Interview de Paul-Marie MPOUELE sur le génocide dans le Pool et la Convention de l’Opposition

Paul-Marie Mpouele

Paul-Marie Mpouele

CRISE DU POOL : l’impasse ?

L’histoire est têtue peut-on dire au regard du filet de sang qui retrace les événements vécus dans le département du Pool depuis les années 1959. Une histoire faite de rebondissements pour une crise sociologique peut être jamais solutionnée. Le regain de violence dans ce département nous a permis de nous rapprocher de Paul Marie MPOUELE, jeune cadre politique qui, un moment a mis dans ce guêpier.

La Griffe : bonjour Monsieur le président, où en êtes-vous avec les « négociations dans la crise du Pool ?

Paul Marie MPOUELE : Merci cher ami de la possibilité que vous m’offrez de m’exprimer une fois de plus sur cette question qui aujourd’hui soulève des passions. Je rappelle d’abord que je me suis engagé dans cette situation en bon citoyen soucieux  de paix. Réagissant à un cri de cœur d’un frère très proche du pasteur Ntumi, j’avais voulu apporter mon concours pour que ce département ne plonge pas dans la violence comme c’est le cas aujourd’hui. J’avais donc proposé mes bons offices pour que les deux belligérants, à savoir la force publique, agissant au nom du gouvernement de la République et les partisans du pasteur Ntumi accusés d’avoir perpétré les attaques du 04 avril dans les quartiers sud de Brazzaville, se retrouvent à la même table pour trouver une issue pacifique à la traque de ce dernier. Après que les autorités avaient donné leur feu vert, je m’étais rendu à Mayama pour discuter aussi avec les partisans du pasteur. Ces derniers avaient accepté de venir à Brazzaville pour continuer les discussions. Je n’avais jamais déclaré à qui que ce soit que le succès de ces discussions étaient garanties même si je croyais fermement que les deux parties pouvaient parvenir à une issue pacifique. Des mois sont passés sans que nous ne parvenions à un accord sur la situation sécuritaire.

LG : Quelle a été la pierre d’achoppement ?

PMMP : C’est à mon avis, l’intransigeance des deux parties qui voulaient chacune tout avoir sans rien perdre. Vous pouvez imaginer qu’une telle discussion est vouée à l’échec lorsque les deux parties tiennent chacune à faire triompher son point de vue. A cela, s’ajoute la multiplication des initiatives. Plusieurs personnes ont cru qu’il y avait de l’argent à se faire dans cette situation en commençant par les délateurs et autres agents véreux. En conséquence, tout le monde a oublié l’essentiel qui consistait à ramener la paix par le rétablissement de l’autorité de l’Etat dans cette partie du pays.

 

LG : En parlant d’argent justement, certaines mauvaises langues estiment que c’est vous qui vous en êtes fait plein les poches ?

PMMP : J’ai entendu cela, mais je mets quiconque au défi d’apporter la moindre preuve qu’il y avait de l’argent à gagner dans cette affaire. C’est un vrai sacrifice que j’ai accepté pour le pays et non pour plaire à qui que ce soit, encore moins pour se faire des sous. Cette publicité mensongère est faite par quelques acteurs politiques en panne d’inspiration qui pensent que le mensonge est le plus court moyen pour déstabiliser un adversaire. Je les connais nommément qui croient que la situation dans le département du Pool peut leur permettre de rebondir politiquement oubliant que ce sont les enfants des autres qui meurent de part et d’autre. Ce sont des congolais qu’ils soient ninjas ou agent de la force publique. Ayant recouru à la violence par le passé dans mon combat politique, j’ai définitivement tourné le dos à cette forme de lutte qui n’engendre que la violence et enferme le pays dans un cycle sans fin.

LG : Qu’est ce qu’il est possible de faire aujourd’hui, à votre avis ?

PMMP : Je reste sur ma position de partisan du dialogue. Le Congo a une riche expérience dans la résolution des conflits internes. En 1959, les acteurs politiques de l’époque ont mis fin aux affrontements armés entre deux ou trois communautés par le dialogue. Opanghault et Youlou ont sillonné les grandes villes pour éclairer les enfants d’un même pays qui se battaient ; en 1993, la même chose a été faite, pourquoi cela ne serait-il pas encore possible aujourd’hui ? C’est mon appel au Président de la République et au pasteur Ntumi. Nous pouvons toujours pacifiquement régler nos conflits quel que soit leur teneur.

LG : Parlons de tout autre chose, Monsieur le président ; de la Convention de l’opposition, quel est votre avis ?

PMMP : Je pense qu’il a manqué un peu de pédagogie pour faire comprendre aux uns et aux autres la nécessité d’aller à un vaste rassemblement de l’opposition politique après les derniers tumultes que nous avons connus. Il était bon de laver le linge sale en famille et de repartir au combat sur un bon pied. Le problème c’est qu’on a résumé la convention à une simple élection d’un chef de file de l’opposition. Erreur. Nous devrions faire une sorte de catharsis pour aller de l’avant. Quelles ont été nos faiblesses et nos points forts pour les consolider et imposer un rapport de force en faveur de l’alternance ? Voilà à mon sens à quoi doit servir la convention. Cependant, je reconnais aux autres le droit de ne pas y participer au nom de la sempiternelle question de leadership. C’est qui est dommage. Savez-vous que 1997 à aujourd’hui, nous sommes à plus de 21 groupements politiques de l’opposition contre un seul régime ? C’est une honte, une démonstration de notre incapacité à nous accepter, à nous rassembler sur l’intérêt général. Et chaque fois, c’est le même argument paralysant, tel groupe fait le jeu du pouvoir ; pourtant même ceux qui prétendent ne pas faire le jeu du pouvoir sont incapables de s’accepter et de nous apporter l’alternance tant souhaitée.

