Chers Compatriotes, Chers Frères et Sœurs, l’heure est grave !
Oui très grave ! Elle est non seulement grave pour le Congo-Brazzaville, mais aussi pour son Peuple, car elle appelle à une véritable prise de conscience au niveau national.
En effet, combien de temps va-t-on encore attendre ou accepter que Monsieur Denis Sassou-Nguesso, non pourvu de l’onction du Peuple Congolais pour la présidentielle du 20 mars 2016, en dépit des moyens de l’Etat utilisés par ce dernier, puisse impunément demeurer au pouvoir ?
Comme vous le savez, le Premier Secrétaire du PCT, Monsieur Pierre Ngolo, en cherchant à défendre l’indéfendable, est venu confirmer que l’ancien président de la République, Monsieur Denis Sassou-Nguesso, n’a pas obtenu plus de 60% des suffrages exprimés au premier tour, car il a été battu dans le département du Pool, à Pointe-Noire, dans les trois départements du grand Niari ainsi qu’à Brazzaville.
Quand on sait que tous ces départements représentent, à eux seuls, plus de 70% de la population congolaise, on peut alors se poser la question suivante : par quel calcul algébrique, son mentor a pu obtenir plus de 60% dès le premier tour de la Présidentielle. En principe, au vu des résultats énoncés par le Secrétaire Général du PCT, on peut conclure que, ses calculs défient toutes les lois de la mathématique.
Faut-il rappeler que le peuple congolais, aiguillonné par son opposition, après avoir refusé le pseudo referendum constitutionnel de Monsieur Denis Sassou Nguesso, a réussi à mettre en échec le plan machiavélique de ce dernier, tendant à pérenniser son pouvoir à la tête de l’Etat congolais.
Monsieur Denis Sassou Nguesso, qui n’a jamais gagné une élection, cherche à faire taire, de quelle que manière que ce soit, toutes les velléités de contestation, en intimidant, en confisquant tous les médias de l’Etat, en optant pour le bombardement des populations civiles sans défense, dans les pays de Mpangalas (Kindamba, Vindza, Mayama, Mpangala), ainsi qu’à Soumouna (où se trouve monsieur Fréderic Bitsangou alias le pasteur Ntoumi), au séminaire de Mbamou d’où sont sortis de nombreux cadres , prêtres, évêques et archevêques comme le cardinal Emile BIAYENDA, Monseigneur Barthélémy BATANTOU, Monseigneur Ernest NKOMBO, Monseigneur Hervé ITOUA, Monseigneur Anatole MILANDOU, Monseigneur Louis PORTELLA MBUYU, le Père Didace MALANDA, l’Abbé Dominique KIMBEMBO, pour ne citer que quelques uns.
Même Goma Tsé-tsé, village mythique et chargé d’histoire où vivait Monseigneur Auguste NKOUNKOU, n’a pas été épargné par les bombardements des hélicoptères de combat des Forces Armées Congolaises.
Malgré les nombreux enfants de moins de douze ans, de femmes et d’hommes qui sont victimes des atrocités qu’on peut qualifier de génocide, force est de constater la totale indifférence de la communauté internationale.
Il n’est plus permis de rêver d’une quelconque ingérence humanitaire dans le département du Pool, au Congo-Brazzaville, à la suite des bombardements perpétrés dans cette région par le pouvoir sanguinaire et arbitraire de Monsieur Denis Sassou Nguesso sèchement battu et éliminé dès le premier tour du scrutin présidentiel du 20 mars 2016.
A dire vrai, l’heure n’est plus de pleurnicher ni de compter sur qui que ce soit encore, moins encore sur la prétendue communauté internationale, qui n’intervient ou n’existe que lorsqu’il s’agit de défendre les intérêts des grandes nations qui la constituent.
Ce n’est pas parce que le Congo-Brazzaville est une ex-colonie de la République Française que les Congolaises et les Congolais doivent toujours faire recours à cette dernière lorsque leur pays est confronté à de graves crises politiques.
Mes chers Compatriotes, ne soyons pas naïfs. En effet, chaque fois que la France est intervenue au Congo-Brazzaville, cela a toujours été dans le but de préserver ses intérêts et non dans le but de défendre les Congolais encore moins pour assurer la paix dans notre pays.
