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Alain Mabanckou: «François Hollande n‘a pas validé l’élection au Congo-B.»
Notre invité ce matin est le romancier franco-congolais Alain Mabanckou. Professeur de littérature africaine à l’Université de Los Angeles et au collège de France, prix Renaudot en 2006 pour son livre Mémoires de Porc-épic, Alain Mabanckou publie une lettre ouverte au président François Hollande au sujet de la présidentielle au Congo. Alain Mabanckou répond aux questions de RFI.
RFI : Une lettre à François Hollande. Pourquoi cette démarche ? Que demandez-vous au président français ?
Alain Mabanckou : La lettre que j’adresse à François Hollande a un sens, dans la mesure où François Hollande n’a pas validé en quelque sorte l’élection qui s’est passée au Congo, n’a pas non plus contredit ce qui se passe au Congo. Et j’ai trouvé que mon pays d’origine, le Congo-Brazzaville, était en danger puisque l’élection présidentielle qui s’est passée là-bas, comme vous le savez, a été frappée d’une petite vérole, par cette sorte de maquillage et la situation dans laquelle se trouvent beaucoup de membres de l’opposition. Donc, il était temps que j’entende ces voix qui viennent de la jeunesse qui m’écrivent tous les jours et qui me disent de dire ce que je pense. Et pour moi, le silence profite toujours à ceux qui font la fraude.
Le silence, comme vous dites, ce ne sont pas les chaleureuses félicitations habituelles. Est-ce qu’il n’y a pas là quand même une inflexion ?
Non. Il y a une hésitation. Vous savez, la politique française est une politique d’hésitation. Si François Hollande a hésité à entériner l’élection truquée de Brazzaville, c’est tout simplement que tout le monde est convaincu que ce n’est pas une élection crédible et démocratique. On doit déjà se réjouir du fait que la France n’a pas reconnu le pouvoir de Brazzaville. Ça c’est un fait. Mais moi je souhaite qu’au-delà de l’abstinence ou du silence que des paroles claires soient dites. Parce qu’en matière de politique africaine on ne peut pas évoluer par ellipse ou bien par sous-entendus. Ce que je demande au président François Hollande et à la France : une affirmation claire et sans ambiguïté qu’elle ne reconnaît pas les élections qui se sont passées et Congo. Et par voie de conséquence, le gouvernement et la présidence de la République sont illégitimes, chaque fois qu’un ministre se déplacera ou que le président se déplacera, il ne se déplacera pas au nom des Congolais.
Et vous écrivez que le silence pourrait être interprété comme un assentiment.
En politique, le silence peut se transformer en approbation. On parie sur le sommeil du peuple congolais. Mais souvenons-nous ce que j’ai dit dans ma lettre : il n’y a pas de petites querelles. Et que ce qui semble petit va devenir un peu plus grand plus tard. Je veux bien qu’on parle du passé, de l’esclavage, de la colonisation, mais dans une certaine mesure le présent est très lourd.
Le Parti socialiste français a pris, lui, une position claire. Il a dénoncé des fraudes.
Le Parti socialiste ne reconnaît pas ce pouvoir, les Américains aussi ne reconnaissent pas ce pouvoir. Evidemment, ne reconnaissent le pouvoir que les autres dictatures. Donc je pense qu’il est temps, monsieur le président Hollande, de le faire. J’ai fait ma lettre, j’ai reçu une réponse privée des conseillers de l’Elysée et nous sommes en train de voir dans quelle mesure on va caler un rendez-vous avec le président Hollande, où je lui dirai ce que j’ai écrit, qui irait dans le sens de ne pas reconnaître le pouvoir de Brazzaville.
Et vous croyez encore au poids de la France aujourd’hui ?
La France, malheureusement, choisit ou décide qui pourra être le président de la République dans tel ou tel pays. Tout le monde le sait. Vous savez que les gouvernements africains ont toujours tendance à boire du lait dans les mamelles de la France. Parce que – n’oublions pas – François Hollande a validé indirectement la Constitution du Congo en disant que le président Sassou-Nguesso avait le droit de modifier la Constitution. Donc par voie de conséquence, une telle validation a entraîné ce que nous avons aujourd’hui.
