Hier, 1er décembre, Denis Sassou Nguesso s’est envolé à 10 heures du matin pour un séjour de deux semaines à Cuba.
La question est : « reviendra-t-il ? »
Déjà, c’était un 1er décembre, qu’en 1990, Hissène Habré avait choisi de fuir le Tchad et d’abandonner le pouvoir au rebelle Idriss Déby.
Si tel était le cas, Denis Sassou Nguesso aurait quitté un pays complètement ruiné financièrement : en guerre dans le Pool ; en flammes au large de Pointe Noire avec la plateforme de production de Founkanda d’ENI qui a explosé causant la mort de 7 travailleurs et de très nombreux blessés, sans compter les dégâts environnementaux ; en grève un peu partout et notamment dans les hôpitaux de la capitale économique, ceux de Loandjili et d’A. Cissé.
Il avait, certes, pris la précaution de faire distribuer quelques salaires. Les fonctionnaires ont reçu un savant mélange de vrais et de faux-billets de banque ; ce pouvoir criminel ne s’encombre plus de ce genre de détails… D’autant plus que désormais, le Congo et celui qui prétend en avoir été le président, seront sous le feu des projecteurs de l’actualité de la criminalité financière !
En effet le 23 novembre dernier, l’homme d’affaires brésilien José Roberto Colnaghi, actionnaire principal du groupe Asperbras, est entré au siège du Département central des investigations et action pénale, à Lisbonne au Portugal. A la fin de la journée, après un témoignage exhaustif, le procureur portugais Susana Figueiredo et le juge Carlos Alexandre, l’ont inculpé de corruption et de blanchiment d’argent au Brésil, au Congo-Brazzaville, en Angola et en Suisse.
Pour rester libre, Colnaghi a accepté de payer une caution de 3 millions €..
Au Brésil, Colnaghi et Asperbras ont été des personnages récurrents de scandales politiques. Ils ont réalisé d’énormes profits dans la dernière décennie dans des affaires louches avec les kleptocraties africaines. A Quinta da Marinha à Cascais, au Portugal, la magnifique propriété a bien été achetée par Asperbras comme un cadeau à Gilbert Ondongo, ministre de la kleptocratie de Sassou Nguesso – comme Colnaghi l’a avoué la semaine dernière et l’information a été reprise dans O’Globo le grand quotidien brésilien.
Ondongo, le corrompu-corrupteur, avait mené des négociations avec Palocci, son homologue des finances, durant le gouvernement Lula dans le but d’annuler une dette de 352,6 millions $ que le Congo avait avec le Brésil depuis les années 70. En mai 2013, Dilma Rousseff a pardonné 79% de cette dette, 280 millions $. Le Sénat avait approuvé sans débat.
Les preuves suggèrent que Colnaghi et Asperbras sseraient devenus des auxiliaires de blanchiment de la kleptocratie des Sassou Nguesso sur « la Route de l’Atlantique », la « Portuguese Connection ». Mais surtout le déploiement de l’enquête policière portugaise vers le Brésil suggère que l’effacement de la dette congolaise sera bientôt dans son collimateur.
Le FMI de Madame Lagarde est aussi aveugle dans la préparation de son Plan de Sauvetage du Congo Brazzaville que le FMI de Monsieur Strauss Kahn avait été corrompu, au moins par la maestria d’un Yaya Moussa, pour l’effacement de 5 milliards de dollars de la dette congolaise. A Washington, les pseudo-experts devront se mettre très vite à la langue portugaise s’ils ne veulent pas se retrouver dans les sales draps congolais et dans une combinaison orange gracieusement fournie par Donald Trump.
Quant à l’opposition congolaise, elle a pris ses marques au Portugal. Un de ses représentants a déjà fait la démarche depuis deux mois, par un cabinet d’avocats franco-portugais, pour son admission dans la procédure au titre de partie civile.
Pour ce qui est de l’empereur du vol et du détournement, Denis Sassou Nguesso 1er, l’exil à Cuba serait bien moins triste que celui de Saint-Hélène. Il pourrait suivre, dans le survêtement Adidas qu’il aura hérité de son ami Fidel, la foire d’empoigne de sa succession à la tête du pays qu’il a ruiné. Il semble bien avoir été conseillé par ses marabouts dans ce qui pourrait être une fuite. Il aurait été bien mieux avisé s’il avait embarqué avec lui toute sa marmaille de prédateurs dans le refuge accordé (à quel prix) par l’ami Raoul… Denis Christel Sassou Nguesso est encore à Paris pour tenter de convaincre les autorités françaises et européennes de le soutenir dans la succession de son géniteur. Au Portugal, il aurait été flanqué immédiatement en prison sans possibilité d’en sortir ; à Paris, l’héritier de tous les mauvais gènes de son père a encore droit au tapis rouge.
Le Congo est en guerre, le Congo est en feu, le Congo est en grève, le Congo est ruiné ! Et Denis Sassou Nguesso est parti à Cuba !
Pour combien de temps réellement ?
Rigobert Ossebi
Diffusé le 02 décembre 2016, par www.congo-liberty.org
COMMENT ne pas revenir au pays , quand des généraux aveugles sont payés à des millions de francs CFA .
Donc retour ,assuré .