LG : Comment va se terminer tout cela pour l’opposition ?

PMMP : Je ne suis pas devin, mais je crois que nous sommes dans une espèce de transition générationnelle et systémique. Naturellement les choses vont s’arranger et je présume que la jeune génération fera la politique autrement.

LG : Quel est votre avis sur le vivre-ensemble ?

PMMP : C’est la nouvelle pierre angulaire des discours politiques de ceux qui sont au pouvoir, mais leurs actes attestent de l’inverse : montée vertigineuse des individualismes, tribalisme, repli sur soi, etc… Quelles sont les valeurs qu’ils nous proposent aujourd’hui qui peuvent être des valeurs communes et à quel prix ? Quels sont les premiers pas que les initiateurs de ce projet sont prêts à faire pour mettre en évidence l’égalité républicaine en droits et en devoirs ? Il n’y aura pas de vivre-ensemble si la théorie reste celle du cavalier et du cheval où il y a le même porteur et le même porté. Cette façon de voir les choses nous a fait perdre le sens de l’interdépendance qui fonde les règles harmonieuses de la vie en société. Mener ce projet à bien suppose donc revoir le lien social, redéfinir les valeurs de fraternité, de solidarité et d’égalité.

Interview réalisée par le journal « La Griffe »

Diffusé le 06 octobre 2016, par www.congo-liberty.org

GENOCIDE DANS LE POOL : au moins 20.000 déplacés et une centaine de morts

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

25 réponses à Interview de Paul-Marie MPOUELE sur le génocide dans le Pool et la Convention de l’Opposition

  1. kamoungué dit :

    les politiciens véreux pensent que le POOL est un marché d’argent où les PMMP sont invités.
    Ce sont des faits qui se succèdent. Le dialogue de sibiti avait balisé la voie de la violence au Congo en commençant par la constitution et les votations que nous connaissons tous les résultats. Il sied de noter que les résultats de ces votations n’ont jamais été juste depuis 2002.
    Aujourd’hui le régime militaire du Congo ne garantie aucune liberté sauf celle d’être enterré au cimetière du choix des vivants. Qui des députés du pct peut dire à haute voie qu’il est le mieux élu ou le mieux nommé? Ce sont là les signes de violence. Après le vote à Gamboma pourquoi Mathias NDZON a été sommé de ne pas entrer à Brazzaville?
    Le chantre du vivre ensemble peut-il nous dire s’il avait été élu ou nommé pour être député maire d’une ville où il n’est pas député. Même la mouambe ne convient pas au noix de cocotier. Pour vivre ensemble il faut une justice pour tous, une liberté d’expression et mouvement pour tous d’abord , car comment partager au moment ou depuis 1997 il y a des Directeurs Généraux qui sont pret à devenir des ROIS de leurs administrations( police, douane TPG,….)

  2. Lucien Pambou dit :

    L’intervention de Monsieur Paul-Marie Mpouele ne nous apprend rien sur le génocide dans le Pool et sur la convention dans l’opposition. Comme toujours au Congo, nous avons affaire à des intermédiaires qui disent avoir reçu un mandat de la majorité ou de l’opposition pour apporter une lumière aux problèmes que se posent les Congolais.

    Je ne connais pas Monsieur Mpouele, je n’ai connais aucun élément velléitaire à son encontre mais il aurait fallu qu’il se présentât aux lecteurs de Congopresse pour dire de façon très réelle à quelle tendance politique il appartient. Il se présente comme homme de l’opposition, sans l’être réellement. Dont acte. Certains le présentent, sur d’autres sites, comme un personnage ambigu capable de faire des allers et retours entre l’opposition et la majorité. Je refuse de tirer sur Monsieur Mpouele dont je ne connais pas l’action politique, même si je reprends, peut-être à tort, les propos de certains qui disent que Monsieur Mpouele est un homme politique instable. Je ne suis pas un homme politique mais un analyste de la vie politique congolaise et je laisse à d’autres le soin d’apporter un jugement vis à vis de Monsieur Mpouele.

    Je reviens sur la substance de l’interview de Monsieur Mpouele.
    Concernant:

    1. le génocide au Pool.
    Je ne vais pas revenir (sinon ce serait trop loin) sur le débat à propos des concepts. Il y a un génocide au Pool car Monsieur Ntoumi, qui avait été nommé haut représentant de la réconciliation, a continué à entretenir une milice et le gouvernement congolais avait accepté ce fait en continuant de le rémunérer. Où se trouve la responsabilité ? Celle de Monsieur Ntoumi ou celle du gouvernement congolais ? L’analyste politique que je suis, adepte de la compréhension des faits à partir des notions de trajectoires et du réseau, pense que l’ambiguïté du fonctionnement des relations entre le gouvernement et Monsieur Ntoumi ne peut apporter une réponse claire aux bombardements des populations du sud. Dans tout réseau il y a des enjeux que le commun des mortels ne saisit pas toujours. Monsieur Ntoumi a accepté l’argent de la République congolaise, et ce point de vue il était d’accord pour que ses troupes Ninja rendent les armes au nom de la cohésion nationale. Or, il a continue son mouvement de rébellion et le gouvernement congolais, pour des raisons de facilité, de lâcheté et de stratégie, ne l’a pas obligé à interrompre ses actions.