Vous parlez dans votre lettre d’hypocrisie. C’est le mot qui résume tout ?
Je pense que l’hypocrisie c’est ce qui résume tout. Je ne suis pas naïf, je sais que si la France hésite c’est qu’elle a des intérêts économiques au Congo-Brazzaville. Mais comme je l’ai affirmé, les intérêts économiques ne doivent pas occulter le fait que des populations sont en train de souffrir, de croupir dans la misère. Des arrestations arbitraires se font dans le Pool, quand ce ne sont pas des liquidations sommaires, des petits procureurs se mettent à la télévision pour venir dicter qui va être condamné ou pas. Ce n’est pas une République ! Nous sommes quand même le pays de Tchicaya U Tam’si, le pays de Sony Labou Tansi, les grands intellectuels ! Comment en est-on arrivé du sommet pour aller jusque dans les caves de l’obscurantisme politique ?
Et comment expliquez-vous alors les difficultés de Paris à dénoncer clairement ces élections ?
Mais parce que dès le départ cette histoire a été mal gérée par la France. C’est la méconnaissance de la politique africaine. Je pense que depuis ces dix dernières années la France n’a pas su comment gérer les questions africaines et peut-être qu’il y a un problème même dans ce qu’on appelle les spécialistes des affaires africaines. Je ne sais pas ce qu’il faudrait faire, mais en tout cas en ce qui me concerne je ne resterai pas silencieux. Si ça doit prendre cent ans, je continuerai à gueuler.
Lettre ouverte à François Hollande, par Alain Mabanckou.
LA FRANCE , s’est dissociée des pays émancipateurs des valeurs démocratiques , au nom des pseudos intérêts économiques que nul ne peut en assurer la sécurité , si ce n’est le salaud de OYOBEEK ;
Cette conception différenciée de la démocratie , par des conseillers AFRIQUE , de L’ELYSEE , est une aberration coloniale doublée d’un racisme ambiant à l’égard de cette Afrique noire .
La démocratie est elle un luxe , pour que le Congo BRAZZAVILLE , n ‘en connaisse pas le goût ?
Ce hiatus politique exprimé par la FRANCE à l’adresse des congolais ,ne fait que réconforter notre besoin d’évolution culturelle et économique , en dehors de la sphère française .Le cordon ombilical ancestral , qui servait de courroie de transmission à sens unique des ordres du colon , sera coupé .Nous avons promis de renverser la table , pour le bien de notre pays .
Nous avons étudié mais malheureusement où en sommes nous ?
Dans quels pays vivons nous ?
Qu ‘a fait la FRANCE pour aider au retour de ces cadres dans leur pays d’origine ?
La France a t elle manqué le bagout diplomatique , de dire à SASSOU d’insérer ces cadres dans le milieu professionnel congolais .
Cette agrégation de négligences n’honore point la France , tel un père ayant manqué à ses devoirs primaires .
L’après SASSOU , signera la fin de l’influence française au CONGO BRAZZAVILLE . Notre vision de développement nous commandera , une remise à plat de toutes les formes de coopération que le CONGO BRAZZA aurait eu à entretenir , avec toutes les puissances occidentales .
Vous êtes sans ignorer que , seuls les dignes fils de notre pays seront capables de relever le défi de la pauvreté .
Voir l’état d’insalubrité du marché total , pour imaginer combien nous congolais , sapeurs bien habillés , mais vivant dans un environnement qui n’est digne de ce siècle .
Chers combattants de la liberté, suivons-nous la situation au quotidien de nos leaders incarcérés par les escadrons de la mort de sassou nguesso et mercenaires?J’aimerai que nous ayons toujours une pensée profonde pour eux chaque jour qu’ils croupissent sous les geôles de l’infamie sassouiste.La libération du Congo est proche.
tu embrasses la femme de l’autre sur la bouche. tu ouvres la porte aux autres pour le faire chez toi.
il n y a pas de vieilles femmes. cela se paye cash. ici bas.