Vous vous souviendrez que bien qu’Elu au suffrage universel direct et ce, à la suite d’une véritable élection libre et transparente organisée au mois de juillet 1992, le président Pascal LISSOUBA a été contraint et forcé de quitter le pays en octobre 1997, à la suite d’un coup d’état de Monsieur Denis Sassou Nguesso soutenu par les forces angolaises ayant notamment bénéficié de fait de l’approbation ou du soutien du président français de l’époque, Monsieur Jacques Chirac.
Lors de ce coup d’état ayant conduit à la destitution du président Pascal Lissouba, un président jouissant de la légitimité populaire, de par son élection libre et transparente reconnue comme telle par toute la classe politique congolaise, la soi-disant communauté internationale n’avait pas été visible.
Comme dirait l’un des pères fondateurs de la république du Congo, le premier président du Congo-Brazzaville, le président-abbé Fulbert YOULOU,
« il nous revient de tenir compte plus que jamais de la situation politique de l’heure. Et cette situation doit être minutieusement analysée. C’est votre rôle. C’est urgent. C’est d’autant plus urgent qu’il est urgent d’empêcher ce qui doit être empêché. Cette analyse doit se faire sans passion et sans parti pris. Cette analyse doit être objective. »
Combien de temps peut-on encore fermer les yeux devant cette bestialité primitive orchestrée par un général qui extermine son peuple en toute impunité ?
Combien de vies devons-nous encore perdre pour que la communauté internationale, la France viennent assister le Peuple du Congo abusé, martyrisé, piétiné, avili, déshonoré et qui est complètement noyé dans un océan de larmes ?
Est-il légitimement et humainement permis de reconnaître un pouvoir qui viole toutes les conventions internationales qu’il a ratifiées, qui a entaché sciemment l’élection présidentielle du 20 mars 2016 afin de falsifier les résultats ?
Pourquoi le peuple Congolais doit-il être condamné au mépris ou à une sorte de damnation perpétuelle tout simplement pour cause de richesses que recouvre son sous-sol ? Toutes ces interrogations nous invitent à construire une véritable résistance pour aboutir à un véritable changement systémique au Congo-Brazzaville.
Les bombardements des populations de la région du Pool sont inacceptables, le génocide programmé et planifié dont cette région est victime doit être dénoncé et sévèrement condamné d’autant plus qu’il avait été clairement préparé puisque l’ancien président de la République monsieur Denis Sassou-Nguesso s’était illustré à Kinkala aux populations de cette localité sous forme de menaces à peine voilées déclarant :
« quand on ne s’est jamais blessé à la langue, on ne connait pas le goût du sang … ».
En s’exprimant en ces termes, Monsieur Denis Sassou Nguesso faisait implicitement allusion aux massacres de plus de 353 disparus du Beach de Brazzaville, à la guerre dans la région du pool en 1998 et dans un passé lointain à l’assassinat du Cardinal Emile Biayenda, des condamnés injustement exécutés du tribunal d’exception à l’occasion de l’assassinat de Marien Ngouabi, et que sont : « l’ancien Président de la république Alphonse Massamba-Debat, le capitaine Kikadidi , Ndoudi-Nganga, Samba-Dia Nkoumbi, Mizélé, Nkandza » , la liste est loin d’être exhaustive sur le fleuve de sang qui l’a fait couler au Pool et dans toutes les régions du Congo.
Depuis longtemps, le peuple Congolais le sait que Monsieur Denis Sassou Nguesso est viscéralement un tribaliste envers les populations sud du Congo-Brazzaville. Son combat politique a toujours consisté à éliminer l’homme politique qui paraîtrait à ses yeux un sérieux concurrent.
Monsieur Denis Sassou Nguesso est le type même de l’homme politique africain non patriote, manipulable, choisi, protégé par les anciennes puissances coloniales à l’effet de mieux diviser, opposer les Africains, de mieux les affaiblir et par voie de conséquence de mieux, sur fond de crises internes meurtrières et fratricides les détourner des intérêts supérieurs de leurs nations.
