Depuis plus de trois décennies de règne , DSN fonde sa longévité au pouvoir par des stratégies, de conquêtes et de conservation du pouvoir, inspirées des théories de MAKIAVEL . Général d’armée, il a fait de la manipulation et de la dictature ses armes de prédilection. C’est ainsi qu’il a choisi de »gouverner par le chaos et dans le chaos » :1979 après l’assassinat de son frère .NGOUABI, il détrôna son cousin YOMBI.OPANGOT. 1997 : l’éviction du président LISSOUBA démocratiquement élu.
2015/16 présidence à vie : par un cout d’état constitutionnel et un holdup des présidentielles. Des stratégies bien cousues de fils en aiguille et qui sont souvent passées inaperçues chez tout observateur lambda. Grâce à un ensemble d’antivaleurs : corruption endémique, impunité zéro, holdup électoraux avec des pseudo opposants munis d’une feuille de route précise, politique du bâton et de la carotte, fausse rébellion, une population expiatoire choisie d’avance : les ressortissants du Pool, réduction du peuple à un conglomérat d’ethnie/tribu, balkanisation d’une république en NORD/SUD, quoique déclarée solennellement déclarée, une et indivisible, corruption multidimensionnelle et endémique, inhibition des conscience individuelle /collective , culture avilissante des antivaleurs, infiltrations et division des partis et cartels politiques. Le FROCAD-IDC semble, n’avoir, à coup sûr , pas échappé à la même logique:
L I.D.C SERAIT-ELLE UN RMP/PCT BIS ?
CHOIX MINUTIEUX ET DESIGNATION DES PSEUDOS OPPOSSANTS DE LA MAJORITE
Longtemps à l’avance, le choix des pseudos opposants sur la base d’un profil convainquant : un coup d’œil rétrospectif confirme cette assertion : en 1997, NTUMI, fils du POOL, autoproclamé pasteur, sans vertus, fut investi d’une mission d’exterminer les ninjas et devint l’alibi par excellence, pour occuper le POOL pour mieux les traquer et les asservir.
2009 : le maillot d’opposant de façade fut confié à NDZON, ancien trésorier de la guerre-coup d’état de 1997-1998. 2006 : pour piéger et divertir l’opposition extérieure, NGUOLONDELE, un général à la retraite, entretenu par SASSOU monta sur Versailles (PARIS) et réclama la démission de son bienfaiteur avant de rentrer tranquillement à Brazzaville, sans être inquiété ni inquiet.
2014, OKOMBI SALISSA, ministre rendu milliardaire par SASSOU endossa très tôt le maillot d’opposant au système PCT sans quitter le RMP, paradoxal !
En 2O15 : PAKO, fils héritier politique de son père se mit à vilipender frontalement le système PCT qui le créa ministre mais continua à être membre du gouvernement.
Enfin, tous devinrent les opposants contre un système qu’ils ont servi jusqu’à la précampagne mais furent médiatement propulsés au rang d’opposants charismatiques et vénérés par leurs militants fanatiques dans une plate forme intitulé IDC prônant la défense d’une démocratie qu’ils ont tous servis comme membres de gouvernement.
LE JUMELAGE DE L’IDC AVEC LE FROCAD ET DES STRATÉGIES INADAPTÉES
Deux objectifs :
a-Disposer d’une fausse dynamique unitaire de l’opposition « radicale »- sans en être réellement- pour mieux la surveiller et l’étouffer.
b-adopter la stratégie absurde de la candidature multiple justifiée pour étouffer SASSOU tout en ignorant qu’on attrape jamais un gros poisson de l’Alima avec de la glue ( les urnes + conseil constitutionnel),. que la CENEI n’était que la copie conforme de la CONEL et que les conditions minimums d’un scrutin objectif et transparent n’étaient pas réunies, se référant aux méthodes de validations du pseudo référendum, de la séquestration AOS+PAKO leaders de l’opposition radicale
c- Pour mieux contrôler l’ensemble de l’opposition afin d’éviter toute surprise, C. MUNARI colla TSATY MABIALA non pas au nom de la nostalgie des trois palmiers mais plutôt pour émietté d’avantage l’électorat du NIBOLEK et empêcher toute victoire qui sonnerait comme une revanche des Lissoubistes. Ainsi, le leadership de l’opposition radicale bascula de l’UPADS à l’IDC composés des candidats RMP (OKOMBI+PAKO+MUNARI)
d-Stratégie inadaptée des candidatures multiple : sans impact ou effet positif par rapport à l’objectif final d’une désobéissance civile – insurrectionnelle, seule raison de participer à cette élection). Une stratégie qui a eu deux conséquences fatales :
a-briser, empêcher ou atténuer une révolte populaire fulgurante en b- divisant, émiettant et en réduisant le peuple en ethnies- électeurs fanatiques et obéissant à leurs leaders régionaux. e–Nature de l’adversaire : dictateur sans état d’âme et pseudo démocratie dont tout le monde savait que, quel que soit le nombre des candidats DSN s’autoproclamerait gagnant dès le 1er tour en trichant et en imposant à tous sa victoire par les armes. f– Soutien compromettant des USA contre la France : Une stratégie visant à démontrer qu’avec AOS/PAKO pro américains, les intérêts français au Congo s’en trouveraient menacés au profit des USA. Bien que sachant le Congo placé dans le pré carré français, les grands opposants de façade de l’IDC (PAKO et OKOMBI), ainsi que la diaspora à Paris, centre de l’opposition en Europe, avec les ASSISES, ne sont-ils pas sciemment tombé dans le piège SASSOUITE en s’affichant plus « Pro- Americain » que Français « pays qui seul donne l’onction présidentielle et fait ou défait la majorité des présidents d’Afrique francophone ?
POURQUOI LES DES CANDIDATS DE L’IDC FROCAD ONT-ILS FAIT PREUVE D’UN MANQUE DE COHESION NOTOIRE ?
g-Pourquoi y a-t-il eu divergence ou refus de l’application d’un plan B illustrant un dysfonctionnement grave suicidaire de l’IDC-FROCAD faisant de la désobéissance civile lancée clairement par J3M un véritable « pétard mouillé » éclatant dans les mains faute d’avoir été appuyée par les principaux candidats de l’IDC-FROCAD (PAKO+OKOMBI +T.MABIALA+C.MUNARI) ?. Cette attitude ambigüe de tous ces candidats FROCAD-IDC ne semble t- elle pas valider la thèse d’un complot de cette plate forme contre le peuple et un piège qui s’est finalement retourné contre la naïveté de MOKOKO qui a déclenché un APPEL A LA DESOBEISSANCE qui n’était pas attendu par l’IDC-FROCAD ???? Et d’ailleurs, les attitudes, les sujets précis ainsi que le moment et l’ordre des interventions post électorales des candidats de l’IDC-FROCAD ne semblent –ils pas s’inscrire dans une démarche à chaque fois boiteuse et dénuée de sens sinon destinée à donner le temps au tyran pour consolider sa victoire, en rassurant faussement le peuple pour refroidir ou émousser sa détermination, de garder la flamme « allumée » d’un faux espoir jusqu’à l’investiture du président ???
DES QUESTIONS PERTINENTES QUE LE FROCAD–IDC DOIT ÉLUCIDER
Au regard lucide du comportement paradoxal qui ne cadre pas avec la décision d’un plan B devant à tout prix aboutir à chasser SASSOU par une insurrection populaire s’impose. La corruption active de certains opposants de ce FROCAD-IDC par le dictateur SASSOU aurait-elle donc eu raison de la charte de l’opposition pour la victoire, des cinq candidats qui semblaient pourtant avoir convaincu « temporairement » faire de l’alternance démocratique un principe non négociable ? Autrement :
1-Comment comprendre la recrudescence précoce de l’égocentrisme et de la divergence notoire dans l’application du plan B arrêtée de façon consensuelle au conclave de DIATA, seule justification objective ayant motivée l’opposition de participer à un scrutin dont la victoire usurpée de SASSOU était bien déclarée et connue avant même le verdict des urnes.
2-Comment expliquer la revendication contradictoire (MOKOKO(27%) KOLELAS(3O%) ) des suffrages recueillis et du rang de chaque candidat membre du FROCAD-IDC, alors publiés sur ZENGA MAMBU par une CET mise en place et dirigée par le coordinateur et célèbre –philosophe Zacharie BOWAWO ???
3-Comment justifier, qu’unis pour le meilleur et pour le pire par « la charte de la victoire » l’encerclement ou la séquestration de MOKOKO, de C. MUNARI ..n’ait pas déclenché le soutien mutuel ou la chaîne de solidarité prévue aux dispositions de l’article 1 de cette charte. ???
4-Enfin, une questions fondamentale s’impose : Dès lors que l’opposition savait que SASSOU allait s’autoproclamer, vainqueur dès le 1er tour, dès lors que GPAKO avait déjà annoncé son intention de faire recours au CC en cas de contentieux, dès lors que les quatre autre candidats de l’IDC-FROCAD, savaient pertinemment qu’aucun recours ne pouvait aboutir en sa faveur, que la CENEI n’était que la copie conforme de la CONEL et que les conditions minimums d’un scrutin objectif et transparent n’étaient réunies, que les méthodes de validations du pseudo référendum(séquestration AOS+PAKO ) pourquoi ces candidats du FROCAD-’IDC ont t-ils néanmoins décidés de participer à une élection déjà gagner d’avance. ???
QUEL SENS DONNER AU RETROPEDALE INTRIGUANT DE PAKO ET MOKOKO, SEULS QUALIFIES POUR LE 2èmeTOUR ?
- Le retro pédalage et les chiffres discordants de la CET entre PAKO & MOKOKO : deux candidats qui devaient s’affronter au 2è tour: affichant un mode opératoire divergeant ressemble à une voiture conduite simultanément par deux chauffeurs qui agissent à contrario : l’un accélère et l’autre freine (impossible d’avancer). Obéissant à cette logique, l’appel de désobéissance civique de MOKOKO fût rejeté par PAKO qui a demandé que « que le nord commence » 2- PAKO conteste les résultats par le recours au CC mais J3M tergiverse et s’inscrit dans le formalisme juridique et subordonne le recours à la publication préalable des résultats au journal officiel (réf : lettre publiée dans ZENGA MAMBU).3-PAKO, (après avoir fait tuer ses militants) respecte la décision du CC, reconnait la victoire modeste de SASSOU et demande paradoxalement au même président contesté de « s’élever au dessus de tous les congolais pour apaiser » Quel paradoxe troublant ! 4- Apparition d’OKOMBI « tout bouge, » entretemps devenu « tout calme » qui conteste les résultats et ne reconnait pas la victoire de SASSOU 5-TSATY MABIALA, le patron du FROCAD remanié,( après la trahison prélude de Marie MPOUELE ) reconnait les résultats et demande d’aller aux législatives+locale 5- C.MUNARI : convoque un rassemblement et se fait copieusement encercler 6- silence radio des autres candidats : PAKO+BOWAWO+J3M+TSATY Quel théâtre funeste !…
UN DIALOGUE POUR LA RECONCILIATION DU RMP OU LE TEMPS DE LA RECOMPENCE ?
Après le premier épisode du feuilleton, fait du bâton ( séquestration +référendum+ génocide de son électorat du sud+POOL, faux encerclements, arrestations arbitraires, harcèlement moral/politique : ce sera le temps commencera le second épisode (de la réconciliation ou de la récompense) qui sera déclenché Sitôt après l’investiture de SASSOU, président de la nouvelle république MBOCHI ayant OYO comme capitale du Congo : Ainsi, appliquant à la lettre les instructions formelles de F.HOLLANDE,» après le coup d’état constitutionnel complet (’référendum+présidentielles) et, déjà investi président de la nouvelle république MBOCHI avec pour capitale OYO,
SASSOU va, enfin, : « rassembler, apaiser et sécuriser » sa famille politique du RMP grâce un énième pseudo dialogue, post conflit, minutieusement contrôlé par le dictateur assisté des médiateurs internationaux (genre BATHILY) qui y seront plus pour toucher le pactole et faire récompenser tous les candidats complices de l’IDC-FROCAD dont les principaux leaders PAKO+OKOMBI avaient reçu mission particulière de mobiliser le peuple pour justifier le taux de participation + et la victoire truquée de SASSOU à 6O%. Un dialogue pour baliser la succession de son fils et non pour résoudre les vrais problèmes de fond qui minent le Congo tant que lui ou son fils CHRISTEL seront président à vie. « MADE IN FRANCE »
RESPONSABILITÉ HISTORIQUE DE L’IDC- FROCAD ET DE TOUS SES CANDIDATS& LEADERS PRÉSUMÉS AUTEURS DE HAUTE TRAHISON
« Si la charte de la victoire se transforme en une charte de la défaite du peuple, la responsabilité de l’IDC-FROCAD sera engagé et sa haute trahison établie» En effet, si jamais, cette phase de la manipulation, présumée, se soldait par un pseudo gouvernement ayant les leaders du FROCAD-IDC dans les rangs avec PAKO comme Premier ministre, un pseudo parlement avec : OKOMBI : président du sénat, Tsaty Mabiala : président de l’assemblée, Munari : ministre d’état de la « trahison » comme sous LISSOUBA: qui arrivé au paroxysme de sa popularité et de son poids électoral aura vendu aux enchères les suffrages de ses électeurs et immolé l’espoir du peuple en sacrifiant, par manque d’ingéniosité politique, des vies humaines pour accéder à une primature maculée de sang des ses propres militants. Sa nomination au poste de premier ministre résonnera comme une récompense empoisonnée teintée de malédiction de toutes les victimes tombées sous les balles de sa trahison.