    2. Nous sommes tous dupes d’un marché politique que nous ne maîtrisons pas.
    Dans l’analyse du réseau et des trajectoires politiques, il faut que les membres appartenant à la trajectoire fassent allégeance au réseau .Ntoumi n’a pas accepté la domination (même s’il a accepté l’argent et les privilèges – 4×4 et autres biens – ) du Président Sassou qui est, qu’on le veuille ou non, l’élément de référence du réseau politique global depuis 40 ans.

    3. Sassou a été et demeure celui qui est toujours critiqué comme le malveillant du système politique congolais.
    En tant qu’analyste et initiateur du modèle politique du réseau dans la compréhension du système politique congolais, je vais essayé, sans vous faire un cours, de vous expliquer très rapidement et sans amoindrir les morts dans le Pool, pourquoi Sassou est toujours au firmament politique congolais. Les Congolais ont toujours considéré le Président Congolais Sassou comme non intellectuel, non brillant et non instruit. Ils reprennent en cela la culture française qu’ils ont reçu dans les universités françaises, dont moi-même je suis dépositaire et de laquelle je prend une distance critique car je le fais en France, sur les nombreux blogs(Blastingnews, …) et je ne vois pas beaucoup de mes compatriotes congolais le faire. En 1979 Sassou, en arrivant aux affaires, n’a jamais demandé à être Président de la République. Il a simplement, dans la théorie du réseau, profité de la maladresse de certains, dont Yhombi. Après la Conférence nationale souveraine, il a conclu un accord politique avec Lissouba. Lissouba n’a pas respecté les conditions de cet accord politique, a commis des fautes politiques majeures en invitant Savimbi opposant de Dos Santos Président de l’Angola. Quand on regarde l’analyse du réseau et des trajectoires, Lissouba commet une faute majeure après s’être opposé dans une guerre civile (entre Bembes, Laris et Kongos) avec Kolelas pour en faire son premier Ministre après et refuser d’aller à Libreville pour la négociation concernant la paix au Congo.

    4. Sassou a gagné la guerre grâce à ses alliances internes et externes. Lissouba, Kolelas et les autres se sont exilés à l’étranger.
    Sassou, au nom de la réconciliation nationale, a accepté la participation politique des personnages lissoubistes comme Munari et d’autres en tant que conseillers présidentiels. Il a accepté aussi que l’Ambassadeur du Congo en France, Pierre-Michel NGUIMBI (1996-1997) devienne Ministre de l’alphabétisation et ambassadeur du Congo en Côte d’Ivoire. Au nom de la réconciliation, Sassou a accepté que les Congolais se retrouvent. Monsieur Ntoumi et les autres ont estimé que ce n’était pas possible, qu’il fallait continuer la lutte. Les bombardements actuels dans le Pool sont inacceptables et doivent être dénoncés, mais dans l’analyse su réseau et sans empathie, comme nous l’exprimons souvent quand nous analysons nos relations avec le monde extérieur, il faut que les Congolais comprennent que souvent certains actes sont entrepris au nom de la conservation du réseau et de l’emprise de celui-ci au moment des négociations pour trouver une solution définitive.

    5. Concernant la convention de l’opposition, Monsieur Mpouele est gentil. C’est bien de vouloir rassembler les membres de l’opposition et de la majorité, le problème est que la majorité est unie autour du Président Sassou, mais pas l’opposition car on ne sait pas dans l’opposition qui est le chef: Mokoko ? Kolelas ? Okombi Salissa ? Et d’autres éventuellement ?

    Chers compatriotes, je suis curieux d’analyse politique de par ma formation. Je ne suis ni pour Sassou, ni contre, ni pour l’opposition, ni contre. Je ne suis pas neutre, je reste analyste, mes convictions politiques je les garde pour moi à la différence de certains de mes compatriotes qui sans analyse mettent plus en avant leur empathie, leurs sentiments et leurs émotions. Je ne les blâme pas je ne les juge pas, c’est leur mode d’analyse, la mienne reste fondée sur la lecture, la compréhension, l’analyse et l’explication des acteurs du réseau politique congolais marqué par ses trajectoires, ses noeuds, ses acteurs, leurs actes, leurs contradictions, leurs alliances et mésalliances et leur sens réel ou non de l’action politique.

  3. Lucien Pambou dit :

    Désolé pour les fautes car, pressé comme d’habitude, je n’ai pas relu mon papier mais j’assume tout ce qui a été dit.

    Cordialement

  4. Le fouineur dit :

    Lucien Pambou Analyste politique?
    En Ben moi je suis le pape.