L’homme est choisi et protégé parce qu’il est plus malin qu’intelligent et son intelligence maligne ne lui sert qu’à tuer, éliminer ses adversaires notamment ceux qui sont mieux placés pour lui succéder, violer, bafouer les intérêts de ceux qui sont censés être ses compatriotes et qui, malheureusement ne le sont pas et ne le deviendront jamais par manque d’intelligence et de vision de l’homme méchant qu’il est.
D’où, entre autres, la malédiction de sa progéniture comme cela est de même pour tous les dictateurs sans intelligence et sans vision.
Si les droits humains ou les droits de l’Homme et du citoyen sont scrupuleusement garantis entre les grandes composantes de ce qu’on appelle soi-disant la communauté internationale, à l’occasion des conflits qui peuvent naître ici et là, à l’échelle planétaire, ceux-ci deviennent chimères et cauchemars lorsqu’il s’agit des crises qui surgissent dans des pays d’Afrique noire en raison des ressources naturelles comme le pétrole que recouvrent leurs sous-sols.
C’est dire que, la libération et surtout l’indépendance des nations africaines et en particulier celles du Congo-Brazzaville, l’instauration d’un ordre juridico-institutionnel reconnu par tous les fils et filles de la Nation Africaine viendraient de nous-mêmes et non de la tenue des réunions ou conférences dites internationales organisées ici et là à l’échelle mondiale.
Au Congo-Brazzaville, s’est instaurée depuis plusieurs décennies une dictature qui ne dit pas son nom et qui est savamment maintenue, entretenue par des puissances étrangères qui, de nos jours et contrairement aux années 1950 agissent malignement derrière des firmes internationales.
Les crises, les conflits qui opposent les Africains et plus particulièrement les Congolais doivent être résolus par eux-mêmes.
Par le passé, nos anciens, à l’instar de Mabiala Mâ Nganga, Bueta Mbongo, Simon Kimbangu, André Grenard Matsoua, Mâ Ngunga ont su s’organiser pour dénoncer et lutter contre les injustices instituées par le colonisateur français et belge sur le sol congolais. Les moyens qui étaient les leurs n’étaient pas plus sophistiqués que ceux des nôtres aujourd’hui.
Certes aujourd’hui, la tâche paraît beaucoup plus complexe puisque l’ennemi de la nation n’est plus directement le colonisateur. L’ennemi de la nation est aussi malheureusement fils de la nation et qui, en raison d’une vision trop courte qui le caractérise et essentiellement tournée vers des maudits intérêts matériels teintés, entre autres, d’une certaine avidité quant aux honneurs de représentations nationales, n’hésite guère à jouer le jeu de l’ancien colonisateur.
La situation actuelle est d’autant plus complexe que, le fils de la nation qui s’est notoirement illustré en traître et valet local des puissances étrangères, est aussi lourdement armé par celles-ci jouissant ainsi grandement du pouvoir de donner la mort sans qu’il soit inquiété, de quelle que manière que ce soit.
Chers Compatriotes, Chers Frères et Sœurs et Chers combattants de la liberté, nous avons, plus que tout, le devoir de sauver notre pays, le Congo-Brazzaville, de le soustraire des forces occultes d’exploitation de l’homme par l’homme. Pour cela, nous devons créer toutes les conditions nécessaires qui devront aboutir à la libération du Congo-Brazzaville. Etant entendu qu’aucun mouvement de libération nationale ne pourra effectivement parvenir à ses fins, si nous nous abstenons à observer avec sagesse et intelligence, ce que nous avons été par le passé.
Il nous sera difficile d’aller de l’avant, si nous ne nous accordons pas le temps de la réflexion. Celui d’une analyse sérieuse et responsable de nos faiblesses et surtout de nos atouts qui sont notamment susceptibles de nous faire rassembler, au-delà de nos différences ethniques, philosophiques et politiques pour créer une dynamique de développement et de conscience à l’échelle nationale.
Sur ce point, s’y atteler, c’est donc donner la place à l’histoire plus précisément à notre histoire, celle des femmes et des hommes qui, pour l’amour du Congo-Brazzaville n’ont pas hésité, en leur temps à se lancer dans le combat du respect et de la défense des libertés fondamentales.