Le peuple réalisera, mais hélas, trop tard voire à titre posthume, qu’il a été piégé par des politiciens véreux qui ont sollicité leurs suffrages, non pas pour les libérer de la dictature ou de l’océan de misères, mais pour monnayer leurs voies pour des intérêts bassement matériels, et pour pérenniser un système politique nauséabond et vomi par tous les citoyens du nord au sud. Quel sadisme !!! Entre SASSOU qui a tué ses militants et l’IDC-FROCAD qui lui a donné l’alibi,le plus sadique, ce sera, sous doute, PAKO qui aurait donné le prétexte à SASSOU. En effet, PAKO, ne pouvait pas ignorer que la présence de NTUMI à son meeting du stade MARCHAND faisait partie de la stratégie de l’impliquer dans les massacres au nom des NINJAS-NTSILOULOU ! Entendu que « MAYELA MA BUATU GA KUMU » lui qui portait les stigmates et les séquelles du référendum, pouvait-il croire naïvement préserver les populations du POOL et ses électeurs en les appelant au vote et non au boycott du scrutin gagné d’avance ?
Enfin concluons que si les candidats de l’IDC-FROCAD acceptent la carotte du pouvoir, ce serait la fin d’une énigme dénouée : manipulation de manipulation tout n’a été que manipulation : Du dialogue de Dolisie , à celui de EWO ?de la création de l’IDC à son jumelage avec le FROCAD, du choix et de la participation des ses 2 principaux pseudos candidats (PAKO+OKOMBI) leaders chip « jokers » manipulables à dessin (réf : séquestration simultanée avant la publication du référendum) , un scénario écrit et assimilé, avec un chronogramme choisis longtemps en avance pour une victoire dans le CHAOS et par le CHAOS.
DERNIERE EPISODE : FIN DU REGNE DE SASSOU
Enfin, dernière étape
Enfin, dernière étape : moins cruelle pour le peuple mais mortelle pour tous les hauts responsables susceptibles d’empêcher CHRISTEL, « nouveau ministre de la défense » de lui succéder au trône. Etape faite de manipulation, d’empoisonnement, d’emprisonnement, d’accidents d’avion, d’élévation de NDENGUET comme chef d’état major général des forces armées ou de nouvelle crise avant les prochaines présidentielles. en 2021. En entendant, le peuple s’interroge : Quelle place réserverait-on dans l’Histoire à tous les candidats du l’IDC-FROCAD : TSATY MAB+ C.MUNARI+ A.OKOMBI et particulièrement à G.PAKO et MOKOKO ceux là sur qui se sont cristallisés tous les espoirs de renaissance d’un nouvel ordre sociopolitique au Congo+L’ IDC-FROCAD pourra t-telle encore incarner l’espoir d’un peuple traumatisé ? et qui des deux candidats (PAKO+J3M ) restés encore provisoirement en lisse saura écrire la plus belle page d’orée de l’histoire de l’histoire de libération du Congo ? L’avenir nous le dira !
APPEL A LA FORMATION D’UN FRONT POPULAIRE
POUR LA LIBERATION DU CONGO
Dans l’hypothèse d’un ralliement d’OKOMBI, MUNARI et TSATY MABIALA au pouvoir,
une alliance sacrée NORD/SUD incarnée par MOKOKO+PAKO s’impose pour rassembler, un front populaire de libération du Congo, les partis, associations et forces vives, tamisés, suivant les valeurs de loyauté, d’éthique, de ténacité, de courage et de justice, comme leviers pour refonder le Congo en considérant la politique comme un sacerdoce au service du bien commun.
David MAKASSY
Diffusé le 20 avril 2016, par www.congo-liberty.org
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Les leçons de l’élection du 20 mars 2016 au Congo-Brazzaville
Il faudrait qu’il soit acquis que toute prise de position, ces jours-ci, sur le Congo-Brazzaville doit commencer par une condamnation des bombardements injustifiés des populations civiles de la région du Pool, par un appel à un cessez-le-feu immédiat et bien sûr par un appel à une aide humanitaire en vue de restaurer les congolais de la région du Pool dans leur dignité de citoyens.
C’est fait.
Les conséquences du vote du 20 mars au plan intérieur
Les faits ont démontré que lorsque les congolais ont une raison valable de se rendre aux urnes, ils ne la méprisent.
La raison valable le 20 mars 2016 était l’espoir d’une alternance pacifique :
Pierre Ngolo, secrétaire général du PCT a implicitement reconnu la défaite du candidat Denis Sassou Nguesso.
En réalité Sassou Nguesso a été battu.
Il a choisi de faire d’annoncer sa forfaiture par surprise en plein milieu de la nuit par crainte d’une réaction imprévisible de la population
Le 29 mars, Sassou Nguesso, ébranlé, s’est transformé en chef du personnel chargé de relever les noms des absents, oubliant que personne ne peut être radié sans avoir été entendu préalablement.
Sassou Nguesso a opté pour une macabre diversion en faisant attaquer des édifices publics par des hommes de main à son service pendant qu’il faisait valider par sa cour constitutionnelle une victoire qu’il n’a pas remportée. Les hommes de main qui ont semé la terreur dans les quartiers sud de Brazzaville sont loin d’être différents des membres du comité d’accueil chargé de piéger le général Jean Marie Michel Mokoko à l’aéroport de Maya-Maya lors de son retour à Brazzaville pour prendre part à l’élection présidentielle. Le gouvernement n’a jamais mené d’enquête. Par ailleurs, l’opinion attend toujours les conclusions de l’enquête annoncée par Thierry Lézin Moungalla sur les attaques « terroristes » dans les quartiers sud de Brazzaville
La grande leçon est que Sassou Nguesso a un genou par terre.
Personne ne s’explique comment un candidat devancé, par deux autres dans les zones les plus peuplées du pays, se retrouve comme par enchantement avec la majorité des suffrages sur l’ensemble du pays dès le premier tour.
Personne, parmi les soutiens de Sassou Nguesso, ne se risque à expliquer cette arithmétique. Pierre Ngolo s’y est essayé à ses dépens car le peu de crédibilité qui pouvait lui rester s’est évaporé.
Pierre Ngolo et le PCT savent que Sassou Nguesso n’a pas remporté à la régulière l’élection présidentielle;
Thierry Lézin Moungalla, le griot de service, sait que Sassou Nguesso n’a pas remporté à la régulière l’élection présidentielle;
Raymond Zéphyrin Mboulou sait que Sassou Nguesso n’a pas remporté à la régulière l’élection présidentielle;
Henri Bouka sait que Sassou Nguesso n’a pas remporté à la régulière l’élection présidentielle;
La cour constitutionnelle, qui a rejeté tout recours, sait que Sassou Nguesso n’a pas remporté à la régulière l’élection présidentielle;
Et la liste n’est pas exhaustive.
Sur le plan national, Sassou Nguesso n’a plus de crédibilité.
Il lui reste toutefois la force de répression. Et c’est le drame de la majorité des congolais, du nord au sud et de l’est à l’ouest.
Mais comme l’a prédit le général Jean Marie Michel Mokoko, les armes des forces de répression ne pourront rien contre un peuple debout et qui exige que son vote soit respecté.
Ce peuple a besoin de leaders engagés à ses côtés. Le premier tour de l’élection présidentielle, assimilable à des « primaires » a désigné Mokoko et Kolélas ou Kolélas et Mokoko comme possibles leaders, bien que Kolélas veuille maquiller une capitulation en invoquant un improbable recours auprès de juridictions africaines.
Kolélas doit reconsidérer sa position et réaffirmer son appartenance à l’IDC-FROCAD;
Mokoko, sans parti politique, doit solennellement rejoindre l’IDC-FROCAD au cours d’une manifestation publique.
Le président du comité des plateformes politiques FROCAD-IDC, Charles Zacharie Bowao doit désormais disposer de plus de ressources afin que la voix de l’opposition ne s’éteigne.
Le combat pour l’alternance n’est pas perdu car au regard des conséquences du premier tour de l’élection présidentielle, le renversement de Sassou Nguesso est possible si la voix de l’opposition demeure forte, à l’image de l’appel de Claudine Munari au rassemblement de la paix, au rassemblement de l’unité nationale.
Les conséquences du vote du 20 mars au plan extérieur
Qui n’a pas constaté que la « communauté internationale » n’a pas reconnu la première élection à huis clos au monde?
Qui n’a pas constaté que les chefs d’états étrangers ne se sont pas précipités à Brazzaville le jour de l’investiture de Sassou Nguesso?
Ali Bongo Ondimba est venu à Brazzaville pour des raisons familiales et non pour symboliser la reconnaissance des gabonais.
C’est ici le lieu de rappeler que la facétie de rassembler d’autres chefs d’états pour célébrer une élection truquée est une vaine tentative de singer ce qui s’est passé à Pretoria lors de la première investiture d’un premier président sud-africain élu pour la première fois selon le principe « one man, one vote » (une personne, une voix) où le système d’apartheid combattu finalement par le monde entier devait être enterrée en présence du monde entier!
Sassou Nguesso est donc un président de fait, et les relations avec les autres états ont à se poursuivre quel que soit le congolais qui exerce la fonction de président.
La leçon à tirer pour ce qui est de l’extérieur est les autres états s’adresseront à Sassou Nguesso par politesse.
Il revient alors aux congolaises et aux congolais de désigner leur interlocuteur auprès d’autres états : au nom du sacro-saint principe de non-ingérence, les autres états ne feront jamais le « boulot » à la place des congolais eux-mêmes.
Par Salomon Lasagesse
LE GRAND COMPLOT FRANCOPHONE
En effet le Congo Brazzaville, est sous le grand complot francophone, ceci ne date pas de maintenant, mais depuis l’entrée des indépendances existant que sur papier, quand les pères des indépendances ont été trahi par Senghor d’où l’existence de la fameuse union français découlant le franc CFA et autres éléments de la continuité de la colonisation.
La mère de la francophonie elle-même la France, sans le pétrole congolais elle sera dans l’impossibilité de vote son prochain budget, ou en acceptant un gouvernement démocratique c’est-à-dire la politique de gagnant gagnant avec le Congo. La France va devoir faire des restrictions économiques hors actuellement la France est déjà en récession économique.
Le pays francophone de l’Afrique de l’ouest en commençant par le Sénégal qui n’est rien d’autre que le cheval de batail diplomatique de la France en Afrique sans le pétrole moins cher provenant du Congo vendu par total. Les prêts d’argent congolais comme la Cote d’ivoire qui reçu 100. 000.000.000 de CFA, en citant que c’exemple. Sans sassou ces pays vont faire face a des grandes difficultés économiques.
En 97 toute les armées de ces pays en ajoutant l’Angola se sont lancées en assaut sur les congolais d’où l’épuration ethnique des populations du sud Congo. Mais pourquoi le sud? C’est perce que de un c’est plus de 80% de la population et en plus cette population s’oppose au pillage de leur pays.
Aujourd’hui dans ce qui se passe au pool si vous faites des recherches approfondies vous trouverez les soldats des pays francophone.
Le président sénégalais le grand démocrate africain c’est présenté le premier a l’investiture de sassou tout en sachant que que sassou n’a pas gagné les élections et qu’il est en train de décimer la population congolais mais c’est question d’intérêts.
CHERS COMPATRIOTES SI NOUS VOULONS SAUVER NOTRE PAYS CE N’EST PAS EN France. LE CANADA VIENT DE CE DÉMARQUÉ NOUS DEVRONS APPRÉCIEZ CELA ET DISONS BRAVO CANADA CAR CE PAYS EST EN GRANDE PARTIE ANGLOPHONE.
