Il n’en reste désormais que trois : Denis Sassou Nguesso, Louis Sylvain Goma et Florent Ntsiba. La vérité pourra-t-elle sortir de la bouche de Louis Sylvain Goma, ambassadeur du Congo-Brazzaville au Brésil et un moment pressenti au poste de Premier Ministre ou de Florent Ntsiba, actuel directeur de cabinet de Sassou Nguesso ? Rien n’est sûr.
Quant au khalife d’Oyo, les populations du Congo-Brazzaville ne se bercent pas d’illusions au point de penser que Denis Sassou Nguesso pourra se faire hara kiri. Les protagonistes de l’assassinat du Commandant Marien Ngouabi, de l’ancien Président Alphonse Massamba Débat et du Cardinal Emile Biayenda en 1977 disparaissent l’un après l’autre, comme peau de chagrin. Crime avec ou sans châtiment ?
A défaut de passer aux aveux, les témoins trépassent emportant dans la tombe des pans entiers de la saga des évènement tragiques de mars 1977. Le dernier qui a passé l’arme à gauche et à avoir fait faux bond à la vérité est Justin Lekoundzou qui a jusqu’au bout respecté le pacte de silence après avoir décrit par le menu à la conférence nationale souveraine l’ambiance à l’hôtel « Le Mistral » le 18 mars 1997 d’où la carotide du Commandant Marien Ngouabi avait été sectionnée. « J’ai regardé le camarade Sassou , il m’a regardé. Le camarade Sassou a pleuré, moi aussi j’ai pleuré ».
En délicatesse avec Denis Sassou Nguesso depuis plusieurs années, les populations du Congo-Brazzaville croyaient naïvement que l’ancien ministre des finances , Justin Lekoundzou allait cracher le morceau en signe de représailles. Que le moment Lekoundzou était arrivé. Justin Lekoundzou n’avait plus rien à perdre à observer le silence et beaucoup plus à gagner en brisant le pacte de silence et grapiller quelques points en terme de crédibilité. Rien n’y fît.
Le pacte de sang qui liait les deux hommes suivant la rigueur napolitaine était tellement fort que l’ancien ministre de la défense après le coup d’Etat de 1997 a clos son bec. Justin Lekoundzou a perdu et la vie et l’honneur. De quoi ragaillardir Denis Sassou Nguesso qui n’a plus rien à craindre de la part de Louis Sylvain Goma et Florent Ntsiba quant à la manifestation de la vérité sur la mort de Marien Ngouabi, Alphonse Massamba Débat et du Cardinal Emile Biayenda.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Il faut vraiment être naif pour croire que la vérité sur les assissinats de Ngouabi, Massamba Debat, Emile Biayenda pourrait sortir de quelqu’un qui est liée par un pacte solide a Sassou Nguesso. Parmi ces personnes, citons Lekoundzou (dit-on lui aussi aujourdhui au-delà), Tsiba Florent, et Ngoma Louis Sylvain. Ces trois personnes ont des pactes avec Sassou. La vérité ne viendra d’aucun d’eux.
Y-a-t-il d’autres personnes en mesure d’éclairer les labyrinthes ténébreuses et boueuses sales des congolais ? Peut-etre que oui, peut-etre que non.
Question: Pourquoi Madame Ngouabi, née Nkouka Celine, n’a-t-elle jamais cherché la verite sur l’assissinat de son mari, à l’instar de madame Sankara au Burkina Faso ?
Cette dame qui a eu d’autres enfants après la mort de son mari-feu-president. Pourquoi garde-t-elle ce silence si lourd et maléfique ? Bytadis Bilombot pourrait peut-etre déterrer quelques éléments de réponse en faisant parler « mama » Celine en code ancestral. Sauf si celle-ci craint aussi d’etre effacée a jamais de la terre a moindre volonté de « parler ».
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Ce fut un tueur au même grade que Sassou .La conception de garder le pouvoir au nord du pays fut plus précieuse que la trahison entre les auteurs du crime .
le CONGO nage dans une sorte de complotisme existentiel dont il ne s’est pas sorti ,car le mensonge éhonté sur la mort de MARIEN RESTE , UNE BOMBE VOLCANIQUE , qui risquerait d’emporter la supposée nation congolaise .
La manipulation de cette dernière est la condition de l’existence de ce pays où la vérité des faits sur cette mort reste tatillonne .Telle une marmite qui bout à 100 degré avec un couvercle très proche de la sortie de route .
La mort de MARIEN et les conséquences humaines irréparables qui y sont associées mettent le CONGO en situation d’intranquillité .
Cette mort de MARIEN hante le vivant des congolais . Il faudrait bien quelqu’un , un témoin oculaire , passe à table . Qu’il nous donne les ingrédients de cette sauce criminelle ,qui aura emporté tant de vies innocentes AU CONGO .