1991-1997 est et reste l’intervalle de reférence en matière d’exercice et d’engagement à la démocratie du peuple congolais, si l’on me permettra de situer les choses apres 1963.
Les congolais étaient juste dans l’espoir de voir leur pays, sortir enfin des salauperies de type » le pouvoir est au bout du fusil », comme le leur a enseigné Sassou, roi d’Oyobeek pour faire mienne, la référence de VAL DE NANTES.
Depuis la période de transition sous la gestion du PM A. Milongo à l’actuel, la France n’est pas innocente dans tous les drames et tragedies du Congo. Notre jeune démocratie à peine débutée devrait sombrer par les petits calculs de l’etat français.
Il est de notre devoir d’enseigner les notres sur le mal de cette relation d’avec la france, relation qui n’a jamais pris en compte les reves de notre peuple. La france vit piur elle meme, pille le Congo pour elle meme, fait assassiner au Congo pour elle meme.
Ce rapport du maitre d’esclave, la france avec ces esclaves des champs, le.peuple congolais, doit terminer pour qu’enfin survive et un jour vive une nation chez nous.
Paix soit sur tous ceux qui PENSENT le Congo, pays des merveilles.
De dire que les cadres congolais ne sont pas dans leur pays, mais ailleurs, ce qui pourrait expliquer le non-développement du Congo, cela est une erreur d’appréciation. Le Congo n’est pas malade de l’absence ou de l’insuffisance quantitative des cadres, mais d’absence d’idéal patriotique , d’idéal politique clair chez ces cadres. Les Congolais sont allés à l’école coloniale, celle qui formait des exécutants qui attendaient d’être rémunérés pour cela. Ces cadres sont des cadres d’exécution, dépourvus de tout idéal politique patriotique, par contre, pourvus et conditionnés pour la chasse au bien-être immédiat et individuel.
Tous ceux qui ont eu des très hauts diplômes à l’étranger, ne sont pas restés vivre dans ces pays… Ils sont nombreux à être rentrés au bercail congolais. Et même parfois, ils ont pris part active dans la détérioration de la situation sociale. On ne va pas faire l’histoire des gouvernements congolais, on risque de trouver que bien des cadres y auront joué un rôle.
Tous ceux des compétences formées à l’étranger qui ne sont pas rentrés au Congo, ont aussi des raisons diverses de leurs choix. Il n’y a pas que l’absence de structures d’accueil au Congo qui expliquerait ce conditionnement, le choix. Il y a surtout l’idéal politique de chacun qui détermine ce choix. Ossebi Henri, aurait pu bien choisir de rester en France. Il avait choisi de rentrer pour aider le peuple à s’affranchir de certaines lourdeurs sociopolitiques qui empêchaient et empêchent encore cette société de s’arrimer au courant mondial du progrès. Aussitôt rentré, Ossebi H. a été rattrapé par la sociologie congolaise qu’il avait totalement ignoré. Maboundou RIgobert, cadre formé, avait son choix : le développement est un concept qui s’approprie individuellement. la société ne l’intéresse qu’autant qu’elle peut lui offrir le cadre d’exhibition et de comparaison de son train de vie. Deux exemples qui témoignent bien de la réalité de la formation chez le Congolais.
Le Congo est malade de ses cadres. Le Congo est malade de ses professeurs; le Congo est malade de ses gradés militaires. Le Congo ne s’en sortira que lorsque tous ces cadres exotiques auront quitté le champ politique.
je m’arrête là pour l’instant. J’ai été un très haut cadre. Et à l’époque de ma gloire d’être cadre (mon père par ex; pouvait m’exhiber à chaque occasion opportune, que son fils était un très haut cadre…), m’inquiétant de la dérive nationale que je constatais, je posai la question suivante, spontanée, à un autre cadre: Quel est le mal congolais qui empêche le développement? la réponse très spontanée de mon interlocuteur avait été: la « camaraderie ». Oui, que peut-on attendre d’une société où tout marche par camaraderie, par connaissance? La mort, pour ceux qui ne connaissent personne, car l’Etat n’existe pas dans cet état d’esprit généralisé.