NOUS ATTENDONS LE GRAND SOULÈVEMENT NATIONAL. SASSOU DOIT PARTIR POUR LE DROIT A LA VIE AU CONGO
Ce texte un entrelacs , car rempli des hypothèses et des soupçons , aussi inquisitoriaux que maladroits .
Une espèce de films à éternel rebondissement , écrit par un aigri auquel les vrais enjeux ont échappé .
Comment penser que PAKO et MUNARI aient démissionné du gouvernement , dans le but de distraire le peuple congolais ,au profit de SASSOU et rejoindre le gouvernement après leur forfaiture suprême ?.
Ce scénario est tout simplement une insulte au tout le pays et me paraît surréaliste et donc mensonger .
Le reste des soupçons qu’il fait peser aux membres de l’opposition relève d’une imagination futile et infertile , le lendemain d’un échec, est toujours synonyme de réglements de compte .
Le seul reproche à faire à l’opposition , c’est de n’avoir aucun soutien militaire , avant et après le scrutin présidentiel .
LIRE ….insulte à tout le ;;;;;;fait peser sur les membres
Le Congolais n’assume rien il ne sait faire que des analyses divers et variées.
Facile de faire la révolution assis dans son salon et d’échafauder autant d’hypothèses qu’il existe de comportements.
Dénigrer, élaborer des stratégies après coup, c’est surtout avec ce type de comportement qui fait que nous soyons toujours dans l’impasse face à sassou.
Le Congolais est incorrigible et je plains le prochain qui aura le courage de s’opposer au monstre de l’Alima, il n’aura pas ouvert la bouche que déjà on lui aura trouvé toutes les perversités le concernant.
Le Congo n’est pas le Burkina on en est loin, très loin.
Je l’ai toujours dit sur cette page que l’histoire me donnera raison,quelques reflexions de autres compatriotes emboitent maintenant mon pas.Il suffit de faire une petite analyse simple pour comprendre que la voie de la liberation du peuple Congolais est militaire.Malheureusement,les Congolais ne veulent pas prendre les initiatives dans ce sens,par exemple l’interview donnée par Benoit koukebene est très révélatrice de l’inaction des Congolais et qui font leur espoir sur d’autres pour travailler a leur place.Quand le journaliste lui pose la question.Est ce que le Congo a une Armee?.Il répond par oui,le Congo a une Armee mais elle est démunie.Le manque des équipements militaires n’est qu’ une raison fallacieuse,ce n’est pas un grand handicap si vraiment le Congo avait de vrais militaires ils déclencheraient les hostiles pour virer le valet de l’empire français du trône.Ailleurs on a vu un groupe de 83 personnes mene une lutte contre un valet de l’empire Americain arme jusqu’aux dents a venir about de ce regime.Ce n’est pas la quantité des armes qui fait la guerre sinon les hommes.Les soient disant ex ninjas le prouvent dans le pool en mettant en déroute l’Armanda des mercenaires envoyee la-bas par la fripouille d’Edou-Penda pour décimer les populations.De quelle armee parle-on au Congo.Une armée(milice) modélisée par l’empire français a travers son pantin,ses conseillers militaires et instructeurs militaires afin de protéger ses intérêts(puits de pétrole etc.).Non,le Congo n’a pas d’armée s’il en avait une,la fripouille d’Oyo n’aurait meme pas monte sur le trône.Il revient,aux vrais Congolais de trouver les moyens afin virer la france et son valet par les canons c’est l’unique voie qui se présente au peuple Congolais.Tous ceux qui pensent trouver les USA comme contrepoids de la france c’est encore une naivite de leur part car les états unis est la fille d’Europe.N’oubliez pas qu’ils sont tous des cousins.Un certain Lissouba en sait quelque chose.
La même rengaine. Le Congolais parle beaucoup, trop même. Vous dites, je vous cite « Ce peuple a besoin de leaders engagés à ses côtés ». Et pourquoi vous en êtes pas un. Qu’attendez-vous monsieur Lasagesse, des extra-terrestres ? Où sont vos leaders, où se cachent-ils au moment où les populations du pool sans défense sont bombardées par ce pouvoir sans scrupules. Après le vol, ils sont passés maitres dans le crime, le crime organisé.
Mon frère, c’est bien de critiquer, mais que proposez-vous, rien. Les gens qui ne font rien sont prompts à la critique, des tonneaux de danaïdes. Sans bases. Que du vent.
Vous êtes entrain de distraire les Congolais.
Ce texte est confus et touffu , et distrait plus qu’il informe , c’est une extrapolation d’une pensée biaisée à domination enfumante .
Trop de contre vérités et d’affirmations gratuites qui ne reposent sur aucune logique .Le fait qu’il s’attaque à deux personnes qui ont tourné le dos à la fortune facile disqualifie toute sa salade de texte .
ils ne sont pas nombreux au CONGO d’avoir posé les actes comme ceux posés par MUNARI ET KOLELAS .
Dans l’histoire politique de notre pays , ces cas de démission de gouvernement , se comptent sur les bouts de doigt et ne pas en tenir compte ,relève de la mauvaise foi .
Je ne suis ni KOLELAS et encore moins MUNARI , mais de là , à délivrer des balivernes de caniveau , est une grosse bassesse .
Nous devons respecter , leurs efforts et les risques inhérents à cette activité politique criminogène , sous le règne de SASSOU .
On peut souligner çà et là et quelques imperfections , dans leur organisation politique , mais les prendre pour des traîtres travaillant pour SASSOU c ‘est malsain et méchant , c’est procéder au suicide collectif .
Au fait, PAKO et Munari avaient démissionné du gouvernement ou ont été virés. Je n’ai cessé de dire ici que l’attitude de PAKO de ne pas avoir dénoncé l’accord PCT/ MCCDI tout en s’opposant au chef du parti allié, tout comme Okombi qui ne démissionnait pas du pct et restait député élu du pct dénontait d’une incohérence politique que je ne comprenais.
J’ai toujours soutenu la stratégie de l’encerclement de l’opposition face à sassou et elle a marché puisque deux candidats de l’opposition étaient qualifiés pour le deuxième tours. La seule chose sur laquelle presque tout le monde était d’accord c’est que sassou se proclamera élu au premier tours quelque soient les résultats et attribuera aux autres candidats le % par lui choisi par rapport à sa stratégie du partage des strapontins à venir. .
On peut faire toutes les analyses que nous voulons, mais pour faire partir sassou du pouvoir, il n’ y a que la solution militaire, donnée que toute l’opposition a feint d’ignorer. Nous pensions que Mokoko, se jetant dans cette bataille au dernier moment avait comme plan B ses camarades qui viendront au secours des congolais au cas où leur vote était volé. Que nenni, notre armée est plutôt au service d’un individu et non au service du peuple. Nous ne sommes pas au Burkina.
Dans cet article, il est soulevé la revendication contradictoire des suffrages recueillis par Mokoko 27% et Kolélas 30% publiés par zenga mambu sans souligner que ces résultats n’étaient que partiels au point où jusqu’à ce jour la CTE de Bowao ne nous a plus donné les résultats défintifs de sa compilation. Nous n’avions que ceux que sassou a voulu attribué à ses concurrents selon sa vision future de la distribution des postes, d’où les déclarations et positionnements des uns et des autres.
Ce moment là est proche. Nous verrons qui de l’opposition a fait le jeu de sassou. Ce jour là n’est plus loin.Attendons de voir la suite
Je pense à ce que mon ami Nigerian me disait » you French people only talking talking talking ».
..Et vos docteurs en droit qui ne comprennent rien de la stratégie politique,
…et vos politiques poules mouillées qui ne comprennent rien des exigences du pouvoir. Amateurs et corrompus d’ou le prix bien merité d’opposants les plus bêtes au monde.
..le peuple perd les reperes…
Sassou reste dans son element.
Le congo se meurt…
Tiadi mingi !
Les opposants ont fait un bon travail: LAISSER SASSOU NU AUX YEUX DU MONDE ENTIER.
Que reste t-il a faire? Le defi est lance a tout congolais. L’opposition doit l’avoir en tete. Le silence vaut mieux que la parole exprimant la PEUR.
Sassou est dans une position illegale, on ne revient pas sur l’eternel mental suspicieux du congolais. Que faisons nous ?
A ceux qui ont obtenu la science obtuse ,à défaut d’une science infuse , une question .
PAKO ET MUNARI N ‘ONT ILS PAS ENVIE D’ETRE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ,
APRES AVOIR ETE MINISTRES . pour simuler une course à la présidentielle ?
Ma logique me retient de tomber dans le syndrome de l’agneau pascal , et je crois fermement à leur idéal politique , tout comme OKOMBI SALISSA .
Etant issu d’une formation scientifique je m’interdis certaines gesticulations cérébrales .Et , je valide , la phrase prémonitoire prononcée à mon intention par un de mes directeurs , que LE CONGO forme plus de querelleurs inutiles à la société que des techniciens créateurs de bonheur socio économique . Ces deux textes en sont la funeste illustration .
Congolais brillants en critiques acerbes et incapables de concevoir une idée génératrice de revenus , car abrutis , par l’argent facile du pétrole .
A Oyessi
Tout a fait d’accord avec vous quand vous dites que la solution au Congo est militaire. Là où je ne suis pas d’avis c’est quand vous dites que l’opposition a feint d’ignorer cette solution. L’opposition n’a pas feint, elle savait que sassou n’allait pas gagner, elle n’avait pas non seulement préparé la solution militaire, mais n’avait pas les couilles bien suspendues. Les Diawara, les ikoko, les Kiganga, les Anga ne courent pas les rues. Et puis trop de leaders pour une solution militaire. Je pense que quelque chose n’a pas marché à l’opposition. Seuls les opposants nous le diront, est ce une question de stratégie, est ce une trahison, est ce … c’est une question de temps, les Congolais n’ont pas de secrets.
J’adhère au point de vue de David. l’opposition a fait un grand travail et nous ne pouvons pas trop reprocher:
1- La stratégie de l’encerclement a bien fonctionné et a payé
2- Les vrais résultats sont aujourd’hui connus et la réticence de la communauté internationale le prouve
3- Le silence de certains leaders de l’opposition dérange et fait plus de dégâts que nous ne pouvons imaginer
Ce qui n’a pas marché à mon avis et ce n’est pas aussi de leur faute, c’est le manque de concertation pour coordonner les actions car certains leaders sont en résidence surveillée et bien surveillé !
Sans la force militaire, l’opposition a déjà remporté une victoire car toute l’armée n’approuve pas ce qui se fait et certains hommes d’églises prennent position pour le peuple. certains chefs d’état africains invités ne sont pas venus et la communauté internationale a signifié le manque de transparence
Actuellement, le fait de ne pas nommer un premier ministre dans les 48 heures qui ont suivies l’investiture prouve qu’il y a quand même des tractations et que tout n’est pas aussi facile du côté des vainqueurs auto proclamés
Il faut de l’apaisement et éviter que le sang des congolais ne coule encore car les hommes politiques sont tranquilles chez eux et ce sont les populations qui subissent. il faut œuvrer pour une transition car le président ne laissera pas le fauteuil en claquent les doigts.
Président de fait ou de droit, nous devons nous accommoder et œuvrer pour un dialogue car les hommes politiques ne resteront pas encerclés et que les investisseurs risqueront d’hésiter et donc le chômage des jeunes ne sera pas résolu. il faut la paix, la stabilité
Je pense que MUNARI est sincère et très sincère même dans son action car c’est elle qui a imposé aux autres de signer la charte de victoire car elle voulait qu’il y ait un seul candidat de l’opposition mais n’ayant pas réussi cette mission, la charte a été salutaire.
Kolelas Parfait n’est pas allé à cette élection pour être président, à mon avis, mais pour récupérer son électorat et celui de son feu père de sorte à peser sur tous les plans politiques. il sait qu’il a tout le temps devant lui
AOS et J3M sont aussi sincères, à mon avis.
TSATHY MABIALA n’était pas sincère dans son action mais il pourra le regretter très vite
BOWAO a récupéré très en retard les responsabilités au niveau des deux plates formes mais je pense qu’il se bat à respecter jusqu’aujourd’hui pour le peuple et que son action est sincère
« » » la désobéissance civile lancée clairement par J3M un véritable « pétard mouillé » éclatant dans les mains faute d’avoir été appuyée par les principaux candidats de l’IDC-FROCAD (PAKO+OKOMBI +T.MABIALA+C.MUNARI) ?. Cette attitude ambigüe de tous ces candidats FROCAD-IDC « » »
A propos, il me souvient de la marche SASSOU/KOLELAS pour manifester contre Lissouba.