  5. KOO' NGOH dit :

    Pambou…. Pambou… !
    Encore une fois de plus vous n’avez pas pris votre double dose adulte de pilules prescrites par votre médecin… Ça parait bien clair avec votre débitage de sonneries.
    Conseil gratuit:
    reprenez vos pilules telles que prescrites par le docteur et vous verrez que vous allez cesser aussitôt de vous prendre pour un analyste politique…

    KOO’ NGOH

  6. Pascal Malanda dit :

    Les pépites de Lucien Pambou :

    « En 1979 Sassou, en arrivant aux affaires, n’a jamais demandé à être Président de la République. Il a simplement, dans la théorie du réseau, profité de la maladresse de certains, dont Yhombi. »

    Faut-il en rire ou en pleurer ? Sassou, président contre sa volonté !!! Une fois au pouvoir, il y aurait pris goût, n’est-ce pas ?

    Lucien Pambou, grand analyste devant l’Eternel, avez-vous oublié que lorsqu’en 1979, le PCT décide de se débarrasser du CMP dirigé par Yhombi, au bureau politique où tout se jouait, Jean-Pierre Thystère Tchicaya avait recueilli plus de voix que Sassou, mais c’est le premier qui se désista en faveur du deuxième. Sassou n’avait pas soif de pouvoir, pourquoi ne se désista-t-il pas en faveur de Thystère Tchicaya. Lucien Pambou, vous faites preuve d’une telle ignorance de notre histoire que ça frise l’énormité.

    Et c’est quoi la maladresse de Yhombi, ne pas avoir assassiné Sassou ? Un peu de sérieux, monsieur Pambou, vous décrédibilisez votre théorie des « réseaux »

  7. Bakala Telema dit :

    Lucien Pambou écrit un livre. Aussi, il a besoin des réviseurs pour ses textes qu’il distille au fil de ses interventions.

    Ayant compris que le CFA était déjà convertible en Yuan bien avant sa fumeuse proposition, il a cessé de nous bassiner les oreilles avec cette chimère qui consistait à ouvrir des portes déjà ouvertes.

    Aujourd’hui, Lucien Pambou veut nous faire avaler des pans de son brûlot sur commande de Sassou qu’il veut nous présenter comme la victime de ses co-contractants n’ayant pas rempli leur mandat de sociétaires. Ce qui expliquerait leurs déboires et le triomphe de Sassou, l’homme qui respecte sa parole donnée et le contrat.

    Lucien Pambou, tu t’es trompé de générations. Tes balivernes ne peuvent tromper que des individus de l’acabit de ton donneur d’ordre qu’est Sassou.

    Tes fameuses théories voulant présenter Sassou comme la victime de la trahison de ses « co-contractants » du crime ne peuvent résister à des tests ni juridique, ni sociologique, ni spirituel. Quand il y a mort des centaines de milliers d’individus, il est indécent et intellectuellement malhonnête de dire que le principal protagoniste a commis des crimes et délits parce que les autres n’ont pas respecté les obligations de leur pacte. Et les victimes, tu les mets où? Étaient-elles aussi parties du pacte entre Sassou et ses « co-contractants » que tu égrène?

    Lucien Pambou, tu es en soi l’incarnation de la honte bien qu’étant né avant elle. Tu es de ceux qui ont vendu leur âme car, pratiquant une science sans conscience. Goebbels, au moins, savait ce qu’il disait et écrivait; mais toi, pourquoi te moques-tu des congolais?

    Tu es des ceux et celles qui pousser Sassou au crime en lui conseillant la betise. Pour un prétendu prof titulaire en économie, on attendait mieux que la justification de l’injustifiable. Les congolais crèvent la faim et ploient sous la misère, tes fumeuses théories leur sont d’aucun secours. Aucune analyse, aucune proposition économique. Monsieur a choisi une analyse facile, celle des nganda dans laquelle tout lambda peut s’improviser maître dans le vain espoir d’épater la galérie.

    Bref, Lucien Pambou, tu es à plaindre.

  8. KOO' NGOH dit :

    Mais franchement Pambou…
    Pourquoi autant d’inepties sur des thèmes et sujets sérieux ?
    OK, nous savons que tu fumes… Mais c’est qu’elle substance que tu fumes ???
    Continue a prendre tes pilules en double dose adulte et ne t’attends pas que les gens ici sur ce forum te servent de source correctrice des prétendus livres que tu écris…
    Que ça soit de la moquette que tu tires ou de la poudre que tu inhales, le tout n’est pas bon pour ta santé, car tu ne cesse d’avoir des hallucinations et rêves que t’es un analyste politique…

    KOO’ NGOH

  9. Anonyme dit :

    @ Lucien Pambou Qui est ton fournisseur de coke ? J’en veux moi aussi. Elle a l’air bonne !!

  10. Katuka Luaza dit :

    Je félicite tous ceux qui ont le courage (parce qu’il en faut une sacré dose) de lire la litanie d’inepties que débite religieusement le sieur Pambou à chacune de ses interventions.

    J’ai essayé de lire (TL;DR)… mais c’était au dessus de mes forces…

    En tout cas, j’espère que son dictateur adoré (Sassou) le paye grassement pour ses torchons, parce qu’avec toutes les perles (écrites) que Pambou nous laisse, on aura de la matière pour le confondre le jour où la Démocratie sera rétablie au Congo.