Roulez , tranquille , le boulevard est vierge des courageux .
Si les gambiens pouvaient nous prêter leur président de la CENI .AH AH;;;les congolais d’où sortez vous ?????.
Fidel Castro était un Grand, cet homme de combat a lutté pour la Libération de l’Afrique, en prenant parfois des risques au péril de sa vie. Son parcours politique incomparable parle pour lui. Bravo au peuple cubain fier et uni, pour avoir tenu tête à l’Amerique-A-Fric impérialiste, malgré un embargo drastique cinquantenaire.
Je suis devenu gambien .Par amour excessif de la démocratie .Et si ce petit léopard accepte de lâcher du lest .
Il va falloir ,nous congolais,raser les murs .QUELLE HONTE ????????????????????????.
De quoi sassou est de nom? Un rigolo ce monsieur, minable et médiocre personnage. Jamais nos rues et édifices porteront ce nom de merde, tout sera rebaptisé.
Il se passe souvent quelque chose lorsqu’il fait des longs voyages.
Attention aux opposantservices, cachez vous bien.
Ils ont voté avec des billes de différentes couleurs. Ils ont vite compté les voix et publié les résultats en moins de 24 heures. Pas besoin de couper l’Internet ni de publier nuitamment les résultats. Quelle belle leçon d’ingénierie démocratique.
En plus, ils avaient un candidat unique de l’opposition. L’Afrique de l’Ouest est en train de donner une belle leçon de démocratie à l’Afrique Centrale, terre de tyrans médiévaux. Après le Sénégal, le Nigéria, le Bénin, voici aujourd’hui la Gambie. Chez nous, c’est le Burundi, le Congo-Brazza, le Tchad, le Gabon et demain la RDC. Quelle horreur ! C’est vrai qu’en Afrique de l’Ouest il n’y a pas de Bonobos, ces grands singes libidineux et de gorilles dominants qui en devenant chef de harem tue tous les bébés gorilles issus de son rival déchu avant de s’accoupler avec toutes les femelles.
Bon, attendons quand même voir comment se passera la passation, parce que, avec les dictateurs on est jamais trop prudents.
OH …OH.. SI CE ouistiti de YAYA JAMEY consentait à aller soigner ces sidéens dans son village natal .OH MON DIEU …..QUELLE image enverrions NOUS congolais au reste du monde ?????.
OH QUE nous sommes suspendus aux grosses lèvres de ce petit cannibale dont nous attendons toujours la réaction .
Et , surtout que SASSOU n’ait pas son numéro de tél ,au risque de gaboniser son comportement
A pascal Malanda,
En gambie il ne font pas comme vous, du tribalisme primaire, nous ne savons pas si il y a des gambiens du nord ou du sud.
Vous ici, vous passez votre temps à diviser les congolais comme votre parrain Sassou
@Etatsud,
vous voudrez bien m’excuser mais sur les sécessions ma conviction est faite. Ma structure mentale sur le sujet a été façonnée tout au long de ma maturation politique et mes lectures. J’ai été formé à la FEANF avec le rêve panafricaniste de Nkwamé Nkrumah, la conviction que l’Afrique doit s’organiser en un bloc pour faire face aux défis extérieurs et intérieurs (permettre à l’homme africain de vivre pleinement son indépendance économique, sociale et politique ). Cette philosophie exclut tout morcellement supplémentaire après le charcutage de Berlin.
Certains ont malgré tout voulu poursuivre une logique de sécession. C’est dans ce contexte que nous assistons de 1960 à 1963 à une crise entre les sécessionistes katangais et le pouvoir central, un bilan humain lourd et un résultat politique catastrophique puisqu’il voit disparaître l’un des héros importants de l’Afrique, Patrice Lumumba. Ensuite l’Afrique a fait face à la sécession de l »Érythrée de 1951 à 1992. Quel bilan objectif peut-on en tirer maintenant que c’est acquis ?
J’ai aussi appris de la sécession du Biafra, des milliers de morts, des enfants affamés pour un résultat nul puisque le Biafra est dans le Nigéria. Je ne parle même pas de la Casamance et du Sud Soudan qui est une catastrophe humanitaire inacceptable.
Quelle serait la configuration politique, sociologique et économique de ce fameux état ? Nous savons tous qu’aucune des régions frontalières ne réagit au drame qui se déroule au Pool. Il n’y a pas un Sud homogène (cf. l’article de Pascal Malanda ). Il n’est pas exclu que l’on se tape sur la tête à l’intérieur de cet État. Combien d’habitants ? Comprenez-vous que l’on parle plus de la RDC que du Congo ? Avez-vous déjà entendu parler du Timore Oriental ? L’impact démographique est aussi important politiquement et économiquement. À ne pas négliger.
Bref, je ne suis pas pour. Le Congo sera uni ou ne sera pas. Le Katanga est resté dans la RDC, le Biafra dans le Nigéria, la Casamance dans le Sénégal alors que toutes ces tentatives portent un bilan humain et économique lourd pour ce résultat. L’Érythrée se vide de ses ressources humaines fuyant des conditions politiques et économiques dures et le Sud-Soudan, un désastre économique. La scission n’est économiquement, socialement et politiquement pas acceptable.
RÉPONSE:
-OSSO LUI A DIT : LE DREAM EST TROP GRAND POUR LES AÉROPORTS CUBAINS!!!