Kolelas avait ameuté les siens. C’est au CCF que MOKOKO se deplacera pour dire à Kolelas que Sassou n’a pas bougé ses militants. La marche sur le champ s’était termineé.
Ce retour d’experience est dans les tablettes des dirigeants sus-nommés.
Et si in fine, les hommes politiques du Nord ont toujours de manière consciente pousser les sudistes à l’abattoir ?? Eux, JAMAIS ils ne MEURENT en masse et pour cause…..
Le meme MOKOKO a fait exactement comme SASSOU il y’a une 20 ans.
cherchez l’erreur ….
PERTE DE TEMPS INUTILE, il faut aller à l’essentiel!
TOUT A UNE FIN: UNE NOUVELLE SALVE A LIRE ABSOLUMENT!
http://bantura.blogspot.fr/2016/04/paroles-libres-des-bassa-kama_19.html
Trop de spéculations et d’hypothèses sans solutions. Il y a des vérités que l’on ne droit pas livrer ici, concernant la stratégie de l’opposition, car ce que sassou sait faire le mieux, c’est l’espionnage, le renseignement. Et parmi ceux qui tiennent les sites internet et les journaux, il y a des infiltrés de Sassou. Sachez simplement qu’il y a un travail sérieux qui se fait par la communauté internationale, loin des médiats, avec des concertations entre toutes les parties concernées, et d’autres de la vraie société civile. Que ceux qui croient soutiennent ces actions dans la prière.
Trop de théorie et de procès d’intentions, j’attends maintenant que quelqu’un nous propose un modus opérandi pour faire partir DSN. La solution militaire, OUI, MAIS COMMENT la mettre en pratique
Le Congo notre pays se trouve dans un imbroglio politique qui ressemble véritablement à une tragi-comedie qui sera lourde de conséquences pour l’avenir. le peuple congolais, notamment sa jeunesse qui a été piégée, ridiculisée. Elle a été très naïve à volonté car restée pendant longtemps sous le joug d’un pouvoir sans foi ni loi, duquel elle a voulu s’en débarrasser. Hélas, cette belle farce des pro Sassouiste pour crédibiliser le non élection du dictateur par son important taux de participation n’est rien moins qu’ une forfaiture de plus contre le peuple congolais. Ces mercenaires supposés devront répondre de leur trahison et mériteront la sentence la plus sévère.
@ A Bouétafogo,
« Les Diawara, les ikoko, les Kiganga, les Anga ne courent pas les rues »
D’accord avec vous sauf que les données n’étaient pas les mêmes et en ce temps là sassou était déjà à la manoeuvre. Il a été toujours avec ceux ci mais les trahissait par la suite.
Toujours à la manoeuvre, il a réussi à éliminer un à un en jouant à la femmelette jusqu’au jour où il a éliminé Ngouabi, celui qui lui faisait confiance et qui a fait de lui roi.
« Et puis trop de leaders pour une solution militaire. »
Non le plétthore des leaders qui sont sans armée et non armée ne pose aucun problème si tous arrêtent une seule ligne de conduite et s’en tiennent à célà. Tant que notre opposition ne parlera pas un seul langage et ne restera soudée, sassou aura toujours les moyens de les opposer pour continuer à règner et nous n’aurons que nos yeux pour pleurer jusqu’au prochain coup de sassou. Celui de faire de son kiki le prochain roi du congo. Décidemment!!!!!
Les positions des intervenants commencent évoluer face à une réalité que nous avions eu à anticiper.
Cependant, certains intervenants sont aussi versatiles que les Pako et Tsaty tant critiqués.
OYESSI, qui demandait aux opposants de mettre de coté leur ego afin de s’aligner derrière Mokoko, avec l’argument repris ci-dessus, devient le chantre de « l’encerclement » qui aurait marché :
« Depuis que Mokoko est rentré dans la danse, ma stratégie de l’encerclement a changé parce qu’il nous aura démontré qu’il n’avait pas peur d’affronter sassou, sa milice et sa justice aux ordres. »
Pour faire un bilan d’étape, les divergences au sein de l’opposition ne font plus aucun doute. En dehors des communiqués publiés par le coordonnateur au nom de l’IDC-FROCAD, rien ne semble se dessiner en termes de dynamique d’ensemble, autour d’un objectif commun.
On peut être amené à penser que cette opposition a montré ses limites, devant un pouvoir qui fonctionne à la kalachnikov.
L’effet pédagogique de Moïse n’a pas été de nature enrayer une tradition ancestrale de violence, ruse et de mensonge, au regard de la prestation de serment, sans scrupule, ni sens de l’honneur.
D’où la nécessité de refondation du cadre de résistance à la dictature qui ne peut se limiter à des postures, des points de presses ou à des réactions improvisées au plan d’action du tyran.
De même qu’il a eu le colloque pour décider de la participation à l’élection, excluant une partie du FROCAD, la charte pour le deuxième tour, un autre processus doit conduire à la refondation de la résistance.
Ce que l’on observe à ce stade, ce sont des leaders qui y vont, chacun y va de sa petite musique, dont aucune ne semble arrêter l’a machine à manipuler ou à tuer.
Nous rentrons dans une nouvelle phase de lutte où l’on devrait distinguer le bon grain de l’ivraie, en évitant de s’encombrer des opposants de circonstances.
Certains candidats donnent l’impression d’être aller au bout de leur force et commencent à s’essouffler, en choisissant au passage une posture qui les rapproche lentement, du cartel des barbares.
Il faut désormais parler en terme de résistance et non d’opposition, dans la mesure où nous faisons face à un pouvoir sans foi ni loi, qui ne pourrait abdiquer sous contrainte, évitant de répondre à des crimes en tout genre.
Depuis la fin de la pièce de théâtre du 20 mars, dont le scénario était connu d’avance, sur le plan des postures, en dehors, de l’appel de Mokoko qui semble ne pas avoir été anticipé à l’image d’un Moïse ramenant le peuple vers la terre promise, seul Munari et okombi ont donné le ton de fermeté qu’on pouvait atteindre de ces leaders.
C’est aussi paradoxale que l’on est en droit de se demander si, finalement, ça ne serait pas Munari qui les auraient « bien accrochées »?
Malgré les incantations du coordonnateur promettant que « notre victoire ne sera pas volé » par un héritier de la tradition du vol, ayant le butin entre les mains, tout porte à croire que le vrai Moïse reste le peuple courageux et bien organisé, capable d’agir au bon moment.
Pour cela, l’effort pédagogique envers les paresseux qui s’accommodent aux mensonges, au larmes et au gout du sang devait être un chantier primordial de la résistance.
A moins de vouloir s’orienter vers une thérapie de choc.
@ konga
Voilà une bonne question. Comment mettre en place le plan militaire.
1_ Pako doit cesser de trop courir. Au risque d’épuiser ses conseillers juridiques, il doit s’orienter vers une plainte au Pays Bas contre l’Angola et le Tchad pour invasion, destruction, assassinat, viol et renversement d’institution legale.
Me direz vous pourquoi retourner a 1997, et que cette question aurait du etre traiter par Pascal LISSOUBA.
Je repondrai, non. C’est une question ouverte a tous, en tout temps. L’illegalité installee par ces deux pays notament et leur cerveau penseur ( la France) avec les consequence jusqqu’a l’actuel impose que la question demeurer ouverte. Reflechis et tu trouveras beaucoup de filons.
2_ Installation d’une radio portable pouvant etre capter au nord, a brazzaville et a pointe noire – dolisie.
3_ IDC – FROCAD installé a Brazza mais en discret.
4_ L’eglise continue de parler de paix.
5_ Un territoire, les hommes et les armes. Les deux premiers existent sur le terrain avec 99% de chance de detruire les fameux avions de Sassou.
Les armes je ne detaille pas ici.
6_ Un commandant.
6 est le point qui fait defaut a ce jour.
Vision: Les hommes a 70% sont entrainés pour mener une guerilla in/out town.
Ligne de mire: Oyo/Brazzaville.
Identifiant mort ou vif: Sassou & Cies.
Si tu as a dire, tu ajoutes.
Par Tchibouela Makosso
K2 : Il serait intéressant que tu nous expliques comment la France en tant qu’Etat attaché aux principes fondamentaux qui garantissent les droits de l’homme peut-elle freiner l’expression légitime des Sud Congolais à l’autodétermination ?
K1 : Excellente question !…En effet, il est requis de clarifier cette situation. La recherche des réalités ultimes nous emmène à découvrir une réalité particulière qui passe inaperçue aux yeux de la majorité du public. En fait, la France s’est construit sous les apparences d’une République un véritable Empire. L’Artisan de cette œuvre n’est rien d’autre que le Général Charles De Gaulle avec sa Constitution de 1958 qui fit naitre la Vème République.
A travers la Constitution de 1958 et notamment la première révision constitutionnelle qui s’ensuivit le 04 Juin 1960, juste avant les indépendances accordées par la France à ses ex-colonies, le 11/08/1960 (Tchad), 13/08/1960 (Centrafrique), 15/08/1960 (Congo) et 17/08/1960 (Gabon), la France posa les bases de la naissance d’un regroupement nouveau de Territoires appelé La Communauté (Art. 1), de laquelle ne pouvait plus s’en éloigner (Art. 76) les nouveaux Etats ex-colonies.
Les nouveaux Etats Africains au sein de la Communauté y sont placés directement sous l’autorité du Président Français (Art. 80).
A cette Communauté, il lui fut défini un champ de compétences (Art. 78) qui comprend la Politique étrangère, la défense, la monnaie, la politique économique et financière commune ainsi qu’à celle des matières premières stratégiques, la monnaie (dont le CFA), l’Enseignement supérieur, l’organisation générale des transports extérieurs et communs et des télécommunications…
K2 : …Mais, excuse-moi de t’interrompre, tout en te demandant de ne pas perdre le fil de tes idées, on n’a jamais entendu parler de cette Communauté ! Comment les anciennes colonies françaises d’Afrique se sont-elles lier pour former cette Communauté ?
K1 : En effet, pour de nombreux Africains et même pour la majorité des Français, l’existence de cette Communauté fut et est quasiment inconnue. A la différence des Britanniques avec leur Commonwealth qu’on entendait et qu’on entend souvent parlé, la Communauté française d’Afrique joue dans l’anonymat total. Et, pourtant ces effets aux conséquences immenses imprègnent le cours de l’existence des Africains concernés par cette organisation !
Pour en arriver à l’émergence ou la mise en place de cette Communauté, les peuples Africains colonisés par la France autant que la Métropole furent appelés le 28 septembre 1958, à se prononcer sur la nouvelle Constitution proposée par le Général Charles De Gaulle.
C’est l’approbation de celle-ci par les Africains sans la Guinée-Conakry qui elle la rejeta, que les Africains s’allièrent à la France et que naquit la Communauté. Dès lors, ces Africains-là allaient vivre sous la loi de cette Constitution en ses dispositions qui les concernaient…
K2 : Est-ce donc l’existence de cette Communauté qui serait de nature à être un frein qu’utiliserait la France contre la création de l’Etat du Sud Congo ?
K1 : En effet, les Africains ne mesurent pas 58 ans plus tard les conséquences de ce choix et, nous aurons l’occasion d’y revenir prochainement. Nous avions échangés dernièrement sur la lenteur de reconnaissance de l’Etat du Sud Congo (ESC) alors que la démarche remplit en soi toutes les conditions. La raison fondamentale à ce blocage vient de l’existence de la Communauté. Car, tel qu’il est stipulé dans la révision constitutionnelle du 04 juin 1960, les nouveaux Etats Africains bien qu’indépendants ne CESSENT D’ÊTRE MEMBRES DE LA COMMUNAUTE ! Autant dire, QU’ILS NE SONT PAS INDEPENDANTS AU VU DES COMPETENCES de la Communauté.
Ainsi, cette Communauté sous la férule de la France, pays Membre du Conseil de Sécurité, agit tel un Etat en Soi. Et, c’est au nom de cette qualité que la France peut bloquer la naissance de l’ESC.
K2 : Finalement, il n’y a pas d’espoir de voir naitre cet Etat du Sud Congo !…
K1 : Ô bien sûr qu’il y en a un !…
K2 : Lequel donc ?
K1 : La Constitution de 1958 fut un choix proposé aux Africains et auquel ils se prononcèrent par la voie Référendaire. Il EST DONC REQUIS DE REVENIR VERS LE PEUPLE, LE SOUVERAIN PRIMAIRE, LUI qui OINT, ACCORDE LA LEGITIMITE et dans ce cas, celui du Sud Congo pour qu’il SE PRONONCE PAR REFERENDUM, S’IL SOUHAITE OU PAS DE CONTINUER A VIVRE SOUS LA LOI DE LA CONSTITUTION DE 1958. TELLE EST LA CLE non seulement pour les Sud Congolais, mais aussi pour les autres Africains de sortir des limites à leur développement que leur impose le choix fatal qu’ils firent le 28 septembre 1958.
