesure, une grosse bouffée de chaleur à Hussein pour sa capacité révélée nubile, et l’envoyer balader ailleurs sans merci. Commençons donc à apprécier entre autre avec justesse dès demain, pour jauger l’espérance d’un changement positif et porteur avec Donald. Sans médire quoi que ce soit, mais dans le sens du devoir déjà, il n’est plus question non plus d’abandonner libre cour pour ses initiatives « sportives » favories, à l’incomparable mafioso d’Oyowood.
Si je puis: un bien merci à ‘Mado’; à ‘Kiesse na Kiesse’ en passant!
Le nouveau President americain Donald Trump a dit:
Le temps des discours vides est fini, le temps de l’action est venu.Le pouvoir au Peuple.
Des structures dans la diaspora sont crées.Le malheur du congo est connu de tous:Sassou nguesso et la france.
Au congo les vaillants sont emprisonnés, d’autres torturés et tués.C’est cela la vie au congo? Se laisser muselés et tués?
Alors agissons !!!!!! Sinon mourons !!!!!!
Mr jerry Rawlings propose les memes methodes qui ont fait partir Mr Yahya Jammeth de la Gambie pour l’Afrique du centre.
Je cite Zenga Mambu:
La Cédéao gagne en crédibilité et prend une dimension nouvelle.
Jerry John Rawlings, ancien président du Ghana, fait une suggestion, paraît-il…
Celui qu’on appelait, autrefois, le Sankara des anglophones, soutient que la Cédéao, après la Gambie, devrait aider l’Union Africaine à envoyer quelques contingents au Cameroun, pour une mission identique… Sous prétexte que Paul Biya et lui seraient arrivés au pouvoir à peu près à la même période – lui, en 1981, et Biya en 1982 –, et que lui, Rawlings, a déjà eu cinq successeurs, depuis son départ du pouvoir au Ghana, alors que Paul Biya est toujours là,
Notre commentaire:L’empire francais pas longtemps a renouvelle le bail de la vassalite de Mr sassou en contre partie ce dernier a finance avec l’argent du peuple Congolais le sommeil de l’environnment.Les Congolais doivent absolument chasser du Congo Mr Sassou,sa famille,ses amis et ses courtisans toutes nationalites confondues par la force brute.