-ADADA LUI A DIT: LE CARBURANT DU CONGO NE PERMET PAS DE VOLER AVEC LES AVIONS CHINOIS!!! J’AI ÉTÉ LE GRAND PÉTROLIER MBOCHI AVANT KIKI!
-BEYINA MOUSSA LUI A DIT: J’AI PRÊTÉ 2 AVIONS A YAYA JAMAH, IL LES A PAS ENCORE RENDU NI MÊME PAYE LES FRAIS DE LOCATION! JE SUIS OBLIGE DE PRENDRE KENYA AIRWAYS POUR ÉVITER LES AÉROPORTS ASECNA.
KIA! KIA KIA! APOCALYPSE MBOCHI DE SASSOU and Co!
Je crois qu’on est maudit. Il y a comme une forme de malédiction sur le Congo. Avoir comme dirigeant les Sassou et consorts donnent le dégout. C’est tellement honteux de dire que l’on est congolais de peur d’être associé à un personnage lugubre, déshumanisant et dépourvu d’empathie tel que Sassou.
Détruire son pays en allant massacrer une partie de la population pour des raisons obscures dépasse l’entendement. Tout ce processus de désintégration du pays par un seul homme sans que les autres ne disent stop me sidère. Pendant que ces concitoyens permettent la vie dans l’explosion d’une plateforme pétrolière, monsieur préfère voyager au lieu de faire monde honorable allant compatir avec le peuple. L’homme Sassou est un indécrottable. Il n y a rien à faire. Sa cause est entendue.
Ni guerre de conquête, ni guerre de « défense nationale », la guerre du Pool est une action propre à Sassou et son armée qui manifeste un zèle que n’auraient pas renié les armées nazi et fascistes d’Hitler et de Mussolini qui, dans leur débacle, n’ont pas hésité à brûler des villages entiers avec leurs habitants et dont les chefs ont subi les affres du procès de Nuremberg.
C’est, aujourd’hui, principalement sur l’armée que s’appuie Sassou Nguesso pour perpétrer ce génocide dans le Pool, et cette armée, par le rôle tribaliste que plusieurs de ses hauts représentants, à la botte de ce sanguinaire, lui font jouer, agissant ouvertement et violemment, trahissant les fins que l’ensemble du pays, le peuple, lui confie, compromet et risque de pervertir l’idée de la marche vers la construction d’une nation même, en forçant les citoyens sous ses ordres à se faire les complices d’une action factieuse, criminelle et avilissante. Faut-il rappeler que, plus de quinze ans après les exactions de 1998 – 2000 dans la même région, l’activisme de certains chefs militaires, par suite des exigences d’une telle guerre, est parvenu à restaurer la torture, l’élimination physique sans autre forme de procès de paisibles citoyens qui, ni de loin ni de près, n’ont bénéficié des largesses d’un politicien quel qu’il soit. Cette armée saccage, brûle les villages, obéissant ainsi aux ordres d’un criminel passible de la Cour Pénale Internationale sans se poser le moindre cas de conscience. Ses chefs subiront les foudres du peuple, le moment venu, avant d’être livrés à la CPI, notre Nuremberg à nous.
C’est dans ces conditions que beaucoup de Congolais en sont venus à remettre en cause le sens de valeurs et d’obligations traditionnelles. Qu’est-ce que le civisme, lorsque, dans certaines circonstances, il devient soumission honteuse ? N’y a-t-il pas des cas où le refus est un devoir sacré, où la « trahison » signifie le respect courageux du vrai ? Et lorsque, par la volonté de ceux qui l’utilisent comme instrument de domination politique ou tribaliste, l’armée s’affirme en état de révolte ouverte ou latente contre les ordres criminels, n’est-ce pas la manifestation la mieux appropriée ?
Le cas de conscience, au sein de l’armée, aurait dû se poser dès le début de cette guerre, en 1997, il aurait été normal que celui-ci se transformât concrètement en des actes toujours plus nombreux d’insoumission, de désertion, aussi bien que de protection et d’aide aux citoyens martyrisés. Encore une fois, en dehors des cadres et des mots d’ordre préétablis, une résistance est née, par une prise de conscience spontanée, cherchant et inventant des formes d’action et des moyens de lutte en rapport avec une situation dont les groupements politiques de l’opposition et les journaux locaux et internationaux se sont entendus, soit par corruption ou peur du petit dictateur de Brazzaville, soit par cynisme ou intérêts, à ne pas reconnaître le sens et les exigences véritables du génocide qui se déroule à huis-clos dans le Pool. Ne condamnons pas aveuglément Ntumi. Ici, je le soutiens ouvertement, trop c’est trop !
Qu’il reste à Cuba mais il n’échappera pas pour autant à la colère du Peuple !