K2 : Donc, pour ouvrir ou faire aboutir de nouvelles perspectives, il faut d’abord abolir l’ancienne Loi ?
K1 : Absolument. La Renier. Les Africains faisant parties de la Communauté française doivent d’abord revenir sur le choix qu’ils firent pour appartenir à cette Communauté. Et, quand on regarde l’Histoire moderne de ces Etats Africains, à aucun moment de leur parcours, la question de la remise en cause de ce choix ne leur fut posée. C’est à cela que doivent œuvrer les Partisans de la création de l’Etat du Sud Congo.
K2 : Par ailleurs, pourtant ces Etats sont censés être indépendants, ils en vinrent même à adopter leurs propres Constitutions !…
K1 : Oui. Car, la Communauté leur reconnaît cette qualité d’Etat. Et, donc, ils peuvent adopter autant de Constitutions qu’ils veulent. Mais, la Communauté à tout verrouiller ne laissant quasiment pas de latitude d’expression à l’Etat en tant qu’entité en soi. La Constitution française de 1958 prime sur celle des Etats Africains. Ainsi, ces Etats ont une Constitution de base, celle de 1958 et des Constitutions secondaires de façade qu’ils n’ont d’ailleurs jamais respectées. Voilà pourquoi, un personnage tel que SASSOU NGUESSO Denis n’a jamais respecté la moindre disposition de ses Constitutions !
K2 : Ainsi, donc, cette Constitution adoptée en 1958 explique toutes les tragédies vécues par les Africains de la Communauté française !
K1 : Pour la France, hélas et la trajectoire suivie par les Africains depuis les indépendances factices l’atteste, tant que les Chefs d’Etats Africains préservent la Communauté française d’Afrique, ils sont assurés de la couverture française. Alors, ils peuvent s’adonner à toutes les dérives possibles, la France et l’Occident resteront indifférents ! Voilà le drame actuel que vivent les Congolais du Sud sous SASSOU NGUESSO Denis dans l’indifférence totale de la France !
:Bulukutu dit
Je vous cite:
« K1 : La Constitution de 1958 fut un choix proposé aux Africains et auquel ils se prononcèrent par la voie Référendaire. Il EST DONC REQUIS DE REVENIR VERS LE PEUPLE, LE SOUVERAIN PRIMAIRE, LUI qui OINT, ACCORDE LA LEGITIMITE et dans ce cas, celui du Sud Congo pour qu’il SE PRONONCE PAR REFERENDUM, S’IL SOUHAITE OU PAS DE CONTINUER A VIVRE SOUS LA LOI DE LA CONSTITUTION DE 1958. TELLE EST LA CLE non seulement pour »
Comment et avec quels moyens comptez vous réaliser le référendum que vous préconisez ?
@ EL MANISERO,
Si vous me suivez régulièrement dans mes posts, vous aurez remarqué que je ne suis pas versatile comme vous le dites. Petit rappel puisque vous aviez fait une fixation sur Mokoko.
Quand il y a eu les retrouvailles de Sibiti et Diata, Mokoko n’était pas là et n’était encore candidat. L’IDC et le FROCAD se sont constitués sans que Mokoko ne soit partie prenante. A ce stade, l’opposition se battait pour le non referendum ensuite pour le non changement de la constitution. Quand sassou déroule son calendrier comme il l’avait établi et il s’est posé à notre opposition le casse tête chinois de la gouvernance électorale. Par la suite elle était partagée entre aller à l’élection présidentielle ou non.
J’ai d’abord dans mes posts poser la question de savoir le pourquoi avoir créer deux chapelles alors que tous veulent combattre sassou. Ensuite je me suis demandé pourquoi Pako ne dénonçait pas l’accord MCCDI/PCT et pourquoi Okombi ne démissionnait pas du pct et continuait à être son député élu.
Quand l’apposition a décidé d’aller à cette éléction, j’ai été pour la stratégie de l’encerclement afin d’émietter l’électorat afin de gêner sassou à se faire élire au premier tours, quand bien même sassou était capable de tout car je savais cette élection militarisée. Le problème de faire partir sassou était militaire et non électoral. Avec d’autres ici, on nous a traité de ceux qui n’aiment que la guerre.
C’est quand, Mokoko rentre dans la danse et se proclame candidat que j’ai estimé qu’il était bon que toute l’opposition laisse ses égo afin de s’aligner derrière Mokoko. Je soutenais cette thèse pour deux choses:
je croyais fermement que le moment venu, ses amis dans l’armée pouvaient venir au secours du peuple sentant qu’il y avait un des leurs dans la bataille. J’ai oublié une chose en ce moment là. Nous n’avions pas une armée mais une milice au service d’un individu.J’avoue que je me suis trompé.
La deuxième chose d’avoir voulu que toute l’opposition s’alignat derriere Mokoko c’était au vue de l’engouement que Mokoko avait soulevé dans tout le congo. Je ne crois pas m’être trompé cette fois ci. Nous avions mesuré celà selon les résultats ou il se dit qu’il est le vrai gagnant de cette élection suivi de Kolélas et qu’en définitive tous les résultats ont été inversés Kolélas gardant toujours sa deuxième place.
Quand un fanatisé du genre NGolo peut reconnaitre que son maitre a été battu dans toutes les grandes villes du congo, qui peut accepter les résulats publiés par Bouka et Mboulou? Quand nous savons que beaucoup de résultats du nord congo sont confisqués jusqu’à ce jour,saurions réellement les vrais résultats?
Au lieu d’accepter sassou élu au premier tours et continuer à demander que justice soit faite,Pako aurait pu rester dans la logique de la contestation et demander à recompter de tous les résultats. Agir comme il l’a fait le place en position de celui qui joue une partition établie à l’avance ou comme quelqu’un qui ne veut pas être président de la république.
Qui peut comprendre qu’un candidat qualifié pour un deuxième tours dans une élection présidentielle puisse reconnaitre à un échoué au premier comme élu!!!!
En reprenant ma phrase par vous notée, vous voyez bien que j’ai dit: depuis que Mokoko est rentré dans la danse, ma startégie de l’encerclement a changé, où est la versatilité? Celle de donner un point de vue par rapport à l’évolution d’une situation?
De tous les posts que je lis ici, les analyses varient très souvent selon le déroulement des èvénements. Ceux qui roulent pour l’opposition analysent les situations selon le comportement de l’opposition. J’en suis très critique quand je pense qu’elle déconne et applaudis quand elle reste ferme pour avancer notre cause. Je ne varie pas du camp de l’opposition à celui de sassou. Si c’est celà la versatilité, je vous l’accorde.
La seule question à laquelle je cherche la réponse est celle de savoir comment allions nous savoir les résultats réels. Tant que nous n’aurions pas un décompte réel des résultats, toute contestation est un vain mot car nous n’aurions aucune preuve pour confondre le voleur. C’est çà la vraie question aujourd’hui. Savoir la réalité. Vous qui n’êtes pas versatile aviez peut être la solution en dehors de la victoire confisquée? La mienne est militaire.
@anonyme. Je vous rapporte ce que j’ai lu sur le blog d’un intervenant sur ce forum. Je trouve son propos intéressant sur la réalité de notre relation à la France. Concernant le référendum, en l’état, je ne suis pas sûr que ce soit opportun. Mais la question qu’il nous pose, mérite réflexion. Donc, à votre question, je n’ai pas de réponse.
..afin de gêner sassou à ne pas se faire élire au premier tours….reconnaitre à un échoué au premier tour élu?
@ David,
D’accord avec vous. C’est au moins une stratégie concrête. Que pense Mokoko lui le militaire et Okombi lui qui a tenu le front 400 jusqu’à le victoire militaire de sassou sur un président élu démocratiquement.
Continuons de refléchir.
feu président Jacques Opangault, qui avait dit : « Tant que le petit au signe du diable sur le front (entendez Sassou Nguesso) sera toujours là, le Congo ne connaîtra jamais de paix, encore moins de réconciliation nationale »
la solution pour le Congo est spirituelle ,que vous le vouliez ou non
Je poserai juste une question à tous les analystes (réels ou prétendus) qui viennent pondre des stratégies ou qui veulent que celles de l’Opposition soient ici exposées (sachant qu’une stratégie ne doit jamais être exposée…) s’il connaissent un site proche du dictateur où l’on peut trouver les stratégies du régime de Sassou en « consultation libre » ???
Eux agissent dans le secret, et nous de notre côté c’est le grand déballage…Et les agents de Sassou viennent sur nos forum pour s’enquérir de ce qui se passe, se dit, et se décide du côté de l’Opposition.
L’un des maillons faibles de cette lutte pour la libération du Congo, ce sont ces bavardages sur les forums où certains viennent « tout » exposer…Ce qui ne fait pas avancer le combat.
Il faut quand même un minimum de secret. Informer, ne signifie pas exposer les plans et les stratégies !!!
Les français veulent blanchir sassou de ces crimes et qui a investiguée les crimes entre 1998 et 2002. L’accusé ne se fait pas justice lui-même Moungala est sur les bancs des accusés.
Soyons très très vigilant dans cette commission internationale pas des français pas des sénégalais, pas des gabonais, pas des burkinabés, pas des ivoiriens en gros pas des francophones. Nous avons le plein droit de refuser la présence de ces nationalités.
Le sénégalaise le fameux représentant de l’ONU devient le défendeur de sassou. Parle t’il étant représentant de l’ONU ou du Sénégal car a ma connaissance l’ONU n’a pas eu des représentant durant les élections dont le contage c’est déroulé a 8 clos.
Attention Attention ne plus accepter ce Monsieur corrompu dans une médiation
VOUS VOULEZ LE DEPART DE SASSOU?
Voici la solution.
Toutes les crises actuelles trouvent leur origine dans un questionnement connu mais dont on se garde de donner les réponses.
Dans notre histoire récente, il y’a deux de séries de CRIMES POLITIQUES FONDATEURS.
Les crimes POUABOU MATSOKOTA et MASSOUEME :
Ces crimes ont été clarifiés en partie par NDALLA GRAILLE a la CNS en avouant avoir été avec NOUMAZ et certains camarades à la base de ce forfait. Aujourd’hui les congolais savent parce qu’il y’a eu un aveu. Ainsi ce dossier est devenue somme toute une affaire plus ou moins classée.
Les crimes NGOUABI, BIAYENDA et DEBAT :
Crimes mysterieux dont jusqu’à aujourd’hui on ne connaît pas la vérité. Ce drame s’est produit il y’ a 39 ans. Il est tellement enfoui dans notre conscience collective que les Indignés du 242, ces jeunes, dont certains n’etaient pas nés à cette epoque ont fait de BIAYENDA un cri de revolte. BIYENDA SANTU SUBITO scandent-ils. C’est dire combien ce questionnement est encore present pour nous TOUS. NGOULONDELE interrogé par TeleSud il y’a 10 ans disait que la verité de ce drame s’est faite jour au procès Marien. EL SASS est dans le même registre. Il y’ a eu un procès, clame t-il jusqu’à aujourd’hui. Comment voulez vous bâtir un pays UNITAIRE, HARMONIEUX avec des blessures aussi béantes. Le complot demeure mystérieux alors que tous les acteurs sont encore en vie
( Ngouolondele, Yhombi, Okoko, Sassou et autres Ngolo ) savent. Qu’ils libèrent la parole aujourd’hui pour dire aux jeunes la vérité.
Albert CAMUS disait, la seule façon de vaincre la bêtise, l’injustice, la barbarie
réside dans la vérité, dans l’amour.
BOWAO a dû étudier CAMUS. Lui qui est PROFESSEUR DE PHILOSOPHIE.
SEULE LA VERITE SUR LES EVENEMENTS DRAMATIQUES DE 1977
PEUT SAUVER LE CONGO.
Que ceux qui savent, dise la vérité aujourd’hui au lieu de passer leur temps à faire du bashing sur ceux, qui désemparés, s’essaient tant bien que mal à trouver des solutions à la souffrance des populations du POOL en déshérence.
Kolelas avec ses recours
N’tumi dans sa forêt
Munari avec son appel.
Et que son devenus les juristes de Mokoko Bowao et autre Okombi
Que sont devenus les militaires de Mokoko Bowao et autre Okombi
Sous LISSOUBA, tout ce monde s’est précipité comme guidé par un instinct grégaire pour prendre les armes.