Soyons donc imaginatifs, courageux et prêts à aller au combat de la liberté et de la délivrance de notre pays des mains des traîtres qui, malheureusement font aussi partie des nôtres.
Comme le disait le Père de la Nation Congolaise, le président-abbé Fulbert YOULOU,
« le courage doit caractériser une jeunesse [Tout comme un peuple qui aspire à la liberté] désintéressée et consciente, respectueuse des valeurs fondamentales du pays.
A tout moment, elle doit être le moteur déterminant de toutes les décisions capitales et de toutes les démarches, comme aussi elle doit en être le ferment. »
Aussi, nous devons initier des actions, créer des ateliers, des espaces de réflexion, comme du temps de nos ancêtres, à l’instar des Mbongi, lesquels, en raison de la situation politique qui prévaut à l’heure actuelle au Congo-Brazzaville devront être, quel que soit l’objet du rassemblement, des espaces de conscientisation de la jeunesse et du peuple Congolais.
Au final, comme le déclarait, le président-abbé Fulbert YOULOU :
« Peuple congolais, soldats, gendarmes, agents de police, jeunesse, conjuguons tous nos efforts, faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour sauver notre pays qui est en train de se perdre, s’il ne l’est déjà. »
« Une nécessité s’impose donc à nous. Rechercher, dès à présent, dans nos propres ressources, les moyens qui sont nécessaires à notre existence. Cela doit être l’œuvre de tout le peuple.
C’est le concours de la Nation tout entière qui est encore requis. Chacun, dans son domaine, doit concourir à cette tâche immense.
Le fardeau est moins lourd quand on est plusieurs à le porter et quand les charges sont bien réparties. La Nation donc acceptera les sacrifices qui lui seront demandés. »
En somme, ce qui se passe à l’heure actuelle au Congo-Brazzaville et ce, il y a bien des décennies doit être pour nous une occasion de prise de conscience de toutes ces réalités qui s’imposent à nous qui ne sont ni agréables ni faciles à combattre.
Toutefois, elles exigent de nous une prise de conscience nationale qui doit nous inviter au sens du devoir, à la prise des charges ou de responsabilités partout où nous sommes dans le seul but de concourir à la libération et au développement de notre Nation.
Soyons Chers Compatriotes, Chers Frères et Sœurs réceptifs au message des pères fondateurs de la république du Congo-Brazzaville notamment de celui de notre premier président qui, dans son discours tenu le 14 août 1962, exhortait le peuple Congolais à l’amour de la Patrie, au sens du devoir et du civisme. Ou de celui du père national Jacques OPANGAULT aux termes desquels :
« En dehors des luttes idéologiques, en dehors de notre opposition démocratique et constructive pour un mieux-être du pays, pour une amélioration toujours poursuivie et toujours plus grande nous avons tous, nous congolais, des objectifs supérieurs, des devoirs communs impérieux. En face des grandes tâches nationales nous n’avons qu’un seul drapeau, qu’une seule devise, qu’un seul but. Ce Congo, nous le formerons, nous le modèlerons selon nos efforts et selon nos mérites »
Et quant à l’abbé Fulbert YOULOU, il ajoutait avec espoir et convictions qu’il pouvait compter sur son peuple et que grâce à son labeur, à son dévouement et à son amour passionné pour notre Congo, le jour est maintenant proche où sous les plis frémissants de notre drapeau tout un peuple triomphant marchera en chantant sur les routes de la prospérité, du progrès et du bonheur.
Que vive la liberté !
Que vive le Congo-Brazzaville !
COLLECTIF DES CONGOLAIS DE LA DIASPORA
MBONGI NATIONAL DE LA RESISTANCE CONGOLAISE
Les initiateurs : Maurille LOUZALA Enseignant chercheur, homme politique
Maître Rudy MBEMBA Avocat, Kôngoloque
Maître Philippe YOULOU Avocat
La gifle de FARIMAKA à l’endroit de SASSOU fut d’une férocité herculéenne , d’ailleurs YOMBI en tremble encore , car il en fut le premier témoin .