@ David Londi,
Comment soutenir NTUMI quand les miliciens ninjas violent leurs soeurs et mamans dans le Pool. La destruction du chemin de fer est un acte de revolte, un moyen de penaliser Sassou et sa bande. Violer les mamans et soeurs du pool, torturer les peres et freres du pool, quelle explication donnez vous à ces actes barbares? Allez vous prendre du champagne quand vous apprenez que les ninjas ont violé votre soeur dans le pool? Quoi qu’on dise, la population du Pool sait où s’est refugié NTUMI. Il doit donc sa protection à cette population. Si sa milice commence à torturer les hommes, les depouiller de leurs biens, et violer les femmes, ne soyons pas suspris d’apprendre dans un proche avenir que NTUMI se retrouve mort ou vivant dans la cour du palais de l’ALIMA. Si je suis du pool, connaissant où se cache NTUMI, je finirai par le trahir si ma soeur est violée par les même ninjas qui soit disant auraient pris les armes pour nous proteger contre les exactions des milices de Sassou. Ntumi et Sassou sont tous deux terroristes ayant la même ideologie.. J’avais de l’estime en Ntumi. Seulement, je l’ai rejeté apres avoir appris que sa milice aurait brulé un moyen de transport de Mantsima (resortissant du Pool), depouiller les passagers de leur argent, torturer les hommes et violer les femmes. Se sont les memes ninjas qui avaient en premier lieu derranger Lissouba. Je realise que l’homme de sud n’est pas serieux et ne sait pas ce qu’il veut. Pour ceux qui militent pour un Congo sud et un congo nord, je realise que le Congo nord sera plus stable. Le Congo sud sera en proie à des guerres interminables.
Mark, je pense que tu aborde le sujet, c’est-à-dire que tu froles le sujet sans aller en profondeur. et pourtant, tu as bien compris les enjeux. Sassou et Ntoumi ont décidé d’en découdre avec le Pool. Comment veux-tu que ça se passe? Sassou a donné comme mission à Ntoumi de désintégrer le Pool. C’est ce qu’il est en train de faire. Les miliciens de Sassou tuent et ceux de Ntoumi font pareil. Ntoumi organise des séances de prière regroupant plusieurs personnes. D’où viennent ces personnes?
Il faut que les vrais jeunes du Pool s’organisent pour défendre leur région. Il faut que les vrais congolais aident les jeunes du Pool à mettre Sassou et Ntoumi dehors.
Quant à Sassou, il ne faut pas s’attendre à ce qu’il fuit le Congo pour des raisons économiques. C’est lui qui entretient et nourrit la pauvreté de ce pays. Alors, comment un acteur peut-il fuir l’arène quand il a le vent en poupe?? Et puis, les richesses du Congo ne sont pas encore finies. Sassou fuira lorsque la résistance congolaise se fera réellement et lui sera féroce. Car, c’est le seul langage qu’il comprend bien. Négociation! Connait pas. Dialogue! Connait pas. Mais violence!!! ça, connait très bien
LA NOUVELLE REPLOUBICA , 2 professeurs agrégés exotiques cames , ont brillé à défaut d’être performants dans leur domaine respectifs .ILS sont cinq gros mbochis directeurs généraux des structures sanitaires , sur la problématique des médicaments liés au sida .
Tenez bien ;;;;mes chers galériens internautes , ils se sont partagés un magot de 3 milliards de CFA ;eh oui c’est toujours NTUMI le responsable ,,,,,,?????;
Agrégés en vol des deniers publics , peut être , mais en médecine , je ne pense pas .;;;;;
Ce sont les mêmes cadres muets , coincés , incompétents , qui conseillent au fou d’OYO de barrer la route à cette fameuse diaspora , décidée à renverser toutes les tables, tous les étals
préétablis au CONGO BRAZZA.
Ces fameux 2 professeurs sont OBENGUI et ELIKIAS DEKONKIAS .
Voilà la reploubica , des faux intello incapables ,de vivre sur leur matière grise .MON frère PATRICK TSENGUE TSENGUE nous te planterons à la place DE BRAZZA , en guise de MERCI NATIONAL .
l’audacieuse petite LYDIA MIKOLO ministre de la santé , les a tout simplement suspendus de leurs fonctions ;AU NEZ ET à LA BARBE du FOU DE SASSOU .
Eh oui , la petite LYDIA est entrain de constater l’appétit criminel en matière du blé , des cadres en carton mbochis placés par leur seigneur SASSOU ;
On n’est pas milliardaire qui veut AU CONGO sans la bénédiction de la camorra d’OYO.
@Mark,
je comprends votre raisonnement et merci d’avoir pris le temps de lire mon post. J’ai longtemps réfléchi avant de prendre position pour Ntumi. originaire de la région qui est l’épicentre du conflit, Madzia, je fais le constat simple et lucide qu’aucune voix, au Congo, ne s’élève pour condamner ce massacre à ciel ouvert qui détruit cette région dans tous les domaines. Je n’ai pas de preuves qui montrent que le Ntumi de 2016 est complice de Sassou. Qu’on me les apporte et je changerai d’avis, je me range toujours du côté de la raison. Pour l’instant, je suis devant le fait accompli que celui-ci est le seul à se dresser devant les armées de Sassou qui brûlent, saccagent et détruisent jusqu’à confisquer ce que nous appelons en lari « les bipakis » que nos mamans utilisent pour faire du manioc. Ce qui montre la volonté de Sassou d’achever par la faim celles ou ceux que ses armées fantôches n’ont pas réussi à tuer par les armes. Ce sont les armées de Sassou qui violent, détruisent le tissu social et intellectuel (les écoles dans le Pool ne fonctionnent pas normalement depuis 1997, une génération entière) pas les soldats de Ntumi jusqu’à preuve du contraire.