Des fronts 400 et autre 600 ont vu le jour comme par magie.
Des Intellectuels de la trempe de MANZIMBA défendait le régime de Denis Sassou Nguesso en affirmant que le régime parlementaire ne nous avait apporté que des problèmes.
Maintenant que Sassou aurait verrouillé tout l’appareil sécuritaire, pourquoi diantre ne sortent –ils pas la bombe atomique en disant la VERITE qui précipiterait à n’en point douter le départ de Sassou.
POURQUOI SE TAISENT–ILS TOUS ?
La seule façon pour sauver MOKOKO des mains du Tyran est que Ngouolondéle qui le soutient dise la vérité. Pourquoi aujourd’hui ne sort-il pas cette ARME?
POURQUOI CE SILENCE COUPABLE ?
GRAILLE homme du Sud a dit sa part de vérité sur POUABOU, MASSOUEME, MATSOKOTA, hommes du SUD comme lui. Le Nord qui connaît la vérité sur 1977 ne parle pas. En quoi bouffer du Kolelas à longueur de journée précipiterait de départ de SASSOU ? Gageons, une fois que leur forfait accompli, par la mort politique et/ou physique de Kolelas , la MABONDZO MUNARI, dont on vante aujourd’hui les mérites sera la prochaine cible. Viendra N’Tumi, et ainsi de suite, se fera de manière méthodique, comme ils ont en l’expertise, la liquidation totale des empêcheurs de tourner en rond.
Permettez que nous esquissions l’hypothèse selon laquelle l’essentiel reste la sauvegarde du pouvoir au nord. Et que, ce qui se joue ici et maintenant est une diversion. Le but est ailleurs.
Que MOKOKO dans sa bonne foi que nous lui connaissons demande la vérité à ses amis.
Que MOKOKO Moise ouvre le chemin d’un CONGO réconcilié avec lui-même par cet acte salvateur.
PAR CETTE OPTION QUI NE FERA AUCUN MORT,
LE CONGO ETERNEL LUI EN SERA RECONNAISSANT.
excusez moi des coquilles… IL y’en a. Mais l’esprit demeure.
Le temps n’est plus aux attaques contre l’opposition ou bien au catalogage des erreurs des uns et des autres. Leur combat fut difficile et sincère en même temps. BRAVO !
Il faut savoir qu’un putschiste assassin ne peut pas perdre des élections! Il perdrait sa tête à la minute qui suit. L’erreur de certains, c’est d’avoir accompagné le despote Sassou à tuer la démocratie naissante.
Aujourd’hui, sont-ils fiers d’eux? Certainement pas. Ils se rendent bien compte que le peuple désiré un système politique où l’alternance est la règle. Elle est une forme de liberté, de prise responsabilité, car chacun peut désormais sanctionner l’élu.
Il convient donc de remobiliser les troupes qui n’ont pas changé de cap. Elles veulent absolument le départ du criminel Sassou et l’instauration d’un Etat de droit géré par des compatriotes élus et respectueux de l’éthique montrée par Mandela.
Nous sommes d’accord sur un constat, Sassou est sans intérêt pour le Congo! Il le pollue gravement!
Lu pour vous dans Lemondeafrique.
Avocat rattaché au barreau des Hauts de Seine, Philippe Missamou a adressé, le 12 avril, une requête auprès de la Cour pénale internationale contre le président congolais Denis Sassou Nguesso. Il entend porter à la connaissance de la Cour « les renseignements concernant des actes et agissements susceptibles de constituer des crimes contre l’humanité, crimes de génocide et crimes de guerre (…) perpétrés par les autorités militaires du Congo Brazzaville. »
Cette demande fait suite aux bombardements menés depuis deux semaines par l’armée congolaise sur plusieurs localités de la région du Pool. Située au sud du Congo, cette zone d’ethnie majoritairement « kongo », constitue un bastion pour l’opposition. Elle est notamment le fief de l’ex chef rebelle Francis Bintsamou plus connu sous le nom de « Pasteur Ntoumi », leader des milices Ninja opposées à Sassou. Or, celles-ci sont accusées par les autorités d’avoir fomenté les violences qui ont enflammé le sud de Brazzaville les 3 et 4 avril derniers.
Dans sa requête, l’avocat Missamou relève notamment que « les opérations militaires de destruction massive et systématique de ces villes et de leurs populations sont le résultat d’un projet criminel (…) que Monsieur Denis Sassou Nguesso et ses collaborateurs sont en train d’accomplir, afin de parfaire l’œuvre macabre d’extermination de ces populations à raison de leur origine ethnique kongo, amorcée il y a près de deux décennies, cette partie du territoire national congolais ayant déjà été l’objet, au cours de la période allant de 1998 à 2002, d’agissement criminels identiques. »
@OYESSI , je te sais débatteur politique , mais j’appréhende un début de myopie intellectuelle , de ta part .
Lorsque KOLELAS ET MUNARI ont volontairement croisé le feu avec SASSOU sur leur candidature à la présidentielle , ils se savaient déjà condamnés à la démission et par voie de conséquence , ils tournaient le dos à la nguirisation .
Cet acte de défi lancé contre SASSOU est en soi , une démission de fait , et c’était naturellement à SASSOU d’en tirer toutes les conséquences .
NSILOU , le jouisseur multibillets ,bien qu’opposant frileux au changement de la constitution, n’a pas voulu participer au parricide , et son sort politique est toujours invariant .
Employer la notion de démission , où se faire virer, reste à l’appréciation de chacun de ces acteurs;
Mais la logique voudrait que l’on dise que c’est une démission de fait.
BIEN A VOUS .
Je suis furieux contre les leaders du FROCAD. Ils étaient tellement unis qu’ils se sont présentés aux elections présidentielles chacun pour son compte alors qu’ils auraient pu présenter un candidat unique pour faire réellement partir Sassou. Ils étaient tellement unis que d’aucuns avaient reclamer l’annulation de ces élections et d’autres les nouvelles règles à partie commencée. Ils sont tellement unis que certains ont demandé l’annullation des résultas et d’autres ont déjà reconnu ceux-ci.
S’IL VOUS PLAIT, Munari, Okombi, Ndzon, Kolelas, Mokoko, Bowao, cessez de prendre les Congolais pour des imbéciles avec vos déclarations et intentions saugrenues. Vous avez servi Sassou pendant des decennies et tuez les Congolais avec lui en 1997. Vous auriez mieux fait de laisser vos egoismes et seriez partis aux elections avec un seul candidat. Vous auriez assouvi la soif des Congolais de faire partir ce démon de Sassou. Qu’avez-vous fait? Vous avez conforté sa tricherie connue d’avance. Et aujourd’hui que faites-vous? Vous envoyez mourir le peuple pour vos egoismes.
ARRETEZ
A Jean Marie Michel Mokoko.
La vraie opposition à Sassou est faite par la diaspora congolaise. Nous savions que le seul moyen de faire partir Sassou du pouvoir était par les armes. Le général Mokoko pour avoir été le CEMG de Sassou le savait. Mais nous ne voulons pas voir nos confrères se faire massacrer inutilement par Sassou pendant que ce J3M est confiné chez lui sans lever le moindre droit entrain de se plaindre: on m’a bloqué chez-moi, je ne suis pas libre de mes mouvements…
Mokoko, qu’est ce que tu croyais??? Aller déloger Sassou mains vides en espérant gagner les elections? Je pensais que tu avais un plan B. Celui des armes. Or tu es parti bras ballants en leurrant les Congolais qui avaient espoir en toi en tant que Général.
« Ya Jean-Michel( tu comprends maintenant que c’est un de tes petits-frères qui vit en Italie qui t’écrit, car c’est ainsi que nous t’appelons en famille Et par mon surnom « Le Soleil » tu comprendras qui écrit ceci puis qu’en famille je suis appelé ainsi) tu as sous-estimé Sassou et de toi je ne m’y attendais une erreur d’appréciation en tant que Général. Tu as été un peureux. Tu avais l’opportunité en 1992 de prendre le pouvoir et certainement on n’aurait pas vecu les massacres de Sassou de 1997 à aujourd’hui vu que les bombardements dans le Pool se poursuivent. C’est encore par ta faute si Sassou bombarde encore le Pool aujourd’hui. Tu aurais, toi, fait ce coup d’Etat que tous les Congolais attendaient de toi. Nous sommes des pacifiques mais sur le coup d’Etat que tous les Congolais attendaient y compris ceux de la diaspora, Tout le monde est d’accord.Tu croyais que ton HONNETETE et ton sérieux, suffisaient aux Congolais pour voir enfin partir Sassou? Tu as trahi les Congolais. Tu as trop sous-estimé Sassou. Tu devrais en avoir honte.
Ah Le Congolais… un bien étrange personnage…
Il y en a, les fesses bien planquées en Italie, qui veulent donner des leçons de stratégie politique à toute la planete…
Oui, un certain « Soleil », pas très brillant, vient nous raconter sa vie au lieu de descendre au pays, lui qui a la science infuse, pour bouter hors du pays l’Ebola national qui nous pourrit la vie depuis plus de 32 ans…
Tu es furax, c’est très bien… Mais de grâce, FERME-LA, si tu n’as rien à dire (ou à écrire) !!!!
« La vraie opposition à Sassou est faite par la diaspora congolaise » selon « le Soleil »…, je ne vais toutefois pas m’apesantir sur cette demi-vérité, mais la diaspora à quand même des moyens limités en terme d’action. Il faut obligatoirement qu’au pays il y ait une opposition…Ce ne sera pas à coup de lettres à Flamby (Hollande) que Mr 8% dégagera le plancher congolais.
Dans l’histoire récente, la diaspora qui avait tenté par des actions à faire partir un dictateur, s’était embourbée dans une certaine « baie des cochons ». Au moins eux avaient le mérite d’être sortis de leur confort pour aller braver les balles de la dictature.
Toi qui n’est pas peureux, vient donc au pays. Et quand tu verras la gueule béante d’un canon pointé dans ta direction prêt à te cracher sa mort, et que la peur nouera ton estomac, tu comprendras tout le sens de la maxime « la critique est aisée mais l’art est difficile »…
Quand la Françafrique passe la nuit debout, place de la République
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/20/quand-la-francafrique-passe-la-nuit-debout-place-de-la-republique_4905624_3212.html
@ VAL DE NANTES,
Non , il n’ y a pas un début de myopie intellectuelle de ma part. C’est justement parce que Munari et Kolélas se savaient condamnés à la démission qu’ils fallaient qu’ils aillent au bout de leur logique en sortant volontairement du gouvernement au lieu d’attendre que leur maitre en décide.
Quand on est dans une épuipe, on ne joue pas solo.Un ministre se la boucle ou démissionne, c’est simple sinon on se fait virer. Lancer donc un défi à sassou et ne pas partir est une sorte d’hypocrisie et de manque de courage qui se résume à attraper moi sinon je vais me tuer.
Pour moi ce n’est pas une démission de fait. C’est en quelque sorte un chantage qu’un satan comme sassou n’accepte pas. Résultat pour remplacer Kolélas sassou est allé pêcher dans sa propre famille et vous savez comme moi l’effet que celà a produit dans la famile. Je maintiens ce que j’ai dit.
Il y a une question à laquelle je n’ai toujours pas trouvé de reponse jusqu’à ce jour. Pourquoi Kolélas n’a jamais dénoncé les accords MCCDI/PCT si ce dernier voulait vraiment la rupture avec sassou qui est le patron du pct. Cette interrogation va aussi à l’endroit de Okombi Salissa qui n’a jamais démissionné du Pct et reste à ce jour son député élu.
Ce jeu d’équilibriste de nos politiciens n’est pas pour les grandir et il faut le souligner. Maintenant que sassou a fait son unième coup d’état, en attribuant à chacun des candidats le % qu’il voulait selon ses calclus à venir, nous allons voir ce qui va se passer. Attendons de voir comment sera formé son gouvernement pour que les masques tombent
Quant à Munari, cette brave femme qui fût ma collègue en terminale à Savorgnan de Brazza et que j’aime bien est une « situationniste » connue. Personne n’oubliera son passage auprès du président Lissouba. Je suis entrain d’attendre avec beaucoup d’impatience la suite de leur réel engagement politique. Tous seront jugés selon leur positionnement à vouloir chasser notre satan public qu’est sassou parce que tous sont allés à la présidentielle pour le remplacer. Pourquoi s’arrêteront ils en chemin? Demain c’est aussi un jour non!!!!
.
A quoi sert finalement ce type de site de débat dont on ne sait pas qui est qui?
Des internautes rivés sur leur siège au frais du pouvoir viennent ici avec des multiples pseudo débités leur connerie.