Les congolais , tels les juifs , attendent comme un messie le diseur de la vérité sur cette mort énigmatique en théorie , bien que dans le fond ,les tueurs sont connus …
C’est le temps qui passe qui commence à éloigner la vérité des faits .Les auteurs
regagnent MARIEN dans l’au -delà sans déballer le mystérieux paquet dans lequel ils avaient mis le corps de MARIEN …
En chaque congolais sommeille un démiurge qui l’interpelle sur cette mort d’où dérive une partie de l’explication de la misère congolaise …
BAKONGO BABOMI NGOUABI ne se muerait -il pas en NORDISTES BABOMAKI NGOUABI .,,? WAIT AND SEE .Simple correction de l’histoire politique de cette mort devant la postérité . SANS RANCUNS DE de ma part !!!.
Sinon , paraphraser ARISTOTE QUI DISAIT » Je préfère la vérité à PLATON » .
Cher Miango,
Ce site est désormais une institution du congo.
Pouvez-vous organiser des entretiens avec tous les protagonistes du congo révolutionnaire afin que chacun puisse raconter sa part dans l’Histoire du Congo ?
Incroyable ce pays où personne jamais ne dit rien, n’écrit rien alors qu’ils ont bien influencé dans un sens ou l’autre la destinée de ce pays.
par exemple, Sylvain ngoma : militant et ensuite dirigeant du pct, de l’armée, du cmp. il pourrait dire quelque chose me semble-t-il.
Aujourd’hui ambasadeur ? putain il est dans le pouvoir pratiquement depuis 1970 !
ngoma louis-sylvain
Cher , Bilombot j’ai encore en mémoire l’intervention à la conférence Nationale du grand frère Ekondy Akala qui affirmait avoir vu l’ancien président Massamba Débat le 22 Mars 1977 dans le bureau de Sassou Dénis et son éternel directeur de cabinet Florent NTsiba , et en bas de l’immeuble c’était le cadavre du commandant Kibouala Nkaya dans une Jeep . Ne mêlez pas ya Louis -Sylvain Ngoma à cette Boucherie , ya Sylvain Ngoma est un ingénieur en génie civile et st- cyrien , rien avoir Sassou Dénis qui est dans une constance génocidaire depuis mars 77.
Le camarade Lekoundzou dans sa lettre adressée aux civils et miliciens de 2008,il avait tenté l’excercice de cracher le morceau.En substance il désignait le camarade Sassou étant le cerveau exécuteur du crime.Et il pose la question simple pour réaffirmer la responsabilité de son ancien camarade aujourd’hui son propre bourreau dans ce crime.Il dit dans ces termes,comment comprendre l’armée étant consignée,on assassine le président en plein état major et le ministère de La Défense n’est pas inquiété.
Qui était le ministre de La Défense pendant le crime?Eh ben,c’est bien le camarade Sassou Denis.Meme Jean François Probst,l’ami de Chirac de trente ans l’a dit que le camarade Sassou était l’exécuteur du crime.
Ngoma Sylvain et Tsiba Florent(l’homme qui livré Antsou Raphaël) membres du Cmp savent comment ils ont opéré ces crimes odieux.Cette bande de salauds et criminels entravent le progrès du Congo depuis cinquante trois ans.
Le réseau politique à la vie dure
Dans un réseau tout le monde tient tout le monde
Personne n à intérêt à se mettre à table ni sassou ni goma ni tsibasi on part du principe qu ils auraient une part de responsabilité dans la mort de gouabi
On n en saura rien car ce Congo nourrit à la vie politique incompétente se complaît dans cette situation à travers ce réseau politique
Il faudra une autre génération que celle actuelle au Congo traversee par des tensions tribales explicites ou non
Chaque dirigeant congolais n à aucune vision claire de ce qu il y a affaire et pourtant la planification des structures économiques et sociales pilotées par le sérieux du politique
Est possible à condition de dépasser les invectives tribales
COUTEUX ET DANGEREUX ENFANTS ET FAMILLES DE VICTIMES DES CRIMES POLITIQUES DE SASSOU ET POURQUOI? https://www.youtube.com/watch?v=kA89EdaVfe0&t=54s
Un réseau mafieux et criminel cinquantenaire déguisé en activité politique.
Une bande de salauds et laquais de puissances étrangères qui se sont attelés à détruire ce pays et à décimer ses populations.
Il revient aux Congolais épris d’amour de leur pays et de leurs cocitoyens de chercher de façon incessante et intelligente les moyens appropriés pour faire sauter ce verrou qui maintient le peuple Congolais la tête sous l’eau.Il faut changer la donne pour que ce pays ne soit plus celui des paradoxes.Attendez,prenez seulement les budgets annuels de ces vingt dernières années à raison de cinq milles milliards sans tenir en compte les accédants budgétaires et les revenus de l’économie informelle qui représentent à peu prés 90%.En faisant un petit calcul cela fait une colossale somme de cent milles milliards,l’argent tout simplement siphonné par Mr Sassou Denis,son clan,ses amis et courtisans de tous bords.Puisque les petits bricolages appelés infrastructures ont été faits à crédit.Il faut mettre terme à cette mafia qui règne en mode de gouvernance.