  11. Lucien Pambou dit :

    A Koo et les autres,

    Mes amis, surtout Koo, je n’ai pas besoin de pilule, je suis en bonne santé, ça va merci. Je n’ai pas besoin de pilule parce que je vais du sport à fond, surtout des arts martiaux. Tu pourras venir et on s’entraînera ensemble. Voici l’humour vrai.
    Pour le reste, je n’ai pas la prétention comme certains d’entre cous sur Congo Liberty de détenir la vérité. J’analyse modestement la vie politique du Congo. Justement si Thystère Tchikaya a cédé le pouvoir à Sassou, c’est tout simplement parce qu’il n’était pas militaire et qu’au sein du parti le rapport de force militaire n’était pas en sa faveur. La connaissance du réseau politique enseigne qu’il y a des rapports de force symboliques et réels. Tchikaya était en rapport de force symbolique et Sassou dans la vraie force politique. L’analyste que je suis regarde le système et l’analyse. Vous ne me ferez jamais passer quelqu’un qui ne regarde pas avec désolation ce qu’il se passe au Pool. Le Vili que je suis a perdu de la famille au Pool car mon oncle a épousé une femme lari dont deux parents sont morts. Vous n’avez pas le monopole de la meurtrissure. En revanche, je m’étonne que les éléments factuels et d’analyse vous dérangent parce que vous êtes dans une analyse empathique et non réaliste.

    C’est marrant parce que j’essaie d’avoir un débat intellectuel, vous le ramenez à un débat émotionnel. Voilà pourquoi la réalité congolaise vous échappe. Voilà pourquoi vous serez toujours aigris et voilà pourquoi la plupart d’entre vous n’attendez qu’une chose: le départ de Sassou, son remplacement par d’autres dont vous serez, sans programme, sans stratégie, sans objectif précis pour le peuple congolais si ce n’est que pour vous-mêmes. Vous pouvez me dire le contraire, mais la plupart d’entre vous êtes à l’image de vos maîtres français que vous conspuez mais dont vous retenez les éléments de langage de façon permanente.
    Me concernant, je critique le modèle français dans mes différents blogs ici dans ce pays sans me cacher. Malheureusement nous ne sommes pas nombreux, nous nous contentons de nous répondre alors qu’il faut répondre aux Français en France, ce que je fais à travers les blogs comme grioo, blastingnews, le nouvelobs Plus et autres blogs. Je ne vante pas mais je dis et je fais ce que je dis.

    J’ai soulevé dans mon papier un certain nombre de questions et je n’ai pas de réponse argumentée si ce n’est que des posts émotionnels et accusateurs. Pauvre Congo, où sont tes fils qui se disent intellectuels , mais qui finalement n’ont fait qu’un passage dans les livres et à travers leurs diplômes et qui se contentent de pleurer sur leur sort en attendant que le pouvoir politique en place tombe pour qu’ils le remplacent, se remplissent les poches et véhiculent les mêmes stratégies claniques et tribales. On peut toujours me répondre Pambou tu es fou, mais c’est la vérité. Quand Lissouba a remplacé Sassou, au nom de ya ba colère ve les lissoubistes et leurs affiliés ont exactement pillé le Congo. Le problème est que les crocodiles ne font pas des lézards, mais des petits crocodiles. Ceux qui s’indignent devant leur écran d’ordinateur une fois rentrés au Congo parce que le cousin ou l’oncle ou le frère les a appelés, ils vont s’empresser d’oublier leur indignation. Alors de grâce, soyons modestes et ayons des débats argumentés en tenant compte de toute la réalité congolaise, une réalité complexe, clanique et trribale. Il faut avoir le courage de le dire, de l’analyser. Avec d’autres je prends ce petit courage, mais comme pouvez le voir Monsieur Koo, je n’ai pas le monopole de la vérité, mais toujours prêt à répondre au nom du débat et du respect des arguments d’autrui.

    Cordialement.
    Comme d’habitude je réponds dans l’urgence et je vous prie par avance d’excuser les fautes d’orthographe et les écarts syntaxiques et grammaticaux. Bonne lecture.

  12. dfip dit :

    Lucien PAMBOU ecrit:
     » Le Vili que je suis a perdu de la famille au Pool car mon oncle a épousé une femme lari dont deux parents sont morts.  »

    On revient à un de tes posts de la derniere fois dans lequel tu demandais pourquoi les Kongos et les Laris ne s’entendent pas, ce à quoi Val de Nantes t’avait posé la question « pourquoi les Vilis et les Yombés ne s’entendent pas ».

    Vu tes liens avec le POOL, toi l’analyste politique, peux tu repondre à ta propre question?
    Pourquoi les Kongos et les Laris ne s’entendent-ils pas ?

  13. LE WEBMASTER dit :

    A nos chers internautes ,

    Nous faisons beaucoup d’efforts pour modestement informer et si possible susciter le débat contradictoire.. Alors débattons sans s’injurier et acceptons nos différences.

    Merci pour votre compréhension.