L’acharnement de SASSOU SUR LE POOL avec la validation active de YOMBI en est l’une des explications .
C’était le premier MBATA YA BAKOLO EN AFRIQUE et notamment au CONGO;
FARIMAKA = DIAWARA
YA ANGE ne rigolait pas , avec des petits broussards , des yaka noki noki DU GENRE SASSOU et autres .
Ces simagrées DE SASSOU , du temps de YAYA ANGE ,n’existeraient pas , quand le chat n’est pas là SASSOU danse , vole , et tue , même pas peur .
Eh oui , c’est le désert des courageux , plus rien dans le stock , DENGUET tue, se pavane dans les rues en mouchou nia BATA .
IKOKO , réveille toi , SASSOU NOUS MALTRAITE .
Le CONGO QU’ AS TU FAIT DE TES DIGNES ENFANTS COURAGEUX ,,?
AH… KINGANGA AVEC UN PETIT SLIP et une kalach et 5 gars , tu as osé attaquer ..
Vous êtes où ?
SASSOU nous nargue .
ON n’a plus des grands frères .LE CONGO VOUS PLEURE .
@ Chers initiateurs de ce que je viens de lire, on a beau citer Mabiala Mâ Nganga, Bueta Mbongo, Simon Kimbangu, André Grenard Matsoua, Mâ Ngunga, que faisons nous maintenant.
Que proposez vous depuis l’Europe où vous vous trouvez. Nous adhérons tous à ces bonnes analyses mais nous sommes en face d’un pouvoir qui règle tout avec les armes et qui n’entends que ce seul langage. Il n’accepte pas que le peuple exerce son droit à résister même d’une manière pacifique.
AH VAL DE NANTES,
Le village n’a plus de braves gars. Nous sommes bien orphelins, je m’en rends compte maintenant. Plus de braves, rien que des rigolots….
Oui! des saint-cyriens des mon cul! des Nkouta de manioc! des généraux de bricole! Mais mêmes les morts nous abandonnent. Voyez comment ces chiens haineux de faux officiers, bardés de gilet de je ne sais quoi, pour faire quoi?, ont transformé le cimetière de Makana en base militaire… de là, ils attendent patiemment les hypothétiques ninjas, terrorisant les paysans, soupçonnés d’avance d’être de connivence avec les feu-follets de ninjas…
je continue dans ma conviction que bien d’entre nous gens de bonne volonté, nous avons perdu le sens du quotidien congolais… les choses d’ici, nous échappe, il faut l’avouer d’office… Je ne crois pas à une quelconque utilité d’un tel discours intellectuel…. Chez nous, comme on massacrait les voleurs, il n’y en avait pas beaucoup. Et voilà que des gens sont venus nous parler des droits d’un voleur à la dignité… et voilà que les voleurs sont devenus légion et ne cessent de perfectionner leur technique.