Nous devons tous faire attention à la campagne de propagande que Sassou déroule vis-à-vis de nos concitoyens et de la communauté internationale. Le principal argument, très porteur, qu’il vend pour justifier ces massacres est qu’il fait la guerre au terrorisme. Par les temps qui courent, c’est un argument porteur. Toute la communauté internationale se bat contre DAESH, du pain béni pour notre petit dictateur de Brazzaville, ce voyou sans foi ni loi.
Depuis 1970 quand le trio Ngouabi, Yhombi et Sassou ont installé le Tribalisme en système de gouvernement, dénoncé par Diawara en 1972 sous le non d’OBUMITRI (Organisation Bureaucratique Militaro Tribaliste) avec le M22, la philosophie générale était de réduire l’influence du Sud dans toutes les fonctions administratives régaliennes et l’Armée en procédant systématiquement à l’élimination intellectuelle ou physique des éléments issus de cette partie du pays pouvant leur faire de l’ombre ou étaient la fierté de toute une région (Biayenda, Massamba Débat, Franklin Boukaka, Kikadidi, etc.). Ils parlaient de rééquilibrage. A cette époque l’on ne parlait pas de Ntumi. D’aucuns me diront que Sassou l’utilise comme son bras armé pour continuer sa funeste oeuvre, soit. Que l’on m’apporte des preuves. Pour l’instant, je vois en lui un Résistant, la seule voix qui se lève au milieu de ce silence assourdissant.
La solution à ce problème doit venir du dépassement du Tribalisme dans son acception la plus négative, le rejet de l’autre ou de l’érection de la tribu ou de la région en système de gouvernement. J’avais démontré, ici, l’impact économique qu’un tel système génère. Nous y sommes (une économie en déroute, l’incompétence généralisée et la haine de l’autre). Tant que nous n’arriverons pas à nous soulever tous comme un seul homme du nord au sud de l’est à l’ouest pour dire #Sassoufit, je soutiendrai toutes celles et tous ceux qui se lèvent et luttent au Pool.
Le ridicule ne tue pas : il demande aux pseudo-sages du Pool de lui remettre Ntumi, n’est-ce pas une raison supplémentaire de le soutenir ?
Chers galériens internautes , ADAMO BARROW élu président de GAMBIE .Sans aucune mouche ne soit tuée . YAYA a avalé sa défaite .
LE CONGO EST MAUDIT , maoua mingui ;;;;;;SASSOU LE C;;;; DE TA M;;;;;; .
Les massacres dans le Pool par le dictateur, sanguinaire; Sassou-NGuesso est un des grands problèmes auxquels le Congo et l’Afrique sont confrontés. Le régime mafieux , sanguinaire de SASSOU NGUESSO est un véritable problème pour la paix,la démocratie,le developpement au Congo et la sous région.Sassou NGuesso et sa clique sont des véritables criminels, terroristes. » La haine de Sassou Nguesso contre les Laris, Bacongos; est connue publique depuis 1977 après qu’il ai assassiné le Président Ngouabi et quand il accusa les Laris- Bacongos d’avoir commis cet assassinat. « L’ancien président, Alphonse Massamba-Débat; soit disant premier accusé est exécuté précipitament,durant la nuit du 25 mars 1977, dans des circonstances mystérieuses. Son corps n’a jamais été rendu à sa famille et n’a jamais été revu. Le cardinal Émile Biayenda fu enterré vivant 2 jours plus tard. Des centaines d’autres cadres, personnes appartenant à la tribu Lari – Bacongos sont fusillées sous les ordres de Sassou Nguesso qui va continuer allégrement à commettre d’autres crimes contre l’humanité tel que celui des disparus du Beach, les explosions de Mpila, les massacres chez Ntourouet le problème actuel du Pool pour ne parler que de ceux là.
Le changement de la constitution en 2015 qui était rejetée par plus de 90 % de la population Congolaise et qui fut adoptée de force et ensuite le fou dictateur sanguinaire Sassou Nguesso ainsi que son hold-up électoral ont été suivi par une répression brutale et systématique de ses principaux concurrents et ont débouché à l’épuration éthnique dans le Pool qui lui avait donné une une cinglante défaite électorale.