J’ai pourtant promis de m’arrêter là.
@MWANGOU OUI , il y a des cadres qui sont rentrés au pays .Ma conception de cadres diffère de la vôtre ,car quand l’évoque le mot cadre , je pense à l’utilisation efficiente de celui ci au bénéfice du pays .
Les cadres formés hier ne sont pas les mêmes que ceux qui sont formés aujourd’hui .Celui d’hier est pratiquement asservi par une administration publique marquée , par les séquelles de l’administration coloniale et de facto il était inopérant en termes des prises de décisions favorisant un milieu où il ferait bon de vivre et de travailler, selon les compétences apprises à l’école .Ce furent des cadres assujettis .
Je vous fais remarquer que parmi tous ces cadres retraités du CONGO nous n’en comptons aucun qui ait pu créer , un cabinet ou un bureau d’études pour aider à accompagner le pays dans son objectif de son développement .
Aider son pays , ce n’est pas seulement faire de la politique , mais mettre ces compétences au service de ce pays .
L’intelligence qui s’exprime librement a horreur de camaraderie , elle a plus besoin de respect que la condescendance sociale .
C’est au pays de créer des mécanismes d’émulation intellectuelle , afin que ceux de nos compatriotes qui se savent capables d’innover dans leurs domaines puissent donner le meilleur d’eux mêmes , pour le bonheur de notre pays .
Combien de PATRICK TSENGUE TSENGUE disposons nous au pays ?.
Nous ne parlons pas de mêmes cadres .OSSEBI SOCIOLOGUE à la SNE ET SNDE , où en EST SON RENDEMENT ,?
Voilà une des aberrations congolaises du mauvais usage des cadres , en mal d’innover dans leurs domaines .
LES EXEMPLES en sont légion , au Congo .
Quand on est incapable d’exploiter son mater génie , on se réfugie en politique pour couvrir son échec intellectuel .
DSK , en conviendrait , ce qui ne serait vrai de BAKABADIO .
grand frère MWANGOU , une fois rentré au pays , je n’aurai ni besoin de faire de la politique , ni de camaraderie , c’est dont j’aurai le besoin que , l’Etat organise et utilise l’intelligence au profit de notre pays .
LIRE ;;;;;; QUAND J’évoque ;;;;;;;;;;;;
Mr Oyabi,ce que vous dites dans votre texte est vrai.Mais il me semble que nombreux Congolais n’arrivent pas a identifier la vraie cause ou source du drame congolais pourtant très claire et limpide comme l’eau,c’est la france qui est la vraie source des souffrances du Congo.Dissocier Mr Denis Sassou de la france c’est faire une fausse analyse car Mr Denis Sassou n’est que le vassal de l’empire qui sert et il ne peut rien faire sans l’aval ni le soutien de la france son employeur.
Il faut chasser la france du Congo comme l’ont fait les autres peuples tels que les Algériens et les Vietnamiens.C’est une condition sine qua non pour la paix et le progrès social au Congo.La france n’est pas loin de son valet Monsieur 8%,elle tire les ficelles dans l’ombre et manipule les uns et les autres.il faut extirper le cancer(la france) et par ricochet son gouverneur noir Denis Sassou(métatarses) par la force des canons.Si on ne s’attaque pas a la vraie cause qui est la france,elle ne changera que de valet et le cycle qu’elle a initie depuis des siècles continuera.Il faut mettre la france hors d’état de nuire comme l’ont fait les Algeriens et les Vietnamiens c’est la condition très fondamentale et essentielle.
@ Mr David,vous avez raison et je suis entièrement d’accord avec vous.