Quand quelqu’un se permet de massacrer en toute impunité, il faut dire que la solution est alors se taire, pour y échapper, ou réfléchir » comment le massacrer lui aussi »; ainsi il y aura moins de massacreurs…
Ndenguet peut alors se pavaner dans les rues, vos discours ne l’inquiètent pas du tout… et avant qu’il ne soit touché par la grâce divine, il aura eu le loisir de massacrer bien des victimes… Il se ballade dans des véhicules blindés… ainsi les ninjas à Soumouna, l’ont raté… Réfléchissez comment l’envoyer de l’autre côté du merveilleux monde qu’il a tendance à obscurcir… le reste, écrivez les bouquins pour ceux que ça intéresse…
Trêve de bavardage l’heure est grave, le peuple souverain comme un seule homme ,du nord au sud à le devoir de passer à l’attaque. Le fruit est en pleine putréfaction, juste une petite secousse pour qu’il tombe et soit fouler au pied. Il n’ y a plus d’ordre à attendre de nos leaders,ils ont fait leur taf. Au peuple souverain d’agir maintenant: à l’image du peuple de Madingou qui a courageusement brûlé le commissariat de la ville et récupérer les armes, en représaille à la mort brutale d’un jeune adolescent tué sans motifs par une fripouille de milicien sassouiste. Après la désobeïssance civile reconnue par la charte congolaise des droits de l’homme article 24 adoptée à la conférence nationale souveraine , passons simultanément à la deuxième et à la troisième phase: celle de la défense de nos droits par tous les moyens possibles et celle d’un soulèvement populaire sur toute l’étendue du térritoire. Les forces républicaines humiliées par le tyran ne peuvent ne pas agir au côtés du peuple souverain humilié, brimé spolié et génocidé. IL EST TEMPS D’AGIR ET D’ARRETER LES MASSACRES DES POPULATIONS. DEBOUT PEUPLE CONGOLAIS ENSEMBLE CHASSONS L’AUTOCRATE VOLEUR ET VAMPIRE. DEBOUT IMPHONDO OUESSO MAKOUA BOUNDJI OWANDO OYO EWO OLLOMBO GAMBOMA LEKANA DJAMBALA ABALA POINTE-NOIRE DOLISIE MOSSENDJO NKAYI SIBITI MADINGOU KINKALA MINDOULI BRAZZAVILLE
Le congolais est aussi sage qu’imprévisible. L’heure de tomber sassou arrive sûrement.Puisque c’est lui le mal qu’il y a en nous.Alors bien sur que ce mal doit être traité de quelques manières quelles soient.Lentement sassou est entrain de tomber chers compatriotes.Maintenant la pression quelques soient les tergiversations de sassou et cies.
C’est une repetition de ce que nous savons deja; mais qu’est ce que vous demandez? Ce j’attends c’est que vous disiez: nous avons de l’argen et si d’autres peuvent encore cotiser, nous invitons tous nos compatriotes de la diaspora, specialistes dans les questions militaires, les radio communications et l’informatique a se faire connaitre pour qu’ensemble nous puissions arreter des strategies pour changer de braquet. Date: tel jour; Lieu: tel adresse.
C’est ce que nous attendons; pas les debats sur les chaines TV5, RFI, ZIANA TV etc…comme le font les Benoit Koukebene, les Itadi, les Moukoueke et consors. Koukebene a l’argent, il etait aux hydro-carbures il a eu le temps d’en mettre plein les poches. Sortez cet argent et nous rejoindrons le Pasteur NTOUMI qui se debat seul. Si vous ne voulez pas, nous allons malgre tout le rejoindre; mais apres la victoire on va jetter vos affaires de Partis bidons et nous prenons les choses.
TÉLÉ FOUFOU INTERNATIONALE (RFI/TV5/FRANCE 24), OU HOLLAND (PAR SON SOUTIENT AU REFERENDUM DU CRIMINEL) NOUS A APPREND QUE LE CRIMINEL SASSOU A RAISON DE TIRER SUR LA FOULE A BALLE RÉELLE, NI A BOMBARDER SUR LES CIVILES DANS LA ZONE DU POOL.
JE ME POSE LA QUESTION POURQUOI HOLLANDE NE TIRE OU NE BOMBARDE PAS LES FOULES QUI PROTESTENT CONTRE LA REFORME DE LA LOI DU TRAVAIL, SI CECI EST BON ET NORMALE.
POURQUOI LA France BLOQUE LA RÉSOLUTION DE L’ONU QUI DEVRA PERMETTRE AUX ORGANISATIONS DE DROIT DE L’HOMME POUR FAIRE LA LUMIÈRE SUR LE GÉNOCIDE ENCOURS DANS LE POOL.
L’UNITE DE LA NATIONAL, LA VOLONTÉ DE DIRE NON AU CRIMINEL, C’EST LE SEUL SECRET DE LA REUSSITE.
AUX LEADERS DE L’OPPOSITION CE N’EST PAS EN S’AGENOUILLANT DEVANT SASSOU QUE VOUCESSEZ LE PLAN DU CRIMINEL SASSOU CELUI DE DETRUIRE LE PEUPLE CONGOLAIS. Meme s’il arrete les bombardements aujoud’hui, le peuple continuera sa descend a la morque : par les elevements, la famine, tueries isolees, le manque se soins medicaux, le manque du travail, les violes et autres mals. NOUS DÉJÀ MORT,LA FERMETÉ ET L’INGRITÉ.