La repression du régime sanguinaire du Congo avait dépassé les frontières du Congo. En France par exemple,“le 9 octobre 2015, les bires du dictateur sassou à l’ambassade à Paris avaient brutalisé les congolais sous l’œil protecteur de ces sbires par la police française.“
Après avoir falsifié les élections et validé sa soit disant victoire par la Cour constitutionnelle en se donnant vainqueur dès le premier tour avec plus de 60% des voix pour l’élection présidentielle de mars 2016, alors qu’il avait obtenu que 8% des suffrages, le dictateur Sassou Nguesso n’a pas trouvé mieux que de plonger le Congo dans la terreur, les massacres du Pool pour empêcher
au peuple du Congo de lui demander de rendre les comptes sur la gestion très catastropique de plus de 32 ans de pouvoir. Le résultat du scrutin avait été donné à 3 heures du matin et entre temps les chars et véhicules blindés avaient été déployés dans toute la ville de Brazzaville, les forces de l’ordre du dictateur surveillaient les rentrées et sorties de la ville.Après ce hold up électoral, la stratégie diabolique de Sassou Nguesso et bande s’est tablée sur le fait d’empêcher la population du Pool de prendre part aux élections législatives. Un plan appelé“ MAMA MBOUALE „ fut adoptée pour l’extermination de la population du Pool
qui l’avait infligée une cuissante defaite et qui n’est nullement prêt à voter pour Sassou Nguesso et son PCT. A la veuille de l’annonce du résultat du scrutin „le 4 avril 2016, la population de Brazzaville est réveillée par les détonations des armes lourdes, à une période où tous les carrefours, tous les « buissons des forêts » sont sous haute surveillance par une Force publique du pouvoir de Sassou Nguesso agressive et intransigeante, pour cause de protection des résultats électoraux avec en prime un pays coupé du reste du monde, (internet et portables coupés) »
Sassou Nguesso est l’initiateur du grand massacre entammé depuis le début avril jusqu’`maintenant. Depuis 8 mois, les bombardements,les forces terrestres barbares du pouvoir illégitime de Sassou Nguesso ont brulé la quasi totalité villages. Un très grand nombre de villageois ont été tués.En dehors des forces aériennes, les forces terrestres du pouvoir de Sassou Nguesso sont composées de la garde présidentielle, en passant par les milices d’un député du PCT au nom de Hyldevert Mouhani et de Nduegué , renforcées par des milliers de mercenaires tchadiens,burundais, rwandais et centrafricains, angolais etc.“Peu avant le viol de la Constitution par Sassou, les Congolais, bouche bée, découvrent à la télévision nationale le visage d’une milice composée d’hommes en noir dont le leader est un député du PCT, un certain Hyldevert Mouhani. Le commando qui se présente à l’antenne menace de représailles quiconque oserait contester Sassou sur la voie publique. Armés de fusils en bandoulière, coiffés de cagoules, on aurait pu confondre les miliciens de Mouhani avec les Indépendantistes corses ou les djihadistes de Daesh“.Le nettoyage éthnique continue son cours dans le Pool. La communauté internationale, la grande presse et surtout la France qui bloque les résolutions de l’ONU restent complices par leur silence. La terreur, les enlevements,tortures,emprisonnements arbitraires commencées pendant la période du changement de la constitution en 2015 persiste à Brazzaville et à Pointe-Noire et dans les autres localité. Il y a plus d’ une année que Paulin Makaya a été fait prisonnier par la dictature de Sassou Nguesso. En ce qui concerne le Général Jean-Marie Michel Mokoko, qui „depuis la proclamation des résultats qu’il a contesté, le Général Mokoko a été assigné en résidence. Le 14 juin 2016, il a été à nouveau convoqué à la Direction Générale de la Surveillance du Territoire et traduit au parquet qui l’a inculpé d’ « atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat », après 48H de garde à vue. Depuis le 16 juin 2016, il est écroué à la Maison d’Arrêt de Brazzaville. Dans les cas des tortures et enlevements, parlons en un peu.„Après d’Augustin Kalla Kalla torturé, pris pour mort et abandonné sous la pluie devant la morgue, il ya un certain temps, la presse indépendante et les organisations de droit de l’homme évoque le cas M. Passi Franck Euloge, secrétaire national du CNR enlevé lesamedi 26 novembre 2016,à 16h45 à Mayanga par les éléments de Ndengué.“Le dit samedi, au vu et au su de tout le monde, des hommes sortis d’une toyota land cruiser V8 immatriculée 237 FV4 et d’une toyota BJ ont violenté Franck Passi avant de l’embarquer par la suite dans une direction inconnue, „alors ce dernier sortait d’une réunion sur la crise du Pool.“le 28 novembre 2016. L’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH) exprime sa profonde indignation et condamne fermement les actes de torture infligés à M. MAYANGUI Jugal, sergent en service à l’intendance militaire.“ Ceux ci ne sont là que quelques exemples parmi des milliers d’autres. En tout cela, le Pouvoir du dictateur génocidaire Sassou Nguesso qui prétexte réagi à l’ attaque attribuée sans preuve au Pasteur Ntoumi, le 4 avril dernier à Brazzaville, alors que la ville était sous la haute surveillance policière et militaire,en envoyant une expédition punitive dans le Pool, est le seul responsable de la crise du Pool. Sassou Nguesso et sa clique qui ont envoyé la dite force publique soit disant « mettre hors d’état de nuire » les « soit disants bandits » retranchés dans « les buissons des forêts » du Pool.“ Pour mettre fin aux massacres,génocide, orchestrés par le tyran génocidaire Sassou Ngueso et sa clique, les Congolais de toute la république doivent s’unir sans plus attendre et renverser le pouvoir du diable Sassou Nguessoi.Il faut barrer la route à la la confiscation perpétuelle du pouvoir d’Etat par un seul clan et une seule famille, dans des visées de domination absolue des autres Congolais.