  14. LE CONGO2016 dit :

    LA FRANCE N’A JAMAIS CONDAMNÉ LES TUERIES DE DU TERRORISTE SASSOU. LE TERRORISTE SASSOU BOMBARDE DANS LE POOL ET LA BOUENZA, RFI DIT SELON EUX ILS AURAIENT DES MORTS. C’EST LA MÊME France QUI CONDAMNE LES BOMBARDEMENTS RUSSE EN SYRIE.
    LA France BOQUE TOUTE ACTION HUMANITAIRE DANS LE POOL ALORS QUE C’EST CETTE France QUI VIENT DE DÉPOSER UN DRAF A L’ONU POUR DES RAISONS HUMANITAIRE EN SYRIE.
    http://www.kpax.com/story/33332546/syria-france-submits-draft-un-resolution-over-aleppo-crisis
    TOUT CONGOLAIS LE SAIS QUE LE PLAN DE RASER LE SUD DU CONGO EST EST UN PLAN FRANÇAIS DEPUIS 1998 EXÉCUTÉ PAR LEUR TERRORISTE SASSOU.
    TOUT CONGOLAIS LE SAIT QUE C’EST LA France LE MAL DU CONGO. LA JUSTICE FRANÇAISE S’EST BLOQUÉE AVEC LE PROBLÈME DES DISPARUS DU BEACH.
    NOUS NE SOMMES PAS DUPE, NOUS SAVONS LA RESPONSABILITÉ DE LA France P[OUR LE GÉNOCIDE AU SUD DU CONGO BRAZZAVILLE DEPUIS 1998.

  15. LE GUETTEUR dit :

    MES CHERS FRERES AU PAYS, VOUS AVEZ TOUS MANGER OU GOUTER AU CACA DE KIKI, DE KOKO, DE KAKA, DE KEKE ET DE KUKU DANS L’EAU ET DANS LA NOURITURE.
    AH BAPASSI COMMENT PEUT ON METTRE SES EXCREMENTS DANS LES ROBINETS PUBLIQUE DE LA S.N.D.E ET DANS L’EAU NATIONAL SOIS DISANT POUR ETRE PRESIDENT A VIE.

  16. VAL DE NANTES dit :

    MPOUELE dans la position du médiateur nguirisé , repu ,et peut de surcroît parler bouche dorée
    Du cachot en slip à la place du col blanc parfumé , beaucoup d’eau a coulé sous le pont .
    Le graal aurait été atteint par MPOUELE qui se considère comme un fils Le Congo idéalisait .
    Sauf qu’entre temps , le fils avait brocardé ses convictions politiques , pour rejoindre le SASSOULAND, terre des criminels .
    Non , votre initiative , ressemble à s’y méprendre aux autres , qui n’ont qu’un seul but , s’en mettre plein les poches .
    A SASSOU , de quitter le pouvoir , selon l’esprit de l’ancienne constitution qui reste valable .
    Le reste est issu de la fumentique .

  17. VAL DE NANTES dit :

    LIRE;;;;; que le CONGO idéalisait

  18. BOWAO COMPLICE DE SASSOU dit :

    JE M’EN BAS LES COUILLES QU’ILS VOUS CONVOQUENT, QU’ILS VOUS HUMILIENT, ETC.

    LES BOWAO ET LES AUTRES LACHES, QU’ILS ARRÊTENT DE SE PLAINDRE, QU’IL FAUT AGIR ET MAINTENANT – IL ETAIT MINISTRE DE LA DÉFENSE NON?

    BOWAO ARRÊTE DE SE PLAINTE ALLER A L’ACTION, SASSOU DEGAGE ET MAINTENANT PAR TOUS LES MOYENS DISPONIBLES – SINON IL VA NON SEULEMENT VOUS TRAITER COMME DU BÉTAIL HUMAIN MAIS AUSSI ET SURTOUT VOUS ASSASSINER PETIT A PETIT, VOUS, LES FAUX OPPOSANTS, LES PRISONNIERS POLITIQUES ET LE PEUPLE. APRES LE CLAN PREND LE POUVOIR APRES LUI POUR VOUS MALTRAITER ENCORE COMME DES ESCLAVAGES, MAIS LE PEUPLE NON… LE PEUPLE A TOUJOURS LE DERNIER MOT.

  19. Anonyme dit :

    Ce Lucien MPAMBOU est comme de nombteux soutiens de Sassou incapable de s’assumer, pendant la derniere compagne électorale, ce Lucien aux noms du torchon de Jeune afrique faisait l’apologie de Sassou sur Africa24.  » je suis pas contre Sassou, je ne suis pas pour lui » bla bla.
    Vous raisonnez en pseudo intellectuel arrogant dont l’analyse politique n’interesse que vous. Vous êtes de la génération des échoués.

  20. Sassou mort ou vif et maintenant dit :

    Je pense qu’il faut s’organiser et trouver des gens déterminés et capables de tirer sur Sassou Nguesso. Ce malade mental se déplace à Oyo, au Congo entre Oyo et Brazzaville et parfois même en Afrique, c’est là l’occasion de faire coup, un gros coup en provoquant un accident mortel en hélicoptère, avion, voiture, snippers, attentats, etc. Sassou n’a pas le monopole du crime en tirant sur le peuple, en assassinant les congolais. Nous pouvons aussi l’assassiner et maintenant, le pays sera alors libéré. Nous avons les plans des palais de sassou, là ou ils cachent les armes, on peut faire un coup et maintenant

  21. Hallo hallo dit :

    A sassou nguesso et ses complices.
    Pourquoi vous ne divisez pas officiellement le congo en deux. Congo nord où tous les habitants vous adorent et vous serez tranquille. Puis le congo sud où tout le monde vous déteste.
    Vous serez gagnant et pourtant, de cette façon aucun sudiste ne viendra vous commandez au nord.
    Regardez les cadavres de ses pauvres grosses, ils vous ont fait quoi?