Merci pour ces écrits qui aident à comprendre certaines choses.
Le problème est cependant bien plus profond car il s’agit de mentalité, de culture, d’histoire, et une introspection de chacun est nécessaire.
En effet, le président Sassou n’est pas seul, et s’il est toujours là, c’est bien parce qu’il maitrise bien notre culture, et connait bien les faiblesses des congolais.
Le diagnostic est le suivant :
1-nous n’avons pas de société civile forte, et cela ne dépend pas uniquement du président de la république.
Il y a pleins de scandales qui peuvent être portées sur la place publique, à l’international pour faire pression et faire changer les choses, mais rien de concret n’est fait.
2-l’incompetence: contrairement à l’opposition, le sommet du pouvoir a des conseillers competents, beaucoups de voleurs c’est certain, et quand la competence manque, il y a des cabinets en communication en France notamment qui aident à soutenir ce régime.
3-ce n’est pas à quelques mois des elections qu’il faut s’agiter, cela prouverait que ceux qui s’agitent agissent pour eux, et non dans l’intérêt général.L’interet general, c’est une société civile forte,capable d’agir méthodiquement, en s’attaquant à des problèmes un par un, avec une obligation de résultats :eau ?electricite? Éducation ?, corruption ?douanes? Impôts ? Rien de tout cela sur lesquels des investigations sont faites, avec des actions pour changer les choses.
4- faire le tri: une société civile crédible est composée de personnalités exemplaires, crédibles et donc audibles.
Les ratés qui sont partout notamment en Europe, les opportunistes mégalomanes tous président fondateurs d’une association qui n’a jamais rien produit sont à écarter carne correspondent pas au niveau d’exigence requis.
Les personnalités publiques au casier chargé n’ont pas de place.
5- des institutions fortes : c’est ce qui manque.C’est le point le plus difficile à mettre en place, mais c’est une etape essentielle.
Un de nos dignes représentants avait prévenu que nous avons l’opposition la plus bête du monde.Ce constat vient hélas de se confirmer
Notre mal à tous les congolais c’est d’être traite de loin comme de près. C’est notre mal essentiellement. La prise de conscience devra passer par là.
Vous venez par votre article de procéder à un constat, alors que proposer vous aux congolais? Je remarque une chose c’est que le congolais dans ses multiples réflexions parle de tout sauf de Dieu. Pourtant Dieu a mis la pensée d’éternité en chacun de nous mais tous nous refusons de recourir au Créateur.
Il nous a créé libre et il n’ usera pas de force pour nous contraindre à nous approcher de lui.je laisse ceci à votre réflexion : Ecclésiaste
12 v.1″ Jeune homme, réjouis-toi dans ta jeunesse, livre ton coeur à la joie pendant les jours de ta jeunesse,marche dans les voies de ton coeur et selon les regards de tes yeux; mais sache que pour tout cela Dieu t’appellera en jugement……..verset 15. Ecoute la fin du discours: CRAINS DIEU ET OBSERVE SES COMMANDEMENTS. C’ EST LÀ CE QUE DOIT FAIRE TOUT HOMME.
CAR DIEU AMÈNERA TOUT OEUVRE EN JUGEMENT AU SUJET DE CE QUI EST CACHÉ, SOIT BIEN, SOIT MAL ».
A nous de choisir à cause de notre libre arbitre, si nous voulons associer Dieu ou pas car le combat que nous devons mener est spirituel à cause de l’implication de sassou et de ses acolytes dans le monde des ténèbres. Sans Dieu nous ne pouvons pas le vaincre.
Voilà pourquoi il se plaît à dire chaque fois au sujet de ceux qui l’affrontent, « quoi ceux là, il n y aura rien ». C’est parce que dans le monde des ténèbres il les a pèsé et les a trouvé léger.
Par contre, il ne peut trouver léger, le Créateur du ciel et de la terre si nous nous appuyons sur lui.