Comme Barthelemy Kikadidi assassiné en février 1978 pour l’empecher définitivement de reveler, selon Pierre Anga, le contenu de son entretien avec Sassou Nguesso le 18 mars 1977, peu avant l’assassinat du commandant Ngouabi, président de la RP Congo, comme Xavier Katali ancien ministre de l’intérieur mort foudroyé par un poison à l’hopital général de Brazzaville en mai 1987 pour stopper net son intention d’étaler sur la place de Brazzaville, les tenants et les aboutissants de la mort de Ngouabi, comme Pierre Anga assassiné en 1988 dans la forêt d’ikongono pour l’empecher aussi parler de la maort de Ngouabi et après boucoup de cadres militaires et civile comme Jean Pierre Tsystère Tchicaya en 2008, Edouard Noumazaye et Motando en 2010, Ibara Denis, en 2014, Jean Michel Ebaka en 2017 et J. J Yombi Opango en 2020, le tour est venu maintenant à Justin Lekoundzou Itihi Ossetouba à peine hier, 25 novembre 2021. Oui, Mr Lekoundzou, ce personnage sulfureux comme ses compères en complicité et coup bas contre les intérêts des congolais et qui depuis des décennies avait entamé une course contre la mort, après avoir été le temoin dans l’hotel Le Mistral où Ngouabi avait trouvé la mort, n’a pas été plus rapide que celle ci qui l’a foché comme un fruit pourri qui a fini par tomber. Si l’on a pris plaisir de jouir de la mort des autres, de construire la vie sur la vie des autres, de préparer l’avenir des enfants en perpetrant des crimes odieux contre les autres, Justin Lekoundzou qui accuse à demi mots dans son article publié par « Media part » son ami de même acabit Sassou Nguesso d’avoir utilisé ses services pour l’inoculer un foudroyant poison dans les années 2007/2008, vivant en France depuis plus d’une décennie, avait été évacué au Congo Brazzaville après avoir été visité par le président de son ami pour recevoir les soins intensifs et bénéficier de l’expertise des medecins congolais, experts en déclaration de décès qu’en guerison des malades. Ainsi peu après son arrivé grabataire au pays, leur rapport est sans appel, celui là qui avait dit, » il ( Sassou Nguesso) m’a vu, je ( Lekoundzou) l’ai vu, et nous avons pleuré » a trouvé la mort, au lendemain de l’anniversaire de naissance de son ami Sassou Nguesso, le mardi dernier 23 novembre 2021.Et oui, Lekoundzou, cette fois ci est vraiment mort. Mais il reste une chose à verifier. En effet, dans ses embroullimini avec Sassou Nguesso, Justin Lekoundzou avait de façon véhémente proféré des manaces contre le président congolais en affirmant: » si je meure le matin, à 12 heures, Sassou Nguesso me poursuivra »: Lekoundzou est mort hier au soir du 25 novembre 2021 et il fallait sans doute attendre le 26 novembre suivant à 12heures pour voir ce qui adviendra au dictateur sassou nguesso. Mais 12h d’aujourdhui est déja passé, il y a plus de 2h30, son ami qu’il prophétisait la mort parait « ingniguissable » si l’on prend à la lettre sa prophetie qui ne s’est pas accomplie! Il faut peut être attendre dans le temps. Mais quoiqu’il en soit la course contre la mort parait impossible. 44 ans seulement ont passé, le voilà Lekoundzou qui sera en face de Ngouabi, cette fois ci devant le tribunal de Dieu. Et Mr Sassou Nguesso aura bien son jour car la course contre la mort, on perd toujours. L’exemple de Lakoundzou et autres dictateurs à travers le monde ne temoignent pas du contraire.
Tonton Lekoundzou: » il m’a vu, je l’ai vu et on a pleuré ». C’est ce que Lekoundzou Justin avait dit Denis Sassou en mars 1977 peu après l’assassinat de Marien Ngouabi dans l’hôtel Mistral. Justin Lekoundzou qui vient de gouter le gout de la mort peut il revenir nous dire quel est la saveur de la mort? Marien Ngouabi et des personnes assassinées par vous, vous attendent labas. Vous n’avez pas confensé vos peché, vous serez en enfer, Mr justin.
La mort de Justin lekoundjou ,un sacrifice pour le peule congolais?
Justin s en est allé mais il laisse irrésolues les pratiques de gouvernance désordonnées ainsi que les inimités ,colères et autres invectives politico tribales au Congo
Que deviendra le Congo après sassou?je ne m inquiète pas pour sassou mais pour les colères tribales tenaces
Quelle place faut-il laisser aux anciens membres du réseau sur la touche? Quelle place accorder a l armee
Comment la convaincre d être arbitre sans vouloir jouer un rôle comme pendant les 40ans passées
Voici venue l’heure de la prospective et non plus celle des passions tristes