  22. Kiondo dit :

    Le planificateur, l`instigateur des disparus de Beach et sa bande accusent,les soit disant ex-combattants Ninja de mener des  » actions terroristes en totale déshérence qui soient disont’on responsables du drame du Pool.Quel cynisme. La vérité tout le monde qui la sait. Il n’y a que les gens corrompus et qui ont vendu leurs âmes pour adhérer à une telle tromperie. Le mal du Congo est Sassou Nguesso.
    Il y a des milliers de morts dans le Pool, suite aux bombardements par hélico, aux actions des forces terrestres militaires de Sassou Nguesso mernées depuis 6 mois. Encore, le mercredi 5 octobre 2016, il ya eu, selon plusieurs sources concordantes, de nombreux morts enregistrés au sein des populations suite à des bombardements perpétrés par des hélicoptères de combat dans les villages loulombo et autre dans le Pool, Nkama et Manda, dans le district de Yamba (Bouenza). Des représentants de l’opposition ainsi que des proches du pasteur Ntumi ont déploré mercredi encore des tirs d’hélicoptères sur plusieurs localités du Pool et de la Bouenza qui auraient selon eux tué des civils.
    Par ailleurs plusieurs témoignages font état des hommes en uniforme qui depuis des mois, violent les femmes, pillent systématiquement des maisons dans la contrée de Nganga kobo, Mandzakala et des villages entier des districts de Mbanza Ndounga, Kinkala, Mindouli et Goma tsé-tsé vidé de leur population. L’armée malice éthinique appuyée par des mercenaires, miliciens, hélico ont eu l’ordre de Sassou Nguesso et bande, de tout casser, détruire dans les départements du Pool et de la Bouenza.
    Si les actions des forces militaries de Sassou Nguesso ont commencé leur sale besogne depuis le début avril, quelques ex-combattants Ninjas du Frédéric Bintsamou, alias Pasteur Ntumi, n’ont commencé la riposte en attaquant pour la première fois l’armée dans Pool, qu’à la fin du mois de septembre. la catastrophe humanitaire, le génocide des populations du Pool incombent en totalité à Sassou Nguesso et sa clique
    . Comme l’ a dit Charles Bowao : coordinateur de la plateforme d’opposition IDC-Frocad sur Rfi,” les bombardements dans le Pool seraient une «diversion», une tentative de détourner l’attention de l’opinion, après la récente réélection contestée du dictateur Denis Sassou-Nguesso. » La population est chaque jour confrontée à son lot de désolations liées à une mauvaise conduite de l’Etat conduit avec une tyrannie incroyable par l’ursurparteur des élections, le dictateur, génocidaire Sassou Nguesso depuis deux décennies d, la dit Monsieur Maleka. La soit disant victoire du dictateur Sassou Nguesso a été non seulement contestée par l’opposition congolaise, le peuple Congolais à plus de 92 %,la jeunesse; mais aussi par les obervateurs étrangers, institutions politiques à travers le monde. »Le Parti socialiste au pouvoir en France, a pour sa part dénonce l’absence de transparence de tout le processus électoral mais aussi les coupures de toutes les communications avec l’extérieur du pays imposées pendant la fin de semaine du vote. »Les crimes de Sassou Nguesso depuis près de 40 ans dans un silence complice du monde entier, sont connus et des nombreux dossiers témoignages nombreux y existent.Les responsabilité de Ntoumi et ses ex miliciens dans la crise du Congo qui a recommence le 4 Avril est une farce. Il n’y a que des gens débiles pour y croire. Pourquoi mettre en action des bombardements par Helico, des milliers des militaries, mercenaries,milices en action pour tenter à mettre la main sur une personne, qui est Ntoumi, dont aucune preuve ne montre qu’il est réellement à la base des attaques de mars dont le pouvoir illégitime lui reproche. Ntoumi est’il l’assassin des desparus de beach, des présidents Ngouabi, Massambat Débat , de Monseigneur Biayenda et de nombreuse autre personnes fussillées au beau matin, pour ne parler que de ces cas. Comment Sassou Nguesso peut continuer ses genocides, assassinnats, crimes au su du monde entier depuis plus de 40 ans, sans qu’ il soit inquiété?
    Il est temps que ce jeu prenne enfin fin.
    https://www.opinion-internationale.com/2015/07/29/exclu-lourds-soupcons-sur-des-crimes-contre-lhumanite-du-president-sassou-nguesso-au-congo-brazzaville_36379.html
    http://www.gabonlibre.com/Revelations-accablantes-sur-les-crimes-de-Sassou-Nguesso-dans-la-region-du-Pool-au-Congo-Brazzaville-1997-2003_a14055.html
    http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/3366-2016-10-06-09-56-13.html

  23. Gabio dit :

    Lucien Pambou,

    Je partage ton avis selon lequel la France et tout ce qui y est issu (langue, diplomes, francophonie, fcfa, francmaconnerie, politiciens, dictateurs-prefets…) constitue une cause d’avilissement et d’appauvrissement autant intellectuel que materiel pour les africains. En tant que diplome des universites de la france et grand parleur de leur maudite langue, tu sembles etre victime de la FRANCEMIASE, une forme d’affection qui touche tous les pseudo cadres africains fabriques en France pour detruire et maintenir l’Afrique en esclave perpetuel de la France. Tu parais exceller dans ta mission, celle de travailler inlassablement pour la France et pour les interets de la France representes au Congo par le prefet Sassou que tu defends et appelles affectueusement « president ».