« A nous de choisir à cause de notre libre arbitre, si nous voulons associer Dieu ou pas car le combat que nous devons mener est spirituel à cause de l’implication de sassou et de ses acolytes dans le monde des ténèbres. Sans Dieu nous ne pouvons pas le vaincre.
Voilà pourquoi il se plaît à dire chaque fois au sujet de ceux qui l’affrontent, « quoi ceux là, il n y aura rien ». C’est parce que dans le monde des ténèbres il les a pèsé et les a trouvé léger.
Par contre, il ne peut trouver léger, le Créateur du ciel et de la terre si nous nous appuyons sur lui. »
Pensez-vous vraiment frère DIBOULA NDISOU, qu’il faille à tout prix recourir à la Bible par exemple au texte d’ecclésiaste pour revêtir de spirituel le combat de restauration des valeurs de KIMUNTU ?
Hier la Bible a été un outil d’asservissement de l’homme nègre par le colon. Je pense que le spirituel n’est pas que biblique, il est aussi congolais ou bantou. Par définition, le Mbongui est un espace sacré, autrement dit spirituel, notamment, de par son rôle d’éducation, de partage et surtout de transmission de contes ou bi-nsamu avec lesquels Nzambi ya ba nkanka zeto ma-Mpungu, Mpungu lulendo occupe une place importante.
EX des versets spirituels de chez nous :
MU KUYU KA KU PAMUNA KU DIATULU ! les faits et gestes de l’autre témoignent de ce qu’il est vraiment d’où l’attention de réfléchir et de trouver les armes qui vaillent pour le combattre,
NZAMBI WA BONGA WA SA ! Dieu nous avait tout donné au moment de la création, de sorte qu’avec notre intelligence et sagesse nous pouvons connaître une paisible existence,
BO BU WE NA TATA N’GANDA LEMBA ! apprends à t’instruire du vivant de ton père pour mieux parfaire ta vie de demain,
NZAMBI N’GANA NZAMBI BONGA KA !, c’est Dieu qui donne et c’est aussi lui qui reprend,
Oui au combat spirituel mais essentiellement autochtone pour sauver notre maison commune le CONGO DE FOA.
C’est pourquoi, le meilleur enseignement que je retiens de ce texte directeur, c’est la renaissance des MBONGUI. MBONGUI ZA MANA FWA TSIANGU MAKANDA MA BANTU MA MWANGANA, l’esprit de famille, de partage spirituel, alimentaire et autre de Mbongui n’étant plus ce qu’il était autrefois, l’unité, la solidarité des familles n’est plus.
@u frère Miena-Nzambi,
Vous avez repris une partie de mon texte et je vais m attarder sur la question suivante : » pensez- vous vraiment, qu’ il faille à tout prix recourir à la Bible…
1.la Bible est un recueil décrits inspirés par le Créateur du ciel et de la terre. Moi j’y crois libre à vous de croire ou pas.
2. Je ne rentre pas dans la discussion consistant à dire que la Bible est un outil…vous dites bien un outil et selon vous, c’est un outil d’asservissement. Pour ma part, je n’ai pas lu cela quelque part dans la Bible que Dieu nous donne un outil pour asservir les hommes. Voyez -vous mon frère, le code de la route que nous utilisons est outil universel, un guide pour te permettre de conduire ton auto est il un outil d’asservissement? A toi d’en juger. Je pense que pour tout instrument, le code de la route qui donne des indications liées à la conduite, pour notre bien lorsque nous prenons la voiture, il en va de même pour la Bible le code de vie pour savoir comment nous comporter vis à vis de notre prochain durant notre pèlerinage ici bas pour tous ces outils c »est le contenu qui est la substance moelle, voilà pourquoi il faut en tenir compte, la vie est un combat et pour combattre avant d’aller au mbongui il faut affûter sa défense car si on y va c’est parce que avec l’autre il y a un différent. Dieu dans son amour, nous recommande la sagesse et il affirme que sans lui nous ne pouvons rien. Quel mal y a t-il à s’appuyer sur Dieu lorsque l’ennemi commun qui est Sassou s’appuie sur sa sorcellerie, sa franc-maçon, ses chars, ses outils de guerre que nous n’avons pas ?