La vraie racine du problème Congolais c’est la france et il faut absolument la mettre hors d’état de nuire comme l’ont fait les Algeriens.Je suis a chaque fois surpris de voir nombreux Congolais parler du depart de Mr Denis Sassou sans mentionner la france qui est la vraie source du drame Congolais.C’est absurde de procéder de la façon.Les efforts des Congolais être focaliser de chasser du Congo la france et par ricochet son gouverneur noir Denis Sassou.Et cela doit se faire par la force des canons parce que c’est l’unique voie qu’on use devant les oppresseurs.A titre d’exemples les Algeriens et les Vietnamiens l’ont fait.C’est un passage oblige pour la paix et le progrès au Congo car faire autrement c’est une supercherie.
VAL DE NANTES
je vous comprends… j’irais jusqu’à dire, je suis d’avis avec vous qu’un environnement social sain est le premier facteur facilitant l’émergence des conditions du progrès. j’ai cité quelques noms pour illustrer mon propos. Vous avez cité quelques autres, que je connais assez bien. pour être dans ce lot de ceux que vous considérez comme n’ayant été formés que pour la reproduction du système colonial. cependant, vous ne perdez pas de vue que ceux- là ont aussi revêtu le casque du formateur, et qu’ils ont formé la génération d’après, peut-être la vôtre…
Mon cher, nous n’avons pas été mal formés… Quelle que soit la formation, la capacité productive de chacun est souvent de la nature de ce chacun… je n’ai pas fait la politique, pourtant j’y ai été sollicité… J’ai décliné un tas d’offre, pour ne pas être redevable du déclin social… mais, j’avais à cœur de participer au progrès de notre société. Ce faisant, alors que j’aurais pu se la couler douce dans cette France à une époque où le boulot s’offrait assez facilement, j’ai refusé de m’y laisser enrôlé. Cela ne signifie pas qu’en ayant choisi de poursuivre l’utopie, convaincu que la société congolaise et le Congo avaient besoin de ses enfants envoyés en formation, que je ne m’étais pas trompé de jugement ou d’approche. j’ai cité Ossebi et Maboundou, je peux ajouter Ondongo, Dirat, Ngakosso, Mouamba, le vieux Makany, Loumouamou, Lopez et bien d’autres, pour le rôle de premier plan qu’ils ont joué dans un gouvernement, souvent dans leur domaine de compétence supposée, parfois non (mais au gouvernement, qu’est-ce que la compétence, quand on sait qu’on y fonctionne à coups de conseillers qui eux sont supposés avoir des compétences).
Maboundou à l’agriculture, un domaine de sa compétence, n’a pas été plus productif qu’Ossebi henri, à l’enseignement supérieur et recherche scientifique, domaine de sa compétence, ou à l’énergie, domaine éloigné en apparence de sa formation.
mes 33 années de vie professionnelle au Congo après mes 11 années de vie estudiantine et professionnelle en France, m’ont souvent mis en situation de conflit avec moi-même… Regretterais-je d’être rentré au Congo, que je ne saurais dire si mon bonheur aurait été plus amène si je m’étais laissé bercé par la vie relativement facile dans ces pays où l’environnement est bien plus encourageant. ceux qui se laissent manipuler par la politique, ont tout aussi bien volontairement adopté la posture idéale à cette fin. je veux dire clairement, que tout ce beau monde a choisi volontairement de se laisser happer par la politique. Ils avaient les moyens de faire autrement. mais devant le désastre dont ils sont conscients, ils ont choisi de ne pas être de reste au banquet du bonheur, et tant pis pour la société. Ils ont adopté la posture d’Oko Ngakala, un magistrat qui a toujours eu pour objectif dans sa vie, l’argent, et tant pis pour la justice.
Sous-développer le pays est un choix pour certains, et il l’assume. Et tant pis pour le pays, surtout que celui-ci le leur rend bien.
je m’arrête là… tout en espérant que la génération Val de Nantes saura se préserver de la déchéance et nous donner l’occasion de persévérer, d’espérer…