    Tu ecris ceci:

    « Concernant la convention de l’opposition, Monsieur Mpouele est gentil. C’est bien de vouloir rassembler les membres de l’opposition et de la majorité, le problème est que la majorité est unie autour du Président Sassou, mais pas l’opposition car on ne sait pas dans l’opposition qui est le chef: Mokoko ? Kolelas ? Okombi Salissa ? Et d’autres éventuellement ? »

    La, je crois que tu rigoles. Comment une personne entouree par une majorite du peuple peut t-il avoir peur d’organiser une election transparente et libre? Meme dans ces conditions, il a ete incapable de proclamer les vrais resultats, preferant demander a sa tele de lire a 3h du matin un enregistrement le proclamant vainqueur. On a pas peur lorsqu’on a la majorite avec vous. On a peur lorsqu’on sait qu’on occupe un poste qui ne vous revient pas, une chose que vous avez vole par force comme un bandit arme. Il n’est pas libre votre sassou, comme tout voleur, il craint qu’a tout moment, le proprietaire de ce qu’il detient illegitiment peut lui en faire payer le pris de sa delequance. Le pauvre ne se promene que sous escort des helico de guerre en pleine ville, entoure des mercenaires en mode saute mouton autour de son camion et pointant le canon de leurs kalach sur cette fameuse majorite qui serait pourtant unie autour du « President » Sassou. Quelle ironie!!!

    Contrairement a toi mon frere, je ne qualifie jamais un usurpateur par president. Donc je n’appelerai jamais sassou par president. Je le faisais sans conscience quand j’etais encore enfant endoctrine par le MNP ou l’UJSC. Depuis que j’ai pris conscience hors de la francafrique, je sais a qui attribuer le titre de president de la republique.

  24. Eyomas dit :

    7 octobre 2016 à 17 h 05 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
    Répondre
    Vous qui condamnez Guy Brice Parfait Kolelas et le Pasteur Ntoumi pour ce qui se passe dans le pool ,soit vous êtes de mauvaise foi ou soit vous soufrez d’une cécité politique, Pako est très réaliste, il a refusé de revendiquer sa victoire aux élections présidentielles pour ne pas tomber dans le piège de sortir ses militants qui ont les mains nues dans la rue, aprés pour se faire massacrer par la suite, il faut comprendre, en face on a un régime tyrannique, répressif et sauvage, ils ne savent rien faire d’autre que de vivre aux crochets du pouvoir, des véritables assassins, voleurs et fainéants; le problème du Pool en particulier et du Congo en général c’est Sassou, c’est lui qui est entrain de détruire toute une région pour conserver un pouvoir volé,et pour régler les comptes à une région qui n’a pas voté pour lui; le reste n’est que manipulation, Pako n’a trahit personne, il évite tout simplement d’affronter un régime sanguinaire qui utilise les moyens de l’ETAT pour tuer son propre peuple, Tout le monde sait que ce qui s’est passé le 4 avril 2016, et ce qui se passe dans le Pool c’est un montage de Sassou, Jean dominique okemba, Ndengué et Pierre Oba, comme ils n’ont pas pu mettre ces événements sur le dos de Pako parce que ce dernier les a devancé sur le terrain de la paix, ce régime sanguinaire a trouvé prétexte sur Ntoumi , pour aller tuer, brûler les villages dans le pool, le discours de Pako est clair et précis,ceux qui lui cherche les poux sur la tête sont de mauvaise foi;il faut sortir des sentiers battus et gommer cette image d’Epinal que vous lui collez sur la peau , ceux qui ont voté pour lui aux élections présidentielles lui font encore confiance, Pako draine toujours des foules, des erreurs il en fait, c’est un humain; mais il n’a pas encore commis des fautes graves; le jour qu’il en commettra le peuple lui tournera le dos . J’ai entendu dire que que Pako devait suivre l’exemple de Jean Ping au Gabon, lui, Ping a fait exactement comme Pako, en homme intelligent il évite d’envoyer ses militants à mains nues pour aller affronter un pouvoir lourdement armé. Avant de critiquer sur internet quand on se trouve sur le bord de la seine ,il faut comprendre que, mener une opposition sur place au Congo n’est pas chose facile, face à un sanguinaire comme Sassou , un tyran qui a passé 32 ans au pouvoir et qui béneficie de la complicité internationale

  25. Anonyme dit :

    Paul Mari Mpouélé est devenu joufflu depuis sa nguirisation…

Laisser un commentaire