Que de perte de temps…
L’opposition congolaise a fait gagner l’élection au peuple souverain.
Toutes les stratégies mises en place ont abouti à la victoire du 20/03.
Chaque candidat à cette élection connait son poids électoral.
Ce qu’elle n’as pas planifié est le
-double langage de Hollande
de la francophonie
de l’UE
les rétractations des poids lourds comme DZON et MIERSSA. kolélas et tsaty.
le holdup électoral que reconnait NGOLO Pierre.
Il faut faire quelque pour arreter le massacre,ça devient très inquiétant
http://www.mondafrique.com/helicopteres-de-larmee-congolaise-mitraillent-a-vu-populations-sud/
Une manipulation de plus, ne tombons pas bas jusqu’à croire ceci:
URGENT
Le général OKOÏ va être démis de ses fonctions.
De source militaire, le Chef d’Etat Major Général, le général Guy Blanchard OKOÏ a été informé qu’il sera incessamment démis de ses fonctions.
On lui reproche d’être trop « républicain » à leur goût et pas assez zélé dans ses fonctions pour ce qui est de la répression des contestataires au régime.
Au nom de l’ethnie et du tribalisme, OKOÏ pensait pouvoir composer avec ce régime criminel. La sanction est tombée. Tous les collaborateurs de ce régime finiront ainsi. A moins de faire le choix de servir de marche-pied et d’accomplir les sales besognes dictées par le clan
« C’est justement parce que Kolelas et Munari se sentaient condamnés à la démission qu’ils sont allés au bout de leur logique plutôt que d’attendre que Sassou les vire » ! Drôle de raisonnement sorti d’un esprit visiblement torturé .
Les faits : Sassou qui nourrit les velléités de modifier la constitution met en branle le PCT, les organisations satellites du PCT et tous les services de l’État à cet effet . Les Mabiala, Koumba, Mvouba et autres écument le pays pour prêcher la bonne parole. Il (Sassou) exige l’assentiment du gouvernement . Deux ministres s’y opposent ouvertement et le font savoir en plein conseil des ministres : Kolelas et Munari. Ils sont vires. Quoi de plus normal et pourquoi y voir quelque malice ? De quel courage ont ils manqué ? Que dire alors d’un Nsilou se disant opposé à cette démarche présidentielle mais silencieux lors de la fameuse séquence, les autres approuvant cet oukase présidentiel ? Oyessi veut nous faire croire que c’est une histoire d’amoureux éconduits…..Chacun sait ce qu’il en coûte de s’opposer à Sassou dans ce pays qu’il a transformé en propriété privée ? Pour Kolelas, cà à commencé par l’organisation au sein du MCDDI d’une bronca menée par Hellot Mampouya qui se terminera par la scission du Parti. Une fois démissionné, la cabale s’est poursuivie de plus belle. Kolelas a été éjecté de la tête du MCDDI et remplacé illico par son frère cadet avant qu’il lui soit interdit d’utiliser le sigle MCDDI.
Mais allons vite. A la grande stupéfaction d’Oyessi et de tous les anti Kolelas de la planète , ce nigaud arrive en tête des présidentielles . C’en est trop pour Oyessi qui lit dans le seuls chiffres validés par Bowao, forcément une inversion probable des résultats au cas contraire, il se rassure en notant qu’il ne s’agit que de résultats partiels portant sur 85% du corps électoral, les décomptes des voix des nordistes devant forcément faire la différence, sous entendu que personne au nord n’aura eu l’outrecuidance de voter pour un lari.
30% pour Kolelas et 28% pour Mokoko, tels sont les chiffres validés par Bowao invalidant du coup ceux fantaisistes à l’instigation des pro Mokoko dont Marion Mandzimba, ayant circulé sur le net, donnant régulièrement Mokoko devant Kolelas et Sassou à 8%. Ces chiffres bien qu’invalidés sont pourtant largement partagés sur le net.
Mais patatras l l’équipe Kolelas publie les siens, tirés des fiches jaunes signées par tous les assesseurs, départements par départements , bureaux de vote après bureaux de vote. Selon son propre décompte, il aurait récolté 39% des suffrages suivi de MOKOKO à 26%, puis Sassou à 22%. Oyessi est au bord de l’apoplexie et ne comprend pas. Il est inimaginable à ses yeux, que ce nigaud de Kolelas ait pu réaliser une telle performance. Il y a forcément un hic.
A 2 points d’écart tout est jouable mais à 13 points, la tâche devient plus coriace mais pas insurmontable si et seulement si :
1/ joue le TSP (TOUT SAUF LE POOL) Ce qui est dans l’aiir du temps et le secret espoir d’Oyessi
2/ que soit considéré comme conforme à la réalité, la nouvelle distribution des populations du Congo organisée par le clan Sassou, cette imposture insigne qui fait que le nord est désormais plus peuplé que le sud….
Dans les 2 cas, Monsieur Oyessi serait parfaitement en accord avec la politique d’un régime qu’il prétend abusivement combattre….Mokoko également…..
L’illusion Mokoko aura vécu . Les petites gens ou les naifs se sont fait avoir. Les escrocs qui ont poussé sa candidature ont bâti leur stratégie sur une imposture : cette fois Sassou aurait en face de lui un général qui ne se laisserait pas faire, un général que l’armée suivrait contre Sassou compte tenu de son background, ses promotionaires français de St Cyr le soutiendrai entre etc etc.
Le pauvre y a cru. Il fallait véritablement être d’une naïveté confondante pour considérer que l’armée suivrait un tel homme pour une simple raison : nous avons en guise d’armee, ni plus ni moins qu’une milice. Par ailleurs, plus de 20 ans après avoir quitté la direction d’une armée modelée par Sassou imaginer wu’il ait conservé quelque influence dans une structure qui en 2011 accompagna le départ de Sassou relève d’une très mauvaise appréciation de la réalité.
Alors, quid de la solution militaire ?
Cessons de rêver, Sassou à fait le vide.
Il faut travailler à nourrir une révolte populaire, par le surgissement du citoyen soucieux de ses dtoits. Le feu doit prendre partout et pas uniquement dans les quartiers sud. Et tant que l’on fera une fixation sur le Pool, les mbochis, les tekes, les Nibolek, Sassou sera là jusqu’en 2021.
Plus personne du nord au sud et de l’est à l’ouest, n’ignore que Sassou à perdu les élections et s’est imposé par la fraude et la force. C’est un avantage certain dans la prise de conscience generale.
F
@ France,
Puisque vous aviez fait votre fixation sur moi en raisonnait sur l’absurde, je vais vous dire ceci:
1- Je persiste et signe que quand on est dans une équipe et qu’on ne se reconnait plus dans ce que celui qui vous a nommé pour faire membre de cette équipe ne marche plus, on part mais on ne fait pas une résistance qui ne pourrit que l’équipe. .
Connaissant bien sassou qui n’aime pas la contradiction et le débat, Munari et Kolélas savaient que leur sort était scellé et il fallait qu’ils aillent pour rester sur leur logique.
2- Avant la branca de Hellot Mampouya contre Kolélas et le trala lala qui s’en est suivi, c’est bien Kolélas qui était le patron du MCCDI élu au congrès en ce que je sache. Pouvez vous me dire pourquoi il n’a jamais dénoncé l’accord MCCDI/ PCT?
Ma chère France si vous suivez régulièrement l’évolution politique de notre pays, cette bronca contre Kolélas a commencé dès qu’il avait déclaré qu’ à cette élection, le PCT devra soutenir le candidat MCCDI comme le MCCDI l’a fait en 2009 suivant leurs accords. Outre celà au lieu de crier haut et fort Kolélas aurait pu règler leur histoire d’accords entre partis aux fins de se mettre d’accord. Si le pct passait outre ce que les partis s’étaient convenues, en ce moment là Kolélas avait le loisir de mettre fin à ces accords au lieu de se mettre un sassou sur les dos que nous savons tous versatile.
Vous qui êtes la france, vous saviez très bien comment celà se passe chez toi. Quand deux partis ont des accords,ils les respectent. Si un ministre rentre au gouvernement pour le compte d’un parti, il se tait ou il démissionne sinon il est démissionné. C’est simple.La suite n’est que la conséquence de ce qui précède.Dans un mariage, on divorse si on ne peut pas gèrer les contradictions dans le couple, mais on crit pas sur tous les toits au risque d’être ridicule.
En bon tacticien et fin politicien Kolélas devait savoir qu’il avait ouvert les hostilités avec sassou qui croit que le congo lui a été donné en héritage.
C’est ce même reproche que nous faisons au général Mokoko qui savait bien que la pouvoir au congo est une affaire d’armes. Donner autant d’espoir aux congolais qui ont repondu massivement à son appel et ne pas avoir un plan B sachant que sassou se proclamerait élu même battu sans s’asurer que ses frères d’armes viendront à notre secours a été un manque de lecture réaliste de la politique du Congo avec sassou au pouvoir et oublier comme un bleu que ce n’est pas en jettant un morceau de bois dans l’eau qu’il deviendra caiman. Formés à l’école de la désinformation sortis des pays communistes,sassou et ses amis du pct Mokoko ont fait oublié à Mokoko que le pouvoir dans leur démocratie est toujours au bout du fusil.
3- . »C’est justement parce que Kolelas et Munari se sentaient condamnés à la démission qu’ils sont allés au bout de leur logique plutôt que d’attendre que Sassou les vire »
Cette phrase de vous me semble contadictoire. Je ne comprends pas votre raisonnement. Mais ils ne sont allés au bout de leur logique qu’étant virés et non encore au sein du gouvernement où ils ne s’opposaient qu’au changement de la constitution. C’était en ce moment là qu’ils devaient partir à moins de ne pas connaitre le satan qui n’allait pas changé d’un hiatus. Et comme ils restaient sur leur position, ils ont été virés.
Munari pour le Frocad et Kolélas pour l’IDC n’y sont pas allés pendant qu’ils étaient au gouvernement en ce que je sache pour affirmer qu’ils ne sont allés au bout de leur logique que parce qu’ils se sentaient condamnés.Ils ne sont allés qu’au moment où ils ont été virés.Dans la foulée, le MCCDI a été ravi à Parfait pour que son frère nommé ministre et qui soutenait la satan en devienne le patron même si celà ne cadrait pas avec les statuts du MCCDI n’en déplaise à ce que vous soutenez.
Vous me citez le ministre Silou, je n’en parle pas car sa résistence n’a pas prospérée. Comme un sioux, il a vite compris que s’il continuait à insister,il allait perdre sa place au soleil et il s’est tue sauvant ainsi son fromage. Lui et les autres sont pour moi des personnages négligeables au service du maître;
4- « Selon son propre décompte, il aurait récolté 39% des suffrages suivi de MOKOKO à 26%, puis Sassou à 22% »
Je ne suis pas dans la bataille des % et si vous m’aviez BIEN lu, je notais que les % par sassou attribués aux autres candidats n’étaient que pour ses calculs futurs. Nous savions tous qu’il a été battu.
Que c’est Kolélas et Mokoko qui passaient au tours suivant.
Si j’ai fait allusion aux décomptes du nord, celà ne voulait pas dire que je voulais à tout pris que Mokoko ait plus de voix que Kolélas, et pour chercher quoi puisque les deux étaient condamnés à aller au tours suivant et nous ne savions pas ce que ce deuxième tours allait donner, les voix du 1è tours ne s’additionnant pas à ceux du 2ème tours. Cette bataille ne comptait donc pas si c’est célà qui vous fait noter le décompte ci dessus.
Et puis où est le mal si je veux bien savoir exactement les pourcentages engrengés réellement pas chaque candidat à cette élection surtout au nord où il se dit que c’est le fief de sassou. Pourquoi ne voulons nous pas savoir ce que valent les autres candidats dans cette partie de la république. Ah oui, c’est toujours pour vilipender les nordistes de tribaliste qui ne votent que pour sassou? Peine perdue je ne suis pas de ceux là même si vous pensez le contraire.
Pour votre gouverne,j’ai connu le père Kolélas en d’autres temps au nord Congo quand le pouvoir communiste l’avait envoyé en exil à Itoumbi et le petit Kolélas y allait à l’école avec mes neveux. C’est un petit frère pour moi et s’il me lie, il devra connaitre l’auteur de ce post. Si vous voulez savoir, je suis foncièrement contre tout ce qui est communiste. C’est à ce titre que j’ai refusé d’aller en URSS et partir en France avec la bourse de mes parents une fois mon bac en poche. Kolélas père a été pour moi un modèle parce qu’il tenait toujours ses positions.