Aux USA les plates formes pétrolières brûlent tout le temps, ce sont des choses qui arrivent dans un domaine ultra sensible où la moindre erreur d’inattention peut conduire au drame. La firme italienne ENI doit tout mettre en œuvre pour que ce type d’incident grave ne se reproduise plus. Bien que le risque zéro n’existe pas, c’est intolérable, car il s’agit de notre pays que nous aimons
Sassouffit est vraiment une calamité pour le congo. Pour fêter la République il appelle les sages comme si c’était une institution républicaine. Sassouffit n’a rien compris. La situation du Congo est comme comme si on avait remis un bistouri à quelqu’un qui n’est pas chirurgien pour opérer un corps. Ne vous attendez pas de miracle. Il ne peut que massacrer le corps. Il faut l’arrêter avant qu’il ne reste plus rien au Congo
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CONGO
DES MILLIONS DÉTOURNÉS PAR LA FAMILLE DU PRÉSIDENT BLANCHIS À MONTRÉAL
Le « clan familial mafieux » qui contrôle le gouvernement de la République du Congo (communément appelée Congo-Brazzaville) a blanchi à Montréal une partie des centaines de millions volés à ce pays où 70 % de la population survit avec moins de 1 $ par jour, confirme une vaste enquête des services d’immigration canadiens obtenue par La Presse. Retour sur l’affaire en six temps.
VINCENT LAROUCHE
LA PRESSE
INTERDICTION DE TERRITOIRE
La Cour fédérale du Canada a validé la semaine dernière les conclusions de l’enquête, qui détermine que Wilfrid Nguesso, fils adoptif du président congolais Denis Sassou-Nguesso, est interdit d’entrée au Canada parce qu’il existe des motifs raisonnables de croire qu’il appartient à une organisation criminelle. Depuis 10 ans, Wilfrid Nguesso tente d’obtenir le statut de résident permanent canadien. Sa femme et certains de ses six enfants résident à Montréal, où il est souvent venu en visite. En 2013, il avait essuyé un premier refus, mais il avait réussi à faire casser la décision l’an dernier, sous prétexte que les fonctionnaires avaient été injustes en n’identifiant pas précisément l’organisation criminelle dont il serait membre et les articles du Code criminel canadien qui correspondraient aux infractions dont il est soupçonné à l’étranger.
DICTATURE
Après ce premier revers, les fonctionnaires canadiens ont mis le paquet. Une preuve abondante a été déposée pour démontrer que M. Nguesso appartenait à ce que les avocats du ministère de la Justice ont décrit comme « un petit clan familial mafieux » qui exerce une « dictature » et détourne les fonds du pays pour son bénéfice personnel. Le président Sassou-Nguesso, homme fort qui a dirigé le pays sous un régime de parti unique de 1979 à 1992, est revenu au pouvoir par la force au terme d’une guerre civile en 1997. Il a depuis remporté toutes les élections dans la controverse. L’organisation criminelle identifiée par les fonctionnaires canadiens comprend Wilfrid Nguesso, son père adoptif, ainsi que plusieurs associés qui les aident dans la gestion de leurs finances, notamment Stéphane Saintonge, un consultant en fiscalité québécois qui avait été condamné pour fraude fiscale en 2012.
FRAUDE ET BLANCHIMENT
Les crimes en droit canadien qui correspondraient aux actions posées à l’étranger par Wilfrid Nguesso et son clan sont aussi clairement nommés cette fois : fraude, fraude fiscale et recyclage des produits de la criminalité. Les crimes seraient liés à Socotram, l’entreprise dont il est PDG. Le Congo-Brazzaville a délégué à l’entreprise la charge de percevoir des droits de trafic maritime de plusieurs millions par année sur les chargements de pétrole qui quittent le pays. En retour, l’entreprise devait bâtir une flotte maritime nationale, ce qui n’a jamais été accompli. En fait, selon l’enquête, il existe des motifs raisonnables de croire que Socotram « n’existe que pour fournir [à Nguesso] une source très importante de revenus, au détriment de l’État ». À titre de PDG, Wilfrid Nguesso jouit d’un salaire annuel de 3,5 millions de dollars, de véhicules de luxe dans plusieurs pays, de la prise en charge des frais d’éducation de ses enfants, d’une possibilité de se transférer des fonds pour ses dépenses personnelles et de plusieurs logements de fonction.
INVESTISSEMENTS À MONTRÉAL
Une partie de la fortune détournée au profit de Wilfrid Nguesso a été recyclée à Montréal, toujours selon l’enquête. En 2007, la famille a acquis sans hypothèque une maison à Mont-Royal au coût de 840 000 $. La résidence a été rénovée au coût déclaré de 220 000 $ en 2011, selon les registres municipaux. Plusieurs des enfants de M. Nguesso ont été scolarisés dans une école privée française de Montréal. M. Nguesso et sa conjointe ont ouvert plusieurs comptes bancaires canadiens où au moins 1,2 million a été transféré à partir d’Europe. Ils ont aussi acquis ici une Mercedes GLK, un Chrysler Voyageur ainsi qu’un autre véhicule.
DES APPUIS
Wilfrid Nguesso jouissait d’appuis au Québec pour sa demande de résidence permanente. Édouard Préfontaine, président de la firme de consultants Stratem, a signé une lettre pour appuyer la demande de celui qu’il appelait son « collaborateur » pour les projets en Afrique centrale. Il le disait « très bien adapté au pays ». Joint hier, M. Préfontaine a précisé avoir travaillé à un seul projet de cimenterie avec M. Nguesso, projet qui n’a pas abouti. Il dit ne pas avoir eu de ses nouvelles depuis sept ou huit ans. « Ce n’est pas parce que quelqu’un est dans le cercle du président qu’on ne peut pas faire affaire avec lui », observe-t-il. Une avocate de Laval, Valérie Jolicoeur, avait aussi signé des documents à l’appui de M. Nguesso, certifiant qu’il avait bien payé ses impôts au Congo. Mais la juge de la Cour fédérale est restée perplexe devant sa démarche. « Elle n’explique pas comment, pratiquant à Laval au Québec, elle peut avoir une connaissance personnelle des faits allégués, ou en quoi les documents en question seraient confidentiels. Au mieux, il s’agit là d’une preuve par ouï-dire ; au pire, d’une déclaration complaisante », a observé la juge Jocelyne Gagné. Valérie Jolicoeur a été radiée du Barreau depuis pour non-paiement de sa cotisation. Elle n’a pas rappelé La Presse hier.
« VISION BIAISÉE DU CONGO »
L’avocate de Wilfrid Nguesso, Me Johanne Doyon, a tenté de faire valoir que l’enquête était basée sur une « vision biaisée et entachée de préjugés du Congo ». Elle a aussi expliqué que Socotram pouvait accorder les conditions de travail de son choix à son PDG. Mais la juge n’a pas retenu ces arguments. « Il ne s’agit pas, comme le prétend le demandeur, d’ingérence dans les affaires de la Socotram ou encore dans celles de l’État du Congo, mais bien de déterminer si le demandeur est inadmissible au Canada pour des gestes que la société canadienne ne tolère pas et qu’elle qualifie de criminels », écrit-elle. Me Doyon n’a pas rappelé La Presse. Elle dispose d’un mois pour porter la décision de la cour en appel.
Il cherche aussi surtout a rencontré Lula et Dilma pour ces soucis de mafia avec le bresil à travers Asprebras, et Andrade gutierrez ces sociétés ecrans de blanchiment d’argent volés aux congolais
CORRUPTION ONDONGONALE DU TERRIBLE FINANCIER DE KONA KONA
L’opération « Rota do Atlantico » (« la route de l’Atlantique »), équivalent portugais de l’affaire des biens mal acquis, continue de faire tomber des têtes. Après l’homme d’affaires José Veiga, le « Monsieur Afrique » portugais longtemps basé à Brazzaville, et une dizaine d’autres suspects, c’est au tour de José Roberto Colnaghi, président de la société brésilienne Asperbras, d’être inculpé à Lisbonne de « corruption » et de « blanchiment d’argent ». Depuis jeudi 24 novembre, le groupe est ainsi décapité en raison des contrats très lucratifs que M. Colnaghi a signés en République du Congo.
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Et, surtout, le ministre congolais des finances de l’époque, Gilbert Ondongo, apparaît comme l’un des grands récipiendaires de la générosité de la firme brésilienne. Selon les éléments recueillis par les autorités portugaises, M. Ondongo, désormais ministre de l’économie congolaise, a acheté un appartement Avenida da Liberdade, la plus cossue de Lisbonne, juste au-dessus de boutiques Cartier et Porsche. Et ceci grâce notamment à un virement de 347 000 euros effectué en août 2015, provenant d’une société de droit congolais contrôlée par José Veiga, le représentant au Congo d’Asperbras. A la même période, selon des documents judiciaires portugais que Le Monde a pu consulter, le groupe brésilien a également mis à disposition du ministre une résidence dans la station balnéaire chic de Cascais, surnommée la « maison du ministre ». La police portugaise y a trouvé 3 millions d’euros et 4,35 millions de dollars (4 millions d’euros) en liquide lors d’une perquisition en février 2016.
J’avais dis sur ce forum qu’un dictateur n’organise pas les élections pour les perdre. J’ai eu tort. La Gambie vient de nous faire la démonstration que l’on peut sortir de la dictature sans effusion de sang. Sans une seule goutte. Mais hélas, Congo, le cancer s’est généralisé, avec une bonne dose tribalisme. La notion de tribu existe t-elle en Gambie? J’ai bien peur qu’espérer une union extra clanique des forces vives de la nation, pour faire tomber la dictature, soit trop longue au Congo. Ceux qui se battent dans le Pool feront tomber la dictature. Si les Congolais veulent faire tomber la dictature, qu’ils aillent se battre dans le Pool. Car la guerre du Pool, cache en sein, les germes de la libération.
Sassou dans un bus à Cuba avec un badge autour du cou comme un simple délégué. Le sort des chefs d’Etats africains hors du continent.
Nul ne regne innocemment et le pouvoir absolu corrompt absolument dit le dicton et le cas Denis Sassou nous le montre depuis les decennies.Mr Sassou,ce mafieux qui a introduit cette mafia multinationale au Congo qui pille les ressources naturelles, pollue environnement et souille les cotes Congolaises(un gramme d’hydrocarbure suffit deja a contaminer 1000 litres d’eau) sans s’inquieter.Il faut absolument se debarrasser de Mr Sassou,sa famile et ses amis,Le Congo est a organiser et a construire
IL Y A DE QUOI S’APPELER DESORMAIS « »PROSTATE »!!!!!!!!!!!!