Toujours avec les sassou à la manoeuvre, Ngouabi avait refusé de le fusiller estimant qu’il préfèrait avoir en face de lui quelqu’un qui savait ce qu’il voulait, comme tel Kolélas ne pouvait être tuer pour ses idées. Et il s’est battu pour célà même si avec l’âge,il ne faisait plus une lecture réaliste de la politique au point de signer des accords avec un parti sorcier comme le pct qui ne lui a valu parfois que des emmerdes par la suite. Formation des Ninjas par sassou et sa mise à disposition au MCCDI pour créer des incidents de 1993 où les ressortissants du NIBOLAND ont été chassés de Bacongo pour aller créer leur ilot de Diata. Nous n’allions pas refaire l’histoire recente du congo et faisons nos analyses bonnes ou mauvaises sans partie pris et sans indexer les autres au nom du sud ou du nord. C’est ce jeux qui permets à sassou de nous opposer et continuer à recruter des apprentis sorciers pour l’aider à perpétuer sa sorcellerie.
Eh bien pour terminer chère France, je ne suis pas pour le pouvoir inique de sassou, je ne suis ni plus pour tout sauf le pool. Je suis pour un congo qui gagne et non pour celui livré aux excros et aux assassins du nord comme au sud. Je ne raisonne pas en terme du nord au sud. J’ai mis mon espoir sur Mokoko comme beaucoup de congolais du nord au sud qui a d’ailleurs voté massivement pour lui et sur toute l’action de toute l’opposition qui malheureusement s’est faite volée sa victoire. Vous pouvez traiter Kolélas de nigaud, celà n’engage que vous comme vous pouvez continuer à raisonner pool. J’ai dépassé cet stade pour avoir vécu les pouvoirs de Youlou, Massambat Débat,et les autres yaka noki noki qui nous ont pourri la vie et continuent à la pourrir.
Je peux me tromper dans mes analyses, mais de grâce ne m’enfermez pas dans le tribalisme ou la division du congo en nord et sud. Combattez moi dans mes analyses et on continuera à débattre.
Nous n’avions demandé à aucun congolais de choisir d’être politicien. Dès lors qu’ils sollicitent nos voix, ils doivent nous rendre des comptes et leurs actions doivent être critiquées quand celà semble nécessaire. Ils nous doivent la vérité et non les petits calculs pour nous prendre pour idiots.
Je vous donne rendez vous quand la satan aura nommer un premier ministre et formé son gouvernement. On pourra en reparler car les calculs des uns et des autres éclateront au grand jour.
Bien à vous la France
….en raisonnant par l’absurde…..sans s’assurer que ces frères d’armes…ont fait oublié à Mokoko et non du pct Mokoko ont faIt oublié Mokoko….aura nommé son gouvernement…
Oyessi,
Je ne fais aucune fixation sur vous , mais il est clair qu’à longueur de posts, vous en faites bien une sur Kolelas et n’êtes pas le seul. Tout, dans votre rethorique tourne autour de la figure de Kolelas présenté comme le judas de l’opposition et suspecté de collusion avec le tricheur infatigable au point que vous ne pouvez vous empêcher de fixer une clause de rendez vous à la constitution du prochain gouvernement de Sassou tant vous êtes persuadé que Kolelas sinon des membres de son équipe en seront. Moi, je n’en sais fichtre rien et ne prend aucun pari à cet égard pour une raison bien simple : la classe politique du Congo (Kolelas y compris) ne m’a jamais parue à la hauteur des enjeux. L’enjeu véritable pour moi est la construction d’un Etat-Nation. La commission électorale independante, c’est bien, là transparence, c’est excellent , gagner les elections, c’est formidable , mais après ? Car il est entendu qu’il ne suffit pas de remplacer des hommes par d’autres hommes qui seraient réputés plus vertueux pour créer cette République solidaire qui fait tant défaut, recoudre les liens sociaux volontairement brisés par ce regime, retrouver cette fraternité entamée depuis plus de 32 ans, susciter le citoyen en nous et sortir de notre condition de sujets, en finir avec l’ethnocratie erigee en idéologie du régime etc…C’est du boulot en perspective. Je n’ai pour ma part encore jamais entendu ces « leaders » nommer les choses, par exemple que le Congo n’est pas une démocratie imparfaite mais une dictature parfaite, que nous ne vivons pas en Republique mais dans un royaume Où Sassou à droit de vie et de mort sur nous ses sujets, que l’État impartial et régulateur de la vie sociale n’existe pas à partir du moment où les citoyens n’ont aucun droit, Ndenguet arrête qui il veut, quand il veut, tue si l’envie lui en prend, que la Nation est un mot vide de sens au Congo, on tue dans le Pool, ailleurs on danse, c’est l’affaire du Pool, on massacre chez Ntsourou, c’est une affaire des tekes et des mbochis, les explosions du 4 mars sont une affaire de nordistes, en 93, c’étaient les lari contre les Niboleks etc, encore plus symptomatique, personne n’évoque la prédation des richesses nationales par Sassou et son clan !
Il s’agit là de quelques éléments qui me permettent de dequalifier cette classe politique.
Pour en revenir à notre sujet, c’est à dire à Kolelas, Mon sentiment est que quels que soient les cas de figure, Sassou le tuera (politiquement ) et ne lui fera pas de cadeau. Les prochaines législatives serviront de leçon pratique. Notre tricheur national reduira drastiquement son influence en favorisant Landry, Mvouba, Adélaïde Mougani et autres. Je suis donc convaincu qu’aux legislatives, YoukI ira. Je précise Youki pour vous rappeler qu’il n’est plus à la tête du MCDDI et que logiquement, vous ne pouvez continuer de lui demander de dénoncer des accords quI sont de la responsabilité d’un parti auquel il n’appartient plus (ça, c’est mon côté vicieux). En tous les cas, ce qui compte en politique ce sont les actes.
Quels sont ils ?
1/ son opposition ferme au changement de la constitution et donc le refus d’un troisième mandat pour Sassou
2/sa candidature à la présidentielle
Ces actes ont signé la rupture entre les deux hommes.
Et c’est bien le prendre pour un couillon que de croire qu’il était tellement naïf (Kolelas) qu’il a espéré jusqu’au bout que le PCT en fasse son candidat aux présidentielles et que la non acceptation de cette demande l’aurait poussé dans le camp de l’opposition. Un véritable conte de fée que seul Kolelas pouvait croire. Vous ne vous imaginez même pas que cette exigence saugrenue, je dis bien saugrenue, eût pu servir d’alibi pour prendre ses distances d’un PCT sans concession. Car, le MCDDI est bel et bien le dindon de la farce de cette alliance de laquelle il n’a strictement rien obtenu bien au contraire. Ses militants semble-t-il attendaient fermement cette rupture. Son résultat à la présidentielle en témoigne et au moins, pour la première fois, le MCDDI était en phase avec son electorat, un électorat foncièrement anti Sassou.
Enfin, qu’il accepte le poste de PM comme vous le suggérez et il est mort politiquement. Le choix si l’on puis dire est cornelien car comme je l’ai dit précédemment , l’objectif de Sassou demeure de le tuer malgré tout et donc de réduire drastiquement ses marges de manoeuvre politiques et…financières..
Les militants ne cotisant pas, un parti sans ressources dans nos contrées africaines a très peu de chances de prospérer.
En cas de refus du poste de PM, il conservera naturellement toute sa dignité. La morale sera sauve….sans le sou.
Mon avis est que si cette proposition lui était faite, tous ces paramètres seraient par lui soupesés.
Comprenez bien qu’il ne s’agit point pour moi de l’orienter ou défendre tel ou tel choix d’abord parce que je ne suis pas de Youki, je ne vote pas, ensuite parce que je ne vis pas au Congo , et ne dépend pas financièrement du regime, enfin, je n’ai aucun pouvoir à cet égard étant en fait un internaute comme tant d’autres, mais, il me semble qu’ignorer ces dimensions dont la dimension financière serait une erreur.
Qui vivra verra
France
ALERTE INFO: Clément MOUAMBA A ÉTÉ NOMMÉ 1er MINISTRE PAR LE GÉNOCIDAIRE-USURPATEUR.
@ Fance
OYESSI dit : 21/04/2016 à 11:16
@ VAL DE NANTES,
Non , il n’ y a pas un début de myopie intellectuelle de ma part. C’est justement parce que Munari et Kolélas se savaient condamnés à la démission qu’ils fallaient qu’ils aillent au bout de leur logique en sortant volontairement du gouvernement au lieu d’attendre que leur maitre en décide
France dit :21/04/2016 à 22:16
« C’est justement parce que Kolelas et Munari se sentaient condamnés à la démission qu’ils sont allés au bout de leur logique plutôt que d’attendre que Sassou les vire »
Vous n’aviez peut être pas fait une fixation sur moi. Je souhaiterai que vous prenez connaissance de ces deux posts qui sont nôtres et voir.Le mien c’était en réaction de celui de VAL DE NANTES. Et vous réagissez à celui de quel internaute?
Non restons hommes. Je ne rougis pas si je suis contredit ici. J’apprends tous les jours et ne cherchons la chicane pour rien.
Oui j’ai fais une fixation sur Kolélas pour ne pas avoir dénoncer l’accord MCCDI/PCT car son attitude vis à vis de sassou me semble ambiguê. Je suis d’autant conforté dans mon raisonnement parce que je ne peux comprendre que quelqu’un qui est qualifié pour une 2e tours dans une éléction présidentielle, au lieu de se battre reconnait la victoire d’un échoué tout en continuant à mettre en doute les résultats de la même éléction. Contradictoire non!!!
Okombi Salissa est dans le même cas à moindre mesure pour ne pas avoir reconnu l’élection de sassou. Je n’ai jamais compris aussi pourquoi, il n’a jamais démissionnné du pct et continue à être son député élu.
Quant à Tsaty Mabiala qui est déjà dans les élections législatives, il a vite compris qu’il fallait reconnaitre le pouvoir de sassou pour être nommé au moins député car c’est bien sassou qui décide si tu es élu ou pas et quel % t’attribué.
Si ces gens qui se disent de l’opposition et qui nous montrent leur vrai visage de la politique des intérêts personnels et non de la délivrance des congolais des mains ensanglantées de sassou méritent d’être critiqués.
Un grand nombre de congolais moi y compris ont vu en Mokoko celui qui nous apportera une solution pour voir le satan partir parce que nous savions que la solution était du côté militaire. Nous remarquons qu’il n’avait pas un plan B. Je ne désespère pas car quand on va en guerre, ce n’est pas tous le monde qui est au parfait des plans de guerre. Je suis de ceux qui croient que ces plans existent.
Je ne vous dis pas de prendre un pari avec moi. Pour gagner quoi? rien, je dis tout simplement que suivons la suite du feuilleton écrit par sassou et regardons comment agirons notre opposition.
Je suis d’accord avec vous quand vous dites que » L’enjeu véritable pour moi est la construction d’un Etat-Nation » et que « La commission électorale independante, c’est bien, là transparence, c’est excellent , gagner les elections, c’est formidable . »
Mais pas d’accord avec vous quand vous ajoutez « mais après « ? Car il est entendu qu’il ne suffit pas de remplacer des hommes par d’autres hommes qui seraient réputés plus vertueux pour créer cette République solidaire qui fait tant défaut, recoudre les liens sociaux volontairement brisés par ce regime, retrouver cette fraternité entamée depuis plus de 32 ans, susciter le citoyen en nous et sortir de notre condition de sujets, en finir avec l’ethnocratie erigee en idéologie du régime etc…C’est du boulot en perspective »
Vous me donner l’impression d’un défétiste qui se dit tout çà c’est bien et après on fait quoi, il vaut mieux laisser les mêmes.Eh oui, c’est le boulot en perspective et ceux qui aspirent à être Président le savent.
Ah, vous ne vivez pas au congo et vous ne votez pas? Alors laissez nous qui sommes au pays et qui avions vu les Présidents Youlou, Massambat Débat, Ngouabi, Yhomby? Satan 1 Lissouba et Satan 1 vous donner de temps ce temps des nouvelles du pays car nous savons au moins comparer, ce qui manque très souvent à ceux qui sont nés sous satan et n’ont connu que lui comme chef du village. Faute de comparaison, il le trouve meilleur.
Nous avions vu venir à la politique tous ces bandits qui polluent le congo. C’est pourquoi, nous sommes très critiques vis à vis des gens comme Kolélas, Okombi, Tsaty Mabiala et autres une fois aux affaires pour qu’ils ne nous reproduisent pas ce que satan a fait de ce pays.
Pour le reste merci.
….tout le monde et non tous le monde…. Comment agira notre opposition et non comment agirons….vous me donnez l’impression d’être….et non donner…